PHILIPPE EP 14 : LES PREMIERES HEURES SUR L'ILE
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 14 : LES PREMIERES HEURES SUR L'ILE
PHILIPPEEP 14 : LES PREMIERES HEURES SUR L'ILE
Je vous ai déjà dit que mon Grand Père sait mettre les gens à l'aise quand il veut, et bien mes camarades en ont fait l'expérience. Le petit déjeuner se terminait avec des étoiles dans leurs yeux, il leur racontait tout ce qu'on allait faire pendant les vacances.
G P : Bon les jeunes, vous allez vous changer tout de suite, vous voyagez léger, on s'occupera de vos affaire, vous pouvez laisser vos bagages ici.
Théo : Oui mais Msieu, je ne sais pas mais moi j'ai rien, pas de maillot de bain, pas de short …
Victor ne disait rien mais il haussait les épaules et faisait non de la tête, c'était pareil pour lui.
G P : Bien on va s'occuper de vous, allez en route …
On suivait mon Grand Père à sa voiture, Victor suivait il était toujours aussi impressionné que la veille, et même plus peut être encore. La voiture était encore plus impressionnante que la Bentley de mon père …
On arrivait au magasin, Victor était embarrassé, c'était un magasin de luxe ; c'était très au dessus des ses moyens. Mon grand père prenait l'initiative nous demandait notre avis et rapidement on se retrouvait avec deux bermudas, des sandales, des polos … Enfin tout le nécessaire de vacances. Le reste de l'équipement, pour la plongée par exemple, était déjà sur place. On est équipé et on est organisé dans la famille.
On revenait chez mon père en laissant la marchandise au magasin. Là Victor ne comprenait plus rien, Théo ne se posait pas de questions. Arrivé à la maison le majordome de mon père demandait à Victor de bien vouloir le laisser prendre ses mensurations … Théo ne comprenait plus et Victor ne posait pas de questions …
C'est donc seulement avec l'indispensable, jeans basket, que nous montions sur le toit de la maison … Le voyage commençait là, un hélicoptère nous attendait.
Moi : Magic Island est au milieu de l'océan, on ne va pas y aller comme ça ?
G P : C'est pour aller à la gare, le voyage se fera en train.
Deux heures plus tard nous étions à la gare, nous avions un compartiment qui nous attendait, quelques sacs contenant les achats que nous avions fait nous attendaient aussi. Théo n'était pas vraiment surpris mais Victor lui, avait renoncé à comprendre depuis déjà un bon moment.
A l'heure prévue le train partait, nous étions montés à la dernière station avant l'océan, ce qui nous faisait un peu moins de trois mille kilomètres, ou encore, pas loin de quatre heures … Ce train est vraiment rapide, nous arrivions donc une heure après notre départ ( heure locale! ) on avait tout de même traversé plus de deux fuseaux horaires … Eh, éh, éh … Un décalage horaire en train, on n'arrête pas le progrès !
Pendant ce voyage nous étions en première classe et on avait bien sûr dîné dans le train, mais l'air de la mer et les voyages nous avaient mis en appétit et à peine arrivé nous descendions dans le premier restaurant qu'on rencontrait. Mon grand père préférait nous laisser. On se gavait de crêpes arrosées de cidre et on terminait par une glace. Mais ce qui surprenait le plus Victor c'est que quand on quittait le restaurant, personne ne nous courrait après ; pourtant on n'avait rien payé, d'ailleurs personne ne nous avait présenté de note …
Victor : Alors c'est comme ça, ici on ne paye pas ?
Moi : NOUS … Ne payons pas …Théo : J'ai trop mangé moi, j'ai plus faim …Victor : Oui mais là je ne comprends pas moi !
Moi : Je t'explique, si tu as besoin de quelque chose, tu te sers, ce sera porté sur notre compte, tu es notre invité et dans la famille on n'a pas l'habitude de présenter une facture à nos invités.
Victor : Oui mais si je veux acheter un souvenir par exemple …
Je devinais que Victor serait gêné s'il sentait qu'on lui offrait tout …
Moi : Et bien dans ce cas là tu expliqueras que c'est pour toi et qu'il faut le mettre sur ton compte personnel … On a des prix ici, la facture suivra avec une très grosse ristourne …Victor : Ok …
Il restait perplexe Victor !
