Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (9).
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2023 dans la catégorie Plus on est
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Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (9).
AVERTISSEMENT
Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin, 16 et 30 juillet, le 18 août, 7 et 19 septembre et le 12 novembre 2023.
Il sera suivi d’un dernier texte, en guise d’épilogue.
RESUME
En ce mois de mai 2023, Philippe et moi nous sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine ».
Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide. Luigi est docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes, que nous ne pouvons guère assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.
Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le séjour se passe dans une très forte tension érotique et sentimentale, avec des moments particulièrement torrides, dans une totale complicité entre mon mari candauliste et mon amant. Prétextant le voyage prévu le lendemain pour visiter les ruines romaines d’Ostie, sous les traces de l’impératrice Faustine, Luigi n’a pas passé la nuit avec nous. La fin prévue de notre séjour approche, alors que je ne veux renoncer ni à mon chéri, ni à mon beau guide dont je suis tombée amoureuse.
La journée écoulée a été riche sur le plan culturel et historique mais très frustrante pour moi. Luigi se montrant très distant, faisant passer son travail avant mon plaisir. Il me rabrouait quand je devenais trop insistante. A la fin de la journée, j’attends avec impatience une nuit d’amour avec mon étalon italien. En fait, Luigi et Philippe ont préparé un autre scénario, une soirée spéciale dans une villa conçue comme une domus romaine.
Afin d’y participer, Luigi fait en sorte que je me présente comme mon héroïne, l’impératrice Faustine, lorsque celle-ci allait à Ostie pour ses débauches. Non seulement je porte une robe qui cache peu de choses de mon corps, mais Luigi a chargé Sophia, une plantureuse esthéticienne, spécialiste de l’exercice, de me préparer, en me maquillant à outrance et en me coiffant comme Faustine.
Nous arrivons enfin dans la somptueuse propriété d’un ami de Luigi, située dans la grande banlieue de Rome.
***
Mes sentiments, à ce moment-là, étaient mitigés. J’étais partagée entre excitation, déception et colère. Mon excitation devenait hors de contrôle, comme je le sentais à mes tétons en érection et à ma chatte trempée et béante. Après une journée frustrante, où Luigi n’avait cessé de me repousser, je ne pouvais plus tenir plus longtemps. J’avais une envie irrépressible de baiser. J’aurais tant aimé que la nuit soit à Luigi et moi, en la seule présence de Philippe, lui devant bien ça. Je me doutais désormais qu’à cette fameuse soirée, nous ne serions pas seuls et je ne cessai de me demander ce que Luigi, avec la complicité de Philippe, m’avait réservé.
Il y avait aussi de la colère, parce qu’on m’imposait la présence de cette esthéticienne, qui m’était insupportable parce qu’elle ne cachait pas ses visées sur mon homme, ce qui a toujours été un « casus belli » à mes yeux. Certaines femmes qui s’étaient aventurées sur ce chemin doivent s’en souvenir, comme Flavienne, l’ex de Philippe que j’aurais sans doute étranglé sans l’intervention de Philippe, car elle prétendait le reconquérir (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple », publié le 28 septembre 2017). Je pense aussi à cette petite garce d’Ambre, dont nous avions rencontré le couple libertin dans un camping, à l’été 2014. Elle s’était entichée de mon mari, entamant une liaison clandestine. Quand j’ai découvert ce qui se passait, j’’ai fait une scène d’une violence inouïe à Philippe, l’obligeant à rompre en direct avec sa maîtresse (lire « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping », publié sur HDS le 5 juillet 2018). Je comprenais que Luigi avait mis cette Sophia sur la route de Philippe, cela me rendait folle et je comptais bien demander des explications à mon amant.
Dès que le chauffeur a arrêté le véhicule dans le parc de la superbe Villa où nous devions passer la soirée, je me suis précipitée vers l’entrée, certaine que nous serions accueillis par Luigi. Notre guide attendait en effet à l’entrée de la maison. Mon Dieu, qu’il était beau, avec son costume noir Armani, sa chemise blanche ouverte sur sa poitrine virile et musclée. Tout en affichant une barbe de trois jours soigneusement entretenue.
Je courus vers lui, me précipitant dans ses bras. Il me serra contre lui, ses mains caressant mes fesses et mon dos nu. Luigi bandait comme jamais. J’avais envie qu’il m’embrasse, mais il détourna la tête, me disant avec douceur :
• Sii paziente, Faustina. Non voglio distruggere il tuo trucco e il fantastico lavoro di Sophia. (“Sois patiente, Faustine. Je ne veux pas détruire ton maquillage et le fantastique travail de Sophia.”)
Ce fut un premier choc. Luigi et Philippe n’avaient pas choisi cette tenue et fait appel à Sophia pour me maquiller et me coiffer par hasard. Ce soir, je n’étais plus Olga, j’étais Faustine, l’épouse adultère de Marc Aurèle.
• Paziente? Non posso farlo, Luigi. Non voglio più stare lontano da te. Voglio vivere con te. Ti amo Luigi. Sono tuo. Voglio i tuoi baci, le tue carezze. Voglio che tu faccia l'amore con me, a lungo, per farmi urlare di piacere, per rendermi felice! Non posso aspettare. Adesso! (“Patiente? Je ne le peux pas, Luigi. Je ne veux plus être loin de toi. Je veux vivre avec toi. Je t'aime Luigi. Je suis à toi. J'ai envie de tes baisers, de tes caresses. Je veux que tu me fasses l'amour, longuement, que tu me fasses crier de plaisir, que tu me rendes heureuse! Je ne peux pas attendre. Maintenant!”)
• Lo decideremo quando sarà il momento, non stasera e con Philippe. Poiché affermi di essere mio, allora mi obbedirai. Philippe ti ha messo a mia completa disposizione questa sera. Questa notte è dedicata al tuo piacere. (“Nous déciderons de cela le moment venu, pas ce soir et avec Philippe. Puisque tu prétends être à moi, alors tu vas m'obéir. Philippe t'a mise ce soir à mon entière disposition. Cette nuit est consacrée à ton plaisir.”)
• Sono tuo. Sono tua moglie. Farò quello che vuoi. Stasera e per quanto vorrai, ti comporterai come un marito candaulista. (“Je suis à toi. Je suis ta femme. Je ferai tout ce que tu veux. Ce soir et autant que tu le voudras, tu te comporteras comme un mari candauliste.”)
***
L’homme qui se tenait à quelques pas de Luigi prit alors la parole. Il devait avoir la soixantaine, affichant une grande distinction et une apparence athlétique. La façon dont il me dévisageait indiquait que j’avais affaire à un fauve, dont les intentions à mon égard étaient sans ambigüités.
• Buonasera. Questa è un'ottima risoluzione! Benvenuti nella mia Domus. Siamo qui per il tuo piacere, Augusta! (“Bonsoir. Voilà une excellente résolution! Soyez les bienvenus dans ma Domus. Nous sommes ici pour ton plaisir, Augusta!”)
Luigi fit les présentations, en Français.
• Philippe, Olga, je vous présente le Comte Vittorio, notre hôte, un ami de longue date de ma famille. Il appartient à la plus ancienne noblesse romaine. Je ne sais si ses ancêtres siègèrent au Sénat de Rome et eurent l’occasion d’honorer l’impératrice Faustine, mais il y eut dans sa famille des cardinaux. Ses ancêtres rivalisèrent avec les Orsini, les Colonna, les Caetani, les Barberini, les Farnese. A ma demande et en accord avec Philippe, Vittorio a organisé cette soirée pour Olga, ou plutôt pour Faustine.
Vittorio me fit un baisemain et garda ma main dans la sienne. Son regard était dominateur et exprimait son désir, autant que l’érection qui déformait le pantalon de son élégant costume.
• Congratulazioni Sophia per come hai preparato il nostro ospite per questa orgia romana. Peccato che non hai avuto il tempo di trasformare Philippe in Marco Aurelio, venuto a vedere le buffonate di sua moglie. (“Félicitations Sophia pour la façon dont tu as préparé notre invitée pour cette orgie romaine. Dommage que tu n'aies pas eu le temps de transformer Philippe en Marc Aurele, venu assister aux ébats de son épouse.”)
La plantureuse esthéticienne tenait Philippe par la main, ne prêtant aucune attention aux regards furieux que je lui adresse :
• Grazie, signor Conte, per i suoi complimenti. Sei stato molto generoso. E Luigi mi ha promesso una ricompensa. Sa che amo i francesi. E questo mi piace particolarmente! (“Merci, Monsieur le Comte, pour vos compliments. Vous avez été très généreux. Et Luigi m'a promis une récompense. Il sait que j'adore les Français. Et celui-ci me plait particulièrement!”)
