Piégé à l'étage du bar.
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Piégé à l'étage du bar.
J'avais cédé aux avances de Sylvain, un homosexuel, d'une quarantaine d'années, depuis quelques semaines.
Je n'avais pas trop le choix, il m'a surpris dans un sauna gay, entrain de me faire baiser par un autre homme, plus mûr.
Comme il était serveur, au bar branché, que je fréquentais avec mes amis hétéros, il me connaissait très bien.
Donc un soir, il a trouvé un prétexte pour me parler et m'a imposé de le laisser me baiser.
Je ne l'ai pas regretté, il baisait comme un dieu, et avait une grosse et longue queue.
J'ai pris un pied énorme, il était très actif et j'ai accepté d'avoir une relation cachée avec lui, même s'il avait déjà un mec.
On avait convenu d'un signal entre nous, pour ne pas éveiller de soupçons de la part de mes copains de bar.
Ce soir là, il me fait plusieurs signes qui ne sont pas trompeurs.
Au cours de l'après midi, il fait naitre en moi, le désir de lui appartenir.
Je laisse rentrer mes amis un à un, puis je reste jusqu'à la fermeture du bar.
Je me rend devant la porte de son immeuble qui donne au dessus du bar.
Dès qu'il arrive, je le suis jusqu'à son petit appartement.
On se place l'un, face à l'autre, en entrant.
"Hummm ! Ca fait un moment que j'ai encore envie de ton petit cul, Pascal !".
"Ton mec te suffit pas ?".
"C'est pas pareil ! Je te vois souvent au bar ! Du coup, je repense à ce que je t'ai fais, et j'en ai encore envie ! Tu m'excites toujours autant !".
"Merci, Ca fait plaisir ! Moi aussi, j'ai souvent envie de toi !".
"Ah bon ? C'est ma queue qui te manques ?".
"Oui !".
Il a sorti sa grosse bite et me la présente, c'est une invitation à la recouvrir de ma bouche.
"Arhhhh ! Ouais, comme ça ! Tu suces toujours aussi bien ! Petite salope !".
Il fait partie de ces hommes dominateurs qui m'excitent le plus.
Je le suce avec gourmandise, excité par ses mots salaces.
Il fait tomber ses vêtements, sans sortir de ma gorge humide.
Il est comme beaucoup d'hommes et me baise en gorge profonde avec vice.
Il est très endurant, je pense qu'il doit baiser son petit ami, tous les jours.
J'en profite moi aussi, à chacune de ses absences.
Je me régale de sa queue, très, très longuement. Plus de trente minutes, très perverses !
Il me redresse en me disant:
"Allez ! Fous toi à poil ! Tu vas te faire démonter maintenant !".
J'ôte mes habits pendant qu'il astique sa grosse queue.
Il s'assoie sur son canapé et m'ordonne:
"Allez ! Viens mettre ton cul sur ma bite, salope !".
Je l'enfourche, il me saisit par les hanches et profite que je me couvre de salive.
Puis, je guide son sexe vers mon anus, pour m'enfoncer sur lui.
"Arhhhhhhhhhhh ! Oh Putain ! C'est bon ! Qu'est ce qu'elle est bonne ta queue !".
"Tu sais que je vais te faire jouir du cul comme jamais ! Je suis de repos, tout le Week-End ! Tu vas rester là ! A portée de bite ! Dès que j'aurais envie, je te baiserai !".
"Quoi ?".
Il se déchaine et m'encule comme un excité.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Sylvain ! c'est bon !".
Il coulisse en moi, sans fin, je dégouline sur lui progressivement.
Il me place en levrette et me défonce l'anus en me claquant le cul et me serrant les fesses avec ses mains puissantes.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Je joui ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Putain, ce que j'aime t'entendre jouir ! Salope ! Tu m'excites plus que mon mec ! Tu le sais ?".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Non ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"J'ai horreur des hétéros, mais toi, j'ai toujours envie de t'enculer comme ça !".
"Arhhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr ! Je jouiiiiiiiiiiii !".
Il ralenti ses assauts, me laissant récupérer de mon puissant orgasme anal.
Puis, il m'attrape par les jambes pour me retourner en m'écartant les cuisses.
Il me plante sa grosse bite et me défonce en me faisant crier de plaisir.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Sylvain, tu me baises trop bien ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Tu joues plus à l'hétéro là ! T'es une p'tite salope ! Un vrai pédé ! Tu le sais !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Ce type était une vraie machine, il m'a cassé le cul dans toutes les positions possibles, entre deux hommes.