On se rendait à la maison en passant par la plage, c'était un endroit magnifique, une étendue de sable fin, une forêt des palmiers entre lesquels on pouvait apercevoir des cabanes, des terrasses, des parasols, dans la baie une armada de bateaux de grand luxes. A peine visibles au dessus des arbres on apercevait le sommet des immeubles résidentiels qui formaient comme un petit Manhattan sur le côté nord de l'île en son centre. Il y avait beaucoup de monde sur la plage, certains faisaient du sport ou des châteaux de sable. D'autres profitaient du soleil en ne faisant rien. D'autres encore nageaient ou faisaient du ski nautique. La plage formait une baie de plus de cinq kilomètres de large, tout au bout, elle se terminait par un rocher qui s'élevait comme une falaise à plus de cent mètres au dessus de la mer et recouvert d'une forêt.
Victor : C'est sur ce rocher qu'on peut faire de la varappe ?
Moi : Non si tu regardes bien tu verras une petite maison qui apparaît entre les arbres …Victor : Ah oui ! Ne me dis pas que c'est la maison …Moi : C'est pas la maison !
Victor : Tu me rassures !
Théo : On est encore loin, en fait la maison est énorme !
Moi : Oui, il faut reconnaître qu'il y a de la place …Victor : Mais c'est pas là que …Moi : C'est pas la maison !
Théo : Il y a une piscine ?
Moi : Bien sûr, plusieurs même, on a tout de même le stricte minimum pour survivre !
Victor : Mais c'est pas la maison ?
Théo : Si c'est la maison !
Je faisais oui de la tête !
Victor : Mais pourquoi tu me dis que c'est pas la maison !
Moi : Mais c'est toi qui m'a dit … Ne me dis pas que … Alors je ne te dis pas !
Au pied de la falaise, il y avait un portail, il n'était pas verrouillé, on entrait, suivait un escalier creusé dans le rocher, plus on montait plus le paysage était beau, au sommet de la falaise on pouvait voir la voix ferrée posée sur l'eau. C'était étrange on voyait une sorte de pont qui disparaissait à l'horizon. Tout en haut on arrivait sur la terrasse de la maison, mon grand père y était déjà …
G P : La falaise fait presque cent mètre de haut … Pourquoi vous n'avez pas pris l'ascenseur les jeunes ?
Mes camarades se retournaient vers moi !
Victor : Et il y a un ascenseur ?
Moi : Oui mais on ne voit pas le paysage dans l'ascenseur …
Théo me donnait une tape sur le dos de la tête. On s'installait sur la terrasse, un employé en livrée nous apportait des rafraîchissements.
Mon Grand Père : Je vous ai installé dans l'aile du petit bassin ! Ah un petit détail aussi Philippe, ici le personnel travaille pour moi !
Moi : Cool !
Mon grand père nous laissait et nous on se rendait dans l'aile du petit bassin. Dans cette grande maison c'était une aile ou une dizaine de chambres étaient regroupées en demi cercle autour d'une petite piscine de vingt cinq mètres ( petit détail, la piscine principale est aux normes Olympiques ), une petite ( enfin quand je dis petite … ) terrasse offrait une vue sur la mer et un coucher de soleil tous les jours … Ouai tous les jours, on en a de la chance !
Sans plus attendre je me mettais en tenue, Théo en faisait de même. Je veux dire par là que je me mettais à poil. On s'installait sur un transat, Victor nous regardait, il hésitait … Puis faisait comme nous. Rapidement nous étions tous les trois à poil enfin presque, pour l'un d'entre nous c'était bien presque !
Rapidement je bandais et je me caressais la queue, Théo faisait pareil. Je voyais le dispositif de chasteté de Victor se relever, il y avait de la pression, il réajustait plusieurs fois son dispositif en tirant sur la peau. Il paraît que ça ne fait pas mal ce truc mais c'est pas pour autant que c'est toujours confortable.