• Philippe è mio e soltanto mio. Capisci, stronza? (“Philippe est à moi et seulement à moi. Tu as compris, salope?”)
Luigi intervint immédiatement, sa voix exprimant une réelle colère.
• Ti ripeto per l'ultima volta che mi obbedirai, donna! Farai quello che decido. Anche Philippe ha diritto di divertirsi e so che il petto voluttuoso di Sophia lo rende duro come un asino! Hai capito? (“Je te répète pour la dernière fois que tu m'obéiras, femme! Tu feras ce que j'ai décidé. Philippe a droit de s'amuser, lui aussi, et je sais que la voluptueuse poitrine de Sophia le fait bander comme un âne! Tu as compris?”)
• Farò qualunque cosa tu decida. Per stasera e altro ancora. È quello che voglio. (“Je ferai tout ce que as décidé. Je suis à toi, Luigi. Pour ce soir et davantage. C'est ce que je veux.”)
Je venais, en un instant, de capituler totalement, de tout accorder à Luigi. Sophia le comprit, échangeant avec Philippe un long et fougueux baiser sur les lèvres.
Vittorio me prit dans ses bras et, à mon tour, je lui offris mes lèvres. Luigi s’approcha derrière moi et je me retrouvais entre notre hôte et mon amant, les mains des deux hommes parcourant mon corps, me faisant sentir leur érection. S’ils l’avaient voulu, j’aurais aimé baiser immédiatement, mes tétons en érection et ma chatte béante et trempée exprimant mon excitation extrême.
• Grazie a Luigi, so tutto di te e della vostra relazione. Vedo che sei tanto bella quanto calda e quindi non mi ha mentito. Sii paziente, mia cara, abbiamo tutta la notte. (“Grâce à Luigi, je sais tout de votre couple et de toi. Je constate que tu es aussi belle que chaude et donc qu'il ne m'a pas menti. Sois patiente, ma belle, nous avons toute la nuit.”)
• Non ti ho mai incontrato, Conte Vittorio. Eppure mi sembra di averti già visto. (“Je ne vous ai jamais rencontré, Comte Vittorio. Pourtant j'ai l'impression de vous avoir déjà vu.”)
Vittorio sourit, repassant au Français, qu’il parlait sans le moindre accent.
• Vous pensez sans doute à Vittorio Gassmann, un des monstres sacrés du cinéma italien. Je ne porte pas ce prénom par hasard et notre ressemblance n’est sans doute pas fortuite. Ma mère fut une admiratrice de l’acteur et sans doute bien davantage, même si ce fut une passade dans la vie sentimentale agitée de Gassmann. A cette époque, on ne divorçait pas en Italie et mon père étouffa le scandale. Cela est resté un secret bien enfoui. Après tout, Vittorio fut un prénom souvent porté dans notre famille. Avec l’âge, on dit que je ressemble de plus en plus à l’acteur, mais je n’ai jamais voulu savoir, afin de préserver l’honneur de ma famille.
Passionnée de cinéma, je me remémorai le parcours de l’acteur italien, décédé en l’an 2000. Il eut six compagnes, en épousant trois. Sa vie privée lui valut bien des critiques : sa liberté débridée en matière d'amours, de mariages et de concubinages fit scandale dans les années 1950 et 1960.
• Avant de vous présenter nos autres invités, je vais vous faire découvrir ma Villa, ou plutôt ma Domus, car j’ai voulu que cette maison ressemble autant que possible à une riche maison de patriciens sous l’empire romain.
Et c’était en effet le cas. Vittorio avait soigneusement fait reproduire une Domus romaine, avec un grand atrium, vaste pièce couverte, avec un toit ouvert au centre et un bassin. De chaque côté sont distribuées des pièces de réception, un salon, une salle à manger ainsi que des cuisines et des chambres à coucher. Au fond de la Domus se trouve un petit jardin, entouré d'une colonnade. À l'étage il y a des chambres. Les murs de l’atrium sont revêtus de marbre jusqu’à hauteur d’appui et décorés de fresques.
J’étais fascinée. Vittorio avait recréé le décor que j’avais imaginé pour mes personnages, qu’elles soient fictives, comme la patricienne Tullia, ou ayant existé, comme l’impératrice Faustine. Je comprenais maintenant pourquoi Luigi et Vittorio avaient tant insisté pour me transformer en Faustine. Je me sentais transportée plus de 1.800 ans en arrière, incarnant ces femmes dont j’avais imaginé les frasques.
• Les conditions climatiques nous permettent ce soir de rester dans l’atrium, qui sera le lieu du banquet que j’ai organisé en votre honneur, Olga, ou plutôt pour honorer la belle impératrice Faustine.
Il ajouta, en latin cette fois :
• Salve, Augusta, domo mea, pro hac cena ! (« Bienvenue, Augusta, dans ma maison, pour cette cena »)
S’inspirant du Satyricon de Pétrone, Vittorio avait fait les choses en grand, reproduisant le décor d’un banquet romain, ayant fait disposer des « lecti triclinares », ces lits de tables, où s’installaient les convives, à proximité de la grande table où se trouvaient les mets.
• Compte tenu de ce que Luigi m’a dit de ta sensualité, je comptais inviter de nombreux participants à cette soirée, où tu seras la seule femme à honorer, puisque notre amie Sophia veut se réserver ton époux. Mais Luigi m’a convaincu que tu te contenterais, outre de lui et moi, de deux autres invités seulement, choisis par Luigi.
La soirée ne serait donc pas un gang bang, mais j’aurais l’occasion d’être honorée par quatre mâles, toute une nuit. Après les derniers jours avec Luigi, il y avait de quoi oublier les longs mois de retenue que nous nous imposions, Philippe et moi, pour respecter nos obligations familiales et professionnelles.
Vittorio fit signe à l’un de ses serviteurs, qui introduisit le premier invité.
Ce fut une demi-surprise pour moi quand je vis entrer Alessandro, le responsable de la luxueuse boutique Versace de la Via di S. Sebastianello, chez qui nous avions acheté, deux jours auparavant, une robe aussi indécente pour son apparence que pour son prix (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (7) », paru le 19 septembre 2023)
Alessandro s’inclina respectueusement.
• Lei è superba, cara signora. Una vera imperatrice romana! È un onore essere invitato a questa serata davvero speciale a casa del Conte. Ringrazio il mio amico Luigi, che mi ha promesso, d'accordo con tuo marito, che avrei avuto il piacere di scoparti. (“Vous êtes superbe, chère Madame. Une vraie impératrice romaine. C'est un honneur que d'être invité à cette soirée très spéciale, chez le Comte. Je remercie mon ami Luigi, qui m'avait promis, avec l'accord de votre mari, que j'aurai le plaisir de vous baiser.”)
Voilà qui était clair et qui confirmait que Luigi avait organisé cette soirée de longue date, disposant librement de moi, avec la complicité de Philippe.
C’est alors que mon mari intervint :
• Et maintenant Luigi et moi avons une grande surprise pour toi !
Sur un signe de Vittorio, le serviteur fit entrer le dernier invité de la soirée. Je le reconnus immédiatement, car même si ses cheveux avaient blanchi, ses traits n’avaient pas changé. C’était Gianni, l’ami italien de mes parents, l’homme qui, trente ans plus tôt, m’avait déflorée et révélé mon hypersexualité (voir « Olga l'hypersexuelle et Philippe le candauliste. Comment j'ai découvert mon hypersexualité », mon premier texte publié sur HDS, le 29 novembre 2016).
Nous nous sommes longuement observés. J’étais émue, car c’est avec Gianni que tout avait commencé. Avant de me diriger vers lui, je me suis jetée dans les bras de Philippe, l’embrassant sur les lèvres, ébahie par cette surprise que je n’attendais pas, car je n’avais pas revu Gianni depuis cette époque, cet été de découvertes et le bref séjour passé avec lui et son épouse Maria, laquelle m’avait initiée au saphisme.
• Oh mon Philippe, tu es incroyable. Je t’adore ! Comment as-tu fait pour retrouver Gianni ? Nous nous étions perdus de vue, malgré les courriers que j’avais envoyés dans les premiers temps.
• Gianni va t’expliquer.
Gianni me serra longuement dans ses bras, se montrant très tendre, séchant mes larmes car je me remémorais dans quelles circonstances j’avais été amenée à faire de Gianni mon initiateur.
• Tu es toujours aussi belle. Tu es une merveille ! Je suis si heureux de te tenir dans mes bras.
