Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (10).
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-01-2024 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (10).
AVERTISSEMENT
Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin, 16 et 30 juillet, le 18 août, 7 et 19 septembre, le 12 novembre et le 1er décembre 2023.
RESUME
En ce mois de mai 2023, Philippe et moi nous sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine ».
Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide. Luigi est docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes, que nous ne pouvons guère assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.
Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le séjour se passe dans une très forte tension érotique et sentimentale, avec des moments particulièrement torrides, dans une complicité apparente entre mon mari candauliste et mon amant. Prétextant le voyage prévu le lendemain pour visiter les ruines romaines d’Ostie, sous les traces de l’impératrice Faustine, Luigi n’a pas passé la nuit avec nous. La fin prévue de notre séjour approche, alors que je ne veux renoncer ni à mon chéri, ni à mon beau guide dont je suis tombée amoureuse.
Nous sommes ce soir-là dans la somptueuse propriété de Vittorio, ami de Luigi, située dans la grande banlieue de Rome et qui reproduit une Domus romaine. Pour cette soirée, Luigi a aussi invité Alessandro, responsable d’une luxueuse boutique Versace de Rome, mais aussi Gianni, ancien ami de mes parents, l’homme qui m’avait défloré il y a près de 30 ans et que je n’avais pas revu depuis.
Après un véritable banquet digne du Satyricon de Pétrone, nous nous apprêtons à passer à une orgie à la romaine, où je suis la seule femme livrée à la concupiscence de quatre mâles. Excitée par cette perspective, j’en oublierai presque la convoitise pour Philippe de Sophia, l’esthéticienne qui m’a véritablement transformée en Faustine, l’épouse hypersexuelle de l’empereur philosophe Marc Aurèle.
***
Les quatre hommes m’entourent. Il revient à Luigi de faire tomber ma robe blanche en lin, très sexy, à dos nu, une sorte de tunique, resserrée à la taille par une ceinture, au décolleté vertigineux et que je portais sans soutien-gorge. Ils me couvrent de baisers, possédent mes lèvres à tour de rôle et leurs mains parcourent mon corps.
• Oh si! Fanculo a me. Stasera non sono l'Augusta, sono una merextrix, una lupa! (“Oh oui! Baisez-moi. Ce soir, je ne pas l'Augusta , je suis une meretrix, une lupa!”)
Ce fut Vittorio qui arracha mon dernier vêtement, mon string ficelle, qu’il porta à son nez.
• È fradicia! La scoperemo in tutti i buchi, la faremo urlare di piacere, la riempiremo. (“Elle est trempée! Nous allons la baiser par tous ses trous, la faire crier de plaisir, la remplir.”)
Les quatre hommes s’étaient à leur tour déshabillés et leur formidable érection était prometteuse. Je ne pouvais plus attendre. Je n’avais envie ni de préliminaires, ni de tendresse. Je voulais être baisée. Je me suis mise à quatre pattes, tendant ma croupe.
• Avanti, signori! Che cosa stai aspettando? Non vedi che muoio dalla voglia che tu mi scopi? Portami in ogni buco davanti a mio marito! Fammi venire! (“Allons, Messieurs! Qu'attendez-vous? Vous ne voyez pas que je meurre d'envie que vous me baisiez? Prenez-moi par tous les trous devant mon mari! Faites-moi jouir!”)
Philippe repoussa sans ménagements Sophia, qui tentait de le branler et de le sucer.
• Laisse-moi tranquille, tu veux. Ce qui m’intéresse, ce n’est pas toi, c’est qu’ils vont faire avec elle.
Puis interpellant Luigi :
• Luigi, vous jouez à quoi ? Tu ne vois pas qu’elle n’en peut plus d’attendre ?
Ce fut Alessandro qui expliqua les hésitations des quatre hommes :
• Si vous permettez, Signor Filippo, nous sommes ici pour honorer votre charmante épouse. Mais nous n’avons pas eu le temps de décider entre nous qui aurait le privilège d’être le premier à la posséder. En tant qu’invité, je ne prétends pas à être celui-ci. Cela pourrait être le comte Vittorio, notre hôte.
• Tu oublies une chose, Alessandro, intervient Luigi. Cette femme est désormais mienne. Cela me revient donc de droit.
• Je suis le premier à avoir compris tout son potentiel, corrigea Gianni. Ca fait près de 30 ans et je n’ai rien oublié.
• Attendez, mes amis, nous avons toute la nuit pour faire jouir cette femme. Nous allons nous partager ses faveurs. Il n’est pas question de nous disputer. Mais puisqu’il faut trancher et que ce soir Olga est Faustine, départageons-nous comme l’auraient fait nos ancêtres!
• Que proposez-vous, Comte? demanda Alessandro.
• Laissons le hasard décider qui d’entre nous sera le premier à l’honorer.
Vittorio ouvrit sa main, où se trouvaient quatre dés.
• Les jeux de dés étaient particulièrement appréciés des Romains, et l'on sait que même les Empereurs Auguste et Claude y jouèrent avec passion, affirme Vittorio.
• Ils furent pourtant interdits, sauf pendant les Saturnales. Or, les Saturnales se déroulaient en décembre, précise Luigi.
• On y jouait aussi au cours des bacchanales. Et ce soir, nous fêtons Bacchus ! Je vous propose le « coup de Vénus ». La règle est simple !
• Oui, confirme, Luigi. Les joueurs lancent chacun à leur tour quatre dés. Celui qui fait le « coup du chien », avec 4 chiffres identiques ou qui a tiré un 6 est éliminé. Celui qui réussit le « coup de Vénus », avec 4 chiffres différents, a gagné.
J’étais fascinée, partagée entre la tentation de la révolte et l’excitation. C’était la première fois de ma vie que l’on décidait de moi avec un jeu de hasard, que j’étais traitée comme un trophée à gagner, sinon comme un objet. Je jetais un regard vers Philippe, qui n’intervint pas, laissant faire. Je me prêtais au jeu, espérant que ce soit Luigi qui gagne et qui, devant tous, me fasse l’amour.
• Et pour motiver nos compétiteurs, notre Augusta Meretrix va nous sucer à tour de rôle. Mais attention, interdiction de jouir dans sa bouche, sinon vous êtes éliminés !
Vittorio se retourna pour placer un dé dans sa main, sans que ses complices ne puissent voir laquelle. Ceci permit de décider du tour de passage, successivement Gianni, Alessandro, Luigi et Vittorio.
Je me mis donc entre les jambes de Gianni, le regardant profondément avant de prendre sa queue en bouche :
• Centinaia di uomini, probabilmente di più, ti sono succeduti, Gianni, ma io non ti ho mai dimenticato! (“Des centaines d'hommes, sans doute davantage, t'ont succédé, Gianni, mais je ne t'ai jamais oublié!”)
Et je me suis mise à lui tailler une pipe, en y mettant toute mon ardeur.
• La tua bocca è malvagia! Sei la regina dei pompini! (“Ta bouche est diabolique! Tu es la reine de la fellation!”)
Gianni résiste, malgré son envie de se laisser aller dans ma bouche. Il lance les dés. Il n’obtient pas le « coup de Vénus », mais n’est pas non plus éliminé.
Puis ce fut le tour d’Alessandro. Je redoublai d’efforts, mes lèvres bien serrées autour de la hampe, ma langue excitant son gland.
Alessandro est saisi au vif, il ferme les yeux, la tête renversée en arrière :
• Dio mio! È troppo! È la dea Venere in persona a succhiarmi. Luigi, non mi avevi detto che era di Bologna! Continua! SÌ! (“Oh mon Dieu! C'est trop! C'est la déesse Vénus en personne qui me suce. Luigi, tu ne m'avais pas dit qu'elle était de Bologne! Continue! Oui!”)
Je suis flattée par cette allusion. Les femmes de Bologne sont réputées en Italie pour être les meilleures fellatrices de la péninsule. Je sais que je suis sur le point de parvenir à mon objectif, qu’Alessandro a atteint le point de non-retour. J’accélère, pour le finir. Alessandro rend les armes, m’envoyant trois puissantes giclées dans la gorge :
• Prendi questo! Ingoia tutto, bella puttana! Per tutto il giorno sono stato duro come un cervo pensando a te. Più tardi ti scoperò come una cagnolina! (“Prends ça! Avale tout, jolie putain! Toute la journée, j'ai bandé comme un cerf en pensant à toi. Tout à l'heure, je te baiserai comme une chienne!”)
Je ne me fais pas prier et avale tout, ou presque. Je garde en bouche la dernière giclée. Le sperme me coule sur le menton. Je fais signe à Philippe d’approcher. Il me prend dans ses bras et je le lui roule une pelle, pour partager avec lui mon premier sperme de la soirée.
• Je sais que toi aussi, tu aimes le sperme, mon amour. Ce soir, je te préviens, je n’aurais aucune limite. Je veux jouir jusqu’au bout de la nuit !
• Nous sommes là pour ça. Continue ! Les Dieux n’ont pas encore décidé qui te possédera en premier.
Le jeu continue. C’est au tour de Luigi. Un échange de regards lui fait comprendre que je veux qu’il soit le vainqueur. Il le comprend, ainsi que Philippe, qui me connait si bien. Les deux autres ne saisissent pas que je ne fais pas de zèle pour pomper mon amant, car je ne veux prendre aucun risque. Luigi lance les dés. Je palis : il fait trois « cinq », manquant de peu d’être éliminé.
C’est ensuite au tour de Vittorio. Comme pour Alessandro, j’y mets toute ma science, voulant qu’i se répande dans ma bouche :
• Luigi mi disse che potresti essere paragonata alla regina Cleopatra, che veniva chiamata "bocca d'oro". Fai schifo divinamente, ma non mi avrai! (“Luigi m'a dit que tu pouvais être comparée à la reine Cléopâtre, qu'on appelait "bouche d'or”. Tu suces divinement, mais tu ne m'auras pas”)
Vittorio me défie, prenant tout son temps, sûr de sa résistance. Il se décide à lancer les dés. Il obtient trois chiffres identiques, heureusement pas quatre.
• È solo un rinvio, stronzetta! Ti scoperò forte davanti al tuo cornuto! (“Ce n'est que partie remise, petite garce! Je vais te baiser à fond devant ton cocu!”)
Le jeu continue, de longues minutes. Je ne parviens à faire jouir aucun des trois hommes et le « jeu de Vénus », qui devient interminable, ne les départage pas.
Philippe m’encourage :
• Chérie, vas-y ! Bouffe-leur les couilles ! Pompe-les ! Aucun homme n’est capable de résister à ta bouche.
Et pourtant si ! Cela devient pour moi insupportable : l’envie de baiser me tenaille, et je finis par avoir mal aux lèvres, car j’ai affaire à trois engins de taille impressionnante.
Le plus brutal, le plus macho, est Vittorio, qui baise littéralement ma bouche, m’imposant une gorge profonde, empêchant ma respiration, suscitant chez moi des larmes, des nausées et des hauts le cœur. Je mets un point d’honneur à ne point m’interrompre.
Vittorio est déchainé. Il interpelle Philippe :
• Regarde, cocu de Français, ce que nous faisons de ta femme ! Tu dois comprendre que tu l’as perdue. Elle ne rentrera pas en France avec toi, mais restera ici, comme la grande putain qu’elle est. Je ne me viderai dans sa bouche que quand je l’aurai niqué comme elle le mérite ! Messaline et Faustine étaient des pucelles, comparées à elle !
Vittorio met fin à mon supplice en lançant les dés. Encore raté !
Finalement, c’est grâce aux dés que je fus « délivrée », Gianni étant éliminé le premier pour avoir fait quatre « six » et ensuite Luigi réussit le coup de Vénus, alignant quatre as. Vittorio, quant à lui, ne réussit pas à égaliser.
Comme je le souhaitais, Luigi sera bien le premier, le jeu pervers imaginé par Vittorio ayant retardé de plus de trente minutes ce que j’attendais avec tant d’impatience. Mon désir est exacerbé, mes tétons sont douloureux, alors que ma chatte est trempée et béante.
***
En maitre des cérémonies, Vittorio donne enfin le signal. Volontairement, il le fait en Français, car c’est à Philippe qu’il s’adresse.
• Mes amis, les anciens Romains auraient dit qu’avec le « coup de Vénus », les Dieux ont parlé. Luigi, ce soir, tu seras le premier à l’honorer. Cette femme est en effet désormais à toi. Ne la laisse surtout pas repartir en France!
Ni Philippe, ni moi ne réagissons. A cet instant, Vittorio a raison : je suis à Luigi. Je m’approche de lui, me serre dans ses bras, lui offre mes lèvres pour un long baiser passionné, alors que je sens contre moi sa formidable érection et que ses mains parcourent mon corps. Je suis au paroxysme de l’excitation et du désir. Je m’allonge sur un des épais tapis qui couvraient le sol de marbre de l’atrium, plus pratiques que l’un des « lecti triclinares » sur lesquels nous étions installés pour le banquet.
• Luigi, tesoro mio, aspettavo questo momento dall'inizio della serata. Sì, mostra ai tuoi amici e a Philippe che ora sono tuo. Fammi amare! (“Luigi, mon chéri, j'attends ce moment depuis le début de la soirée. Oui, montre à tes amis et à Philippe que je suis désormais à toi. Fais-moi l'amour!”)