Je devinais que pour Victor ce n'était pas confortable, je le regardais avec un petit sourire malicieux. Théo se masturbait doucement, complètement allongé, les jambes légèrement écartées et les yeux fermés. Je faisais comme lui. Victor nous regardait, l'un puis l'autre, son regard passait de ma queue qu'il regardait avec avidité à celle de Théo qu'il regardait avec envie également. Il faisait un mouvement pour se lever.
J'étais plus rapide que lui. Je me levais et lui faisais signe de ne pas bouger, il se laissait retomber et se tripotait son dispositif, il se massait les couilles, il était en manque.
Moi : On joue au bout en train ?
Je me dirigeais vers Théo, qui n'avait pas ouvert les yeux mais faisait un grand sourire …
Théo : Et c'est lequel qui va être frustré ?
Je me penchais sur lui, prenais doucement sa queue entre mes doigts, il retirait sa main. Je lui caressais sa queue avec douceur, il ouvrait un œil. Je passais doucement ma langue que son gland, il gémissait pour m'encourager.
Théo : Alors ce sera qui le bout en train ? Celui qui n'aura pas droit à la bite aujourd'hui …
Victor nous regardait avec envie, sa langue passait sur ses lèvres avec insistance. Il ne se tripotait plus son dispositif mais celui ci se relevait avec des mouvements rapides. Sa queue se contractait à chaque battement de son cœur, et à chaque battement de son cœur se soulevait par à-coup. Victor ne bougeait plus.
J'avalais alors ce gland que je suçais généreusement avec ma langue, je la faisait passer avec douceur tout autour de son gland qui s'enfonçait un peu plus à chaque tour. Le farceur appuyait sur ma tête. Je le laissais faire je ne résistais pas.
Au bout de quelques minutes sa queue s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge, je relevais la tête pour pouvoir respirer, il me laissait faire un instant puis appuyait sur ma tête en relevant son bassin, sa queue s'enfonçait alors jusqu'à ma gorge. Par moment il appuyait un peu plus fort, un peu plus longtemps et mon nez s'appuyait alors sur son ventre. Je ne pouvais plus respirer, je me retenais un moment mais j'étais finalement obligé de relever la tête. Le mouvement reprenait.
Je finissais par dégager ma tête …
Moi : A moi maintenant !
Il riait de ma réplique, je m'allongeais sur mon transat, on inversait la position. C'est Théo qui maintenant me suçait la queue. Tout comme moi, il passait longuement sa langue sur mon gland, il insistait particulièrement sur la petite fente qu'il y a tout au bout un peu comme s'il voulait y entrer la langue. Ça fait tout bizarre, c'est une zone sensible, et je me contractais à ce moment, je tremblais un peu aussi.
Ensuite il prenait mon gland dans sa bouche, je sentais toujours sa langue qui me caressait le gland, c'était divin. Il ne m'avait jamais montré autant de tallent dans la fellation le petit Théo. Je me disais que j'avais bien fait de l'inviter. A ce moment, un peu comme si je convulsais, j'appuyais sur sa tête avec force, il était surpris et n'avait pas le temps de réagir. Ma queue s'enfonçait dans sa bouche jusqu'à la garde et son nez s'écrasait sur mon ventre. Il émettait un bruit bizarre qui m'amusait beaucoup. Je maintenais ainsi fermement sa tête jusqu'à ce qu'il force pour se dégager. Je le lâchais, il relevais la tête et me regardais dans les yeux en reprenant son souffle !
Moi : Tu veux pas que je t'encule … Tu serais mignon !
Théo : Pauv con !
Ça y est il recommence ! Ce qui ne l'empêchait pas de replonger quelques instants plus tard, il avalait alors directement ma queue bien à fond, relevait la tête puis replongeait à un rythme rapide. Des deux mains je le suivais, je ne le forçais pas, il n'en avait pas besoin.
Je regardais dans la direction de Victor. Il était tétanisé, il respirait fort, il s'était tourné vers nous les jambes bien écartées, il ne bougeait plus, il nous fixais du regard, seul son dispositif se soulevait par saccades,on devinait que son cœur battait fort.
Théo relevait la tête d'un air bien décidé.
Théo : C'est moi qui t'encule ! Retourne toi !
Moi : Non !
Théo : Comment ça non ?
