PHILIPPE EP 25 : RETOUR SUR TERRE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 25 : RETOUR SUR TERRE Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 25 : RETOUR SUR TERRE
PHILIPPEEP 25 : RETOUR SUR TERRE

Après ce vol mémorable, les jeunes se retrouvaient tous au restaurant, l'heure du repas était passé, le vol avait duré un peu plus de six heures et ils ne manquaient pas d'appétit.

A la télévision, on pouvait voir une émissions diffusée depuis la Chine. Mr Brosso père ( Mon grand père ) apparaissait à l'écran, il venait de signer avec le numéro Un Chinois un contrat pour la production de fusées et de satellites ( un truc compliqué ). On était dans un centre astronautique et partenaire, il était donc logique que ce film d'actualité soit diffusée ici.

L'événement s'était passé quelques heures plus tôt en Chine …
Victor : Bien ! J'ai l'impression qu'il ne sera pas de retour avant notre départ.
Théo : Bah … On nous as dit qu'on aurait droit à un avion privé …
Il y avait toute l'équipe des astronautes en herbe dans la sale à manger … On entendait une vois !

… C'est des conneries, c'est pas vrai vous ne le connaissez pas !
… Ouai ils racontent n'importe quoi, rencontrer Mr Jérémy Brosso, c'est aussi facile que de prendre le thé avec la reine d'Angleterre sans rendez-vous !

Plusieurs commentaires de ce genre fusaient, de toutes évidences on ne les croyait pas ! Mais brusquement plus un bruit, personne ne disait plus rien … Mr Brosso en personne (mon papy) venait d'entrer dans la salle à manger ! ( il est comme ça mon papy quand il arrive quelque part, il ne passe pas inaperçu )
Il se dirigeait vers mes deux amis …
Djé : Alors les jeunes, la surprise vous à plus ?
… C'était génial !
… Merci !
… Vraiment super ! Merci !
… On ne s'y attendait pas !
… Vraiment Merci ...
Etc…
Théo : Mais on vient de vous voir à la télé, il y a deux heures vous étiez à Pékin !
Djé : Je voulais absolument entrer avec vous pour voir comment allait mon petit fils. J'ai pris une navette spéciale, une heure de vol depuis Pekin … Moi aussi je suis allé dans l'espace !

Ouai ! Et bien mon papy il pense à moi, lui … C'est pas comme certains de mes amis !

Victor : Une navette spéciale ?
Théo : Une navette spatiale ?
Djé : On peut aussi le dire comme ça !

Mon grand père saluait tous les jeunes qui étaient dans la salle à manger .

Djé : Alors vous avez tous fait ce petit voyage dans les étoiles ? J'espère que vous avez apprécié.

Puis il discutait un moment avec eux. Le groupe de jeunes astronautes en herbe prenait désormais mes amis très au sérieux. Victor commençait à se sentir tout à fait à son aise dans ce milieu. Il se sentait très motivé pour la suite de ses études. Mon père ne lui avait-il pas dit qu'il pourrait devenir ce qu'il voudrait, qu'il n'y avait pas de limites sinon celles de son propre travail.

Le repas se terminait dans une certaine effervescence due à la présence de mon grand père. Il invitait mes deux amis à aller se préparer pour le retour, ils allaient se changer et revenaient avec le costume qu'ils avaient quand ils sont arrivés. On leur remettait un disque numérique, il contenait une reportage avec photo et vidéo de leur voyage ainsi qu'une médaille avec leur nom qui témoignait de quatre révolutions autour de la terre. Ils pouvaient aussi garder les tenues de sport et uniformes qu'ils avaient porté pendant le vol parabolique. Un beau souvenir qu'ils pourraient avoir le plaisir de montrer à tous leurs proches.

Ils étaient dans une base aéronautique, militaire certes mais équipée d'un terrain d'aviation et, nul ne sait si c'était à cause du contrat signé avec les Chinois ou autre chose mais l'avion de mon grand père était autorisé à décoller de là. Ils ne reprenaient donc pas la limousine longue comme un camion. Deux petites heures plus tard il se posaient sur la piste de Magic-Island. Ils étaient restés étrangement silencieux pendant tout le retour, ce qui ne dérangeait pas mon grand père qui commençait à fatiguer de tous ces voyages, lui aussi avait largement fait le tour de la terre depuis la veille.