• Par quel miracle es-tu ici ? J’ai cherché à vous retrouver, sans jamais y parvenir.
• C’est très simple. Quand il a su ce qui s’était passé, ton père a rompu avec nous et il m’a demandé, sur l’honneur, je dirai même exigé, que nous cessions tout contact avec toi. J’ai voulu tenir cet engagement envers celui qui fut mon plus proche ami. Mais nous sommes restés en contact avec ta mère, qui, au final, fut soulagée par ce qui s’était passé, elle qui craignait tant que tu n’ailles au bout de ton complexe d’Electre. Nous avonseu de tes nouvelles par ta mère et je sais combien elle a été si heureuse quand vous vous êtes expliquées et réconciliées, elle et toi, après ta rupture avec ce sale type que tu avais rejoint à Athènes, ce « N » (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (3) », paru le 7 janvier 2020). C’est grâce à ta mère et à Philippe que je suis là ce soir.
Philippe confirma :
• C’est en effet bien par ta mère que j’ai retrouvé les coordonnées de Gianni et de Maria. De plus, elle a accepté que tu puisses revoir Gianni, qui m’a-t-elle dit, « ne t’a fait aucun mal, bien au contraire ». Nous en avons parlé avec Luigi et nous sommes convenus que ce voyage à Rome était l’occasion de ces retrouvailles.
• Je suis heureuse de te revoir, Gianni. Mais pourquoi Maria n’est-elle pas avec toi ?
• Pour des raisons familiales. Maria est allée garder notre petit-fils, notre fille Anna devant accoucher d’un second enfant. Elle t’embrasse tendrement et m’a dit qu’elle aussi aimerait te revoir.
• C’est promis ! C’est grâce à elle que j’ai découvert ma bisexualité.
***
Nous étions donc six convives à ce banquet romain : moi, Vittorio, Luigi, Alessandro, Gianni et, un peu à l’écart, Philippe et Sophia. Malgré les consignes de Luigi, je ne pouvais m’empêcher d’être jalouse de l’esthéticienne, n’ayant jamais accepté qu’une autre femme n’approche de MON Philippe.
Vittorio veilla scrupuleusement à ce que les choses se déroulent comme cela ce serait passé dans la Rome Antique, où l’on commençait par les agapes, l’orgie n’arrivant qu’ensuite.
Il y eut trois services successifs :
• Le premier, le gustatio, consistait en une série de hors-d'œuvre.
• Pendant le deuxième service, prima mensa, furent servis viandes ou volailles rôties, bouillies, grillées ou en sauce, saucisses ou ragoûts.
• Enfin, le repas s'achevât sur un troisième service, secunda mensa, assortiment de fruits, gâteaux et friandises, excitant la soif.
Luigi avait été désigné « roi de boisson », celui qui, définissait les quantités et les types de vins que les convives devaient boire. Luigi me fit boire beaucoup, sans que je sois ivre et sans que cela ne soit nécessaire pour exacerber encore l’envie qui me taraudait depuis le début de la soirée, à savoir m’offrir à ces quatre mâles qui étaient là pour mon plaisir.
Le repas me semblait interminable, Vittorio étant très curieux de connaitre le contenu des ouvrages érotico-historiques que j’avais écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme « les Mémoires de Faustine ». Luigi participait activement à la conversation, en détaillant le programme de visites qu’il avait concocté pour moi. Gianni, quant à lui, prenait des nouvelles de mes enfants et de ma compagne, Agun, tout en faisant un éloge très appuyé de Philippe. Quant à Alessandro, il se tenait en retrait, échangeant avec Sophia, ce qui eut l’avantage que celle-ci laissa un peu tranquille mon mari.
***
Pour la première fois de la soirée, Vittorio, après avoir fait débarrasser les restes du banquet, dérogea aux coutumes romaines, faisant installer sur le sol en marbre de luxueux tapis.
En maitre des cérémonies, Vittorio se leva et fit signe aux trois autres mâles, choisissant de s’exprimer en latin :
• Amici, imperatrix nostra patiens fuit. Sed tempus sollicitudin est. Exuiamus eam! (« Mes amis, notre impératrice a été patiente. Il est temps de s'occuper d'elle. Déshabillons-la! »).
Luigi en profita pour affirmer sa position :
• Questa donna è mia. Me lo ha confidato suo marito. Scopamola, amici miei! (“Cette femme est à moi. Son mari me l'a confié. Baisons-la, mes amis!”)
Les quatre hommes m’entourèrent. Il revint à Luigi de faire tomber ma robe blanche en lin, très sexy, à dos nu, une sorte de tunique, resserrée à la taille par une ceinture, au décolleté vertigineux et que je portais sans soutien-gorge. Ils me couvraient de baisers, possédaient mes lèvres à tour de rôle et leurs mains parcouraient mon corps.
• Oh si! Fanculo a me. Stasera non sono l'Augusta, sono una merextrix, una lupa! (“Oh oui! Baisez-moi. Ce soir, je ne pas l'Augusta , je suis une merextrix, une lupa!”)
Ce fut Vittorio qui arracha mon dernier vêtement, mon string ficelle, qu’il porta à son nez.
• È fradicia! La scoperemo in tutti i buchi, la faremo urlare di piacere, la riempiremo. (“Elle est trempée! Nous allons la baiser par tous ses trous, la faire crier de plaisir, la remplir.”)
Les quatre hommes s’étaient à leur tour déshabillés et leur formidable érection était prometteuse.
Avant de m’abandonner, c’est à Philippe que je m‘adressai :
• Oh, Philippe, mon amour, regarde ce qu’ils me font ! ça te plait, mon chéri, je le sais. Tout cela n’est possible que grâce à toi. Je t’aime, ne l’oublie jamais !
Philippe s’était confortablement installé. Il avait sorti sa queue et ne perdait pas une miette du spectacle. Sophia s’approcha de lui et commença à le masturber, puis prit en bouche sa verge.
• Vas-y doucement, salope ! Je ne veux pas jouir trop vite. Et surtout je ne veux rien manquer de ce qu’ils vont lui faire. Comme elle est belle, comme j’aime la voir baiser et jouir !
(A suivre)
Ce texte autobiographique fait suite à ceux parus sur HDS les 15, 29 juin, 16 et 30 juillet, le 18 août, 7 et 19 septembre et le 12 novembre 2023.
Il sera suivi d’un dernier texte, en guise d’épilogue.
RESUME
En ce mois de mai 2023, Philippe et moi nous sommes à Rome, pour revenir sur des lieux qui sont le cadre de mes récits érotico-historiques, soit déjà écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme les « Mémoires de Faustine ».
Philippe a, comme toujours, tout organisé. Il a soigneusement choisi le programme et le guide. Luigi est docteur en histoire et en archéologie, spécialiste de la Rome impériale. Âgé de 28 ans, il est viril et beau comme un Dieu. Philippe entendait bien en effet que nous profitions du séjour pour renouer avec nos pratiques candaulistes, que nous ne pouvons guère assumer qu’épisodiquement, compte tenu des contraintes de la vie familiale et professionnelle.
Ce que Philippe n’avait pas prévu est que Luigi et moi, malgré une différence d’âge de près de 20 ans, nous puissions « flasher » l’un sur l’autre. Le séjour se passe dans une très forte tension érotique et sentimentale, avec des moments particulièrement torrides, dans une totale complicité entre mon mari candauliste et mon amant. Prétextant le voyage prévu le lendemain pour visiter les ruines romaines d’Ostie, sous les traces de l’impératrice Faustine, Luigi n’a pas passé la nuit avec nous. La fin prévue de notre séjour approche, alors que je ne veux renoncer ni à mon chéri, ni à mon beau guide dont je suis tombée amoureuse.
La journée écoulée a été riche sur le plan culturel et historique mais très frustrante pour moi. Luigi se montrant très distant, faisant passer son travail avant mon plaisir. Il me rabrouait quand je devenais trop insistante. A la fin de la journée, j’attends avec impatience une nuit d’amour avec mon étalon italien. En fait, Luigi et Philippe ont préparé un autre scénario, une soirée spéciale dans une villa conçue comme une domus romaine.
Afin d’y participer, Luigi fait en sorte que je me présente comme mon héroïne, l’impératrice Faustine, lorsque celle-ci allait à Ostie pour ses débauches. Non seulement je porte une robe qui cache peu de choses de mon corps, mais Luigi a chargé Sophia, une plantureuse esthéticienne, spécialiste de l’exercice, de me préparer, en me maquillant à outrance et en me coiffant comme Faustine.
Nous arrivons enfin dans la somptueuse propriété d’un ami de Luigi, située dans la grande banlieue de Rome.
