Philippe, l'Officier Marinier. 3. C'est compliqué !
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Philippe, l'Officier Marinier. 3. C'est compliqué !
Le mois qui suit est très perturbant.
Mais j'assume mes choix !
Pendant ce mois, j'ai vécu une orgie sexuelle, avec les amis militaires de mon premier amant.
j'y ai connu mes premières doubles pénétrations anales !
C'était géant ! J'ai hâte de recommencer !
Bien sûr, je cache tout ça à Philippe (et ma copine, c'est évident !).
J'ai été libéré de mes obligations envers l'état, une semaine plus tard.
La quille ! Enfin !
Je viens d'avoir mon premier rapport sexuel, avec ma copine.
Ca s'est formidablement bien passé !
Je ne saurai jamais, si mes expériences homosexuelles m'ont servi !
Mon endurance m'a surprit !
Enfin, ma queue me sert autrement, que pour jouir, avec une autre dans le cul, ou entre mes doigts !
J'éjacule pas encore, dans son vagin, mais j'ai pris énormément de plaisir à l'aimer !
On doit gérer le fait qu'elle ne prenne pas la pilule.
Donc, j'ai osé aller prendre des capotes à la pharmacie.
Pas évident en 1980 !
En quelques mois, on tentera la sodomie, sur elle.
Le pied !
Ca deviendra presque routinier, elle tient à me faire jouir en elle !
De l'autre coté avec Philippe, c'est toujours aussi passionnel.
Il est sûr de son amour pour moi.
Moi, c'est plus compliqué !
Mais comme j'arrive pas à le quitter, je me dis que je dois l'aimer aussi !
Le contraste entre ses deux relations est flagrant.
Avec elle, j'ai la position dominante, amoureusement comme sexuellement.
Elle se laisse aimer, et m'offre son corps, que j'aime posséder !
Avec Philippe, c'est le contraire, c'est moi qui me laisse aimer !
Et ça, j'en ai besoin aussi !
Par contre, pour mon équilibre, j'espace mes rapports avec Philippe.
Surtout, depuis ma première fois avec elle.
Il ignore qu'elle existe, mais doit se contenter de ce que je lui donne.
Cette situation dure encore quelques mois.
Jusqu'à ce fameux jour !
Après une énième communion sexuelle avec ma copine, je la raccompagne chez elle.
Son père ne doit pas me voir, il est contre toute relation pour sa fille !
Si il savait ?
Je la quitte pour prendre un bus.
Ce soir comme prévu, je dois retrouver Philippe !
Je cogne à sa porte, il ouvre.
"Bonsoir ! Ma p'tite chatte ! T'as passé une bonne journée ?".
"Oui, super ! Merci !".
"Ca, j'imagine !".
Son ton est sec ! Je ne le comprends pas !
"Qu'est-ce qui se passe ? J'ai fait quelque chose de mal ?".
"On en parlera après ! T'as faim ?".
"Oui, un peu ! Je peux t'aider ?".
Il refuse, et nous dinons ensemble.
J'arrive enfin à le faire parler !
"Je t'ai vu avec une fille ! Vu ton attitude, c'est le grand amour, je me trompe ?".
"Non ! Je l'aime !".
"Et moi dans tout ça ? Qu'est-ce que je deviens ?".
"Je... Je t'aime aussi ! C'est comme ça ! Je te demande pardon !".
"Putain, on fait quoi ? Moi, je peux pas te quitter ! En plus, ma demande de mutation a été acceptée, je vais partir à Brest !".
"Brest ? C'est trop loin !".
"Oui, mais je me disais, que comme t'as 20 ans ! Tu pourrais quitter tes parents ! Et vivre avec moi ! Personne ne nous connais là-bas ! On ne nous jugerait pas !".
"Je ...dois réfléchir ! ...Laisse moi du temps !".
"Tu m'aimes, c'est sûr ?".
"Oui, Philippe ! C'est sûr ! Mais, c'est pas facile pour moi !".
"Tu veux repartir ?".
