Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (47) : l’inconnu de la plage
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2018 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (47) : l’inconnu de la plage
La première semaine de ces vacances 2014 dans ce camping sur l’océan avait été bien remplie et marquée par notre rencontre avec Renaud et Ambre. Pour cette seconde semaine, nous en avions assez de la tente, nous nous sommes donc décidés de changer pour un bungalow, plus confortable pour un couple mur.
Renaud m’avait pleinement satisfaite, mais je n’étais pas fâchée de leur départ car j’avais peu goûté, c’est le moins que l’on puisse dire, la proximité entre la jeune Ambre et Philippe, même si cette petite garce m’avait à plusieurs reprises bien gouinée.
Je demandais à Philippe de retourner à la plage naturiste.
LE FEU VERT DE PHILIPPE
Je me sentais de plus en plus à l’aise nue, à tel point que quand nous allions en ville faire des courses ou nous promener, je ne prenais même plus la peine de mettre des sous-vêtements sous mes robes. Sur la plage, il s’était formé autour de moi une petite cour de mateurs et je prenais plaisir à ne rien leur cacher de mon intimité.
J’avais repéré sur la plage un homme qui ne cessait de m’observer et l’étincelle dans son regard était sans aucun doute celle de l’envie. Il était l’archétype de l’homme de 50 ans qui cherche à plaire : sportif, bronzé, assez poilu, cheveux poivre et sel, m’as-tu vu, bien doté par la nature !
Cet homme dégageait une assurance et une virilité qui ne me laissaient pas indifférente. Il était, bien au contraire, le genre de mâles qui m’attire, comme cela sera une nouvelle fois le cas deux ans plus tard sur une autre plage, en Grèce, avec N.
Son instinct avait dû lui faire comprendre que, bien qu’ayant avec moi avec un compagnon ou un mari, je n’étais pas du genre farouche et que celui-ci était pour le moins complaisant, sinon complice. La semaine précédente avait d’ailleurs construit ma réputation sur ce lieu de vacances. A partir de quelques conversations sur la plage, l’homme avait compris que j’étais une occasion à ne pas laisser passer.
Je ne prenais plus la peine de mettre mes lunettes de soleil, nos regards se croisaient donc souvent. Et quand on allait se baigner, je prenais toujours soin de passer au plus près de lui…
Nous étions encore sur ce lieu de vacances une semaine, il n’y avait pas de temps à perdre. Il me voulait, c’était évident et moi aussi j’en avais envie. Alors, pourquoi attendre ?
Alors que je jetais des coups d’œil furtifs à ce gars, Philippe me demanda ouvertement :
• Il te plait ?
• Oui, j’ai envie qu’il me baise. Il n’y a pas de mal à se faire plaisir, mon chéri. Nous sommes venus ici pour ça, n’est-ce pas ?
J’embrassais Philippe amoureusement :
• Tu n’es pas contre, mon chéri ? N’oublies pas que c’est largement à cause de toi que je suis ainsi.
• Tu sais bien que je ne te refuse rien, du moment que je sais que ma chérie prend son pied. Tu me promets de ne rien me cacher et d’éviter tout dérapage ?
• Evidemment, je ne connais même pas ce type. Ne t’inquiète pas, c’est purement sexuel et j’ai pris la pilule. J’ai envie de ce type, voilà tout.
• Comme tu y vas. Tu vas me faire cocu et, si j’ai bien compris, tu vas baiser avec lui sans capote. Si tu me demandes mon consentement, tu sais bien que tu l’as, mon Olga.
• Je sais que ça t’excite mon amour. Tu aimes que ta femme soit ainsi.
C’était le signal que j’attendais. Je me suis donc levée pour aller me baigner seule. Le type se leva de sa serviette pour me suivre. Il nagea un peu puis, de façon prévisible, il m’aborda. Nous discutâmes un moment, je souriais, comme toujours assez à l’aise dans les contacts avec les gens. Pour un œil neutre, cela avait l’apparence d’une discussion banale entre vacanciers, sauf qu’à la fin, il me prit dans ses bras pour un long baiser langoureux.
