Pétrodollars - 1 - Le réveillon - 1 - Une soirée chez Naphtin SA
Récit érotique écrit par Onirique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pétrodollars - 1 - Le réveillon - 1 - Une soirée chez Naphtin SA
A tout juste 30 ans, Nicolas Martin s’était vu propulsé quelques mois plus tôt à la tête de l’entreprise familiale, suite au décès accidentel de ses parents, victimes d’un accident de la route aussi brutal qu’inexpliqué.
Son père avait bien sûr préparé de longue date la transmission de sa société Naphtin SA, fleuron français de la pétrochimie, à son fils unique, et s’était assuré qu’il soit apte, le moment venu, à prendre sa suite – même si le moment était venu bien plus tôt qu’il ne l’avait anticipé : de brillantes études dans un lycée privé de grande renommée puis dans la meilleure école de commerce française, complétées par un MBA aux Etats-Unis.
C’est lors de ce séjour outre-Atlantique que le jeune homme avait rencontré Caroline, de trois ans sa cadette, issue de la petite bourgeoisie provinciale, aînée d’une fratrie nombreuse, aussi brillante qu’ambitieuse. Elle suivait pour sa part des études de droit, et s’était très vite rapprochée du jeune homme, tant et si bien qu’à leur retour en France, ils s’étaient fiancés avant de se marier l’année suivante.
Deux ans après, l’absence d’enfant et le décès des parents de Nicolas avaient quelque peu assombri leur mariage, d’autant que la santé financière de l’entreprise Naphtin SA inquiétait le jeune homme et qu’il devait y consacrer tout son temps et toute son énergie : qu’il est ardu de tenir la barre d’une telle société, dans un tel secteur, si jeune !
Suite au décès de ses beaux-parents, Caroline avait mis ses compétences de juriste au service de l’entreprise familiale et secondait de son mieux son époux, assumant la fonction de directrice juridique et, plus largement, de bras droit du jeune PDG. Un temps grisée par ces nouvelles responsabilités, par les sommes brassées et par sa proximité avec les cercles de pouvoir, elle s’inquiétait de plus en plus de la situation de l’entreprise, consciente de ses difficultés à sécuriser ses approvisionnements en pétrole et en gaz, dans un contexte géopolitique troublé.
C’est d’ailleurs dans l’espoir de fidéliser ses fournisseurs et d’en attirer de nouveaux que Nicolas avait organisé cette réception pour le Nouvel An au siège de Naphtin SA. Outre l’ensemble des cadres de l’entreprise, à qui l’on avait fait comprendre que la présence à cette soirée de réveillon n’était pas optionnelle, des représentants de dizaines d’entreprises du monde entier avaient été conviés, si bien que Nicolas attendait une bonne centaine d’invités.
Pour mettre toutes les chances de son côté, il n’avait pas lésiné sur les frais : décoration, lumières, orchestre, traiteur, champagne… rien n’avait été laissé au hasard, tout devait être partait ! Le jeune chef d’entreprise misait en particulier sur la venue de William Smith, fantasque et tout-puissant dirigeant de la Smith Oil Corporation. Agé de 48 ans, l’homme d’affaires britannique avait fait fortune en investissant dans plusieurs champs gaziers et pétroliers en Mer du Nord. Nicolas espérait que cette invitation permettrait de faire avancer le renouvellement du contrat d’approvisionnement qu’il essayait depuis des mois de négocier avec son puissant fournisseur.
Le jeune homme s’était mis sur son 31 pour l’occasion. Son smoking impeccable affinait une silhouette quelque peu enrobée, et ses mocassins cirés et lustrés rehaussaient de quelques centimètres bienvenus son mètre soixante-treize qui le complexait depuis son adolescence. Un nœud papillon brun, assorti à sa chevelure courte et soignée et contrastant avec la blancheur immaculée de sa chemise, complétait la tenue du jeune chef d’entreprise.