"...Non, fais-moi l'amour, ou baises-moi ! J'ai envie de toi ! Sinon, je ne serais pas venu".
Je fonds en larmes dans ses bras.
Nos baisers s'enchainent.
Il me baisse devant sa grosse verge, et me dénude, pendant que je le suce passionnément.
Putain, j'ai besoin de ça, aussi !
Pourquoi la société nous impose des choix ?
Il m'entend glousser de plaisir en dévorant sa bite.
"Tu te rends compte qu'elle a pas de queue ? Tu vas pouvoir t'en passer ?".
"Mmmm ! Non ! Je sais tout ça ! Arrêtes de parler ! Laisses moi te sucer !".
"Je t'aime trop ! J'ai besoin de te prendre ! Tu m'appartiens ! Tu le sais ! Ta chatte peut pas se passer de ma bite !".
"Ouiiiii ! Arrêtes ! Salaud ! Mmmmm !...".
Il me bloque le visage, et me baise la gorge, en me tirant les cheveux !
Il me met face à mes contradictions !
Je suis fait pour ça !
"Je vais pas te faire l'amour ! Je vais te défoncer comme une pute ! C'est tout ce que tu mérites, salope !".
Il me cale contre son canapé, et me plante rapidement sa verge dans l'anus.
Il me secoue sur sa bite, malgré mes râles continus.
Ses assauts sont violents, et sans précaution.
Je prend mon premier orgasme anal, sans me plaindre, je mérite ce traitement, il a raison !
"Ca te plait, que je t'encule comme une chienne ! Hein salope !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Tu le sais ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! ...".
"Tu m'aimes toujours, là ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! ...".
Sa saillie est interminable.
Et comme j'ai éjaculé avec ma copine, ma prostate m'oblige à vider ma vessie !
Je recule mes fesses pour éviter de souiller son canapé.
Il entend mes écoulements.
"Putain de chienne ! Tu réalises que tu pourras jamais connaitre ça, avec une gonzesse ? Arghhh ! je vais cracher mon foutre dans ta chatte ! Salope ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je... Je t'aime Pascal...".
Il se couche sur mon dos, pour m'inséminer en s'accrochant à mon corps.
Il m'a donné une succession d'orgasmes, je suis heureux qu'il se soit défoulé dans ma chatte !
C'était nécessaire pour lui !
Je sens de l'humidité dans le haut de mon dos, il pleure !
Je me dégage de lui.
"Philippe ! S'il te plait ! Excuse-moi ! Je ...Je vais te quitter, je peux plus vivre, en te faisant du mal !".
"Non ! S'il te plait ! Pas ça !".
"Bon ! D'accord ! Je ...Je reste ! Prends-moi dans tes bras ! J'en ai besoin !".
Notre étreinte est puissante, et drôle, parce mon cul dégouline de foutre !
Il passe ses doigts entre mes fesses, et me les donne à lécher !
On en profite pour avoir un baiser spermé, c'est délicieux !
Ca lui donne l'idée de me coucher, et me lécher la chatte, afin de faire durer ces baisers juteux !
On termine avec sa verge dans ma bouche, que je me régale à remercier, de ma langue et ma gorge.
Je sais que c'est ridicule, mais je lui impose d'éviter le sujet de ma copine !
On est tous les deux, entre homme et jeune garçon !
Et puis, je lui rappelle que lui aussi, il a eu besoin de plusieurs années, avant de faire le choix de l'homosexualité !
Il a vécu 7 ans avec une femme !
Je n'ai pas son expérience !
Malgré cela, son état me touche, et je le rassure en me lovant contre lui.
"Tu me rends dingue ! Y a qu'avec toi que je suis comme ça !".
"Comment ? Comme ça !".
"Je perd toute masculinité ! Je suis ta femelle ! Tu le sais ?".
"Ben, j'espère bien ! T'es ma p'tite chatte ! Et j'ai hâte que que l'accepte jusqu'au bout ! Elle pourra jamais te donner ce que je t'apporte ! Elle a pas ma bite ! Sans moi, t'es condamné aux rencontres en cinéma porno, les Sex-shops et tout le reste !".
