Pierre, l'amoureux caché. la conséquence 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pierre, l'amoureux caché. la conséquence 2
Cette anecdote sexuelle se situe après l'histoire "Pierre, l'amoureux caché. la conséquence".
Après l'orgie organisée par le caissier du Sex-Shop, malgré la perversité qui y régnais, j'avoue que je n'y pense pas beaucoup.
Pierre me manque toujours.
Pour l'oublier, je me donne à cœur perdu dans ma relation avec Corinne.
Peu à peu, je reprend gout à ma vie d'hétéro officiel.
Environ, un mois plus tard, je retourne au Sex-Shop, mes démons et le désir homo me reprend.
En entrant, je suis déçu du fait que c'est le patron qui tient la caisse.
L'après-midi se déroule bien, parmi ceux qui me baisent, j'ai le bonheur de retrouver le petit homme avec sa bite surdimensionnée.
Il me casse littéralement le cul, sans vergogne, comme à son habitude.
Sa sodomie sauvage m'a excité comme jamais, j'ai encore envie de me faire défoncer !
Une heure après, je me fais prendre par un trio d'hommes plus âgés que moi, comme j'aime !
Je me sens chanceux, leur nombre me permet de jouir enfin, sans retenue.
Outre ces rapports anaux, j'ai le plaisir de faire jouir 4 hommes avec ma bouche.
Bref, ma journée de sexe est idéale !
Je me dirige vers une cabine vide, dont le film n'est pas encore terminé pour me masturber, avant de quitter les lieux.
Je suis surpris par le rideau qui coulisse d'un coup !
C'est le métis qui m'a organisé le premier plan à plusieurs chez lui !
"Salut Pascal ! Je savais pas que t'étais là ! On va s'amuser ! T'en penses quoi ?".
"Ben, maintenant que tu es là, avec la bite qui bande ! Tu sais que je peux rien te refuser !".
"Je sais, c'est pour ça que je t'adore ! Tu vas te faire casser le cul encore ! Tu le sais ?".
"Oui, je sais !".
Je profite de cette puissante sodomie pour me toucher un peu, puis je me laisse aller à éjaculer sans me toucher, grâce à son savoir faire, pendant ses assauts profonds.
On discute comme souvent, il me dit qu'il a envie de m'organiser une seconde soirée.
"C'est gentil, mais ça craint pas un peu ? Il y en avait pas mal avec des masques ! J'ai peur qu'ils me connaissent en dehors du sexe ! Moi, je sais pas qui ils sont !".
"Ben ! Ca peut devenir un jeu ! Qui sait ?".
"Comment ça ?".
"Je te dirai ! Je viendrai chez toi, en fin d'après midi ! Pour t'emmener !".
"Ok, mais pas autant d'hommes que la dernière fois, s'il te plait ! J'ai plus senti mon cul pendant un long moment ! Je m'en souviens encore !".
"T'as adoré ça ! Ne dis pas le contraire !".
Je souffle, il a raison, j'ai aimé ça !
"Bon, d'accord !".
Je le quitte, heureux de ma journée de plaisir anal et buccal.
C'est encore avec surprise que je le vois devant chez moi, plusieurs jours, plus tard.
Cette fois, je lui demande de me laisser monter chez moi, histoire d'uriner et de me faire un lavement anal.
Il me sollicite un peu, en se faisant sucer pendant quelques minutes, mais se réserve pour la soirée.
Je le suis enfin, jusque chez lui, cette fellation m'a excité.
Nous sommes seuls, il me fait mettre une cagoule assez fine, dégagée pour permettre les fellations, et voir ce que je fais, avant que le premier invité arrive.
Dès le premier venu, il se fait aider pour me dévêtir.
La présence de nouveaux hommes me troublent, beaucoup sont masqués.
Chacun vient vers moi pour me toucher, ils me font part de leurs désirs pervers.
Le caissier lance un film porno gay avec un thème bondage.
Un homme au corps foncé m'attire à lui, il se secoue la bite sur mon visage, me pénètre la gorge.
Je sens le froid d'une dose de gel sur mon anus.
