Philippe, l'Officier Marinier. 2.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Philippe, l'Officier Marinier. 2.
Ma semaine militaire se déroule comme les précédentes.
Des rapports quasi journaliers avec mon lieutenant, et plus espacés, avec le commandant, et le sergent qui vient me solliciter pour une fellation.
Mon amant m'informe d'une dernière rencontre à venir, chez lui, avec un groupe de militaires.
Ses amis veulent "fêter" mon départ !
Cela se passera en milieu de semaine prochaine.
En prenant ma douche, pour rentrer à Toulon, je prends soin d'éliminer les traces des dernières sodomies que j'ai vécu, avec mon amant et son ami, le commandant.
Je regarde avec regret, le mélange des spermes, qui part dans la bonde de la douche.
C'est mieux comme ça.
J'ai pas envie de m'expliquer, en retrouvant Philippe !
Je suis propre comme une pucelle, à présent !
Je m'étonne de bander, dans le train, sur le retour vers Toulon !
Pourquoi, j'ai autant envie de Philippe ?
Peut être, la nouveauté de la relation !
Je m'attends à le voir, en sortant de la gare.
Mais je me trompe, il est sur le quai !
La façon dont il me serre contre lui, m'affole !
"Soit plus discret ! Philippe ! Il y a des gens !".
"T'as raison, excuses-moi, mais tu m'as manqué, tu peux pas imaginer, à quel point !".
"Toi aussi, tu m'as manqué !".
"C'est vrai ?".
"Oui !".
"Bon, on va vite à la maison ! J'ai trop envie !".
Il insiste pour porter mon sac.
Dans la voiture, il n'arrête pas de me caresser la cuisse.
La tension sexuelle est énorme.
"Putain, je bande comme un taureau ! Ma queue me fait mal ! Il faut qu'on baise ! T'as envie ?".
"Devines !".
Son visage radieux le rend encore plus attirant.
Je n'ai jamais ressenti ça, pour un homme, même avec le "lieutenant".
Je regarde la bosse entre ses jambes, j'ai encore plus envie de lui !
J'ai envie de lui caresser la verge, mais ce ne serait pas raisonnable ! Patience !
Il me parle de sa semaine "interminable" à m'attendre.
"J'ai du me branler presque tous les soirs ! Ca faisait longtemps, qu'un mec ne m'avait pas excité comme ça !".
Je souris.
Le pauvre ! Moi j'étais mieux loti ! On me baisait tous les jours !
Mais j'avoue que le soir venu, je n'ai pensé qu'à lui !
Dès qu'on passe sa porte, on se jette l'un sur l'autre frénétiquement.
Nos vêtements sont jetés et éparpillés par terre.
Sa puissance me fait fondre.
Je suis déjà nu, avec mes jambes qui entourent sa taille, en l'embrassant. fougueusement.
Mes bras entourent son cou, pendant qu'il me soulève par les fesses.
Il me répète qu'il est fou de moi, entre chaque baiser.
Sa queue dure, doit dépasser entre mes lobes fessiers, il m'excite !
Ses doigts me salivent l'anus, plusieurs fois.
Il me soulève assez, pour coller son gros gland, contre mon œillet anal.
Ensuite, mon poids m'enfonce lentement sur sa grosse verge.
Je gémis dans sa bouche.
J'ai jamais eu, autant envie qu'on me pénètre.
Alors que mon anus, retrouve la béance que m'ont causé mes amants militaires.
Son gros gland vient toucher mon fondement anal.
Il me soulève pour coulisser et m'enculer sensuellement.
Je quitte ses lèvres, pour râler mon plaisir de l'avoir en moi.
Mon corps est cambré sur sa verge, tenu par mes mains autour de son cou.
"Arhhhhh ! Philippe ! C'est trop bon ! Tu m'as trop manqué !".
"Toi aussi, tu m'as manqué, chéri ! Ta chatte m'a manqué !".