"Je ...je sais pas ! J'ai pas encore essayé !".
"Ben, ça va un moment ! Ca soulage ! Mais ça rend pas heureux ! Crois-moi !".
Je songe à mes écarts avec d'autres hommes, qu'il ignore.
Mes baises perverses, quand j'ai fait du stop, l'homme du train, et ma dernière partouze de l'armée.
Ca fait partie de moi !
Mais, c'est pas ma faute ! Les hommes mûrs me tombent dessus comme des mouches !
Je suis jeune, et j'en ai envie !
Plus que ma "beauté", c'est ma jeunesse, qu'ils aiment !
Vient le moment, ou il me dirige encore, la tête vers sa verge.
Il se laisse complètement aller à mes caresses buccales.
"Orhhhh ! Tu me suces trop bien ! Ma p'tite chatte ! Putain ! Cette langue ! Ourhhh ! Oui, descends vers mes couilles ! Comme ça !".
C'est l'époque où les hommes aimaient se raser, et j'avoue que j'adore !
Ca fait ressortir les formes génitales !
Hummm ! Lécher, et gober un testicule rasé ! C'est jouissif !
Ensuite, remonter lentement le long de sa verge, titiller du bout de la langue, le creux de son gland.
Et écarter doucement ses lèvres humides, pour les transformer en coussinets d'amour, qui glissent sur sa bite !
Entendre ses gémissements de plaisir.
Recevoir ses coups de gland contre la glotte, parce que ça le rend fou d'excitation.
Réaliser que sa verge a retrouvé sa vigueur depuis un moment.
Sans se parler, je sais qu'il attend que je grimpe au dessus de sa verge.
Son gros pieu me transperce sans difficulté.
Vu l'heure qu'il est, je vais pas encore dormir chez moi.
Mais je m'en fous ! Je suis à ma place !
Je lui annonce, que je joui du cul, presque aussitôt.
Ma sensibilité anale est encore présente.
"Putain, je t'aime trop, Pascal ! Acceptes le ! T'es une petite pédale ! J'ai jamais connu de mec comme toi !".
"Arghhhhhhhhh ! Chhhhttttttt ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il me bloque par les épaules, et me plante sa verge inlassablement.
Au fil des minutes, il parvient à me faire éjaculer !
"Putain, tu m'excites trop ! Ma p'tite chatte ! J'ai la bite toute trempée ! Tu mouilles du cul ! J'adore trop ça !".
Ses commentaires m'honorent, mais je suis trop pris par le plaisir qu'il me donne.
Il constate que je suis épuisé de plaisir.
Alors, il me soulève, et vient me pilonner par derrière, en me couchant sous lui.
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiii ! Tu m'encules bien, mon... Arghhhhhhhhh !".
"Dis le ! S'il te plait ! Dis le !".
"Arghhhhhhhhh ! Tu m'encules bien, mon amour !".
Pour moi, ce mot est un tabou, avec un homme.
"Dis le encore !".
"Mon amour ! Je t'aimmmmmmmmmmme ! Arghhhhhhhhh ! ...".
Il se couche sur moi, et se déchaine dans mon orifice anal.
"Je t'aime ! Pascal ! T'es ma p'tite femme ! Ma chatte ! Tu me rend heureux ! Il est à moi, ton p'tit cul !".
"Ouiiiiiiiiiiiii !...Arghhhhhhhhh ! ...".
Ses enfoncements sont très profonds, je gueule mon plaisir !
"Philippe ! Arghhhhhhhhh ! ...".
"Oui, mon amour !".
"Je...Je me vide ! Ourghhhhhhhhhhh !".
"On s'en fout ! Lâches tout, je vais jouir moi aussi ! Argggggggggggggghhhhhhhhhhh ! Putain ! Je t'aime, chéri !".
J'ai des spasmes dans l'anus, qui viennent de ma prostate, pendant que je mouille le canapé sous moi, et qu'il se vide dans ma chatte.