Puis alors que je me fait baiser la gorge, je comprend qu'on m'enfonce un gode de belle taille dans le cul.
Notre hôte dégage ses meubles avec l'aide des autres et laisse sa table de salon au centre.
Puis, on m'allonge sur celle-ci, sur le dos, en attachant mes mains à mes jambes écartées.
L'homme reprend son jeu en me baisant profondément avec le gode, je crie mon plaisir.
Puis, chacun me baise la gorge avec vice, pendant que d'autres m'enculent à tour de rôle, alors qu'on me tient les jambes.
Mes orgasmes s'enchainent, on me traite de mots vulgaires en se servant de mes orifices.
Le métis demande à deux d'entre eux de s'allonger en contre sens, afin de coller leurs bites, l'une à l'autre.
On me soulève, me détache, et on m'empale sur cette paire de queues, je joui très rapidement au rythme qu'on m'impose en m'enfonçant sur elles.
J'ai l'impression d'être un jouet sexuel, et j'aime ce sentiment.
Au bout de quelques minutes, les deux hommes annoncent qu'ils sont sur le point de jouir.
On me soulève et notre hôte me donne la consigne d'avaler leurs foutres simultanément.
J'ai une montée de plaisir cérébral en avalant tout ce jus salé et gluant.
Notre hôte fait allonger tous les hommes, l'un a coté de l'autre.
"Allez, baises les tous !".
Je n'en crois pas mes yeux, la situation est nouvelle !
Je m'empale sur le premier, je joui encore du cul sans discontinuer, pendant un long moment.
Mon amant me donne le signal de changer de queue.
Je me laisse diriger par chaque homme suivant la position qu'il préfère, je lui tourne le dos ou alors face à lui.
Je prend du plaisir avec chaque bite, chacune d'elle me fait jouir intensément, les grosses, les longues, les foncées, les glands très épais.
Mon anus est béant et humide de jus anal.
Je suis heureux de faire jouir deux d'entre eux, pendant ce jeu pervers.
Quand j'arrive au dernier, le caissier attend un long moment, avant de joindre sa bite à la sienne.
L'inconnu sous moi me masturbe, et me fait éjaculer abondamment pendant que je crie mon orgasme pendant cette double pénétration anale.
Après cela, on m'attache à la table, sur le ventre et je subis les assauts de ceux qui n'ont pas encore joui.
Je joui encore en me faisant défoncer le cul et la gorge.
Les hommes se glissent sous mon visage et me baisent la gorge à tour de rôle, en s'accrochant à mes cheveux et ma nuque.
Je reçois enfin quelques éjaculations dans la bouche, je m'en régale avec vice.
Mon cul est rempli à plusieurs reprises, certains se vident sur mes fesses.
Puis, on me place accroupi et tous les hommes se branlent en m'insultant.
Chacun d'eux se vide à tour de rôle entre mes lèvres.
On m'ordonne de ne pas avaler.
Le sperme s'accumule et commence à couler le long de mon torse.
Pour respirer, je suis obligé d'ingurgiter plusieurs fois, ce nectar de plaisir masculin.
Notre hôte nous propose alors:
"Si vous êtes d'accord, on peut tous enlever nos masques ! Comme ça, vous pourrez lui couvrir son joli petit visage ! Vous verrez comme il est mignon !".
Presque tout le monde s'exécute, je ne reconnais que des hommes rencontrés au Sex-Shop ou en bord de mer.
Les autres sont des inconnus.
Je reconnais aussi le patron du métis, c'est lui qui me dévoile alors, aux yeux des autres.
Son boss est en train de maculer ma face de sperme, il ajoute en jouissant:
"Oh, putain, depuis le temps que j'ai envie de te faire ça ! Arhhhhhhhhhhh !".
J'avale ce qui dégouline au fur et à mesure.
Le caissier m'encule encore, comme une pute.
Cette multitude de jus qui s'éjecte sur moi et dans ma gorge amplifie mon plaisir anal.
Le métis m'encule avec force et vice, il plonge ses doigts sur ma face maculée et m'enfonce le tout dans la gorge pendant quelque secondes.
Puis, il laisse aux autres la possibilité de me baiser encore la bouche.
