Petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 6 : Trio magique avec mes vieux amis :

- Par l'auteur HDS Caro16 -
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Récit libertin : Petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 6 : Trio magique avec mes vieux amis : Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Petits secrets d’un couple ordinaire - Chapitre 6 : Trio magique avec mes vieux amis :
Suite à cet appel téléphonique de Bernard, où il m’avait fixé ce rendez-vous pour le lendemain, j’avais encore longtemps hésité, j’avais l’impression de toujours plus trahir Carole, elle tolérait mes rencontres avec un homme, mais devais-je lui révéler les nouveaux désirs de Bernard.
J’avais passé une mauvaise nuit plutôt agitée, au petit déjeuner avec mon épouse j’avais tenté sans succès de l’informer d’une possibilité d’un homme supplémentaire, d’un ami de Bernard, mais le matin, c’était compliqué, elle était pressée, elle partait travailler et puis elle s’occupait de notre fils, c’était maladroit de ma part.
Et donc en fin de matinée j’avais pris la direction de Cabourg, pour rejoindre Bernard et Pierre avec lequel j’allais faire connaissance. J’arrivais devant le Palace « Le Grand Hôtel » superbe établissement, je m’étais dirigé vers le bar comme prévu, j’avais aperçu de loin Bernard, très bel homme de cinquante ans, belle silhouette, élégant, raffiné, je m’étais approché, je ne pouvais résister à l’envie de l’embrasser, mais il était accompagné par un autre homme, Pierre.
Je calmais mes ardeurs rapidement, poliment je saluais Pierre, qui ne ressemblait à rien, il me semblait très vieux, il avait soixante ans en réalité.
Nous avions vingt-cinq années de différence, il me semblait pas très grand, en fait il mesurait 1.72m, il était donc plus petit que Carole, mais il devait peser une petite centaine de kilos, soit le double de Carole, son visage était très ingrat, des cheveux gris mi- longs soignés, un costume de bonne qualité mais mal porté et pour cause. J’étais furieux, comment Bernard osait me proposer une possible relation avec un mec comme cela. J’étais peu bavard.
Nous étions passés au déjeuner tous les trois, Pierre était plutôt sympathique et avait beaucoup d’humour, il était très fin et cultivé. Cela me détendait, Pierre s’en était aperçu, et faisait alors quelques allusions subtiles sur mes « talents » cachés.
Il se confiait un peu sur sa vie affective, sa « traversée du désert affectif », comme il disait. Il espérait vraiment pouvoir me faire plaisir et éventuellement prendre un peu de plaisir si je le souhaitais.
Il était très touchant, Bernard semblait satisfait de la tournure de la discussion et semblait rassuré.
Après un déjeuner gastronomique raffiné et excellent, c’était Bernard qui nous demandait si nous voulions poursuivre nos échanges et nous reposer dans notre suite.
L’après-midi ne sera pas de tout repos pour moi, même je n’étais pas venu pour cela, car il fallait être très motivé pour faire quatre heures de route aller-et-retour pour retrouver Bernard et son ami.
Nous nous étions dirigés vers notre suite, en compagnie du garçon d’étage, celui-ci nous présentait les équipements, mais je peux vous assurer que j’étais légèrement gêné, nous devions avoir la trentaine tous les deux.
Il me semblait qu’il me regardait singulièrement et devait deviner ce que j’allais faire avec mes accompagnateurs beaucoup plus âgés durant cet après-midi. Pierre avait réservé une suite magnifique avec grand salon et une superbe vue sur la mer, c’était très agréable d’avoir des moyens illimités.
J’étais moins à l’aise avec la présence de Pierre, mais je décidais de passer par la douche, j’avais bien retenu la leçon de la dernière fois, je dévissais avec peine la pomme de douche pour mon lavage intégral, j’enfonçais bien le tuyau et je faisais couler l’eau tempérée et lentement, jusqu’au retour de l’eau claire, voilà mon cul était très propre. C’était à ce moment que Pierre me rejoignait, entièrement nu, c’était loin d’être un grand sportif, je remarquais de suite la taille de son sexe, qui était loin d’être imposant, il n’était pas hyper bien monté.