C'est puissant et pervers, mais c'est aussi une communion sexuelle intense !
On se déclare encore notre amour en retrouvant nos esprits.
C'était tellement bon !
Avant de nous endormir, après avoir nettoyé mes "fuites", il me parle de mes particularités.
"Tu sais que c'est pas tous les mecs, qui éjaculent sans se toucher, comme toi, quand on les encule ? En général, ils se branlent ! Et ils aiment pas tous, qu'on les baise trop longtemps !".
"Ah bon ? Ben moi, j'adore ! Le souci, c'est que ça me fait pisser ! C'est gênant !".
"C'est normal ! C'est ta prostate ! Ca t'arrive depuis longtemps ?".
"Oui, avant qu'on m'encule en fait !".
"Ah bon ?".
"Oui, la première fois, c'est avec un objet, que j'avais recouvert d'un ballon a gonfler ! C'était mon premier vrai orgasme, d'ailleurs ! Je devais avoir 16 ans !".
"Tu vois ! Quand je te dis que t'es fait pour te faire enculer !".
"C'est vrai, j'ai pas dis le contraire ! Mais j'ai une attirance pour les filles ! C'est comme ça ! Un homme ne m'attire, que pour sa bite ! Et en passant à l'acte, j'ai découvert la soumission, et ça aussi, j'aime !".
"Il faudra que tu fasses un choix !".
"Je sais !".
La date de son départ est arrivée, peu après, je l'ai aidé dans ses préparatifs.
Le jour venu, il s'attendait à me voir avec ma valise.
Mais je ne suis pas venu, je n'étais pas prêt !
Je te demande pardon, Philippe !
Mais je ne peux pas regretter mon choix !
J'ai vécu tant de choses ensuite !
Aujourd'hui, tu aurais près de 90 ans, je pense que tu n'es plus là.
Si tu m'en as voulu, j'en assume la responsabilité !
Je ne suis pas sûr que mon bonheur était le tien.
Encore, pardon.
Mais j'assume mes choix !
Pendant ce mois, j'ai vécu une orgie sexuelle, avec les amis militaires de mon premier amant.
j'y ai connu mes premières doubles pénétrations anales !
C'était géant ! J'ai hâte de recommencer !
Bien sûr, je cache tout ça à Philippe (et ma copine, c'est évident !).
J'ai été libéré de mes obligations envers l'état, une semaine plus tard.
La quille ! Enfin !
Je viens d'avoir mon premier rapport sexuel, avec ma copine.
Ca s'est formidablement bien passé !
Je ne saurai jamais, si mes expériences homosexuelles m'ont servi !
Mon endurance m'a surprit !
Enfin, ma queue me sert autrement, que pour jouir, avec une autre dans le cul, ou entre mes doigts !
J'éjacule pas encore, dans son vagin, mais j'ai pris énormément de plaisir à l'aimer !
On doit gérer le fait qu'elle ne prenne pas la pilule.
Donc, j'ai osé aller prendre des capotes à la pharmacie.
Pas évident en 1980 !
En quelques mois, on tentera la sodomie, sur elle.
Le pied !
Ca deviendra presque routinier, elle tient à me faire jouir en elle !
De l'autre coté avec Philippe, c'est toujours aussi passionnel.
Il est sûr de son amour pour moi.
Moi, c'est plus compliqué !
Mais comme j'arrive pas à le quitter, je me dis que je dois l'aimer aussi !
Le contraste entre ses deux relations est flagrant.
Avec elle, j'ai la position dominante, amoureusement comme sexuellement.
Elle se laisse aimer, et m'offre son corps, que j'aime posséder !
Avec Philippe, c'est le contraire, c'est moi qui me laisse aimer !
Et ça, j'en ai besoin aussi !
Par contre, pour mon équilibre, j'espace mes rapports avec Philippe.
Surtout, depuis ma première fois avec elle.
Il ignore qu'elle existe, mais doit se contenter de ce que je lui donne.