Luigi obtempère sur le champ et rampe sur mon corps pour me couvrir de tout son long. Tandis qu’il ajuste sa queue à l’entrée de ma chatte, je ne quitte pas des yeux une seule seconde Philippe. Depuis plus de 15 ans, il a vu beaucoup d’hommes me baiser en sa présence. Cette fois c’est différent. Philippe sait bien que le candaulisme présente un risque majeur, celui que l’épouse tombe amoureuse de l’amant. Depuis ce qui s’était passé, il y a 6 ans avec « N », nous pensions que cela ne pouvait plus se produire. En me faisant rencontrer Luigi et en me poussant dans ses bras, Philippe avait ouvert la boite de Pandore.
Rivés dans les siens, mes yeux permettent à Philippe de percevoir l’instant précis où mon amant me pénètre, s’enfonçant en moi jusqu’à la garde, d’une seule poussée, tant il était attendu et désiré. Tandis que, sans bouger, nous savourons cet instant, je fixe Philippe de longues minutes. Philippe me connait si bien que l’échange de nos regards lui suffit. Cela veut dire que désormais je suis à Luigi.
Luigi sait bien désormais comment me faire vibrer. Je gémis de plaisir. Je noue mes jambes dans le dos de mon amant et saisis sa tête pour un baiser passionné.
Le silence règne, interrompu seulement par mes gémissements, qui deviennent peu à peu des cris de plaisir. Les autres, attendant leur tour, sont fascinés par le spectacle. Philippe, il me le dira plus tard, résiste à la tentation de s’en aller, ce qui aurait acté la fin de notre couple. Comme à l’accoutumée, il n’en perd pas une miette, lui qui connait le corps de son épouse par cœur, ainsi que tous les signes annonciateurs de mon plaisir. Cette fois, il n’est pas le mari candauliste, mais le conjoint qui sent qu’il risquait de perdre son épouse et qu’il est le premier responsable de cette situation.
Je me cabre, je vibre, répondant aux assauts, lançant mes reins au-devant de mon mâle. Je sais que, dans ces moments-là, mon visage change, devenant celui d’une femme dans le plaisir. Je me livre sans retenue, Luigi ne me baise pas, il me possède. Mon plaisir est bruyant et mon orgasme sera retentissant, un orgasme des grands jours, tandis que mon amant se raidit en remplissant mon ventre de semence. Ne voulant pas en rajouter, je m’abstiens de crier mon amour pour Luigi.
***
Si la suite de la soirée fut torride, elle fut plus classique, en ce sens que, si Luigi venait de me faire l’amour, les trois autres participants me baisèrent. Nous revenions sur un terrain plus connu pour nous, celui du candaulisme.
Les autres étaient des amants performants et pourtant, après ce que je venais de vivre et avec tout ce qui se bousculait dans ma tête entre Luigi et Philippe, je reconnais que je fus passive. Oui, j’eus du plaisir au cours de ces assauts, mais un plaisir mécanique, celui qui fait que je suis une hypersexuelle capable d’enchainer les orgasmes, mais profondément perturbée par mes sentiments contradictoires envers mon mari et mon amanat. Assez lâchement, je voulais différer le moment des choix décisifs et des explications avec Philippe et Luigi.
C’est pourquoi, à peine finie l’étreinte avec Luigi, je me suis offerte à Vittorio. Je me suis mise à quatre pattes sur ce tapis souillé par la semence de Luigi et j’ai interpellé Vittorio :
• Ti è piaciuto lo spettacolo? Allora vieni a scoparmi come una puttana, come la troia che sono! Vieni e scopami, fammi urlare di piacere! (“Le spectacle t'a plu? Alors, viens me baiser comme une putain, comme la salope que je suis! Viens me saillir, me faire crier de plaisir!”)
Vittorio ne se le fait pas dire et ne s’embarrasse pas de préliminaires. Il me prend en levrette, comme je l’y avais invitée. A ce moment, j’avais un impérieux besoin d’une étreinte brutale, loin de mes sentiments contradictoires pour Philippe et Luigi. Vittorio me chevauchait, me pilonnait, sans ménagements .
• Prendi questo! Ti piace, cagnolina? (“Prends ça! Tu aimes ça, chienne?”)
• Adoro! Vai avanti, continua così! Mettilo nel profondo! Più forte! Più veloce! Smontami! Oh quanto è bello! Ancora! (“J'adore! Vas-y, continue! Mets-la bien au fond! Plus fort! Plus vite! Démonte-moi! Oh que c'est bon! Encore!”)
Alors qu’il continue à me baiser, que ses couilles lourdes tapent sur mes fesses, Vittorio, qui ne cachait pas le mépris que lui inspirait Philippe, passe au Français, s’adressant à mon mari. Il ne pouvait pas comprendre qu’on puisse être candauliste, même si ce soir-là il en profitait.
• Tu as vu ce que je lui mets, à ton épouse ? ça te plait, on dirait !
• Oui je ne m’en lasse jamais. Olga est encore plus belle quand elle a du plaisir.
• Je n’arrive pas à comprendre qu’on aime être cocu !
• Je ne suis pas cocu, je suis candauliste.
• Si, tu es cocu ! Ta femme est tombée amoureuse de Luigi. Tu as joué avec le feu, cornuto, et tu as perdu. Dis-lui, salope, que tu aimes Luigi !
Les orgasmes, que me faisait enchainer ce mâle, me faisaient perdre toute retenue :
• Oui, j’aime Luigi. Dio mio! Vittorio, mi stai uccidendo! Non fermarti! (“Oh mon dieu! Vittorio, tu me tues! N'arrêtes pas!”)
• Le plaisir te donne le courage de parler! Dis-lui que tu ne veux pas quitter Luigi! Avoue, salope!
• Oui, je ne veux pas quitter Luigi. Je veux vivre avec lui. Je suis désormais sa femme.
• Alla felicità! Sarò il tuo testimone al tuo matrimonio quando divorzierai da questo cornuto francese. Questo è quello che vuoi? Dillo! Questo è tutto, ti riempio! Prendi questo! (“A la bonheur! Je serai votre témoin de mariage quand tu auras divorcé de ce cocu de Français. C'est ce que tu veux? Dis-le! Ca y est, je vais te remplir! Prends-ça!”)
• Oh quanto è bello! Riempimi! Sì, è quello che voglio! Luigi, vieni a baciarmi! (“Oh que c'est bon! Remplis-moi! Oui, c'est ce que je veux! Luigi, viens m'embrasser!”)
J’avais lâché ces paroles terribles en Italien, mais Philippe, très pâle, en avait compris le sens. Alors que j’échangeais un long baiser avec Luigi, Philippe interpelle Sophia, qui s’était tenue à l’écart :
• Viens ici, salope. Puisque tu me veux et que j’aurais tort de me gêner, commence par venir me sucer !
Sophia, triomphante, se met à genoux :
• Je te ferai oublier cette putain qui n’est pas digne de toi !
• Je t’interdis de parler comme ça de ma femme. Contente-toi de me sucer et tais-toi !
En temps normal, je serais intervenue, n’ayant jamais toléré de voir Philippe avec une autre femme. Mais justement ce qui se passe n’était pas normal. J’observais soigneusement ce que l’esthéticienne faisait à mon homme. Philippe lui fit interrompre assez rapidement sa fellation, son commentaire m’étant en fait adressé :
• ça n’a rien à voir avec les fellations de ma chérie !
Sophia, ne relevant pas le commentaire blessant, s’offrit alors à l’homme qu’elle désirait :
• Baise-moi mon chéri ! Je suis à toi. Viens !
• Je ne suis pas ton chéri et je n’ai pas envie de toi. La seule chose que tu puisses faire, c’est de me vider les couilles. Avec tes mamelles, j’ai envie d’une bonne branlette espagnole !
Je n’avais jamais vu Philippe se comporter ainsi. J’ai détesté d’emblée l’esthéticienne qui voulait mettre le grappin sur mon homme. Alors que le devenir de notre couple est en balance, je suis toujours aussi possessive et jalouse. Alors qu’Alessandro prend la suite de Vittorio, la place lui ayant été laissée par Gianni, qui entend être le dernier, je suis totalement passive, concentrée sur ce que fait Philippe à quelques mètres de moi.
Je regarde avec curiosité la queue de Philippe atteindre la volumineuse poitrine de Sophia. Elle glisse lentement entre ses nichons avant que le gland ne sorte d’entre eux. L’esthéticienne s’arrête une seconde puis commence à frotter très lentement ses nichons sur la queue de mon mari.
Sans un mot elle branle la queue entre ses seins. Elle va de haut en bas. Elle n’arrête pas de le regarder dans les yeux alors qu’elle travaille sa queue de plus en plus vite entre ses nichons. Soudain sa langue agace le gland. Elle jette à Philippe un regard plein de désir, puis elle se remet à branler sa queue avec ses nichons. Je sais que Philippe ne va pas tenir très longtemps. Il n’a pas un regard pour cette femme, c’est moi qu’il regarde, pour être certain que je ne m’oppose pas à ce qu’il fait.
En gémissant, son sperme chaud commence à s’échapper de sa queue. Sophia maintient la queue de mon homme pressée entre ses seins, tout en continuant à le branler et de soulager Philippe. Une des giclées de Philippe atteint la femme en plein visage. Ce n’est qu’une une fois la dernière goutte sortie que Sophia lâche la verge de Philippe. Tout en le regardant droit dans les yeux, elle se frictionne la poitrine avec son sperme. Elle n’obtiendra rien de plus. Elle comprend enfin que, malgré les circonstances, Philippe n’aime qu’une seule femme : moi. Peu après, elle quitte la soirée, dépitée, non sans m’avoir dit :
• Sei solo una puttana. Non meriti l'amore di quest'uomo! (“Tu n'es qu'une putain. Tu ne mérites pas l'amour de cet homme!”)
• Lui è mio. Non permetterò a nessuna donna di portarmelo via! (“Il est à moi. Je ne laisserai aucune femme me le prendre!”)
Je viens, en quelques minutes, de me contredire en apparence. En fait, je continue à vouloir Luigi sans renoncer à Philippe.
Et pendant tout ce temps, Alessandro, s’est efforcé de me donner du plaisir. Il est bien pourvu et endurant, mais il comprend vite que je ne suis pas réceptive, concentrée sur ce que faisaient Philippe et cette femme. Il réussit à cacher sa déception, lui qui était si fier d’avoir été invité à cette soirée particulière.
***
Gianni avait insisté pour modifier l’ordre de passage initialement prévu à ‘issue du « coup de Vénus ». J’étais heureuse de la surprise que m’avaient faite Luigi et Philippe, surtout mon mari qui avait retrouvé la trace de mon premier amant. Gianni se montra très tendre envers moi, très progressif, alors que ma tête était pleine des souvenirs de cette première étreinte, qui, il y a près de 30 ans, fit de moi une femme (voir « Olga l'hypersexuelle et Philippe le candauliste. Comment j'ai découvert mon hypersexualité », publié sur HDS le 29 novembre 2016).
Certes les cheveux de Gianni avaient blanchi, mais ses traits n’avaient pas changé. Il était toujours aussi beau et viril.
Nous prîmes le temps de parler, alors que j’étais lovée dans les bras de mon premier amant :
• Tu es toujours aussi belle. Plus encore que dans mes souvenirs !
• Tu es un flatteur.
• Pas du tout. J’avoue être fier d’avoir été le premier, celui qui a ouvert la voie.
J’ai suivi ton parcours grâce à Alexandra, ta mère, qui est restée en contact avec Maria et moi, bien que ton père ait voulu une rupture totale quand il a su ce qui s‘était passé avec toi. Il nous avait fait une scène terrible, nous ayant accusé de t’avoir pervertie.
• Ma mère t’a parlé de mon complexe d’Electre. Mon père ne l’a pas assumé comme je l’aurais voulu, mais au fond il était très jaloux de toi.
• Je dois aussi te dire deux choses. La première est que, contrairement à ce que tu croyais, Antonis ne fut pas le seul amant d’Alexandra. Elle était très malheureuse des infidélités de ton père et aussi très jalouse de toi. Maria et moi avons eu une relation avec Alexandra, l’année qui a précédé ton initiation.
• Ainsi, vous avez eu successivement la mère et la fille ! Il est vrai qu’elle a beaucoup souffert, notamment à cause de moi.
• L’autre chose que je voulais te dire est, qu’au cours de toutes ces années, nous avons beaucoup œuvré pour vous rapprocher, Alexandra et toi. Nous avons été très heureux quand elle nous a fait part de ce qui s’est passé entre vous, lorsque ce salopard de « N » t’a chassé de chez lui et que tu t’es réfugiée chez ta mère. (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (3) », publié le 7 janvier 2020)
Comme je l’avais fait plus tôt dans la soirée avec Luigi, nous finîmes par faire l’amour avec Gianni.
Quand le ballet de nos langues s’arrêtait, je laissais échapper des gémissements et des encouragements. Les cuisses relevées, les jambes jointes dans le dos de mon amant, je dévorais la bouche de celui qui s’activait sur moi en missionnaire, et qui finit par me conduire à un orgasme de premier ordre.
