PHILIPPE EP 37 : VOILA UNE BONNE CHOSE DE FAITE

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : PHILIPPE EP 37 : VOILA UNE BONNE CHOSE DE FAITE Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PHILIPPE EP 37 : VOILA UNE BONNE CHOSE DE FAITE
PHILIPPEEP 37 : VOILA UNE BONNE CHOSE DE FAITE

Le souper était calme. Mon père n'avait absolument rien dit sur ma disparition pendant une grande partie de la journée. Le Jet de mon grand père était dans le hangar, l'hélicoptère de mon père garé à côté … L'ambiance était glaciale.

Je ne savais pas si je pouvais dire quelque chose, si ce serait une bonne idée ou …
Moi : A part ça la journée s'est bien passée, vous avez fait quoi !

Tous les regards se tournaient vers moi.

Mon père penchait la tête sur le côté il semblait se dire : '' Non mais je rêve, il est vraiment con ou bien … ? ''. Vous savez j'arrive à deviner ce qu'il pense quelquefois … Je suis plus futé que j'en ai l'air !

Mon grand père me regardait, là je ne savais pas ce qu'il pensait. J'imaginais qu'il se disait : '' N'en rajoute pas s'il te plaît mon petit Philippe … ''.

Un court instant j'ai cru que mon oncle Luc allait éclater de rire. Pour ce qui est de Bob, il était toujours fâché, il n'avait pas aimé se faire traiter de grosse tapette …
Bob : Et toi Philippe tu as passé une bonne journée ? Avec des copains ou des copines ? ( il jetait en même temps un regard vers son neveux Antoine, mon papa donc )
Suivait un silence de plomb. Alex sortait de la salle à manger, je pouvais voir à son expression qu'il allait éclater de rire …
Moi : Tout va bien alors ?
Mon père : Mon petit Philippe, s'il te plaît n'en rajoute pas tu en as déjà assez fait !
Bob : Tu as encore de la chance il t'appelle '' mon petit Philippe '' il ne te traite pas de grosse tapette !
Luc : Nous n'avons pas été de bons oncles peut être ? ( à l'intention de mon père )Moi : Bein si mon tonton Luc vous avez été merveilleux !
Luc : Toi aussi tu es un amour Philippe mais je ne parlais pas de toi.
Mon père : ( en haussant le ton ) C'EST POSSIBLE MAIS …Mon grand père : ( sur un ton très sec ) Tu fais attention à ce que tu vas dire Antoine …
Quelques secondes plus tard, c'était l'engueulade …
Je voyais Alex qui revenait dans la salle à manger, quand il a vu la scène il a éclaté de rire et a fait demi tour sans franchir la porte. Je continuais à manger sans plus m'occuper du reste de la famille …
Luc : Antoine tu devrais avoir honte !
Mon père ( Antoine ) : Peut être mais au moins mon fils c'est pas une grosse tapette !
Bob : Connard !
Mon grand père : ( là il hurlait ) SILENCE ! Je ne veux plus entendre un mot !

Personne ne disait plus rien ! Sauf une toute petite voie …
Moi : ( à l'intention du valet qui faisait le service ) Je reprendrais bien un peu de lapin moi …
Tous les regards se tournaient vers moi de nouveau, le valet me servait.

Mon père : Papa, tu ne vas pas me contredire si je te dis que Philippe ne nous succédera pas à la tête de la PK ?
Grand père : Je ne suis pas sûr qu'il en ait envie.
Mon père : Il faudra donc prendre des mesures pour la suite.
Grand père : Fait attention à ce que tu penses autant qu'à ce que tu vas dire ! Si tu penses à '' Déshériter '', dans dix secondes tu ne seras plus directeur de la PK !

Je voyais mon père avaler sa salive, ce dernier commentaire l'avait calmé.

Mon père : On pourrait assurer son avenir économique.
Luc : Et toi Philippe tu en penses quoi ?
Moi : Votre chef est braiment bon, son '' Lapin chasseur '' mérite trois étoiles !
Luc : ( se tournant vers mon père ) Tu as raison Antoine, sur ce dernier point je suis d'accord avec toi !
Mon père : Il ne dirigera pas l'entreprise familiale !
Luc : En six mois elle serait en faillite !
Moi : Tonton Luc là tu exagères, mois qui croyais que tu étais mon allié !
Luc : Je suis sûr que tu vas aimer le dessert mon petit bonhomme ! C'est une spécialité du chef.
Moi : Super !

Ils me regardaient tous et quand l'un commençait à rire les autres le suivaient avec un rire nerveux. Pour finir plus personne ne gueulait, tout le monde rigolait. Le seul qui ne rigolait plus c'était Alex qui venait de revenir et qui visiblement ne comprenait plus rien.

