Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (3).
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-07-2023 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (3).
Avertissement
Ce texte fait suite à ceux parus sur HDS les 15 et 29 juin 2023. L’ensemble constitue la confession très progressive d’une brève relation intime à Rome, entre désir sexuel affirmé et sentiments à refouler. J’ai bien noté que l’audience du second chapitre, où j’ai fait part de mes états d’âme, avait eu une audience nettement moins importante que le premier. Je sais que nous sommes sur un site de récits érotiques, où beaucoup de lecteurs et lectrices sont à la recherche de scènes de sexe, « hard » si possible ». Ce chapitre devrait commencer à répondre à leurs attentes.
Je précise seulement que mes récits autobiographiques sont depuis le début un exercice de transparence, de « catharsis » comme on dit dans mon pays d’origine. C’est aussi pour moi une forme de thérapie que de livrer mes doutes, que de reconnaitre mes hésitations, mes faiblesses, mes erreurs. Un couple formé d’une hypersexuelle et d’un mari candauliste est par définition une combinaison difficile. Merci à ceux et celles qui le comprennent et aux autres pour leur indulgence.
***
Avec mon mari Philippe, nous nous sommes rendus, il y a quelques semaines à Rome. Philippe voulait me faire redécouvrir les sites qui étaient le cadre de mes écrits historiques et érotiques à l’époque de la Rome impériale, à savoir « Matrone et Domina », en cours de publication et « les Mémoires de Faustine », en cours d’écriture. Mais Philippe avait autre chose en tête : mettre à profit cette escapade pour renouer avec nos pratiques candaulistes, forcément limitées par les exigences de la vie quotidienne, notamment familiale. Il a donc soigneusement planifié les choses, en organisant la garde des enfants, en choisissant un hôtel de charme au cœur de la Ville éternelle et surtout en recherchant notre guide. Luigi, 28 ans, Docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome antique, nous avait concocté un programme intense de visites de sites et de musées.
Le choix de Philippe avait un autre fondement : mon mari cherchait un amant pour son épouse. Au cours de longs échanges, une complicité s’était créée entre les deux hommes. Philippe n’avait rien caché à Luigi de nos pratiques et de notre histoire. Une fois la confiance établie, Philippe avait échangé avec le jeune Italien des photos intimes de moi. Luigi, toujours célibataire, se montra intéressé, pas rebuté a priori par notre différence d’âge, près de 20 ans, et disposé à s’ajouter à la longue liste de mes amants.
Les deux hommes s’étaient mis d’accord, sans que je sois au courant, mais cela est une pratique habituelle dans notre couple. Philippe est l’organisateur de mes plaisirs. Son exigence est d’en être témoin et complice. Philippe pensait avoir tout prévu. La journée serait consacrée à la culture et l’histoire, les soirées au plaisir. Il restait à Luigi à être à la hauteur d’un programme aussi exigeant.
Ce que Philippe n’avait pas prévu, c’est ce qui se passa quand je fus mise en présence de Luigi. Non seulement celui-ci, avec sa fine barbe, ses yeux sombres, sa grande taille, ses muscles, sa virilité, était beau comme un Dieu, mais je fus très vite fascinée par sa conversation, sa culture, sa connaissance autour de notre passion commune pour la Rome Antique. Bref, j’eus le coup de foudre, ce qui ne m’était pas arrivée depuis que j’avais fait la funeste rencontre de N, sept ans auparavant. Je pensais être « immunisée ». Ce n’était pas le cas. Pire, Luigi était plus que troublé par moi. Il avait vu les photos et avait envie de moi. Mais lui aussi, il le reconnut, fut fasciné par nos échanges. Je n’ai ni son parcours, ni ses connaissances, mais l’histoire est ma passion et j’ai beaucoup travaillé celle de la Rome impériale pour mes écrits.
Alors que, avant ce voyage, nous ne nous connaissions pas, nous nous comportions comme un couple. Je veux être honnête : si Luigi l’avait demandé, je l’aurais suivi, prête à retomber dans mes errements du passé. Heureusement Luigi est un homme d’honneur. Malgré son attirance pour moi, il n’a pas voulu profiter de la situation. Nous étions tous les trois dans une impasse : Luigi et moi terriblement frustrés, car nous avions follement envie l’un de l’autre, Philippe, qui pensait renouer avec notre candaulisme, se rendait compte qu’il avait ouvert la boite de Pandore.
C’est Philippe qui fit en sorte de revenir au schéma initialement prévu. Ca ne devait être que du sexe et rien d’autre.
***
Ce matin-là, je fus prête la première. Je mis un chemisier échancré beige, sous lequel on devinait que je ne portais pas de soutien-gorge. Je choisis aussi une jupe pas trop serrée, mais assez sage, sous laquelle je portais un string. Et un chapeau de paille et une bonne paire de baskets pour une marche assez longue, sous le soleil raisonnable de cette journée de mai.
Philippe n’est pas très rapide pour se préparer. Impatiente, je décidais de ne pas l’attendre et de descendre aux salons de l’hôtel, où Luigi nous attendait pour que nous prenions ensemble le petit déjeuner.
Je suis restée un moment figée quand je l’ai vu. Luigi affichait son plus beau sourire. Nous échangeâmes un regard plein de promesses sur cette journée qui nous attendait. Nous savions que nous allions enfin nous aimer. Je sentis mon intimité s’humidifier et mes tétons en érection sous mon chemisier. Ma libido s’était immédiatement réveillée.
Il s’est levé et je me suis précipitée dans ses bras.
• Buongiorno Signora
• Grazie a te ea Philippe per avermelo concesso. Avrei voluto di più, ma sarebbe una follia (“Merci à toi et à Philippe de ce vous m'accordez. J'aurais voulu davantage, mais ce serait une folie”)
Le regard de Luigi était à la fois doux et empreint de fermeté. Philippe venait d’arriver et observait, silencieux. Luigi me répondit, en Français :
• Oui cela aurait été une folie. Et même si moi aussi j’aurais voulu davantage, contentons-nous de ce que la vie nous accorde pour ces quelques jours. Je suis un homme d’honneur et je refuse de mettre en péril votre couple. Philippe et toi, vous êtes faits l’un pour l’autre.
Il avait raison. Plus jeune, il était incontestablement le plus raisonnable.
• Sì, prendiamo quello che la vita ci dà. Nel frattempo, voglio un bacio! (“Oui, prenons ce que la vie nous offre. En attendant, je veux un baiser!”)
Je me suis serrée contre Luigi. Je sentais sa formidable érection, alors que lui avait posé ses mains sur mes fesses. Luigi prend possession de mes lèvres, nos langues se cherchent, pour un baiser prolongé, long et langoureux. Nous nous interrompons le temps de reprendre notre souffle. Le message de ce « French Kiss » est clair, plein de promesses. A ce moment précis, j’aurais envie de prendre Luigi par la main, de remonter avec lui à la chambre et de baiser. Comment tenir toute la journée ? Je mordille l’oreille de mon futur amant et implore :
• Ancora! Sono tua, voglio essere la tua femmina! (“Encore! Je suis à toi, je veux être ta femelle!”)
• Pazienza! Non ho mai desiderato così tanto una donna. Mi fai impazzire! (“Patience! Jamais je n'ai autant désirer une femme. Tu me rends fou!”)
Et nous recommençâmes notre baiser, encore plus fougueux. Nous sommes insatiables, ne nous souciant pas de l’endroit où nous sommes, au risque du scandale, même si la salle à manger est encore peu remplie pour le service du petit déjeuner, car il est encore tôt. Le personnel sait que c’est Philippe mon mari, pas Luigi. Un peu plus loin, j’entends un couple de touristes américains, des quinquagénaires venus de Floride, ne pas cacher leur indignation, eux qui avaient, dans une brève conversation avec nous, revendiqué leur trumpisme.
• It's a shame! This whore is really a slut!
• In addition, the husband watches the show and does not intervene.
• It's clear. This cuckold is vicious. He likes to see his wife showing off! ((“C’est clair. Ce cocu est un vicieux qui aie voir sa femme s’exhiber)
Philippe s’est installé et nous regarde. Il a entendu les Américains et se lève. Sans se départir de sa courtoisie habituelle, il réagit :
• Good morning Sir, good morning Madame. How does what we do concern you? Well yes, I love watching my wife get fucked by other guys. I do not get enough. She is even more beautiful when she cums. You should try. It would do you a lot of good, especially Madame! (« En quoi ce que nous faisons vous regarde-t-il? Et bien oui, J'adore voir ma femme se faire baiser par d'autres types. Je ne m'en lasse pas. Elle est encore plus belle quand elle jouit. Vous devriez essayer, ça vous ferait beaucoup de bien, surtout à Madame! »)
L’Américain est furieux. Luigi comprend que ça dégénère et interrompt, à mon grand regret, le baiser.
