Petits jeux de séduction
Récit érotique écrit par Ahouiii [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Petits jeux de séduction
Je gare ma voiture, nerveuse. Je descends le pare-soleil, puis jette un dernier regard rapide dans le miroir. Merde que j’ai le trac ! Je vais enfin te rencontrer, plus ce moment approche, plus je suis excitée et plus, paradoxalement, je voudrais m’enfuir. J’inspire un bon coup, tente de faire le vide dans mon esprit, puis je me décide et descends de voiture. Je marche rapidement vers le bar de l’hôtel où nous nous sommes donnés rendez-vous, tel un automate qui ne réfléchit plus. C’est mieux ainsi, sinon je risque de faire demi-tour.
J’arrive enfin à destination, je scrute la salle du regard. Je t’aperçois qui me fais signe. C’est foutu, je ne peux plus reculer. Tu t’es installé dans un petit coin tranquille. Je me dirige vers toi d’un pas décidé. Pourtant, à l’intérieur, tout se bouscule… Doute, désir, culpabilité, excitation… Tu te lèves pour me faire la bise, souriant et naturel, à l’aise. Tu remarques mes joues empourprées trahissant mes émotions. Au fond, tu aimes me voir ainsi, fragile, incertaine… Ce soir, tu mèneras la danse, comme tu aimes le faire, et moi je suivrai tes pas, docile.
Nous échangeons quelques banalités avant de commander des boissons. Tu me souris gentiment, passes délicatement ta main derrière mon oreille pour dégager mon visage d’une de mes longues boucles rebelles. Ton geste est sensuel, plein de douceur et de sous-entendus. Tu t’amuses déjà à jouer les séducteurs et j’aime me laisser prendre à ce petit jeu. Nous entamons la discussion, un verre à la main. Les minutes passent sans que nous ne nous en préoccupions. Nous nous amusons à inventer des vies aux gens autour de nous, toutes plus folles les unes que les autres. Tu rapproches ta chaise de la mienne. Le serveur arrive pour prendre notre prochaine commande. Alors que je lui demande la composition du « cocktail du jour », ta main se pose doucement sur ma cuisse. Un petit frisson de surprise me traverse le dos. Ta main monte lentement sur ma jambe, s’égare sous ma jupe. J’ai chaud. A nouveau, je rougis. Le serveur énumère les ingrédients du cocktail. Je me sens joueuse… J’écarte les jambes pour te faciliter le passage, cela t’excite davantage. Tu remontes jusqu’à ma culotte. Elle est chaude, déjà toute mouillée. Mon rythme cardiaque accélère alors que tu frôles mon sexe à travers la dentelle. Mon esprit vagabonde, me voilà déjà dans la chambre en pensées.
« Alors, ce sera un cocktail du jour pour Madame ? » Le serveur s’impatiente, je redescends sur terre. « Oui, oui, ce sera parfait… » Je n’ai aucune idée de ce qu’il y a dans ce fameux cocktail, je n’ai rien écouté. Le garçon s’éloigne enfin. Tu continues tes caresses discrètement. Je plonge mon regard dans le tien, nous sommes maintenant liés, complices. Ma respiration se fait plus profonde, d’agréables sensations s’emparent de mon bassin. Tu aimes me voir ainsi, sous ton emprise. Le serveur revient et dépose nos verres sur la table. J’en profite pour obtenir ma revanche. Comme toi, je pose ma main sur ta cuisse, remonte sur ton aine, te caresse à travers ton pantalon. Tu me lances un petit regard amusé. Le serveur te présente le demi-litre de vin blanc que tu as commandé. Il débouche la bouteille, remplit le fond de ton verre pour t’y faire goûter. Ma main se promène tout près de ton sexe, tu vis des désirs contradictoires, l’envie de celle-ci atteignant enfin la bosse qui prend de l’ampleur sous ton pantalon et la crainte que notre interlocuteur découvre notre petit manège. Tu approches le verre de tes lèvres et avales une gorgée. Tu es sexy et beau. Pendant ce temps, ma main a pris possession de ton entre-jambe que j’agace à travers ton pantalon. Tu es déjà dur, gonflé de désir. Le serveur t’interroge du regard. « Le vin est délicieux. », finis-tu par déclarer. Le serveur remplit alors ton verre alors que je déboutonne d’une main ton pantalon et défait ta braguette. Je t’étonne, tu ne t’attendais pas à un tel geste de ma part. Sous mes airs de femme très sage, se cache en réalité une petite coquine. « Ça fera douze euros. », déclare le garçon. Tu sors ton portefeuille pour régler l’addition. Cette fois, ma main s’est faufilée dans ton pantalon, monte et descend sur ton sexe que je sens excité à travers le tissu de ton boxer. Tu paies le serveur, tes gestes sont moins certains que précédemment, mais tu gardes tout de même le contrôle de la situation. Enfin, nous nous retrouvons seuls à nouveau. Tes yeux brillent de désir, les miens aussi. Au diable nos boissons, nous quittons le bar.
