Philippe mon prof me dévierge
Récit érotique écrit par Steward bi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Philippe mon prof me dévierge
Bonjour, je vais vous raconter l’histoire de mon dépucelage homosexuel. Pour rappel, je m’appelle David et j’ai aujourd’hui 29 ans. Au moment de mon dépucelage, je n’avais que 16 ans. Je mesurais 1m70 pour 60 kg, la peau mate, les cheveux bouclés mi-longs noirs, et les yeux verts. J’étais très sportif et je pratiquais surtout le tennis dans un club de très bon niveau. Nous étions 4 élèves dans mon cours, de niveau régional, et on avait 4 heures de cours par semaine avec Philippe, un jeune de prof de 22 ans à peine.
A l’époque, j’étais encore puceau mais j’avais une bonne pratique de la branlette, surtout depuis que mon cousin Bastien s’était marié et qu’il m’avait offert une caisse de vhs un peu particulières. A partir de son mariage il considérait en effet qu’il ne devait plus les utiliser et me les avait offertes en se disant qu’elles me seraient utiles. Au milieu de toutes les cassettes hétéros, j’en ai découvertes quelques-unes bisexuelles et même deux homosexuelles. Je les ai regardées de temps en temps même si je n’étais pas particulièrement attiré par l’homosexualité, elles offraient une variété de scénarios plus intéressante que celle des vidéos hétéros.
Un jour, je me suis retrouvé seul au cours de tennis, mes camarades étant partis en vacances. Mon prof, Philippe en a profité pour me faire faire un long match de près de trois heures contre lui. A la fin, j’étais épuisé et trempé par la sueur et Philippe m’a envoyé me doucher pendant qu’il rangeait le matériel. J’ai pris une bonne douche puis je suis reparti à pied, mes parents étant en week-end en amoureux ils ne me ramenaient pas pour une fois. A mi-chemin, j’ai réalisé qu’il me manquait ma raquette.
Je me suis dépêché de retourner la chercher. Je suis entré dans le vestiaire pour prendre ma raquette quand j’ai entendu un gémissement qui venait des douches. Je me suis approché et j’ai vu Philippe, nu qui se masturbait. Il mesurait 1m80, très musclé, la peau bronzée, les cheveux blonds. Il me faisait penser à un des acteurs d’un de mes films pornos gays. Il avait mis une de ses jambes sur le banc des douches.
Une de ses mains s’activait sur son sexe faisant de longues allées et venues tandis que de l’autre il semblait se doigter l’anus.
Excité par la situation, j’ai baissé ouvert ma braguette et j’ai commencé à me caresser à mon tour. Ma main frottait mon chibre, malaxait mes couilles quand j’ai fait tomber mes clés de ma poche. Le bruit a fait sursauter Philippe qui m’a repéré, la queue entre mes mains. Il s’est approché de moi et m’a dit : « Tu me mates ? Je ne te pensais pas homo. Enfin puisque tu es là, autant qu’on en profite »Et il m’a embrassé à pleine bouche, sa langue se glissant entre mes lèvres. Je me suis laissé faire, surpris. Il m’a retiré mon T-shirt et m’a titillé les tétons avec la langue puis il s’est agenouillé, m’a retiré mon pantalon et mon caleçon avant de prendre en bouche mon sexe dressé. J’étais toujours paralysé mais sa fellation m’a détendu. Il a glissé un doigt entre mes fesses pour me titiller la rondelle ce qui a eu pour effet immédiat de me faire jouir à ma plus grande surprise. Mon sperme a jaillit sur le visage de Philippe. Celui-ci s’est relevé et m’a fait lécher son visage maculé de sperme. On s’est à nouveau embrassé puis il m’a fait mettre à genoux. Je me suis retrouvé face à son sexe dressé. Il semblait si puissant avec une veine qui pulsait tout le long de son chibre. Une légère toison entourait la base de son sexe et ses boules. J’ai approché ma bouche de son gland décalotté que j’ai commencé à titiller de ma langue. L’odeur de son sexe m’attirait de plus en plus, et je finis par enfoncer son membre dans ma bouche. Je faisais de longues allées et venues. Philippe gémissait de plaisir, mais il semblait en vouloir plus. Il m’a pris la main pour la glisser vers son anus puis a commencé à m’imposer un rythme de fellation plus soutenu en appuyant sur ma tête avec ses mains. Mes doigts furetaient dans son anus tandis que je sentais son sexe s’enfoncer de plus en plus profond dans ma gorge.
Soudain, Philippe s’est retiré pour prendre une capote dans son sac et me l’a tendue.
Je l’ai enfilée un peu surpris sur mon sexe dressé pendant que Philippe prenait appui sur le mur se cambrant pour me tendre ses fesses musclées et son trou ouvert. J’ai approché mon sexe de son trou et j’ai commencé à me frotter contre son trou. Philippe s’est emparé de ma bite et se l’est enfoncée d’un seul coup. Je me suis mis à faire des allées et venues de plus en plus rapides allant au plus profond de Philippe. De ma main droite, je le masturbais et de la main gauche, je lui titillais les tétons.
Philippe poussait de profonds râles de plaisir. Soudain, il a lâché de longs jets de sperme sur le mur des douches et son sphincter s’est resserré sur mon sexe me faisant jouir à mon tour. On s’est séparés et on s’est douchés séparément. On s’est rhabillés puis Philippe s’est approchés et m’a embrassé à pleine bouche. Cette fois j’ai répondu à son baiser. Il m’a dit « Merci, je n’avais plus été baisé comme ça depuis longtemps.
T’étais puceau ?
-Oui, j’ai répondu un peu gêné, pourquoi ?