"Arhhhhhhhhh ! Moi aussi, j'ai pensé qu'à toi ! Prends-moi encore !".
C'est la première fois qu'un homme est assez puissant pour m'empaler sur lui, en restant debout !
Inévitablement, je me sens comme une femelle fragile dans ses bras.
Chaque empalement m'emporte vers un plaisir total, je lui crie ma jouissance.
Je n'ai aucun contrôle sur l'enfoncement profond de sa verge.
Et elle va de plus en plus loin.
En me provoquant une sensation nouvelle dans le fond de mon cul.
Mon orgasme est différent ! Le premier de ce genre !
Il nous déplace ensuite, pour poser mon corps sur sa table haute de salon.
Je le vois qui me transperce, en essayant de garder le contrôle.
J'aime lui appartenir !
Il me tient par les chevilles, je suis à sa merci, et j'aime ça !
Je comprends qu'il perd la tête, ses déclarations passionnelles s'enchainent.
Il m'assène parfois des enfoncements plus violents, qui trahissent son envie de me faire mal !
"Dis moi ? T'as encore baisé avec ton mec ? Et ses potes ?".
"Chht ! Tais-toi ! Arhhhhhhhhhh ! Je veux pas parler de ça ! Mmmmmmmmm ! Arghhhhhhhhh !".
"Dis le moi !".
"Oui ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"Salope ! Je veux plus que tu baises avec un autre ! Je... je t'aime ! Tu comprends ?".
"Je te demande pardon ! Philippe ! Arghhhhhhhh ! Mais je les ai connu avant toiiiiiiiii ! Arghhhhhhhh !".
"Je veux plus ! Je veux plus ! T'es à moi ! J'veux que tu m'aimes !".
Il plonge entre mes cuisses pour m'embrasser passionnément.
Je joui dans sa bouche.
Cet instant puissant me rend dingue.
Ensuite, il se relève, et me possède avec puissance et frénésie.
Il me pivote ensuite, pour me saillir comme une chienne.
"C'est ça que tu veux ? Qu'on te défonces comme une pute ? une salope ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
J'accumule les orgasmes.
Jusqu'à son explosion dans ma chatte.
Il éjacule dans un état d'essoufflement extrême.
Il se calme, en me redressant contre lui.
"Pardon ! ...Je t'aime trop, Pascal ! Ne me laisses pas ! Tu me rends fou !".
J'ai un sentiment bizarre, du haut de mes 20 ans, c'est moi qui ai le contrôle de cette relation, avec un homme de 42 ans !
"Je suis là ! Calme toi ! Je vais quitter l'armée, en plus ! Je serais à toi, autant que je pourrai ! Il faut pas m'en vouloir ! Si mon "lieutenant" n'existait pas, tu ne m'aurais jamais rencontré ! C'est quand même lui, qui m'a révélé ! Laisses moi vivre mes derniers moments avec lui ! Tu préfères que je te mentes ?".
"Non ! Mais c'est dur ! Je supporte plus qu'un autre te touche !".
"Sois patient ! N'y penses plus ! On est que tous les deux ! Ne gâches pas ce moment ! On a trop besoin l'un de l'autre !".
Il me serre davantage.
"Je t'aime ! ...Et toi ?".
"Je... Je sais pas ! C'est trop tôt ! Mais, tu m'obsèdes, c'est sûr !".
"Merci !... Mon amour !".
Je ne sais pas quoi faire de cette déclaration.
Mais, sous ses nouvelles caresses tendres, je ne peux, que me laisser aller.
Son puissant désir envers moi, l'empêche de débander.
Il me transporte jusque dans sa chambre, et plonge entre mes cuisses, en me faisant l'amour.
Son sperme coule de mon anus, et pollue ses draps, à chaque enfoncement, mais on s'en moque !
Il me possède avec fougue et passion.
Ses mains me frottent puissamment, et me griffent parfois.