JE M’OFFRE A UN INCONNU
Je sortis de l’eau. Je m’essuyais, enfilais ma robe, j’embrassais tendrement Philippe, avec insistance.
• Je retourne à notre bungalow, il va me rejoindre pour me baiser. Tu peux rester sur la plage si tu en as envie. Mais tu peux aussi venir discrètement d’ici 15 minutes pour mater, mon petit cochon. Tu sais que j’adore quand tu mates !
Philippe attendit un instant et se glissa sans bruit entre la haie et la paroi en bois du bungalow. Il y avait un interstice qui lui permettait de ne rien perdre de ce spectacle qu’il affectionne tant. Nous avions immédiatement repéré cela et compris le profit que nous pourrions en tirer.
Je n’avais pas perdu de temps en préliminaires. Il n’y avait rien de sentimental dans ce que nous allions faire, uniquement un mâle et une femelle qui avaient une folle envie de baiser. Avec Philippe, nous étions convenus que ces vacances étaient faites pour cela, pour compenser des mois de retenue et de frustration, qui sont difficiles à supporter aussi bien pour moi, l’épouse hypersexuelle, que pour mon mari candauliste. J’ose dire que pour moi c’est une vraie souffrance.
Je vais passer maintenant au présent, car, en écrivant ces lignes, je revis ces moments de plaisir
Nous sommes sur le lit, nus. L’homme est déjà sur moi, j’ondule sur sa queue en gémissant, complètement excitée. Il me presse vigoureusement les seins. J’accélère les mouvements de hanches. Je suis déjà en sueur, si désirable comme ça, moite et totalement offerte. Il me prend par la nuque pour me guider vers sa queue.
Je le suce sans aucune retenue.
Je veux autre chose et il le sait : je me couche ensuite en repliant les jambes, hyper ouverte. Je n’ai pas eu besoin de parler, c’est une invitation sans ambiguïté : à l’intensité de mon regard, l’homme comprend que je veux qu’il me baise.
Il ne se fait pas prier, le salaud! En pesant de tout son poids, il s’enfonce d’une traite en moi. Il se met à me pilonner comme un âne, je suis en transe, avançant ma tête vers lui pour qu’il m’embrasse en me baisant. Le type sort sa langue aussi et nous nous embrassons de façon totalement obscène. Je m’offre totalement.
Philippe ne fait aucun bruit, mais mon instinct ne peut me tromper : il est là, en train de nous mater. Cette certitude ne peut que décupler mon envie, je sais combien il aime ça. Je suis face à l’endroit où je sais que Philippe peut mater discrètement. Je chevauche la bite de mon amant. Philippe peut voir et cela m’excite à fond.
Philippe m’a dit par la suite que c’est à ce moment-là qu’il a joui, sans même se toucher la queue. Et pendant ce temps, je me faisais baiser jusqu’aux trompes par cette brute !
Le pieu massif du mâle bute tout au fond de moi, abouté au col de l’utérus, je ne peux pas en absorber davantage et pourtant ma chatte ne touche pas son pubis.
Je deviens folle, posant mes mains sur sa poitrine et me poignardant comme une morte de faim sur cette colonne de chair.
Je me pince les tétons, jouissant une première fois, continuant à me ramoner le vagin avec sa superbe trique. J’ai un orgasme très violent, je ferme les yeux et jouis comme une malade, serrant les dents pour ne pas hurler.
• Que t’es bonne, que t’es bonne ! Ne te retiens pas, vas-y ma belle, couine, gueule ton plaisir, que tout le camping sache que tu te fais sauter comme la putain que tu es !
• Oui, salaud, continues, tu me tues ! Comme j’aimerais que ça ne s’arrête jamais !
Ma chatte s’est tellement habituée à son gabarit qu'elle avale désormais sa belle queue épaisse quasiment jusqu’au bout. Ses magnifiques couilles n'ont pas encore craché leur jus.