Moi : Je me retourne pas !
Théo : Ok , tu l'auras voulu.
Je ne vous ai pas dit tout à l'heure qu'on est organisé … J'avais un tube de gel à porté de main … Il faut toujours être prêt à toutes éventualité.
Je le lui donnais. Sans ménagement il me soulevait les jambes, plaçait mes chevilles au niveau des ses épaules, s'appuyait contre mes jambes les repliant contre on thorax. J'avais pas prévu qu'il serait aussi rapide et je voulais en fait me retourner mais c'était plus la peine, je laissais faire.
Un regard vers Victor, il avait l'air de suffoquer le pauvre, il ne bougeait toujours pas.
Théo avait pris position, le bout de sa queue appuyait déjà sur mon petit trou de balle. J'avais du mal à respirer mais Théo ne s'en préoccupait pas, remarquez j'aurais fait pareil, il m'avait bien lubrifié le cul, il s'était bien lubrifié la queue, il appuyait.
Il appuyait doucement au début, en un seul mouvement il enfonçait sa queue de plus en plus profond. Je sentais mon cul se dilater, et je sentais une douleur très forte. Je gueulais, il poussait plus fort et plus vite. Je hurlais de douleur, il poussait alors de toutes forces bien à fond, je voulais me dégager mais je n'avais aucune prise, c'est lui qui me tenait et il ne voulait pas me lâcher .
Moi : Arrête, tu fais mal !
Théo : Non, j'y suis, j'y reste !
Moi : Arrête, tu fais vraiment mal !
Théo : Pauv con ! Je me venge !
Je gueulais, je gigotais, je tentais de me dégager mais il me retenait. J'étais bloqué. Il se retirait un peu et revenait en force, avec violence il appuyait de toutes ses forces. Son bassin était collé contre mes fesses et il appuyait. Je tremblais. C'était vraiment douloureux mais pas que. J'éjaculais et de ce côté j'éprouvais un immense plaisir. Mon cul se contractait alors, c'était encore plus douloureux.
Je me débattais, je gueulais, je gémissais, je chialais. Théo ne lâchait rien il se retirait toujours un peu pour revenir avec violence. Je sentais mon cul se contracter, il me faisait mal.
Je sentais sa respiration s'accélérer, je le sentais trembler, il gémissait et lui c'était pas de douleur. Suivaient encore deux ou trois coups de butoir et je le sentais frémir, il jouissait dans mon cul. Encore deux ou trois coups de rein et il se retirait. Au moment ou il ressortait de mon cul un long filet de sperme en coulait, et un autre filet de sperme coulait de ma queue. J'avais débandé depuis un moment là … La douleur ne persistait pas.
Théo se penchait vers moi et me donnait un baiser avec beaucoup de douceur et de tendresse.
Victor était retourné le pauvre. C'était réussi, si le but était de le frustrer c'était réussi. Il était en manque, son souffle était fort et son dispositif se relevait toujours par à-coup. Il avait la main sur le cœur et le regard fixe !
Théo se relevait, il avait l'air content de lui. On décidait de passer sous la douche, Victor également mais lui c'était pour une douche froide, il en avait besoin. J'avais mal au cul !
Théo : Tu m'avais bien dit que je pourrais me venger ! Non ?
Moi : Pfff . Mais ça fait mal ton truc, il est trop gros !
Il éclatait de rire. On enfilait un bermuda, un T-shirt et on se préparait à passer à table.
Théo : On ne va pas passer à table en cette tenue ?
Moi : Si tu ne veux pas te faire engueuler par mon grand père, si !
Théo : Moi ça me fait tout drôle !
Moi : Remarque tu peux aussi y aller torse nue, si tu veux !
Théo : Tu déconnes !
Moi : Non. On est chez mon grand père et on est en vacances … Théo : On recommence quant tu veux bonhomme, je suis sûr que tu as aimé !
Moi : Pauv con !
On prenait la direction de la petite salle à manger. Moi je restais torse nue, les autres n'osaient pas mais moi si. Les vacances venaient de commencer.
Voilà qui termine cette première saison des aventures de Philippe. Une seconde saison est en préparation. N'hésitez surtout pas à me donner vos impressions, me dire ce que vous en pensez en me laissant un commentaire.