Mon anus était suintant de sécrétions, il a éjaculé au bout d'une heure trente.
Je l'ai suivi dans son lit, On se racontait quelques aventures sexuelles.
Puis, il s'est mis à rebander sous mes caresses, à sa demande.
J'ai remplacé mes doigts par ma bouche, et j'ai encore subi ses nombreuses saillies jusqu'à sa deuxième éjaculation, bien plus tard, dans la nuit.
Au matin, il m'a traité comme une reine, petit déjeuner au lit, et café.
Nous avons passé une matinée excellente, puis après un super repas qu'il a préparé, il m'a demandé:
"Tu peux te déshabiller et t'allonger sur la table ?".
Je suis excité encore et j'ai envie qu'il me baise comme la veille.
"Si tu veux !".
Je m'étale nu sur la table haute, mon cul est tendu vers l'extérieur, prêt à se faire saillir.
Il revient avec des bandes de tissus et m'attache à la table !
"Sylvain? Tu fais quoi ?".
"Chuttt ! Laisses moi faire !".
Je me retrouve lié à la table, avec les jambes écartées.
Il vient devant ma bouche et me comble la gorge avec sa grosse bite en érection.
Il me baisse sans vergogne, me faisant saliver abondamment.
Il racle ma bouche pour m'étaler la substance sur l'œillet.
Il me baise la gorge en se penchant pour me pénétrer le cul avec ses doigts.
je gémis de plaisir, encore.
Il passe derrière moi et me transperce l'anus.
Je me met à jouir très vite, pendant qu'il coulisse longuement dans mon cul.
Puis il se retire et se dirige vers sa fenêtre.
Il l'ouvre en grand, je remarque que mes fesses sont à la vue des voisins d'en face, mais pas mon visage.
Il me plante à nouveau et m'encule comme un bourrin.
J'arrive à me servir de mon bras pour retenir mes cris de jouissance anale.
Je reconnais les voix de mes potes à la terrasse du bar.
Sylvain est vicieux et me claque le cul en me défonçant.
Je me sens piégé, c'est tellement difficile de ne pas crier mon orgasme.
Il s'acharne pour que, même mes gémissements retenus soient audibles.
J'entends mon prénom au milieu du brouhaha.
"Il est pas là ? Pascal ?".
"Non ! Il est pas venu !".
Pendant ce temps, les couilles de Sylvain claquent contre mes fesses.
Son gros gland s'écrase contre mon fond d'anus, qui s'ouvre pour lui permettre de s'enfoncer plus profondément encore.
Il me claque de plus en plus fort.
Le brouhaha se calme et j'entends:
"Putain ! Ca baise au dessus ! On dirait !".
Ce vicieux de Sylvain ose alors crier:
"T'aimes ça ! Te faire enculer ! Salope ! Tiens ! Prends ça alors !".
Je bloque mes lèvres en jouissant encore plus fort.
D'où je suis, je ne peux pas savoir, si le voisin, ou la voisine me voit me faire éclater le cul.
Sylvain est gay, il se fout de s'afficher en me baisant, mais j'ai peur, malgré le plaisir évident que je prends.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Ohhhhhhhhhhh ! Je te mets tout ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Putain, c'est bon ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
Il se déverse en moi, je suis étonné de la rapidité de son éjaculation et cela me soulage aussi.
Il se vide longuement, puis retire sa longue et grosse bite de mon anus béant.
Il se dirige vers la fenêtre et dit en fermant:
"Bonjour, monsieur, ça va, vous vous êtes régalé ? A une autre fois qui sait ?".
Je lui dis alors:
"Pourquoi, t'as fait ça ? Il y avait mes potes ! J'espère qu'ils m'ont pas reconnu !".
"J'en avais envie ! J'aime pas les hétéros qui assument pas qu'ils aussi aiment les mecs !".
Il m'a laissé ainsi jusqu'à ce qu'il rebande encore.
Il s'est servit de ma bouche pour cela et m'a ensuite défoncé plusieurs fois jusqu'à la fermeture du bar, moment ou je suis parti sans risque que l'on me voit.
Après ce Week-End, j'ai refusé ses sollicitations.
Il me tenait, mais moi aussi, je pouvais tout raconter à son petit ami.