Il prend un sein dans chaque main pour les malaxer. Nous sommes restés comme cela durant un moment puis nous avons changé plusieurs fois de positions.
J’étais comme possédée par cette baise. Mon instinct ne m’avait pas trompé, le type était un baiseur exceptionnel et particulièrement endurant. Il donnait tout ce qu’il avait, à tel point que j’étais secouée assez sauvagement à cause de la puissance de ses coups de bite.
Mon visage, baigné de sueur, était marqué par le plaisir. Je ne me soucie plus de discrétion. Je m’enfiche qu’on sache ce que j’étais en train de faire, je me lâche complétement. Mes gémissements de plaisir deviennent des cris, et même des hurlements.
Ca dure encore un bon moment, je l’emprisonne entre mes jambes en criant de bonheur. J’empoigne les fesses musclées du type qui, sans faiblir, me pilonne la chatte à grands coups. Soudain il se vide en moi, en renversant la tête vers l’arrière.
J’étais aux anges, complètement rassasiée de sexe. Et je savais que mon chéri n’avait rien perdu de la scène.
Philippe rentra dans la chambre… Je le regardais, pour le remercier de me permettre cela. Je me levais et vint me coller à lui tendrement. Il devait sentir ma chaleur, ma peau encore moite, l’odeur de la luxure sur moi. Il bandait comme un âne contre mon ventre. Je passais la main dans son short poisseux et lui fis profiter de mes talents de suceuse. En fermant les yeux, il se laissa aller et jouit dans ma bouche.
ENCULEE DANS LES TOILETTES
Le lendemain nous sommes partis tôt à la plage pour en profiter.
Le type était arrivé et comme par hasard, il était installé tout près, en position pour bien me mater. Quand je me suis allongée, la pose prise ne laissa aucun doute sur la suite des événements. Les jambes légèrement repliées et assez ouvertes, je lui montrais ma chatte comme la dernière des salopes…
Finalement, un peu plus tard, le type se lève et passe devant nous. Comme une petite garce docile, après un échange de regards complices avec Philippe, je me lève à mon tour, enfile ma petite robe et part dans la même direction.
Philippe nous suit à distance, je marche en me tortillant. Mais au lieu de tourner vers notre bungalow, j’entre dans les sanitaires. Sans bruit, Philippe se glisse à l’intérieur, à côté de la cabine où je suis avec mon amant.
Je parle à voix basse avec le type. Les cloisons sont fines et ouvertes en haut, je sais que cette fois Philippe ne verra rien mais entendra tout.
• Alors petite salope, t’en veux encore ? Ma grosse queue t’a manqué pas vrai ?
Les mains du type troussent ma robe. Je gémis déjà.
• Hhmmm t’es toute trempée… Tu as pensé à moi je suis sûr quand ton mari t’a baisé hier soir
• Oui
• Il t’a baisé combien de temps avec sa p’tite queue ? 5 mn ? 2 mn ?! Tu m’étonnes que t’as le feu au cul. T’inquiètes pas va… Je vais te baiser comme tu le mérites, sale pute et tu vas t’en souvenir !
Je suis accroupie, la robe troussée et le cul à l’air, en train de pomper cet inconnu.
• Vas-y suces là bien… régales toi chérie… Ouiii je sens ta gorge… Tu le veux dans le cul aujourd’hui c’est ça ? Oui ? Oui j’en suis sûr.
Soudain, la cloison bouge, elle se met à bouger de plus en plus, je gémis. Je suis empalée sur lui, soulevée en l’air comme une petite poupée dans ses bras musclés. Il souffle comme une bête, on s’embrasse.
• Baises moi ! Baises moi !
• Vas-y. Vires moi cette robe et penches toi, je vais te casser le cul, pétasse !