Gianni fit signe aux autres qu’il voulait encore me parler. Nous nous mîmes un peu à l’écart et, à voix basse, me dit, après avoir déposé un baiser sur mes lèvres :
• Olga, ma chérie, je ne mets pas en doute la sincérité de tes sentiments envers Luigi. Je te demande seulement de ne pas répéter les erreurs du passé et de ne pas oublier un homme qui t’aime plus que tout et t’a tout donné : Philippe. C’est lui qui t’a permis d’assumer ton hypersexualité. Aucun autre n’aurait fait ce qu’il a accepté.
Je savais que la sagesse s’exprimait par la bouche de Gianni. J’en avais les larmes aux yeux, mais décidais que la soirée devait finir en apothéose.
• Uomini, mi avete fatto molto piacere. Vi voglio insieme adesso! (“Les hommes, vous m'avez donné beaucoup de plaisir. Je vous veux maintenant ensemble!”)
Pour oublier le choix que j’aurais bientôt à faire, je réclamais une triple pénétration.
Gianni, qui vient de me faire l’amour, se tient à l’écart, en profitant pour rassurer Philippe, lui disant à l’oreille, assez fort pour que j’entende :
• Courage, tu ne l’as pas perdue. Elle ne sait plus où elle en est, mais elle t’aime toujours.
Les choses se passent naturellement. Les trois hommes s’approchent de moi en arc de cercle. Je sens la main de Luigi sur mon épaule. Ce contact me fait frémir. La main descend le long de mon bras en une douce caresse. Vittorio se place derrière moi et pose ses mains sur ma poitrine, qu’il caresse. Il se colle à moi, faisant bouger son bassin contre le haut de mes fesses. Luigi se place face à moi. Il envoie sa main sur mon pubis. Il entreprend de me masturber. Mon sexe s’est liquéfié. Il enfonce deux doigts dans ma chatte.
Dans mon dos, je sens la dureté d’un sexe qui s’affirme. Mes sens s’affolent. Je commence à branler Luigi. Sa bouche avide s’empare de mes tétons. Je suis terriblement excitée. Bientôt, j’ai deux verges en main que je masturbe. Mes partenaires me caressent les seins, les fesses et le sexe. Je sens un premier orgasme qui monte. Luigi s’allonge par terre et des mains me poussent à m’allonger sur lui. Son sexe s’insinue en moi sans difficulté. Il commence des mouvements de va et vient. Je sens que Vittorio se place derrière moi. Il cherche son chemin et s’enfonce entre mes reins. Alessandro présente son sexe et s’enfonce dans ma bouche.
Quel délice, les trois hommes ont pris le rythme et me baisent fort en même temps, disposant de mes trois orifices. Alessandro jouit le premier dans ma bouche, il n’a pas pu se retenir, j’avale son sperme chaud et épais. Vittorio et Luigi me défoncent le cul et la chatte chacun leur tour, je jouis comme une folle, hurlant mon plaisir tellement c’est bon ces deux bites en moi.
• Luigi, amico mio, penso alla tua prima notte di nozze con la francese. Lo condivideremo! (“Luigi, mon ami, je pense à ta nuit de noces avec la Française. On se la partagera!)
• Sì, la scoperemo tutta la notte. Sarà fecondata! (“Oui, nous la baiserons toute la nuit. Elle sera fécondée!)
Je ne sais combien de fois je jouis. Je ne suis plus qu’un objet sexuel, livré à trois mâles en rut qui ne me ménagent pas. J’ai perdu la notion du temps.
***
Tard dans la nuit, nous rentrons à l’hôtel. Morte de fatigue, je n’ai même plus la force de prendre une douche, alors que ma chatte et mon anus débordent de la semence de mes amants, et que mon visage, mes cheveux, mon corps, ont été copieusement arrosés.
Philippe se montre distant, la soirée ayant laissé des traces. Je veux m’endormir dans ses bras. Il se retourne, me disant, sans ménagements :
• Non ! Laisse-moi. Tu sens la putain ! Demain, puisque c’est ce que tu veux, tu iras le rejoindre.
Jamais Philippe ne m’a parlé ainsi, même lors de mon adultère avec N. Suis-je cette fois allée trop loin ? Me rejette-t-il ? Si c’est ainsi, demain soir, j’irai rejoindre Luigi. Pourtant, je ne me résigne pas. Je préfère reporter l’explication finale au lendemain. Je ne veux renoncer ni à Philippe, ni à Luigi. Est-ce possible ?
***
(A suivre)
Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin, 16 et 30 juillet, le 18 août, 7 et 19 septembre, le 12 novembre et le 1er décembre 2023.
RESUME
En ce mois de mai 2023, Philippe et moi nous sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine ».
Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide. Luigi est docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes, que nous ne pouvons guère assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.
Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le séjour se passe dans une très forte tension érotique et sentimentale, avec des moments particulièrement torrides, dans une complicité apparente entre mon mari candauliste et mon amant. Prétextant le voyage prévu le lendemain pour visiter les ruines romaines d’Ostie, sous les traces de l’impératrice Faustine, Luigi n’a pas passé la nuit avec nous. La fin prévue de notre séjour approche, alors que je ne veux renoncer ni à mon chéri, ni à mon beau guide dont je suis tombée amoureuse.
Nous sommes ce soir-là dans la somptueuse propriété de Vittorio, ami de Luigi, située dans la grande banlieue de Rome et qui reproduit une Domus romaine. Pour cette soirée, Luigi a aussi invité Alessandro, responsable d’une luxueuse boutique Versace de Rome, mais aussi Gianni, ancien ami de mes parents, l’homme qui m’avait défloré il y a près de 30 ans et que je n’avais pas revu depuis.
Après un véritable banquet digne du Satyricon de Pétrone, nous nous apprêtons à passer à une orgie à la romaine, où je suis la seule femme livrée à la concupiscence de quatre mâles. Excitée par cette perspective, j’en oublierai presque la convoitise pour Philippe de Sophia, l’esthéticienne qui m’a véritablement transformée en Faustine, l’épouse hypersexuelle de l’empereur philosophe Marc Aurèle.
***
Les quatre hommes m’entourent. Il revient à Luigi de faire tomber ma robe blanche en lin, très sexy, à dos nu, une sorte de tunique, resserrée à la taille par une ceinture, au décolleté vertigineux et que je portais sans soutien-gorge. Ils me couvrent de baisers, possédent mes lèvres à tour de rôle et leurs mains parcourent mon corps.
• Oh si! Fanculo a me. Stasera non sono l'Augusta, sono una merextrix, una lupa! (“Oh oui! Baisez-moi. Ce soir, je ne pas l'Augusta , je suis une meretrix, une lupa!”)
Ce fut Vittorio qui arracha mon dernier vêtement, mon string ficelle, qu’il porta à son nez.
• È fradicia! La scoperemo in tutti i buchi, la faremo urlare di piacere, la riempiremo. (“Elle est trempée! Nous allons la baiser par tous ses trous, la faire crier de plaisir, la remplir.”)
Les quatre hommes s’étaient à leur tour déshabillés et leur formidable érection était prometteuse. Je ne pouvais plus attendre. Je n’avais envie ni de préliminaires, ni de tendresse. Je voulais être baisée. Je me suis mise à quatre pattes, tendant ma croupe.
• Avanti, signori! Che cosa stai aspettando? Non vedi che muoio dalla voglia che tu mi scopi? Portami in ogni buco davanti a mio marito! Fammi venire! (“Allons, Messieurs! Qu'attendez-vous? Vous ne voyez pas que je meurre d'envie que vous me baisiez? Prenez-moi par tous les trous devant mon mari! Faites-moi jouir!”)
Philippe repoussa sans ménagements Sophia, qui tentait de le branler et de le sucer.
• Laisse-moi tranquille, tu veux. Ce qui m’intéresse, ce n’est pas toi, c’est qu’ils vont faire avec elle.
Puis interpellant Luigi :
• Luigi, vous jouez à quoi ? Tu ne vois pas qu’elle n’en peut plus d’attendre ?
Ce fut Alessandro qui expliqua les hésitations des quatre hommes :
• Si vous permettez, Signor Filippo, nous sommes ici pour honorer votre charmante épouse. Mais nous n’avons pas eu le temps de décider entre nous qui aurait le privilège d’être le premier à la posséder. En tant qu’invité, je ne prétends pas à être celui-ci. Cela pourrait être le comte Vittorio, notre hôte.
• Tu oublies une chose, Alessandro, intervient Luigi. Cette femme est désormais mienne. Cela me revient donc de droit.
• Je suis le premier à avoir compris tout son potentiel, corrigea Gianni. Ca fait près de 30 ans et je n’ai rien oublié.
• Attendez, mes amis, nous avons toute la nuit pour faire jouir cette femme. Nous allons nous partager ses faveurs. Il n’est pas question de nous disputer. Mais puisqu’il faut trancher et que ce soir Olga est Faustine, départageons-nous comme l’auraient fait nos ancêtres!
• Que proposez-vous, Comte? demanda Alessandro.
• Laissons le hasard décider qui d’entre nous sera le premier à l’honorer.
Vittorio ouvrit sa main, où se trouvaient quatre dés.
• Les jeux de dés étaient particulièrement appréciés des Romains, et l'on sait que même les Empereurs Auguste et Claude y jouèrent avec passion, affirme Vittorio.
• Ils furent pourtant interdits, sauf pendant les Saturnales. Or, les Saturnales se déroulaient en décembre, précise Luigi.
• On y jouait aussi au cours des bacchanales. Et ce soir, nous fêtons Bacchus ! Je vous propose le « coup de Vénus ». La règle est simple !
• Oui, confirme, Luigi. Les joueurs lancent chacun à leur tour quatre dés. Celui qui fait le « coup du chien », avec 4 chiffres identiques ou qui a tiré un 6 est éliminé. Celui qui réussit le « coup de Vénus », avec 4 chiffres différents, a gagné.
J’étais fascinée, partagée entre la tentation de la révolte et l’excitation. C’était la première fois de ma vie que l’on décidait de moi avec un jeu de hasard, que j’étais traitée comme un trophée à gagner, sinon comme un objet. Je jetais un regard vers Philippe, qui n’intervint pas, laissant faire. Je me prêtais au jeu, espérant que ce soit Luigi qui gagne et qui, devant tous, me fasse l’amour.
• Et pour motiver nos compétiteurs, notre Augusta Meretrix va nous sucer à tour de rôle. Mais attention, interdiction de jouir dans sa bouche, sinon vous êtes éliminés !
Vittorio se retourna pour placer un dé dans sa main, sans que ses complices ne puissent voir laquelle. Ceci permit de décider du tour de passage, successivement Gianni, Alessandro, Luigi et Vittorio.
Je me mis donc entre les jambes de Gianni, le regardant profondément avant de prendre sa queue en bouche :
• Centinaia di uomini, probabilmente di più, ti sono succeduti, Gianni, ma io non ti ho mai dimenticato! (“Des centaines d'hommes, sans doute davantage, t'ont succédé, Gianni, mais je ne t'ai jamais oublié!”)
Et je me suis mise à lui tailler une pipe, en y mettant toute mon ardeur.
• La tua bocca è malvagia! Sei la regina dei pompini! (“Ta bouche est diabolique! Tu es la reine de la fellation!”)
Gianni résiste, malgré son envie de se laisser aller dans ma bouche. Il lance les dés. Il n’obtient pas le « coup de Vénus », mais n’est pas non plus éliminé.
Puis ce fut le tour d’Alessandro. Je redoublai d’efforts, mes lèvres bien serrées autour de la hampe, ma langue excitant son gland.
Alessandro est saisi au vif, il ferme les yeux, la tête renversée en arrière :
• Dio mio! È troppo! È la dea Venere in persona a succhiarmi. Luigi, non mi avevi detto che era di Bologna! Continua! SÌ! (“Oh mon Dieu! C'est trop! C'est la déesse Vénus en personne qui me suce. Luigi, tu ne m'avais pas dit qu'elle était de Bologne! Continue! Oui!”)
Je suis flattée par cette allusion. Les femmes de Bologne sont réputées en Italie pour être les meilleures fellatrices de la péninsule. Je sais que je suis sur le point de parvenir à mon objectif, qu’Alessandro a atteint le point de non-retour. J’accélère, pour le finir. Alessandro rend les armes, m’envoyant trois puissantes giclées dans la gorge :
• Prendi questo! Ingoia tutto, bella puttana! Per tutto il giorno sono stato duro come un cervo pensando a te. Più tardi ti scoperò come una cagnolina! (“Prends ça! Avale tout, jolie putain! Toute la journée, j'ai bandé comme un cerf en pensant à toi. Tout à l'heure, je te baiserai comme une chienne!”)
Je ne me fais pas prier et avale tout, ou presque. Je garde en bouche la dernière giclée. Le sperme me coule sur le menton. Je fais signe à Philippe d’approcher. Il me prend dans ses bras et je le lui roule une pelle, pour partager avec lui mon premier sperme de la soirée.
• Je sais que toi aussi, tu aimes le sperme, mon amour. Ce soir, je te préviens, je n’aurais aucune limite. Je veux jouir jusqu’au bout de la nuit !
• Nous sommes là pour ça. Continue ! Les Dieux n’ont pas encore décidé qui te possédera en premier.
Le jeu continue. C’est au tour de Luigi. Un échange de regards lui fait comprendre que je veux qu’il soit le vainqueur. Il le comprend, ainsi que Philippe, qui me connait si bien. Les deux autres ne saisissent pas que je ne fais pas de zèle pour pomper mon amant, car je ne veux prendre aucun risque. Luigi lance les dés. Je palis : il fait trois « cinq », manquant de peu d’être éliminé.