Je n'avais pas trop le choix, il m'a surpris dans un sauna gay, entrain de me faire baiser par un autre homme, plus mûr.
Comme il était serveur, au bar branché, que je fréquentais avec mes amis hétéros, il me connaissait très bien.
Donc un soir, il a trouvé un prétexte pour me parler et m'a imposé de le laisser me baiser.
Je ne l'ai pas regretté, il baisait comme un dieu, et avait une grosse et longue queue.
J'ai pris un pied énorme, il était très actif et j'ai accepté d'avoir une relation cachée avec lui, même s'il avait déjà un mec.
On avait convenu d'un signal entre nous, pour ne pas éveiller de soupçons de la part de mes copains de bar.
Ce soir là, il me fait plusieurs signes qui ne sont pas trompeurs.
Au cours de l'après midi, il fait naitre en moi, le désir de lui appartenir.
Je laisse rentrer mes amis un à un, puis je reste jusqu'à la fermeture du bar.
Je me rend devant la porte de son immeuble qui donne au dessus du bar.
Dès qu'il arrive, je le suis jusqu'à son petit appartement.
On se place l'un, face à l'autre, en entrant.
"Hummm ! Ca fait un moment que j'ai encore envie de ton petit cul, Pascal !".
"Ton mec te suffit pas ?".
"C'est pas pareil ! Je te vois souvent au bar ! Du coup, je repense à ce que je t'ai fais, et j'en ai encore envie ! Tu m'excites toujours autant !".
"Merci, Ca fait plaisir ! Moi aussi, j'ai souvent envie de toi !".
"Ah bon ? C'est ma queue qui te manques ?".
"Oui !".
Il a sorti sa grosse bite et me la présente, c'est une invitation à la recouvrir de ma bouche.
"Arhhhh ! Ouais, comme ça ! Tu suces toujours aussi bien ! Petite salope !".
Il fait partie de ces hommes dominateurs qui m'excitent le plus.
Je le suce avec gourmandise, excité par ses mots salaces.
Il fait tomber ses vêtements, sans sortir de ma gorge humide.
Il est comme beaucoup d'hommes et me baise en gorge profonde avec vice.
Il est très endurant, je pense qu'il doit baiser son petit ami, tous les jours.
J'en profite moi aussi, à chacune de ses absences.
Je me régale de sa queue, très, très longuement. Plus de trente minutes, très perverses !
Il me redresse en me disant:
"Allez ! Fous toi à poil ! Tu vas te faire démonter maintenant !".
J'ôte mes habits pendant qu'il astique sa grosse queue.
Il s'assoie sur son canapé et m'ordonne:
"Allez ! Viens mettre ton cul sur ma bite, salope !".
Je l'enfourche, il me saisit par les hanches et profite que je me couvre de salive.
Puis, je guide son sexe vers mon anus, pour m'enfoncer sur lui.
"Arhhhhhhhhhhh ! Oh Putain ! C'est bon ! Qu'est ce qu'elle est bonne ta queue !".
"Tu sais que je vais te faire jouir du cul comme jamais ! Je suis de repos, tout le Week-End ! Tu vas rester là ! A portée de bite ! Dès que j'aurais envie, je te baiserai !".
"Quoi ?".
Il se déchaine et m'encule comme un excité.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Sylvain ! c'est bon !".
Il coulisse en moi, sans fin, je dégouline sur lui progressivement.
Il me place en levrette et me défonce l'anus en me claquant le cul et me serrant les fesses avec ses mains puissantes.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Je joui ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Putain, ce que j'aime t'entendre jouir ! Salope ! Tu m'excites plus que mon mec ! Tu le sais ?".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Non ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"J'ai horreur des hétéros, mais toi, j'ai toujours envie de t'enculer comme ça !".
"Arhhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr ! Je jouiiiiiiiiiiii !".
Il ralenti ses assauts, me laissant récupérer de mon puissant orgasme anal.
Puis, il m'attrape par les jambes pour me retourner en m'écartant les cuisses.
Il me plante sa grosse bite et me défonce en me faisant crier de plaisir.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Sylvain, tu me baises trop bien ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
"Tu joues plus à l'hétéro là ! T'es une p'tite salope ! Un vrai pédé ! Tu le sais !".
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Ce type était une vraie machine, il m'a cassé le cul dans toutes les positions possibles, entre deux hommes.