***
Mes sentiments, à ce moment-là, étaient mitigés. J’étais partagée entre excitation, déception et colère. Mon excitation devenait hors de contrôle, comme je le sentais à mes tétons en érection et à ma chatte trempée et béante. Après une journée frustrante, où Luigi n’avait cessé de me repousser, je ne pouvais plus tenir plus longtemps. J’avais une envie irrépressible de baiser. J’aurais tant aimé que la nuit soit à Luigi et moi, en la seule présence de Philippe, lui devant bien ça. Je me doutais désormais qu’à cette fameuse soirée, nous ne serions pas seuls et je ne cessai de me demander ce que Luigi, avec la complicité de Philippe, m’avait réservé.
Il y avait aussi de la colère, parce qu’on m’imposait la présence de cette esthéticienne, qui m’était insupportable parce qu’elle ne cachait pas ses visées sur mon homme, ce qui a toujours été un « casus belli » à mes yeux. Certaines femmes qui s’étaient aventurées sur ce chemin doivent s’en souvenir, comme Flavienne, l’ex de Philippe que j’aurais sans doute étranglé sans l’intervention de Philippe, car elle prétendait le reconquérir (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (33) : le candaulisme est aussi un jeu très dangereux pour un couple », publié le 28 septembre 2017). Je pense aussi à cette petite garce d’Ambre, dont nous avions rencontré le couple libertin dans un camping, à l’été 2014. Elle s’était entichée de mon mari, entamant une liaison clandestine. Quand j’ai découvert ce qui se passait, j’’ai fait une scène d’une violence inouïe à Philippe, l’obligeant à rompre en direct avec sa maîtresse (lire « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (46) : la plage et le camping », publié sur HDS le 5 juillet 2018). Je comprenais que Luigi avait mis cette Sophia sur la route de Philippe, cela me rendait folle et je comptais bien demander des explications à mon amant.
Dès que le chauffeur a arrêté le véhicule dans le parc de la superbe Villa où nous devions passer la soirée, je me suis précipitée vers l’entrée, certaine que nous serions accueillis par Luigi. Notre guide attendait en effet à l’entrée de la maison. Mon Dieu, qu’il était beau, avec son costume noir Armani, sa chemise blanche ouverte sur sa poitrine virile et musclée. Tout en affichant une barbe de trois jours soigneusement entretenue.
Je courus vers lui, me précipitant dans ses bras. Il me serra contre lui, ses mains caressant mes fesses et mon dos nu. Luigi bandait comme jamais. J’avais envie qu’il m’embrasse, mais il détourna la tête, me disant avec douceur :
• Sii paziente, Faustina. Non voglio distruggere il tuo trucco e il fantastico lavoro di Sophia. (“Sois patiente, Faustine. Je ne veux pas détruire ton maquillage et le fantastique travail de Sophia.”)
Ce fut un premier choc. Luigi et Philippe n’avaient pas choisi cette tenue et fait appel à Sophia pour me maquiller et me coiffer par hasard. Ce soir, je n’étais plus Olga, j’étais Faustine, l’épouse adultère de Marc Aurèle.
• Paziente? Non posso farlo, Luigi. Non voglio più stare lontano da te. Voglio vivere con te. Ti amo Luigi. Sono tuo. Voglio i tuoi baci, le tue carezze. Voglio che tu faccia l'amore con me, a lungo, per farmi urlare di piacere, per rendermi felice! Non posso aspettare. Adesso! (“Patiente? Je ne le peux pas, Luigi. Je ne veux plus être loin de toi. Je veux vivre avec toi. Je t'aime Luigi. Je suis à toi. J'ai envie de tes baisers, de tes caresses. Je veux que tu me fasses l'amour, longuement, que tu me fasses crier de plaisir, que tu me rendes heureuse! Je ne peux pas attendre. Maintenant!”)
• Lo decideremo quando sarà il momento, non stasera e con Philippe. Poiché affermi di essere mio, allora mi obbedirai. Philippe ti ha messo a mia completa disposizione questa sera. Questa notte è dedicata al tuo piacere. (“Nous déciderons de cela le moment venu, pas ce soir et avec Philippe. Puisque tu prétends être à moi, alors tu vas m'obéir. Philippe t'a mise ce soir à mon entière disposition. Cette nuit est consacrée à ton plaisir.”)
• Sono tuo. Sono tua moglie. Farò quello che vuoi. Stasera e per quanto vorrai, ti comporterai come un marito candaulista. (“Je suis à toi. Je suis ta femme. Je ferai tout ce que tu veux. Ce soir et autant que tu le voudras, tu te comporteras comme un mari candauliste.”)
***
L’homme qui se tenait à quelques pas de Luigi prit alors la parole. Il devait avoir la soixantaine, affichant une grande distinction et une apparence athlétique. La façon dont il me dévisageait indiquait que j’avais affaire à un fauve, dont les intentions à mon égard étaient sans ambigüités.
• Buonasera. Questa è un'ottima risoluzione! Benvenuti nella mia Domus. Siamo qui per il tuo piacere, Augusta! (“Bonsoir. Voilà une excellente résolution! Soyez les bienvenus dans ma Domus. Nous sommes ici pour ton plaisir, Augusta!”)
Luigi fit les présentations, en Français.
• Philippe, Olga, je vous présente le Comte Vittorio, notre hôte, un ami de longue date de ma famille. Il appartient à la plus ancienne noblesse romaine. Je ne sais si ses ancêtres siègèrent au Sénat de Rome et eurent l’occasion d’honorer l’impératrice Faustine, mais il y eut dans sa famille des cardinaux. Ses ancêtres rivalisèrent avec les Orsini, les Colonna, les Caetani, les Barberini, les Farnese. A ma demande et en accord avec Philippe, Vittorio a organisé cette soirée pour Olga, ou plutôt pour Faustine.
Vittorio me fit un baisemain et garda ma main dans la sienne. Son regard était dominateur et exprimait son désir, autant que l’érection qui déformait le pantalon de son élégant costume.
• Congratulazioni Sophia per come hai preparato il nostro ospite per questa orgia romana. Peccato che non hai avuto il tempo di trasformare Philippe in Marco Aurelio, venuto a vedere le buffonate di sua moglie. (“Félicitations Sophia pour la façon dont tu as préparé notre invitée pour cette orgie romaine. Dommage que tu n'aies pas eu le temps de transformer Philippe en Marc Aurele, venu assister aux ébats de son épouse.”)
La plantureuse esthéticienne tenait Philippe par la main, ne prêtant aucune attention aux regards furieux que je lui adresse :
• Grazie, signor Conte, per i suoi complimenti. Sei stato molto generoso. E Luigi mi ha promesso una ricompensa. Sa che amo i francesi. E questo mi piace particolarmente! (“Merci, Monsieur le Comte, pour vos compliments. Vous avez été très généreux. Et Luigi m'a promis une récompense. Il sait que j'adore les Français. Et celui-ci me plait particulièrement!”)
• Philippe è mio e soltanto mio. Capisci, stronza? (“Philippe est à moi et seulement à moi. Tu as compris, salope?”)
Luigi intervint immédiatement, sa voix exprimant une réelle colère.
• Ti ripeto per l'ultima volta che mi obbedirai, donna! Farai quello che decido. Anche Philippe ha diritto di divertirsi e so che il petto voluttuoso di Sophia lo rende duro come un asino! Hai capito? (“Je te répète pour la dernière fois que tu m'obéiras, femme! Tu feras ce que j'ai décidé. Philippe a droit de s'amuser, lui aussi, et je sais que la voluptueuse poitrine de Sophia le fait bander comme un âne! Tu as compris?”)
• Farò qualunque cosa tu decida. Per stasera e altro ancora. È quello che voglio. (“Je ferai tout ce que as décidé. Je suis à toi, Luigi. Pour ce soir et davantage. C'est ce que je veux.”)
Je venais, en un instant, de capituler totalement, de tout accorder à Luigi. Sophia le comprit, échangeant avec Philippe un long et fougueux baiser sur les lèvres.
Vittorio me prit dans ses bras et, à mon tour, je lui offris mes lèvres. Luigi s’approcha derrière moi et je me retrouvais entre notre hôte et mon amant, les mains des deux hommes parcourant mon corps, me faisant sentir leur érection. S’ils l’avaient voulu, j’aurais aimé baiser immédiatement, mes tétons en érection et ma chatte béante et trempée exprimant mon excitation extrême.