Il m’écarte largement le cul pour faire sortir mon œillet. Je me penche, lui présentant mes fesses. Le type ne perd pas beaucoup de temps à me préparer. Il utilise ma mouille et me doigte un bref instant. Il a compris que j’ai l’habitude de me faire enculée et que je n’ai pas peur des gros calibres.
Son sexe, dur comme de la pierre, s’approche de mon anus. J’écarte bien mes deux fesses pour me préparer à l’intromission. Je halète, comme une femelle en chaleur.
Il pose son gland à l’entrée de mon œillet et poussa. Le type souffle, je pousse un long râle. Il m’a enculé ! Son gland est comme aspiré et je me mets à gémir d’une manière dingue. A chaque coup de reins qu’il donne, je réponds en tendant mes fesses en arrière, jusqu’à ce qu’il soit enfoncé dans mes reins jusqu’à la garde. Parfois il ressort presque entièrement, puis sa hampe disparaît dans ma croupe.
Il s’arrête et demande:
• Tu aimes ça, on dirait? T’es bonne putain. Ce cul, ce cul !
• Oui, n’arrêtes-pas, s’il te plait ! Encore !
Je tremble, tentant de reprendre mon souffle. Je râle à nouveau, encore et encore. Je pousse des petits gémissements. Il me coupe le souffle en butant au maximum en moi. Ca va plus vite, les couilles du type claquent bruyamment contre ma chatte. Il accélère encore, je crie sans retenue !
Il commence un profond mouvement de va-et-vient dans mon cul, qu’il accéléra bientôt. Il prend mes fesses à pleines mains et les malaxe.Il me pilonne, ça accélère, ses couilles claquent fort, il va jouir mais non, il ralentit et continue à me ravager.
Je pense alors à Philippe, qui était dans la cabine voisine. Se branle-t-il ? Je sais qu’il n’a pas besoin de cela pour m’accompagner dans mon plaisir.
• Je vais jouir, je vais gicler dans ton gros cul magnifique!
L’homme éjacule dans mon fondement. Je cris de plaisir :
• Oui, c’est bon ! Je te sens, c’est chaud dans mon cul, je jouis, aaaah !
Il me donne une petite claque sur les fesses.
• C’est bien, t’es une bonne petite pute. Dommage que je parte ce soir et que t’habites loin, je me serai bien vidé les couilles de temps en temps avec toi. Ah, un conseil, laves toi bien le cul, sinon ça va lui faire tout drôle à ton p’tit mari !
Le type s’éloigne, sans un baiser, sans un geste de tendresse et sans un mot. Un macho, un rustre, mais c’est de cela que j’avais besoin à ce moment-là. Je ne connaissais même pas prénom de mon amant du jour. C’était mieux ainsi, car il fallait à tout prix éviter que je ne m’attache et, comme l’avait dit Philippe, que ça ne dérape.
Pour la tendresse, pour l’amour sans bornes, j’ai l’homme de ma vie, Philippe. Il sort de sa cabine. Je suis assise sur les toilettes, je relève la tête et des larmes coulent sur mes joues. Pourquoi ai-je pleuré? De jouissance? De honte? De douleur, car celle-ci se réveille, une fois le plaisir passé ? Peut-être pour toutes ces raisons…
Je passe une main entre mes cuisses. Le sperme du type s’évacue bruyamment. Philippe m’embrasse et m’aide à me relever. Il ramasse ma robe par terre, elle est sale et il m’aide à l’enfiler. Je m’approche des lavabos, me passe de l’eau sur le visage pour retrouver un peu de dignité et nous sortons silencieusement des sanitaires. Arrivés au bungalow, je vais directement à la chambre et me laisse tomber sur le lit. Philippe me rejoint et je me blottis contre lui. Pour le remercier mais aussi parce que j’ai honte de mon comportement même si je sais qu’il m’avait donné son feu vert et, en plus, qu’il aime ça.
Je suis ainsi, je le sais, très compliquée et pleine de contradictions, déchaînée quand je suis « en situation », repentante après l’acte, consciente que je ne peux contrôler ma nature. Philippe et moi savons tout cela. Notre amour, cimenté par le candaulisme de mon mari et mon hypersexualité, permet de surmonter ces contradictions et assure la pérennité de notre couple improbable.