C’est ensuite au tour de Vittorio. Comme pour Alessandro, j’y mets toute ma science, voulant qu’i se répande dans ma bouche :
• Luigi mi disse che potresti essere paragonata alla regina Cleopatra, che veniva chiamata "bocca d'oro". Fai schifo divinamente, ma non mi avrai! (“Luigi m'a dit que tu pouvais être comparée à la reine Cléopâtre, qu'on appelait "bouche d'or”. Tu suces divinement, mais tu ne m'auras pas”)
Vittorio me défie, prenant tout son temps, sûr de sa résistance. Il se décide à lancer les dés. Il obtient trois chiffres identiques, heureusement pas quatre.
• È solo un rinvio, stronzetta! Ti scoperò forte davanti al tuo cornuto! (“Ce n'est que partie remise, petite garce! Je vais te baiser à fond devant ton cocu!”)
Le jeu continue, de longues minutes. Je ne parviens à faire jouir aucun des trois hommes et le « jeu de Vénus », qui devient interminable, ne les départage pas.
Philippe m’encourage :
• Chérie, vas-y ! Bouffe-leur les couilles ! Pompe-les ! Aucun homme n’est capable de résister à ta bouche.
Et pourtant si ! Cela devient pour moi insupportable : l’envie de baiser me tenaille, et je finis par avoir mal aux lèvres, car j’ai affaire à trois engins de taille impressionnante.
Le plus brutal, le plus macho, est Vittorio, qui baise littéralement ma bouche, m’imposant une gorge profonde, empêchant ma respiration, suscitant chez moi des larmes, des nausées et des hauts le cœur. Je mets un point d’honneur à ne point m’interrompre.
Vittorio est déchainé. Il interpelle Philippe :
• Regarde, cocu de Français, ce que nous faisons de ta femme ! Tu dois comprendre que tu l’as perdue. Elle ne rentrera pas en France avec toi, mais restera ici, comme la grande putain qu’elle est. Je ne me viderai dans sa bouche que quand je l’aurai niqué comme elle le mérite ! Messaline et Faustine étaient des pucelles, comparées à elle !
Vittorio met fin à mon supplice en lançant les dés. Encore raté !
Finalement, c’est grâce aux dés que je fus « délivrée », Gianni étant éliminé le premier pour avoir fait quatre « six » et ensuite Luigi réussit le coup de Vénus, alignant quatre as. Vittorio, quant à lui, ne réussit pas à égaliser.
Comme je le souhaitais, Luigi sera bien le premier, le jeu pervers imaginé par Vittorio ayant retardé de plus de trente minutes ce que j’attendais avec tant d’impatience. Mon désir est exacerbé, mes tétons sont douloureux, alors que ma chatte est trempée et béante.
***
En maitre des cérémonies, Vittorio donne enfin le signal. Volontairement, il le fait en Français, car c’est à Philippe qu’il s’adresse.
• Mes amis, les anciens Romains auraient dit qu’avec le « coup de Vénus », les Dieux ont parlé. Luigi, ce soir, tu seras le premier à l’honorer. Cette femme est en effet désormais à toi. Ne la laisse surtout pas repartir en France!
Ni Philippe, ni moi ne réagissons. A cet instant, Vittorio a raison : je suis à Luigi. Je m’approche de lui, me serre dans ses bras, lui offre mes lèvres pour un long baiser passionné, alors que je sens contre moi sa formidable érection et que ses mains parcourent mon corps. Je suis au paroxysme de l’excitation et du désir. Je m’allonge sur un des épais tapis qui couvraient le sol de marbre de l’atrium, plus pratiques que l’un des « lecti triclinares » sur lesquels nous étions installés pour le banquet.
• Luigi, tesoro mio, aspettavo questo momento dall'inizio della serata. Sì, mostra ai tuoi amici e a Philippe che ora sono tuo. Fammi amare! (“Luigi, mon chéri, j'attends ce moment depuis le début de la soirée. Oui, montre à tes amis et à Philippe que je suis désormais à toi. Fais-moi l'amour!”)
Luigi obtempère sur le champ et rampe sur mon corps pour me couvrir de tout son long. Tandis qu’il ajuste sa queue à l’entrée de ma chatte, je ne quitte pas des yeux une seule seconde Philippe. Depuis plus de 15 ans, il a vu beaucoup d’hommes me baiser en sa présence. Cette fois c’est différent. Philippe sait bien que le candaulisme présente un risque majeur, celui que l’épouse tombe amoureuse de l’amant. Depuis ce qui s’était passé, il y a 6 ans avec « N », nous pensions que cela ne pouvait plus se produire. En me faisant rencontrer Luigi et en me poussant dans ses bras, Philippe avait ouvert la boite de Pandore.
Rivés dans les siens, mes yeux permettent à Philippe de percevoir l’instant précis où mon amant me pénètre, s’enfonçant en moi jusqu’à la garde, d’une seule poussée, tant il était attendu et désiré. Tandis que, sans bouger, nous savourons cet instant, je fixe Philippe de longues minutes. Philippe me connait si bien que l’échange de nos regards lui suffit. Cela veut dire que désormais je suis à Luigi.
Luigi sait bien désormais comment me faire vibrer. Je gémis de plaisir. Je noue mes jambes dans le dos de mon amant et saisis sa tête pour un baiser passionné.
Le silence règne, interrompu seulement par mes gémissements, qui deviennent peu à peu des cris de plaisir. Les autres, attendant leur tour, sont fascinés par le spectacle. Philippe, il me le dira plus tard, résiste à la tentation de s’en aller, ce qui aurait acté la fin de notre couple. Comme à l’accoutumée, il n’en perd pas une miette, lui qui connait le corps de son épouse par cœur, ainsi que tous les signes annonciateurs de mon plaisir. Cette fois, il n’est pas le mari candauliste, mais le conjoint qui sent qu’il risquait de perdre son épouse et qu’il est le premier responsable de cette situation.
Je me cabre, je vibre, répondant aux assauts, lançant mes reins au-devant de mon mâle. Je sais que, dans ces moments-là, mon visage change, devenant celui d’une femme dans le plaisir. Je me livre sans retenue, Luigi ne me baise pas, il me possède. Mon plaisir est bruyant et mon orgasme sera retentissant, un orgasme des grands jours, tandis que mon amant se raidit en remplissant mon ventre de semence. Ne voulant pas en rajouter, je m’abstiens de crier mon amour pour Luigi.
***
Si la suite de la soirée fut torride, elle fut plus classique, en ce sens que, si Luigi venait de me faire l’amour, les trois autres participants me baisèrent. Nous revenions sur un terrain plus connu pour nous, celui du candaulisme.
Les autres étaient des amants performants et pourtant, après ce que je venais de vivre et avec tout ce qui se bousculait dans ma tête entre Luigi et Philippe, je reconnais que je fus passive. Oui, j’eus du plaisir au cours de ces assauts, mais un plaisir mécanique, celui qui fait que je suis une hypersexuelle capable d’enchainer les orgasmes, mais profondément perturbée par mes sentiments contradictoires envers mon mari et mon amanat. Assez lâchement, je voulais différer le moment des choix décisifs et des explications avec Philippe et Luigi.
C’est pourquoi, à peine finie l’étreinte avec Luigi, je me suis offerte à Vittorio. Je me suis mise à quatre pattes sur ce tapis souillé par la semence de Luigi et j’ai interpellé Vittorio :
• Ti è piaciuto lo spettacolo? Allora vieni a scoparmi come una puttana, come la troia che sono! Vieni e scopami, fammi urlare di piacere! (“Le spectacle t'a plu? Alors, viens me baiser comme une putain, comme la salope que je suis! Viens me saillir, me faire crier de plaisir!”)
Vittorio ne se le fait pas dire et ne s’embarrasse pas de préliminaires. Il me prend en levrette, comme je l’y avais invitée. A ce moment, j’avais un impérieux besoin d’une étreinte brutale, loin de mes sentiments contradictoires pour Philippe et Luigi. Vittorio me chevauchait, me pilonnait, sans ménagements .
• Prendi questo! Ti piace, cagnolina? (“Prends ça! Tu aimes ça, chienne?”)
• Adoro! Vai avanti, continua così! Mettilo nel profondo! Più forte! Più veloce! Smontami! Oh quanto è bello! Ancora! (“J'adore! Vas-y, continue! Mets-la bien au fond! Plus fort! Plus vite! Démonte-moi! Oh que c'est bon! Encore!”)
Alors qu’il continue à me baiser, que ses couilles lourdes tapent sur mes fesses, Vittorio, qui ne cachait pas le mépris que lui inspirait Philippe, passe au Français, s’adressant à mon mari. Il ne pouvait pas comprendre qu’on puisse être candauliste, même si ce soir-là il en profitait.
• Tu as vu ce que je lui mets, à ton épouse ? ça te plait, on dirait !
• Oui je ne m’en lasse jamais. Olga est encore plus belle quand elle a du plaisir.
• Je n’arrive pas à comprendre qu’on aime être cocu !
• Je ne suis pas cocu, je suis candauliste.
• Si, tu es cocu ! Ta femme est tombée amoureuse de Luigi. Tu as joué avec le feu, cornuto, et tu as perdu. Dis-lui, salope, que tu aimes Luigi !
Les orgasmes, que me faisait enchainer ce mâle, me faisaient perdre toute retenue :
• Oui, j’aime Luigi. Dio mio! Vittorio, mi stai uccidendo! Non fermarti! (“Oh mon dieu! Vittorio, tu me tues! N'arrêtes pas!”)
• Le plaisir te donne le courage de parler! Dis-lui que tu ne veux pas quitter Luigi! Avoue, salope!
• Oui, je ne veux pas quitter Luigi. Je veux vivre avec lui. Je suis désormais sa femme.
• Alla felicità! Sarò il tuo testimone al tuo matrimonio quando divorzierai da questo cornuto francese. Questo è quello che vuoi? Dillo! Questo è tutto, ti riempio! Prendi questo! (“A la bonheur! Je serai votre témoin de mariage quand tu auras divorcé de ce cocu de Français. C'est ce que tu veux? Dis-le! Ca y est, je vais te remplir! Prends-ça!”)
• Oh quanto è bello! Riempimi! Sì, è quello che voglio! Luigi, vieni a baciarmi! (“Oh que c'est bon! Remplis-moi! Oui, c'est ce que je veux! Luigi, viens m'embrasser!”)
J’avais lâché ces paroles terribles en Italien, mais Philippe, très pâle, en avait compris le sens. Alors que j’échangeais un long baiser avec Luigi, Philippe interpelle Sophia, qui s’était tenue à l’écart :
• Viens ici, salope. Puisque tu me veux et que j’aurais tort de me gêner, commence par venir me sucer !
Sophia, triomphante, se met à genoux :
• Je te ferai oublier cette putain qui n’est pas digne de toi !
• Je t’interdis de parler comme ça de ma femme. Contente-toi de me sucer et tais-toi !
En temps normal, je serais intervenue, n’ayant jamais toléré de voir Philippe avec une autre femme. Mais justement ce qui se passe n’était pas normal. J’observais soigneusement ce que l’esthéticienne faisait à mon homme. Philippe lui fit interrompre assez rapidement sa fellation, son commentaire m’étant en fait adressé :
• ça n’a rien à voir avec les fellations de ma chérie !
Sophia, ne relevant pas le commentaire blessant, s’offrit alors à l’homme qu’elle désirait :
• Baise-moi mon chéri ! Je suis à toi. Viens !
• Je ne suis pas ton chéri et je n’ai pas envie de toi. La seule chose que tu puisses faire, c’est de me vider les couilles. Avec tes mamelles, j’ai envie d’une bonne branlette espagnole !
Je n’avais jamais vu Philippe se comporter ainsi. J’ai détesté d’emblée l’esthéticienne qui voulait mettre le grappin sur mon homme. Alors que le devenir de notre couple est en balance, je suis toujours aussi possessive et jalouse. Alors qu’Alessandro prend la suite de Vittorio, la place lui ayant été laissée par Gianni, qui entend être le dernier, je suis totalement passive, concentrée sur ce que fait Philippe à quelques mètres de moi.
Je regarde avec curiosité la queue de Philippe atteindre la volumineuse poitrine de Sophia. Elle glisse lentement entre ses nichons avant que le gland ne sorte d’entre eux. L’esthéticienne s’arrête une seconde puis commence à frotter très lentement ses nichons sur la queue de mon mari.
Sans un mot elle branle la queue entre ses seins. Elle va de haut en bas. Elle n’arrête pas de le regarder dans les yeux alors qu’elle travaille sa queue de plus en plus vite entre ses nichons. Soudain sa langue agace le gland. Elle jette à Philippe un regard plein de désir, puis elle se remet à branler sa queue avec ses nichons. Je sais que Philippe ne va pas tenir très longtemps. Il n’a pas un regard pour cette femme, c’est moi qu’il regarde, pour être certain que je ne m’oppose pas à ce qu’il fait.