Cette situation dure encore quelques mois.
Jusqu'à ce fameux jour !
Après une énième communion sexuelle avec ma copine, je la raccompagne chez elle.
Son père ne doit pas me voir, il est contre toute relation pour sa fille !
Si il savait ?
Je la quitte pour prendre un bus.
Ce soir comme prévu, je dois retrouver Philippe !
Je cogne à sa porte, il ouvre.
"Bonsoir ! Ma p'tite chatte ! T'as passé une bonne journée ?".
"Oui, super ! Merci !".
"Ca, j'imagine !".
Son ton est sec ! Je ne le comprends pas !
"Qu'est-ce qui se passe ? J'ai fait quelque chose de mal ?".
"On en parlera après ! T'as faim ?".
"Oui, un peu ! Je peux t'aider ?".
Il refuse, et nous dinons ensemble.
J'arrive enfin à le faire parler !
"Je t'ai vu avec une fille ! Vu ton attitude, c'est le grand amour, je me trompe ?".
"Non ! Je l'aime !".
"Et moi dans tout ça ? Qu'est-ce que je deviens ?".
"Je... Je t'aime aussi ! C'est comme ça ! Je te demande pardon !".
"Putain, on fait quoi ? Moi, je peux pas te quitter ! En plus, ma demande de mutation a été acceptée, je vais partir à Brest !".
"Brest ? C'est trop loin !".
"Oui, mais je me disais, que comme t'as 20 ans ! Tu pourrais quitter tes parents ! Et vivre avec moi ! Personne ne nous connais là-bas ! On ne nous jugerait pas !".
"Je ...dois réfléchir ! ...Laisse moi du temps !".
"Tu m'aimes, c'est sûr ?".
"Oui, Philippe ! C'est sûr ! Mais, c'est pas facile pour moi !".
"Tu veux repartir ?".
"...Non, fais-moi l'amour, ou baises-moi ! J'ai envie de toi ! Sinon, je ne serais pas venu".
Je fonds en larmes dans ses bras.
Nos baisers s'enchainent.
Il me baisse devant sa grosse verge, et me dénude, pendant que je le suce passionnément.
Putain, j'ai besoin de ça, aussi !
Pourquoi la société nous impose des choix ?
Il m'entend glousser de plaisir en dévorant sa bite.
"Tu te rends compte qu'elle a pas de queue ? Tu vas pouvoir t'en passer ?".
"Mmmm ! Non ! Je sais tout ça ! Arrêtes de parler ! Laisses moi te sucer !".
"Je t'aime trop ! J'ai besoin de te prendre ! Tu m'appartiens ! Tu le sais ! Ta chatte peut pas se passer de ma bite !".
"Ouiiiii ! Arrêtes ! Salaud ! Mmmmm !...".
Il me bloque le visage, et me baise la gorge, en me tirant les cheveux !
Il me met face à mes contradictions !
Je suis fait pour ça !
"Je vais pas te faire l'amour ! Je vais te défoncer comme une pute ! C'est tout ce que tu mérites, salope !".
Il me cale contre son canapé, et me plante rapidement sa verge dans l'anus.
Il me secoue sur sa bite, malgré mes râles continus.
Ses assauts sont violents, et sans précaution.
Je prend mon premier orgasme anal, sans me plaindre, je mérite ce traitement, il a raison !
"Ca te plait, que je t'encule comme une chienne ! Hein salope !".
"Arghhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Tu le sais ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! ...".
"Tu m'aimes toujours, là ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! Arhhhhhhh ! ...".
Sa saillie est interminable.
Et comme j'ai éjaculé avec ma copine, ma prostate m'oblige à vider ma vessie !
Je recule mes fesses pour éviter de souiller son canapé.
Il entend mes écoulements.
"Putain de chienne ! Tu réalises que tu pourras jamais connaitre ça, avec une gonzesse ? Arghhh ! je vais cracher mon foutre dans ta chatte ! Salope ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Je... Je t'aime Pascal...".