• Grazie a Luigi, so tutto di te e della vostra relazione. Vedo che sei tanto bella quanto calda e quindi non mi ha mentito. Sii paziente, mia cara, abbiamo tutta la notte. (“Grâce à Luigi, je sais tout de votre couple et de toi. Je constate que tu es aussi belle que chaude et donc qu'il ne m'a pas menti. Sois patiente, ma belle, nous avons toute la nuit.”)
• Non ti ho mai incontrato, Conte Vittorio. Eppure mi sembra di averti già visto. (“Je ne vous ai jamais rencontré, Comte Vittorio. Pourtant j'ai l'impression de vous avoir déjà vu.”)
Vittorio sourit, repassant au Français, qu’il parlait sans le moindre accent.
• Vous pensez sans doute à Vittorio Gassmann, un des monstres sacrés du cinéma italien. Je ne porte pas ce prénom par hasard et notre ressemblance n’est sans doute pas fortuite. Ma mère fut une admiratrice de l’acteur et sans doute bien davantage, même si ce fut une passade dans la vie sentimentale agitée de Gassmann. A cette époque, on ne divorçait pas en Italie et mon père étouffa le scandale. Cela est resté un secret bien enfoui. Après tout, Vittorio fut un prénom souvent porté dans notre famille. Avec l’âge, on dit que je ressemble de plus en plus à l’acteur, mais je n’ai jamais voulu savoir, afin de préserver l’honneur de ma famille.
Passionnée de cinéma, je me remémorai le parcours de l’acteur italien, décédé en l’an 2000. Il eut six compagnes, en épousant trois. Sa vie privée lui valut bien des critiques : sa liberté débridée en matière d'amours, de mariages et de concubinages fit scandale dans les années 1950 et 1960.
• Avant de vous présenter nos autres invités, je vais vous faire découvrir ma Villa, ou plutôt ma Domus, car j’ai voulu que cette maison ressemble autant que possible à une riche maison de patriciens sous l’empire romain.
Et c’était en effet le cas. Vittorio avait soigneusement fait reproduire une Domus romaine, avec un grand atrium, vaste pièce couverte, avec un toit ouvert au centre et un bassin. De chaque côté sont distribuées des pièces de réception, un salon, une salle à manger ainsi que des cuisines et des chambres à coucher. Au fond de la Domus se trouve un petit jardin, entouré d'une colonnade. À l'étage il y a des chambres. Les murs de l’atrium sont revêtus de marbre jusqu’à hauteur d’appui et décorés de fresques.
J’étais fascinée. Vittorio avait recréé le décor que j’avais imaginé pour mes personnages, qu’elles soient fictives, comme la patricienne Tullia, ou ayant existé, comme l’impératrice Faustine. Je comprenais maintenant pourquoi Luigi et Vittorio avaient tant insisté pour me transformer en Faustine. Je me sentais transportée plus de 1.800 ans en arrière, incarnant ces femmes dont j’avais imaginé les frasques.
• Les conditions climatiques nous permettent ce soir de rester dans l’atrium, qui sera le lieu du banquet que j’ai organisé en votre honneur, Olga, ou plutôt pour honorer la belle impératrice Faustine.
Il ajouta, en latin cette fois :
• Salve, Augusta, domo mea, pro hac cena ! (« Bienvenue, Augusta, dans ma maison, pour cette cena »)
S’inspirant du Satyricon de Pétrone, Vittorio avait fait les choses en grand, reproduisant le décor d’un banquet romain, ayant fait disposer des « lecti triclinares », ces lits de tables, où s’installaient les convives, à proximité de la grande table où se trouvaient les mets.
• Compte tenu de ce que Luigi m’a dit de ta sensualité, je comptais inviter de nombreux participants à cette soirée, où tu seras la seule femme à honorer, puisque notre amie Sophia veut se réserver ton époux. Mais Luigi m’a convaincu que tu te contenterais, outre de lui et moi, de deux autres invités seulement, choisis par Luigi.
La soirée ne serait donc pas un gang bang, mais j’aurais l’occasion d’être honorée par quatre mâles, toute une nuit. Après les derniers jours avec Luigi, il y avait de quoi oublier les longs mois de retenue que nous nous imposions, Philippe et moi, pour respecter nos obligations familiales et professionnelles.
Vittorio fit signe à l’un de ses serviteurs, qui introduisit le premier invité.
Ce fut une demi-surprise pour moi quand je vis entrer Alessandro, le responsable de la luxueuse boutique Versace de la Via di S. Sebastianello, chez qui nous avions acheté, deux jours auparavant, une robe aussi indécente pour son apparence que pour son prix (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : séjour à Rome, culture, histoire et plaisirs (7) », paru le 19 septembre 2023)
Alessandro s’inclina respectueusement.
• Lei è superba, cara signora. Una vera imperatrice romana! È un onore essere invitato a questa serata davvero speciale a casa del Conte. Ringrazio il mio amico Luigi, che mi ha promesso, d'accordo con tuo marito, che avrei avuto il piacere di scoparti. (“Vous êtes superbe, chère Madame. Une vraie impératrice romaine. C'est un honneur que d'être invité à cette soirée très spéciale, chez le Comte. Je remercie mon ami Luigi, qui m'avait promis, avec l'accord de votre mari, que j'aurai le plaisir de vous baiser.”)
Voilà qui était clair et qui confirmait que Luigi avait organisé cette soirée de longue date, disposant librement de moi, avec la complicité de Philippe.
C’est alors que mon mari intervint :
• Et maintenant Luigi et moi avons une grande surprise pour toi !
Sur un signe de Vittorio, le serviteur fit entrer le dernier invité de la soirée. Je le reconnus immédiatement, car même si ses cheveux avaient blanchi, ses traits n’avaient pas changé. C’était Gianni, l’ami italien de mes parents, l’homme qui, trente ans plus tôt, m’avait déflorée et révélé mon hypersexualité (voir « Olga l'hypersexuelle et Philippe le candauliste. Comment j'ai découvert mon hypersexualité », mon premier texte publié sur HDS, le 29 novembre 2016).
Nous nous sommes longuement observés. J’étais émue, car c’est avec Gianni que tout avait commencé. Avant de me diriger vers lui, je me suis jetée dans les bras de Philippe, l’embrassant sur les lèvres, ébahie par cette surprise que je n’attendais pas, car je n’avais pas revu Gianni depuis cette époque, cet été de découvertes et le bref séjour passé avec lui et son épouse Maria, laquelle m’avait initiée au saphisme.
• Oh mon Philippe, tu es incroyable. Je t’adore ! Comment as-tu fait pour retrouver Gianni ? Nous nous étions perdus de vue, malgré les courriers que j’avais envoyés dans les premiers temps.
• Gianni va t’expliquer.
Gianni me serra longuement dans ses bras, se montrant très tendre, séchant mes larmes car je me remémorais dans quelles circonstances j’avais été amenée à faire de Gianni mon initiateur.
• Tu es toujours aussi belle. Tu es une merveille ! Je suis si heureux de te tenir dans mes bras.
• Par quel miracle es-tu ici ? J’ai cherché à vous retrouver, sans jamais y parvenir.
• C’est très simple. Quand il a su ce qui s’était passé, ton père a rompu avec nous et il m’a demandé, sur l’honneur, je dirai même exigé, que nous cessions tout contact avec toi. J’ai voulu tenir cet engagement envers celui qui fut mon plus proche ami. Mais nous sommes restés en contact avec ta mère, qui, au final, fut soulagée par ce qui s’était passé, elle qui craignait tant que tu n’ailles au bout de ton complexe d’Electre. Nous avonseu de tes nouvelles par ta mère et je sais combien elle a été si heureuse quand vous vous êtes expliquées et réconciliées, elle et toi, après ta rupture avec ce sale type que tu avais rejoint à Athènes, ce « N » (voir « Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (3) », paru le 7 janvier 2020). C’est grâce à ta mère et à Philippe que je suis là ce soir.
Philippe confirma :
• C’est en effet bien par ta mère que j’ai retrouvé les coordonnées de Gianni et de Maria. De plus, elle a accepté que tu puisses revoir Gianni, qui m’a-t-elle dit, « ne t’a fait aucun mal, bien au contraire ». Nous en avons parlé avec Luigi et nous sommes convenus que ce voyage à Rome était l’occasion de ces retrouvailles.
• Je suis heureuse de te revoir, Gianni. Mais pourquoi Maria n’est-elle pas avec toi ?
• Pour des raisons familiales. Maria est allée garder notre petit-fils, notre fille Anna devant accoucher d’un second enfant. Elle t’embrasse tendrement et m’a dit qu’elle aussi aimerait te revoir.
• C’est promis ! C’est grâce à elle que j’ai découvert ma bisexualité.