• Luigi, andiamo in camera da letto. Voglio! Adesso. (“Luigi, allons à la chambre. J'ai envie! Maintenant.”)
Le regard de Luigi se fit dur et il éleva le ton :
• Donna, devi obbedirmi! Sono io che decido quando e come e sarà fatto come concordato con Philippe. Non preoccuparti, ti fotterò come la stronza che sei! (“Femme, tu dois m'obéir! C'est moi qui décide quand et comment et ça se fera comme nous en sommes convenus avec Philippe. Ne t'inquiètes pas, je te niquerai comme la salope que tu es!”)
Ce fut la première fois que Luigi, qui jusque là avait été d’une courtoisie exquise, me parla avec ces termes et de cette façon. C’est au fond ce que j’attendais de lui, qu’il se comporte en mâle. Il me dira par la suite qu’il avait dû forcer sa nature, car il avait compris que c’était le moyen de cantonner notre relation dans une relation sexuelle, sans que cela n’ait de conséquences sentimentales.
***
Le buffet était très bien garni et nous prîmes un véritable brunch, nécessaire pour une journée qui serait intense à tout point de vue. Luigi nous présenta le programme de ce « circuit d’Auguste et Hadrien ».
Nous démarrons notre périple. Je donne une main à chacun de mes deux hommes, mon mari et mon futur amant. Luigi se montre très professionnel. Dans la journée, il est le guide et entend bien faire ce pourquoi il est payé, sans se laisser distraire par d’autres considérations, même si, régulièrement, il est contraint de me concéder un long baiser amoureux.
Notre itinéraire commence à partir de l’actuel château Saint-Ange, anciennement le mausolée d’Hadrien. Après avoir visité cet imposant bâtiment qui a subi diverses transformations au cours des siècles, nous entrons dans le Champ de Mars, où se trouve le mausolée d’Auguste. Ce dernier empereur a particulièrement marqué l’urbanisme du Champ de Mars avec des monuments pleins de signification symbolique et politique, liés aux étapes de son ascension extraordinaire, comme l’Ara Pacis et l’Horologium Augusti.
Non loin des monuments d’Auguste, nous admirons ensuite l’une des réalisations les plus célèbres d’Hadrien: le Panthéon, certes moins connu que celui édifié par Agrippa, gendre et ami d’Auguste. Impossible de ne pas visiter ce bâtiment surprenant et innovant lorsque l’on est en centre-ville. Non loin du Panthéon, se dresse le temple dédié à la mémoire de l’empereur Hadrien. Ses ruines colossales caractérisent la Piazza di Pietra. Pour conclure notre promenade, nous nous dirigeons vers la Via dei Fori Imperiali, en longeant le Forum d’Auguste puis en terminant près du Colisée devant les ruines du Temple de Vénus et Rome. Aujourd’hui, il en reste peu de choses : essentiellement l’abside côté Forum ainsi que quelques colonnes. La colonnade qui entourait l’édifice a presque entièrement disparu.
Luigi précise à mon intention :
• Le Temple de Vénus et de Rome fut sans doute un des temples les plus vastes de Rome (110 mètres sur 53). Nous sommes sur la Vélia, une des sept collines de Rome, qui a totalement disparu. Consacré à Vénus et à la déesse Rome, considérées comme les deux protectrices de la ville, le temple fut commencé en 121 par Hadrien et terminé par Antonin le Pieux. Hadrien en dessina lui-même les plans et en fit la dédicace en 135.
• J’imagine que l’empereur fit cette dédicace en présence de Faustina Maïor, son amante, comme un symbole de leur amour.
• J’ai trouvé audacieuse et intéressante ta thèse qui fait de l’épouse d’Antonin le Pieux la maîtresse d’Hadrien et de cette liaison le motif du choix d’Antonin pour lui succéder en 138.
• Pour permettre la construction de ce temple, Hadrien fit déplacer le Colosseum, statue de Néron haute de 35 mètres, par 24 éléphants. Il fut placé à côté du Colisée auquel il finit par donner son nom.
• Décidemment je n’ai rien à t’apprendre, Olga. Tu te serais bien entendue avec Hadrien ! Comme Faustina Maïor, tu aurais été sa Vénus !
• A défaut d’Hadrien, je veux bien être ta Vénus, Mio caro!
Luigi et moi remontons la Via dei Fori Imperiali, en direction du Colisée. Luigi me tient par l’épaule et nous nous arrêtons fréquemment pour nous embrasser. Philippe nous suit à courte distance, nous laissant nous comporter comme un couple. Je me sens bien, heureuse mais impatiente. Le string que j’ai mis ce matin est trempé, tellement je suis excitée.
Il est 14h00. Piazza del Colesseo, à cent mètres du Colisée, Luigi a réservé une table au « Gran Caffe », un Ristorante Pizzeria. Luigi annonce la couleur :
• Notre belle promenade de ce matin m’a donné faim. Nous allons bien manger, car ce soir, nous vivrons en quelque sorte d’amour et d’eau fraiche.
• Seulement ce soir. C’est encore long et je n’en peux plus d’attendre.
Luigi s’asseoit à côté de moi et sa main est posée sur ma cuisse. Il prend ma main et la met sur son pantalon, déformé par une belle érection. J’ouvre la fermeture éclair et découvre, avec gourmandise, que Luigi n’a pas de sous-vêtement. Je commence à le caresser et à le masturber.
• Vacci piano, piccola cagna! Non avere tanta fretta. (“Doucement, petite garce! Ne sois pas si pressée”.)
A son tour, Luigi se lance dans l’exploration de mon intimité. Il est stupéfait !
• C’est incroyable, Philippe. Cette adorable salope a trempé son string !
• Oui, elle mouille beaucoup quand elle est particulièrement excitée, comme aujourd’hui.
• Olga, retire ton string et donne le moi !
Je m’exécute immédiatement et je veux lui donner discrètement, cachée par la nappe.
• Non, pas comme ça, pas en dessous de la table. Je veux qu’on voie que tu as enlevé ton string et que tu me le donnes. C’est un symbole, qui confirme que tu t’offres à moi, en accord avec Philippe.
J’ai un peu honte, moi qui d’habitude ne me soucie guère de pudeur. Luigi reçoit mon string comme un trophée, prend le temps de le humer, avant de le mettre dans sa poche. Puis il annonce, en Italien et de façon à être entendu :
• Metterò il mio dito dentro di te! (“Je vais te doigter!”)
Ce qu’il commence à faire immédiatement. Je suis en train de me faire doigter dans une salle de restaurant. Certes, la longue nappe masque ce que Luigi me fait. Le problème est pour moi de parvenir à contrôler mon orgasme qui monte très rapidement, conséquence de la tension sexuelle de ces deux derniers jours. Comment vais-je parvenir à ne pas exprimer mon plaisir, moi qui suis habituellement très vocale dans l’expression de mon plaisir ? Mon visage exprime ce que je ressens. Je ferme les yeux, la sueur coule de mon front, mes traits sont déformés, exprimant un plaisir qui est aussi une souffrance, tellement il est fort. Je prends la main de Philippe, qui est face à moi et lui écrase les doigts à chaque fois que je jouis, alors que mes orgasmes s’enchainent crescendo. Luigi ne me ménage pas : c’est maintenant trois doigts que j’ai dans ma chatte.
Je gémis, parvenant je ne sais comment à me contenir tant bien que mal :
• La prochaine fois, dans un endroit plus pratique, je lui mets toute ma main jusqu’au poignet !
• Et tu arriveras sans problème, elle adore ça !
Les deux hommes sont sans pitié et veulent ma capitulation. Un moment, mes barrages cèdent, je ne peux plus me contenter de discrets gémissements. Je cris, je hurle mon plaisir, sans retenue :
• Sì, Luigi, avanti ancora! Masturbami. Metti le dita! Oh che buono! SÌ!!!!!! (“Oui,
Luigi, vas-y, encore! Branle-moi. Enfonce tes doigts! Oh que c'est bon! Oui!!!!!!”)