Vous pouvez aussi me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je vous ai déjà dit que mon Grand Père sait mettre les gens à l'aise quand il veut, et bien mes camarades en ont fait l'expérience. Le petit déjeuner se terminait avec des étoiles dans leurs yeux, il leur racontait tout ce qu'on allait faire pendant les vacances.
G P : Bon les jeunes, vous allez vous changer tout de suite, vous voyagez léger, on s'occupera de vos affaire, vous pouvez laisser vos bagages ici.
Théo : Oui mais Msieu, je ne sais pas mais moi j'ai rien, pas de maillot de bain, pas de short …
Victor ne disait rien mais il haussait les épaules et faisait non de la tête, c'était pareil pour lui.
G P : Bien on va s'occuper de vous, allez en route …
On suivait mon Grand Père à sa voiture, Victor suivait il était toujours aussi impressionné que la veille, et même plus peut être encore. La voiture était encore plus impressionnante que la Bentley de mon père …
On arrivait au magasin, Victor était embarrassé, c'était un magasin de luxe ; c'était très au dessus des ses moyens. Mon grand père prenait l'initiative nous demandait notre avis et rapidement on se retrouvait avec deux bermudas, des sandales, des polos … Enfin tout le nécessaire de vacances. Le reste de l'équipement, pour la plongée par exemple, était déjà sur place. On est équipé et on est organisé dans la famille.
On revenait chez mon père en laissant la marchandise au magasin. Là Victor ne comprenait plus rien, Théo ne se posait pas de questions. Arrivé à la maison le majordome de mon père demandait à Victor de bien vouloir le laisser prendre ses mensurations … Théo ne comprenait plus et Victor ne posait pas de questions …
C'est donc seulement avec l'indispensable, jeans basket, que nous montions sur le toit de la maison … Le voyage commençait là, un hélicoptère nous attendait.
Moi : Magic Island est au milieu de l'océan, on ne va pas y aller comme ça ?
G P : C'est pour aller à la gare, le voyage se fera en train.
Deux heures plus tard nous étions à la gare, nous avions un compartiment qui nous attendait, quelques sacs contenant les achats que nous avions fait nous attendaient aussi. Théo n'était pas vraiment surpris mais Victor lui, avait renoncé à comprendre depuis déjà un bon moment.
A l'heure prévue le train partait, nous étions montés à la dernière station avant l'océan, ce qui nous faisait un peu moins de trois mille kilomètres, ou encore, pas loin de quatre heures … Ce train est vraiment rapide, nous arrivions donc une heure après notre départ ( heure locale! ) on avait tout de même traversé plus de deux fuseaux horaires … Eh, éh, éh … Un décalage horaire en train, on n'arrête pas le progrès !
Pendant ce voyage nous étions en première classe et on avait bien sûr dîné dans le train, mais l'air de la mer et les voyages nous avaient mis en appétit et à peine arrivé nous descendions dans le premier restaurant qu'on rencontrait. Mon grand père préférait nous laisser. On se gavait de crêpes arrosées de cidre et on terminait par une glace. Mais ce qui surprenait le plus Victor c'est que quand on quittait le restaurant, personne ne nous courrait après ; pourtant on n'avait rien payé, d'ailleurs personne ne nous avait présenté de note …
Victor : Alors c'est comme ça, ici on ne paye pas ?
Moi : NOUS … Ne payons pas …Théo : J'ai trop mangé moi, j'ai plus faim …Victor : Oui mais là je ne comprends pas moi !
Moi : Je t'explique, si tu as besoin de quelque chose, tu te sers, ce sera porté sur notre compte, tu es notre invité et dans la famille on n'a pas l'habitude de présenter une facture à nos invités.
Victor : Oui mais si je veux acheter un souvenir par exemple …
Je devinais que Victor serait gêné s'il sentait qu'on lui offrait tout …
Moi : Et bien dans ce cas là tu expliqueras que c'est pour toi et qu'il faut le mettre sur ton compte personnel … On a des prix ici, la facture suivra avec une très grosse ristourne …Victor : Ok …
Il restait perplexe Victor !