Je sursautais en les entendant arriver, il faut dire qu'ils faisaient beaucoup de bruit, ils me racontaient tout en détails. Je commençais juste à me remettre de mes émotions et tout ce bruit me donnait brusquement envie de dormir. Ils étaient épuisants, tant ils étaient enthousiastes.

Moi : Beuh ! C'est pô juste ! Moi aussi je voulais y aller dans le ciel !
Victor : Hier tu n'arrivais même pas à tenir debout et tu voulais faire du vol parabolique !
Théo : Ton grand père avait raison, tu n'aurais pas survécu !

On passait à table.

Grand père : Vous n'être pas trop dépaysés par le décalage horaire ?

Victor et Théo faisaient non de la tête.

Grand père : Je parlais aussi de toi Philippe !
Moi : Pfff ! J'ai pas bougé moi !

Mon grand père rigolait de ma réaction.

Grand père : Moi je dois dire que ça commence à me fatiguer cette histoire. C'est le second souper de la journée et le prochain repas sera aussi un souper dans quelques heure en Australie. Heureusement à Pékin j'ai soupé léger ! Je repars dans la nuit !
… Grand père : Tu seras sage mon petit Philippe ?
Moi : Meuhhh !
Grand père : Mouais ! Tu sais Philippe ton propre argument '' Au moins là je ne pourrai pas faire de conneries comme j'en ai l'habitude … '', je l'ai utilisé avec ton père pour le convaincre de te laisser venir ici …Moi : Ouai ! Je sais mais c'est pas ma faute ! Il y avait une bouteille d'eau et …Grand père : Tu avales de l'eau de vie sans te rendre compte que c'est pas de l'eau toi ? Alors ça, et bien ça ne m'est jamais arrivé !

Mes deux camarades rigolaient, ils étaient resté en costume cravate, juste pour le plaisir de porter leur médaille tellement ils étaient contents de leur voyage. Moi j'étais en short, torse nue, les yeux violets comme si je m'étais fait boxé la figure, le nez derrière une sorte d'atèle, un pansement qui était tout sauf discret, un peu comme si j'étais tombé sur le nez … A part ça, à ce moment, ça allait bien.

Les vacances se prolongeait comme elles avaient commencées sauf pour moi. Le soir j'étais consigné, pas le droit de sortir et comme dans la journée je préférais ne pas sortir à cause de la tête que j'avais, là, enfin je ne pouvais pas faire de conneries comme j'en avais l'habitude. Les ordres me concernant venaient de mon grand père et les employés n'avaient pas l'habitude de discuter les ordres qui venaient du grand chef, même l'ascenseur refusait de me conduire aux portes de la maison passée l'heure du souper.

Victor et Théo continuaient à sortir et à draguer comme ils le faisaient depuis le début de leur séjour. Il n'était pas rare qu'ils ramènent un partenaire, sur ce point on ne leur faisait aucune remontrances. Ils se retrouvaient tous, le matins quand Dave venait les réveiller. Moi je faisais la gueule !

Ils partaient tous faire leur entraînement matinal quotidien, moi je m'en dispensais. Je me faisais plaindre, Alex avait renoncé à m'en demander plus. Quelques jours passaient ainsi, mon grand père était reparti. Je m'ennuyais …
Un soir je laissais mes camarades se préparer, je ne disais rien, je restais dans mon coin en les regardant et en faisant la gueule. Ils avaient à peine tourné le dos que je m'habillais également. Sur la pointe des pieds je me faufilais jusqu'au portail, je grimpais par dessus, ça ne me prenait que quelques secondes. Je traversais ensuite le petit parc privé puis je faisais le mur.

Vous savez je fais beaucoup de sport et il ne me fallait pas longtemps pour descendre les quelques kilomètres qui me séparait du village. Je pense même que j'y arrivais avant mes camarades. Dans la partie nord de l'île il y avait des groupes de jeunes qui discutaient ici et là. Je me joignais à l'un d'entre eux, j'en choisissait un ou il n'y avait que des garçons et ou ils avaient des sac à dos, ils étaient trois.

J'avais en effet remarqué qu'un d'entre eux venait de sortir une bouteille de bière de son sac à dos. Rapidement je sympathisais. Vous savez je ne suis pas vraiment associable ! … Rapidement on m'offrait une bière … Puis une autre … Ils étaient rigolos, ils me demandaient ce qui m'était arrivé.