Pierre semblait surpris par mon lavage intégral, mais déjà alors qu’il devait rester spectateur, il commençait par me caresser les fesses, cela m’excitait beaucoup.
Bernard arrivait pour se doucher également, nous aperçus et remarquait Pierre qui réagissait, enfin son sexe, c’était une grande douche, et Bernard m’ordonnait :
- Tu vas nous sucer sous la douche, petite pute, pour commencer.
- Maintenant ??
- Ben Oui, maintenant, je suis persuadé que tu mouilles déjà comme une salope.
- Ici dans la douche, Bernard ?
- Mets-toi à genoux, salope…
Je m’exécutais, je commençais par les branler, puis je les léchais, je sentais les deux sexes grossir, c’était très agréable comme vision, pour enfin les mettre dans ma bouche de façon alternative.
Je m’attardais un peu plus sur le sexe de Pierre, j'y allais de tout mon cœur, j’étais heureux, je m'amusais avec leurs glands, je m'amusais comme un fou avec leurs bites.
Bernard appréciait, Pierre gémissait, et moi je prenais mon pied. Je les pompais vraiment. Et puis Pierre, gémissait de plus en plus, je m’attardais sur son sexe, il me baisait la bouche, il était déchainé il poussait un râle animal, et m’éjaculait dans la bouche, j’aspirais au maximum son caviar, c’est ma première giclée de l’après-midi.
Pierre me relevait, m’embrassait goulument, me disait que j’étais une bonne pute, me remerciait de lui faire tant de bien et m’avouait que c’était une première pour lui avec un homme.
Alors bizarrement je trouvais le sperme de Pierre beaucoup plus agréable en bouche, plus sucré, moins amer et acre, que celui de Bernard, un vrai régal de sucer cet homme qui est plus vieux que mon père.
L’après-midi démarrait fort, nous étions encore dans la douche et j’avais déjà avalé leurs nectars.
Finalement, malgré mes réticences, j’étais plutôt à l’aise, avec mes deux hommes que j’allais satisfaire comme une salope.
Puis passage dans la chambre, Bernard devenait plus directif, il me demandait de passer une Guêpière en voile et tulle brodé, un string de même matière et des bas, et de m’allonger sur le lit.
Il me masquait les yeux avec un bandeau, Pierre et Bernard s’allongeaient de chaque côté, ils commençaient par me « bouffer »la bouche avec de bons jeux de langues, je n’ai pas d’autre mot.
J’avais très chaud, leurs caresses et leurs mains m’étaient très agréables, ils me demandaient de me tourner, ils trouvaient que j’avais de jolies fesses, un beau cul de salope, s’exclamait Pierre !!!
Puis ils m'embrassèrent partout, et de nouveau dans le cou, me suçaient les oreilles, me léchaient les tétons, me branlaient, je ne pouvais savoir qui faisait quoi, je me laissais faire, je m’offrais à eux comme une pute que j’étais.
Nous nous embrassions encore et encore, je sentais des doigts parcourir mon anus, ils prenaient sans cesse l'ascendant sur moi, se mettaient sur moi, pour me bloquer, j’avais des sexes en bouche, je reconnaissais facilement le gros sexe de Bernard, ils me caressaient, je bandais comme un malade.
Bernard entamait une douce fellation, Pierre me caressait le torse, posait ses mains sur mes fesses et commençait à s'approcher de mon anus doucement, des petites approches, puis commençait à me doigter, un doigt, deux doigts puis trois. Je commençais à gémir.
Puis, Bernard m’ordonnait de me mettre à quatre pattes, Pierre lubrifiait un peu, et commençait à se frayer un chemin dans le trou offert et bien élargi du fait des doigts qui n'arrêtaient pas de le pénétrer à fond.