J'adore cette sauvagerie sexuelle !
On enchaine les positions, parfois improbables !
Comme celle, où il est à l'opposé de mon corps, sur mon dos.
Ses pieds touchent mon visage, pendant que sa grosse verge me taraude durement la chatte et me fait éjaculer !
Celle aussi, où il me dévore l'anus, tout en me baisant la gorge, entre deux fellations gourmandes.
Quand il jouit enfin, son incroyable explosion de plaisir me rend dingue de lui !
Je dois me contrôler !
Je ne veux pas aimer un homme !
Surtout que j'ai encore mon ex petite amie dans la tête ! J'arrive pas à l'oublier !
L'aimer elle, me semble plus facile et naturel !
Je ne peux pas lui dire ça ! Il ne pourrait pas le comprendre !
Cette jouissance commune, nous était nécessaire.
On a retrouvé notre clarté d'esprit, enfin calmés.
Nos gestes sont plus doux, plus sereins.
Il s'excuse pour toutes les marques qu'il m'a fait sur le corps.
"C'est pas grave, c'était trop bien !".
Je regarde mes fesses rougies à l'extrême, elles trahissent sa passion envers moi !
Il m'invite à manger en extérieur, un endroit discret.
Il se comporte en "ami" devant les gens, j'apprécie !
Il me rassure, en ajoutant:
"Qu'est-ce que tu crois ! Pour moi aussi, c'est plus simple de faire croire que je suis hétéro !".
"Tant mieux alors ! Je préfère ça !".
En rentrant chez lui, sans qu'il s'y attende, je me blottis contre lui.
"Oh ! Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Rien, je suis bien !".
"Tu m'aimes un peu, alors ?".
"Je sais pas ! T'es le deuxième homme qui me dit qu'il m'aime ! Je sais pas comment réagir, quand ça m'arrive ! Je change aussi de comportement ! C'est bizarre !".
"L'autre, c'est ton mec !".
"Oui, mais c'est venu bien après le début de notre relation ! Avec toi, c'est plus évident ! J'aurai peut être du fuir ton regard !".
"Moi, je regrette rien !".
"Pourquoi moi ?".
"Je sais pas, j'ai vu que toi ! T'es mon premier coup de foudre ! Tu sais ! Et toi ? Pourquoi, tu m'as suivi ?".
"Je... Je sais pas ! Ca m'a semblé évident ! Je devais t'appartenir ! Même avec la foule, j'avais l'impression qu'on était seuls !".
"Comme pour moi !".
"Tout ça me fait peur ! Philippe !".
"Mais non, ma puce ! Viens là ! Laisses toi aller !".
Je me blottis dans ses bras, et doucement, je m'endors, sous ses tendres caresses.
Vers 6h30, il me réveille:
"Ma p'tite chatte ? Je vais au boulot ! Tu m'attends ! Je reviens à midi !".
Je me lève deux heures plus tard, et nettoie mes effluves sexuelles.
Dont mes "fuites" urinaires, il m'a enculé trop longtemps !
Même ça, il aime !
Il me remercie pour mon "ménage" et le repas que j'ai improvisé.
Il n'a pas le temps de me prendre, avant de retourner bosser.
Et ça arrange bien mon anus !
Je tire la porte derrière moi, et profite de mon après-midi, en retrouvant des potes sur le port.
Le hasard fait, que je revois mon ex.
Elle m'avoue:
"Je t'aime toujours ! Je veux qu'on ressorte ensemble, mais en arrêtant les mensonges ! Je te tromperai plus ! C'est toi que j'aime !".
Ca me rassure, et nous reprenons notre histoire !
Ca complique davantage la mienne ! Mais j'ai besoin d'elle !
En plus, ça confirme mon besoin d'hétérosexualité !
Quand on se sépare, j'ai un sentiment bizarre.
Je l'aime, mais je vais rejoindre un homme, dont je ne peux déjà plus me passer !