En gémissant, son sperme chaud commence à s’échapper de sa queue. Sophia maintient la queue de mon homme pressée entre ses seins, tout en continuant à le branler et de soulager Philippe. Une des giclées de Philippe atteint la femme en plein visage. Ce n’est qu’une une fois la dernière goutte sortie que Sophia lâche la verge de Philippe. Tout en le regardant droit dans les yeux, elle se frictionne la poitrine avec son sperme. Elle n’obtiendra rien de plus. Elle comprend enfin que, malgré les circonstances, Philippe n’aime qu’une seule femme : moi. Peu après, elle quitte la soirée, dépitée, non sans m’avoir dit :
• Sei solo una puttana. Non meriti l'amore di quest'uomo! (“Tu n'es qu'une putain. Tu ne mérites pas l'amour de cet homme!”)
• Lui è mio. Non permetterò a nessuna donna di portarmelo via! (“Il est à moi. Je ne laisserai aucune femme me le prendre!”)
Je viens, en quelques minutes, de me contredire en apparence. En fait, je continue à vouloir Luigi sans renoncer à Philippe.
Et pendant tout ce temps, Alessandro, s’est efforcé de me donner du plaisir. Il est bien pourvu et endurant, mais il comprend vite que je ne suis pas réceptive, concentrée sur ce que faisaient Philippe et cette femme. Il réussit à cacher sa déception, lui qui était si fier d’avoir été invité à cette soirée particulière.
***
Gianni avait insisté pour modifier l’ordre de passage initialement prévu à ‘issue du « coup de Vénus ». J’étais heureuse de la surprise que m’avaient faite Luigi et Philippe, surtout mon mari qui avait retrouvé la trace de mon premier amant. Gianni se montra très tendre envers moi, très progressif, alors que ma tête était pleine des souvenirs de cette première étreinte, qui, il y a près de 30 ans, fit de moi une femme (voir « Olga l'hypersexuelle et Philippe le candauliste. Comment j'ai découvert mon hypersexualité », publié sur HDS le 29 novembre 2016).
Certes les cheveux de Gianni avaient blanchi, mais ses traits n’avaient pas changé. Il était toujours aussi beau et viril.
Nous prîmes le temps de parler, alors que j’étais lovée dans les bras de mon premier amant :
• Tu es toujours aussi belle. Plus encore que dans mes souvenirs !
• Tu es un flatteur.
• Pas du tout. J’avoue être fier d’avoir été le premier, celui qui a ouvert la voie.
J’ai suivi ton parcours grâce à Alexandra, ta mère, qui est restée en contact avec Maria et moi, bien que ton père ait voulu une rupture totale quand il a su ce qui s‘était passé avec toi. Il nous avait fait une scène terrible, nous ayant accusé de t’avoir pervertie.
• Ma mère t’a parlé de mon complexe d’Electre. Mon père ne l’a pas assumé comme je l’aurais voulu, mais au fond il était très jaloux de toi.
• Je dois aussi te dire deux choses. La première est que, contrairement à ce que tu croyais, Antonis ne fut pas le seul amant d’Alexandra. Elle était très malheureuse des infidélités de ton père et aussi très jalouse de toi. Maria et moi avons eu une relation avec Alexandra, l’année qui a précédé ton initiation.
• Ainsi, vous avez eu successivement la mère et la fille ! Il est vrai qu’elle a beaucoup souffert, notamment à cause de moi.
• L’autre chose que je voulais te dire est, qu’au cours de toutes ces années, nous avons beaucoup œuvré pour vous rapprocher, Alexandra et toi. Nous avons été très heureux quand elle nous a fait part de ce qui s’est passé entre vous, lorsque ce salopard de « N » t’a chassé de chez lui et que tu t’es réfugiée chez ta mère. (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (3) », publié le 7 janvier 2020)
Comme je l’avais fait plus tôt dans la soirée avec Luigi, nous finîmes par faire l’amour avec Gianni.
Quand le ballet de nos langues s’arrêtait, je laissais échapper des gémissements et des encouragements. Les cuisses relevées, les jambes jointes dans le dos de mon amant, je dévorais la bouche de celui qui s’activait sur moi en missionnaire, et qui finit par me conduire à un orgasme de premier ordre.
Gianni fit signe aux autres qu’il voulait encore me parler. Nous nous mîmes un peu à l’écart et, à voix basse, me dit, après avoir déposé un baiser sur mes lèvres :
• Olga, ma chérie, je ne mets pas en doute la sincérité de tes sentiments envers Luigi. Je te demande seulement de ne pas répéter les erreurs du passé et de ne pas oublier un homme qui t’aime plus que tout et t’a tout donné : Philippe. C’est lui qui t’a permis d’assumer ton hypersexualité. Aucun autre n’aurait fait ce qu’il a accepté.
Je savais que la sagesse s’exprimait par la bouche de Gianni. J’en avais les larmes aux yeux, mais décidais que la soirée devait finir en apothéose.
• Uomini, mi avete fatto molto piacere. Vi voglio insieme adesso! (“Les hommes, vous m'avez donné beaucoup de plaisir. Je vous veux maintenant ensemble!”)
Pour oublier le choix que j’aurais bientôt à faire, je réclamais une triple pénétration.
Gianni, qui vient de me faire l’amour, se tient à l’écart, en profitant pour rassurer Philippe, lui disant à l’oreille, assez fort pour que j’entende :
• Courage, tu ne l’as pas perdue. Elle ne sait plus où elle en est, mais elle t’aime toujours.
Les choses se passent naturellement. Les trois hommes s’approchent de moi en arc de cercle. Je sens la main de Luigi sur mon épaule. Ce contact me fait frémir. La main descend le long de mon bras en une douce caresse. Vittorio se place derrière moi et pose ses mains sur ma poitrine, qu’il caresse. Il se colle à moi, faisant bouger son bassin contre le haut de mes fesses. Luigi se place face à moi. Il envoie sa main sur mon pubis. Il entreprend de me masturber. Mon sexe s’est liquéfié. Il enfonce deux doigts dans ma chatte.
Dans mon dos, je sens la dureté d’un sexe qui s’affirme. Mes sens s’affolent. Je commence à branler Luigi. Sa bouche avide s’empare de mes tétons. Je suis terriblement excitée. Bientôt, j’ai deux verges en main que je masturbe. Mes partenaires me caressent les seins, les fesses et le sexe. Je sens un premier orgasme qui monte. Luigi s’allonge par terre et des mains me poussent à m’allonger sur lui. Son sexe s’insinue en moi sans difficulté. Il commence des mouvements de va et vient. Je sens que Vittorio se place derrière moi. Il cherche son chemin et s’enfonce entre mes reins. Alessandro présente son sexe et s’enfonce dans ma bouche.
Quel délice, les trois hommes ont pris le rythme et me baisent fort en même temps, disposant de mes trois orifices. Alessandro jouit le premier dans ma bouche, il n’a pas pu se retenir, j’avale son sperme chaud et épais. Vittorio et Luigi me défoncent le cul et la chatte chacun leur tour, je jouis comme une folle, hurlant mon plaisir tellement c’est bon ces deux bites en moi.
• Luigi, amico mio, penso alla tua prima notte di nozze con la francese. Lo condivideremo! (“Luigi, mon ami, je pense à ta nuit de noces avec la Française. On se la partagera!)
• Sì, la scoperemo tutta la notte. Sarà fecondata! (“Oui, nous la baiserons toute la nuit. Elle sera fécondée!)
Je ne sais combien de fois je jouis. Je ne suis plus qu’un objet sexuel, livré à trois mâles en rut qui ne me ménagent pas. J’ai perdu la notion du temps.
***
Tard dans la nuit, nous rentrons à l’hôtel. Morte de fatigue, je n’ai même plus la force de prendre une douche, alors que ma chatte et mon anus débordent de la semence de mes amants, et que mon visage, mes cheveux, mon corps, ont été copieusement arrosés.
Philippe se montre distant, la soirée ayant laissé des traces. Je veux m’endormir dans ses bras. Il se retourne, me disant, sans ménagements :
• Non ! Laisse-moi. Tu sens la putain ! Demain, puisque c’est ce que tu veux, tu iras le rejoindre.
Jamais Philippe ne m’a parlé ainsi, même lors de mon adultère avec N. Suis-je cette fois allée trop loin ? Me rejette-t-il ? Si c’est ainsi, demain soir, j’irai rejoindre Luigi. Pourtant, je ne me résigne pas. Je préfère reporter l’explication finale au lendemain. Je ne veux renoncer ni à Philippe, ni à Luigi. Est-ce possible ?
***
(A suivre)
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73 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@olga
Pour compléter le message de titizag…
Après l’arobase, tu peux noter yah…com
Pour compléter le message de titizag…
Après l’arobase, tu peux noter yah…com
@ Lucie, un jeu pervers et décisif en effet
ce petit jeu de dés pour décider le tour de mâles est si...pervers...si délicieusement dominateur. heureusement que tu as triché pour permettre à Luigi de pouvoir gagner par ce que son ami Vittorio...hmmmm un vrai alpha, comme lui
ce moment où Luigi te prend cèle vos destins...tu es à lui. les échanges avec son ami, cru, franc, le confirme
Lucie
ce moment où Luigi te prend cèle vos destins...tu es à lui. les échanges avec son ami, cru, franc, le confirme
Lucie
@ Zagalle, depuis cette "escapade romaine", au printemps 2023, je me suis calmée. Tout est sous le contrôle de Philippe. Candauliste, il ne manque pas d'organiser des choses qui nous satisfont tous les deux
Olga
Je me demandais après quelques lectures qui m’ont bien excité… si tu avais attrapé de belles bites récemment…
Je me demandais après quelques lectures qui m’ont bien excité… si tu avais attrapé de belles bites récemment…
je n'utilise pas de plug, mais j'imagine!
@olga
C’est le souci de nous autres pauvres messieurs face à des demandeuses de votre genre…
Mais on aime ça…
Comme j’aime savoir ce que la vilaine Laurence affectionne : se mettre un plug pour n’importe quel moment de la journée… un rendez-vous, au boulot../
De plus elle m’avait rendu dingue un soir de réveillon (je n’y étais pas puisque mariée), elle s’était habillée sage, mais le cul à l’air, rasée très près, bas résille et pluguée profond…
Elle m’a raconté comment elle s’était fait partouzée sévère. J’étais fou. Tu valides aussi ?
C’est le souci de nous autres pauvres messieurs face à des demandeuses de votre genre…
Mais on aime ça…
Comme j’aime savoir ce que la vilaine Laurence affectionne : se mettre un plug pour n’importe quel moment de la journée… un rendez-vous, au boulot../
De plus elle m’avait rendu dingue un soir de réveillon (je n’y étais pas puisque mariée), elle s’était habillée sage, mais le cul à l’air, rasée très près, bas résille et pluguée profond…
Elle m’a raconté comment elle s’était fait partouzée sévère. J’étais fou. Tu valides aussi ?
Je valide! Reste à savoir combien de temps un mâle peut tenir avec un tel régime :-)
Olga,
Tu as raison, il faut bien tout nettoyer…
Mais c’est l’odeur du sperme mélangé à vos salives qui excite en plus de voir cette complicité.
Moi ça me redonne de la vigueur même si j’ai les couilles bien vidées.
Ça nécessite de se partager le travail : une qui revient sur le gland et l’autre qui vient lécher la paire de burnes brûlantes…
C’est sans fin… tu valides ?
Tu as raison, il faut bien tout nettoyer…
Mais c’est l’odeur du sperme mélangé à vos salives qui excite en plus de voir cette complicité.
Moi ça me redonne de la vigueur même si j’ai les couilles bien vidées.
Ça nécessite de se partager le travail : une qui revient sur le gland et l’autre qui vient lécher la paire de burnes brûlantes…
C’est sans fin… tu valides ?
@ Zagalle, je sais et j'aime aller le recueillir sur le visage, les lèvres, le menton de ma complice
@olga
Voir la petite giclée s’échapper du gland…
J’imagine que tu te précipites pour ne pas en rater une goutte… mais sais-tu comme c’est excitant de voir ce petit filet ressortir de la bouche d’une bonne suceuse qui laisse couler le précieux liquide sur son menton ?
Vilaine 😉
Voir la petite giclée s’échapper du gland…
J’imagine que tu te précipites pour ne pas en rater une goutte… mais sais-tu comme c’est excitant de voir ce petit filet ressortir de la bouche d’une bonne suceuse qui laisse couler le précieux liquide sur son menton ?
Vilaine 😉
@ Zagalle, dans de telles situations il est en effet difficile de m'arrêter :-)
Olga
Hum… tu as raison. Pourquoi pas ? Du pur plaisir bien bandant.
C’est le genre de situation qui me régénère illico.
Deux bonnes copines qui se chamaillent pour leur giclée. Laquelle va gagner ? Toi ? 😉
Qui sait ?
Hum… tu as raison. Pourquoi pas ? Du pur plaisir bien bandant.
C’est le genre de situation qui me régénère illico.
Deux bonnes copines qui se chamaillent pour leur giclée. Laquelle va gagner ? Toi ? 😉
Qui sait ?
@ Zagalle, pourquoi pas? :-)
Olga…
On peut le dire oui.
Et c’est peu de dire qu’elle elle aime qu’on la gratifie autant de mots crus que de giclées bien copieuses…
En plus elle est partageuse… si une copine est là dans les parages, un échange de « snow ball » n’est jamais de refus pour elle.
Une petite finition bien méritée à une pipe à deux bouches… là aussi tu es de la partie ?
Mmmhhh
À te lire
En attendant, j’ai de la lecture à continuer moi.. 😉
Zagalle
On peut le dire oui.