On se rendait à la maison en passant par la plage, c'était un endroit magnifique, une étendue de sable fin, une forêt des palmiers entre lesquels on pouvait apercevoir des cabanes, des terrasses, des parasols, dans la baie une armada de bateaux de grand luxes. A peine visibles au dessus des arbres on apercevait le sommet des immeubles résidentiels qui formaient comme un petit Manhattan sur le côté nord de l'île en son centre. Il y avait beaucoup de monde sur la plage, certains faisaient du sport ou des châteaux de sable. D'autres profitaient du soleil en ne faisant rien. D'autres encore nageaient ou faisaient du ski nautique. La plage formait une baie de plus de cinq kilomètres de large, tout au bout, elle se terminait par un rocher qui s'élevait comme une falaise à plus de cent mètres au dessus de la mer et recouvert d'une forêt.
Victor : C'est sur ce rocher qu'on peut faire de la varappe ?
Moi : Non si tu regardes bien tu verras une petite maison qui apparaît entre les arbres …Victor : Ah oui ! Ne me dis pas que c'est la maison …Moi : C'est pas la maison !
Victor : Tu me rassures !
Théo : On est encore loin, en fait la maison est énorme !
Moi : Oui, il faut reconnaître qu'il y a de la place …Victor : Mais c'est pas là que …Moi : C'est pas la maison !
Théo : Il y a une piscine ?
Moi : Bien sûr, plusieurs même, on a tout de même le stricte minimum pour survivre !
Victor : Mais c'est pas la maison ?
Théo : Si c'est la maison !
Je faisais oui de la tête !
Victor : Mais pourquoi tu me dis que c'est pas la maison !
Moi : Mais c'est toi qui m'a dit … Ne me dis pas que … Alors je ne te dis pas !
Au pied de la falaise, il y avait un portail, il n'était pas verrouillé, on entrait, suivait un escalier creusé dans le rocher, plus on montait plus le paysage était beau, au sommet de la falaise on pouvait voir la voix ferrée posée sur l'eau. C'était étrange on voyait une sorte de pont qui disparaissait à l'horizon. Tout en haut on arrivait sur la terrasse de la maison, mon grand père y était déjà …
G P : La falaise fait presque cent mètre de haut … Pourquoi vous n'avez pas pris l'ascenseur les jeunes ?
Mes camarades se retournaient vers moi !
Victor : Et il y a un ascenseur ?
Moi : Oui mais on ne voit pas le paysage dans l'ascenseur …
Théo me donnait une tape sur le dos de la tête. On s'installait sur la terrasse, un employé en livrée nous apportait des rafraîchissements.
Mon Grand Père : Je vous ai installé dans l'aile du petit bassin ! Ah un petit détail aussi Philippe, ici le personnel travaille pour moi !
Moi : Cool !
Mon grand père nous laissait et nous on se rendait dans l'aile du petit bassin. Dans cette grande maison c'était une aile ou une dizaine de chambres étaient regroupées en demi cercle autour d'une petite piscine de vingt cinq mètres ( petit détail, la piscine principale est aux normes Olympiques ), une petite ( enfin quand je dis petite … ) terrasse offrait une vue sur la mer et un coucher de soleil tous les jours … Ouai tous les jours, on en a de la chance !
Sans plus attendre je me mettais en tenue, Théo en faisait de même. Je veux dire par là que je me mettais à poil. On s'installait sur un transat, Victor nous regardait, il hésitait … Puis faisait comme nous. Rapidement nous étions tous les trois à poil enfin presque, pour l'un d'entre nous c'était bien presque !
Rapidement je bandais et je me caressais la queue, Théo faisait pareil. Je voyais le dispositif de chasteté de Victor se relever, il y avait de la pression, il réajustait plusieurs fois son dispositif en tirant sur la peau. Il paraît que ça ne fait pas mal ce truc mais c'est pas pour autant que c'est toujours confortable.
Je devinais que pour Victor ce n'était pas confortable, je le regardais avec un petit sourire malicieux. Théo se masturbait doucement, complètement allongé, les jambes légèrement écartées et les yeux fermés. Je faisais comme lui. Victor nous regardait, l'un puis l'autre, son regard passait de ma queue qu'il regardait avec avidité à celle de Théo qu'il regardait avec envie également. Il faisait un mouvement pour se lever.