Nous nous rendons aux deux ascenseurs du hall d’entrée. Les portes de l’un d’eux s’ouvrent devant nous. Tu me prends par la main et m’y entraînes. Nous sommes seuls alors que les portes se referment lentement. Soudain, un bras se glisse entre elles, les écartant de nouveau. « De justesse ! », dit l’homme qui nous rejoint, venant troubler notre tranquillité. L’ascenseur se met en marche, nous montons les étages un à un. Tu es dos à moi, tes mains posées sur mes hanches, et déposes de petits baisers discrets dans mon cou. J’incline légèrement la tête sur le côté pour les accueillir. Au cinquième étage, notre invité nous quitte enfin. Les portes se referment à nouveau. Tu me retournes aussitôt face à toi, m’embrasses fougueusement alors que tu me fais reculer de façon à me plaquer contre la paroi de l’ascenseur. Tes lèvres sont douces et chaudes, ta langue s’invite en moi, tournoyant sensuellement autour de la mienne. Tu prends mes mains dans les tiennes, les soulèves en les appuyant au mur au-dessus de ma tête, tes doigts se refermant entre chacun des miens. Tu embrasses et lèches mon cou, humes mon parfum. Ta respiration plus forte et saccadée si près de mon oreille m’excite terriblement. Septième étage, les portes s’ouvrent à nouveau, cette fois sur un couple qui nous prend en flagrant délit. Tu tournes la tête vers eux, un sourire moqueur aux lèvres, et appuies sur la touche pour faire fermer les portes, les laissant poiroter de l’autre côté en leur faisant au revoir de la main. « Ils n’ont qu’à attendre le prochain ! », déclares-tu en rigolant. Ta bouche se mêle de nouveau à la mienne, je profite de ce baiser langoureux. Tu es collé à moi, tu frottes ton sexe contre le mien, je peux le sentir à travers tes vêtements. Tes mains quittent les miennes, descendent le long de mes bras toujours en l’air, s’étalent maintenant sur ma poitrine. Je ne porte pas de soutien-gorge. Tu peux sentir mes tétons durcis à travers le tissu de ma robe. Tu voudrais les lécher, les sucer… Tu fais descendre les fines bretelles de ma robe, puis découvres mes seins qui s’offrent à toi. Ta bouche les explore, ta langue les titille, tes doigts pincent tendrement mes tétons. Je gémis, ma chatte est de plus en plus mouillée, envahie des plaisirs que le traitement que tu infliges à mes seins lui procure. Neuvième étage, dixième étage, puis onzième… Les portes s’ouvrent à nouveau. Nous voici arrivés. Tes yeux croisent les miens. Sans dire un mot, nos regards se sont compris. C’est maintenant, tout de suite, et ici que tu vas me prendre et je ne vais pas résister, car mon corps se meurt du tien et en ce moment, je t’appartiens.