Et c’est peu de dire qu’elle elle aime qu’on la gratifie autant de mots crus que de giclées bien copieuses…
En plus elle est partageuse… si une copine est là dans les parages, un échange de « snow ball » n’est jamais de refus pour elle.
Une petite finition bien méritée à une pipe à deux bouches… là aussi tu es de la partie ?
Mmmhhh
À te lire
En attendant, j’ai de la lecture à continuer moi.. 😉
Zagalle
@ Zagalle, merci. Je crois en effet que nous avons beaucoup de points communs, Laurence et moi!
Olga
J’ai commencé à lire les textes de la série romaine…
Quelle vilaine fille dis donc ;)
Tu es pareille que Laurence, dès qu’une occasion se présente, faut écarter les cuisses ?
Hummm…
J’adore tes textes…
Zagalle
J’ai commencé à lire les textes de la série romaine…
Quelle vilaine fille dis donc ;)
Tu es pareille que Laurence, dès qu’une occasion se présente, faut écarter les cuisses ?
Hummm…
J’adore tes textes…
Zagalle
@ Zagalle, j'irai relire tes récits, ça donne envie.
Je n'emploie pas de telles métaphores, d'autant que j'ai beaucoup moins l'occasion de partouzer ces dernières années.
Bises
Je n'emploie pas de telles métaphores, d'autant que j'ai beaucoup moins l'occasion de partouzer ces dernières années.
Bises
Olga
Ça donne vraiment envie d’y être… avec ce genre de femme hypersexuelle les options sont multiples.
Tu es de cette trempe.
J’ai raconté l’histoire (sur HDS) avec Laurence qui s’en est pris des « bites » et aimait me raconter ce qu’elle prenait…
On ne vivait pas ensemble, mariée elle avait un penchant pour l’adultère. On co-voiturait pour aller au boulot. Elle adorait me sucer la queue pour aller au bureau « avec le goût du sperme en bouche » disait-elle. Bref du bien vicieux.
Je ne la vois plus, dommage.
Elle avait une manière bien à elle de ne pas dire qu’elle partouzait (ce qu’elle adorait) en disant participer à un joli bordel dans une bonne ambiance…
C’est ton cas ?
En tout cas c’est excitant..
Ça donne vraiment envie d’y être… avec ce genre de femme hypersexuelle les options sont multiples.
Tu es de cette trempe.
J’ai raconté l’histoire (sur HDS) avec Laurence qui s’en est pris des « bites » et aimait me raconter ce qu’elle prenait…
On ne vivait pas ensemble, mariée elle avait un penchant pour l’adultère. On co-voiturait pour aller au boulot. Elle adorait me sucer la queue pour aller au bureau « avec le goût du sperme en bouche » disait-elle. Bref du bien vicieux.
Je ne la vois plus, dommage.
Elle avait une manière bien à elle de ne pas dire qu’elle partouzait (ce qu’elle adorait) en disant participer à un joli bordel dans une bonne ambiance…
C’est ton cas ?
En tout cas c’est excitant..
@ Zagalle, un grand merci pour ton commentaire. Je te recommande la lecture de la série complète au sujet de cette "escapade romaine"
Pour répondre à ta première question, j'ai connu des gang bang avec plus de participants, quand j'étais sous la coupe de Rachid. Mais, en même temps, quatre ce n'est pas mal, d'autant que la nature n'a doté les femmes que de "trois orifices", pour reprendre les termes utilisés par l'historien Procope dans son Histoire secrète au sujet de l'impératrice de Byzance Théodora (dont j'ai raconté l'histoire).
J'aime bien en effet porter ce genre de chaussures dans ces moments-là, mais ce 'était pas le cas ce soir-là.
Pour répondre à ta première question, j'ai connu des gang bang avec plus de participants, quand j'étais sous la coupe de Rachid. Mais, en même temps, quatre ce n'est pas mal, d'autant que la nature n'a doté les femmes que de "trois orifices", pour reprendre les termes utilisés par l'historien Procope dans son Histoire secrète au sujet de l'impératrice de Byzance Théodora (dont j'ai raconté l'histoire).
J'aime bien en effet porter ce genre de chaussures dans ces moments-là, mais ce 'était pas le cas ce soir-là.
@Alfred, c'était en effet mon choix à ce moment-là tout en continuant à espérer que le trio amoureux resterait possible. Non, je ne recherche pas et je ne "kiffe" pas les situations d'adultère.
Olga
Je découvre un nouvel opus très intéressant et particulièrement pimenté.
Je serais plus primitif quant à mon commentaire : tu t’envoies 4 hommes. C’est le maximum que tu aies fait jouir en même temps ?
Qu’est-ce qui te plaît dans la double pénétration ?
J’ai une remarque « fétichiste », fais-tu partie de ces femmes hypersexuelles qui ajoute de l’excitation personnelle et à ses partenaires en portant des mules à talons lors de ses partouzes ?
Pour finir, c’est un beau moment de lecture… parfait pour les réveils nocturnes :)
Je découvre un nouvel opus très intéressant et particulièrement pimenté.
Je serais plus primitif quant à mon commentaire : tu t’envoies 4 hommes. C’est le maximum que tu aies fait jouir en même temps ?
Qu’est-ce qui te plaît dans la double pénétration ?
J’ai une remarque « fétichiste », fais-tu partie de ces femmes hypersexuelles qui ajoute de l’excitation personnelle et à ses partenaires en portant des mules à talons lors de ses partouzes ?
Pour finir, c’est un beau moment de lecture… parfait pour les réveils nocturnes :)
@ Olga, tu ne me feras pas croire que c'est du candaulisme ni que tu croyais sérieusement à la possibilité d'un trio. Ce n'était pas possible à cause des enfants et qi te dit que Luigi l'aurait accepté? Philippe, lors de ce séjour, a été bel et bien cocu. Je ne le plains pas, il l'a bien cherché. Et avoue que l'adultère est une situation qui t'excite!
Alfred
Alfred
@ Alfred, oui j'ai pris mon pied comme jamais.
Sur ta seconde remarque, nous restons sur une situation candauliste, Philippe étant à l'origine de ma rencontre avec Luigi et étant présent. A ce moment-là, je continuais à vouloir à la fois Luigi et Philippe
Sur ta seconde remarque, nous restons sur une situation candauliste, Philippe étant à l'origine de ma rencontre avec Luigi et étant présent. A ce moment-là, je continuais à vouloir à la fois Luigi et Philippe
Une partouze exceptionnelle! Tu as vraiment pris ton pied. Et même s'il était présent, Philippe ce soir là, a bel et bien été cocufié. Tu n'as pas caché tes sentiments pour Luigi et que ton choix, à ce moment-là, c'était lui
Alfred
Alfred
Merci Micky! J'écris les choses comme je les ai ressenties sur le moment. Cela fait aussi partie de cette exigence de transparence que je me suis fixée.
Suite et fin aujourd'hui 23 janvier 2024.
Suite et fin aujourd'hui 23 janvier 2024.
Un texte dans la lignée des précédents. Olga n'hésite pas à écrire "cru" et c'est son plus grand mérite venant d'une femme. Cette série est un des musts du site.
@ Dyonisia, ma chère muse, c'est avec des mots ciselés et choisis que tu indiques bien dans quel esprit j'écris ces textes autobiographiques. Merci à toi! Bises
Que de conjectures, dans tous ces avis ! Je m'en garderai bien, quant à moi. Olga est une magicienne autant qu'une prêtresse de la plume et du sexe.
Il est des journalistes qui s'immergent dans le sujet qu'ils veulent traiter, des ethnologues qui s'intègrent à la société qu'ils étudient, des documentaristes qui côtoient autant que de besoin la problématique qu'ils rapportent, et d'autres exemples encore.
Mais rares sont, comme Olga, les auteurs qui vivent d'aussi près le destin de l'objet historique de leur roman biographique. :)
Il est des journalistes qui s'immergent dans le sujet qu'ils veulent traiter, des ethnologues qui s'intègrent à la société qu'ils étudient, des documentaristes qui côtoient autant que de besoin la problématique qu'ils rapportent, et d'autres exemples encore.
Mais rares sont, comme Olga, les auteurs qui vivent d'aussi près le destin de l'objet historique de leur roman biographique. :)
Bonjour Théodore
Un grand merci pour ce nouveau message. Je proposerai d’abord que nous nous tutoyions, entre auteurs qui publient sur le même site. Merci de me dire si cela pose problème.
Je tiens d’abord à dire que, sauf quelques petites fautes de frappe, tu te débrouilles très bien en Français. Il en est de même dans tes publications.
J’expliquerai dans le prochain chapitre le cheminement qui a conduit à mon choix, celui de rester avec l’homme de ma vie, Philippe. Même si je suis certaine que Luigi n’aurait pas eu le comportement que tu décris.
Tu as aussi raison de dire que nul n’a à juger la manière de vivre de mon couple. Il en est de même pour votre couple.
Comme tu l’écris, nous ne sommes pas des anges en effet, mais devons nous préserver et protéger notre famille.
Je vous souhaite, à Nat et à toi, tout le bonheur du monde !
Bises
Un grand merci pour ce nouveau message. Je proposerai d’abord que nous nous tutoyions, entre auteurs qui publient sur le même site. Merci de me dire si cela pose problème.
Je tiens d’abord à dire que, sauf quelques petites fautes de frappe, tu te débrouilles très bien en Français. Il en est de même dans tes publications.
J’expliquerai dans le prochain chapitre le cheminement qui a conduit à mon choix, celui de rester avec l’homme de ma vie, Philippe. Même si je suis certaine que Luigi n’aurait pas eu le comportement que tu décris.
Tu as aussi raison de dire que nul n’a à juger la manière de vivre de mon couple. Il en est de même pour votre couple.
Comme tu l’écris, nous ne sommes pas des anges en effet, mais devons nous préserver et protéger notre famille.
Je vous souhaite, à Nat et à toi, tout le bonheur du monde !
Bises
Bonjour Olga c'est Théodore, comme promis j'ai lu vos histoires candauliste que je comprends tout à fait.
N'étant pas français et l'écrivant peu j'ai énormément du mal à m'exprimer mais vais essayer.
Tout d'abord un homme candauliste est un homme qui montre le plus profond de son amour pour sa femme, vous dite Olga qu'à un moment vous auriez bien voulu partir avec luigi,cela aurait été votre plus grande erreur,car un amant reste un amant et ne se comportera jamais comme un mari à ses yeux vous resterez [une salope].
J'ai connu un couple candauliste don la femme est partie avec un de ces amants, moins d'un mois plutard elle regretter déjà car elle été devenue juste un vide couilles elle ne recevait plus d'amour plus de respect et autre, pourtant entre elle et son amant c'était le grand amour, sauf que c'était le grand amour d'un soir et non un vrai amour, le résultat est que 33 jours après elle c'est retrouvée à la rue et depuis elle est devenue pute de cité etc.
Alors sachez que vous êtes comme vous êtes bonne ou méchante salope ou none, mais vous êtes vous même et personne n'a à vous juger seul le droit de vous juger vous appartient.
Donc laissez les cons là où ils sont et laissez les faire leur guerre entre eux.
Pour en revenir à vos récits Nat et moi avons adorés ,car chacun trouve son équilibre comme il l'entendre, puis la bêtise est humaine et si nous ne faisons pas de bêtises nous serions des anges et nous ne connaitrions pas les plaisirs du sexe, car chacun sait que les ange on pas de sexe.
N'étant pas français et l'écrivant peu j'ai énormément du mal à m'exprimer mais vais essayer.
Tout d'abord un homme candauliste est un homme qui montre le plus profond de son amour pour sa femme, vous dite Olga qu'à un moment vous auriez bien voulu partir avec luigi,cela aurait été votre plus grande erreur,car un amant reste un amant et ne se comportera jamais comme un mari à ses yeux vous resterez [une salope].
J'ai connu un couple candauliste don la femme est partie avec un de ces amants, moins d'un mois plutard elle regretter déjà car elle été devenue juste un vide couilles elle ne recevait plus d'amour plus de respect et autre, pourtant entre elle et son amant c'était le grand amour, sauf que c'était le grand amour d'un soir et non un vrai amour, le résultat est que 33 jours après elle c'est retrouvée à la rue et depuis elle est devenue pute de cité etc.
Alors sachez que vous êtes comme vous êtes bonne ou méchante salope ou none, mais vous êtes vous même et personne n'a à vous juger seul le droit de vous juger vous appartient.
Donc laissez les cons là où ils sont et laissez les faire leur guerre entre eux.
Pour en revenir à vos récits Nat et moi avons adorés ,car chacun trouve son équilibre comme il l'entendre, puis la bêtise est humaine et si nous ne faisons pas de bêtises nous serions des anges et nous ne connaitrions pas les plaisirs du sexe, car chacun sait que les ange on pas de sexe.
@ Pas de soucis, Mathilde
oui et non. c'était une question de ma part, Mathilde
@ couple anonyme (Patrick?) comme je l'ai indiqué dans le premier chapitre, du printemps 2023.
Avec plaisir Olga.
La chipie
La chipie
De quand date cette histoire ?
Merci La chipie!
Pour Steph , je ne crois pas que vous soyez en mesure de dire qui de Liugi ou Philippe Olga aurait du se le garder.
Olga a 1 histoire avec Philippe , Luigi c'était comme disent les gamins de maintenant 1 crush voire "1 caprice", le mec qui resistait à Olga la grande pretresse ça a du la surprendre !!!
