Philippe, l'Officier Marinier.

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Philippe, l'Officier Marinier. Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Philippe, l'Officier Marinier.
Cette fois, je reviens à des plaisirs plus simples.

Ce jour là, j'ai pris conscience de mon changement de comportement, vis à vis du regard des hommes sur mon physique juvénile, et un peu androgyne !

Avant mon dépucelage anal, j'avais encore la naïveté d'un ado, sans arrière pensées !
Quand un homme me dévisageait, je ne comprenais rien !

Je n'imaginais même pas qu'il avait des pensées perverses !
Je détournais mes yeux des leurs, sans me douter qu'ils me désiraient !
Devant mon attitude, ils n'ont jamais insisté !

Mais après, mon premier rapport sexuel, tout a changé ! Je savais !
Je soutenais leur regard !

J'avais enfin conscience de leur désir, et le mien m'envahissait peu à peu !
Jusqu'à devenir insupportable !
Je voulais qu'il me possède !

J'étais accroc au plaisir qu'un homme m'offrait, en me pénétrant !
Il est loin le temps ou je me contentais de mes plaisirs solitaires.
Partager les plaisirs du sexe avec un homme, est tellement plus épanouissant !

Ce jour là, donc, j'étais avec des potes, dans une fête de quartier.
Elles n'existent plus aujourd'hui, dommage !

L'ambiance est à l'euphorie, il y a énormément de monde !
Je suis loin d'imaginer que je vais changer d'attitude, en un instant.

Puis, je croise son regard perçant et pervers !
L'homme est immense, son corps dépasse de tous les autres, dans la foule !
Il m'impressionne déjà !

Je chasse mes pensées au départ, puis, c'est plus fort que moi.
Je le cherche, moi aussi !

Je me dis même que j'ai de la chance !
Il me veut moi ! Au milieu de tous ces gens !

Plus on se fixe, et plus notre désir est évident !
Je n'arrive plus, à rire aux blagues d'un ami !

L'homme ne me quitte plus des yeux, mon anus se contracte, jusqu'à me créer des noeuds dans l'estomac !
Putain, pourquoi, je suis comme ça ?
J'ai déjà envie qu'il m'encule !

La fête bat son plein, avec ses bruits de manèges.
Les appels au micro, la musique du groupe de scène.
Mais j'y suis plus !
Je suis dans ma bulle, avec cet inconnu !

Son air sûr de lui, me confirme qu'il sait, que je vais lui appartenir !

Il passe sa langue sous sa lèvre supérieure !
J'imagine alors, ma bouche enfoncée sur sa verge !

Il me fait un léger signe, je dois le suivre !
Mon corps est pris de frissons, j'ai envie de lui !

Je dois trouver une excuse pour mes copains !

"Euh, je vais trouver un coin pour pisser, je vous retrouverai ! A plus !".

Je m'engouffre au milieu de la foule, sans le perdre de vue !
La poursuite me semble interminable.

Mon anus devient légèrement humide !
Est-ce un effet du désir, ou de la chaleur de l'été ?

On sort enfin de la foule, il se glisse dans une suite de ruelles, peu fréquentées.
Il s'arrête au niveau d'un terrain vague.
Je m'insinue à l'intérieur, en passant une barrière.

Il ouvre la vieille porte en bois, d'une baraque abandonnée.

On se regarde, la lueur d'un lampadaire, qui passe par un trou dans le toit, nous le permet !

"Comment tu t'appelles ! Jeune !".
"Pascal !".
"Moi, c'est Philippe ! Tu me plais, Pascal ! J'ai envie de toi !".

Il m'enlace contre lui, et m'embrasse dans le cou.

"Orhhh ! Oui, moi aussi ! J'ai envie !".
"Putain, tu m'excites trop ! J'ai flashé sur toi !".

Il me prend la bouche, nos mains caressent le corps de l'autre.
Inévitablement, je touche sa verge, il bande tellement fort !

Je me sens comblé, par ce désir qu'il ressent pour moi !
Sans un mot, il me fais glisser vers le bas, et me place devant sa bite.

