Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes (3 : déjeuner e
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : moments candaulistes (3 : déjeuner e
Je poursuis le récit d’une belle parenthèse candauliste : lors d’un moment d’accalmie dans la pandémie, à l’automne dernier, nous avons profité, Philippe, mon mari candauliste et moi, son épouse hypersexuelle, d’un séjour dans un hôtel de luxe sur une ile des Cyclades, pour donner libre cours à nos désirs. Je renvoie à la lecture des deux textes précédents : « moments candaulistes (1 : la séduction) », publié sur HDS le 24 novembre 2021 et «moments candaulistes (2 : la Suite des plaisirs), publié le 16 décembre 2021.
Dès notre arrivée sur notre lieu de villégiature, je me suis lancée, poussée par mon époux, dans une offensive de charme. Le Brunch du premier matin a permis de trouver un partenaire comme nous les recherchons, Alexis, un quinquagénaire viril, venu dans cette villégiature pour un séminaire professionnel. J’ai pu vérifier, au cours de la matinée, en présence et avec la complicité de Philippe, que notre choix était bon, Alexis étant à la hauteur de toutes nos attentes.
***
Alexis venait de m’honorer à nouveau, se révélant être particulièrement performant et endurant. De mon côté, j’aurais bien aimé poursuivre, sortant de plusieurs mois de ce que Philippe et moi appelons une « disette ». Les moments où nous pouvons donner libre cours à nos pratiques candaulistes sont par nature rares, du fait des précautions que nous nous imposons et des contraintes inhérentes à une vie familiale. La rareté s’est transformée en désert avec la situation sanitaire.
Cette jolie parenthèse, rendue possible grâce à la complicité de mon amante Agun et de notre amie Christine, comme je l’ai expliqué dans « moments candaulistes (1 : la séduction), nous entendions bien en profiter à fond.
Alexis avait lui aussi encore envie, mais il avait des contraintes. Il déposa un baiser sur mes lèvres :
• Je suis désolé, ma belle, mais mon séminaire commence à 14h00 et je dois me préparer. A ta disposition pour remettre ça, si Philippe le veut bien, pendant votre séjour, puisque je suis là encore les deux prochaines nuits.
Alexis tendit une main amicale à Philippe. J’appréciais que, contrairement à ce que nous rencontrions souvent, il n’y avait, chez Alexis, aucun jugement de valeur envers notre couple et à l’encontre de mon mari :
• Merci à toi de permettre ça à ton épouse.
• Ce que je veux est qu’elle soit heureuse. Olga est hypersexuelle et a elle a donc des besoins que je suis bien incapable d’assumer seul, même avec la meilleure volonté. Et je ne connais rien de plus beau que de la voir jouir. Je te propose que nous profitions du déjeuner pour « debriefer » et envisager la suite.
• Avec plaisir ! Vous êtes décidément un couple très spécial !
• Chérie, prépares-toi, comme j’aime : je te veux très sexy. Je veux que tu fasses bander tous les mecs qui seront au restaurant. Qu’ils aient tous envie de te baiser.
• Je t’aime, mon petit vicieux !
Et en effet je choisis, sur l’insistance de Philippe, de porter une jupe courte et un teeshirt très échancré, sans soutien-gorge naturellement.
Nous fîmes une entrée remarquée dans la salle à manger. Je donnais une main à mon mari et l’autre à mon amant du matin.
Le maître d’hôtel nous accueillit avec un grand sourire complice :
• Bonjour Madame, Bonjour Messieurs. Vous avez passé une bonne matinée ?
• Excellente, Spyros, excellente ! répondit Philippe. Ma femme s’est faite longuement baiser par Monsieur et c’était très bon.
• J’ai eu des échos car vous aviez laissé les fenêtres ouvertes et Madame est très démonstrative.
• Nous sommes venus ici pour son plaisir. Je vois que mon épouse ne vous laisse pas indifférente. Faites nous signe si ça vous intéresse et quand vous êtes disponible.
• A votre service Monsieur. Ce sera un privilège que de faire plaisir à Madame !
Il n’avait pas échappé, à Philippe comme à moi, que Spyros avait une terrible érection. Une fois à table, je fis semblant de réprimander Philippe :
• Décidément, tu ne perds aucune occasion pour me placer. Tu te comportes comme un véritable souteneur !
• Sauf que pour te baiser, c’est gratuit. Le seul prix à payer, c’est de te donner le maximum de plaisir et que je puisse assister.
• Et je t’adore pour ça. La seule chose c’est qu’entre les clients de l’hôtel et le personnel, je ne pourrai pas satisfaire tout le monde !
• Nous pourrons sélectionner ceux qui nous semblent les meilleurs étalons. Je veux en tout cas que tu passes le plus de temps possible à baiser, mon amour.
• Tu m’imposes des cadences infernales, mon chéri. Je vais revenir de ces « vacances » plus fatiguée que quand je suis partie !
Les serveurs se succédaient auprès de notre table au prétexte de nous renseigner et nous servir au mieux. Je n’étais pas dupe, je savais que ce zèle était motivé par l’envie de bien mater mon décolleté et mes jambes.
Philippe avait parlé de « debriefing » et c’est bien de cela qu’il s’agissait. Il demanda à Alexis ce qu’il avait pensé de la matinée et de mes performances.
Alexis ne cachait pas son enthousiasme :
• C’est une bénédiction que d’avoir croisé votre chemin et d’avoir été le premier à en profiter ici. Si je puis me permettre, ton épouse est la plus grande salope que je n’ai jamais rencontrée. Et, dans ma bouche, c’est un compliment !
Alexis tutoyait Philippe. Mon amant du matin et mon mari étaient très complices et continuaient à parler de moi et de ma libido, sujet qui, manifestement, attirait l’attention des tables voisines et des serveurs.
• Dis-moi, Alexis, ce que tu as aimé chez elle.
• J’ai tout aimé. Olga est belle, sensuelle, exceptionnelle, un vrai rêve.
Poussé par Philippe, Alexis vanta longuement mes talents de fellatrice, la sensibilité de mes seins si érogènes, l’enchainement de mes orgasmes, dont la violence lui avait presque fait peur.
• C’est vrai que, chez Olga, l’orgasme est vraiment une petite mort. Il lui arrive de perdre brièvement connaissance tellement c’est fort.
• Je serai franc, je n’ai qu’un regret : j’aurais aimé la prendre sans capote et jouir en elle. Je suis sain et je peux vous fournir des tests récents
• Nous sommes sains nous aussi mais ça fait partie des limites que nous nous imposons. Tu as bien compris qu’elle aussi aurait voulu ça également. Mais elle respecte notre accord.
Philippe se sentait en confiance avec Alexis. Il lui expliqua, dans les grandes lignes, notre parcours, nos 22 années de complicité amoureuse entre un mari candauliste et une épouse hypersexuelle. Philippe ne cacha pas qu’il avait fallu beaucoup de temps pour que je me laisse convaincre. Il parla de nos cérémonies de mariage très particulières, et n’occulta pas qu’il avait failli me perdre, évoquant les moments douloureux avec Rachid, Hassan et N.
• C’est encore plus particulier que je ne le croyais. La force de votre amour a sauvé votre couple car ce que vous faites est très dangereux.
• L’amour de Philippe ne connait pas de limites, ajoutais-je en embrassant mon mari
• Oui, ou presque. Ce que j’exige, c’est la transparence. La liaison avec N a failli tout détruire. C’est ce que nous voulons désormais absolument éviter.
• Je l’ai bien compris. Vous devez vous tenir loin des prédateurs, qui doivent être attirés par Olga.
Alexis avait la main ostensiblement posé sur ma cuisse, alors que la mienne était sur sa braguette, déformée par une érection qui confirmait qu’il n’en n’avait pas eu assez ce matin.
• Dis-moi, Olga, combien d’amants as-tu eu dans ta vie ?
• Depuis un moment, j’ai arrêté de compter. Des centaines, mais plus certainement davantage.
• Philippe, je comprends que tu veux qu’Olga puisse avoir autant de partenaires que possible au cours de votre séjour ici. Pour autant, acceptes-tu que je puisse remettre le couvert prochainement ?