Elle avait deja jouer à la roulette russe avec d'autres , je pense que ça suffit . Philippe et Olga s'aiment d'un amour inconditionnel meme si quand on lit son témoignage là ça surprends mais connaissant Olga je pense qu'elle arrivera encore à surprendre son monde.
Pour Sofiane & co, putain lachez l'affaire oh à 1 moment donné , sérieux t'as que ça à faire que de venir emmerder le monde toi comme les autres.
Oh moins à la difference des casos comme toi & co , Philippe a toujours tout assumé alors que vous quand vous etes ensemble vous vous prenez pour des caids mais 1 fois au fond d'un lit d'hopital là vous chialez comme des gamines pour 1 simple appendicite à vouloir de la morphine alors basta !!!!
La chipie
Olga a 1 histoire avec Philippe , Luigi c'était comme disent les gamins de maintenant 1 crush voire "1 caprice", le mec qui resistait à Olga la grande pretresse ça a du la surprendre !!!
Elle avait deja jouer à la roulette russe avec d'autres , je pense que ça suffit . Philippe et Olga s'aiment d'un amour inconditionnel meme si quand on lit son témoignage là ça surprends mais connaissant Olga je pense qu'elle arrivera encore à surprendre son monde.
Pour Sofiane & co, putain lachez l'affaire oh à 1 moment donné , sérieux t'as que ça à faire que de venir emmerder le monde toi comme les autres.
Oh moins à la difference des casos comme toi & co , Philippe a toujours tout assumé alors que vous quand vous etes ensemble vous vous prenez pour des caids mais 1 fois au fond d'un lit d'hopital là vous chialez comme des gamines pour 1 simple appendicite à vouloir de la morphine alors basta !!!!
La chipie
@ André, merci
@ Steph, ce que tu appelles des "contraintes familiales", c'est essentiel
@ Steph, ce que tu appelles des "contraintes familiales", c'est essentiel
Le hasard et la capacité de résister à tes talents de fellatrice, c'était un beau challenge pour déterminer l'ordre de passage!
André
André
@ Olga, je répète que je comprends les contraintes familiales qui ont pesé sur ton choix. Mais en en faisant abstraction le choix était évident, c'était Luigi. Tu étais amoureuse de lui et il te baisait comme un Dieu
Steph
Steph
@ Norbert, je confirme ton analyse. Le soutien de Gianni a été très important pour Philippe
@ Henri et au lecteur anonyme: j'ai raconté comme ça s'est passé. Outre que nous sommes sur un site d'histoires érotiques, j'avoue que j'aime exciter mes lecteurs!
@ Steph, ce n'était pas si simple. Bien entendu le contexte familial a pesé lourdement. S'agissant de Philippe, il ne s'agit nullement d'un "attachement" mais de l'amour que j'ai toujours pour lui.
@ Steph, ce n'était pas si simple. Bien entendu le contexte familial a pesé lourdement. S'agissant de Philippe, il ne s'agit nullement d'un "attachement" mais de l'amour que j'ai toujours pour lui.
Autant Vittorio, cet aristocrate méprisant qui joue au Romain de la décadence, est odieux, autant Luigi est ambigu dans ses sentiments et dans son comportement, autant Alessandro sert de faire valoir, j'ai de la sympathie pour Gianni, ton initiateur, qui te retrouve après autant d'années et qui a du respect pour toi, comme Philippe.
Norbert
Norbert
Là où je comprends tes hésitations, c'est du point de vue familial, pour les enfants. Je comprends aussi ton attachement envers Philippe. Mais, avoue-le, du point de vue sexuel et sentimental, ta préférence allait envers Luigi, non?
Steph et JP
Steph et JP
Moi j'avais que j'ai giclé, rien qu'en lisant ton texte!
C'est en tout cas une soirée très chaude dont tu nous a offert le récit. J'avoue qu'on avait l'impression d'y assister. C'était bandant!
Henri
Henri
@ Didier, un grand merci pour ces commentaires et en particulier parce que tu te refuses à juger. Je voulais aussi souligner la pertinence de ton interrogation, que je partage, sur le comportement et la personnalité complexes de Luigi.
@ Patrick, oui les choses ont été compliquées pour moi, en particulier sur le plan sentimental. Quant à Philippe, je ne saurais m'exprimer à sa place, mais je sais que ce qui le motive c'est son amour inconditionnel envers moi, certainement pas la dépendance.
@ Patrick, oui les choses ont été compliquées pour moi, en particulier sur le plan sentimental. Quant à Philippe, je ne saurais m'exprimer à sa place, mais je sais que ce qui le motive c'est son amour inconditionnel envers moi, certainement pas la dépendance.
@Olga,
je te remercie d'avoir apporté, par tes réponses, ces utiles précisions sur la complexité de la personnalité de Luigi.
Elles confortent ainsi mon ressenti, mon questionnement, sur son attitude ambiguë, et confirme dès lors ma hâte de lire ton ultime chapitre sur cette escapade romaine.
Enfin, trouvant inutile d'apporter le moindre jugement de valeur à tes écrits, je m'associe donc intégralement aux propos de Maurice, et je tiens à souligner une fois encore cette transparence, cette honnêteté, dont tu fais preuve, surtout en répondant là à ses commentaires qui sont il est vrai sévères en soi.
Didier
je te remercie d'avoir apporté, par tes réponses, ces utiles précisions sur la complexité de la personnalité de Luigi.
Elles confortent ainsi mon ressenti, mon questionnement, sur son attitude ambiguë, et confirme dès lors ma hâte de lire ton ultime chapitre sur cette escapade romaine.
Enfin, trouvant inutile d'apporter le moindre jugement de valeur à tes écrits, je m'associe donc intégralement aux propos de Maurice, et je tiens à souligner une fois encore cette transparence, cette honnêteté, dont tu fais preuve, surtout en répondant là à ses commentaires qui sont il est vrai sévères en soi.
Didier
@Olga je ne sais que trop bien à quel point l'amour de Philippe vous a permis de surmonter tant d'épreuves. Cette fois pourtant, tant la faute me semble lourde, je me questionne sur le fait que ce soit son amour ou sa dépendance envers toi qui l'a retenu. Cette série de textes me fait tellement penser à une ode à Luigi et à l'amour que tu éprouves pour lui que sa fin me surprend toujours autant, elle a encore plus surpris ma partenaire, et me laisse à penser que tu as toujours des sentiments pour lui.
Patrick
Patrick
@Sofiane,
vous n'avez toujours rien compris.
Nous n'avons nullement besoin de vos commentaires porteurs de discorde et de haine...
Didier
vous n'avez toujours rien compris.
Nous n'avons nullement besoin de vos commentaires porteurs de discorde et de haine...
Didier
@ Maurice, merci!
@ Clara, merci de ne pas caricaturer ma relation avec Agun. Bien entendu que j'ai aussi pensé à elle
@ Clara, merci de ne pas caricaturer ma relation avec Agun. Bien entendu que j'ai aussi pensé à elle
@ Olga, une personne n'est jamais mentionnée dans ce récit: c'est Agun. je pensais que tu l'aimais, que tu constituais un "second couple" avec elle. Elle est juste bonne à garder les gosses et à ta disposition, quand tu as envie d'elle?
Clara
Clara
Ca y est revoilà Sofiane. Il ne manque plus que son alter ego, Kamel!
Pour ma part, je salue la transparence d'Olga, son courage pour cela. Le fonctionnement de son couple ne regarde qu'elle et son mari. Celui-ci est candauliste et consentant. Bravo pour l'amour sans limites qu'il porte à sa femme. J'aimerai donc qu'on leur fiche la paix et qu'on se contente, comme moi, du plaisir de la plume d'Olga, ce que je fais moi depuis très longtemps, avant même ses publications sur des sites comme HDS.
Maurice
Pour ma part, je salue la transparence d'Olga, son courage pour cela. Le fonctionnement de son couple ne regarde qu'elle et son mari. Celui-ci est candauliste et consentant. Bravo pour l'amour sans limites qu'il porte à sa femme. J'aimerai donc qu'on leur fiche la paix et qu'on se contente, comme moi, du plaisir de la plume d'Olga, ce que je fais moi depuis très longtemps, avant même ses publications sur des sites comme HDS.
Maurice
Je vois que certains lecteurs et lectrices ont enfin compris la vraie personnalité d'Olga...
Sofiane
Sofiane
@ Julie, merci pour ce commentaire portant sur la partie "culturelle" et historique du récit.
@ Cyrille, merci pour ce commentaire dont j'apprécie la lucidité
@ Cyrille, merci pour ce commentaire dont j'apprécie la lucidité
Je vais rester un peu plus humble par rapport à tous ces commentaires...
Cette histoire de candaulisme, montre à quel point les limites peuvent être dépassée malgré tout ce qu'on ressent...
@olga Tu as spolier la fin de l'histoire mais je me réjouis de voir ta fin de l'histoire ..
Cyrille
Cette histoire de candaulisme, montre à quel point les limites peuvent être dépassée malgré tout ce qu'on ressent...
@olga Tu as spolier la fin de l'histoire mais je me réjouis de voir ta fin de l'histoire ..
Cyrille
@ Jacques du Canada, vous êtes sévère et vous avez raison de l'être, car, en effet, à cause de mon comportement, notre couple a été au bord de la rupture.Votre terme de "précipice" est bien choisi
Quand je parle de "premier responsable", cela ne veut pas "dire "principal". C'est seulement que le candaulisme de Philippe, combiné à mon hypersexualité, est l'élément déclencheur. Je ne me cache pas derrière mon addiction car on est responsable de ses actes. Comme déjà répondu à Patrick, l'épilogue expliquera comment s'est achevée cette crise, comme les précédentes, a pu être surmontée grâce à la force des sentiments qui nous unissent, Philippe et moi
Quand je parle de "premier responsable", cela ne veut pas "dire "principal". C'est seulement que le candaulisme de Philippe, combiné à mon hypersexualité, est l'élément déclencheur. Je ne me cache pas derrière mon addiction car on est responsable de ses actes. Comme déjà répondu à Patrick, l'épilogue expliquera comment s'est achevée cette crise, comme les précédentes, a pu être surmontée grâce à la force des sentiments qui nous unissent, Philippe et moi
Je veux d'abord m'excuser de répondre avec retard aux commentaires. Certains sont sévères, mais, d'une part je le savais en jouant le jeu de la transparence totale et, d'autre part, je le mérite au vu de mon comportement.
@ Daniel, la personnalité de Luigi reste un mystère, en particulier au regard du dénouement final. C'est quelqu'un de complexe, attirant, intelligent, séduisant, mais avec aussi ses côtés obscurs.
@ Patrick, je suis sincèrement heureuse de te retrouver parmi mes lecteurs. Tu es sévère et tu as raison de l'être. Je veux seulement te dire que si notre couple perdure à travers les crises, c'est d'abord grâce à Philippe et son amour.
Merci à La chipie, à Valeriane et à Didier pour leurs appréciations sur mon écriture. Pour répondre à Didier, j'avoue que, moi aussi, je me suis interrogée sur le comportement de Luigi et que je n'ai aucune certitude, même si le dénouement plaide en sa faveur
@ Daniel, la personnalité de Luigi reste un mystère, en particulier au regard du dénouement final. C'est quelqu'un de complexe, attirant, intelligent, séduisant, mais avec aussi ses côtés obscurs.
@ Patrick, je suis sincèrement heureuse de te retrouver parmi mes lecteurs. Tu es sévère et tu as raison de l'être. Je veux seulement te dire que si notre couple perdure à travers les crises, c'est d'abord grâce à Philippe et son amour.
Merci à La chipie, à Valeriane et à Didier pour leurs appréciations sur mon écriture. Pour répondre à Didier, j'avoue que, moi aussi, je me suis interrogée sur le comportement de Luigi et que je n'ai aucune certitude, même si le dénouement plaide en sa faveur
J'ai trouvé très intéressant le développement sur les jeux de hasard et, en particulier, le "coup de Vénus"
Julie
Julie
Toujours aussi prenant, j'adore
Valeriane
Valeriane
“ Ne voulant pas en rajouter, je m’abstiens de crier mon amour pour Luigi.”
Vous ne pouvez pas dire que les événements ont fait déborder la situation et que vous étiez hors contrôle.
Probablement, être dans la tête de Philippe, j’envisagerais un plan B.
Vous courrez après les problèmes Olga. Il ne faudra pas vous surprendre si jamais le pire à vos yeux, arrive.
Vous ne pouvez pas dire que les événements ont fait déborder la situation et que vous étiez hors contrôle.
Probablement, être dans la tête de Philippe, j’envisagerais un plan B.
Vous courrez après les problèmes Olga. Il ne faudra pas vous surprendre si jamais le pire à vos yeux, arrive.
“Il est le premier responsable de cette situation”
Etes-vous certaine Olga? Philippe suis le contrat dans lequel vous vous êtes tous les deux engagés suite à votre expérience avec “N”. Vous devez vous aussi suivre votre partie de ce contrat. Vous connaissez les répercussions advenant un manque. Je ne comprends pas pourquoi vous allez toujours aussi proche du précipice. Pourquoi ne pas vous organiser pour que tout les deux vous reveniez heureux a la maison pour retrouver vos enfants et Algun. Après la lecture de ce texte je ne pense pas que ce sera le cas. Je ne pense pas aussi que Philippe voudra renouveler l’expérience de ci-tôt.