Je défais son bouton de ceinture, puis je fais glisser sa fermeture éclair.
Il baisse son pantalon, j'admire sa forme gonflée sous son slip !

Son gros bâton est courbé sur le coté, dur comme du bois !
Il attend que je le libère !

Je soulève l'élastique de son slip, et baisse le tout.
Sa belle queue se tend comme un arc devant moi, en venant s'appuyer sur mon petit front.
Je la caresse avec admiration, je l'aime déjà !
Elle est si belle, avec son gland très épais et bien dessiné, qui surmonte sa hampe large et ses veines gonflées de sang.

"Elle te plait ?".
"Oui, je l'adore ! J'ai envie de la sucer longtemps !".
"Alors, vas-y ! Fais toi plaisir ! J'attends que ça !".

Je lui plaque la verge contre le ventre, afin de lécher ses couilles, puis, je remonte lentement vers son gland.
J'ouvre mes lèvres humides pour l'englober de ma gorge chaude, et glisse lentement.
Son gros gland me rempli bien la gorge.

"Orhhhh ! Putain ! T'es doué ! Ourhhh , Oui, comme ça ! Tu me suces bien ! Pascal !".

Je n'ai aucun mérite, je suis dingue de sa bite !
Je m'applique comme jamais, comme avec mon premier amant !

Ses mains sur mon crâne, me rassurent, il aime ma bouche et s'y abandonne !

Je lui offre toute mon expérience buccale, acquise à force de fellations, sur mes nombreux amants militaires, et civils depuis peu !

J'essaie de ne pas le faire éjaculer, j'ai envie qu'il me prenne !
Juste assez pour le garder en érection !
Cela pendant des minutes délicieusement interminables !

"Orhhh ! Stop ! Pascal ! J'ai envie de ton cul ! Maintenant ! Tu veux bien ?".
"Mmmmm ! Oui, je le veux !".

Il me donne un baiser fougueux, en me remerciant du plaisir qu'il a connu avec ma gorge !

Ses mains me dénudent sans quitter ma bouche, puis me pivotent !
Il me salive plusieurs fois l'anus.
Sa verge trouve ma rosette anale, aussitôt après.

Il se baisse pour s'y placer idéalement, à cause de sa grande taille !
Je l'aide analement, grâce à mon sphincter, qui lui permet de m'investir un peu plus vite.

Je râle dès les premiers millimètres d'insertion.
Il s'en inquiète:

"Ca va, mon chéri ! J'te fais pas mal ?".
"Orhhhhhhhhhh ! Non ! Au contraire ! C'est bon ! Continues ! Prends-moi !".

Il m'inflige plusieurs poussées fermes.
Sa verge glisse alors, sans rencontrer d'obstacle ! Sauf mon coccyx, à la fin !
On mèlent nos gémissements de plaisir.

"Orhhhh ! Philippe ! C'est trop bon !".
"Orhhhh ! Je suis trop bien ! Putain, tu me fais craquer, Pascal !".

Il entame sa possession.
Ses coups de verge, me soulèvent naturellement les fesses.
Je dois me tenir sur la pointe des pieds pour l'encaisser, au début.
Puis, c'est lui qui me porte avec sa bite et ses grandes mains !
je m'appuie comme je peux, contre la paroi de la cabane.
Je suis plié en deux, pendant qu'il me transperce le corps, sans relâche, mais sans s'affoler.
Tout en contrôle !

"Philippe ! Tu me fais jouir ! Arghhhhhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhh ! ...".

Il redouble de puissance.

"Putain ! Pascal, je suis fou de toi ! J'aime t'enculer !".

Est-ce que sa verge est parfaite pour mon anus ?
Je sais pas, mais l'effet est rapide, je bande au bout de ma deuxième montée de plaisir, et je crache mon sperme sur le sol, en criant.

"Chhhht ! Mon chéri ! On va t'entendre ! Jouis moins fort !".
"Arghhhhh ! Mmmmmmmm ! Tu m'encules trop bien ! Mmmmmmmmmmmm...".