"Alors ! Ma p'tite salope ! Ca t'as plu ? T'as aimé ma surprise ?".
"Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Glllllllllrpp ! Mmmmmmmmmmm ! Mmmm..oui !".
Celui qui se trouve dans ma bouche, se cale bien au fond et se déverse longuement, encore.
Mon amant métis ne tient plus et se lâche enfin dans mon cul.
Il me libère d'un excès de plaisir anal.
Les trois derniers se succèdent pour éjaculer avec abondance sur ma face d'ange et dans ma gorge.
Quand les dernières gouttes s'échappent de la dernière queue, je pousse un long râle d'essoufflement.
"J'en peux plus ! C'est trop pour moi, tout ça !".
Le patron du métis me dit alors:
"Pourtant, t'as assuré ! Tu devrais venir à nos soirées spéciales !".
"Vous y faites quoi ?".
"On t'initierai au Fisting ! Pour commencer !".
"Non, désolé, ça m'attire pas, même si on me l'a déjà fait, c'est pas mon truc !".
"Dommage ! En tout cas, je suis content de t'avoir baisé ! T'es une bonne salope !".
Je sais qu'il est essentiellement gay, et je prend cette phrase comme un compliment.
Il ajoute:
"Tu pratiques pas l'uro, non plus, je suppose !".
J'hésite avant de lui répondre, puis je joue franc jeu, et lui dit:
"Euh, Pour être franc ! J'aime un peu, mais je veux pas avaler ! J'avoue que comme c'est chaud, c'est très agréable de se faire pisser dessus ! Ca me fait bander !".
"Ah ! Ca vous dit les mecs ?".
Beaucoup acquiescent, je répond tout de suite:
"Quoi ? Maintenant ?".
Le métis m'ordonne:
"Allez, viens dans la salle de bain !".
Il m'entraine par le bras en me disant:
"T'as trop parlé !".
Il me place dans sa douche italienne, en m'agenouillant.
Un premier homme se faufile et m'arrose d'un puissant jet chaud.
Je ferme les yeux en me laissant aller au plaisir de sa chaleur dorée.
Son liquide me couvre le visage, j'attend patiemment qu'il termine d'uriner pour ouvrir mes yeux et ma bouche.
"Alors tu aimes toujours autant ?". Me demande le patron.
"Oui, j'ai honte, mais ça m'excite !".
"Alors, tu vas me recevoir aussi !".
Il dirige sa verge vers mon visage et je suis surpris par sa puissance, à lui aussi.
Malgré la rapidité avec laquelle, j'ai clos mes lèvres, il m'a giclé un peu dans la gorge, je rejette son urine aussitôt pendant que je me laisse aller encore, à cette chaude douche dorée.
Je sens une tension dans mon sexe, je me mets à bander !
J'ai beau lutter, j'aime qu'on me pisse dessus, c'est le point culminant de la soumission, pour moi.
Un troisième jet me couvre le corps, je ne me risque pas à voir qui se déverse sur moi.
L'homme me saisit par le haut du crâne en visant mon visage de son jet chaud.
J'entend un autre:
"Putain, j'en peux plus de me retenir ! Y a un peu de place pour moi ?".
Ce sont deux autres jets de pisse qui vienne s'ajouter aux précédents.
Puis, je me fais inonder d'urine, j'ai le malheur de respirer, ce qui me pousse à cracher en me faisant pisser dessus.
"Oh putain ! C'est trop bon de te pisser dessus !".
Je reconnais, sans le voir, mon amant régulier, le métis.
Il vient de se déverser sur moi, il me force à prendre encore, sa bite entre les lèvres.
Je le suce longuement en recevant les besoins urinaires des autres.
Un des invités, qui est magrébin me soulève les fesses et m'encule pendant quelques minutes, puis, je sens qu'il me remplit les intestins.
Je pousse un long gémissement.
Le métis recule et m'arrose encore le visage d'un reste d'urine.
"Tiens salope ! Pourquoi tu râles, puisque t'aime ça ?!".
Le magrébin se redresse et arrose mon dos.
"Mmmm ! Il m'a pissé dans le cul !".