Cette fois, c'est moi qui lui ment !
Des rapports quasi journaliers avec mon lieutenant, et plus espacés, avec le commandant, et le sergent qui vient me solliciter pour une fellation.
Mon amant m'informe d'une dernière rencontre à venir, chez lui, avec un groupe de militaires.
Ses amis veulent "fêter" mon départ !
Cela se passera en milieu de semaine prochaine.
En prenant ma douche, pour rentrer à Toulon, je prends soin d'éliminer les traces des dernières sodomies que j'ai vécu, avec mon amant et son ami, le commandant.
Je regarde avec regret, le mélange des spermes, qui part dans la bonde de la douche.
C'est mieux comme ça.
J'ai pas envie de m'expliquer, en retrouvant Philippe !
Je suis propre comme une pucelle, à présent !
Je m'étonne de bander, dans le train, sur le retour vers Toulon !
Pourquoi, j'ai autant envie de Philippe ?
Peut être, la nouveauté de la relation !
Je m'attends à le voir, en sortant de la gare.
Mais je me trompe, il est sur le quai !
La façon dont il me serre contre lui, m'affole !
"Soit plus discret ! Philippe ! Il y a des gens !".
"T'as raison, excuses-moi, mais tu m'as manqué, tu peux pas imaginer, à quel point !".
"Toi aussi, tu m'as manqué !".
"C'est vrai ?".
"Oui !".
"Bon, on va vite à la maison ! J'ai trop envie !".
Il insiste pour porter mon sac.
Dans la voiture, il n'arrête pas de me caresser la cuisse.
La tension sexuelle est énorme.
"Putain, je bande comme un taureau ! Ma queue me fait mal ! Il faut qu'on baise ! T'as envie ?".
"Devines !".
Son visage radieux le rend encore plus attirant.
Je n'ai jamais ressenti ça, pour un homme, même avec le "lieutenant".
Je regarde la bosse entre ses jambes, j'ai encore plus envie de lui !
J'ai envie de lui caresser la verge, mais ce ne serait pas raisonnable ! Patience !
Il me parle de sa semaine "interminable" à m'attendre.
"J'ai du me branler presque tous les soirs ! Ca faisait longtemps, qu'un mec ne m'avait pas excité comme ça !".
Je souris.
Le pauvre ! Moi j'étais mieux loti ! On me baisait tous les jours !
Mais j'avoue que le soir venu, je n'ai pensé qu'à lui !
Dès qu'on passe sa porte, on se jette l'un sur l'autre frénétiquement.
Nos vêtements sont jetés et éparpillés par terre.
Sa puissance me fait fondre.
Je suis déjà nu, avec mes jambes qui entourent sa taille, en l'embrassant. fougueusement.
Mes bras entourent son cou, pendant qu'il me soulève par les fesses.
Il me répète qu'il est fou de moi, entre chaque baiser.
Sa queue dure, doit dépasser entre mes lobes fessiers, il m'excite !
Ses doigts me salivent l'anus, plusieurs fois.
Il me soulève assez, pour coller son gros gland, contre mon œillet anal.
Ensuite, mon poids m'enfonce lentement sur sa grosse verge.
Je gémis dans sa bouche.
J'ai jamais eu, autant envie qu'on me pénètre.
Alors que mon anus, retrouve la béance que m'ont causé mes amants militaires.
Son gros gland vient toucher mon fondement anal.
Il me soulève pour coulisser et m'enculer sensuellement.
Je quitte ses lèvres, pour râler mon plaisir de l'avoir en moi.
Mon corps est cambré sur sa verge, tenu par mes mains autour de son cou.
"Arhhhhh ! Philippe ! C'est trop bon ! Tu m'as trop manqué !".
"Toi aussi, tu m'as manqué, chéri ! Ta chatte m'a manqué !".
"Arhhhhhhhhh ! Moi aussi, j'ai pensé qu'à toi ! Prends-moi encore !".