***
Nous étions donc six convives à ce banquet romain : moi, Vittorio, Luigi, Alessandro, Gianni et, un peu à l’écart, Philippe et Sophia. Malgré les consignes de Luigi, je ne pouvais m’empêcher d’être jalouse de l’esthéticienne, n’ayant jamais accepté qu’une autre femme n’approche de MON Philippe.
Vittorio veilla scrupuleusement à ce que les choses se déroulent comme cela ce serait passé dans la Rome Antique, où l’on commençait par les agapes, l’orgie n’arrivant qu’ensuite.
Il y eut trois services successifs :
• Le premier, le gustatio, consistait en une série de hors-d'œuvre.
• Pendant le deuxième service, prima mensa, furent servis viandes ou volailles rôties, bouillies, grillées ou en sauce, saucisses ou ragoûts.
• Enfin, le repas s'achevât sur un troisième service, secunda mensa, assortiment de fruits, gâteaux et friandises, excitant la soif.
Luigi avait été désigné « roi de boisson », celui qui, définissait les quantités et les types de vins que les convives devaient boire. Luigi me fit boire beaucoup, sans que je sois ivre et sans que cela ne soit nécessaire pour exacerber encore l’envie qui me taraudait depuis le début de la soirée, à savoir m’offrir à ces quatre mâles qui étaient là pour mon plaisir.
Le repas me semblait interminable, Vittorio étant très curieux de connaitre le contenu des ouvrages érotico-historiques que j’avais écrits, comme « Matrone et Domina » ou en cours d’écriture, comme « les Mémoires de Faustine ». Luigi participait activement à la conversation, en détaillant le programme de visites qu’il avait concocté pour moi. Gianni, quant à lui, prenait des nouvelles de mes enfants et de ma compagne, Agun, tout en faisant un éloge très appuyé de Philippe. Quant à Alessandro, il se tenait en retrait, échangeant avec Sophia, ce qui eut l’avantage que celle-ci laissa un peu tranquille mon mari.
***
Pour la première fois de la soirée, Vittorio, après avoir fait débarrasser les restes du banquet, dérogea aux coutumes romaines, faisant installer sur le sol en marbre de luxueux tapis.
En maitre des cérémonies, Vittorio se leva et fit signe aux trois autres mâles, choisissant de s’exprimer en latin :
• Amici, imperatrix nostra patiens fuit. Sed tempus sollicitudin est. Exuiamus eam! (« Mes amis, notre impératrice a été patiente. Il est temps de s'occuper d'elle. Déshabillons-la! »).
Luigi en profita pour affirmer sa position :
• Questa donna è mia. Me lo ha confidato suo marito. Scopamola, amici miei! (“Cette femme est à moi. Son mari me l'a confié. Baisons-la, mes amis!”)
Les quatre hommes m’entourèrent. Il revint à Luigi de faire tomber ma robe blanche en lin, très sexy, à dos nu, une sorte de tunique, resserrée à la taille par une ceinture, au décolleté vertigineux et que je portais sans soutien-gorge. Ils me couvraient de baisers, possédaient mes lèvres à tour de rôle et leurs mains parcouraient mon corps.
• Oh si! Fanculo a me. Stasera non sono l'Augusta, sono una merextrix, una lupa! (“Oh oui! Baisez-moi. Ce soir, je ne pas l'Augusta , je suis une merextrix, une lupa!”)
Ce fut Vittorio qui arracha mon dernier vêtement, mon string ficelle, qu’il porta à son nez.
• È fradicia! La scoperemo in tutti i buchi, la faremo urlare di piacere, la riempiremo. (“Elle est trempée! Nous allons la baiser par tous ses trous, la faire crier de plaisir, la remplir.”)
Les quatre hommes s’étaient à leur tour déshabillés et leur formidable érection était prometteuse.
Avant de m’abandonner, c’est à Philippe que je m‘adressai :
• Oh, Philippe, mon amour, regarde ce qu’ils me font ! ça te plait, mon chéri, je le sais. Tout cela n’est possible que grâce à toi. Je t’aime, ne l’oublie jamais !
Philippe s’était confortablement installé. Il avait sorti sa queue et ne perdait pas une miette du spectacle. Sophia s’approcha de lui et commença à le masturber, puis prit en bouche sa verge.
• Vas-y doucement, salope ! Je ne veux pas jouir trop vite. Et surtout je ne veux rien manquer de ce qu’ils vont lui faire. Comme elle est belle, comme j’aime la voir baiser et jouir !
(A suivre)
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43 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Lucie, une soirée que je ne suis pas prête d'oublier, en effet!
Luigi est vraiment ton mâle à partir de ce soir, même si Philippe l'a aidé, il te comprend parfaitement et sait comment amplifier ton plaisir. Il a su rassembler les meilleurs étalons possible avec la belle surprise de Gianni
Lucie
Lucie
Exact, Alfred!
Waouh, sacrée partouze! Tu as été servie. Et vu le cadre, tu as du te prendre pour l'impératrice Faustine.
Alfred
Alfred
Merci cher Théodore pour ce long commentaire, plein d'empathie et de compréhension.
Je vous souhaite aussi bonne continuation pour vos récits que j'ai commencé à suivre.
Je vous souhaite aussi bonne continuation pour vos récits que j'ai commencé à suivre.
Chère Olga,les actes d'amour ou de sexe ne sont ni considéré ni inconsidérés, vous auriez pu restée célibataire et vous taper tous ce que auriez décidée,au lieu de cela vous avez choisi un mari et des amants.
Dans le pays d'où je viens l'échange d'épouse ou d'hommes n'est pas rare nous appelons pas cela du libertinage mais la liberté sexuelle,il arrive que lorsque une très grosse dispute arrive dans un coulple la femme ou l'homme parte passer la nuit avec sa voisine ou voisin ou autre et lorsque chacun rentre chez soi-même la dispute s'est envolé et la vie reprends son chemin comme rien été, chez ni de rancune ni de jalousie, partagé sa femme ou son homme est naturel depuis des milliers d'années, le candaulisme on ne connaissait pas le libertinage non plus c'est juste l'acceptation de chacun et le respect de la liberté et de l'amour libre certe de moins en moins pratiqué dans les grandes villes mais toujours une institution dans nos provinces et nos cantons et chez nous personne critique personne chacun regarde sa pendule et non celle des autres.
Vos récits sont formidables et si nous pouvons les lire c'est parceque vous les partagé avec nous vous auriez pu ne pas les raconter et les garder pour vous même hors vous nous mes faites lire donc qui a le droit de dire que c'est bien ou pas bien, chacun le fait en son âme et conscience, les bien veillant tiendrons avec vous les mal veillant contre vous mais qui a le droit de dicté votre vie ou votre ligne de conduite personne sauf vous vous êtes maître de votre corps et de vos idées, et si dans le fond vous regardez bien tout le monde a une vie dissolue tous aimerez avoir la vie d'un autre même les prêtre et les nones on une vie dissolue, toutes les femmes rêvent d'être une bimbo tout les hommes rêvent et d'être riche mais combien y arrive en restant honnête, vous vous l'êtes honnête car vos récits sont ce que vous reflétée vous ne vous cachée pas vous êtes vrais et vous même. Ne changez pas de toute façon personne n'a jamais la réponse du pourquoi du parceque, de crisalide vous êtes devenue papillon vivez votre vie de papillon et n'oubliez jamais qu'une femme est la reine des fleurs c'est à dire une rose.
Dans un pays comme le mien ou il fait 6 mois jours 6 mois nuit comment croyez vous que beaucoup occupent leur soirée.
Il ne nous a pas fallut attendre les années 70 pour avoir la révolution sexuelle chez nous elle est naturelle depuis nos ancêtres les vikings ,les scandinaves sont bien connu pour leur liberté sexuelles.
Amicalement Théodore.
Dans le pays d'où je viens l'échange d'épouse ou d'hommes n'est pas rare nous appelons pas cela du libertinage mais la liberté sexuelle,il arrive que lorsque une très grosse dispute arrive dans un coulple la femme ou l'homme parte passer la nuit avec sa voisine ou voisin ou autre et lorsque chacun rentre chez soi-même la dispute s'est envolé et la vie reprends son chemin comme rien été, chez ni de rancune ni de jalousie, partagé sa femme ou son homme est naturel depuis des milliers d'années, le candaulisme on ne connaissait pas le libertinage non plus c'est juste l'acceptation de chacun et le respect de la liberté et de l'amour libre certe de moins en moins pratiqué dans les grandes villes mais toujours une institution dans nos provinces et nos cantons et chez nous personne critique personne chacun regarde sa pendule et non celle des autres.