A la fin de mes vacances je revenais à mon école.

J'y retrouvais mes copines garçons et filles ( même s'il n'y avait pas de filles ), il y en a je vous jure dans certaines situations on pourrait le croire pourtant. J'étais content de mon coup, vous aviez bien sûr deviné que c'est moi qui avait tout organisé, j'avais demandé à Alex d'envoyer un message affolant à mon père, j'étais sûr qu'il sauterait dans le premier hélicoptère pour venir remettre de l'ordre dans cette affaire et ça avait marché …
J'avais un sourire en permanence, je me sentais libéré. Mes proches le remarquaient, mes profs le remarquaient, le dirlo le remarquait, en fait il n'y avait que Nadine qui ne le remarquait pas, Nadine c'est la secrétaire du directeur et comme je n'étais plus envoyé que rarement chez le directeur elle ne me voyait pas tout de suite.

Mon colocataire aussi le remarquait.

Luidji … Lui par contre il faisait la gueule. Il me regardait avec un regard triste. Le soir c'est moi qui me déshabillais devant lui, il m'avait fait le coup depuis je ne sais plus combien de temps, je me vengeais.

Tous les matin en m'habillant je jetais un œil discret dans sa direction, il avait du mal à dissimuler son malaise, son dispositif de chasteté se relevait et moi ça me faisait bander, c'est ma queue qui se relevait. Je prenais bien le temps d'ajuster mes vêtement, la chemise, la cravate, les chaussettes, le jock ( j'en mettais un maintenant pour l'allumer encore plus ). Je terminais enfin par le pantalon et les chaussures. Il bavait de frustration en me voyant faire … Je me vengeais.

Au bout de quelques jours. Luidji s'approchait de mon lit, je venait de me coucher, il y avait juste ma tête qui dépassait.

Luidji : Dis moi Philippe … Moi : … hmmm ...
Luidji : Si on recommençait le truc que tu m'a fait un jour.
Moi : Qué ! ( je relevais la tête )Luidji : Tu sais le jour ou tu m'a enculé !
Moi : Mécéquemoijetéjaméenculé !
Luidji : Tu as dit quoi là ?
Moi : ( je reprenais mon souffle ) Je t'ai pas enculé, tu as tout arrêté avant.
Luidji : Oui, peut être mais c'était bon.

Une demie seconde plus tard j'étais assis sur mon lit j'avais relevé la couette.

Moi : Ok tu fais ce que je te dis !

Il ne fallait surtout pas louper une telle opportunité !

Luidji : Ok !
Moi : Suce moi ! ( j'écartais les jambes )
Luidji semblait se résigner, il hésitait moins que le première fois remarquez ( Ep 31 ), rapidement il prenait ma queue dans sa bouche. Je sentais sa langue qui me caressait la bite sur toute sa longueur. Il insistait sur le gland, puis c'était le fond de la bouche que je sentais, sa glotte peut être. Il avait fait des progrès le bougre. M'aurait-il fait des infidélités ?

Une chose était sûre, il avait dû y penser, il avait fait de réels progrès. Il avait dû y penser beaucoup et ça faisait son effet. Au bout de quelques instant j'ai dû le freiner, il allait me faire jouir. Je ne voulais pas jouir dans sa bouche mais dans son cul.

Ma respiration s'accélérait, plus rapide et plus forte. Je me retenais, je le retenais comme je pouvais en le guidant avec mes mains. Cette fois ci il ne m'avait pas empêché de lui caresser les cheveux. Je me contractais, je me crispais, je sentais que ça allait venir. Il ne m'écoutait pas et continuait à me sucer la queue, et je vous jure qu'il avait fait de vrais progrès. Je contractais mes cuisses et brusquement me relâchais.

Je lui jutais dans la bouche, plusieurs fois de suite j'ai lâché de belles éjaculations. À ce moment il tentait de relever sa tête mais là c'est moi qui le retenais. Il l'avait cherché après tout. Quand je le lâchais quelques instants plus tard, il relevait la tête en fronçant les sourcils.

Moi : Ça va mieux, tu te sens plus détendu ?

Il faisait non de la tête.

Moi : Bon maintenant tu avale.

Il avalait.

Luidji : Et tu crois vraiment que ça, ça va me détendre, d'avaler je veux dire.
Moi : Tu aurais préféré cracher par terre … Beurk … Luidji : Tu te moques de moi là ?
Moi : Non, j'abuse de toi c'est différent. Bon ne nous laissons pas distraire, c'est de ta faute, en fait c'est dans ton cul que je voulais éjaculer mais tu as été trop efficace !

Il poussait un grand soupir en faisait non de la tête.