Les portes commencent à se refermer. Tu retires mes chaussures, les mets en travers de celles-ci de façon à les empêcher de se refermer, immobilisant ainsi l’ascenseur. Le couloir est silencieux et vide. Tu remontes ma robe et déchires ma culotte. Je pousse un petit cri. Je défais à nouveau ta braguette, descends ton pantalon et ton boxer, de façon à libérer ton sexe durci. Tu soulèves mes fesses, me colles au mur, puis, enfonces ton sexe profondément en moi. Tu prends possession de moi toute entière, glisses dans mon vagin ruisselant du désir que je ressens pour toi. Je gémis de plus en plus fortement, tentant tout de même de rester discrète, car on pourrait nous surprendre. Je m’accroche à tes épaules, enfouis mon visage dans ton cou pour m’enivrer de ton odeur, mes jambes enlacent ta taille. Chaque coup de rein est accompagné d’un tambourinement sur la paroi de l’ascenseur. La situation est excitante. Ton sexe profite de ma chaleur, de mon humidité. La cadence des va-et-vient accélère, ton pubis butte sur mon clitoris de plus en plus rapidement. Le plaisir envahit mon vagin, je me contracte autour de toi. Tu râles de plaisir. Nous approchons de plus en plus de l’orgasme. Nous nous lâchons complètement, oublions presque les dormeurs qui pourraient s’éveiller et s’enquérir de ce qui se passe. Je suis alors secouée par une onde de plaisir qui naît dans mon bassin avant de se répandre dans tout mon être. Tu atteins le point de non-retour, puis es pris de soubresauts incontrôlables alors que tu jaillis en moi en étouffant un cri dans mes cheveux sombres et bouclés. Tu t’immobilises un petit temps, récupères en profitant de ta détente et de cet instant d’intimité. Puis, me soulevant toujours par les fesses, tu me portes jusqu’à ta chambre. La porte s’ouvre et se referme. Ce n’est que le début d’une longue nuit.
J’arrive enfin à destination, je scrute la salle du regard. Je t’aperçois qui me fais signe. C’est foutu, je ne peux plus reculer. Tu t’es installé dans un petit coin tranquille. Je me dirige vers toi d’un pas décidé. Pourtant, à l’intérieur, tout se bouscule… Doute, désir, culpabilité, excitation… Tu te lèves pour me faire la bise, souriant et naturel, à l’aise. Tu remarques mes joues empourprées trahissant mes émotions. Au fond, tu aimes me voir ainsi, fragile, incertaine… Ce soir, tu mèneras la danse, comme tu aimes le faire, et moi je suivrai tes pas, docile.
Nous échangeons quelques banalités avant de commander des boissons. Tu me souris gentiment, passes délicatement ta main derrière mon oreille pour dégager mon visage d’une de mes longues boucles rebelles. Ton geste est sensuel, plein de douceur et de sous-entendus. Tu t’amuses déjà à jouer les séducteurs et j’aime me laisser prendre à ce petit jeu. Nous entamons la discussion, un verre à la main. Les minutes passent sans que nous ne nous en préoccupions. Nous nous amusons à inventer des vies aux gens autour de nous, toutes plus folles les unes que les autres. Tu rapproches ta chaise de la mienne. Le serveur arrive pour prendre notre prochaine commande. Alors que je lui demande la composition du « cocktail du jour », ta main se pose doucement sur ma cuisse. Un petit frisson de surprise me traverse le dos. Ta main monte lentement sur ma jambe, s’égare sous ma jupe. J’ai chaud. A nouveau, je rougis. Le serveur énumère les ingrédients du cocktail. Je me sens joueuse… J’écarte les jambes pour te faciliter le passage, cela t’excite davantage. Tu remontes jusqu’à ma culotte. Elle est chaude, déjà toute mouillée. Mon rythme cardiaque accélère alors que tu frôles mon sexe à travers la dentelle. Mon esprit vagabonde, me voilà déjà dans la chambre en pensées.