C'est la première fois qu'un homme est assez puissant pour m'empaler sur lui, en restant debout !
Inévitablement, je me sens comme une femelle fragile dans ses bras.
Chaque empalement m'emporte vers un plaisir total, je lui crie ma jouissance.
Je n'ai aucun contrôle sur l'enfoncement profond de sa verge.
Et elle va de plus en plus loin.
En me provoquant une sensation nouvelle dans le fond de mon cul.
Mon orgasme est différent ! Le premier de ce genre !
Il nous déplace ensuite, pour poser mon corps sur sa table haute de salon.
Je le vois qui me transperce, en essayant de garder le contrôle.
J'aime lui appartenir !
Il me tient par les chevilles, je suis à sa merci, et j'aime ça !
Je comprends qu'il perd la tête, ses déclarations passionnelles s'enchainent.
Il m'assène parfois des enfoncements plus violents, qui trahissent son envie de me faire mal !
"Dis moi ? T'as encore baisé avec ton mec ? Et ses potes ?".
"Chht ! Tais-toi ! Arhhhhhhhhhh ! Je veux pas parler de ça ! Mmmmmmmmm ! Arghhhhhhhhh !".
"Dis le moi !".
"Oui ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"Salope ! Je veux plus que tu baises avec un autre ! Je... je t'aime ! Tu comprends ?".
"Je te demande pardon ! Philippe ! Arghhhhhhhh ! Mais je les ai connu avant toiiiiiiiii ! Arghhhhhhhh !".
"Je veux plus ! Je veux plus ! T'es à moi ! J'veux que tu m'aimes !".
Il plonge entre mes cuisses pour m'embrasser passionnément.
Je joui dans sa bouche.
Cet instant puissant me rend dingue.
Ensuite, il se relève, et me possède avec puissance et frénésie.
Il me pivote ensuite, pour me saillir comme une chienne.
"C'est ça que tu veux ? Qu'on te défonces comme une pute ? une salope ?".
"Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh ! ...".
J'accumule les orgasmes.
Jusqu'à son explosion dans ma chatte.
Il éjacule dans un état d'essoufflement extrême.
Il se calme, en me redressant contre lui.
"Pardon ! ...Je t'aime trop, Pascal ! Ne me laisses pas ! Tu me rends fou !".
J'ai un sentiment bizarre, du haut de mes 20 ans, c'est moi qui ai le contrôle de cette relation, avec un homme de 42 ans !
"Je suis là ! Calme toi ! Je vais quitter l'armée, en plus ! Je serais à toi, autant que je pourrai ! Il faut pas m'en vouloir ! Si mon "lieutenant" n'existait pas, tu ne m'aurais jamais rencontré ! C'est quand même lui, qui m'a révélé ! Laisses moi vivre mes derniers moments avec lui ! Tu préfères que je te mentes ?".
"Non ! Mais c'est dur ! Je supporte plus qu'un autre te touche !".
"Sois patient ! N'y penses plus ! On est que tous les deux ! Ne gâches pas ce moment ! On a trop besoin l'un de l'autre !".
Il me serre davantage.
"Je t'aime ! ...Et toi ?".
"Je... Je sais pas ! C'est trop tôt ! Mais, tu m'obsèdes, c'est sûr !".
"Merci !... Mon amour !".
Je ne sais pas quoi faire de cette déclaration.
Mais, sous ses nouvelles caresses tendres, je ne peux, que me laisser aller.
Son puissant désir envers moi, l'empêche de débander.
Il me transporte jusque dans sa chambre, et plonge entre mes cuisses, en me faisant l'amour.
Son sperme coule de mon anus, et pollue ses draps, à chaque enfoncement, mais on s'en moque !
Il me possède avec fougue et passion.
Ses mains me frottent puissamment, et me griffent parfois.
J'adore cette sauvagerie sexuelle !
On enchaine les positions, parfois improbables !