Telle fut ma première jouissance avec Luigi. Celui ressort ses doigts de ma chatte. Ils sont couverts de mouille. Il les approche de ma bouche, pour que je les nettoie soigneusement. Ensuite il m’embrasse longuement sur la bouche. Reprenant pied et surmontant ma honte de m’être ainsi exhibée, je me lève pour embrasser Philippe et lui dire « merci ». Il me répond que c’était beau et fort.
A cette heure relativement avancée pour le déjeuner, la salle n’est pas pleine. Mais nul ne peut ignorer ce que nous venons de faire. Le serveur est ironique au moment de prendre la commande :
• Bene signora, sembra che sia stato buono! (“Et bien Madame, il semble que c'était bon!”)
• Ne aveva bisogno! (“Elle en avait besoin”), répond avec un sourire Luigi.
Le déjeuner qui suit est copieux et succulent. J’ai dévoré un plat de « spaghetti alle vogonle » et j’ai apprécié le succulent Pinot Grigio du Frioul choisi par Luigi. L’alcool et le temps faisant son effet, ma libido, sans surprises, se réveillait.
• Si nous retournions à l’hôtel. Luigi, s’il te plait, j’ai envie que tu me baises. Dis-oui ! S’il te plait !
• Tu vois bien qu’elle n’en peut plus. Ne sois pas cruel. Et ne dis pas que tu n’en n’as pas envie, toi aussi.
• Je répète que nous devons nous en tenir à notre programme. Bien sûr que j’ai envie d’elle. Ne t’inquiète pas, tu verras ce soir, je vais la démonter, ta salope. Mais il est vrai que j’ai aussi besoin d’être soulagé. Lors de nos discussions, Philippe, tu m’as souvent dit qu’Olga est une pipeuse exceptionnelle. J’ai envie de vérifier ça tout de suite.
• Oui, je compare souvent Olga à la reine Cléopâtre, que l’on surnommait « bouche d’or », du fait de ses talents de fellatrice.
Luigi s’adresse à moi, exprimant ses désirs ou plutôt ses ordres, à voix haute, pour qu’autour on comprenne ce qui va se passer :
• Vai nel seminterrato, mia putana! Aspettami nel bagno degli uomini. Scegli la grande cabina a destra. Ti incontrerò. Mi succhierai il cazzo (“Vas au sous-sol, ma putain!. Attendez-moi dans les toilettes pour hommes. Choisissez la grande cabine à droite. Je te rencontrerai. Tu vas me sucer la bite”)
Je lui obéis immédiatement et me lève. Philippe n’a pas été consulté. Je sais qu’il ne s’opposera pas. Il dit toutefois à Luigi :
• C’est dommage, j’aurais aimé voir ça !
• Je comprends. A défaut de voir, tu pourras au moins entendre. Olga, prends ton téléphone quand tu seras dans la cabine tu appelleras Philippe et je commenterai ta prestation en temps réel.
Le fait que Luigi me suive immédiatement ne laissa pas de doute aux serveurs et convives qui s’intéressaient à notre étrange trio. L’un des serveurs s’adresse à Luigi :
• Vuoi scopare quella troia in bagno? (“Tu vas baiser cette salope aux toilettes?”)
• No, la scoperò stasera davanti a suo marito. Ora voglio solo dargli da mangiare le mie palle (“Non, je la niquerai ce soir devant son mari. Maintenant j'ai juste envie de lui faire bouffer mes couilles”).
***
Je pénètre dans les toilettes des hommes. Heureusement, je ne croise personne. Comme l’avait demandé Luigi, j’entre dans la cabine de droite. Il me semble que Luigi n’a pas choisi ce restaurant au hasard. Les toilettes sont à la fois propres et plutôt spacieuses. Par précaution, je verrouille, en attendant l’arrivée de mon mâle. Si j’avais eu à choisir, j’aurais préféré baiser, car mon envie est si forte, à la limite du supportable.
Je me suis déjà livrée à toutes sortes d’ébats dans des toilettes de restaurant, de cinéma, de trains. Et pourtant, j’ai rarement été aussi excitée. Certains lecteurs seront peut-être surpris, voir choqués par ma soumission. C’est tout simplement que, dans ces moments, j’en oublie mon féminisme et ne suis plus qu’une femelle, à la disposition du mâle. Mon téléphone est en mode haut-parleur pour que Philippe, à défaut de voir, puisse tout entendre.
La poignée de la porte s’abaisse. Luigi est agacé :
• Ouvre ! Je ne t’ai pas autorisé à fermer !
• J’avais peur de l’arrivée d’un autre. Je veux me réserver pour toi.
• Il est vrai que tu es tellement en chaleur que n’importe quel type pourrait te satisfaire.
Je tente d’embrasser Luigi. Il me repousse.
• Nous ne sommes pas là pour ça. Tu es ici pour me vider les couilles !
• C’est bien mon intention. Luigi, je t’en supplie, prends-moi, baise-moi, je ne peux plus attendre
• Je répète une dernière fois : c’est moi qui décide. Et pour le moment, c’est de ta bouche dont j’ai envie. A genoux ! Sors-la ! Dépêche-toi !
Je desserre sa ceinture, ouvre la fermeture éclair et sors sa queue. L’érection de Luigi est maximale. Je commence à le branler doucement. Nous échangeons un regard où j’exprime désir et soumission.
• Alors elle te plait ? Dis à Philippe comment tu la trouves !
• Oh Philippe, mon chéri. Il est monté comme un âne. Ma main ne suffit pas à faire le tour de sa tige. Ses couilles sont lourdes, pleines de semence pour me remplir.
• Tu n’es pas là pour me branler, petite garce ! Suce !
Je m’exécute, le prenant le plus au fond de ma bouche que je le peux, serrant mes lèvres autour de la tige, taquinant le gland avec ma langue. Je m’interromps brièvement pour gober les lourdes couilles. En connaisseuse, je sais qu’elles sont pleines de semence.
• Tu avais raison, Philippe. C’est vraiment une experte !
Luigi veut reprendre le contrôle. Il transforme la fellation en coït buccal, m’imposant une gorge profonde. Les larmes me coulent, je manque de m’étouffer mais parviens à réprimer les nausées. Luigi continue, ça dure de longues minutes car il réussit à repousser son éjaculation. Pour Philippe, Luigi commente ce qu’il ressent, me traite de salope, de chienne, de cochonne.
Un moment, on frappe à la porte, un homme qui voulait sans doute se servir de cette cabine de toilettes.
• Cosa sta succedendo qui? (“Qu’est ce qui se passe ici?”)
• È occupato! Sto ricevendo un pompino da una troia! (“C'est occupé! Je suis en train de me faire tailler une pipe par une salope!”)
• Capito: sono i francesi! Sfrutta al meglio! (“J'ai compris: c'est la Française! Profites-en bien!”)
Luigi prend ma tête entre les mains et m’impose un rythme d’enfer. Luigi continuait jusqu’au moment où il fallait que je puisse reprendre son souffle. Je mettais un point d’honneur à ne pas lâcher prise.
Je serre bien mes lèvres autour de la hampe. Ma bouche est un fourreau parfait pour cette magnifique queue.
• SÌ! Ancora! Succhiami il cazzo! È divino! (“Oui! Encore! Suce ma bite! C'est divin!”)
Luigi se rappelle qu’il avait promis à Philippe de tout dire de ses sensations.
• Pardon, Philippe, j’avais dit que je te dirai ce que je ressens et donc que je m’exprimerai en Français. Mais je sais que tu connais les talents d’Olga.
Philippe, le téléphone à l’oreille, ne perd rien de ce qu’il entend. Dans la salle à manger, il y a les serveurs et quelques clients, il ne peut évidemment pas mettre le haut-parleur et il ne peut se caresser, alors qu’il bande à mort. Il n’entend que mes bruits de bouche et les commentaires de Luigi. Mais, oui, il connait, car chaque matin je le réveille en le gratifiant d’une fellation.
• Tu m’as dit que tu la compares à la reine Cléopâtre. Moi, je trouve qu’elle dépasse la réputation des femmes de Bologne. Oh que c’est bon ! Jamais je n’ai été sucé comme ça !
Les femmes de Bologne sont en effet réputées être les meilleures fellatrices d’Italie. Tous ces compliments m’encouragent à me concentrer pour que mon amant rende les armes. Et vient le moment où la résistance de Luigi ne peut plus durer.
• Je vais venir. Je vais me vider dans ta bouche et tu vas tout avaler, jusqu’à la dernière goutte !