Je me vide de son liquide avec une puissance extrême, en plusieurs jets.
"Super, on aime les salopes comme toi ! Un vrai vide couilles ! C'est bien !".
Cela donne des idées aux deux derniers qui imitent le magrébin.
Je me masturbe avec frénésie jusqu'à l'explosion de mon plaisir entre mes jambes.
Puis, on me laisse me doucher seul, longuement.
Lors de mon retour dans le salon, la moitié des hommes a quitté l'appartement.
Certains restent et profitent encore de moi, en petit comité, et surtout plus simplement.
En particulier le patron, trop content de m'enculer à sa guise, enfin !
Je l'entend parler de son compagnon, visiblement pas au courant de cette soirée.
Mais après tout, c'est pas mon problème !
Moi, je prend beaucoup de plaisir avec sa bite, et c'est ce qui me regarde !
Je suis rentré chez moi vers deux heures du matin, l'anus béant et plein de sperme, comme j'aime !
Même si c'est toujours gênant de se faire éclater l'anus ainsi, à cause des effets que cela engendre.
Le plaisir pervers que cela m'apporte est trop intense pour que je m'en passe.
J'ai la confirmation de mes excès en m'essuyant aux toilettes, j'ai de légères fissures anales, causées par trop de double pénétrations.
J'ai l'impression d'avoir le ventre plein d'air, l'effet de pompe de toutes ces sodomies, y est pour quelque chose.
Ce qui me causera donc, de nombreuses flatulences, une journée durant.
Par chance, Corinne ne me rejoindra que deux jours plus tard.
Après ce soir là, j'ai refusé de recommencer pendant un long laps de temps.
J'avais besoin d'avoir de vrais désirs pervers avant d'en parler à mon amant métis.
Il m'informait des soirées spéciales du Sex-shop, la soirée nue, la spéciale bondage et Fist.
J'ai refusé tout ça, mais j'ai adoré participer aux soirées Glory Holes.
Il prenait un plaisir malin à m'enculer pendant que je faisais éjaculer avec ma bouche, tous les hommes qui plaçaient leur sexes dans les trous devant moi.
Je n'ai jamais avalé autant de sperme !
Après l'orgie organisée par le caissier du Sex-Shop, malgré la perversité qui y régnais, j'avoue que je n'y pense pas beaucoup.
Pierre me manque toujours.
Pour l'oublier, je me donne à cœur perdu dans ma relation avec Corinne.
Peu à peu, je reprend gout à ma vie d'hétéro officiel.
Environ, un mois plus tard, je retourne au Sex-Shop, mes démons et le désir homo me reprend.
En entrant, je suis déçu du fait que c'est le patron qui tient la caisse.
L'après-midi se déroule bien, parmi ceux qui me baisent, j'ai le bonheur de retrouver le petit homme avec sa bite surdimensionnée.
Il me casse littéralement le cul, sans vergogne, comme à son habitude.
Sa sodomie sauvage m'a excité comme jamais, j'ai encore envie de me faire défoncer !
Une heure après, je me fais prendre par un trio d'hommes plus âgés que moi, comme j'aime !
Je me sens chanceux, leur nombre me permet de jouir enfin, sans retenue.
Outre ces rapports anaux, j'ai le plaisir de faire jouir 4 hommes avec ma bouche.
Bref, ma journée de sexe est idéale !
Je me dirige vers une cabine vide, dont le film n'est pas encore terminé pour me masturber, avant de quitter les lieux.
Je suis surpris par le rideau qui coulisse d'un coup !
C'est le métis qui m'a organisé le premier plan à plusieurs chez lui !
"Salut Pascal ! Je savais pas que t'étais là ! On va s'amuser ! T'en penses quoi ?".
"Ben, maintenant que tu es là, avec la bite qui bande ! Tu sais que je peux rien te refuser !".
"Je sais, c'est pour ça que je t'adore ! Tu vas te faire casser le cul encore ! Tu le sais ?".
"Oui, je sais !".
Je profite de cette puissante sodomie pour me toucher un peu, puis je me laisse aller à éjaculer sans me toucher, grâce à son savoir faire, pendant ses assauts profonds.