« Alors, ce sera un cocktail du jour pour Madame ? » Le serveur s’impatiente, je redescends sur terre. « Oui, oui, ce sera parfait… » Je n’ai aucune idée de ce qu’il y a dans ce fameux cocktail, je n’ai rien écouté. Le garçon s’éloigne enfin. Tu continues tes caresses discrètement. Je plonge mon regard dans le tien, nous sommes maintenant liés, complices. Ma respiration se fait plus profonde, d’agréables sensations s’emparent de mon bassin. Tu aimes me voir ainsi, sous ton emprise. Le serveur revient et dépose nos verres sur la table. J’en profite pour obtenir ma revanche. Comme toi, je pose ma main sur ta cuisse, remonte sur ton aine, te caresse à travers ton pantalon. Tu me lances un petit regard amusé. Le serveur te présente le demi-litre de vin blanc que tu as commandé. Il débouche la bouteille, remplit le fond de ton verre pour t’y faire goûter. Ma main se promène tout près de ton sexe, tu vis des désirs contradictoires, l’envie de celle-ci atteignant enfin la bosse qui prend de l’ampleur sous ton pantalon et la crainte que notre interlocuteur découvre notre petit manège. Tu approches le verre de tes lèvres et avales une gorgée. Tu es sexy et beau. Pendant ce temps, ma main a pris possession de ton entre-jambe que j’agace à travers ton pantalon. Tu es déjà dur, gonflé de désir. Le serveur t’interroge du regard. « Le vin est délicieux. », finis-tu par déclarer. Le serveur remplit alors ton verre alors que je déboutonne d’une main ton pantalon et défait ta braguette. Je t’étonne, tu ne t’attendais pas à un tel geste de ma part. Sous mes airs de femme très sage, se cache en réalité une petite coquine. « Ça fera douze euros. », déclare le garçon. Tu sors ton portefeuille pour régler l’addition. Cette fois, ma main s’est faufilée dans ton pantalon, monte et descend sur ton sexe que je sens excité à travers le tissu de ton boxer. Tu paies le serveur, tes gestes sont moins certains que précédemment, mais tu gardes tout de même le contrôle de la situation. Enfin, nous nous retrouvons seuls à nouveau. Tes yeux brillent de désir, les miens aussi. Au diable nos boissons, nous quittons le bar.
Nous nous rendons aux deux ascenseurs du hall d’entrée. Les portes de l’un d’eux s’ouvrent devant nous. Tu me prends par la main et m’y entraînes. Nous sommes seuls alors que les portes se referment lentement. Soudain, un bras se glisse entre elles, les écartant de nouveau. « De justesse ! », dit l’homme qui nous rejoint, venant troubler notre tranquillité. L’ascenseur se met en marche, nous montons les étages un à un. Tu es dos à moi, tes mains posées sur mes hanches, et déposes de petits baisers discrets dans mon cou. J’incline légèrement la tête sur le côté pour les accueillir. Au cinquième étage, notre invité nous quitte enfin. Les portes se referment à nouveau. Tu me retournes aussitôt face à toi, m’embrasses fougueusement alors que tu me fais reculer de façon à me plaquer contre la paroi de l’ascenseur. Tes lèvres sont douces et chaudes, ta langue s’invite en moi, tournoyant sensuellement autour de la mienne. Tu prends mes mains dans les tiennes, les soulèves en les appuyant au mur au-dessus de ma tête, tes doigts se refermant entre chacun des miens. Tu embrasses et lèches mon cou, humes mon parfum. Ta respiration plus forte et saccadée si près de mon oreille m’excite terriblement. Septième étage, les portes s’ouvrent à nouveau, cette fois sur un couple qui nous prend en flagrant délit. Tu tournes la tête vers eux, un sourire moqueur aux lèvres, et appuies sur la touche