• Je ne cherche pas à faire dans le quantitatif. Je veux qu’elle ait du plaisir, avec des amants performants et qui nous respectent. C’est ton cas. Donc je ne dis pas non, mais il est évident que tu n’auras pas l’exclusivité.
• J’avais bien compris cela. J’ai pensé à quelque chose. J’imagine que plusieurs partenaires en même temps, ça ne fait pas peur à Olga.
Philippe répondit pour moi :
• Au contraire, elle adore ça. Trois serait un bon chiffre : un dans la chatte, un dans sa bouche et un dans son petit trou. Ainsi elle est comblée.
• Alors j’ai ce qu’il vous faut. Deux amis, Sotiris et Demetrios, assistent au séminaire et viennent d’arriver. Ce sont des trentenaires, célibataires, et, pour avoir participé avec eux à des soirées libertines, je peux vous dire qu’ils correspondent à ce que vous recherchez.
• C’est intéressant. Mater ma chérie avec trois mâles vigoureux, ça me plait bien.
• Il faut d’abord savoir s’ils me plaisent et si je leur plais. Si j’ai bien compris, ils sont bien plus jeunes que moi.
• Mes amis aiment bien les jolies femmes mures, comme toi.
Philippe était enthousiaste envers l’idée d’Alexis.
• Alors, ce que je propose est que, lorsque vous avez fini votre séance de l’après-midi, vous descendiez à la plage et, en cas de feeling, vous nous rejoindrez ce soir à la Suite.
• Et d’ici ce soir, je fais quoi ? Cette matinée m’a ouvert l’appétit ! J’ai encore envie.
• Tu es une gourmande, ma chérie ! Alexis a encore un peu de temps pour se préparer et j’ai vu que ta main a été constamment sur sa belle queue. Tu vas aux toilettes, Tu laisses ta porte ouverte, Alexis te rejoint et te baise.
• Mais toi tu ne pourras pas nous mater, mon chéri
• Ce qui compte c’est ton plaisir. Tu m’appelleras et tu laisses ton téléphone en haut-parleur.
• Merci mon amour. Je t’adore !
• Enlève ton string et donne le moi. Pas comme ça. Qu’ont voit que tu me le donnes.
Je me suis exécutée. J’étais excitée comme jamais, ma chatte était humide, béante et mes tétons étaient particulièrement durs. Il fallait que je baise. Maintenant.
• Hum son string est bien trempé. Elle est vraiment en manque !
***
Je me suis dirigée lentement vers les toilettes. Aux regards que beaucoup me lançaient, j’avais l’impression que tout le monde savait ce que j’allais faire.
Dans un hôtel de ce grand standing, l’endroit était assez grand et parfaitement propre. Je n’ai pas verrouillé la porte. J’ai enlevé ma jupe et mon tee-shirt, ne gardant que mes talons-haut. Je voulais être prise nue.
J’avais envoyé un SMS à Alexis pour lui indiquer dans quelle cabine je me trouvais. Au moment de se lever, Philippe lui a tendu ostensiblement un préservatif, levant les derniers doutes des serveurs et des voisins de table.
• Tu sais qu’elle préférerait sans ça. Tu ne veux pas lui faire ce plaisir ?
• Pas maintenant en tout cas. Baise-la bien s’il te plait !
• Tu peux compter sur moi. Je vais la démonter !
Nous avions la chance d’être en fin de service, les toilettes des femmes étaient vides et Alexis pouvait y rentrer sans créer d’incidents. Pour moi, peu importait s’il y avait des témoins ou si nous choquions, je n’avais qu’une envie : baiser !
Alexis s’introduisit dans la cabine et la referma à clés derrière lui. Je me serrais dans ses bras et nous nous roulions de longues pelles.
• Appelle-le et pose l’appareil
Je fis immédiatement ce qui avait été convenu.
• Philippe, j’y suis. La salope m’attendait, à poil, prête à être saillie. Comme une pouliche attend l’étalon dans son box.
Philippe avait le téléphone à l’oreille.
• Vas-y, ne la fais pas attendre. C’est dur pour moi de ne pas vous voir et de ne pas pouvoir réagir. Mais je bande !
• T’inquiète, je vais bien m’occuper d’elle. Elle m’a suffisamment chauffé pendant tout le déjeuner.
J’ai défait la ceinture d’Alexis, descendu son pantalon et sorti cette queue que j’avais tant apprécié le matin.
• Pour commencer, à genoux, petite putain. Tu vas me sucer un peu, avant que je ne te la mette.
Vue l’excitation d’Alexis, je savais que cette fellation ne pouvait pas durer trop longtemps.
• Hum que c’est bon ! Tu es vraiment une reine de la fellation. Vas-y doucement, je ne veux pas jouir dans ta bouche, je veux te niquer !
Il n’y avait pas de danger car, moi aussi c’est de ça dont j’avais envie et pas autre chose.
• Mets-moi ce préservatif. C’est une exigence de Philippe.
Je poussais une petite plainte, un peu comme un enfant à qui on aurait refusé une sucrerie ou un jouet. Mais je me montrais obéissante, espérant que, d’ici la fin du séjour, Philippe m’accorde cette permission tant attendue.
Je déroulais donc la protection sur la verge de mon amant, dont l’érection était au maximum. Précautionneux, Philippe avait choisi le format adéquat, du XXL.
• Penches-toi sur la cuvette, je vais te prendre en levrette.
Alexis savait ce qu’il me fallait et ne s’est pas embarrassé de préliminaires ni de douceur. Il me la mit d’emblée jusqu’aux couilles et commença à me pilonner.
• Prends-ça, ma salope !
• Oh ouiiiii. Vas-y, j’en avais trop envie.
Une de mes lectrices, elle se reconnaitra, m’a demandé ce que je ressentais lors d’un coït. Je lui ai répondu que c’est presqu’indescriptible, car c’est différent selon les amants, les positions et les moments. Une chose est constante : j’adore ça, j’en ai tant besoin à défaut de le faire aussi souvent que je voudrais. Ce que j’aime est d’être pénétrée en profondeur, quand mon vagin est comme une gaine, un fourreau, qui enserre parfaitement l’éperon de mon amant. J’aime quand les couilles pleines de semence tapent sur mes fesses, quand la verge épaisse me remplit bien et met le feu à mon clitoris. Je suis en effet à la fois vaginale et clitoridienne, d’où le secret de la violence et de la succession de mes orgasmes, qui s’enchainent, le plaisir étant alors pour moi comme un cheval au galop, alors que je sens le gland qui butte tout au fond de mon intimité.
Le plaisir qui monte, les orgasmes qui s’enchainent font que je suis particulièrement expressive. Mon plaisir se lit alors sur mon visage, dont les traits déformés par le plaisir expriment une extase qu’on pourrait prendre pour une souffrance. Je suis bien évidemment vocale, perdant tout contrôle, toute retenue, alors qu’aux gémissements discrets succèdent les cris, puis les hurlements. Et c’est bien ce qui s’est passé ce jour-là, sans égards pour l’endroit où nous étions.
Alexis ne tentait même pas d’étouffer mes cris en mettant sa main sur ma bouche. Il était concentré sur la saillie, cherchant à la prolonger le plus possible la saillie, me pilonnant à un rythme infernal, tout en me couvrant d’insultes, comme j’aime à ce moment-là :
• Pórni! Skylí! (« Salope, chienne » !)
• Páli! Prochóra! Válte to vathiá (« Encore ! Vas-y ! Mets-la bien au fond »)
• Tha se gamíso xaná kai xaná! Sas arései aftó? (« Je vais te niquer encore et encore ! Tu aimes ça ?)
• O Theé mou! Ischyróteri! Grigorótera! (« Oh mon Dieu ! Plus fort ! Plus vite »)
• Sou arései na koroïdéveis ton ántra sou? Pes to! (« Tu aimes cocufier ton mari ? Dis-le
• Nai, mou arései na koroïdévo ton Philippe mou! Aléxi, gáma me! Makári na min teleiósei poté aftó. Páli, xaná, xaná! (« Oui, j’aime cocufier mon Philippe. Alexis, baise-moi ! J’aimerai que ça ne finisse jamais ! Encore, encore, encore !).