On discute comme souvent, il me dit qu'il a envie de m'organiser une seconde soirée.
"C'est gentil, mais ça craint pas un peu ? Il y en avait pas mal avec des masques ! J'ai peur qu'ils me connaissent en dehors du sexe ! Moi, je sais pas qui ils sont !".
"Ben ! Ca peut devenir un jeu ! Qui sait ?".
"Comment ça ?".
"Je te dirai ! Je viendrai chez toi, en fin d'après midi ! Pour t'emmener !".
"Ok, mais pas autant d'hommes que la dernière fois, s'il te plait ! J'ai plus senti mon cul pendant un long moment ! Je m'en souviens encore !".
"T'as adoré ça ! Ne dis pas le contraire !".
Je souffle, il a raison, j'ai aimé ça !
"Bon, d'accord !".
Je le quitte, heureux de ma journée de plaisir anal et buccal.
C'est encore avec surprise que je le vois devant chez moi, plusieurs jours, plus tard.
Cette fois, je lui demande de me laisser monter chez moi, histoire d'uriner et de me faire un lavement anal.
Il me sollicite un peu, en se faisant sucer pendant quelques minutes, mais se réserve pour la soirée.
Je le suis enfin, jusque chez lui, cette fellation m'a excité.
Nous sommes seuls, il me fait mettre une cagoule assez fine, dégagée pour permettre les fellations, et voir ce que je fais, avant que le premier invité arrive.
Dès le premier venu, il se fait aider pour me dévêtir.
La présence de nouveaux hommes me troublent, beaucoup sont masqués.
Chacun vient vers moi pour me toucher, ils me font part de leurs désirs pervers.
Le caissier lance un film porno gay avec un thème bondage.
Un homme au corps foncé m'attire à lui, il se secoue la bite sur mon visage, me pénètre la gorge.
Je sens le froid d'une dose de gel sur mon anus.
Puis alors que je me fait baiser la gorge, je comprend qu'on m'enfonce un gode de belle taille dans le cul.
Notre hôte dégage ses meubles avec l'aide des autres et laisse sa table de salon au centre.
Puis, on m'allonge sur celle-ci, sur le dos, en attachant mes mains à mes jambes écartées.
L'homme reprend son jeu en me baisant profondément avec le gode, je crie mon plaisir.
Puis, chacun me baise la gorge avec vice, pendant que d'autres m'enculent à tour de rôle, alors qu'on me tient les jambes.
Mes orgasmes s'enchainent, on me traite de mots vulgaires en se servant de mes orifices.
Le métis demande à deux d'entre eux de s'allonger en contre sens, afin de coller leurs bites, l'une à l'autre.
On me soulève, me détache, et on m'empale sur cette paire de queues, je joui très rapidement au rythme qu'on m'impose en m'enfonçant sur elles.
J'ai l'impression d'être un jouet sexuel, et j'aime ce sentiment.
Au bout de quelques minutes, les deux hommes annoncent qu'ils sont sur le point de jouir.
On me soulève et notre hôte me donne la consigne d'avaler leurs foutres simultanément.
J'ai une montée de plaisir cérébral en avalant tout ce jus salé et gluant.
Notre hôte fait allonger tous les hommes, l'un a coté de l'autre.
"Allez, baises les tous !".
Je n'en crois pas mes yeux, la situation est nouvelle !
Je m'empale sur le premier, je joui encore du cul sans discontinuer, pendant un long moment.
Mon amant me donne le signal de changer de queue.
Je me laisse diriger par chaque homme suivant la position qu'il préfère, je lui tourne le dos ou alors face à lui.
Je prend du plaisir avec chaque bite, chacune d'elle me fait jouir intensément, les grosses, les longues, les foncées, les glands très épais.
Mon anus est béant et humide de jus anal.
Je suis heureux de faire jouir deux d'entre eux, pendant ce jeu pervers.
Quand j'arrive au dernier, le caissier attend un long moment, avant de joindre sa bite à la sienne.
L'inconnu sous moi me masturbe, et me fait éjaculer abondamment pendant que je crie mon orgasme pendant cette double pénétration anale.