Il n’avait pas besoin de l’exiger, c’est ce que je voulais. J’adore la fellation et j’aime le sperme. Luigi a un râle de plaisir et m’envoie au fond de la gorge trois puissantes giclées, que j’avale avec gourmandise, gardant un moment en bouche la queue de mon amant, prenant soin de la nettoyer soigneusement.
Après ces moments si intenses, j’aurais aimé un peu de tendresse. Luigi, voulant éviter tout dérapage sentimental, se contente d’un compliment :
• È molto buono! Bravo, bocca d'oro! (“C'est très bien! Bravo, bouche d'or!), faisant allusion cette fois à la légendaire Cléopâtre.
Nous étions descendus séparément, nous sommes remontés ensemble, main dans la main, en nous embrassant, sous le regard médusé des quelques clients et du personnel, l’un des serveurs félicitant chaleureusement Luigi :
• Stasera non ti annoierai, amico! (“Tu ne vas pas t'ennuyer ce soir, l'ami!”)
• Dovrei sperarlo. Lei è eccezionale! (“J’y compte bien. Elle est exceptionnelle!”)
Certains pourront trouver que ce comportement est humiliant pour Philippe. C’est en fait, dans ces moments-là, convenus entre nous. Cela fait partie du jeu candauliste.
Quant à Luigi, il forçait à l’évidence le trait sur le personnage de macho, mais peu m’importait. J’aurais voulu remettre ça ou plutôt poursuivre en allant à l’hôtel pour me faire prendre. Luigi fut intraitable et s’en tint au programme : c’était « visites » cette après-midi. Je finissais par le trouver sadique, recherchant au plus profond de moi mes dernières réserves de patience, rêvant à ce qui m’attendait. Ce serait donc « les murs de Rome », en attendant la nuit de Rome. Encore un peu de patience !
(A suivre)
Ce texte fait suite à ceux parus sur HDS les 15 et 29 juin 2023. L’ensemble constitue la confession très progressive d’une brève relation intime à Rome, entre désir sexuel affirmé et sentiments à refouler. J’ai bien noté que l’audience du second chapitre, où j’ai fait part de mes états d’âme, avait eu une audience nettement moins importante que le premier. Je sais que nous sommes sur un site de récits érotiques, où beaucoup de lecteurs et lectrices sont à la recherche de scènes de sexe, « hard » si possible ». Ce chapitre devrait commencer à répondre à leurs attentes.
Je précise seulement que mes récits autobiographiques sont depuis le début un exercice de transparence, de « catharsis » comme on dit dans mon pays d’origine. C’est aussi pour moi une forme de thérapie que de livrer mes doutes, que de reconnaitre mes hésitations, mes faiblesses, mes erreurs. Un couple formé d’une hypersexuelle et d’un mari candauliste est par définition une combinaison difficile. Merci à ceux et celles qui le comprennent et aux autres pour leur indulgence.
***
Avec mon mari Philippe, nous nous sommes rendus, il y a quelques semaines à Rome. Philippe voulait me faire redécouvrir les sites qui étaient le cadre de mes écrits historiques et érotiques à l’époque de la Rome impériale, à savoir « Matrone et Domina », en cours de publication et « les Mémoires de Faustine », en cours d’écriture. Mais Philippe avait autre chose en tête : mettre à profit cette escapade pour renouer avec nos pratiques candaulistes, forcément limitées par les exigences de la vie quotidienne, notamment familiale. Il a donc soigneusement planifié les choses, en organisant la garde des enfants, en choisissant un hôtel de charme au cœur de la Ville éternelle et surtout en recherchant notre guide. Luigi, 28 ans, Docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome antique, nous avait concocté un programme intense de visites de sites et de musées.
Le choix de Philippe avait un autre fondement : mon mari cherchait un amant pour son épouse. Au cours de longs échanges, une complicité s’était créée entre les deux hommes. Philippe n’avait rien caché à Luigi de nos pratiques et de notre histoire. Une fois la confiance établie, Philippe avait échangé avec le jeune Italien des photos intimes de moi. Luigi, toujours célibataire, se montra intéressé, pas rebuté a priori par notre différence d’âge, près de 20 ans, et disposé à s’ajouter à la longue liste de mes amants.
Les deux hommes s’étaient mis d’accord, sans que je sois au courant, mais cela est une pratique habituelle dans notre couple. Philippe est l’organisateur de mes plaisirs. Son exigence est d’en être témoin et complice. Philippe pensait avoir tout prévu. La journée serait consacrée à la culture et l’histoire, les soirées au plaisir. Il restait à Luigi à être à la hauteur d’un programme aussi exigeant.
Ce que Philippe n’avait pas prévu, c’est ce qui se passa quand je fus mise en présence de Luigi. Non seulement celui-ci, avec sa fine barbe, ses yeux sombres, sa grande taille, ses muscles, sa virilité, était beau comme un Dieu, mais je fus très vite fascinée par sa conversation, sa culture, sa connaissance autour de notre passion commune pour la Rome Antique. Bref, j’eus le coup de foudre, ce qui ne m’était pas arrivée depuis que j’avais fait la funeste rencontre de N, sept ans auparavant. Je pensais être « immunisée ». Ce n’était pas le cas. Pire, Luigi était plus que troublé par moi. Il avait vu les photos et avait envie de moi. Mais lui aussi, il le reconnut, fut fasciné par nos échanges. Je n’ai ni son parcours, ni ses connaissances, mais l’histoire est ma passion et j’ai beaucoup travaillé celle de la Rome impériale pour mes écrits.
Alors que, avant ce voyage, nous ne nous connaissions pas, nous nous comportions comme un couple. Je veux être honnête : si Luigi l’avait demandé, je l’aurais suivi, prête à retomber dans mes errements du passé. Heureusement Luigi est un homme d’honneur. Malgré son attirance pour moi, il n’a pas voulu profiter de la situation. Nous étions tous les trois dans une impasse : Luigi et moi terriblement frustrés, car nous avions follement envie l’un de l’autre, Philippe, qui pensait renouer avec notre candaulisme, se rendait compte qu’il avait ouvert la boite de Pandore.
C’est Philippe qui fit en sorte de revenir au schéma initialement prévu. Ca ne devait être que du sexe et rien d’autre.
***
Ce matin-là, je fus prête la première. Je mis un chemisier échancré beige, sous lequel on devinait que je ne portais pas de soutien-gorge. Je choisis aussi une jupe pas trop serrée, mais assez sage, sous laquelle je portais un string. Et un chapeau de paille et une bonne paire de baskets pour une marche assez longue, sous le soleil raisonnable de cette journée de mai.
Philippe n’est pas très rapide pour se préparer. Impatiente, je décidais de ne pas l’attendre et de descendre aux salons de l’hôtel, où Luigi nous attendait pour que nous prenions ensemble le petit déjeuner.
Je suis restée un moment figée quand je l’ai vu. Luigi affichait son plus beau sourire. Nous échangeâmes un regard plein de promesses sur cette journée qui nous attendait. Nous savions que nous allions enfin nous aimer. Je sentis mon intimité s’humidifier et mes tétons en érection sous mon chemisier. Ma libido s’était immédiatement réveillée.
Il s’est levé et je me suis précipitée dans ses bras.
• Buongiorno Signora
• Grazie a te ea Philippe per avermelo concesso. Avrei voluto di più, ma sarebbe una follia (“Merci à toi et à Philippe de ce vous m'accordez. J'aurais voulu davantage, mais ce serait une folie”)
Le regard de Luigi était à la fois doux et empreint de fermeté. Philippe venait d’arriver et observait, silencieux. Luigi me répondit, en Français :
• Oui cela aurait été une folie. Et même si moi aussi j’aurais voulu davantage, contentons-nous de ce que la vie nous accorde pour ces quelques jours. Je suis un homme d’honneur et je refuse de mettre en péril votre couple. Philippe et toi, vous êtes faits l’un pour l’autre.
Il avait raison. Plus jeune, il était incontestablement le plus raisonnable.
• Sì, prendiamo quello che la vita ci dà. Nel frattempo, voglio un bacio! (“Oui, prenons ce que la vie nous offre. En attendant, je veux un baiser!”)
Je me suis serrée contre Luigi. Je sentais sa formidable érection, alors que lui avait posé ses mains sur mes fesses. Luigi prend possession de mes lèvres, nos langues se cherchent, pour un baiser prolongé, long et langoureux. Nous nous interrompons le temps de reprendre notre souffle. Le message de ce « French Kiss » est clair, plein de promesses. A ce moment précis, j’aurais envie de prendre Luigi par la main, de remonter avec lui à la chambre et de baiser. Comment tenir toute la journée ? Je mordille l’oreille de mon futur amant et implore :
• Ancora! Sono tua, voglio essere la tua femmina! (“Encore! Je suis à toi, je veux être ta femelle!”)