(A suivre)
Renaud m’avait pleinement satisfaite, mais je n’étais pas fâchée de leur départ car j’avais peu goûté, c’est le moins que l’on puisse dire, la proximité entre la jeune Ambre et Philippe, même si cette petite garce m’avait à plusieurs reprises bien gouinée.
Je demandais à Philippe de retourner à la plage naturiste.
LE FEU VERT DE PHILIPPE
Je me sentais de plus en plus à l’aise nue, à tel point que quand nous allions en ville faire des courses ou nous promener, je ne prenais même plus la peine de mettre des sous-vêtements sous mes robes. Sur la plage, il s’était formé autour de moi une petite cour de mateurs et je prenais plaisir à ne rien leur cacher de mon intimité.
J’avais repéré sur la plage un homme qui ne cessait de m’observer et l’étincelle dans son regard était sans aucun doute celle de l’envie. Il était l’archétype de l’homme de 50 ans qui cherche à plaire : sportif, bronzé, assez poilu, cheveux poivre et sel, m’as-tu vu, bien doté par la nature !
Cet homme dégageait une assurance et une virilité qui ne me laissaient pas indifférente. Il était, bien au contraire, le genre de mâles qui m’attire, comme cela sera une nouvelle fois le cas deux ans plus tard sur une autre plage, en Grèce, avec N.
Son instinct avait dû lui faire comprendre que, bien qu’ayant avec moi avec un compagnon ou un mari, je n’étais pas du genre farouche et que celui-ci était pour le moins complaisant, sinon complice. La semaine précédente avait d’ailleurs construit ma réputation sur ce lieu de vacances. A partir de quelques conversations sur la plage, l’homme avait compris que j’étais une occasion à ne pas laisser passer.
Je ne prenais plus la peine de mettre mes lunettes de soleil, nos regards se croisaient donc souvent. Et quand on allait se baigner, je prenais toujours soin de passer au plus près de lui…
Nous étions encore sur ce lieu de vacances une semaine, il n’y avait pas de temps à perdre. Il me voulait, c’était évident et moi aussi j’en avais envie. Alors, pourquoi attendre ?
Alors que je jetais des coups d’œil furtifs à ce gars, Philippe me demanda ouvertement :
• Il te plait ?
• Oui, j’ai envie qu’il me baise. Il n’y a pas de mal à se faire plaisir, mon chéri. Nous sommes venus ici pour ça, n’est-ce pas ?
J’embrassais Philippe amoureusement :
• Tu n’es pas contre, mon chéri ? N’oublies pas que c’est largement à cause de toi que je suis ainsi.
• Tu sais bien que je ne te refuse rien, du moment que je sais que ma chérie prend son pied. Tu me promets de ne rien me cacher et d’éviter tout dérapage ?
• Evidemment, je ne connais même pas ce type. Ne t’inquiète pas, c’est purement sexuel et j’ai pris la pilule. J’ai envie de ce type, voilà tout.
• Comme tu y vas. Tu vas me faire cocu et, si j’ai bien compris, tu vas baiser avec lui sans capote. Si tu me demandes mon consentement, tu sais bien que tu l’as, mon Olga.
• Je sais que ça t’excite mon amour. Tu aimes que ta femme soit ainsi.
C’était le signal que j’attendais. Je me suis donc levée pour aller me baigner seule. Le type se leva de sa serviette pour me suivre. Il nagea un peu puis, de façon prévisible, il m’aborda. Nous discutâmes un moment, je souriais, comme toujours assez à l’aise dans les contacts avec les gens. Pour un œil neutre, cela avait l’apparence d’une discussion banale entre vacanciers, sauf qu’à la fin, il me prit dans ses bras pour un long baiser langoureux.