Bernard me mettait son sexe en bouche, pas facile pour un novice d’être au four et au moulin, car j’étais tout à mon plaisir d’être défoncé par Pierre, qui avait peut-être un petit sexe de treize ou quatorze centimètres, mais le papy savait vraiment s’en servir, je prenais au moins autant de plaisir qu’avec le gros sexe de Bernard.
Je me reprenais concernant le sexe de Bernard que j’arrivais à bien pomper maintenant après un changement de position, j’appréciais d’être honoré de la sorte par mes deux hommes, je prenais un pied incroyable, je sentais le désir monter jusqu'à la phase finale, Pierre gémissait de plus en plus fort et me remplissait de foutre pour jouir dans une apothéose incroyable.
- Ma salope, il y a très longtemps que je n’ai pas joui deux fois de suite comme cela, t’es vraiment qu’une pute. Gueulait Pierre.
- Viens, il va te nettoyer la bite, la salope adore ça… Lui disait Bernard.
- Je peux ? Me demandait gentiment Pierre.
- J’adore, tu as aimé Pierre ?
Pendant ce temps Bernard m’empalait déjà, pendant que je nettoyais le sexe doux de mon sexagénaire. Ensuite Pierre semblait avoir besoin de récupérer, et Bernard se déchainait devant son ami, comme s’il avait besoin de lui prouver quelque chose, et pour cela, je prenais cher, très cher, enfin mon cul surtout.
- Regarde bien, Pierre, comment la salope aime ça !!!
- C’est vrai que tu es doué, petite pute, me lançait Pierre.
- Ah !!! Bon, je ne sais pas ?
Et Bernard commençait son festival de positions en s’obligeant à commenter et fanfaronner devant son ami Pierre.
Il m’ordonnait sèchement une espèce de levrette mais couchée. Pour la réaliser, Bernard devait avoir des bras forts pour pouvoir bouger pendant la pénétration, il me demandait de lever un peu mes hanches. Mais le plaisir était intense.
- Tu vois elle aime ça, la salope !!!
- Elle se laisse faire… Lui répondait Pierre.
Puis c’était la cuillère, Bernard, pendant qu'il me pénétrait, me masturbait, pendant ce temps Pierre récupérait et se masturbait de nouveau. Bernard me demandait de me positionner en levrette et ce fût vraiment un déchainement bestial de sa part, puis il calmait le jeu, il ne voulait pas encore jouir, mais j’avais déjà le cul remplit du sperme de Pierre.
- Maintenant, ma petite pute, tu vas avoir le droit à la « levrette du macho » !!!
- C’est quoi encore Bernard ? Moins fort, je t’en prie.
C’était similaire à la levrette, mais debout permettant une pénétration délicieuse qui faisait beaucoup monter la température pendant la relation. Mais Bernard se déchainait, me malmenait, me donnait des fessées, il était bestial, violent, il me faisait mal, très mal, mais je jouissais comme un malade, j’avais mal, mais je ne pouvais réagir, et puis je lui demandais d’arrêter car il me faisait vraiment trop souffrir, je ne pouvais plus supporter une telle souffrance.
- Tu entends, Pierre, la salope me demande d’arrêter !!!
- Oui, s’il te plait, Bernard. Tu es trop violent…
- Tu veux te faire démonter le cul ? Oui ou Non ?
- Bah !!! Oui… mais…
Pour seule réponse, je recevais une magistrale fessée.
- Je vais te faire gouter au bateau-ivre ma salope !!!
- C’est quoi encore ce truc Bernard ?
- Euh, là, si tu me dis que tu as mal… c’est normal, salope !!!
Puis, ce fût le bateau ivre, Bernard me retournait sur le dos sèchement, attrapait mes deux jambes, m’écartait les jambes le plus possible, m’écartait encore plus et m’empalait de nouveau, son sexe rentrait librement, vraiment comme dans du beurre, mon anus douloureux absorbait facilement son gros sexe.
Il invitait Pierre à nous rejoindre avant l’apothéose, et me demandait de le sucer.
- Tu vas voir salope, c’est une position idéale pour te pénétrer profondément !!
- Certainement…Bernard…Certainement !!!