Il se lâche enfin, et se déchaine dans mes fesses, pendant un temps, encore délicieux.

Je joui une dernière fois, juste avant qu'il se déverse dans mon petit cul de 20 ans.

On a du rester presque cinq minutes, encore planté l'un dans l'autre !

"J'ai pas envie de te quitter, mon chéri ! Je suis trop bien là ! Dans ta petite chatte !".
"Hummm ! Moi non plus, je veux pas que tu t'enlèves ! C'est trop bon !".

"T'es obligé d'y retourner ?".
"Ben, ouais ! Ils m'attendent, ils vont se demander pourquoi, je ne reviens pas !".

"Va les voir, et tu leur dis que tu dois rentrer ! Je t'emmène chez moi ! J'ai envie de te garder !".
"Je... je sais pas ! Bon, ok, t'as raison ! Moi aussi, j'ai pas envie de te laisser ! Attends-moi ici !".

Je me couvre les fesses sans m'essuyer, il m'a inséminé très profondément, ça m'aide !
Je retrouve mes potes, avec un début d'écoulement anal, zut !

"Désolé ! Je dois rentrer ! Ma sœur m'a dit qu'on avait besoin de moi, à la maison !".
"Oh, merde ! On s'amusait bien !".
"Je sais ! Bon, j'y vais ! A la prochaine !".

A mon retour, Philippe me sourit, il est devant le terrain vague.

"On va à la voiture, je t'emmène chez moi ! Je suis trop content !".

Sa joie me rempli de bonheur, j'aime qu'on m'apprécie sexuellement !
Chez lui, il me traite, comme une princesse !
Comme il fait chaud, on se dénude rapidement.

"Putain, t'es trop mignon ! On va pas tarder à recommencer, je crois !".

Il m'embrasse en me caressant le cul fermement.

"Humm! Il m'a bien fait jouir, tout à l'heure ! Tu sais que t'as un cul de rêve ?".
"Je... je sais pas, j'ai bien joui en tout cas !".

Il passe un de ses doigts, sur ma rosette, encore humide et poisseuse.

"Hummm ! Il est encore ouvert ! J'en suis fou déjà ! T'as encore mon sperme ! C'est excitant !".

Il me guide vers sa verge à demi molle.
Je la lèche, et la suce longuement.
Chaque millimètre de gonflement me comble de satisfaction.

Je ne suis pas conscient, que j'aime sa verge trop passionnément, avec ma bouche.
Il bande de plus en plus fermement, jusqu'à me faire mal, quand il me baise la gorge profondément !

"Tu la veux encore dans ta p'tite chatte ? Mon chéri !".
"Oui ! Fais moi jouir comme tout à l'heure ! J'en ai encore envie !".

Il me plie sur sa table basse de salon, puis m'empale d'une traite.
Comme une chienne.
Il est à une hauteur parfaite, pour m'embrocher !

Il s'agrippe à mes hanches, et s'affaire avec puissance, dans ma chatte.
J'atteins rapidement mes premiers plaisirs.

Il adore m'entendre.

"Putain, Pascal ! Tu me rends fou ! T'es fait pour ça ! J'aime te baiser !".

Je m'étrangle de plaisir anal, trop occupé à jouir sur sa bite.
Il me lime comme un bourrin, parfois, puis plus sensuellement, à d'autres moments.
J'aime ce changement de rythmes !

Le fait qu'il ai joui une première fois, lui donne une endurance supplémentaire.

Je coule du cul, sur sa bite, quand il s'est allongé par terre, et que je me défonce l'anus sur lui.

"Putain ! T'es entrain de me tremper la bite ! T'es trop beau, mon chéri ! Vas y, éclates toi la chatte ! Tu vas me faire gicler encore !".

Il me fait stopper, pour me placer sur le ventre, en prenant sa place.
il vient sur moi, et me transperce comme un marteau piqueur.

"Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Philippe ! C'est trop bon ! Arghhhhhhhh ! ...".

Il me fait atteindre de nouveaux sommets, puis, il me comble de bonheur !
Il éjacule !

"Je vais jouir, mon chéri ! Arghhhhhhhh ! Arghhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !...".

Comme il ne cesse de bouger, entre deux spasmes éjaculatoires.
Je le rejoins dans l'orgasme !

Je lui déclare mes impressions, ensuite:

"Orhhhhhhh ! Putain, ça fait longtemps que j'avais pas joui comme ça ! Orhhhh ! C'est trop bon !".

Il se cambre pour pouvoir me caresser le visage, tendrement.

"J'ai craqué sur toi, Pascal ! Il faut que tu deviennes mon mec ! Je peux déjà plus me passer de toi !".
"Quoi ? Mais je suis pas homo ! Je suis bi ! Je peux pas !".

"N'importe quoi ! J'ai baisé des homos qui jouissaient moins que toi ! Tes un pédé ! Assumes le !".
"Non ! Je sais ce que je veux ! J'ai envie de vivre avec une femme ! J'ai une attirance naturelle envers les filles ! C'est comme ça ! Les hommes, c'est différent, c'est physique ! Sexuel !".

"Et tu prends autant ton pied, avec une meuf ?".
"Euh, ...je sais pas encore, mais je sais que c'est mon attirance naturelle !".

"Comment ça, t'as pas encore baisé de fille ?".
"Non !".
"Ha ! Ha ! C'est la meilleure !".

Il voit que je le prends mal, il me prend dans ses bras et s'excuse.

"Désolé, mon chaton ! Oublies ça ! Tu veux bien qu'on se revoit, moi, j'ai besoin de te revoir !".
"Je... Bon, d'accord ! Mais je ressens pas la même chose pour toi ! Tu vas trop vite !".
"Je m'en fous ! Ca viendra avec le temps ! Je t'aurai à l'usure !".

J'ai dormi avec lui.
J'en apprends plus sur lui, il est marin militaire (Capitaine de Vaisseau ! Décidément !), basé à Toulon depuis 2 ans.
Il a demandé à se rapprocher d'une autre ville, et attend sa mutation, avant la retraite.
Il a plus de quarante ans !

Il me précise que je lui rappelle un "EX", mais en bien plus jeune !

On s'endort tranquillement.
Je me sens étrangement bien dans ses bras.
Ma féminité latente me fait peur !

C'est lui qui me sort de mes songes !
Il pose un plateau garni de croissants et de 2 cafés, sur le lit.
On déjeune comme deux amants de longue date.

Puis, il monte sur moi, et m'embrasse.
Cela devient sensuel, Je ne veux pas !
Mais, j'ai du mal à lui résister, puis je m'abandonne.

J'ai tellement besoin de tendresse, après tout !
Non ! Pas avec un homme, encore !
Tant pis, j'en profite ! C'est trop vital pour mon équilibre !

Quand il m'ouvre les cuisses, après de longs baisers et caresses, dont un anulingus.
Je le reçois avec bonheur.

Il me fait jouir inexorablement,
Mon plaisir anal monte, encore et encore !
J'explose sans retenue, sous son corps qui me possède.

"Tu vas m'aimer ! Pascal ! Tu m'aimes déjà ! Ca se voit !".

Il n'obtient que mes râles jouissances, et s'en contente.
Il me pivote, et me pilonne par derrière, comme la veille.
Sa verge épaisse, entre et sort de ma chatte, avec une facilité étonnante.

Je flatule à chaque enfoncée, ça l'excite !
Il se branle dans mon orifice, jusqu'à la montée de son éjaculation.

"Orhhhhhhhhhhhhhhhh ! Chéri ! Prends-moi dans ta bouche ! Vite !".

Il se tourne sur le dos, je recouvre sa grosse verge avec ma gorge.
Sa main me garde enfoncé, pendant que je mime une pénétration, avec ma bouche.
Il éjacule un premier jet.