Mon anus était suintant de sécrétions, il a éjaculé au bout d'une heure trente.
Je l'ai suivi dans son lit, On se racontait quelques aventures sexuelles.
Puis, il s'est mis à rebander sous mes caresses, à sa demande.
J'ai remplacé mes doigts par ma bouche, et j'ai encore subi ses nombreuses saillies jusqu'à sa deuxième éjaculation, bien plus tard, dans la nuit.
Au matin, il m'a traité comme une reine, petit déjeuner au lit, et café.
Nous avons passé une matinée excellente, puis après un super repas qu'il a préparé, il m'a demandé:
"Tu peux te déshabiller et t'allonger sur la table ?".
Je suis excité encore et j'ai envie qu'il me baise comme la veille.
"Si tu veux !".
Je m'étale nu sur la table haute, mon cul est tendu vers l'extérieur, prêt à se faire saillir.
Il revient avec des bandes de tissus et m'attache à la table !
"Sylvain? Tu fais quoi ?".
"Chuttt ! Laisses moi faire !".
Je me retrouve lié à la table, avec les jambes écartées.
Il vient devant ma bouche et me comble la gorge avec sa grosse bite en érection.
Il me baisse sans vergogne, me faisant saliver abondamment.
Il racle ma bouche pour m'étaler la substance sur l'œillet.
Il me baise la gorge en se penchant pour me pénétrer le cul avec ses doigts.
je gémis de plaisir, encore.
Il passe derrière moi et me transperce l'anus.
Je me met à jouir très vite, pendant qu'il coulisse longuement dans mon cul.
Puis il se retire et se dirige vers sa fenêtre.
Il l'ouvre en grand, je remarque que mes fesses sont à la vue des voisins d'en face, mais pas mon visage.
Il me plante à nouveau et m'encule comme un bourrin.
J'arrive à me servir de mon bras pour retenir mes cris de jouissance anale.
Je reconnais les voix de mes potes à la terrasse du bar.
Sylvain est vicieux et me claque le cul en me défonçant.
Je me sens piégé, c'est tellement difficile de ne pas crier mon orgasme.
Il s'acharne pour que, même mes gémissements retenus soient audibles.
J'entends mon prénom au milieu du brouhaha.
"Il est pas là ? Pascal ?".
"Non ! Il est pas venu !".
Pendant ce temps, les couilles de Sylvain claquent contre mes fesses.
Son gros gland s'écrase contre mon fond d'anus, qui s'ouvre pour lui permettre de s'enfoncer plus profondément encore.
Il me claque de plus en plus fort.
Le brouhaha se calme et j'entends:
"Putain ! Ca baise au dessus ! On dirait !".
Ce vicieux de Sylvain ose alors crier:
"T'aimes ça ! Te faire enculer ! Salope ! Tiens ! Prends ça alors !".
Je bloque mes lèvres en jouissant encore plus fort.
D'où je suis, je ne peux pas savoir, si le voisin, ou la voisine me voit me faire éclater le cul.
Sylvain est gay, il se fout de s'afficher en me baisant, mais j'ai peur, malgré le plaisir évident que je prends.
"Arhhhhhhhhhhhhh ! Ohhhhhhhhhhh ! Je te mets tout ! Arhhhhhhhhhhhhh ! Putain, c'est bon ! Arhhhhhhhhhhhhh !".
Il se déverse en moi, je suis étonné de la rapidité de son éjaculation et cela me soulage aussi.
Il se vide longuement, puis retire sa longue et grosse bite de mon anus béant.
Il se dirige vers la fenêtre et dit en fermant:
"Bonjour, monsieur, ça va, vous vous êtes régalé ? A une autre fois qui sait ?".
Je lui dis alors:
"Pourquoi, t'as fait ça ? Il y avait mes potes ! J'espère qu'ils m'ont pas reconnu !".
"J'en avais envie ! J'aime pas les hétéros qui assument pas qu'ils aussi aiment les mecs !".
Il m'a laissé ainsi jusqu'à ce qu'il rebande encore.
Il s'est servit de ma bouche pour cela et m'a ensuite défoncé plusieurs fois jusqu'à la fermeture du bar, moment ou je suis parti sans risque que l'on me voit.
Après ce Week-End, j'ai refusé ses sollicitations.
Il me tenait, mais moi aussi, je pouvais tout raconter à son petit ami.
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