Je n’avais réussi à lui bafouiller que cela car avec le sexe de Pierre en bouche, pas facile de communiquer, surtout que celui-ci s’était refait une santé en se branlant quand il nous observait.
Il me faut vous avouer que je prenais un énorme plaisir grâce à la stimulation complète de mon anus. Je peux vous recommander cette position. Mais, il faut la pratiquer avec une intensité moyenne, car Bernard était trop violent et me faisait vraiment très mal. Il ne se contrôlait pas, je criais, mais il ne s’arrêtait pas, plus je criais, plus il se déchainait, il finissait par exploser dans râle animal.
Je pensais pouvoir me reposer, mais Bernard demandait à Pierre de prendre sa place, et il m’ordonnait de lui lécher et nettoyer son sexe, une tige bien gluante et crémeuse dans la bouche, un mélange du nectar de mes partenaires au gout d’anus.
J’étais toujours dans la même position, sur le dos, les jambes bien écartées sur les épaules de Pierre qui me besognait gentiment, Pierre était doux, j’appréciais ses rapides coups de reins, je transpirais, haletant, j’étais bien enculé par Pierre qui cognait ma prostate, que du bonheur.
Pendant ce temps, Bernard me caressait, m’embrassait, me suçait les tétons, il s’était enfin calmé, me suçait les oreilles.
Je ne savais plus ce qu’ils me faisaient, je ne pouvais pas réagir, j’avais l’impression que mon cerveau était « décollé » semi-comateux, et puis Pierre accélérait le rythme, mais toujours avec douceur, il gémissait, mais d’après Bernard je poussais aussi des râles de plaisir.
- Regarde Pierre, tu fais jouir la salope !!!
- Ouais !!! Tout en gémissant également.
Pierre explosait en moi, je n’en pouvais plus, Bernard me demandait de nettoyer Pierre, je m’exécutais, mais pendant ce temps il jouait avec ma rondelle meurtrie pour lui faire un massage, puis il tentait de remettre un doigt.
- Non, Bernard, je t’en prie, laisse-moi me reposer !!!
- La salope veut se reposer, tu es venu pour te reposer Pierre ?
- Je t’en prie Bernard, j’ai besoin de souffler !!!
- Allons à la piscine !!! Proposait Pierre.
Après une douche collective, où j’avais encore été doigté et caressé, nous nous étions retrouvés tous les trois à la piscine, merveilleux endroit que ce palace nous offrait, c’est maintenant un cinq étoiles avec la nouvelle classification des hôtels.
Je mesurais la chance que m’offraient Pierre et Bernard de pouvoir fréquenter ce genre d’établissement, c’était évident, nous n’avions pas le même niveau social. Mais j’étais très à l’aise avec mes deux hommes. Je ne m’imaginais pas encore que je basculais vers une sorte d’emprise affective, et que Bernard était un « prédateur » occupant toutes mes pensées. Il y avait un effet de fascination pour moi. Il m’avait fallu beaucoup de temps pour m’en apercevoir.
Revenons donc, à la piscine. J’avais besoin d’un rafraichissement, et vite, un rafraichissement obligatoire pour moi, car les breuvages que j’avais avalés précédemment m’avaient donné soif, et si celui-ci pouvait me gommer le drôle de goût que j’avais dans ma bouche, ce serait parfait.
Car quand j’avalais le nectar de mes hommes, c’était très agréable sur le moment avec l’excitation, mais ensuite…
Après la piscine, nous remontions dans notre suite de luxe avec une superbe vue mer et un petit balcon. Pierre et Bernard semblaient avoir retrouvé la forme, Pierre, nous informait qu’il devait partir à 18h00, et m’embrassait, des baisers profonds avec de bons jeux de langues, pendant que Bernard était occupé à me « bouffer » le cul, un bon jeu de langue aussi, mes vieux copains étaient doués et me faisaient du bien.
- Il a tellement envie d’avoir le cul défoncé qu’il mouille comme une salope !