Moi : Oh c'est rien, juste avant de venir sur cette île, à la gare j'ai croisé trois mec qui s'en prenaient à une fille. Je leur ai expliqué que ça ne se faisait pas ça !
Un mec : Et ils ne t'ont pas loupé !
Moi : Oui mais eux, ils ne sont pas encore sortis de l'hôpital !

Les gars étaient impressionnés. Vous ne vous imaginez pas que j'allais leur dire '' J'étais bourré, je suis tombé de mon lit … Sur le nez ! ''. Là ils se seraient moqué de moi, c'est sûr !

Un peu plus tard, ils décidaient de prendre un bain. A cette heure de la nuit le bain c'est toujours à poil, je commençais à bien sentir les effets de la bière aussi j'oubliais mon dispositif de chasteté, je me disais seulement qu'il ne faudrait pas que je mette la tête sous l'eau. Aucun d'eux n'avais de dispositif de chasteté. Sur cette île les touristes ne sont pas obligé d'en porter. Quand ils l'ont vu il ont éclaté de rire.

On a rigolé un moment, on s'arrosait, je nageais, ils plongeaient depuis un rocher puis, une bouteille dans chaque main on se retrouvait derrière les rocher, bien à l’abri des rochers. Il fait toujours beau sur cette île, on ne prenait pas la peine de se rhabiller, nos vêtement dans un coin. On rigolait, on racontait des conneries, on picolait, une main se glissait sur mon dispositif et me caressait les couilles.

Vous devinez que j'ai pas laisser les choses se passer comme ça, j'ai immédiatement réagi ... J'ai écarté les jambes !

La main est devenue plus entreprenante, une autre main arrivait, c'était pas la seconde main du même bonhomme. Je terminais rapidement la bouteille que j'avais dans la main droite puis celle que j'avais dans la main gauche et m'installait à mon aise les jambes bien écartées. Rapidement c'étaient quatre puis six mains qui me caressaient tout le corps. Elle s'attardaient sur mes couilles, passaient sur mes cuisses, sur mon torse. On me tendait une autre bière, je la buvais cul-sec !

Un des garçon se penchait sur moi et m'embrassait, il était mignon, il faisait attention à mon nez, il m'embrassait dans le cou. Je me retrouvais allongé sur le sol, la tête posée sur un paquet de vêtements, trois visages, trois bouches penchés sur moi. Six mains qui me caressaient tout le corps avec de plus en plus d'insistance. Régulièrement quelques doigts se glissaient entre mes fesses, et tentaient même un passage en force. Là encore je réagissais rapidement en soulevant le bassin.

J'avalais une autre bouteille de bière.

Une voix : Retourne toi … A genoux …
Je me mettais à quatre patte, on me lubrifiait le cul, déjà je gémissais à l'idée du plaisir qui venait, qui se présentait. Une forte pression contre mon anus, une petite douleur, délicieuse petite douleur, le membre viril était de taille normale, j'ai vu pire …
Le garçon qui avait pris position ne perdait pas de temps. Il s'enfonçait bien à fond en quelques secondes, son ventre frappait mes fesses, il se retirait puis me labourait le cul sans se retenir. Quelques coups violents, des mouvements plus doux, plus lents. Il me tenait par les hanches, quand il se retirait il me tirait vers lui juste au moment ou il allait s'enfoncer de nouveau. Il revenait à la charge et poussait de toutes ses forces m'arrachant au passage quelques cris, quelques gémissements de plaisir.

Les mouvements devenaient plus rapides, plus violents. Un autre garçon me proposait sa queue, je la prenait dans la bouche. Il voulait appuyer mais là je réagissais immédiatement, mais je veux dire par là que je ne laissais pas faire. Je lui expliquait avec deux gestes que … Mon nez … Cassé … Attention … Bobo ! Il comprenait et n'insistait pas.

Je reprenais. J'avalais sa queue sur toute sa longueur. Je le masturbais, je le léchais, finalement je m'en sortais bien avec mon nez cassé.

Les coups de bassins que me donnait le premier devenaient violent, rapides et violents. Il jouissait dans mon cul, retombait sur mon dos, me donnait un baiser, se retirait et était immédiatement remplacé par celui que j'étais en train de sucer.