Oh comme j’aurais aimé qu’il n’ait pas cette capote, pour mieux le sentir et qu’il me remplisse. Quand j’atteins ce stade, je ne suis plus qu’une femelle, qui veut se donner totalement au mâle.
• Den antécho állo. Den boró állo na synkratithó. Páre to, skýla! Apolamváno! (« Je n'en peux plus. Je ne peux plus me retenir. Prends ça, salope! Jouis! »)
• Naí! Naí! Naí! A, ti kalá! Eínai theïkó! Den xéro káti kalýtero! Ach póso mou arései! (« Oui! Oui! Oui! Oh, que c'est bon! C'est divin! Je ne connais rien de meilleur! Oh que j'aime ça! »)
La vague, après un coït de dix minutes, retombait enfincar Alexis, bien qu’endurant, ne pouvait tenir éternellement et a fini par accompagner mon orgasme ultime en jouissant lui aussi, remplissant sa capote.
Il nous a fallu quelques instants pour reprendre nos esprits, nous rajuster, nous rhabiller. Alexis est sorti le premier, sous le regard sévère d’une quadragénaire, nos cris ne lui ayant laissé aucun doute sur ce que nous venions de faire. C’est moi qui ai eu droit à ses remarques acerbes, ce qui donna lieu à un échange qu’il est inutile de traduire :
• Dirty whore ! Aren't you ashamed to get fucked in the bathroom?
• Not at all! You should try. You will see, it's absolutely wonderful!
A la sortie je donnais un baiser sur les lèvres à Alexis, qui se hâtait de regagner sa chambre pour se préparer pour son séminaire. De mon côté, je rejoignais Philippe que j’embrassais fougueusement, me mettant assise amoureusement sur ses genoux, lui disant merci, alors que la femme avec qui j’avais eu une altercation nous lançait des éclairs, ajoutant alors qu’elle passait à côté de nous :
• Bitch ! Cuckold
• Et bien tu t’es faite une copine, mon amour. Je m’en fiche de se pensent les autres. Je veux seulement que tu sois heureuse.
• Hum, je sens que ton pantalon est humide, mon pauvre chéri.
• Je n’ai pas pu me retenir. Je suis encore plus excité quand je ne te vois pas mais que j’entends et que j’imagine ton plaisir.
• C’était exceptionnel en effet. Et le lieu, l’interdit qu’il représente a encore accru mon excitation. Merci, mon mari pour tout ce que tu me permets et pardon pour avoir exprimer mon plaisir en Grec !
• Je pense avoir tout compris. En attendant, passons à la chambre pour nous préparer pour la plage.
***
La préparation a été précédée par un long moment d’intimité entre Philippe et moi. Nous en avions envie, excités par tout ce qui s’était passé ce matin. J’ai commencé par réveiller la virilité de mon chéri avec mes mains et ma bouche, avant qu’il ne me prenne en missionnaire et que je puisse, enfin, être remplie avec de puissantes giclées, comme j’en avais tant envie.
Ce fut ensuite la préparation pour la plage. Connaissant mon Philippe, je savais qu’il ne s’agissait pas seulement de se changer. D’ailleurs, comme il l’avait fait le matin pour la robe cache-maillot et ma tenue pour le déjeuner, Philippe tenait à choisir soigneusement ma tenue pour la plage.
Cela fait partie de notre jeu. Je sais que je dois être alors tentatrice en diable et même provocatrice. Philippe est fier de ma beauté. Il aime m’exhiber et a toujours voulu que je porte des tenues qui me mettent en valeur, sans évidemment regarder au prix. Quand je proteste, parce que c’est trop cher ou parce que c’est indécent, il insiste et répond que je suis sa « basilissa ».
Ce jour-là, son choix se porta rapidement sur un bikini de chez « pain de sucre ». Le haut de maillot de bain était un triangle foncé noir, avec triple bande coordonnée coulissante sous la poitrine, noué sur la nuque et le dos. Ce modèle convient parfaitement aux petites poitrines comme la mienne. Nous avons choisi de le combiner avec un slip de bain qui met en valeur mes fesses et dont la découpe épouse mes formes
• C’est parfait ! Ca dévoile tes courbes avec fraicheur et raffinement !
• Tu es un esthète Monsieur T ! Mais tu ne penses pas que c’est un peu trop ?
• Je te l’ai offert pour que tu le portes. Tu sais bien que j’ai toujours voulu pour toi ce qu’il y avait de plus beau et de plus sexy.
• Surtout le plus sexy. Tu as toujours aimé m’exhiber, petit vicieux !
• Je suis fier de ma femme et je veux que tous les mecs de la plage bandent en te voyant.
Philippe avait consenti à ce que je porte un paréo pour descendre à la plage, mais il avait aussi choisi en conséquence. Ce paréo était plutôt translucide. Philippe n’avait rien laissé au hasard, en m’imposant des chaussures de plage à talons hauts ultra, très jolies mais pas très pratiques pour marcher et qui accentuaient ma cambrure. Je ne pouvais qu’être remarquée et c’est ce que voulait mon chéri.
***
Philippe n’avait nullement l’intention de reproduire ce qui s’était passé sur une autre plage grecque, il a cinq ans et que j’ai raconté dans deux autres textes publiés sur HDS (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (17) : plage, mer et dunes », publié le 25 février 2017 et « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (1) », paru le 27 octobre 2019). Je m’étais alors laissée aller à suivre un inconnu, N, qui m’avait conduite à la mer puis dans les dunes pour me baiser. Ce grave dérapage avait débouché sur un adultère, qui a été la crise la plus destructrice pour notre couple.
Nous étions là pour que j’assume pleinement mon hypersexualité, après de longs mois de restrictions liées à la pandémie. Mais il n’était pas question de faire n’importe quoi, Philippe, dans notre cadre candauliste, veillant à garder le contrôle. De mon côté, je ne veux en aucun cas revivre la crise que nous avons connue en 2016-2017 où j’avais trahi mes responsabilités de mère et d’épouse et failli tout perdre.
Je taquinais cependant Philippe, en le traitant de véritable souteneur. J’employais le terme de « maquereau ». Il répondit :
• Tu es ma petite putain et j’adore que tu te comportes ainsi. Mais, outre que je suis ton mari, tu es gratuite et c’est moi qui choisis qui va avoir l’honneur de te baiser.
• Et ça me plait que ça se passe comme ça. Je suis à toi et j’aimes que tu disposes de moi, mon amour.
Cette après-midi à la plage était un véritable test. Sexy et provocante, je ne pouvais que susciter les convoitises. Cela était voulu par Philippe. Il m’encourageait à allumer la mèche, mais c’est lui qui décidait si on allait plus loin. Et, cette après-midi là, après ce que j’avais connu avec Alexis, Philipe estimait qu’il fallait faire une pause, que j’apprenne à maîtriser mes pulsions. Dans sa tête, il voulait aussi que je sois en état de manque le soir, au moment où Alexis et ses amis, Sotiris et Demetrios, nous rejoindraient.
Philippe ne me perdait pas de vue, mais exerçait sa surveillance avec beaucoup d’habileté, de façon à ce que je puisse mener mon entreprise de séduction qui devait assurer la suite de notre séjour, car ni moi ni Philippe n’avions l’intention de ne nous en remettre au seul Alexis, même s’il était respectueux de nos règles et qu’il s’était avéré particulièrement performant.
J’ai donc utilisé, pour mener mon offensive de charme, différentes armes : sourires appuyés, clins d’œil, promenades et bains, en restant soigneusement dans le champ de vision de mon chéri, bains de soleil topless.