J'étais plus rapide que lui. Je me levais et lui faisais signe de ne pas bouger, il se laissait retomber et se tripotait son dispositif, il se massait les couilles, il était en manque.
Moi : On joue au bout en train ?
Je me dirigeais vers Théo, qui n'avait pas ouvert les yeux mais faisait un grand sourire …
Théo : Et c'est lequel qui va être frustré ?
Je me penchais sur lui, prenais doucement sa queue entre mes doigts, il retirait sa main. Je lui caressais sa queue avec douceur, il ouvrait un œil. Je passais doucement ma langue que son gland, il gémissait pour m'encourager.
Théo : Alors ce sera qui le bout en train ? Celui qui n'aura pas droit à la bite aujourd'hui …
Victor nous regardait avec envie, sa langue passait sur ses lèvres avec insistance. Il ne se tripotait plus son dispositif mais celui ci se relevait avec des mouvements rapides. Sa queue se contractait à chaque battement de son cœur, et à chaque battement de son cœur se soulevait par à-coup. Victor ne bougeait plus.
J'avalais alors ce gland que je suçais généreusement avec ma langue, je la faisait passer avec douceur tout autour de son gland qui s'enfonçait un peu plus à chaque tour. Le farceur appuyait sur ma tête. Je le laissais faire je ne résistais pas.
Au bout de quelques minutes sa queue s'enfonçait jusqu'au fond de ma gorge, je relevais la tête pour pouvoir respirer, il me laissait faire un instant puis appuyait sur ma tête en relevant son bassin, sa queue s'enfonçait alors jusqu'à ma gorge. Par moment il appuyait un peu plus fort, un peu plus longtemps et mon nez s'appuyait alors sur son ventre. Je ne pouvais plus respirer, je me retenais un moment mais j'étais finalement obligé de relever la tête. Le mouvement reprenait.
Je finissais par dégager ma tête …
Moi : A moi maintenant !
Il riait de ma réplique, je m'allongeais sur mon transat, on inversait la position. C'est Théo qui maintenant me suçait la queue. Tout comme moi, il passait longuement sa langue sur mon gland, il insistait particulièrement sur la petite fente qu'il y a tout au bout un peu comme s'il voulait y entrer la langue. Ça fait tout bizarre, c'est une zone sensible, et je me contractais à ce moment, je tremblais un peu aussi.
Ensuite il prenait mon gland dans sa bouche, je sentais toujours sa langue qui me caressait le gland, c'était divin. Il ne m'avait jamais montré autant de tallent dans la fellation le petit Théo. Je me disais que j'avais bien fait de l'inviter. A ce moment, un peu comme si je convulsais, j'appuyais sur sa tête avec force, il était surpris et n'avait pas le temps de réagir. Ma queue s'enfonçait dans sa bouche jusqu'à la garde et son nez s'écrasait sur mon ventre. Il émettait un bruit bizarre qui m'amusait beaucoup. Je maintenais ainsi fermement sa tête jusqu'à ce qu'il force pour se dégager. Je le lâchais, il relevais la tête et me regardais dans les yeux en reprenant son souffle !
Moi : Tu veux pas que je t'encule … Tu serais mignon !
Théo : Pauv con !
Ça y est il recommence ! Ce qui ne l'empêchait pas de replonger quelques instants plus tard, il avalait alors directement ma queue bien à fond, relevait la tête puis replongeait à un rythme rapide. Des deux mains je le suivais, je ne le forçais pas, il n'en avait pas besoin.
Je regardais dans la direction de Victor. Il était tétanisé, il respirait fort, il s'était tourné vers nous les jambes bien écartées, il ne bougeait plus, il nous fixais du regard, seul son dispositif se soulevait par saccades,on devinait que son cœur battait fort.
Théo relevait la tête d'un air bien décidé.
Théo : C'est moi qui t'encule ! Retourne toi !
Moi : Non !
Théo : Comment ça non ?
Moi : Je me retourne pas !
Théo : Ok , tu l'auras voulu.