- Prépare le moi, je vais encore l’enculer avant de partir. Lui répondait Pierre.
Pierre était maintenant très à l’aise avec moi et devenait peu à peu directif. A la demande de Bernard, je me positionnais pour la « levrette du macho », mon cul absorbait rapidement encore le sexe de Pierre, qui s’étonnait lui-même de retrouver une seconde jeunesse avec une pute de 34 ans, j’aimais finalement être pris par lui, c’était agréable, doux et rythmé, l’ancien avait du métier et un sacré coup de reins, j’entendais bien claquer à chaque mouvement de cul, et j’aimais.
Malgré les mauvais traitements de l’après-midi, mon cul était toujours prêt à servir quoique un peu douloureux. Pierre, exultait, il jouissait une énième fois en m’envoyant encore dans l’espace…
J’avais beaucoup de mal à refaire surface, après cet épisode où j’avais beaucoup jouit.
Après une douche rapide, Pierre, nous quittait pour son rendez-vous, en me précisant qu’il avait passé un après-midi de rêve, qu’il souhaitait en passer encore beaucoup d’autres, qu’il ne remercierait jamais assez Bernard, de lui avoir parler de la petite pute qu’il avait rencontré. Et pourtant il n’avait jamais été excité à l’idée d’avoir une relation avec un homme. Qu’il ne se sentait absolument pas homosexuel ou même bisexuel. Pierre s'identifiait comme un hétérosexuel et n’avait pas "l’impression de tromper sa femme" tout en la trompant. En réalité, il trompait sa femme en trouvant un moyen de convaincre son cerveau qu'il ne la trompait pas. C’était une première pour lui avec un homme à l’âge de soixante ans et il était ravi.
- Tu es une véritable petite salope, j’adore prendre ton cul.
- Merci Pierre, plaisirs partagés, et merci pour ces charmants compliments.
- Voici le numéro de ma ligne direct, si tu as besoin, c’est quand tu veux, Roger !!!
- Merci à toi, Pierre.
- Je t’ai laissé une petite enveloppe, c’est une surprise pour ma petite salope.
En partant j’avais encore le droit à un baiser profond avec un bon jeu de langue, il jouait bien avec sa langue, ce vieux cochon, et avec ses mains qui pelotaient bien mes fesses.
Plus tard sur la route, en ouvrant l’enveloppe que Pierre avait laissé sur la petite console de l’entrée, j’avais constaté qu’elle contenait cinq mille francs, soit les trois quart d’un mois de salaire de l’époque, c’était une folie et j’étais plutôt gêné, j’étais vraiment une pute payée pour baiser.
Je trouvais finalement cela plutôt amusant, après tout je ne lui avais rien demandé, il souhaitait simplement me faire plaisir sans arrière-pensée. Il devait avoir des moyens illimités et puis je pensais lui avoir donné beaucoup de plaisir. J’étais à l’aise et pas du tout traumatisé, moi aussi j’avais pris mon pied.
Après le départ de Pierre, j’avais de nouveau fait plaisir à Bernard, j’avais besoin de pouvoir jouir tranquillement avec lui, après une bonne fellation, caresses en tous genres, échanges de longs baisers, nous nous câlinions paisiblement.
Bernard me demandait de m’allonger sur le dos. Il me mettait les jambes sur ses épaules pour que je sois bien écarté, le cul bien ouvert pour pouvoir m'enculer à loisir.
Il me regardait longuement dans les yeux tendrement, après un moment, Bernard était bien dans mon cul, je sentais sa grande queue me pénétrer, je poussais un :
- Aie, Ooooh, Bernard !!! Oui, c’est bon !
- Tu aimes ma salope ?
- J’adore Bernard, j’adore !!!
- Tu aimes ma queue ?
- Ooooh, Oui !!!
- Mais elle jouit la pute !!!
Bernard ne m’écoutait pas et continuait de me défoncer, après un nouvel orgasme, il ne se retirait pas et il me pissait dans le trou, sensations particulières, était-ce volontaire de sa part ??