Comme celle, où il est à l'opposé de mon corps, sur mon dos.
Ses pieds touchent mon visage, pendant que sa grosse verge me taraude durement la chatte et me fait éjaculer !
Celle aussi, où il me dévore l'anus, tout en me baisant la gorge, entre deux fellations gourmandes.
Quand il jouit enfin, son incroyable explosion de plaisir me rend dingue de lui !
Je dois me contrôler !
Je ne veux pas aimer un homme !
Surtout que j'ai encore mon ex petite amie dans la tête ! J'arrive pas à l'oublier !
L'aimer elle, me semble plus facile et naturel !
Je ne peux pas lui dire ça ! Il ne pourrait pas le comprendre !
Cette jouissance commune, nous était nécessaire.
On a retrouvé notre clarté d'esprit, enfin calmés.
Nos gestes sont plus doux, plus sereins.
Il s'excuse pour toutes les marques qu'il m'a fait sur le corps.
"C'est pas grave, c'était trop bien !".
Je regarde mes fesses rougies à l'extrême, elles trahissent sa passion envers moi !
Il m'invite à manger en extérieur, un endroit discret.
Il se comporte en "ami" devant les gens, j'apprécie !
Il me rassure, en ajoutant:
"Qu'est-ce que tu crois ! Pour moi aussi, c'est plus simple de faire croire que je suis hétéro !".
"Tant mieux alors ! Je préfère ça !".
En rentrant chez lui, sans qu'il s'y attende, je me blottis contre lui.
"Oh ! Qu'est-ce qui t'arrives ?".
"Rien, je suis bien !".
"Tu m'aimes un peu, alors ?".
"Je sais pas ! T'es le deuxième homme qui me dit qu'il m'aime ! Je sais pas comment réagir, quand ça m'arrive ! Je change aussi de comportement ! C'est bizarre !".
"L'autre, c'est ton mec !".
"Oui, mais c'est venu bien après le début de notre relation ! Avec toi, c'est plus évident ! J'aurai peut être du fuir ton regard !".
"Moi, je regrette rien !".
"Pourquoi moi ?".
"Je sais pas, j'ai vu que toi ! T'es mon premier coup de foudre ! Tu sais ! Et toi ? Pourquoi, tu m'as suivi ?".
"Je... Je sais pas ! Ca m'a semblé évident ! Je devais t'appartenir ! Même avec la foule, j'avais l'impression qu'on était seuls !".
"Comme pour moi !".
"Tout ça me fait peur ! Philippe !".
"Mais non, ma puce ! Viens là ! Laisses toi aller !".
Je me blottis dans ses bras, et doucement, je m'endors, sous ses tendres caresses.
Vers 6h30, il me réveille:
"Ma p'tite chatte ? Je vais au boulot ! Tu m'attends ! Je reviens à midi !".
Je me lève deux heures plus tard, et nettoie mes effluves sexuelles.
Dont mes "fuites" urinaires, il m'a enculé trop longtemps !
Même ça, il aime !
Il me remercie pour mon "ménage" et le repas que j'ai improvisé.
Il n'a pas le temps de me prendre, avant de retourner bosser.
Et ça arrange bien mon anus !
Je tire la porte derrière moi, et profite de mon après-midi, en retrouvant des potes sur le port.
Le hasard fait, que je revois mon ex.
Elle m'avoue:
"Je t'aime toujours ! Je veux qu'on ressorte ensemble, mais en arrêtant les mensonges ! Je te tromperai plus ! C'est toi que j'aime !".
Ca me rassure, et nous reprenons notre histoire !
Ca complique davantage la mienne ! Mais j'ai besoin d'elle !
En plus, ça confirme mon besoin d'hétérosexualité !
Quand on se sépare, j'ai un sentiment bizarre.
Je l'aime, mais je vais rejoindre un homme, dont je ne peux déjà plus me passer !
Cette fois, c'est moi qui lui ment !
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