Vos récits sont formidables et si nous pouvons les lire c'est parceque vous les partagé avec nous vous auriez pu ne pas les raconter et les garder pour vous même hors vous nous mes faites lire donc qui a le droit de dire que c'est bien ou pas bien, chacun le fait en son âme et conscience, les bien veillant tiendrons avec vous les mal veillant contre vous mais qui a le droit de dicté votre vie ou votre ligne de conduite personne sauf vous vous êtes maître de votre corps et de vos idées, et si dans le fond vous regardez bien tout le monde a une vie dissolue tous aimerez avoir la vie d'un autre même les prêtre et les nones on une vie dissolue, toutes les femmes rêvent d'être une bimbo tout les hommes rêvent et d'être riche mais combien y arrive en restant honnête, vous vous l'êtes honnête car vos récits sont ce que vous reflétée vous ne vous cachée pas vous êtes vrais et vous même. Ne changez pas de toute façon personne n'a jamais la réponse du pourquoi du parceque, de crisalide vous êtes devenue papillon vivez votre vie de papillon et n'oubliez jamais qu'une femme est la reine des fleurs c'est à dire une rose.
Dans un pays comme le mien ou il fait 6 mois jours 6 mois nuit comment croyez vous que beaucoup occupent leur soirée.
Il ne nous a pas fallut attendre les années 70 pour avoir la révolution sexuelle chez nous elle est naturelle depuis nos ancêtres les vikings ,les scandinaves sont bien connu pour leur liberté sexuelles.
Amicalement Théodore.
Chère Miss diplomatie, la parution s'est faite finalement à 21h00 :-)
On est le 7 à 19h10 ma chère Olga, il n'y a toujours pas la suite.
Miss diplomatie c'est mon surnom !!! LOL
Miss diplomatie c'est mon surnom !!! LOL
Merci linsee!
C'est toujours un plaisir de te lire
@ Maurice, stp, ne vas réveiller ces malotrus!
Bien dit, la Chipie! De quel droit certains et certaines se permettent de "juger" les choix d'Olga, de Philippe, d'Agun?
Au moins, pour le moment, on a évité les commentaires haineux de Kamel et Sofiane, c'est déjà ça!
Maurice
Au moins, pour le moment, on a évité les commentaires haineux de Kamel et Sofiane, c'est déjà ça!
Maurice
@ Micky, merci. C'est un honneur et un plaisir que de recevoir des compliments de la part d'une auteure de ta qualité
@ La chipie, merci de ta franchise, qui fait du bien!
@ La chipie, merci de ta franchise, qui fait du bien!
De suite les grands mots sous influence. Olga vit en trouple et basta.
Vous êtes tendu du string certains.
La chipie
Vous êtes tendu du string certains.
La chipie
Très habile mélange entre l'histoire romaine et l'actualité érotique d'Olga. Pour réussir ça, il faut être sacrément douée en écriture.
@ Clara, tu penses ce que tu veux. Agun n'est pas sous influence. Seuls la guident ses sentiments.
@ Olga, pauvre Agun, l'amour rend aveugle! J'espère qu'elle finisse par comprendre que tu sers d'elle
Clara
Clara
@ Laura, je n'étais heureusement pas dans une période "favorable". Et si cela avait été le cas, aller dans cette direction aurait été une folie.
Si tu avais été dans une période "favorable", aurais-tu laissé Luigi te féconder? Ou plutôt le lui aurais-tu demandé et ce en présence de Philippe, comme vous l'avez fait dans la période Rachid?
Laura
Laura
@ Laura, Non, pas encore. Pourquoi cette question?
@ Clara, tu oublies que Agun et moi nous nous aimons et c'est ensemble que nous avons fait nos choix. Je te renvoie aussi à la lecture des textes que j'ai publiés au sujet des suites de mon adultère avec N.
Convaincue alors que Philippe ne me pardonnerait pas ma trahison, j'ai alors proposé à Agun que nous officialisons notre couple, qu'une fois divorcée, je l'épouse. Cela ne s'est pas passé ainsi, parce qu'Agun a tout fait pour nous réconcilier Philippe et moi, convaincue que c'était la solution. Ce n'est pas du sacrifice, c'est de l'amour!
Convaincue alors que Philippe ne me pardonnerait pas ma trahison, j'ai alors proposé à Agun que nous officialisons notre couple, qu'une fois divorcée, je l'épouse. Cela ne s'est pas passé ainsi, parce qu'Agun a tout fait pour nous réconcilier Philippe et moi, convaincue que c'était la solution. Ce n'est pas du sacrifice, c'est de l'amour!
Une question indiscrète: tu es ménopausée?
Laura
Laura
@ Mouais, J'ai depuis longtemps la certitude que, pour toi, Agun est au mieux la cinquième roue de la voiture. Votre couple est clandestin, elle n'a aucun titre et aucun droit, sauf celui de s'occuper des enfants quand ça vous arrange. Tout au plus a-t-elle droit au plaisir, quand tu as envie d'étreintes saphiques. Pour son malheur, elle est tombée amoureuse d'un monstre d'égoïsme
Clara
Clara
@ Luc, merci!
@ Clara, bien sûr que je pensais à Agun!
@ Clara, bien sûr que je pensais à Agun!
@ Anne, dans ce choix, il n'y a pas que Philippe et Luigi. Il ne faut pas oublier une troisième personne: Agun, grand amour d'Olga. Agun a déjà beaucoup (trop de mon point de vue) sacrifié pour Olga, acceptant que leur couple ne soit en quelque sorte que secondaire que par rapport au couple "officiel" d'Olga. Alors, au moment du choix, j'espère qu'Olga a pensé à l'admirable Agun.
Clara
Clara
J'ai, moi aussi, beaucoup apprécié la description de cette villa pas comme les autres ainsi que du banquet à la romaine. Le temps d'une soirée, Olga est devenue l'impératrice Faustine.
Fidèle lecteur d'Olga, je ne doute pas que la suite sera torride.
Luc
Fidèle lecteur d'Olga, je ne doute pas que la suite sera torride.
Luc
@ Marc, oui l'emprise de Luigi m'avait fait accepter ce que je refuse habituellement, n'étant pas partageuse.
@ Bernard, merci. Oui, 7 ans déjà et 354 textes publiés sur HDS
@ Bernard, merci. Oui, 7 ans déjà et 354 textes publiés sur HDS
Quel que soit le sujet abordé, le style et l'écriture d'Olga font mouche!
Dans celui-ci, tu as rajouté un zeste de "suspense" qui rajoute à la pression de vouloir connaître comment va se dérouler cette soirée, qui s'annonce exceptionnellement, et qui l'est déjà par le décorum.
2016 ton premier texte avec Gianni... Ô temps, suspend ton vol!...
Bernard
Dans celui-ci, tu as rajouté un zeste de "suspense" qui rajoute à la pression de vouloir connaître comment va se dérouler cette soirée, qui s'annonce exceptionnellement, et qui l'est déjà par le décorum.
2016 ton premier texte avec Gianni... Ô temps, suspend ton vol!...
Bernard
Didier a raison quand il souligne tes sentiments envers Philippe et Luigi, au début du récit pour le second, à la fin pour ton mari. On sent cependant que l'emprise de Luigi est forte, lorsqu'il t'oblige à tolérer les vues de Sophia sur Philippe, toi qui refuse habituellement qu'une autre l'approche.
Marc
Marc
@ JokerH, merci. La présence de Gianni, près de 30 ans, fut une surprise, concoctée par Philippe avec la complicité de Luigi. Oui les années ont passé et les expériences aussi.
Il est vrai que Gianni avait ouvert la voie, au sens propre comme au sens figuré!
Il est vrai que Gianni avait ouvert la voie, au sens propre comme au sens figuré!
Récit très excitant Olga.
J'ai hâte de connaître les détails de tes ébats au prochain chapitre. Je ne m'attendais pas du tout au retour de ton premier amant, je suis curieux de voir l'évolution du personnage et la manière avec laquelle tu vas vivre cette évolution. Il était ton premier à une époque où tu ne connaissais encore rien à la sexualité et voila qu'il te retrouve après que tu aie acquis beaucoup d'expérience. L'élève a-t-il dépassé le maître ? Impatient de le découvrir.
J'ai hâte de connaître les détails de tes ébats au prochain chapitre. Je ne m'attendais pas du tout au retour de ton premier amant, je suis curieux de voir l'évolution du personnage et la manière avec laquelle tu vas vivre cette évolution. Il était ton premier à une époque où tu ne connaissais encore rien à la sexualité et voila qu'il te retrouve après que tu aie acquis beaucoup d'expérience. L'élève a-t-il dépassé le maître ? Impatient de le découvrir.