Après cela, on m'attache à la table, sur le ventre et je subis les assauts de ceux qui n'ont pas encore joui.
Je joui encore en me faisant défoncer le cul et la gorge.
Les hommes se glissent sous mon visage et me baisent la gorge à tour de rôle, en s'accrochant à mes cheveux et ma nuque.
Je reçois enfin quelques éjaculations dans la bouche, je m'en régale avec vice.
Mon cul est rempli à plusieurs reprises, certains se vident sur mes fesses.
Puis, on me place accroupi et tous les hommes se branlent en m'insultant.
Chacun d'eux se vide à tour de rôle entre mes lèvres.
On m'ordonne de ne pas avaler.
Le sperme s'accumule et commence à couler le long de mon torse.
Pour respirer, je suis obligé d'ingurgiter plusieurs fois, ce nectar de plaisir masculin.
Notre hôte nous propose alors:
"Si vous êtes d'accord, on peut tous enlever nos masques ! Comme ça, vous pourrez lui couvrir son joli petit visage ! Vous verrez comme il est mignon !".
Presque tout le monde s'exécute, je ne reconnais que des hommes rencontrés au Sex-Shop ou en bord de mer.
Les autres sont des inconnus.
Je reconnais aussi le patron du métis, c'est lui qui me dévoile alors, aux yeux des autres.
Son boss est en train de maculer ma face de sperme, il ajoute en jouissant:
"Oh, putain, depuis le temps que j'ai envie de te faire ça ! Arhhhhhhhhhhh !".
J'avale ce qui dégouline au fur et à mesure.
Le caissier m'encule encore, comme une pute.
Cette multitude de jus qui s'éjecte sur moi et dans ma gorge amplifie mon plaisir anal.
Le métis m'encule avec force et vice, il plonge ses doigts sur ma face maculée et m'enfonce le tout dans la gorge pendant quelque secondes.
Puis, il laisse aux autres la possibilité de me baiser encore la bouche.
"Alors ! Ma p'tite salope ! Ca t'as plu ? T'as aimé ma surprise ?".
"Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Arhhhhhhhh ! Glllllllllrpp ! Mmmmmmmmmmm ! Mmmm..oui !".
Celui qui se trouve dans ma bouche, se cale bien au fond et se déverse longuement, encore.
Mon amant métis ne tient plus et se lâche enfin dans mon cul.
Il me libère d'un excès de plaisir anal.
Les trois derniers se succèdent pour éjaculer avec abondance sur ma face d'ange et dans ma gorge.
Quand les dernières gouttes s'échappent de la dernière queue, je pousse un long râle d'essoufflement.
"J'en peux plus ! C'est trop pour moi, tout ça !".
Le patron du métis me dit alors:
"Pourtant, t'as assuré ! Tu devrais venir à nos soirées spéciales !".
"Vous y faites quoi ?".
"On t'initierai au Fisting ! Pour commencer !".
"Non, désolé, ça m'attire pas, même si on me l'a déjà fait, c'est pas mon truc !".
"Dommage ! En tout cas, je suis content de t'avoir baisé ! T'es une bonne salope !".
Je sais qu'il est essentiellement gay, et je prend cette phrase comme un compliment.
Il ajoute:
"Tu pratiques pas l'uro, non plus, je suppose !".
J'hésite avant de lui répondre, puis je joue franc jeu, et lui dit:
"Euh, Pour être franc ! J'aime un peu, mais je veux pas avaler ! J'avoue que comme c'est chaud, c'est très agréable de se faire pisser dessus ! Ca me fait bander !".
"Ah ! Ca vous dit les mecs ?".
Beaucoup acquiescent, je répond tout de suite:
"Quoi ? Maintenant ?".
Le métis m'ordonne:
"Allez, viens dans la salle de bain !".
Il m'entraine par le bras en me disant:
"T'as trop parlé !".
Il me place dans sa douche italienne, en m'agenouillant.
Un premier homme se faufile et m'arrose d'un puissant jet chaud.
Je ferme les yeux en me laissant aller au plaisir de sa chaleur dorée.