Comme dit le dicton: On récolte ce que l’on sème.
On dira ce que l’on voudra mais après la lecture de ce texte c’est certain que je ne changerai d’avis concernant le candaulisme. C’est la recette idéale pour, tôt ou tard perdre l’être aimé
Etes-vous certaine Olga? Philippe suis le contrat dans lequel vous vous êtes tous les deux engagés suite à votre expérience avec “N”. Vous devez vous aussi suivre votre partie de ce contrat. Vous connaissez les répercussions advenant un manque. Je ne comprends pas pourquoi vous allez toujours aussi proche du précipice. Pourquoi ne pas vous organiser pour que tout les deux vous reveniez heureux a la maison pour retrouver vos enfants et Algun. Après la lecture de ce texte je ne pense pas que ce sera le cas. Je ne pense pas aussi que Philippe voudra renouveler l’expérience de ci-tôt.
Comme dit le dicton: On récolte ce que l’on sème.
On dira ce que l’on voudra mais après la lecture de ce texte c’est certain que je ne changerai d’avis concernant le candaulisme. C’est la recette idéale pour, tôt ou tard perdre l’être aimé
@La Chipie, je partage votre avis.
Ce texte est magnifique, de par sa transparence surtout.
Je trouve que les années faisant, comme les grands crus, le style d’Olga se bonifie...
@Olga,
Même si tu nous as en déjà dévoilé le dénouement dans ton commentaire, j’ai vraiment hâte de découvrir comment tu vas nous le présenter dans ton ultime chapitre.
Didier
Ce texte est magnifique, de par sa transparence surtout.
Je trouve que les années faisant, comme les grands crus, le style d’Olga se bonifie...
@Olga,
Même si tu nous as en déjà dévoilé le dénouement dans ton commentaire, j’ai vraiment hâte de découvrir comment tu vas nous le présenter dans ton ultime chapitre.
Didier
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Tant mieux Olga.
Tu as écris 1 sacré texte.
La chipie
Tu as écris 1 sacré texte.
La chipie
Après plusieurs années sans venir prendre de tes nouvelles, étant persuadé que tout risque était désormais derrière toi, que ton couple avec Philippe était solide, ton cœur résolu, j'ai eu envie de savoir comment cela se passait. Quel choc de voir à quel point ce dernier été a été un véritable retour en arrière, se rapprochant dangereusement à mes yeux de tes heures les plus sombres, j'ose le dire.
Si je découvre dans tes premières réponses que la fin s'annonce avec Philippe, cela tient du miracle à mes yeux, je n'y croyais pas cette fois. J'ai encore du mal. Votre couple semble ne devoir sa survie quasiment d'interventions extérieures que de tes propres convictions. Je reste sous le choc.
Patrick
Si je découvre dans tes premières réponses que la fin s'annonce avec Philippe, cela tient du miracle à mes yeux, je n'y croyais pas cette fois. J'ai encore du mal. Votre couple semble ne devoir sa survie quasiment d'interventions extérieures que de tes propres convictions. Je reste sous le choc.
Patrick
On découvre que le personnage de Luigi est plus complexe et moins sympathique qu'au premier abord.
Daniel
Daniel
@ Didier, comme toujours, tu as fait une lecture attentive, soignée du texte, soulignant mes hésitations et mes ambiguïtés. Tu soulignes aussi les différentes facettes de la personnalité de Luigi, capable d'être à la fois un homme sensible et cultivé, mais aussi le macho italien type.
@ Dan, j'ai toujours été ainsi avec Philippe, en n'étant absolument pas partageuse. C'est lui qui est candauliste, pas moi. Quant aux termes "bafouer" et "humilier", oui on peut le percevoir ainsi, mais cela fait partie du jeu candaulsite et n'était pas intentionnel. Philippe le savait car il me connait bien. Ce qui était nouveau par rapport à nos pratiques habituelles, c'était les sentiments que je ressentais pour mon amant, sans pour autant renoncer à l'amour envers Philippe.
Je veux rassurer Dan, Paul et La chipie: le dénouement est connu, c'est Philippe que j'ai choisi, dès lors que le polyamour n'était pas possible. Le prochain texte, épilogue de ce récit, confirmera que ce ne fut pas facile.
@ La chipie, merci de ce commentaire. Oui j'aurais peut-être bien mérité une bonne paire de gifles, mais ce n'est pas la manière d'être de Philippe. Sa méthode c'est l'amour.
@ Dan, j'ai toujours été ainsi avec Philippe, en n'étant absolument pas partageuse. C'est lui qui est candauliste, pas moi. Quant aux termes "bafouer" et "humilier", oui on peut le percevoir ainsi, mais cela fait partie du jeu candaulsite et n'était pas intentionnel. Philippe le savait car il me connait bien. Ce qui était nouveau par rapport à nos pratiques habituelles, c'était les sentiments que je ressentais pour mon amant, sans pour autant renoncer à l'amour envers Philippe.
Je veux rassurer Dan, Paul et La chipie: le dénouement est connu, c'est Philippe que j'ai choisi, dès lors que le polyamour n'était pas possible. Le prochain texte, épilogue de ce récit, confirmera que ce ne fut pas facile.
@ La chipie, merci de ce commentaire. Oui j'aurais peut-être bien mérité une bonne paire de gifles, mais ce n'est pas la manière d'être de Philippe. Sa méthode c'est l'amour.
Je suis d'accord avec Dan: ne nous fais pas languir avec la suite!
Paul
Paul
Tu as joué à la roulette russe Olga, c'était dangereux.
Quand on lit ton témoignage on attends la suite pour savoir si à la place de Philipe ça donne envie de t'embrasser et de te pardonner ou de te gifler et demander la garde des gamins.
On dirait que tu n'as pas retenue la leçon de tes précédentes erreurs.
Ton texte m'a filé le mourron et pourtant il m'en faut.
La chipie
NB : t'embrasser je me comprends hein, je ne te fais pas d'avance.
Quand on lit ton témoignage on attends la suite pour savoir si à la place de Philipe ça donne envie de t'embrasser et de te pardonner ou de te gifler et demander la garde des gamins.
On dirait que tu n'as pas retenue la leçon de tes précédentes erreurs.
Ton texte m'a filé le mourron et pourtant il m'en faut.
La chipie
NB : t'embrasser je me comprends hein, je ne te fais pas d'avance.
Petite question: comment peut-on bafouer et quasiment humilier son mari et ne pas accepter que lui prenne du plaisir avec une autre femme et en être jalouse… Et pourquoi nous torturer pour la suite de votre histoire qui a été déjà écrite dans les faits. Devra-t-on attendre plus d’un mois?Mis à part tout cela, c’est toujours un réel plaisir de te lire Olga depuis très longtemps! Un lecteur assidu et passionné, Dan.
Olga,
C'est encore un chapitre très intéressant et passionnant que celui-ci, où le suspense est à son paroxysme.
De ce texte, très sexe, je ne retiens encore une fois que l’excellence de ton travail de catharsis, nous livrant, dans une parfaite transparence et sans aucune retenue, l'évolution de tes sentiments, de ceux de ton Philippe ainsi que l’attitude des autres convives lors de cette soirée de tous les dangers pour ton couple.
Je souligne également ce soupçon de culture historique avec ces allusions aux saturnales et aux bacchanales mais surtout aussi la présentation des jeux des dés avec le coup du chien et du coup de vénus.
Un satané jeu qui te fait languir car ce n’est que par son intermédiaire qu’est déterminé celui qui doit t’honorer le premier.
A ta plus grande joie, c’est Luigi, ton amant, qui en sort victorieux, un peu par ton "aide" toutefois.
Mais là au lieu de "baiser", vous faites l’amour tout deux et à cet instant tu sens, tu sais, immédiatement ce que ton Philippe ressent. Il est en train de te perdre, tu es en train de le perdre. Cependant dès cette première étreinte terminée, tu n’as plus qu’une seule vraie envie, te faire "baiser" soit individuellement, soit collectivement…
Sur ce, alors que d’entrée tous deux te considère et te traite comme une vulgaire "putain", Alessandro ne cherche qu’à te baiser, tandis que Vittorio se plait lui à mettre de l’huile sur le feu, en se moquant ouvertement de ton Philippe, ce "cocu" qui t’a perdu, puis en te faisant crier ton amour pour Luigi et ton désir de vivre avec lui, puis enfin en faisant des allusions à un divorce, suivi d’un mariage avec Luigi et d’une nuit de noce torride...
Seul Gianni se montre respectueux, et après un échange sur le passé et des confidences sur ta mère, vous faites également l’amour tout deux. De plus Gianni, faisant preuve de sagesse, se fait très conciliant envers Philippe et toi, cherchant en vous parlant séparément à vous convaincre que rien n’est fini entre vous car votre amour perdure.
Pendant tout ce temps, Philipe constatant qu'il est en train de te perdre, cherche momentanément une compensation en Sophia, pour finalement la rejeter car seule toi compte à ses yeux, te faisant ainsi jubiler de cette situation.
Tu réalises sur l’instant, avec cette nouvelle démonstration d’amour de ton bien aimé, toute la contradiction de tes sentiments, de ton attitude, toi qui tu veux toujours avoir Philippe et Luigi en même temps.
Oui ce Luigi, qui tout au long de la soirée n’eut de cesse de clamer haut et fort que tu es sa femme, et que tu lui appartiens. Quelle drôle attitude de la part de celui qui depuis le début de votre séjour appelle Philippe, son ami.
Un Philippe qui à l’issue de cette soirée est prêt désormais, à ta grande stupeur, à lui céder sa place auprès de toi.
Tout laisse à penser en lisant les dernières lignes du chapitre que tout est déjà joué et que c'est vers Luigi que tu vas te tourner finalement, néanmoins l’attitude ambiguë de celui-ci me convainc que rien n’est encore fait à ce sujet-là.
En effet, ce soir ton amant était-il réellement sincère ? Ou jouait-il encore ainsi un rôle de façade en se montrant tel un macho, le temps de cette soirée ?
Didier
C'est encore un chapitre très intéressant et passionnant que celui-ci, où le suspense est à son paroxysme.
De ce texte, très sexe, je ne retiens encore une fois que l’excellence de ton travail de catharsis, nous livrant, dans une parfaite transparence et sans aucune retenue, l'évolution de tes sentiments, de ceux de ton Philippe ainsi que l’attitude des autres convives lors de cette soirée de tous les dangers pour ton couple.
Je souligne également ce soupçon de culture historique avec ces allusions aux saturnales et aux bacchanales mais surtout aussi la présentation des jeux des dés avec le coup du chien et du coup de vénus.
Un satané jeu qui te fait languir car ce n’est que par son intermédiaire qu’est déterminé celui qui doit t’honorer le premier.
A ta plus grande joie, c’est Luigi, ton amant, qui en sort victorieux, un peu par ton "aide" toutefois.
Mais là au lieu de "baiser", vous faites l’amour tout deux et à cet instant tu sens, tu sais, immédiatement ce que ton Philippe ressent. Il est en train de te perdre, tu es en train de le perdre. Cependant dès cette première étreinte terminée, tu n’as plus qu’une seule vraie envie, te faire "baiser" soit individuellement, soit collectivement…
Sur ce, alors que d’entrée tous deux te considère et te traite comme une vulgaire "putain", Alessandro ne cherche qu’à te baiser, tandis que Vittorio se plait lui à mettre de l’huile sur le feu, en se moquant ouvertement de ton Philippe, ce "cocu" qui t’a perdu, puis en te faisant crier ton amour pour Luigi et ton désir de vivre avec lui, puis enfin en faisant des allusions à un divorce, suivi d’un mariage avec Luigi et d’une nuit de noce torride...
Seul Gianni se montre respectueux, et après un échange sur le passé et des confidences sur ta mère, vous faites également l’amour tout deux. De plus Gianni, faisant preuve de sagesse, se fait très conciliant envers Philippe et toi, cherchant en vous parlant séparément à vous convaincre que rien n’est fini entre vous car votre amour perdure.
Pendant tout ce temps, Philipe constatant qu'il est en train de te perdre, cherche momentanément une compensation en Sophia, pour finalement la rejeter car seule toi compte à ses yeux, te faisant ainsi jubiler de cette situation.
Tu réalises sur l’instant, avec cette nouvelle démonstration d’amour de ton bien aimé, toute la contradiction de tes sentiments, de ton attitude, toi qui tu veux toujours avoir Philippe et Luigi en même temps.
Oui ce Luigi, qui tout au long de la soirée n’eut de cesse de clamer haut et fort que tu es sa femme, et que tu lui appartiens. Quelle drôle attitude de la part de celui qui depuis le début de votre séjour appelle Philippe, son ami.
Un Philippe qui à l’issue de cette soirée est prêt désormais, à ta grande stupeur, à lui céder sa place auprès de toi.
Tout laisse à penser en lisant les dernières lignes du chapitre que tout est déjà joué et que c'est vers Luigi que tu vas te tourner finalement, néanmoins l’attitude ambiguë de celui-ci me convainc que rien n’est encore fait à ce sujet-là.
En effet, ce soir ton amant était-il réellement sincère ? Ou jouait-il encore ainsi un rôle de façade en se montrant tel un macho, le temps de cette soirée ?
Didier