Je gémis de bonheur, enfin, je goute et j'avale son sperme !

Il râle plus fort, en crachant ses autres jets.
Je glousse mon plaisir de l'avaler.

"Arghhhhhhhhhh ! Putain ! Même ça, tu le fais bien ! Arghhhhhhhhhhh ! Oui, jusqu'au bout ! Mon chéri ! Ahhh...".

J'ai beau dire le contraire, j'aime baiser avec Philippe !
Le sucer, l'avaler, jouir avec sa verge !

Son plaisir m'excite plus qu'aucun autre !
Mais tout ça me trouble, j'y réfléchirai plus tard !

Pour l'instant, je prend mon pied à le boire ! Il m'a tellement bien enculé !
Après une longue séance de léchage de sa bite, je remonte vers sa bouche.
Il m'enlace.

"Ben, putain ! Pour un mec qui se dit "pas homo"! Tu te donnes à fond !".
"Arrêtes avec ça ! S'il te plait ! J'ai pas envie d'en parler !".

"Ok, mon chaton ! C'était bon ? Non ?".
"Oui, très ! J'ai adoré ! Tu me donnes beaucoup de plaisir !".

"Je prends ! C'est déjà ça ! On se revoit quand ?".
"Euh, je suis encore à l'armée ! Il me reste 3 semaines ! Et je vis chez mes parents !".

"L'armée ? T'as quel âge ?".
"20 ans !".

"Putain, je t'en donne 17 ou 18 !".
"Je sais ! Maintenant, c'est un avantage, mais avant, c'était difficile à vivre !".

"Qui sait que tu baises avec des hommes ?".
"Mon mec, et ceux qui m'ont baisé ! C'est tout !".

"T'as un mec ? Et tu te dis hétéro ?".
"Oui, à l'armée ! C'est un gradé ! C'est lui qui m'a dépucelé ! Ca me fait chier de le quitter, mais je dois vivre ma vie !".

"Et les autres ?".
"C'est ses potes ! Ils me baisent à plusieurs ! Avec lui !".

"Eh ! Mais t'es une petite salope, en fait !".
"Je... je sais pas, peut être ! C'est pas encore bien établi dans ma tête, tout ça !".

"Ben, c'est sûr ! Crois-moi ! Bon, je vais pas me plaindre ! J'en profite ! Après tout ! On se revoit quand, alors ?".
"Jeudi, quand je rentre du camp ! Après le repas, vers 20h30 !".

"OK, on peut pas plus tôt ?".
"Euh, je sais pas, si, mais je dois cacher à mes parents que je suis en perm !".

"Ben, voilà, je te prends à la gare, et tu restes tout le week-end !".
"T'exagères ! On verra !".

"Et aujourd'hui ? T'as quelque chose de prévu ?".
"Euh, c'est pas un peu rapide ? Tu vas m'étouffer, si tu m'en demandes trop !".

"Ouais, t'as raison ! Mais tu peux rester jusqu'à midi !".
"Ok, si tu veux !".

Finalement, je suis rentré chez mes parents après 22 h !
J'ai fais une overdose de sexe masculin !
Il m'a démonté partout, et dans tous les sens !
Mais paradoxalement, j'en avais autant envie que lui !

Le simple fait d'être près de lui.
Sa présence si imposante, le souvenir de sa verge en moi.
Ce qui rythmait nos ébats, c'était sa capacité à bander, et son envie de me prendre encore.

Notre besoin commun de se toucher, aussi, nous rapprochait.
Il s'est plaint de ne plus pouvoir éjaculer, à un moment, mais c'est lui qui me provoquait !

Le lendemain, j'ai retrouvé mon amant militaire, à qui j'ai caché cette double relation.
J'avais déjà un pied en dehors de la caserne !

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Pas très bon, désolé, et même pour de la fiction, pas du tout crédible. Mais tant que tu t'amuses à t'inventer des souvenirs, rien à dire, hein.



Texte coquin : Philippe, l'Officier Marinier.
Histoire sexe : Une rose rouge
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