Après une activité sexuelle intense depuis le début de la journée, le calme plat de l’après-midi, combiné à mon exhibition et mes provocations, tout cela provoquait chez moi une grande excitation. Je respectais pourtant à la lettre les consignes de Philippe et, en même temps, l’envie montait en moi. Je le sentais à l’humidité de mon entre-jambes et à mes tétons qui se dressaient, des signes qui ne trompaient pas. Philippe en était parfaitement conscient, mais il voulait me mettre à l’épreuve, me pousser à me maîtriser et mesurer mon acceptation de nos règles communes et de son emprise sur ma libido que j’ai totalement acceptée depuis la fin de mon adultère avec N.
J’étais dans un premier temps déçue des résultats limités de mes efforts. Objet des regards furieux de certaines femmes, j’étais incontestablement un sujet d’attention pour les mâles. Je voyais, aux érections que je provoquais, l’émoi que je créais et le désir d’un certain nombre de mâles présents sur cette plage. La plupart n’osaient pas donner suite, soit du fait de la présence de mon mari, soit surtout parce qu’ils étaient accompagnés et ne voulaient pas se créer des problèmes avec leurs compagnes.
Ce n’est qu’ultérieurement que j’ai récolté les fruits de ce travail d’approche. J’ai récupéré à la réception, le soir et le lendemain, plusieurs messages d’hommes me laissant leurs coordonnées pour des contacts discrets. Les messages étaient brefs mais pour la plupart très explicites, me traitant de « petite salope », me disant que je les avais fait bander toute l’après-midi. Ils ajoutaient que, si je n’étais pas uniquement une petite allumeuse, ils se tenaient à ma disposition pour « plus, si affinités ». Si certains insistaient sur la discrétion, d’autres étaient très directs, disant qu’ils voulaient me baiser comme je le méritais. Un seul demanda si mon mari était au courant et s’il était d’accord.
Comme nous en étions convenus, j’ai remis à Philippe les six messages reçus et c’est lui qui s’est chargé des contacts et de coordonner les rencontres. Tous, sauf un, même s’ils se montraient surpris d’être contactés par le mari, ont accepté nos conditions, ne voulant pas laisser passer l’occasion.
Mon Philippe a un grand sens de l’organisation. Avec mon accord, il décida que nous réserverions les après-midi de notre séjour à nos plaisirs, avec les partenaires que nous avions agréés, dans notre Suite.
***
Il y eut toutefois deux réactions directes.
Il y a d’abord eu, à un moment où je me suis baignée, un type qui m’a rejoint dans l’eau : un quadra, musclé, viril et macho.
• Je m’appelle Andreas.
• Enchantée. Je suis Olga
• J’observe ton manège depuis une heure, petite salope. C’est clair que tu allumes les mecs sur la plage. Tu me fais triquer comme un malade. J’en peux plus !
• A ce point ?
• Tu veux voir ? Touches !
A ces mots, Andreas s’est rapproché et m’a prise dans ses bras, me serrant contre lui. Je sentais en effet une formidable érection. Il prit ma main et la posa dessus. Mon Dieu, exactement ce dont j’avais tellement envie à ce moment-là !
Andreas s’est enhardi et m’a roulé une pelle, à laquelle j’ai répondu. Je perdais pied, j’étais sur le point de céder, de m’offrir à cet inconnu, de reproduire le même dérapage qu’avec N cinq ans auparavant.
• Viens, on sort de l’eau. Il y a une pinède discrète, près de la plage. Je vais te niquer comme tu en crèves d’envie.
• Un instant, je ne suis pas seule. Mon mari est sur la plage.
• Et alors, on va lui faire pousser ses cornes, au cocu. Ne me raconte pas d’histoire, il est d’accord, sinon il ne te laisserait pas t’exhiber ainsi et provoquer les mecs.
• Ne parle pas comme ça de Philippe. Il est candauliste
• C’est quoi ça ?
• Ca veut dire que oui il est d’accord, mais en sa présence et c’est lui qui choisit.
• C’est pas mon trip ça. Des salopes dans ton genre, je ne les saute pas en présence du cocu
• Alors ça ne se fera pas !
• Petite putain, tu crois que tu peux allumer les mecs comme ça et les jeter ? Tu vas me suivre et je vais te baiser. Viens !
Nous n’avions pas entendu Philippe approcher.
• Chérie, Monsieur t’importune ?
• Je l’importune pas, espèce de cocu. Ta pute m’a allumé et maintenant elle n’assume pas !
• Monsieur, si vous ne vous calmez pas j’appelle l’assistance de l’hôtel, qui est sur la plage. Ma femme est hypersexuelle, je suis candauliste, ça ne vous autorise pas à nous insulter. Elle vous a expliqué dans quelles conditions se passaient les rencontres. Ca ne vous convient pas, dont acte !
Le dénommé Andréas a regagné la plage en maugréant et en nous abreuvant d’injures. Je me suis réfugiée en tremblant dans les bras de Philippe :
• Oh mon chéri, merci d’être intervenu. J’ai failli le suivre, tu sais. En me poussant à m’exhiber ainsi, à me comporter ainsi, tu mets ma résistance à rude épreuve.
• Je le sais. Je sais que tu es fragile, mon trésor et qu’un prédateur peut en profiter. Je suis toujours près de toi, ne t’inquiètes pas.
Nous sommes ressortis de l’eau main dans la main. Philippe avait compris qu’il avait poussé le bouchon un peu loin et décida de calmer le jeu.
De retour à notre emplacement, nous avons pourtant été abordés par un autre homme, qui devait avoir l’âge de Philippe et qui n’était pas du tout le genre du macho qui venait de m’entreprendre.
• Bonjour Monsieur, Bonjour Madame. Je m’appelle Spyridon. Je peux vous tenir compagnie ?
Spyridon nous expliqua qu’il avait observé notre comportement le matin lors du Brunch et tout à l’heure du déjeuner. Etant lui-même un libertin, il avait parfaitement compris ce que nous recherchions. Il fut cash, mais en choisissant ses mots, disant qu’il était à notre disposition, à nos conditions.
J’étais sidérée de voir Spyridon négocier en direct avec Philippe, sans me perdre de vue. Je voyais à son regard et à son érection l’effet que je lui faisais. Spyridon accepta toutes nos conditions, soigneusement énumérées par Philippe, qui insista sur sa présence, sur le respect et sur la protection des rapports. Rendez-vous fut pris pour le lendemain en début d’après-midi, car ce soir, ajouta Philippe « nous sommes déjà occupés »
Spyridon tapa dans la main de Philippe. Celui-ci se tourna vers moi :
• Ca te convient chérie ?
Il ajouta :
• Je connais les besoins de ma femme et je ne me lasse pas d’être le témoin de son plaisir. Je sais combien elle en a besoin. Mais ma femme n’est pas une putain, et je ne suis pas un souteneur. J’organise, je filtre en quelque sorte, mais c’est elle qui décide.
• Oui, mon chéri. Je sais que tu fais les bons choix, que tu trouves pour moi, pour nous, les partenaires idéals.
• Vous êtes un couple très particulier. Votre mode de vie n’est pas sans dangers, ni sans risques de dérapages, vous savez.
• Nous nous aimons, ajouta Olga, c’est ce qui nous préserve, même si quelquefois nous sommes sur la corde raide.
• Si je puis me permettre. Je me doute bien que vous avez prévu quelque chose pour ce soir. Il n’empêche que ça fait encore du temps d’ici là et que ça fera long pour Madame. C’est pour ça qu’elle a failli céder à ce type tout à l’heure. J’étais à proximité et je m’apprêtais à intervenir quand vous l’avez fait.
• Même si nous avons organisé ce séjour pour qu’elle donne libre cours à sa libido, il faut ménager des périodes plus calmes. Sinon, quand nous serons revenus à une situation contrainte, avec notre vie de famille, le choc sera insupportable pour elle. C’est dur pour elle, je le sais, mais c’est indispensable.
• Vous avez raison. Je pense simplement qu’il faut l’apaiser, car elle a été soumise à forte tension cette après-midi.
• C’est vrai ? Que proposez-vous ?
• Mon métier est masseur. Je peux, en toute discrétion, avec mes mains, la soulager
• Oh mon chéri, dis-oui s’il te plait, ça va me calmer. J’en ai besoin
Ne pouvant résister au regard implorant que je lui adressais, Philippe fit oui de la tête. Je me suis étendue sur ma serviette, enlevant mon haut de maillot. J’avais avec moi de l’huile solaire qui pouvait aussi convenir à cet usage. Je me suis détendue totalement, me livrant aux mains expertes de Spyridon.