pour faire fermer les portes, les laissant poiroter de l’autre côté en leur faisant au revoir de la main. « Ils n’ont qu’à attendre le prochain ! », déclares-tu en rigolant. Ta bouche se mêle de nouveau à la mienne, je profite de ce baiser langoureux. Tu es collé à moi, tu frottes ton sexe contre le mien, je peux le sentir à travers tes vêtements. Tes mains quittent les miennes, descendent le long de mes bras toujours en l’air, s’étalent maintenant sur ma poitrine. Je ne porte pas de soutien-gorge. Tu peux sentir mes tétons durcis à travers le tissu de ma robe. Tu voudrais les lécher, les sucer… Tu fais descendre les fines bretelles de ma robe, puis découvres mes seins qui s’offrent à toi. Ta bouche les explore, ta langue les titille, tes doigts pincent tendrement mes tétons. Je gémis, ma chatte est de plus en plus mouillée, envahie des plaisirs que le traitement que tu infliges à mes seins lui procure. Neuvième étage, dixième étage, puis onzième… Les portes s’ouvrent à nouveau. Nous voici arrivés. Tes yeux croisent les miens. Sans dire un mot, nos regards se sont compris. C’est maintenant, tout de suite, et ici que tu vas me prendre et je ne vais pas résister, car mon corps se meurt du tien et en ce moment, je t’appartiens.
Les portes commencent à se refermer. Tu retires mes chaussures, les mets en travers de celles-ci de façon à les empêcher de se refermer, immobilisant ainsi l’ascenseur. Le couloir est silencieux et vide. Tu remontes ma robe et déchires ma culotte. Je pousse un petit cri. Je défais à nouveau ta braguette, descends ton pantalon et ton boxer, de façon à libérer ton sexe durci. Tu soulèves mes fesses, me colles au mur, puis, enfonces ton sexe profondément en moi. Tu prends possession de moi toute entière, glisses dans mon vagin ruisselant du désir que je ressens pour toi. Je gémis de plus en plus fortement, tentant tout de même de rester discrète, car on pourrait nous surprendre. Je m’accroche à tes épaules, enfouis mon visage dans ton cou pour m’enivrer de ton odeur, mes jambes enlacent ta taille. Chaque coup de rein est accompagné d’un tambourinement sur la paroi de l’ascenseur. La situation est excitante. Ton sexe profite de ma chaleur, de mon humidité. La cadence des va-et-vient accélère, ton pubis butte sur mon clitoris de plus en plus rapidement. Le plaisir envahit mon vagin, je me contracte autour de toi. Tu râles de plaisir. Nous approchons de plus en plus de l’orgasme. Nous nous lâchons complètement, oublions presque les dormeurs qui pourraient s’éveiller et s’enquérir de ce qui se passe. Je suis alors secouée par une onde de plaisir qui naît dans mon bassin avant de se répandre dans tout mon être. Tu atteins le point de non-retour, puis es pris de soubresauts incontrôlables alors que tu jaillis en moi en étouffant un cri dans mes cheveux sombres et bouclés. Tu t’immobilises un petit temps, récupères en profitant de ta détente et de cet instant d’intimité. Puis, me soulevant toujours par les fesses, tu me portes jusqu’à ta chambre. La porte s’ouvre et se referme. Ce n’est que le début d’une longue nuit.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une aventure tres excitante a laquelle je pense dans mon ascenseur tout les jours!
Nicole
Nicole
Coucou ma jolie maîtresse
J'ai tellement envie de connaître ça avec toi
Ton beau p.....
J'ai tellement envie de connaître ça avec toi
Ton beau p.....
Et dire que nous pourrions...
Bravo et vivement la suite!
Bise coquine,
Tu sais qui
Bravo et vivement la suite!
Bise coquine,
Tu sais qui