• Pazienza! Non ho mai desiderato così tanto una donna. Mi fai impazzire! (“Patience! Jamais je n'ai autant désirer une femme. Tu me rends fou!”)
Et nous recommençâmes notre baiser, encore plus fougueux. Nous sommes insatiables, ne nous souciant pas de l’endroit où nous sommes, au risque du scandale, même si la salle à manger est encore peu remplie pour le service du petit déjeuner, car il est encore tôt. Le personnel sait que c’est Philippe mon mari, pas Luigi. Un peu plus loin, j’entends un couple de touristes américains, des quinquagénaires venus de Floride, ne pas cacher leur indignation, eux qui avaient, dans une brève conversation avec nous, revendiqué leur trumpisme.
• It's a shame! This whore is really a slut!
• In addition, the husband watches the show and does not intervene.
• It's clear. This cuckold is vicious. He likes to see his wife showing off! ((“C’est clair. Ce cocu est un vicieux qui aie voir sa femme s’exhiber)
Philippe s’est installé et nous regarde. Il a entendu les Américains et se lève. Sans se départir de sa courtoisie habituelle, il réagit :
• Good morning Sir, good morning Madame. How does what we do concern you? Well yes, I love watching my wife get fucked by other guys. I do not get enough. She is even more beautiful when she cums. You should try. It would do you a lot of good, especially Madame! (« En quoi ce que nous faisons vous regarde-t-il? Et bien oui, J'adore voir ma femme se faire baiser par d'autres types. Je ne m'en lasse pas. Elle est encore plus belle quand elle jouit. Vous devriez essayer, ça vous ferait beaucoup de bien, surtout à Madame! »)
L’Américain est furieux. Luigi comprend que ça dégénère et interrompt, à mon grand regret, le baiser.
• Luigi, andiamo in camera da letto. Voglio! Adesso. (“Luigi, allons à la chambre. J'ai envie! Maintenant.”)
Le regard de Luigi se fit dur et il éleva le ton :
• Donna, devi obbedirmi! Sono io che decido quando e come e sarà fatto come concordato con Philippe. Non preoccuparti, ti fotterò come la stronza che sei! (“Femme, tu dois m'obéir! C'est moi qui décide quand et comment et ça se fera comme nous en sommes convenus avec Philippe. Ne t'inquiètes pas, je te niquerai comme la salope que tu es!”)
Ce fut la première fois que Luigi, qui jusque là avait été d’une courtoisie exquise, me parla avec ces termes et de cette façon. C’est au fond ce que j’attendais de lui, qu’il se comporte en mâle. Il me dira par la suite qu’il avait dû forcer sa nature, car il avait compris que c’était le moyen de cantonner notre relation dans une relation sexuelle, sans que cela n’ait de conséquences sentimentales.
***
Le buffet était très bien garni et nous prîmes un véritable brunch, nécessaire pour une journée qui serait intense à tout point de vue. Luigi nous présenta le programme de ce « circuit d’Auguste et Hadrien ».
Nous démarrons notre périple. Je donne une main à chacun de mes deux hommes, mon mari et mon futur amant. Luigi se montre très professionnel. Dans la journée, il est le guide et entend bien faire ce pourquoi il est payé, sans se laisser distraire par d’autres considérations, même si, régulièrement, il est contraint de me concéder un long baiser amoureux.
Notre itinéraire commence à partir de l’actuel château Saint-Ange, anciennement le mausolée d’Hadrien. Après avoir visité cet imposant bâtiment qui a subi diverses transformations au cours des siècles, nous entrons dans le Champ de Mars, où se trouve le mausolée d’Auguste. Ce dernier empereur a particulièrement marqué l’urbanisme du Champ de Mars avec des monuments pleins de signification symbolique et politique, liés aux étapes de son ascension extraordinaire, comme l’Ara Pacis et l’Horologium Augusti.
Non loin des monuments d’Auguste, nous admirons ensuite l’une des réalisations les plus célèbres d’Hadrien: le Panthéon, certes moins connu que celui édifié par Agrippa, gendre et ami d’Auguste. Impossible de ne pas visiter ce bâtiment surprenant et innovant lorsque l’on est en centre-ville. Non loin du Panthéon, se dresse le temple dédié à la mémoire de l’empereur Hadrien. Ses ruines colossales caractérisent la Piazza di Pietra. Pour conclure notre promenade, nous nous dirigeons vers la Via dei Fori Imperiali, en longeant le Forum d’Auguste puis en terminant près du Colisée devant les ruines du Temple de Vénus et Rome. Aujourd’hui, il en reste peu de choses : essentiellement l’abside côté Forum ainsi que quelques colonnes. La colonnade qui entourait l’édifice a presque entièrement disparu.
Luigi précise à mon intention :
• Le Temple de Vénus et de Rome fut sans doute un des temples les plus vastes de Rome (110 mètres sur 53). Nous sommes sur la Vélia, une des sept collines de Rome, qui a totalement disparu. Consacré à Vénus et à la déesse Rome, considérées comme les deux protectrices de la ville, le temple fut commencé en 121 par Hadrien et terminé par Antonin le Pieux. Hadrien en dessina lui-même les plans et en fit la dédicace en 135.
• J’imagine que l’empereur fit cette dédicace en présence de Faustina Maïor, son amante, comme un symbole de leur amour.
• J’ai trouvé audacieuse et intéressante ta thèse qui fait de l’épouse d’Antonin le Pieux la maîtresse d’Hadrien et de cette liaison le motif du choix d’Antonin pour lui succéder en 138.
• Pour permettre la construction de ce temple, Hadrien fit déplacer le Colosseum, statue de Néron haute de 35 mètres, par 24 éléphants. Il fut placé à côté du Colisée auquel il finit par donner son nom.
• Décidemment je n’ai rien à t’apprendre, Olga. Tu te serais bien entendue avec Hadrien ! Comme Faustina Maïor, tu aurais été sa Vénus !
• A défaut d’Hadrien, je veux bien être ta Vénus, Mio caro!
Luigi et moi remontons la Via dei Fori Imperiali, en direction du Colisée. Luigi me tient par l’épaule et nous nous arrêtons fréquemment pour nous embrasser. Philippe nous suit à courte distance, nous laissant nous comporter comme un couple. Je me sens bien, heureuse mais impatiente. Le string que j’ai mis ce matin est trempé, tellement je suis excitée.
Il est 14h00. Piazza del Colesseo, à cent mètres du Colisée, Luigi a réservé une table au « Gran Caffe », un Ristorante Pizzeria. Luigi annonce la couleur :
• Notre belle promenade de ce matin m’a donné faim. Nous allons bien manger, car ce soir, nous vivrons en quelque sorte d’amour et d’eau fraiche.
• Seulement ce soir. C’est encore long et je n’en peux plus d’attendre.
Luigi s’asseoit à côté de moi et sa main est posée sur ma cuisse. Il prend ma main et la met sur son pantalon, déformé par une belle érection. J’ouvre la fermeture éclair et découvre, avec gourmandise, que Luigi n’a pas de sous-vêtement. Je commence à le caresser et à le masturber.
• Vacci piano, piccola cagna! Non avere tanta fretta. (“Doucement, petite garce! Ne sois pas si pressée”.)
A son tour, Luigi se lance dans l’exploration de mon intimité. Il est stupéfait !
• C’est incroyable, Philippe. Cette adorable salope a trempé son string !
• Oui, elle mouille beaucoup quand elle est particulièrement excitée, comme aujourd’hui.
• Olga, retire ton string et donne le moi !
Je m’exécute immédiatement et je veux lui donner discrètement, cachée par la nappe.
• Non, pas comme ça, pas en dessous de la table. Je veux qu’on voie que tu as enlevé ton string et que tu me le donnes. C’est un symbole, qui confirme que tu t’offres à moi, en accord avec Philippe.
J’ai un peu honte, moi qui d’habitude ne me soucie guère de pudeur. Luigi reçoit mon string comme un trophée, prend le temps de le humer, avant de le mettre dans sa poche. Puis il annonce, en Italien et de façon à être entendu :
• Metterò il mio dito dentro di te! (“Je vais te doigter!”)