JE M’OFFRE A UN INCONNU
Je sortis de l’eau. Je m’essuyais, enfilais ma robe, j’embrassais tendrement Philippe, avec insistance.
• Je retourne à notre bungalow, il va me rejoindre pour me baiser. Tu peux rester sur la plage si tu en as envie. Mais tu peux aussi venir discrètement d’ici 15 minutes pour mater, mon petit cochon. Tu sais que j’adore quand tu mates !
Philippe attendit un instant et se glissa sans bruit entre la haie et la paroi en bois du bungalow. Il y avait un interstice qui lui permettait de ne rien perdre de ce spectacle qu’il affectionne tant. Nous avions immédiatement repéré cela et compris le profit que nous pourrions en tirer.
Je n’avais pas perdu de temps en préliminaires. Il n’y avait rien de sentimental dans ce que nous allions faire, uniquement un mâle et une femelle qui avaient une folle envie de baiser. Avec Philippe, nous étions convenus que ces vacances étaient faites pour cela, pour compenser des mois de retenue et de frustration, qui sont difficiles à supporter aussi bien pour moi, l’épouse hypersexuelle, que pour mon mari candauliste. J’ose dire que pour moi c’est une vraie souffrance.
Je vais passer maintenant au présent, car, en écrivant ces lignes, je revis ces moments de plaisir
Nous sommes sur le lit, nus. L’homme est déjà sur moi, j’ondule sur sa queue en gémissant, complètement excitée. Il me presse vigoureusement les seins. J’accélère les mouvements de hanches. Je suis déjà en sueur, si désirable comme ça, moite et totalement offerte. Il me prend par la nuque pour me guider vers sa queue.
Je le suce sans aucune retenue.
Je veux autre chose et il le sait : je me couche ensuite en repliant les jambes, hyper ouverte. Je n’ai pas eu besoin de parler, c’est une invitation sans ambiguïté : à l’intensité de mon regard, l’homme comprend que je veux qu’il me baise.
Il ne se fait pas prier, le salaud! En pesant de tout son poids, il s’enfonce d’une traite en moi. Il se met à me pilonner comme un âne, je suis en transe, avançant ma tête vers lui pour qu’il m’embrasse en me baisant. Le type sort sa langue aussi et nous nous embrassons de façon totalement obscène. Je m’offre totalement.
Philippe ne fait aucun bruit, mais mon instinct ne peut me tromper : il est là, en train de nous mater. Cette certitude ne peut que décupler mon envie, je sais combien il aime ça. Je suis face à l’endroit où je sais que Philippe peut mater discrètement. Je chevauche la bite de mon amant. Philippe peut voir et cela m’excite à fond.
Philippe m’a dit par la suite que c’est à ce moment-là qu’il a joui, sans même se toucher la queue. Et pendant ce temps, je me faisais baiser jusqu’aux trompes par cette brute !
Le pieu massif du mâle bute tout au fond de moi, abouté au col de l’utérus, je ne peux pas en absorber davantage et pourtant ma chatte ne touche pas son pubis.
Je deviens folle, posant mes mains sur sa poitrine et me poignardant comme une morte de faim sur cette colonne de chair.
Je me pince les tétons, jouissant une première fois, continuant à me ramoner le vagin avec sa superbe trique. J’ai un orgasme très violent, je ferme les yeux et jouis comme une malade, serrant les dents pour ne pas hurler.
• Que t’es bonne, que t’es bonne ! Ne te retiens pas, vas-y ma belle, couine, gueule ton plaisir, que tout le camping sache que tu te fais sauter comme la putain que tu es !
• Oui, salaud, continues, tu me tues ! Comme j’aimerais que ça ne s’arrête jamais !
Ma chatte s’est tellement habituée à son gabarit qu'elle avale désormais sa belle queue épaisse quasiment jusqu’au bout. Ses magnifiques couilles n'ont pas encore craché leur jus.
Il prend un sein dans chaque main pour les malaxer. Nous sommes restés comme cela durant un moment puis nous avons changé plusieurs fois de positions.