Pour ne rien laisser au hasard, Nicolas avait insisté auprès de son épouse pour qu’elle apporte elle aussi un soin tout particulier à sa toilette. Caroline avait choisi de porter pour l’occasion une robe fourreau rouge, moulant sa silhouette gracile, sa taille fine, ses hanches bien dessinées et sa poitrine plutôt généreuse. Pour mettre en valeur ses épaules dégagées, la jeune femme avait rassemblé ses longs cheveux blonds en un chignon majestueux. Son cou était magnifié par un ras-de-cou en perles, perles qui ornaient également ses oreilles et qui – l’espérait-elle ? – détourneraient les regards de son décolleté. Aux pieds, une paire d’escarpins bas : presque aussi grande que son mari avec son mètre soixante-neuf, elle ne pouvait pas se permettre de porter des talons hauts – à son grand regret !
Dès 20h, les invités commencèrent à arriver par petits groupes, et emplirent rapidement le hall du siège de Naphtin SA, où étaient dressées les tables du buffet. Nicolas et Caroline les accueillaient, échangeaient quelques mots avec chacun, et les invitaient à se servir et à profiter de la soirée. Nicolas semblait nerveux, scrutant l’entrée du bâtiment avec anxiété :
« Qu’est-ce que tu as mon cœur, tu sembles inquiet ?
- Je ne vois toujours pas Mr Smith, il m’avait pourtant confirmé sa venue… J’espère qu’il ne va pas nous poser un lapin !
- Tu espères vraiment réussir à conclure cet accord ce soir ?
- Conclure, pas forcément, mais au moins faire avancer les discussions ! Tu sais qu’il nous faut absolument sécuriser ces approvisionnements d’ici mars, sinon nous courrons droit à la rupture de stock ! »
Caroline passa la main dans le dos de son époux, comme pour le réconforter. Elle partageait son inquiétude et tentait tant bien que mal de le rassurer. Cherchant à croiser son regard pour le soutenir d’un sourire, elle vit soudain son visage s’illuminer : Mr William Smith faisait son entrée. Une entrée remarquée comme à son habitude, par sa gouaille d’une part, et par sa carrure d’autre part : du haut de son mètre quatre-vingt-six, les épaules larges, la voix forte et grave, le businessman britannique ne passait jamais inaperçu, et le costume Prince de Galles rouge et vert qu’il portait pour l’occasion attirait tous les regards.
Il n’était pas venu seul et donnait le bras à une jeune femme de vingt-quatre ans, que Nicolas n’avait jamais vue auparavant et qui l’éblouit dès le premier regard. Petite et menue, le teint diaphane, des yeux verts magnifiques, de longs cheveux roux tombant en tresse jusqu’au bas du dos… Le jeune PDG fut d’emblée subjugué par une telle beauté, et dut mettre en œuvre des trésors de concentration pour masquer son trouble et porter son regard sur son prestigieux invité :
« Bonsoir Will, bienvenue à vous dans nos locaux, je suis ravi que vous ayez pu vous libérer ! » Puis se tournant vers Caroline : « Je crois que vous avez déjà rencontré mon épouse, qui est aussi notre directrice juridique ? »
Le businessman salua Nicolas d’un geste amical, puis se tournant vers son épouse, il lui prit la main qu’il porta à ses lèvres en s’inclinant, en véritable gentleman :
« Bien entendu, comment aurais-je pu oublier une si charmante personne ? »
Tressaillant au contact des lèvres du Britannique sur le dos de sa main, Caroline sentit la chaleur lui monter aux joues. Elle avait toujours été impressionnée par cet homme si charismatique, par son aura, par sa prestance. Pour donner le change, elle se tourna vers la jeune femme qui accompagnait leur invité :
« Merci Mr Smith, vous me flattez ! Vous n’êtes vous-même pas venu seul je vois ?
- Appelez-moi Will voyons, pas de formalités entre nous ! » Puis s’effaçant : « Permettez-moi de vous présenter ma nièce Jennifer ! Elle vient de terminer ses études et je l’ai prise à mes côtés en tant que juriste. Jenny, je te présente nos hôtes Nicolas et Caroline. »
La jeune femme les salua timidement. Elle semblait encore très peu habituée à ces réceptions, et paraissait intimidée par le cadre et la foule des invités. Très professionnelle, elle avait opté pour un tailleur classique noir, jupe crayon, chemisier en soie et veste, ses hauts escarpins rouges représentant la seule touche de folie dans sa tenue, et rappelant la flamboyance de sa longue chevelure tressée.