Ce qu’il commence à faire immédiatement. Je suis en train de me faire doigter dans une salle de restaurant. Certes, la longue nappe masque ce que Luigi me fait. Le problème est pour moi de parvenir à contrôler mon orgasme qui monte très rapidement, conséquence de la tension sexuelle de ces deux derniers jours. Comment vais-je parvenir à ne pas exprimer mon plaisir, moi qui suis habituellement très vocale dans l’expression de mon plaisir ? Mon visage exprime ce que je ressens. Je ferme les yeux, la sueur coule de mon front, mes traits sont déformés, exprimant un plaisir qui est aussi une souffrance, tellement il est fort. Je prends la main de Philippe, qui est face à moi et lui écrase les doigts à chaque fois que je jouis, alors que mes orgasmes s’enchainent crescendo. Luigi ne me ménage pas : c’est maintenant trois doigts que j’ai dans ma chatte.
Je gémis, parvenant je ne sais comment à me contenir tant bien que mal :
• La prochaine fois, dans un endroit plus pratique, je lui mets toute ma main jusqu’au poignet !
• Et tu arriveras sans problème, elle adore ça !
Les deux hommes sont sans pitié et veulent ma capitulation. Un moment, mes barrages cèdent, je ne peux plus me contenter de discrets gémissements. Je cris, je hurle mon plaisir, sans retenue :
• Sì, Luigi, avanti ancora! Masturbami. Metti le dita! Oh che buono! SÌ!!!!!! (“Oui,
Luigi, vas-y, encore! Branle-moi. Enfonce tes doigts! Oh que c'est bon! Oui!!!!!!”)
Telle fut ma première jouissance avec Luigi. Celui ressort ses doigts de ma chatte. Ils sont couverts de mouille. Il les approche de ma bouche, pour que je les nettoie soigneusement. Ensuite il m’embrasse longuement sur la bouche. Reprenant pied et surmontant ma honte de m’être ainsi exhibée, je me lève pour embrasser Philippe et lui dire « merci ». Il me répond que c’était beau et fort.
A cette heure relativement avancée pour le déjeuner, la salle n’est pas pleine. Mais nul ne peut ignorer ce que nous venons de faire. Le serveur est ironique au moment de prendre la commande :
• Bene signora, sembra che sia stato buono! (“Et bien Madame, il semble que c'était bon!”)
• Ne aveva bisogno! (“Elle en avait besoin”), répond avec un sourire Luigi.
Le déjeuner qui suit est copieux et succulent. J’ai dévoré un plat de « spaghetti alle vogonle » et j’ai apprécié le succulent Pinot Grigio du Frioul choisi par Luigi. L’alcool et le temps faisant son effet, ma libido, sans surprises, se réveillait.
• Si nous retournions à l’hôtel. Luigi, s’il te plait, j’ai envie que tu me baises. Dis-oui ! S’il te plait !
• Tu vois bien qu’elle n’en peut plus. Ne sois pas cruel. Et ne dis pas que tu n’en n’as pas envie, toi aussi.
• Je répète que nous devons nous en tenir à notre programme. Bien sûr que j’ai envie d’elle. Ne t’inquiète pas, tu verras ce soir, je vais la démonter, ta salope. Mais il est vrai que j’ai aussi besoin d’être soulagé. Lors de nos discussions, Philippe, tu m’as souvent dit qu’Olga est une pipeuse exceptionnelle. J’ai envie de vérifier ça tout de suite.
• Oui, je compare souvent Olga à la reine Cléopâtre, que l’on surnommait « bouche d’or », du fait de ses talents de fellatrice.
Luigi s’adresse à moi, exprimant ses désirs ou plutôt ses ordres, à voix haute, pour qu’autour on comprenne ce qui va se passer :
• Vai nel seminterrato, mia putana! Aspettami nel bagno degli uomini. Scegli la grande cabina a destra. Ti incontrerò. Mi succhierai il cazzo (“Vas au sous-sol, ma putain!. Attendez-moi dans les toilettes pour hommes. Choisissez la grande cabine à droite. Je te rencontrerai. Tu vas me sucer la bite”)
Je lui obéis immédiatement et me lève. Philippe n’a pas été consulté. Je sais qu’il ne s’opposera pas. Il dit toutefois à Luigi :
• C’est dommage, j’aurais aimé voir ça !
• Je comprends. A défaut de voir, tu pourras au moins entendre. Olga, prends ton téléphone quand tu seras dans la cabine tu appelleras Philippe et je commenterai ta prestation en temps réel.
Le fait que Luigi me suive immédiatement ne laissa pas de doute aux serveurs et convives qui s’intéressaient à notre étrange trio. L’un des serveurs s’adresse à Luigi :
• Vuoi scopare quella troia in bagno? (“Tu vas baiser cette salope aux toilettes?”)
• No, la scoperò stasera davanti a suo marito. Ora voglio solo dargli da mangiare le mie palle (“Non, je la niquerai ce soir devant son mari. Maintenant j'ai juste envie de lui faire bouffer mes couilles”).
***
Je pénètre dans les toilettes des hommes. Heureusement, je ne croise personne. Comme l’avait demandé Luigi, j’entre dans la cabine de droite. Il me semble que Luigi n’a pas choisi ce restaurant au hasard. Les toilettes sont à la fois propres et plutôt spacieuses. Par précaution, je verrouille, en attendant l’arrivée de mon mâle. Si j’avais eu à choisir, j’aurais préféré baiser, car mon envie est si forte, à la limite du supportable.
Je me suis déjà livrée à toutes sortes d’ébats dans des toilettes de restaurant, de cinéma, de trains. Et pourtant, j’ai rarement été aussi excitée. Certains lecteurs seront peut-être surpris, voir choqués par ma soumission. C’est tout simplement que, dans ces moments, j’en oublie mon féminisme et ne suis plus qu’une femelle, à la disposition du mâle. Mon téléphone est en mode haut-parleur pour que Philippe, à défaut de voir, puisse tout entendre.
La poignée de la porte s’abaisse. Luigi est agacé :
• Ouvre ! Je ne t’ai pas autorisé à fermer !
• J’avais peur de l’arrivée d’un autre. Je veux me réserver pour toi.
• Il est vrai que tu es tellement en chaleur que n’importe quel type pourrait te satisfaire.
Je tente d’embrasser Luigi. Il me repousse.
• Nous ne sommes pas là pour ça. Tu es ici pour me vider les couilles !
• C’est bien mon intention. Luigi, je t’en supplie, prends-moi, baise-moi, je ne peux plus attendre
• Je répète une dernière fois : c’est moi qui décide. Et pour le moment, c’est de ta bouche dont j’ai envie. A genoux ! Sors-la ! Dépêche-toi !
Je desserre sa ceinture, ouvre la fermeture éclair et sors sa queue. L’érection de Luigi est maximale. Je commence à le branler doucement. Nous échangeons un regard où j’exprime désir et soumission.
• Alors elle te plait ? Dis à Philippe comment tu la trouves !
• Oh Philippe, mon chéri. Il est monté comme un âne. Ma main ne suffit pas à faire le tour de sa tige. Ses couilles sont lourdes, pleines de semence pour me remplir.
• Tu n’es pas là pour me branler, petite garce ! Suce !
Je m’exécute, le prenant le plus au fond de ma bouche que je le peux, serrant mes lèvres autour de la tige, taquinant le gland avec ma langue. Je m’interromps brièvement pour gober les lourdes couilles. En connaisseuse, je sais qu’elles sont pleines de semence.
• Tu avais raison, Philippe. C’est vraiment une experte !
Luigi veut reprendre le contrôle. Il transforme la fellation en coït buccal, m’imposant une gorge profonde. Les larmes me coulent, je manque de m’étouffer mais parviens à réprimer les nausées. Luigi continue, ça dure de longues minutes car il réussit à repousser son éjaculation. Pour Philippe, Luigi commente ce qu’il ressent, me traite de salope, de chienne, de cochonne.
Un moment, on frappe à la porte, un homme qui voulait sans doute se servir de cette cabine de toilettes.
• Cosa sta succedendo qui? (“Qu’est ce qui se passe ici?”)
• È occupato! Sto ricevendo un pompino da una troia! (“C'est occupé! Je suis en train de me faire tailler une pipe par une salope!”)
• Capito: sono i francesi! Sfrutta al meglio! (“J'ai compris: c'est la Française! Profites-en bien!”)
Luigi prend ma tête entre les mains et m’impose un rythme d’enfer. Luigi continuait jusqu’au moment où il fallait que je puisse reprendre son souffle. Je mettais un point d’honneur à ne pas lâcher prise.