(À suivre : « moments candaulistes (4 : trio)
Dès notre arrivée sur notre lieu de villégiature, je me suis lancée, poussée par mon époux, dans une offensive de charme. Le Brunch du premier matin a permis de trouver un partenaire comme nous les recherchons, Alexis, un quinquagénaire viril, venu dans cette villégiature pour un séminaire professionnel. J’ai pu vérifier, au cours de la matinée, en présence et avec la complicité de Philippe, que notre choix était bon, Alexis étant à la hauteur de toutes nos attentes.
***
Alexis venait de m’honorer à nouveau, se révélant être particulièrement performant et endurant. De mon côté, j’aurais bien aimé poursuivre, sortant de plusieurs mois de ce que Philippe et moi appelons une « disette ». Les moments où nous pouvons donner libre cours à nos pratiques candaulistes sont par nature rares, du fait des précautions que nous nous imposons et des contraintes inhérentes à une vie familiale. La rareté s’est transformée en désert avec la situation sanitaire.
Cette jolie parenthèse, rendue possible grâce à la complicité de mon amante Agun et de notre amie Christine, comme je l’ai expliqué dans « moments candaulistes (1 : la séduction), nous entendions bien en profiter à fond.
Alexis avait lui aussi encore envie, mais il avait des contraintes. Il déposa un baiser sur mes lèvres :
• Je suis désolé, ma belle, mais mon séminaire commence à 14h00 et je dois me préparer. A ta disposition pour remettre ça, si Philippe le veut bien, pendant votre séjour, puisque je suis là encore les deux prochaines nuits.
Alexis tendit une main amicale à Philippe. J’appréciais que, contrairement à ce que nous rencontrions souvent, il n’y avait, chez Alexis, aucun jugement de valeur envers notre couple et à l’encontre de mon mari :
• Merci à toi de permettre ça à ton épouse.
• Ce que je veux est qu’elle soit heureuse. Olga est hypersexuelle et a elle a donc des besoins que je suis bien incapable d’assumer seul, même avec la meilleure volonté. Et je ne connais rien de plus beau que de la voir jouir. Je te propose que nous profitions du déjeuner pour « debriefer » et envisager la suite.
• Avec plaisir ! Vous êtes décidément un couple très spécial !
• Chérie, prépares-toi, comme j’aime : je te veux très sexy. Je veux que tu fasses bander tous les mecs qui seront au restaurant. Qu’ils aient tous envie de te baiser.
• Je t’aime, mon petit vicieux !
Et en effet je choisis, sur l’insistance de Philippe, de porter une jupe courte et un teeshirt très échancré, sans soutien-gorge naturellement.
Nous fîmes une entrée remarquée dans la salle à manger. Je donnais une main à mon mari et l’autre à mon amant du matin.
Le maître d’hôtel nous accueillit avec un grand sourire complice :
• Bonjour Madame, Bonjour Messieurs. Vous avez passé une bonne matinée ?
• Excellente, Spyros, excellente ! répondit Philippe. Ma femme s’est faite longuement baiser par Monsieur et c’était très bon.
• J’ai eu des échos car vous aviez laissé les fenêtres ouvertes et Madame est très démonstrative.
• Nous sommes venus ici pour son plaisir. Je vois que mon épouse ne vous laisse pas indifférente. Faites nous signe si ça vous intéresse et quand vous êtes disponible.
• A votre service Monsieur. Ce sera un privilège que de faire plaisir à Madame !
Il n’avait pas échappé, à Philippe comme à moi, que Spyros avait une terrible érection. Une fois à table, je fis semblant de réprimander Philippe :
• Décidément, tu ne perds aucune occasion pour me placer. Tu te comportes comme un véritable souteneur !
• Sauf que pour te baiser, c’est gratuit. Le seul prix à payer, c’est de te donner le maximum de plaisir et que je puisse assister.
• Et je t’adore pour ça. La seule chose c’est qu’entre les clients de l’hôtel et le personnel, je ne pourrai pas satisfaire tout le monde !
• Nous pourrons sélectionner ceux qui nous semblent les meilleurs étalons. Je veux en tout cas que tu passes le plus de temps possible à baiser, mon amour.
• Tu m’imposes des cadences infernales, mon chéri. Je vais revenir de ces « vacances » plus fatiguée que quand je suis partie !
Les serveurs se succédaient auprès de notre table au prétexte de nous renseigner et nous servir au mieux. Je n’étais pas dupe, je savais que ce zèle était motivé par l’envie de bien mater mon décolleté et mes jambes.
Philippe avait parlé de « debriefing » et c’est bien de cela qu’il s’agissait. Il demanda à Alexis ce qu’il avait pensé de la matinée et de mes performances.
Alexis ne cachait pas son enthousiasme :
• C’est une bénédiction que d’avoir croisé votre chemin et d’avoir été le premier à en profiter ici. Si je puis me permettre, ton épouse est la plus grande salope que je n’ai jamais rencontrée. Et, dans ma bouche, c’est un compliment !
Alexis tutoyait Philippe. Mon amant du matin et mon mari étaient très complices et continuaient à parler de moi et de ma libido, sujet qui, manifestement, attirait l’attention des tables voisines et des serveurs.
• Dis-moi, Alexis, ce que tu as aimé chez elle.
• J’ai tout aimé. Olga est belle, sensuelle, exceptionnelle, un vrai rêve.
Poussé par Philippe, Alexis vanta longuement mes talents de fellatrice, la sensibilité de mes seins si érogènes, l’enchainement de mes orgasmes, dont la violence lui avait presque fait peur.
• C’est vrai que, chez Olga, l’orgasme est vraiment une petite mort. Il lui arrive de perdre brièvement connaissance tellement c’est fort.
• Je serai franc, je n’ai qu’un regret : j’aurais aimé la prendre sans capote et jouir en elle. Je suis sain et je peux vous fournir des tests récents
• Nous sommes sains nous aussi mais ça fait partie des limites que nous nous imposons. Tu as bien compris qu’elle aussi aurait voulu ça également. Mais elle respecte notre accord.
Philippe se sentait en confiance avec Alexis. Il lui expliqua, dans les grandes lignes, notre parcours, nos 22 années de complicité amoureuse entre un mari candauliste et une épouse hypersexuelle. Philippe ne cacha pas qu’il avait fallu beaucoup de temps pour que je me laisse convaincre. Il parla de nos cérémonies de mariage très particulières, et n’occulta pas qu’il avait failli me perdre, évoquant les moments douloureux avec Rachid, Hassan et N.
• C’est encore plus particulier que je ne le croyais. La force de votre amour a sauvé votre couple car ce que vous faites est très dangereux.
• L’amour de Philippe ne connait pas de limites, ajoutais-je en embrassant mon mari
• Oui, ou presque. Ce que j’exige, c’est la transparence. La liaison avec N a failli tout détruire. C’est ce que nous voulons désormais absolument éviter.
• Je l’ai bien compris. Vous devez vous tenir loin des prédateurs, qui doivent être attirés par Olga.
Alexis avait la main ostensiblement posé sur ma cuisse, alors que la mienne était sur sa braguette, déformée par une érection qui confirmait qu’il n’en n’avait pas eu assez ce matin.
• Dis-moi, Olga, combien d’amants as-tu eu dans ta vie ?
• Depuis un moment, j’ai arrêté de compter. Des centaines, mais plus certainement davantage.
• Philippe, je comprends que tu veux qu’Olga puisse avoir autant de partenaires que possible au cours de votre séjour ici. Pour autant, acceptes-tu que je puisse remettre le couvert prochainement ?
• Je ne cherche pas à faire dans le quantitatif. Je veux qu’elle ait du plaisir, avec des amants performants et qui nous respectent. C’est ton cas. Donc je ne dis pas non, mais il est évident que tu n’auras pas l’exclusivité.