Mr Smith se tourna vers Caroline, avec un clin d’œil appuyé :
« Vous aurez sans doute à travailler avec elle si nous faisons affaires ensemble ! »
Nicolas ne put s’empêcher d’être ravi en entendant ces mots…
Son père avait bien sûr préparé de longue date la transmission de sa société Naphtin SA, fleuron français de la pétrochimie, à son fils unique, et s’était assuré qu’il soit apte, le moment venu, à prendre sa suite – même si le moment était venu bien plus tôt qu’il ne l’avait anticipé : de brillantes études dans un lycée privé de grande renommée puis dans la meilleure école de commerce française, complétées par un MBA aux Etats-Unis.
C’est lors de ce séjour outre-Atlantique que le jeune homme avait rencontré Caroline, de trois ans sa cadette, issue de la petite bourgeoisie provinciale, aînée d’une fratrie nombreuse, aussi brillante qu’ambitieuse. Elle suivait pour sa part des études de droit, et s’était très vite rapprochée du jeune homme, tant et si bien qu’à leur retour en France, ils s’étaient fiancés avant de se marier l’année suivante.
Deux ans après, l’absence d’enfant et le décès des parents de Nicolas avaient quelque peu assombri leur mariage, d’autant que la santé financière de l’entreprise Naphtin SA inquiétait le jeune homme et qu’il devait y consacrer tout son temps et toute son énergie : qu’il est ardu de tenir la barre d’une telle société, dans un tel secteur, si jeune !
Suite au décès de ses beaux-parents, Caroline avait mis ses compétences de juriste au service de l’entreprise familiale et secondait de son mieux son époux, assumant la fonction de directrice juridique et, plus largement, de bras droit du jeune PDG. Un temps grisée par ces nouvelles responsabilités, par les sommes brassées et par sa proximité avec les cercles de pouvoir, elle s’inquiétait de plus en plus de la situation de l’entreprise, consciente de ses difficultés à sécuriser ses approvisionnements en pétrole et en gaz, dans un contexte géopolitique troublé.
C’est d’ailleurs dans l’espoir de fidéliser ses fournisseurs et d’en attirer de nouveaux que Nicolas avait organisé cette réception pour le Nouvel An au siège de Naphtin SA. Outre l’ensemble des cadres de l’entreprise, à qui l’on avait fait comprendre que la présence à cette soirée de réveillon n’était pas optionnelle, des représentants de dizaines d’entreprises du monde entier avaient été conviés, si bien que Nicolas attendait une bonne centaine d’invités.
Pour mettre toutes les chances de son côté, il n’avait pas lésiné sur les frais : décoration, lumières, orchestre, traiteur, champagne… rien n’avait été laissé au hasard, tout devait être partait ! Le jeune chef d’entreprise misait en particulier sur la venue de William Smith, fantasque et tout-puissant dirigeant de la Smith Oil Corporation. Agé de 48 ans, l’homme d’affaires britannique avait fait fortune en investissant dans plusieurs champs gaziers et pétroliers en Mer du Nord. Nicolas espérait que cette invitation permettrait de faire avancer le renouvellement du contrat d’approvisionnement qu’il essayait depuis des mois de négocier avec son puissant fournisseur.
Le jeune homme s’était mis sur son 31 pour l’occasion. Son smoking impeccable affinait une silhouette quelque peu enrobée, et ses mocassins cirés et lustrés rehaussaient de quelques centimètres bienvenus son mètre soixante-treize qui le complexait depuis son adolescence. Un nœud papillon brun, assorti à sa chevelure courte et soignée et contrastant avec la blancheur immaculée de sa chemise, complétait la tenue du jeune chef d’entreprise.
Pour ne rien laisser au hasard, Nicolas avait insisté auprès de son épouse pour qu’elle apporte elle aussi un soin tout particulier à sa toilette. Caroline avait choisi de porter pour l’occasion une robe fourreau rouge, moulant sa silhouette gracile, sa taille fine, ses hanches bien dessinées et sa poitrine plutôt généreuse. Pour mettre en valeur ses épaules dégagées, la jeune femme avait rassemblé ses longs cheveux blonds en un chignon majestueux. Son cou était magnifié par un ras-de-cou en perles, perles qui ornaient également ses oreilles et qui – l’espérait-elle ? – détourneraient les regards de son décolleté. Aux pieds, une paire d’escarpins bas : presque aussi grande que son mari avec son mètre soixante-neuf, elle ne pouvait pas se permettre de porter des talons hauts – à son grand regret !