J’étais comme possédée par cette baise. Mon instinct ne m’avait pas trompé, le type était un baiseur exceptionnel et particulièrement endurant. Il donnait tout ce qu’il avait, à tel point que j’étais secouée assez sauvagement à cause de la puissance de ses coups de bite.
Mon visage, baigné de sueur, était marqué par le plaisir. Je ne me soucie plus de discrétion. Je m’enfiche qu’on sache ce que j’étais en train de faire, je me lâche complétement. Mes gémissements de plaisir deviennent des cris, et même des hurlements.
Ca dure encore un bon moment, je l’emprisonne entre mes jambes en criant de bonheur. J’empoigne les fesses musclées du type qui, sans faiblir, me pilonne la chatte à grands coups. Soudain il se vide en moi, en renversant la tête vers l’arrière.
J’étais aux anges, complètement rassasiée de sexe. Et je savais que mon chéri n’avait rien perdu de la scène.
Philippe rentra dans la chambre… Je le regardais, pour le remercier de me permettre cela. Je me levais et vint me coller à lui tendrement. Il devait sentir ma chaleur, ma peau encore moite, l’odeur de la luxure sur moi. Il bandait comme un âne contre mon ventre. Je passais la main dans son short poisseux et lui fis profiter de mes talents de suceuse. En fermant les yeux, il se laissa aller et jouit dans ma bouche.
ENCULEE DANS LES TOILETTES
Le lendemain nous sommes partis tôt à la plage pour en profiter.
Le type était arrivé et comme par hasard, il était installé tout près, en position pour bien me mater. Quand je me suis allongée, la pose prise ne laissa aucun doute sur la suite des événements. Les jambes légèrement repliées et assez ouvertes, je lui montrais ma chatte comme la dernière des salopes…
Finalement, un peu plus tard, le type se lève et passe devant nous. Comme une petite garce docile, après un échange de regards complices avec Philippe, je me lève à mon tour, enfile ma petite robe et part dans la même direction.
Philippe nous suit à distance, je marche en me tortillant. Mais au lieu de tourner vers notre bungalow, j’entre dans les sanitaires. Sans bruit, Philippe se glisse à l’intérieur, à côté de la cabine où je suis avec mon amant.
Je parle à voix basse avec le type. Les cloisons sont fines et ouvertes en haut, je sais que cette fois Philippe ne verra rien mais entendra tout.
• Alors petite salope, t’en veux encore ? Ma grosse queue t’a manqué pas vrai ?
Les mains du type troussent ma robe. Je gémis déjà.
• Hhmmm t’es toute trempée… Tu as pensé à moi je suis sûr quand ton mari t’a baisé hier soir
• Oui
• Il t’a baisé combien de temps avec sa p’tite queue ? 5 mn ? 2 mn ?! Tu m’étonnes que t’as le feu au cul. T’inquiètes pas va… Je vais te baiser comme tu le mérites, sale pute et tu vas t’en souvenir !
Je suis accroupie, la robe troussée et le cul à l’air, en train de pomper cet inconnu.
• Vas-y suces là bien… régales toi chérie… Ouiii je sens ta gorge… Tu le veux dans le cul aujourd’hui c’est ça ? Oui ? Oui j’en suis sûr.
Soudain, la cloison bouge, elle se met à bouger de plus en plus, je gémis. Je suis empalée sur lui, soulevée en l’air comme une petite poupée dans ses bras musclés. Il souffle comme une bête, on s’embrasse.
• Baises moi ! Baises moi !
• Vas-y. Vires moi cette robe et penches toi, je vais te casser le cul, pétasse !
Il m’écarte largement le cul pour faire sortir mon œillet. Je me penche, lui présentant mes fesses. Le type ne perd pas beaucoup de temps à me préparer. Il utilise ma mouille et me doigte un bref instant. Il a compris que j’ai l’habitude de me faire enculée et que je n’ai pas peur des gros calibres.