Lui était moins violent, il entrait sa queue tout doucement, il se retirait de la même manière. Ses mouvements de va et vient étaient lents, amples et doux. J'étais déjà bien stimulé et rapidement un vrai plaisir naissait dans mon cul puis plus profond dans mon anus et envahissait tout mon ventre. Je respirait fort, je soufflait, je gémissais … C'était le pied.

On me tendait une bière, le gars ne bougeait plus, j'avalais la bière en une gorgée, il reprenait ses mouvements, je hurlais de plaisir. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, il faisait durer le plaisir, doucement je sentais sa queue me pénétrer, m'envahir. Doucement je la sentais ressortir, pas complètement mais presque, puis il revenait.

De temps en temps on avalait une bière. La tête me tournait mais je me sentais bien. Ce massage sur mon muscle anal était un régal, par moment le plaisir montait plus fort, par moment seulement. Mais c'était bon, vraiment bon … Son étreinte devenait plus serrée, plus câline, ses baisers plus pressants, sa respiration plus forte. Juste quelques convulsions au moment ou il jutais en moi, un baiser, il se retirait, une bière, le troisième garçon prenait la place qu'avait occupée les deux premiers.

Sa queue était plus large, pas plus longue mais plus large et il me l'enfonçait avec force. Je couinais au moment ou son ventre frappait contre mes fesses. Il se retirait avec un mouvement lent et régulier et revenait d'un mouvement rapide et violent. Il frappait mes fesses avec force, ça claquait, je couinais.

Il faisait durer le plaisir lui aussi et ne faisait une pause que pour enfiler une bière, enfin pour me laisser avaler la bière. Ça semblait les amuser de me voir boire comme ça. Il Me serrait fort contre lui, son bassin bougeait avec force, violence et vitesse.

Par moment les mouvements devenaient vraiment très rapides et très violents. Sa queue ne ressortait alors presque pas mais le mouvement provoquait sur ma prostate une véritable panique. Je jouissais par la prostate, à ce moment j'ai juté, j'ai éjaculé sans éprouver de plaisir au niveau de ma queue mais au niveau de ma prostate c'était l'extase …
Ils me proposaient une petite bière, ils avaient tous les trois pris leur plaisir, moi aussi … On se rhabillait, on se saluait et c'est en titubant que je prenais la direction de la plage …
Pendant ce temps là, Alex était au téléphone.

Alex : Passez moi la sécurité tout de suite, c'est urgent !
Au téléphone : C'est ça on n'a que ça à faire et c'est de la part de qui ?
Alex : La maison Brosso !
Au téléphone : Oh ! Je vous demande de bien vouloir m'excuser je vous passe tout de suite le chef de la sécurité !

Alex expliquait la situation, je venais de faire le mur !

Moins de cinq minutes après mon départ la sécurité de l'île me localisait au niveau de la piste de ski, j'entrais ensuite dans la zone boisée, et là on me perdait. J'avais ensuite traversé le quartier des employés, c'est beaucoup moins surveillé, j'étais ensuite passé sur les rochers, et par moment sous les quais. Les caméras ne me repéraient plus nulle part jusqu'au moment ou je traversais le village pour aller sur la plage. Ça m'avait semblé plus court pour rentrer.

Je me retrouvais rapidement sur la plage ou on me perdait de nouveau, là c'est la maison qui surveillait et attendait mon retour … J'étais allongé sur le sable les pieds dans l'eau, les chaussures donc, pleine d'eau quand je voyais un visage se pencher sur moi …
Moi : Qui t'es toi ? Je te connais ?
La personne : Et bien il est encore torché.

La personne se penchait sur moi, mais je voyais son visage à l'envers, et en plus dans le noir je n'avais pas la moindre idée de qui c'était. Mais il me semblait …
Moi : Qui t'es toi ? J'ai l'impression que je te connais moi !
La personne : Oui mon petit Philippe, je crois qu'on se connaît !

La je hurlais. '' Luc mon tonton Luc c'est toi ''. Je me relevais, en titubant et me retournais vers lui … C'était mon tonton Bob, Luc lui, était à côté, il était plié de rire. Nous prenions la direction de la maison, ils me soutenaient pour avancer, j'étais complètement saoul !


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