Mais j’étais de nouveau dans l’espace, j’avais des difficultés à refaire surface, j’étais surtout fatigué.
Nous étions restés un long moment allongés sur le lit à nous reposer en nous caressant, Bernard me demandait les photos de Carole. Je lui sortais la pochette photos, fraichement développées par notre photographe habituel, qui avait dû encore se « rincer » les yeux. Bernard découvrait les photos pornographiques de Carole, restait silencieux un long moment, détaillait celle-ci avec attention.
- Ah Oui, quand même !!!
- Quoi, tu veux dire quoi ?
- Elle a un beau corps ta petite salope d’épouse !!!
- Oui, elle est merveilleuse !
- Elle t’a déjà trompée ?
- Non, enfin je ne pense pas. Nous avons pratiqué l’échangisme à deux reprises et fréquentés un club libertin.
- Donc, elle t’a trompée ?
- Non, nous étions ensemble, c’était une tromperie organisée, c’est moi qui lui avait demandé de découvrir cette pratique sexuelle. J’éprouvais le besoin de pimenter notre vie sexuelle.
- Tu aimerais qu’elle te trompe éventuellement ?
- Non.
- Et avec moi ?
- Non, enfin je ne sais pas.
- Tu n’es pas contre ?
- Je ne sais pas.
- Donc, tu pourrais accepter l’idée de la partager ?
- Je n’y ai jamais pensé, franchement !
- Mais, globalement, tu n’es pas contre.
- Cela ne dépend pas que de moi, Bernard !!!
Puis, il était très tard, je devais repartir très vite car j’avais encore deux heures de route pour rentrer chez moi, et j’étais surtout très fatigué, la relation avait été très active et intense et mes deux amis avaient bien profité de moi.
Nous convenions de suite du prochain rendez-vous, en accord avec Carole pour une première rencontre avec elle, le samedi 4 mai.
Sur la route du retour, je culpabilisais, comme d’habitude, j’allais encore rentrer tard, mon fils allait être couché. Carole devait avoir dîné, et devait m’attendre, à cette époque, nous n’avions pas de téléphone portable pour prévenir du retard.
Je n’étais jamais très à l’aise quand je retrouvais mon épouse. Même si elle tolérait ces rencontres avec Bernard, j’avais le sentiment de vraiment la trahir, car cette fois-ci j’avais rencontré deux hommes et cette rencontre avec Pierre et Bernard avait vraiment été géniale. Certes, je m’étais comporté comme une vulgaire pute, mais j’avais pris un plaisir indescriptible. Devais-je tout avouer à mon épouse où lui parler simplement de Bernard. Je dois vous avouer que j’avais une certaine inquiétude, comment allait-elle réagir.
Nous nous étions accordés avec Carole sur le fait de rencontrer ensemble Bernard le samedi quatre mai, deux semaines après, mais je n’avais pas pu lui avouer le matin même que j’allais retrouver Bernard en compagnie de Pierre ce même-jour. J’avais pris la décision de lui mentir partiellement, en lui racontant que Bernard m’avait fait la surprise en invitant Pierre.
En conduisant, j’étais vraiment troublé, et pourquoi Bernard m’avait posé cette question concernant Carole. Pourquoi voulait-il savoir si elle m’avait trompé ? Et si éventuellement j’aimerai qu’elle me trompe ? C’était troublant !!! Qu’est-ce que Bernard pouvait avoir encore en tête.
Finalement, au retour, j’avais décidé de tout raconter à mon épouse, en minimisant l’intensité de la relation et surtout en ne parlant pas de mes douleurs. Pour l’enveloppe, c’était une belle surprise, et cela l’avait beaucoup amusé. Son petit mari faisait désormais « la pute » pour lui offrir de belles vacances ! Elle avait même osé me déclarer en plaisantant que pour de telles sommes, elle était prête à coucher elle aussi avec des vieux. Elle avait ajouté : « Je plaisante chéri ». Finalement, mon épouse appréciait ma bonne humeur et trouvait que depuis que je rencontrais Bernard j’étais plus serein, plus calme et patient. Alors si Bernard était accompagné d’amis généreux cela ne la dérangeait pas.