Je serre bien mes lèvres autour de la hampe. Ma bouche est un fourreau parfait pour cette magnifique queue.
• SÌ! Ancora! Succhiami il cazzo! È divino! (“Oui! Encore! Suce ma bite! C'est divin!”)
Luigi se rappelle qu’il avait promis à Philippe de tout dire de ses sensations.
• Pardon, Philippe, j’avais dit que je te dirai ce que je ressens et donc que je m’exprimerai en Français. Mais je sais que tu connais les talents d’Olga.
Philippe, le téléphone à l’oreille, ne perd rien de ce qu’il entend. Dans la salle à manger, il y a les serveurs et quelques clients, il ne peut évidemment pas mettre le haut-parleur et il ne peut se caresser, alors qu’il bande à mort. Il n’entend que mes bruits de bouche et les commentaires de Luigi. Mais, oui, il connait, car chaque matin je le réveille en le gratifiant d’une fellation.
• Tu m’as dit que tu la compares à la reine Cléopâtre. Moi, je trouve qu’elle dépasse la réputation des femmes de Bologne. Oh que c’est bon ! Jamais je n’ai été sucé comme ça !
Les femmes de Bologne sont en effet réputées être les meilleures fellatrices d’Italie. Tous ces compliments m’encouragent à me concentrer pour que mon amant rende les armes. Et vient le moment où la résistance de Luigi ne peut plus durer.
• Je vais venir. Je vais me vider dans ta bouche et tu vas tout avaler, jusqu’à la dernière goutte !
Il n’avait pas besoin de l’exiger, c’est ce que je voulais. J’adore la fellation et j’aime le sperme. Luigi a un râle de plaisir et m’envoie au fond de la gorge trois puissantes giclées, que j’avale avec gourmandise, gardant un moment en bouche la queue de mon amant, prenant soin de la nettoyer soigneusement.
Après ces moments si intenses, j’aurais aimé un peu de tendresse. Luigi, voulant éviter tout dérapage sentimental, se contente d’un compliment :
• È molto buono! Bravo, bocca d'oro! (“C'est très bien! Bravo, bouche d'or!), faisant allusion cette fois à la légendaire Cléopâtre.
Nous étions descendus séparément, nous sommes remontés ensemble, main dans la main, en nous embrassant, sous le regard médusé des quelques clients et du personnel, l’un des serveurs félicitant chaleureusement Luigi :
• Stasera non ti annoierai, amico! (“Tu ne vas pas t'ennuyer ce soir, l'ami!”)
• Dovrei sperarlo. Lei è eccezionale! (“J’y compte bien. Elle est exceptionnelle!”)
Certains pourront trouver que ce comportement est humiliant pour Philippe. C’est en fait, dans ces moments-là, convenus entre nous. Cela fait partie du jeu candauliste.
Quant à Luigi, il forçait à l’évidence le trait sur le personnage de macho, mais peu m’importait. J’aurais voulu remettre ça ou plutôt poursuivre en allant à l’hôtel pour me faire prendre. Luigi fut intraitable et s’en tint au programme : c’était « visites » cette après-midi. Je finissais par le trouver sadique, recherchant au plus profond de moi mes dernières réserves de patience, rêvant à ce qui m’attendait. Ce serait donc « les murs de Rome », en attendant la nuit de Rome. Encore un peu de patience !
(A suivre)
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42 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Lucie, oui c'était une formidable première étape. Et j'aime tant le sperme. J'attendais avec impatience qu'il me baise.
Luigi est un véritable male...doué pour dominer...
oser te doigter comme ça en plein restaurant à te faire couiner devant toute la salle...et ce passage par les toilettes...ta bouche était à lui...rien qu'à lui...pour un véritable facefuck...long...intense...sauvage...ces salves de foutre de ce nectar que tu aimes tant qu'il t'a donné...promesse que tu allais y avoir droit comme rarement avec lui...
Lucie
oser te doigter comme ça en plein restaurant à te faire couiner devant toute la salle...et ce passage par les toilettes...ta bouche était à lui...rien qu'à lui...pour un véritable facefuck...long...intense...sauvage...ces salves de foutre de ce nectar que tu aimes tant qu'il t'a donné...promesse que tu allais y avoir droit comme rarement avec lui...
Lucie
Le terme est assez bien choisi, Alfred. Oui j'étais impatiente!
Une sacrée mise en bouche, avant le grand moment!
Alfred
Alfred
Merci ma chère D, pour ce commentaire qui cherche à comprendre et non à condamner
L'amour dit-on est aveugle. C'est faux, il voit et écoute. Philippe le démontre. Heureuse Olga qui a trouvé la perle rare !
Quant à la scène maîtresse... che pompino ! Ce n'est pas ma tasse de thé, mais j'avoue avoir été fascinée.
D.
Quant à la scène maîtresse... che pompino ! Ce n'est pas ma tasse de thé, mais j'avoue avoir été fascinée.
D.
Merci Micky!
Je découvre ce texte avec retard (vacances obligent) et m'en délecte comme d'habitude. Sexe, Tourisme et multilinguisme (sous toutes ses formes...) Olga se surpasse...
Bientôt. Il y aura d'abord la mise n ligne du dernier chapitre de "Matrone et Domina" Ce sera dont le suivant
Bientôt la suite?
Merci cher lecteur anonyme!
Déjà beaucoup d’avis publiés résumant ce texte.
Le mien pour dire simplement qu’Olga sait nous faire partager sa culture, sa passion pour la Rome antique et sa sensualité dans des récits mêlants avec dextérité ces critères.
Un plaisir à lire.
Un (fidele) lecteur anonyme
Le mien pour dire simplement qu’Olga sait nous faire partager sa culture, sa passion pour la Rome antique et sa sensualité dans des récits mêlants avec dextérité ces critères.
Un plaisir à lire.
Un (fidele) lecteur anonyme
Un grand merci Didier. Comme j'ai déjà eu l'occasion de le dire c'est un immense plaisir que d'avoir des lecteurs de qualité comme toi!
Olga,
Etant comme Julie plus un habitué de tes chroniques historiques, de tes présentations poétiques et cinématographiques, et enfin de ton récit fictif sur Tullia, la sulfureuse matrone romaine, je tiens à souligner, et n’en déplaise à certain, que ces états d'âme évoqués au chapitre 2 étaient essentiels eux aussi pour une meilleure compréhension de l'évolution dans ton attitude, mais aussi celle de Luigi qui de parfait gentleman devient un pur macho.
Il est vrai, que je préfère les aspects psychologiques dans les récits qui en sont plus intéressants à lire.
Et comme tes allusions historiques, elles donnent une valeur ajoutée à cette série de textes autobiographiques sur tes vacances romaines.
De toute manière, et sauf avoir mal lu, dès tes premiers chapitres autobiographiques tu nous confiais déjà tes états âme.
Et depuis tu n'as jamais cessé de le faire...
Didier
Etant comme Julie plus un habitué de tes chroniques historiques, de tes présentations poétiques et cinématographiques, et enfin de ton récit fictif sur Tullia, la sulfureuse matrone romaine, je tiens à souligner, et n’en déplaise à certain, que ces états d'âme évoqués au chapitre 2 étaient essentiels eux aussi pour une meilleure compréhension de l'évolution dans ton attitude, mais aussi celle de Luigi qui de parfait gentleman devient un pur macho.
Il est vrai, que je préfère les aspects psychologiques dans les récits qui en sont plus intéressants à lire.
Et comme tes allusions historiques, elles donnent une valeur ajoutée à cette série de textes autobiographiques sur tes vacances romaines.
De toute manière, et sauf avoir mal lu, dès tes premiers chapitres autobiographiques tu nous confiais déjà tes états âme.
Et depuis tu n'as jamais cessé de le faire...
Didier
@ Clara, j'ai bien compris que tu ne partageais pas les diatribes de Sofiane. Je maintiens cependant que ce n'est pas si simple, qu'il faut des règles et des limites
Que les choses soient claires, je n'ai rien contre Philippe. Simplement il dit assumer son candaulisme et te laisser totalement libre
Clara
Clara
@ Sofiane, je t'ai déjà dit que tes sarcasmes et tes invectives ne m'intéressent pas
@ Julie, merci pour ces rappels
@ Julie, merci pour ces rappels
Il est exact que la reine Cléopâtre était réputée être une grande experte de la fellation. C'est pourquoi on lui donnait le surnom de « bouche d'or », mais aussi de Cléopâtre « chellon », à savoir « grosses lèvres », elle qui aurait exercé son talent de pipeuse sur une centaine de gardes.