Dès 20h, les invités commencèrent à arriver par petits groupes, et emplirent rapidement le hall du siège de Naphtin SA, où étaient dressées les tables du buffet. Nicolas et Caroline les accueillaient, échangeaient quelques mots avec chacun, et les invitaient à se servir et à profiter de la soirée. Nicolas semblait nerveux, scrutant l’entrée du bâtiment avec anxiété :
« Qu’est-ce que tu as mon cœur, tu sembles inquiet ?
- Je ne vois toujours pas Mr Smith, il m’avait pourtant confirmé sa venue… J’espère qu’il ne va pas nous poser un lapin !
- Tu espères vraiment réussir à conclure cet accord ce soir ?
- Conclure, pas forcément, mais au moins faire avancer les discussions ! Tu sais qu’il nous faut absolument sécuriser ces approvisionnements d’ici mars, sinon nous courrons droit à la rupture de stock ! »
Caroline passa la main dans le dos de son époux, comme pour le réconforter. Elle partageait son inquiétude et tentait tant bien que mal de le rassurer. Cherchant à croiser son regard pour le soutenir d’un sourire, elle vit soudain son visage s’illuminer : Mr William Smith faisait son entrée. Une entrée remarquée comme à son habitude, par sa gouaille d’une part, et par sa carrure d’autre part : du haut de son mètre quatre-vingt-six, les épaules larges, la voix forte et grave, le businessman britannique ne passait jamais inaperçu, et le costume Prince de Galles rouge et vert qu’il portait pour l’occasion attirait tous les regards.
Il n’était pas venu seul et donnait le bras à une jeune femme de vingt-quatre ans, que Nicolas n’avait jamais vue auparavant et qui l’éblouit dès le premier regard. Petite et menue, le teint diaphane, des yeux verts magnifiques, de longs cheveux roux tombant en tresse jusqu’au bas du dos… Le jeune PDG fut d’emblée subjugué par une telle beauté, et dut mettre en œuvre des trésors de concentration pour masquer son trouble et porter son regard sur son prestigieux invité :
« Bonsoir Will, bienvenue à vous dans nos locaux, je suis ravi que vous ayez pu vous libérer ! » Puis se tournant vers Caroline : « Je crois que vous avez déjà rencontré mon épouse, qui est aussi notre directrice juridique ? »
Le businessman salua Nicolas d’un geste amical, puis se tournant vers son épouse, il lui prit la main qu’il porta à ses lèvres en s’inclinant, en véritable gentleman :
« Bien entendu, comment aurais-je pu oublier une si charmante personne ? »
Tressaillant au contact des lèvres du Britannique sur le dos de sa main, Caroline sentit la chaleur lui monter aux joues. Elle avait toujours été impressionnée par cet homme si charismatique, par son aura, par sa prestance. Pour donner le change, elle se tourna vers la jeune femme qui accompagnait leur invité :
« Merci Mr Smith, vous me flattez ! Vous n’êtes vous-même pas venu seul je vois ?
- Appelez-moi Will voyons, pas de formalités entre nous ! » Puis s’effaçant : « Permettez-moi de vous présenter ma nièce Jennifer ! Elle vient de terminer ses études et je l’ai prise à mes côtés en tant que juriste. Jenny, je te présente nos hôtes Nicolas et Caroline. »
La jeune femme les salua timidement. Elle semblait encore très peu habituée à ces réceptions, et paraissait intimidée par le cadre et la foule des invités. Très professionnelle, elle avait opté pour un tailleur classique noir, jupe crayon, chemisier en soie et veste, ses hauts escarpins rouges représentant la seule touche de folie dans sa tenue, et rappelant la flamboyance de sa longue chevelure tressée.
Mr Smith se tourna vers Caroline, avec un clin d’œil appuyé :
« Vous aurez sans doute à travailler avec elle si nous faisons affaires ensemble ! »
Nicolas ne put s’empêcher d’être ravi en entendant ces mots…
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Un début intéressant!