• J’avais bien compris cela. J’ai pensé à quelque chose. J’imagine que plusieurs partenaires en même temps, ça ne fait pas peur à Olga.
Philippe répondit pour moi :
• Au contraire, elle adore ça. Trois serait un bon chiffre : un dans la chatte, un dans sa bouche et un dans son petit trou. Ainsi elle est comblée.
• Alors j’ai ce qu’il vous faut. Deux amis, Sotiris et Demetrios, assistent au séminaire et viennent d’arriver. Ce sont des trentenaires, célibataires, et, pour avoir participé avec eux à des soirées libertines, je peux vous dire qu’ils correspondent à ce que vous recherchez.
• C’est intéressant. Mater ma chérie avec trois mâles vigoureux, ça me plait bien.
• Il faut d’abord savoir s’ils me plaisent et si je leur plais. Si j’ai bien compris, ils sont bien plus jeunes que moi.
• Mes amis aiment bien les jolies femmes mures, comme toi.
Philippe était enthousiaste envers l’idée d’Alexis.
• Alors, ce que je propose est que, lorsque vous avez fini votre séance de l’après-midi, vous descendiez à la plage et, en cas de feeling, vous nous rejoindrez ce soir à la Suite.
• Et d’ici ce soir, je fais quoi ? Cette matinée m’a ouvert l’appétit ! J’ai encore envie.
• Tu es une gourmande, ma chérie ! Alexis a encore un peu de temps pour se préparer et j’ai vu que ta main a été constamment sur sa belle queue. Tu vas aux toilettes, Tu laisses ta porte ouverte, Alexis te rejoint et te baise.
• Mais toi tu ne pourras pas nous mater, mon chéri
• Ce qui compte c’est ton plaisir. Tu m’appelleras et tu laisses ton téléphone en haut-parleur.
• Merci mon amour. Je t’adore !
• Enlève ton string et donne le moi. Pas comme ça. Qu’ont voit que tu me le donnes.
Je me suis exécutée. J’étais excitée comme jamais, ma chatte était humide, béante et mes tétons étaient particulièrement durs. Il fallait que je baise. Maintenant.
• Hum son string est bien trempé. Elle est vraiment en manque !
***
Je me suis dirigée lentement vers les toilettes. Aux regards que beaucoup me lançaient, j’avais l’impression que tout le monde savait ce que j’allais faire.
Dans un hôtel de ce grand standing, l’endroit était assez grand et parfaitement propre. Je n’ai pas verrouillé la porte. J’ai enlevé ma jupe et mon tee-shirt, ne gardant que mes talons-haut. Je voulais être prise nue.
J’avais envoyé un SMS à Alexis pour lui indiquer dans quelle cabine je me trouvais. Au moment de se lever, Philippe lui a tendu ostensiblement un préservatif, levant les derniers doutes des serveurs et des voisins de table.
• Tu sais qu’elle préférerait sans ça. Tu ne veux pas lui faire ce plaisir ?
• Pas maintenant en tout cas. Baise-la bien s’il te plait !
• Tu peux compter sur moi. Je vais la démonter !
Nous avions la chance d’être en fin de service, les toilettes des femmes étaient vides et Alexis pouvait y rentrer sans créer d’incidents. Pour moi, peu importait s’il y avait des témoins ou si nous choquions, je n’avais qu’une envie : baiser !
Alexis s’introduisit dans la cabine et la referma à clés derrière lui. Je me serrais dans ses bras et nous nous roulions de longues pelles.
• Appelle-le et pose l’appareil
Je fis immédiatement ce qui avait été convenu.
• Philippe, j’y suis. La salope m’attendait, à poil, prête à être saillie. Comme une pouliche attend l’étalon dans son box.
Philippe avait le téléphone à l’oreille.
• Vas-y, ne la fais pas attendre. C’est dur pour moi de ne pas vous voir et de ne pas pouvoir réagir. Mais je bande !
• T’inquiète, je vais bien m’occuper d’elle. Elle m’a suffisamment chauffé pendant tout le déjeuner.
J’ai défait la ceinture d’Alexis, descendu son pantalon et sorti cette queue que j’avais tant apprécié le matin.
• Pour commencer, à genoux, petite putain. Tu vas me sucer un peu, avant que je ne te la mette.
Vue l’excitation d’Alexis, je savais que cette fellation ne pouvait pas durer trop longtemps.
• Hum que c’est bon ! Tu es vraiment une reine de la fellation. Vas-y doucement, je ne veux pas jouir dans ta bouche, je veux te niquer !
Il n’y avait pas de danger car, moi aussi c’est de ça dont j’avais envie et pas autre chose.
• Mets-moi ce préservatif. C’est une exigence de Philippe.
Je poussais une petite plainte, un peu comme un enfant à qui on aurait refusé une sucrerie ou un jouet. Mais je me montrais obéissante, espérant que, d’ici la fin du séjour, Philippe m’accorde cette permission tant attendue.
Je déroulais donc la protection sur la verge de mon amant, dont l’érection était au maximum. Précautionneux, Philippe avait choisi le format adéquat, du XXL.
• Penches-toi sur la cuvette, je vais te prendre en levrette.
Alexis savait ce qu’il me fallait et ne s’est pas embarrassé de préliminaires ni de douceur. Il me la mit d’emblée jusqu’aux couilles et commença à me pilonner.
• Prends-ça, ma salope !
• Oh ouiiiii. Vas-y, j’en avais trop envie.
Une de mes lectrices, elle se reconnaitra, m’a demandé ce que je ressentais lors d’un coït. Je lui ai répondu que c’est presqu’indescriptible, car c’est différent selon les amants, les positions et les moments. Une chose est constante : j’adore ça, j’en ai tant besoin à défaut de le faire aussi souvent que je voudrais. Ce que j’aime est d’être pénétrée en profondeur, quand mon vagin est comme une gaine, un fourreau, qui enserre parfaitement l’éperon de mon amant. J’aime quand les couilles pleines de semence tapent sur mes fesses, quand la verge épaisse me remplit bien et met le feu à mon clitoris. Je suis en effet à la fois vaginale et clitoridienne, d’où le secret de la violence et de la succession de mes orgasmes, qui s’enchainent, le plaisir étant alors pour moi comme un cheval au galop, alors que je sens le gland qui butte tout au fond de mon intimité.
Le plaisir qui monte, les orgasmes qui s’enchainent font que je suis particulièrement expressive. Mon plaisir se lit alors sur mon visage, dont les traits déformés par le plaisir expriment une extase qu’on pourrait prendre pour une souffrance. Je suis bien évidemment vocale, perdant tout contrôle, toute retenue, alors qu’aux gémissements discrets succèdent les cris, puis les hurlements. Et c’est bien ce qui s’est passé ce jour-là, sans égards pour l’endroit où nous étions.
Alexis ne tentait même pas d’étouffer mes cris en mettant sa main sur ma bouche. Il était concentré sur la saillie, cherchant à la prolonger le plus possible la saillie, me pilonnant à un rythme infernal, tout en me couvrant d’insultes, comme j’aime à ce moment-là :
• Pórni! Skylí! (« Salope, chienne » !)
• Páli! Prochóra! Válte to vathiá (« Encore ! Vas-y ! Mets-la bien au fond »)
• Tha se gamíso xaná kai xaná! Sas arései aftó? (« Je vais te niquer encore et encore ! Tu aimes ça ?)
• O Theé mou! Ischyróteri! Grigorótera! (« Oh mon Dieu ! Plus fort ! Plus vite »)
• Sou arései na koroïdéveis ton ántra sou? Pes to! (« Tu aimes cocufier ton mari ? Dis-le
• Nai, mou arései na koroïdévo ton Philippe mou! Aléxi, gáma me! Makári na min teleiósei poté aftó. Páli, xaná, xaná! (« Oui, j’aime cocufier mon Philippe. Alexis, baise-moi ! J’aimerai que ça ne finisse jamais ! Encore, encore, encore !).
Oh comme j’aurais aimé qu’il n’ait pas cette capote, pour mieux le sentir et qu’il me remplisse. Quand j’atteins ce stade, je ne suis plus qu’une femelle, qui veut se donner totalement au mâle.