J'en profite pour dire, comme Didier, que j'ai apprécié, que, même dans un texte autobiographique, censé être plus centré sur le sexe, Olga réussit à nous faire partager sa passion pour l'histoire. Je le répète, ce sont ces passages, ses textes historiques ou mythologiques, ses fictions érotico-historiques que je préfère.
Julie
J'en profite pour dire, comme Didier, que j'ai apprécié, que, même dans un texte autobiographique, censé être plus centré sur le sexe, Olga réussit à nous faire partager sa passion pour l'histoire. Je le répète, ce sont ces passages, ses textes historiques ou mythologiques, ses fictions érotico-historiques que je préfère.
Julie
@ Clara, ne t'inquiète pas, Olga n'a pas l'habitude de se gêner, ni de se priver. Il suffit de relire ses textes et de se rappeler comment elle s'est comportée avec Rachid, Hassan ou N.
Et je suis hilare quand je lis qu'elle aime son cocu!
Sofiane
Et je suis hilare quand je lis qu'elle aime son cocu!
Sofiane
@ Clara, ce n'est pas si facile! Tu oublies une chose essentielle: j'aime Philippe!
Très sincèrement, le jeu de Philippe, depuis toujours, est risqué. Alors qu'il en assume les conséquences! Pourquoi te priver, Olga? Il est d'accord d'être cocu, alors ne te gêne pas!
Clara
Clara
@ Norbert, j'en suis bien consciente et c'est pourquoi nous devrons être (et nous serons) encore plus prudents sur le choix de nos partenaires.
Plus de trente ans d'hypersexualité et tu ne changes pas! Philippe est-il conscient que tu es susceptible de basculer à tous moments, comme tu le fis avec N et ce malgré tes belles promesses de respecter vos "règles"? Vous avez eu de la chance de tomber sur un type comme Luigi, qui n'a pas cherché à abuser de la situation
Norbert
Norbert
Oups, j'ai écrit " listes" je voulais dire limites :-)
@ Maurice, Comme Luigi, j'étais consciente des listes à ne pas franchir. Mais pour être honnete, l'attirance mutuelle n'avait pas disparu comme par enchantement
@ Olga, sois franche. Philippe et Luigi s'étaient mis d'accord pour que ça reste sur un strict plan sexuel. Mais à la façon dont vous vous comportiez, notamment ces baisers prolongés et fougueux, il y avait toujours davantage, non?
Maurice
Maurice
@ Luc, merci à toi, sans doute mon plus ancien lecteur!
@ Michelle, oui très dur, d'ailleurs comme expliqué dans le texte j'ai craqué, je ne pouvais plus me contenir. J'ai pourtant essayé. Philippe a pu mesuré ma jouissance car je lui ai presque écrasé les doigts. La sueur coulait de mon visage, mes traits étaient déformés, mes paupières fermées. Au point qu'un serveur m'a demandé: "Va bene signora?". C'est Luigi qui a répondu: "La farò urlare di piacere!" (je vais la faire gueuler de plaisir". J'avais honte, mais que c'était bon!
@ Michelle, oui très dur, d'ailleurs comme expliqué dans le texte j'ai craqué, je ne pouvais plus me contenir. J'ai pourtant essayé. Philippe a pu mesuré ma jouissance car je lui ai presque écrasé les doigts. La sueur coulait de mon visage, mes traits étaient déformés, mes paupières fermées. Au point qu'un serveur m'a demandé: "Va bene signora?". C'est Luigi qui a répondu: "La farò urlare di piacere!" (je vais la faire gueuler de plaisir". J'avais honte, mais que c'était bon!
J'ai adoré la séance de doigtage. Ca a du être très dur de ne pas crier ta jouissance, non?
Michelle
Michelle
@ Julie, merci pour cet aveu à contre-courant!
@ Henri, c'est une pratique que j'adore! Depuis que nous sommes ensemble, chaque matin au réveil, je gratifie Philippe d'une fellation intégrale
@ Adèle, d'une certaine façon oui. Il voulait surtout faire encore monter mon désir, l'exacerber
@ Henri, c'est une pratique que j'adore! Depuis que nous sommes ensemble, chaque matin au réveil, je gratifie Philippe d'une fellation intégrale
@ Adèle, d'une certaine façon oui. Il voulait surtout faire encore monter mon désir, l'exacerber
@ Julie, pour ma part, comme je suis les récits d'Olga depuis le temps de son ancien blog, j'apprécie tous ses textes. Elle sait si bien nous faire partager ses plaisirs!
Luc
Luc
Ce Luigi est cruel de t'avoir fait attendre toute une journée!
Adèle
Adèle
Un très beau (et très excitant) récit de fellation. Tu mérites incontestablement la comparaison avec Céopâtre et les femmes de Bologne!
Henri
Henri
A contre-courant de beaucoup, j'avoue préférer tes textes historiques ou tes séries comme "Matrone et Domina". Mais j'avoue que tes textes autobiographiques sont aussi excitants que bien écrits!
Julie
Julie
Merci Steph et JP!
Patience cher lecteur anonyme!
Patience cher lecteur anonyme!
Je suis impatient de lire le moment où vous vous êtes envoyés en l'air!
Magnifique! Nous attendons la suite avec impatience!
Steph et JP, couple candauliste pour qui Philippe et toi furent un exemple, qui nous incita à passer aux actes
Steph et JP, couple candauliste pour qui Philippe et toi furent un exemple, qui nous incita à passer aux actes
@ Daniel, cela fait partie de nos pratiques, de nos jeux candaulistes habituelles et cela ne met pas en cause mon amour et mon respect pour l'homme de ma vie
@ Sofiane, sans commentaires car venant de toi
@ Sofiane, sans commentaires car venant de toi
Tu es toujours aussi salope, come l'avait compris Rachid et N.
Sofiane
Sofiane
Ce qui me déplait fortement ce sont les humiliations envers Philippe
Daniel
Daniel
@ Paul, j'avais dit que chaque chose viendrait en son temps, comme le rappelle très justement Didier
@ Didier, la suite va conforter ton analyse, très pertinente
@ Didier, la suite va conforter ton analyse, très pertinente
La demande de nombreux lecteurs a été entendue. Après un chapitre 2 qui s'est attardé sur les états d'âme des protagonistes, on passe à du concret!
Merci
Paul
Merci
Paul
Olga,
En préambule à mon commentaire je tiens à souligner et à te féliciter pour la qualité des présentations des différents monuments visités et de l’échange sur Hadrien.
Revenons cependant à l’essentiel, ce nouveau chapitre sur ton escapade romaine.
C’est une très belle suite, une belle mise en bouche, torride en soi et annonciatrice d’une soirée hardissime.
Tout malentendu étant désormais dissipé, la seconde journée s’annonce donc sous de bons augures.
Initialement modéré et réaliste, Luigi au regard de ton empressement, et pour se protéger, vous protéger, de tout sentiment se transforme rapidement en un parfait macho, en un mâle dominateur, auprès duquel tu te sens femelle et soumise.
A la mi-journée pour tempérer ton insatiable envie d’être baisée, Luigi en parfait dominateur profite de la pause déjeuner dans un restaurant pour te doigter et se faire sucer…
Tu aimerais bien retourner à l’hôtel pour aller plus loin, mais Luigi ne l’entend pas du tout de cette oreille.
Ne dit-on pas : tout vient à point à qui sait attendre…
Didier
En préambule à mon commentaire je tiens à souligner et à te féliciter pour la qualité des présentations des différents monuments visités et de l’échange sur Hadrien.
Revenons cependant à l’essentiel, ce nouveau chapitre sur ton escapade romaine.
C’est une très belle suite, une belle mise en bouche, torride en soi et annonciatrice d’une soirée hardissime.
Tout malentendu étant désormais dissipé, la seconde journée s’annonce donc sous de bons augures.
Initialement modéré et réaliste, Luigi au regard de ton empressement, et pour se protéger, vous protéger, de tout sentiment se transforme rapidement en un parfait macho, en un mâle dominateur, auprès duquel tu te sens femelle et soumise.
A la mi-journée pour tempérer ton insatiable envie d’être baisée, Luigi en parfait dominateur profite de la pause déjeuner dans un restaurant pour te doigter et se faire sucer…
Tu aimerais bien retourner à l’hôtel pour aller plus loin, mais Luigi ne l’entend pas du tout de cette oreille.
Ne dit-on pas : tout vient à point à qui sait attendre…
Didier