@ Julie, merci!
@ Tony L. C'était une situation particulière car, normalement, je ne l'accepte pas non plus.
@ Tony L. C'était une situation particulière car, normalement, je ne l'accepte pas non plus.
Ouh là Philippe qui se fait sucer par une autre ?
Ma chérie n'accepterais pas, et moi je ne le ferais pas non plus.
Trop jalouse ma princesse, et moi trop amoureux d'elle pour aller voir ailleurs.
Mais respect à vous pour votre candaulisme.
Tony L
Ma chérie n'accepterais pas, et moi je ne le ferais pas non plus.
Trop jalouse ma princesse, et moi trop amoureux d'elle pour aller voir ailleurs.
Mais respect à vous pour votre candaulisme.
Tony L
Comme toujours chez Olga, j'ai adoré ce délicieux mélange d'érotisme et de culture historique
Julie
Julie
@ Paul, encore un peu de patience!
@ Anne, la réponse sera dans la suite. Juste une chose fondamentale que tu oublies: j'aime Philippe!
@ Maurice, ça ne me faisait pas peur, mais envie
@ Dyonisia, merci ma muse. Oui, j'aurais aimé revoir Maria, qui m'initia aux mystères de Lesbos.
Ce que n'est pas que je veux faire languir mes lecteurs au sujet du dénouement, mais ce texte est pour moi, comme ceux qui l'ont précédé, un exercice de "catharsis", de transparence. Ce qui me pousse à détailler et à ne rien occulter, ni du contexte, ni de mes sentiments.
@ Anne, la réponse sera dans la suite. Juste une chose fondamentale que tu oublies: j'aime Philippe!
@ Maurice, ça ne me faisait pas peur, mais envie
@ Dyonisia, merci ma muse. Oui, j'aurais aimé revoir Maria, qui m'initia aux mystères de Lesbos.
Ce que n'est pas que je veux faire languir mes lecteurs au sujet du dénouement, mais ce texte est pour moi, comme ceux qui l'ont précédé, un exercice de "catharsis", de transparence. Ce qui me pousse à détailler et à ne rien occulter, ni du contexte, ni de mes sentiments.
Voilà encore une belle mise en scène que nous offre Olga, sans oublier aucun détail du contexte ni nous cacher ses sentiments, ou plutôt ses désirs. Et pour mieux exciter celui de ses lecteurs, la coquine ne nous sert qu'une troublante mise en bouche. Patience, il faut se plier aux volontés de l'impératrice.
Vale, Augusta !
(Mais quel dommage pour moi que ta chère Maria n'ait pu être conviée à partager tes plaisirs...)
Vale, Augusta !
(Mais quel dommage pour moi que ta chère Maria n'ait pu être conviée à partager tes plaisirs...)
Quatre hommes rien que pour toi, la suite promet d'être chaude!
Maurice
Maurice
J'espère que tu as fait le choix de Luigi. Un homme qui a presque 20 ans de moins que toi, qui te fais grimper aux rideaux. Comment as-tu pu hésiter? J'espère que tu n'as pas laissé passer ta chance
Anne
Anne
Merci d'avoir publié la suite. Mais tu nous fais languir quant à l'épilogue!
Paul
Paul
@ chère lectrice anonyme: merci!
@ Didier, en lecteur fidèle et attentif, tu as parfaitement décrit la situation et mon état d'esprit à ce moment là. Oui, je continuais à vouloir Philippe et Luigi.
Pour la suite, encore un peu de patience. Ce travail d'écriture est aussi pour moi un exercice de "catharsis", qui m'aide beaucoup. Je comprends que cela peut susciter de 'impatience chez mes lecteurs.
Pour la suite, encore un peu de patience. Ce travail d'écriture est aussi pour moi un exercice de "catharsis", qui m'aide beaucoup. Je comprends que cela peut susciter de 'impatience chez mes lecteurs.
J'adore ce genre de récit
Olga,
C’est encore un très bon chapitre que celui-ci. Qui en plus de ses aspects culturels, avec la présentation de la domus et la description d’un banquet typique de l’ère romaine, te permet de continuer ton travail de transparence sur ton escapade romaine, en nous livrant ces sentiments les plus profonds qui t’animent en ce début de soirée.
De la colère à l’encontre de cette Sophia toujours très entreprenante envers Ton Philippe, oui car toi, si intransigeante envers des "rivales" potentielles, sait comment peut être ton comportement dans ces moments là.
Luigi, ton amant à qui tu es entièrement soumise, réussi cependant par son insistance par sa fermeté à te faire "lâcher prise" à ce sujet.
Un mélange de frustration et d’excitation lié, d’un côté à ce sevrage sexuel provoqué par un Luigi, qui n’a eu de cesse de repousser tes avances tout le long de la journée, et de l’autre par l’envie de savoir ce que tes hommes t’ont réservé ce soir avec cette soirée.
Du plaisir, quand tu visites cette superbe Domus propriété de ton hôte, un certain comte Vittorio, un fils "illégitime" d’une grande famille de la noblesse italienne.
Une immense joie de retrouver, en sus de Luigi, Vittorio, et Alessandro, uniques participants de cette soirée, ton premier amant Gianni, dont tu n’avais plus de nouvelles depuis très longtemps. C'est là pour toi une énorme surprise que t’as réservée une fois de plus ton bien aimé Philippe.
Enfin, après un banquet dans la pure tradition de l’empire romain, vient le début de l’extase. En effet tu t’offres à ces quatre hommes, pas en tant qu’Olga mais en tant que Faustine, la Lupa, la mérétrix…
Pour finir, je tiens à souligner aussi que dans ce chapitre, Philippe et Luigi sont toujours pour toi sur le même pied d’égalité. En effet à ton arrivée à cette soirée tu annonces à Luigi que tu es à lui, le considérant même comme ton mari candauliste, et qu’en ce début de pluralité, c'est à Philippe à qui tu clame tout ton amour.
Oui Ton Philippe qui avec son complice a tout organisé de longue date, et qui malgré les caresses de cette Sofia n’a toujours d’yeux que pour toi…
Je conclurai en disant que certains diront que tu n’as cesse de nous faire languir une fois de plus, mais ne dit-on pas "plus c’est long plus c’est bon"…
Didier
C’est encore un très bon chapitre que celui-ci. Qui en plus de ses aspects culturels, avec la présentation de la domus et la description d’un banquet typique de l’ère romaine, te permet de continuer ton travail de transparence sur ton escapade romaine, en nous livrant ces sentiments les plus profonds qui t’animent en ce début de soirée.
De la colère à l’encontre de cette Sophia toujours très entreprenante envers Ton Philippe, oui car toi, si intransigeante envers des "rivales" potentielles, sait comment peut être ton comportement dans ces moments là.
Luigi, ton amant à qui tu es entièrement soumise, réussi cependant par son insistance par sa fermeté à te faire "lâcher prise" à ce sujet.
Un mélange de frustration et d’excitation lié, d’un côté à ce sevrage sexuel provoqué par un Luigi, qui n’a eu de cesse de repousser tes avances tout le long de la journée, et de l’autre par l’envie de savoir ce que tes hommes t’ont réservé ce soir avec cette soirée.
Du plaisir, quand tu visites cette superbe Domus propriété de ton hôte, un certain comte Vittorio, un fils "illégitime" d’une grande famille de la noblesse italienne.
Une immense joie de retrouver, en sus de Luigi, Vittorio, et Alessandro, uniques participants de cette soirée, ton premier amant Gianni, dont tu n’avais plus de nouvelles depuis très longtemps. C'est là pour toi une énorme surprise que t’as réservée une fois de plus ton bien aimé Philippe.
Enfin, après un banquet dans la pure tradition de l’empire romain, vient le début de l’extase. En effet tu t’offres à ces quatre hommes, pas en tant qu’Olga mais en tant que Faustine, la Lupa, la mérétrix…
Pour finir, je tiens à souligner aussi que dans ce chapitre, Philippe et Luigi sont toujours pour toi sur le même pied d’égalité. En effet à ton arrivée à cette soirée tu annonces à Luigi que tu es à lui, le considérant même comme ton mari candauliste, et qu’en ce début de pluralité, c'est à Philippe à qui tu clame tout ton amour.
Oui Ton Philippe qui avec son complice a tout organisé de longue date, et qui malgré les caresses de cette Sofia n’a toujours d’yeux que pour toi…
Je conclurai en disant que certains diront que tu n’as cesse de nous faire languir une fois de plus, mais ne dit-on pas "plus c’est long plus c’est bon"…
Didier