• Den antécho állo. Den boró állo na synkratithó. Páre to, skýla! Apolamváno! (« Je n'en peux plus. Je ne peux plus me retenir. Prends ça, salope! Jouis! »)
• Naí! Naí! Naí! A, ti kalá! Eínai theïkó! Den xéro káti kalýtero! Ach póso mou arései! (« Oui! Oui! Oui! Oh, que c'est bon! C'est divin! Je ne connais rien de meilleur! Oh que j'aime ça! »)
La vague, après un coït de dix minutes, retombait enfincar Alexis, bien qu’endurant, ne pouvait tenir éternellement et a fini par accompagner mon orgasme ultime en jouissant lui aussi, remplissant sa capote.
Il nous a fallu quelques instants pour reprendre nos esprits, nous rajuster, nous rhabiller. Alexis est sorti le premier, sous le regard sévère d’une quadragénaire, nos cris ne lui ayant laissé aucun doute sur ce que nous venions de faire. C’est moi qui ai eu droit à ses remarques acerbes, ce qui donna lieu à un échange qu’il est inutile de traduire :
• Dirty whore ! Aren't you ashamed to get fucked in the bathroom?
• Not at all! You should try. You will see, it's absolutely wonderful!
A la sortie je donnais un baiser sur les lèvres à Alexis, qui se hâtait de regagner sa chambre pour se préparer pour son séminaire. De mon côté, je rejoignais Philippe que j’embrassais fougueusement, me mettant assise amoureusement sur ses genoux, lui disant merci, alors que la femme avec qui j’avais eu une altercation nous lançait des éclairs, ajoutant alors qu’elle passait à côté de nous :
• Bitch ! Cuckold
• Et bien tu t’es faite une copine, mon amour. Je m’en fiche de se pensent les autres. Je veux seulement que tu sois heureuse.
• Hum, je sens que ton pantalon est humide, mon pauvre chéri.
• Je n’ai pas pu me retenir. Je suis encore plus excité quand je ne te vois pas mais que j’entends et que j’imagine ton plaisir.
• C’était exceptionnel en effet. Et le lieu, l’interdit qu’il représente a encore accru mon excitation. Merci, mon mari pour tout ce que tu me permets et pardon pour avoir exprimer mon plaisir en Grec !
• Je pense avoir tout compris. En attendant, passons à la chambre pour nous préparer pour la plage.
***
La préparation a été précédée par un long moment d’intimité entre Philippe et moi. Nous en avions envie, excités par tout ce qui s’était passé ce matin. J’ai commencé par réveiller la virilité de mon chéri avec mes mains et ma bouche, avant qu’il ne me prenne en missionnaire et que je puisse, enfin, être remplie avec de puissantes giclées, comme j’en avais tant envie.
Ce fut ensuite la préparation pour la plage. Connaissant mon Philippe, je savais qu’il ne s’agissait pas seulement de se changer. D’ailleurs, comme il l’avait fait le matin pour la robe cache-maillot et ma tenue pour le déjeuner, Philippe tenait à choisir soigneusement ma tenue pour la plage.
Cela fait partie de notre jeu. Je sais que je dois être alors tentatrice en diable et même provocatrice. Philippe est fier de ma beauté. Il aime m’exhiber et a toujours voulu que je porte des tenues qui me mettent en valeur, sans évidemment regarder au prix. Quand je proteste, parce que c’est trop cher ou parce que c’est indécent, il insiste et répond que je suis sa « basilissa ».
Ce jour-là, son choix se porta rapidement sur un bikini de chez « pain de sucre ». Le haut de maillot de bain était un triangle foncé noir, avec triple bande coordonnée coulissante sous la poitrine, noué sur la nuque et le dos. Ce modèle convient parfaitement aux petites poitrines comme la mienne. Nous avons choisi de le combiner avec un slip de bain qui met en valeur mes fesses et dont la découpe épouse mes formes
• C’est parfait ! Ca dévoile tes courbes avec fraicheur et raffinement !
• Tu es un esthète Monsieur T ! Mais tu ne penses pas que c’est un peu trop ?
• Je te l’ai offert pour que tu le portes. Tu sais bien que j’ai toujours voulu pour toi ce qu’il y avait de plus beau et de plus sexy.
• Surtout le plus sexy. Tu as toujours aimé m’exhiber, petit vicieux !
• Je suis fier de ma femme et je veux que tous les mecs de la plage bandent en te voyant.
Philippe avait consenti à ce que je porte un paréo pour descendre à la plage, mais il avait aussi choisi en conséquence. Ce paréo était plutôt translucide. Philippe n’avait rien laissé au hasard, en m’imposant des chaussures de plage à talons hauts ultra, très jolies mais pas très pratiques pour marcher et qui accentuaient ma cambrure. Je ne pouvais qu’être remarquée et c’est ce que voulait mon chéri.
***
Philippe n’avait nullement l’intention de reproduire ce qui s’était passé sur une autre plage grecque, il a cinq ans et que j’ai raconté dans deux autres textes publiés sur HDS (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (17) : plage, mer et dunes », publié le 25 février 2017 et « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (1) », paru le 27 octobre 2019). Je m’étais alors laissée aller à suivre un inconnu, N, qui m’avait conduite à la mer puis dans les dunes pour me baiser. Ce grave dérapage avait débouché sur un adultère, qui a été la crise la plus destructrice pour notre couple.
Nous étions là pour que j’assume pleinement mon hypersexualité, après de longs mois de restrictions liées à la pandémie. Mais il n’était pas question de faire n’importe quoi, Philippe, dans notre cadre candauliste, veillant à garder le contrôle. De mon côté, je ne veux en aucun cas revivre la crise que nous avons connue en 2016-2017 où j’avais trahi mes responsabilités de mère et d’épouse et failli tout perdre.
Je taquinais cependant Philippe, en le traitant de véritable souteneur. J’employais le terme de « maquereau ». Il répondit :
• Tu es ma petite putain et j’adore que tu te comportes ainsi. Mais, outre que je suis ton mari, tu es gratuite et c’est moi qui choisis qui va avoir l’honneur de te baiser.
• Et ça me plait que ça se passe comme ça. Je suis à toi et j’aimes que tu disposes de moi, mon amour.
Cette après-midi à la plage était un véritable test. Sexy et provocante, je ne pouvais que susciter les convoitises. Cela était voulu par Philippe. Il m’encourageait à allumer la mèche, mais c’est lui qui décidait si on allait plus loin. Et, cette après-midi là, après ce que j’avais connu avec Alexis, Philipe estimait qu’il fallait faire une pause, que j’apprenne à maîtriser mes pulsions. Dans sa tête, il voulait aussi que je sois en état de manque le soir, au moment où Alexis et ses amis, Sotiris et Demetrios, nous rejoindraient.
Philippe ne me perdait pas de vue, mais exerçait sa surveillance avec beaucoup d’habileté, de façon à ce que je puisse mener mon entreprise de séduction qui devait assurer la suite de notre séjour, car ni moi ni Philippe n’avions l’intention de ne nous en remettre au seul Alexis, même s’il était respectueux de nos règles et qu’il s’était avéré particulièrement performant.
J’ai donc utilisé, pour mener mon offensive de charme, différentes armes : sourires appuyés, clins d’œil, promenades et bains, en restant soigneusement dans le champ de vision de mon chéri, bains de soleil topless.
Après une activité sexuelle intense depuis le début de la journée, le calme plat de l’après-midi, combiné à mon exhibition et mes provocations, tout cela provoquait chez moi une grande excitation. Je respectais pourtant à la lettre les consignes de Philippe et, en même temps, l’envie montait en moi. Je le sentais à l’humidité de mon entre-jambes et à mes tétons qui se dressaient, des signes qui ne trompaient pas. Philippe en était parfaitement conscient, mais il voulait me mettre à l’épreuve, me pousser à me maîtriser et mesurer mon acceptation de nos règles communes et de son emprise sur ma libido que j’ai totalement acceptée depuis la fin de mon adultère avec N.