Il se couche sur mon dos, pour m'inséminer en s'accrochant à mon corps.
Il m'a donné une succession d'orgasmes, je suis heureux qu'il se soit défoulé dans ma chatte !
C'était nécessaire pour lui !
Je sens de l'humidité dans le haut de mon dos, il pleure !
Je me dégage de lui.
"Philippe ! S'il te plait ! Excuse-moi ! Je ...Je vais te quitter, je peux plus vivre, en te faisant du mal !".
"Non ! S'il te plait ! Pas ça !".
"Bon ! D'accord ! Je ...Je reste ! Prends-moi dans tes bras ! J'en ai besoin !".
Notre étreinte est puissante, et drôle, parce mon cul dégouline de foutre !
Il passe ses doigts entre mes fesses, et me les donne à lécher !
On en profite pour avoir un baiser spermé, c'est délicieux !
Ca lui donne l'idée de me coucher, et me lécher la chatte, afin de faire durer ces baisers juteux !
On termine avec sa verge dans ma bouche, que je me régale à remercier, de ma langue et ma gorge.
Je sais que c'est ridicule, mais je lui impose d'éviter le sujet de ma copine !
On est tous les deux, entre homme et jeune garçon !
Et puis, je lui rappelle que lui aussi, il a eu besoin de plusieurs années, avant de faire le choix de l'homosexualité !
Il a vécu 7 ans avec une femme !
Je n'ai pas son expérience !
Malgré cela, son état me touche, et je le rassure en me lovant contre lui.
"Tu me rends dingue ! Y a qu'avec toi que je suis comme ça !".
"Comment ? Comme ça !".
"Je perd toute masculinité ! Je suis ta femelle ! Tu le sais ?".
"Ben, j'espère bien ! T'es ma p'tite chatte ! Et j'ai hâte que que l'accepte jusqu'au bout ! Elle pourra jamais te donner ce que je t'apporte ! Elle a pas ma bite ! Sans moi, t'es condamné aux rencontres en cinéma porno, les Sex-shops et tout le reste !".
"Je ...je sais pas ! J'ai pas encore essayé !".
"Ben, ça va un moment ! Ca soulage ! Mais ça rend pas heureux ! Crois-moi !".
Je songe à mes écarts avec d'autres hommes, qu'il ignore.
Mes baises perverses, quand j'ai fait du stop, l'homme du train, et ma dernière partouze de l'armée.
Ca fait partie de moi !
Mais, c'est pas ma faute ! Les hommes mûrs me tombent dessus comme des mouches !
Je suis jeune, et j'en ai envie !
Plus que ma "beauté", c'est ma jeunesse, qu'ils aiment !
Vient le moment, ou il me dirige encore, la tête vers sa verge.
Il se laisse complètement aller à mes caresses buccales.
"Orhhhh ! Tu me suces trop bien ! Ma p'tite chatte ! Putain ! Cette langue ! Ourhhh ! Oui, descends vers mes couilles ! Comme ça !".
C'est l'époque où les hommes aimaient se raser, et j'avoue que j'adore !
Ca fait ressortir les formes génitales !
Hummm ! Lécher, et gober un testicule rasé ! C'est jouissif !
Ensuite, remonter lentement le long de sa verge, titiller du bout de la langue, le creux de son gland.
Et écarter doucement ses lèvres humides, pour les transformer en coussinets d'amour, qui glissent sur sa bite !
Entendre ses gémissements de plaisir.
Recevoir ses coups de gland contre la glotte, parce que ça le rend fou d'excitation.
Réaliser que sa verge a retrouvé sa vigueur depuis un moment.
Sans se parler, je sais qu'il attend que je grimpe au dessus de sa verge.
Son gros pieu me transperce sans difficulté.
Vu l'heure qu'il est, je vais pas encore dormir chez moi.
Mais je m'en fous ! Je suis à ma place !
Je lui annonce, que je joui du cul, presque aussitôt.
Ma sensibilité anale est encore présente.