- Plus on est de fous, plus on rit mon chéri ! Me déclarait-elle.
- Tu as raison, chérie !
- Tester l’expérience sexuelle à trois, ce n’est pas le choix de tout le monde, mon petit mari, mais c’est tentant même pour moi.
Finalement Carole, préparait le terrain progressivement, elle commençait par évoquer des fantasmes pendant nos ébats, et donc mes relations avec Pierre et Bernard l’encourageaient à en parler ouvertement et sans tabou pour savoir jusqu’où chacun était prêt à aller. Etais-je prêt à partager ma femme avec d’autres hommes maintenant, nous avions déjà eu quelques expériences échangistes et une soirée torride en club libertin, mais c’était avant la naissance de notre fils.
Clairement, Carole avait compris par mes allusions que je souhaitais la partager en ma présence, mais avant d’accepter et de se lancer, elle voulait bien comprendre ce qu’impliquait réellement cette pratique ? Pour cela nous discutions du sujet en détail ensemble pour nous assurer que cela convenait à tous les deux. Personnellement je le souhaitais vraiment, puis nous avions pris la décision ensemble de tester le candaulisme.
Le candaulisme allait-il renforcé notre couple ?
Oui, en cultivant la complicité, la confiance et en pimentant notre sexualité. La seule condition était de bien communiquer et de respecter les envies de chacun. Nous avons fêté l’année dernière nos noces d’Émeraude symbole de quarante années de vie commune. Quarante années au cours desquelles nous avons su résister à la routine et aux épreuves de la vie pour garder la flamme de notre amour intacte. Preuve que le libertinage peut faire bon ménage avec une vie de couple équilibrée.

Les avis des lecteurs

Je sens que le tour de Caro va arriver.

Merci chère lectrice inconnue pour votre commentaire, nous apprécions toujours ceux-ci qu'ils soient positifs ou négatifs, mais nous aurions apprécié la petite signature d'un prénom.
Pour vous répondre rapidement :
Nous sommes bien conscients maintenant que Bernard était un prédateur égoïste, cela n'empêche pas Carole de le rencontrer seule de temps en temps, trente-trois ans plus tard.
Concernant notre irresponsabilité, nous vous rejoignons totalement, nous étions jeunes et inconscients, nous avons eu beaucoup de chance de passer à côté de maladies graves. C'était de la pure folie et à 66 et 68 ans nous ne pouvons que recommander d'avoir des rapports protégés.
Sur mon rôle de père, j'estime avoir plutôt réussi, notre fils et notre fille ont fait de brillantes études, notre fils est marié et père d'une petite fille de trois ans que nous adorons. Notre fille est en couple avec une jeune femme adorable et elle devrait se marier en 2025. Nous sommes toujours une famille unies, appréciant et respectant les fêtes de famille, ces bons moments partagés, finalement nous sommes très classique, sauf que nous sommes libertins. C'est un choix de vie et nous sommes heureux ainsi.
Nos enfants sont équilibrés et responsables et nous leur avons donné la meilleure éducation possible, sans jamais leur mentir mais en étant le plus discret possible.
Comme quoi, pour reprendre votre expression, il est possible de "se faire casser le cul" et d'avoir une vie de famille des plus équilibrée après quarante et un an de mariage.
Bien Cordialement.
Carole et Roger.

Histoire Libertine
Comment équilibrer le truc sachant que Bernard est 1 prédateur ? 🤷‍♀️
C’est normal de niquer sans capotes, que les amants ne comprennent pas le mot NON ? 🤦‍♀️
Enfin c’est surprenant qu’un père de famille préfère niquer et se faire casser le cul en 2 plutôt que de passer sa soirée en famille.

Quand à faire la pute il n’y a que les bourgeois pour aimer ça !!! Descendez dans les baraquements ou sur le Prado à Marseille.
Vous verrez que les gamines ne font pas ça par choix mais par obligation.



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