J’étais dans un premier temps déçue des résultats limités de mes efforts. Objet des regards furieux de certaines femmes, j’étais incontestablement un sujet d’attention pour les mâles. Je voyais, aux érections que je provoquais, l’émoi que je créais et le désir d’un certain nombre de mâles présents sur cette plage. La plupart n’osaient pas donner suite, soit du fait de la présence de mon mari, soit surtout parce qu’ils étaient accompagnés et ne voulaient pas se créer des problèmes avec leurs compagnes.
Ce n’est qu’ultérieurement que j’ai récolté les fruits de ce travail d’approche. J’ai récupéré à la réception, le soir et le lendemain, plusieurs messages d’hommes me laissant leurs coordonnées pour des contacts discrets. Les messages étaient brefs mais pour la plupart très explicites, me traitant de « petite salope », me disant que je les avais fait bander toute l’après-midi. Ils ajoutaient que, si je n’étais pas uniquement une petite allumeuse, ils se tenaient à ma disposition pour « plus, si affinités ». Si certains insistaient sur la discrétion, d’autres étaient très directs, disant qu’ils voulaient me baiser comme je le méritais. Un seul demanda si mon mari était au courant et s’il était d’accord.
Comme nous en étions convenus, j’ai remis à Philippe les six messages reçus et c’est lui qui s’est chargé des contacts et de coordonner les rencontres. Tous, sauf un, même s’ils se montraient surpris d’être contactés par le mari, ont accepté nos conditions, ne voulant pas laisser passer l’occasion.
Mon Philippe a un grand sens de l’organisation. Avec mon accord, il décida que nous réserverions les après-midi de notre séjour à nos plaisirs, avec les partenaires que nous avions agréés, dans notre Suite.
***
Il y eut toutefois deux réactions directes.
Il y a d’abord eu, à un moment où je me suis baignée, un type qui m’a rejoint dans l’eau : un quadra, musclé, viril et macho.
• Je m’appelle Andreas.
• Enchantée. Je suis Olga
• J’observe ton manège depuis une heure, petite salope. C’est clair que tu allumes les mecs sur la plage. Tu me fais triquer comme un malade. J’en peux plus !
• A ce point ?
• Tu veux voir ? Touches !
A ces mots, Andreas s’est rapproché et m’a prise dans ses bras, me serrant contre lui. Je sentais en effet une formidable érection. Il prit ma main et la posa dessus. Mon Dieu, exactement ce dont j’avais tellement envie à ce moment-là !
Andreas s’est enhardi et m’a roulé une pelle, à laquelle j’ai répondu. Je perdais pied, j’étais sur le point de céder, de m’offrir à cet inconnu, de reproduire le même dérapage qu’avec N cinq ans auparavant.
• Viens, on sort de l’eau. Il y a une pinède discrète, près de la plage. Je vais te niquer comme tu en crèves d’envie.
• Un instant, je ne suis pas seule. Mon mari est sur la plage.
• Et alors, on va lui faire pousser ses cornes, au cocu. Ne me raconte pas d’histoire, il est d’accord, sinon il ne te laisserait pas t’exhiber ainsi et provoquer les mecs.
• Ne parle pas comme ça de Philippe. Il est candauliste
• C’est quoi ça ?
• Ca veut dire que oui il est d’accord, mais en sa présence et c’est lui qui choisit.
• C’est pas mon trip ça. Des salopes dans ton genre, je ne les saute pas en présence du cocu
• Alors ça ne se fera pas !
• Petite putain, tu crois que tu peux allumer les mecs comme ça et les jeter ? Tu vas me suivre et je vais te baiser. Viens !
Nous n’avions pas entendu Philippe approcher.
• Chérie, Monsieur t’importune ?
• Je l’importune pas, espèce de cocu. Ta pute m’a allumé et maintenant elle n’assume pas !
• Monsieur, si vous ne vous calmez pas j’appelle l’assistance de l’hôtel, qui est sur la plage. Ma femme est hypersexuelle, je suis candauliste, ça ne vous autorise pas à nous insulter. Elle vous a expliqué dans quelles conditions se passaient les rencontres. Ca ne vous convient pas, dont acte !
Le dénommé Andréas a regagné la plage en maugréant et en nous abreuvant d’injures. Je me suis réfugiée en tremblant dans les bras de Philippe :
• Oh mon chéri, merci d’être intervenu. J’ai failli le suivre, tu sais. En me poussant à m’exhiber ainsi, à me comporter ainsi, tu mets ma résistance à rude épreuve.
• Je le sais. Je sais que tu es fragile, mon trésor et qu’un prédateur peut en profiter. Je suis toujours près de toi, ne t’inquiètes pas.
Nous sommes ressortis de l’eau main dans la main. Philippe avait compris qu’il avait poussé le bouchon un peu loin et décida de calmer le jeu.
De retour à notre emplacement, nous avons pourtant été abordés par un autre homme, qui devait avoir l’âge de Philippe et qui n’était pas du tout le genre du macho qui venait de m’entreprendre.
• Bonjour Monsieur, Bonjour Madame. Je m’appelle Spyridon. Je peux vous tenir compagnie ?
Spyridon nous expliqua qu’il avait observé notre comportement le matin lors du Brunch et tout à l’heure du déjeuner. Etant lui-même un libertin, il avait parfaitement compris ce que nous recherchions. Il fut cash, mais en choisissant ses mots, disant qu’il était à notre disposition, à nos conditions.
J’étais sidérée de voir Spyridon négocier en direct avec Philippe, sans me perdre de vue. Je voyais à son regard et à son érection l’effet que je lui faisais. Spyridon accepta toutes nos conditions, soigneusement énumérées par Philippe, qui insista sur sa présence, sur le respect et sur la protection des rapports. Rendez-vous fut pris pour le lendemain en début d’après-midi, car ce soir, ajouta Philippe « nous sommes déjà occupés »
Spyridon tapa dans la main de Philippe. Celui-ci se tourna vers moi :
• Ca te convient chérie ?
Il ajouta :
• Je connais les besoins de ma femme et je ne me lasse pas d’être le témoin de son plaisir. Je sais combien elle en a besoin. Mais ma femme n’est pas une putain, et je ne suis pas un souteneur. J’organise, je filtre en quelque sorte, mais c’est elle qui décide.
• Oui, mon chéri. Je sais que tu fais les bons choix, que tu trouves pour moi, pour nous, les partenaires idéals.
• Vous êtes un couple très particulier. Votre mode de vie n’est pas sans dangers, ni sans risques de dérapages, vous savez.
• Nous nous aimons, ajouta Olga, c’est ce qui nous préserve, même si quelquefois nous sommes sur la corde raide.
• Si je puis me permettre. Je me doute bien que vous avez prévu quelque chose pour ce soir. Il n’empêche que ça fait encore du temps d’ici là et que ça fera long pour Madame. C’est pour ça qu’elle a failli céder à ce type tout à l’heure. J’étais à proximité et je m’apprêtais à intervenir quand vous l’avez fait.
• Même si nous avons organisé ce séjour pour qu’elle donne libre cours à sa libido, il faut ménager des périodes plus calmes. Sinon, quand nous serons revenus à une situation contrainte, avec notre vie de famille, le choc sera insupportable pour elle. C’est dur pour elle, je le sais, mais c’est indispensable.
• Vous avez raison. Je pense simplement qu’il faut l’apaiser, car elle a été soumise à forte tension cette après-midi.
• C’est vrai ? Que proposez-vous ?
• Mon métier est masseur. Je peux, en toute discrétion, avec mes mains, la soulager
• Oh mon chéri, dis-oui s’il te plait, ça va me calmer. J’en ai besoin
Ne pouvant résister au regard implorant que je lui adressais, Philippe fit oui de la tête. Je me suis étendue sur ma serviette, enlevant mon haut de maillot. J’avais avec moi de l’huile solaire qui pouvait aussi convenir à cet usage. Je me suis détendue totalement, me livrant aux mains expertes de Spyridon.
(À suivre : « moments candaulistes (4 : trio)
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Les avis des lecteurs
Merci Christophe!
Pas mal christophe