Son liquide me couvre le visage, j'attend patiemment qu'il termine d'uriner pour ouvrir mes yeux et ma bouche.
"Alors tu aimes toujours autant ?". Me demande le patron.
"Oui, j'ai honte, mais ça m'excite !".
"Alors, tu vas me recevoir aussi !".
Il dirige sa verge vers mon visage et je suis surpris par sa puissance, à lui aussi.
Malgré la rapidité avec laquelle, j'ai clos mes lèvres, il m'a giclé un peu dans la gorge, je rejette son urine aussitôt pendant que je me laisse aller encore, à cette chaude douche dorée.
Je sens une tension dans mon sexe, je me mets à bander !
J'ai beau lutter, j'aime qu'on me pisse dessus, c'est le point culminant de la soumission, pour moi.
Un troisième jet me couvre le corps, je ne me risque pas à voir qui se déverse sur moi.
L'homme me saisit par le haut du crâne en visant mon visage de son jet chaud.
J'entend un autre:
"Putain, j'en peux plus de me retenir ! Y a un peu de place pour moi ?".
Ce sont deux autres jets de pisse qui vienne s'ajouter aux précédents.
Puis, je me fais inonder d'urine, j'ai le malheur de respirer, ce qui me pousse à cracher en me faisant pisser dessus.
"Oh putain ! C'est trop bon de te pisser dessus !".
Je reconnais, sans le voir, mon amant régulier, le métis.
Il vient de se déverser sur moi, il me force à prendre encore, sa bite entre les lèvres.
Je le suce longuement en recevant les besoins urinaires des autres.
Un des invités, qui est magrébin me soulève les fesses et m'encule pendant quelques minutes, puis, je sens qu'il me remplit les intestins.
Je pousse un long gémissement.
Le métis recule et m'arrose encore le visage d'un reste d'urine.
"Tiens salope ! Pourquoi tu râles, puisque t'aime ça ?!".
Le magrébin se redresse et arrose mon dos.
"Mmmm ! Il m'a pissé dans le cul !".
Je me vide de son liquide avec une puissance extrême, en plusieurs jets.
"Super, on aime les salopes comme toi ! Un vrai vide couilles ! C'est bien !".
Cela donne des idées aux deux derniers qui imitent le magrébin.
Je me masturbe avec frénésie jusqu'à l'explosion de mon plaisir entre mes jambes.
Puis, on me laisse me doucher seul, longuement.
Lors de mon retour dans le salon, la moitié des hommes a quitté l'appartement.
Certains restent et profitent encore de moi, en petit comité, et surtout plus simplement.
En particulier le patron, trop content de m'enculer à sa guise, enfin !
Je l'entend parler de son compagnon, visiblement pas au courant de cette soirée.
Mais après tout, c'est pas mon problème !
Moi, je prend beaucoup de plaisir avec sa bite, et c'est ce qui me regarde !
Je suis rentré chez moi vers deux heures du matin, l'anus béant et plein de sperme, comme j'aime !
Même si c'est toujours gênant de se faire éclater l'anus ainsi, à cause des effets que cela engendre.
Le plaisir pervers que cela m'apporte est trop intense pour que je m'en passe.
J'ai la confirmation de mes excès en m'essuyant aux toilettes, j'ai de légères fissures anales, causées par trop de double pénétrations.
J'ai l'impression d'avoir le ventre plein d'air, l'effet de pompe de toutes ces sodomies, y est pour quelque chose.
Ce qui me causera donc, de nombreuses flatulences, une journée durant.
Par chance, Corinne ne me rejoindra que deux jours plus tard.
Après ce soir là, j'ai refusé de recommencer pendant un long laps de temps.
J'avais besoin d'avoir de vrais désirs pervers avant d'en parler à mon amant métis.
Il m'informait des soirées spéciales du Sex-shop, la soirée nue, la spéciale bondage et Fist.
J'ai refusé tout ça, mais j'ai adoré participer aux soirées Glory Holes.
Il prenait un plaisir malin à m'enculer pendant que je faisais éjaculer avec ma bouche, tous les hommes qui plaçaient leur sexes dans les trous devant moi.
Je n'ai jamais avalé autant de sperme !
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