Je ne vous ai pas dit tout à l'heure qu'on est organisé … J'avais un tube de gel à porté de main … Il faut toujours être prêt à toutes éventualité.
Je le lui donnais. Sans ménagement il me soulevait les jambes, plaçait mes chevilles au niveau des ses épaules, s'appuyait contre mes jambes les repliant contre on thorax. J'avais pas prévu qu'il serait aussi rapide et je voulais en fait me retourner mais c'était plus la peine, je laissais faire.
Un regard vers Victor, il avait l'air de suffoquer le pauvre, il ne bougeait toujours pas.
Théo avait pris position, le bout de sa queue appuyait déjà sur mon petit trou de balle. J'avais du mal à respirer mais Théo ne s'en préoccupait pas, remarquez j'aurais fait pareil, il m'avait bien lubrifié le cul, il s'était bien lubrifié la queue, il appuyait.
Il appuyait doucement au début, en un seul mouvement il enfonçait sa queue de plus en plus profond. Je sentais mon cul se dilater, et je sentais une douleur très forte. Je gueulais, il poussait plus fort et plus vite. Je hurlais de douleur, il poussait alors de toutes forces bien à fond, je voulais me dégager mais je n'avais aucune prise, c'est lui qui me tenait et il ne voulait pas me lâcher .
Moi : Arrête, tu fais mal !
Théo : Non, j'y suis, j'y reste !
Moi : Arrête, tu fais vraiment mal !
Théo : Pauv con ! Je me venge !
Je gueulais, je gigotais, je tentais de me dégager mais il me retenait. J'étais bloqué. Il se retirait un peu et revenait en force, avec violence il appuyait de toutes ses forces. Son bassin était collé contre mes fesses et il appuyait. Je tremblais. C'était vraiment douloureux mais pas que. J'éjaculais et de ce côté j'éprouvais un immense plaisir. Mon cul se contractait alors, c'était encore plus douloureux.
Je me débattais, je gueulais, je gémissais, je chialais. Théo ne lâchait rien il se retirait toujours un peu pour revenir avec violence. Je sentais mon cul se contracter, il me faisait mal.
Je sentais sa respiration s'accélérer, je le sentais trembler, il gémissait et lui c'était pas de douleur. Suivaient encore deux ou trois coups de butoir et je le sentais frémir, il jouissait dans mon cul. Encore deux ou trois coups de rein et il se retirait. Au moment ou il ressortait de mon cul un long filet de sperme en coulait, et un autre filet de sperme coulait de ma queue. J'avais débandé depuis un moment là … La douleur ne persistait pas.
Théo se penchait vers moi et me donnait un baiser avec beaucoup de douceur et de tendresse.
Victor était retourné le pauvre. C'était réussi, si le but était de le frustrer c'était réussi. Il était en manque, son souffle était fort et son dispositif se relevait toujours par à-coup. Il avait la main sur le cœur et le regard fixe !
Théo se relevait, il avait l'air content de lui. On décidait de passer sous la douche, Victor également mais lui c'était pour une douche froide, il en avait besoin. J'avais mal au cul !
Théo : Tu m'avais bien dit que je pourrais me venger ! Non ?
Moi : Pfff . Mais ça fait mal ton truc, il est trop gros !
Il éclatait de rire. On enfilait un bermuda, un T-shirt et on se préparait à passer à table.
Théo : On ne va pas passer à table en cette tenue ?
Moi : Si tu ne veux pas te faire engueuler par mon grand père, si !
Théo : Moi ça me fait tout drôle !
Moi : Remarque tu peux aussi y aller torse nue, si tu veux !
Théo : Tu déconnes !
Moi : Non. On est chez mon grand père et on est en vacances … Théo : On recommence quant tu veux bonhomme, je suis sûr que tu as aimé !
Moi : Pauv con !
On prenait la direction de la petite salle à manger. Moi je restais torse nue, les autres n'osaient pas mais moi si. Les vacances venaient de commencer.
Voilà qui termine cette première saison des aventures de Philippe. Une seconde saison est en préparation. N'hésitez surtout pas à me donner vos impressions, me dire ce que vous en pensez en me laissant un commentaire.
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