Son sexe, dur comme de la pierre, s’approche de mon anus. J’écarte bien mes deux fesses pour me préparer à l’intromission. Je halète, comme une femelle en chaleur.
Il pose son gland à l’entrée de mon œillet et poussa. Le type souffle, je pousse un long râle. Il m’a enculé ! Son gland est comme aspiré et je me mets à gémir d’une manière dingue. A chaque coup de reins qu’il donne, je réponds en tendant mes fesses en arrière, jusqu’à ce qu’il soit enfoncé dans mes reins jusqu’à la garde. Parfois il ressort presque entièrement, puis sa hampe disparaît dans ma croupe.
Il s’arrête et demande:
• Tu aimes ça, on dirait? T’es bonne putain. Ce cul, ce cul !
• Oui, n’arrêtes-pas, s’il te plait ! Encore !
Je tremble, tentant de reprendre mon souffle. Je râle à nouveau, encore et encore. Je pousse des petits gémissements. Il me coupe le souffle en butant au maximum en moi. Ca va plus vite, les couilles du type claquent bruyamment contre ma chatte. Il accélère encore, je crie sans retenue !
Il commence un profond mouvement de va-et-vient dans mon cul, qu’il accéléra bientôt. Il prend mes fesses à pleines mains et les malaxe.Il me pilonne, ça accélère, ses couilles claquent fort, il va jouir mais non, il ralentit et continue à me ravager.
Je pense alors à Philippe, qui était dans la cabine voisine. Se branle-t-il ? Je sais qu’il n’a pas besoin de cela pour m’accompagner dans mon plaisir.
• Je vais jouir, je vais gicler dans ton gros cul magnifique!
L’homme éjacule dans mon fondement. Je cris de plaisir :
• Oui, c’est bon ! Je te sens, c’est chaud dans mon cul, je jouis, aaaah !
Il me donne une petite claque sur les fesses.
• C’est bien, t’es une bonne petite pute. Dommage que je parte ce soir et que t’habites loin, je me serai bien vidé les couilles de temps en temps avec toi. Ah, un conseil, laves toi bien le cul, sinon ça va lui faire tout drôle à ton p’tit mari !
Le type s’éloigne, sans un baiser, sans un geste de tendresse et sans un mot. Un macho, un rustre, mais c’est de cela que j’avais besoin à ce moment-là. Je ne connaissais même pas prénom de mon amant du jour. C’était mieux ainsi, car il fallait à tout prix éviter que je ne m’attache et, comme l’avait dit Philippe, que ça ne dérape.
Pour la tendresse, pour l’amour sans bornes, j’ai l’homme de ma vie, Philippe. Il sort de sa cabine. Je suis assise sur les toilettes, je relève la tête et des larmes coulent sur mes joues. Pourquoi ai-je pleuré? De jouissance? De honte? De douleur, car celle-ci se réveille, une fois le plaisir passé ? Peut-être pour toutes ces raisons…
Je passe une main entre mes cuisses. Le sperme du type s’évacue bruyamment. Philippe m’embrasse et m’aide à me relever. Il ramasse ma robe par terre, elle est sale et il m’aide à l’enfiler. Je m’approche des lavabos, me passe de l’eau sur le visage pour retrouver un peu de dignité et nous sortons silencieusement des sanitaires. Arrivés au bungalow, je vais directement à la chambre et me laisse tomber sur le lit. Philippe me rejoint et je me blottis contre lui. Pour le remercier mais aussi parce que j’ai honte de mon comportement même si je sais qu’il m’avait donné son feu vert et, en plus, qu’il aime ça.
Je suis ainsi, je le sais, très compliquée et pleine de contradictions, déchaînée quand je suis « en situation », repentante après l’acte, consciente que je ne peux contrôler ma nature. Philippe et moi savons tout cela. Notre amour, cimenté par le candaulisme de mon mari et mon hypersexualité, permet de surmonter ces contradictions et assure la pérennité de notre couple improbable.
(A suivre)
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