- Parce que c’était drôlement bien pour un petit puceau !! »On s’est dit au revoir. J’ai par la suite baisé encore 5 fois avec Philippe avant qu’il ne se case et arrête les petits coups à droite à gauche. Il a été mon premier homme et mon premier amour même si lui n’avait pas de sentiments pour moi autrement que pour la baise.
A l’époque, j’étais encore puceau mais j’avais une bonne pratique de la branlette, surtout depuis que mon cousin Bastien s’était marié et qu’il m’avait offert une caisse de vhs un peu particulières. A partir de son mariage il considérait en effet qu’il ne devait plus les utiliser et me les avait offertes en se disant qu’elles me seraient utiles. Au milieu de toutes les cassettes hétéros, j’en ai découvertes quelques-unes bisexuelles et même deux homosexuelles. Je les ai regardées de temps en temps même si je n’étais pas particulièrement attiré par l’homosexualité, elles offraient une variété de scénarios plus intéressante que celle des vidéos hétéros.
Un jour, je me suis retrouvé seul au cours de tennis, mes camarades étant partis en vacances. Mon prof, Philippe en a profité pour me faire faire un long match de près de trois heures contre lui. A la fin, j’étais épuisé et trempé par la sueur et Philippe m’a envoyé me doucher pendant qu’il rangeait le matériel. J’ai pris une bonne douche puis je suis reparti à pied, mes parents étant en week-end en amoureux ils ne me ramenaient pas pour une fois. A mi-chemin, j’ai réalisé qu’il me manquait ma raquette.
Je me suis dépêché de retourner la chercher. Je suis entré dans le vestiaire pour prendre ma raquette quand j’ai entendu un gémissement qui venait des douches. Je me suis approché et j’ai vu Philippe, nu qui se masturbait. Il mesurait 1m80, très musclé, la peau bronzée, les cheveux blonds. Il me faisait penser à un des acteurs d’un de mes films pornos gays. Il avait mis une de ses jambes sur le banc des douches.
Une de ses mains s’activait sur son sexe faisant de longues allées et venues tandis que de l’autre il semblait se doigter l’anus.
Excité par la situation, j’ai baissé ouvert ma braguette et j’ai commencé à me caresser à mon tour. Ma main frottait mon chibre, malaxait mes couilles quand j’ai fait tomber mes clés de ma poche. Le bruit a fait sursauter Philippe qui m’a repéré, la queue entre mes mains. Il s’est approché de moi et m’a dit : « Tu me mates ? Je ne te pensais pas homo. Enfin puisque tu es là, autant qu’on en profite »Et il m’a embrassé à pleine bouche, sa langue se glissant entre mes lèvres. Je me suis laissé faire, surpris. Il m’a retiré mon T-shirt et m’a titillé les tétons avec la langue puis il s’est agenouillé, m’a retiré mon pantalon et mon caleçon avant de prendre en bouche mon sexe dressé. J’étais toujours paralysé mais sa fellation m’a détendu. Il a glissé un doigt entre mes fesses pour me titiller la rondelle ce qui a eu pour effet immédiat de me faire jouir à ma plus grande surprise. Mon sperme a jaillit sur le visage de Philippe. Celui-ci s’est relevé et m’a fait lécher son visage maculé de sperme. On s’est à nouveau embrassé puis il m’a fait mettre à genoux. Je me suis retrouvé face à son sexe dressé. Il semblait si puissant avec une veine qui pulsait tout le long de son chibre. Une légère toison entourait la base de son sexe et ses boules. J’ai approché ma bouche de son gland décalotté que j’ai commencé à titiller de ma langue. L’odeur de son sexe m’attirait de plus en plus, et je finis par enfoncer son membre dans ma bouche. Je faisais de longues allées et venues. Philippe gémissait de plaisir, mais il semblait en vouloir plus. Il m’a pris la main pour la glisser vers son anus puis a commencé à m’imposer un rythme de fellation plus soutenu en appuyant sur ma tête avec ses mains. Mes doigts furetaient dans son anus tandis que je sentais son sexe s’enfoncer de plus en plus profond dans ma gorge.
Soudain, Philippe s’est retiré pour prendre une capote dans son sac et me l’a tendue.
Je l’ai enfilée un peu surpris sur mon sexe dressé pendant que Philippe prenait appui sur le mur se cambrant pour me tendre ses fesses musclées et son trou ouvert. J’ai approché mon sexe de son trou et j’ai commencé à me frotter contre son trou. Philippe s’est emparé de ma bite et se l’est enfoncée d’un seul coup. Je me suis mis à faire des allées et venues de plus en plus rapides allant au plus profond de Philippe. De ma main droite, je le masturbais et de la main gauche, je lui titillais les tétons.
Philippe poussait de profonds râles de plaisir. Soudain, il a lâché de longs jets de sperme sur le mur des douches et son sphincter s’est resserré sur mon sexe me faisant jouir à mon tour. On s’est séparés et on s’est douchés séparément. On s’est rhabillés puis Philippe s’est approchés et m’a embrassé à pleine bouche. Cette fois j’ai répondu à son baiser. Il m’a dit « Merci, je n’avais plus été baisé comme ça depuis longtemps.
T’étais puceau ?
-Oui, j’ai répondu un peu gêné, pourquoi ?
- Parce que c’était drôlement bien pour un petit puceau !! »On s’est dit au revoir. J’ai par la suite baisé encore 5 fois avec Philippe avant qu’il ne se case et arrête les petits coups à droite à gauche. Il a été mon premier homme et mon premier amour même si lui n’avait pas de sentiments pour moi autrement que pour la baise.
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