Moi : Allez on y retourne, quand je bande bien ferme je t'encule.
Luidji : Tu es sûr ?
Moi : Non ! Mais on verra bien !
Luidji : Non ... mais … ?

J'appuyais sur sa tête et il y retournait, de nouveau il me suçait la queue, toujours aussi bien. Là je me demandais si ça ne valait pas la peine de le laisser faire et de jouir de nouveau dans sa bouche. Il faisait ça vraiment bien le bougre. Il relevait la tête.

Moi : Bon là tu bandes assez !

Je bandais bien ferme en effet. J'aurais bien continué un peu plus longtemps. Au moins dans les soirées de Peter celui qui portait le dispositif la fermait et faisait ce qu'on lui demandait. Pour peu ce serait lui qui allait commander. Ceci dit, là il voulait que je l'encule, j'allais pas me plaindre et refuser sous prétexte que …
Il prenait position, à genoux face à mon lit. Je prenais position juste derrière lui et commençais à lui lubrifier le cul avec un puis deux doigts. Il ne disait rien, je le sentais se contracter tout en essayant de se détendre. Par moment il gémissait. J'y allais doucement.

Au moment ou je le sentais suffisamment détendu je décidais de passer à la deuxième étape. Je m'assurais que je bandais toujours. Pas de problème de ce côté ma bite se dressait fièrement. Je la lubrifiait abondamment puis la positionnait juste en face de son petit cul. Je me penchais sur lui, l'embrassais longuement. Je sentais son inquiétude à chacun de ses mouvements. Je poussais doucement, son corps se contractait. Je poussais un peu plus et je sentais son anus se dilater. La vache il était étroit ! Il se contractait encore plus et poussait un cri.

Je ne bougeais plus, il respirait fort, il gémissait à chacune de ses respirations mais ne résistait pas. Ça résistait mais c'était pas de sa faute. Je l'embrassais sur le dos, il se détendait un peu, je le mordillais à la base du cou. Il poussait un petit cri de surprise et je sentais son cul se détendre. J'en profitais pour rentrer plus loin. Il parvenait à ne pas trop se contracter et ma queue glissait bien à fond.

Là il poussait un long gémissement de douleur, comme une plainte, un sanglot presque silencieux. Là il dégustait, je ne bougeais plus, il se cramponnais, je me retirais et de nouveau ce long gémissement. Je revenais à la charge et je sentais tout son corps trembler, tout ses muscles se contracter. Il jutais, je ne sais pas s'il jouissait mais il jutais et je sentais son anus se contracter sur toute la longueur de ma queue. Ça faisait comme un massage inattendu et je jutais à mon tour, mais moi je jouissais.

Rien ne m'avait alerté, aucun signe à l'avance, je ne m'y attendait même pas mais c'était génial. J'ai vibré de tout mon corps, dans mes bras Luidji pleurait. Je lui faisais un gros baiser sur l'épaule et me retirais doucement. Il pleurait, il avait juté en effet.

Avec douceur je lui caressais le dos, je le réconfortais. Il ne disait rien, s'essuyait et se couchait. Mon sentiment était mitigé, j'avais pris un pied, je ne vous dis pas mais pour ce qui est de mon pote Luidji ça avait l'air moins convaincu.

Toutefois il a bien dormi, moi je me suis réveillé plusieurs fois dans la nuit. C'était sa réaction qui m'avait un peu perturbé, je pensais à lui et je m'inquiétais un peu.

Le lendemain je voulais prendre de ses nouvelles.

Moi : Ça va Luidji ?
Luidji : Pauv con, ça fait un mal de chien ton truc, il faudrait le mettre sous clé.
Moi : Nan ! Ça c'est hors de question !
Luidji : Oui je sais … Ja-Mé !
Moi : Ouai ! Parfaitement, mais ça t'a soulagé comme je l'avais dit … ?
Luidji : Pauv con !

Ouai bon, ça me rappelait quelque chose ça. Je me disais que ça devrait lui passer, ça avait bien passé à Théo. J'étais content de moi finalement, il restait à peut prêt trois mois avant la fin de l'année scolaire. J'avais le cœur léger, mon père avait accepté l'idée de ne pas me mettre la direction de la PK entre les mains. C'était plutôt cool cette histoire, je ne serais pas obligé de faire des études de droit, de gestion, d'économie et de je ne sais quoi encore. De toutes façons je n'aurais pas eu mes diplômes !

Je ne serais pas obligé de porter un dispositif de chasteté. Même mon père laissait tomber l'affaire ! Je n'hériterais pas du gros de la fortune mais elle est tellement immense qu'un tout petit bout me suffirait pour vivre tranquillement.


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