"Putain, je t'aime trop, Pascal ! Acceptes le ! T'es une petite pédale ! J'ai jamais connu de mec comme toi !".
"Arghhhhhhhhh ! Chhhhttttttt ! Arghhhhhhhhhhhh !".
Il me bloque par les épaules, et me plante sa verge inlassablement.
Au fil des minutes, il parvient à me faire éjaculer !
"Putain, tu m'excites trop ! Ma p'tite chatte ! J'ai la bite toute trempée ! Tu mouilles du cul ! J'adore trop ça !".
Ses commentaires m'honorent, mais je suis trop pris par le plaisir qu'il me donne.
Il constate que je suis épuisé de plaisir.
Alors, il me soulève, et vient me pilonner par derrière, en me couchant sous lui.
"Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Ouiiiiiii ! Tu m'encules bien, mon... Arghhhhhhhhh !".
"Dis le ! S'il te plait ! Dis le !".
"Arghhhhhhhhh ! Tu m'encules bien, mon amour !".
Pour moi, ce mot est un tabou, avec un homme.
"Dis le encore !".
"Mon amour ! Je t'aimmmmmmmmmmme ! Arghhhhhhhhh ! ...".
Il se couche sur moi, et se déchaine dans mon orifice anal.
"Je t'aime ! Pascal ! T'es ma p'tite femme ! Ma chatte ! Tu me rend heureux ! Il est à moi, ton p'tit cul !".
"Ouiiiiiiiiiiiii !...Arghhhhhhhhh ! ...".
Ses enfoncements sont très profonds, je gueule mon plaisir !
"Philippe ! Arghhhhhhhhh ! ...".
"Oui, mon amour !".
"Je...Je me vide ! Ourghhhhhhhhhhh !".
"On s'en fout ! Lâches tout, je vais jouir moi aussi ! Argggggggggggggghhhhhhhhhhh ! Putain ! Je t'aime, chéri !".
J'ai des spasmes dans l'anus, qui viennent de ma prostate, pendant que je mouille le canapé sous moi, et qu'il se vide dans ma chatte.
C'est puissant et pervers, mais c'est aussi une communion sexuelle intense !
On se déclare encore notre amour en retrouvant nos esprits.
C'était tellement bon !
Avant de nous endormir, après avoir nettoyé mes "fuites", il me parle de mes particularités.
"Tu sais que c'est pas tous les mecs, qui éjaculent sans se toucher, comme toi, quand on les encule ? En général, ils se branlent ! Et ils aiment pas tous, qu'on les baise trop longtemps !".
"Ah bon ? Ben moi, j'adore ! Le souci, c'est que ça me fait pisser ! C'est gênant !".
"C'est normal ! C'est ta prostate ! Ca t'arrive depuis longtemps ?".
"Oui, avant qu'on m'encule en fait !".
"Ah bon ?".
"Oui, la première fois, c'est avec un objet, que j'avais recouvert d'un ballon a gonfler ! C'était mon premier vrai orgasme, d'ailleurs ! Je devais avoir 16 ans !".
"Tu vois ! Quand je te dis que t'es fait pour te faire enculer !".
"C'est vrai, j'ai pas dis le contraire ! Mais j'ai une attirance pour les filles ! C'est comme ça ! Un homme ne m'attire, que pour sa bite ! Et en passant à l'acte, j'ai découvert la soumission, et ça aussi, j'aime !".
"Il faudra que tu fasses un choix !".
"Je sais !".
La date de son départ est arrivée, peu après, je l'ai aidé dans ses préparatifs.
Le jour venu, il s'attendait à me voir avec ma valise.
Mais je ne suis pas venu, je n'étais pas prêt !
Je te demande pardon, Philippe !
Mais je ne peux pas regretter mon choix !
J'ai vécu tant de choses ensuite !
Aujourd'hui, tu aurais près de 90 ans, je pense que tu n'es plus là.
Si tu m'en as voulu, j'en assume la responsabilité !
Je ne suis pas sûr que mon bonheur était le tien.
Encore, pardon.
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