Pierre, l'amoureux caché. la conséquence

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Pierre, l'amoureux caché. la conséquence Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pierre, l'amoureux caché. la conséquence
La suite de mon histoire avec Pierre, est moins belle.

Il me manque énormément. Au manque, s'ajoute un sentiment de culpabilité énorme.
Je l'ai utilisé pour mon plaisir personnel, en refusant l'évidence, je l'aimais aussi.

J'ai du mal à aimer physiquement Corinne, sans m'imaginer à sa place, entrain de jouir dans les bras de Pierre.

Environ deux semaines après, je me rend au Sex-Shop, avec un besoin évident de me faire humilier.

Très rapidement, le caissier métis vient m'enculer comme une salope.
Sa grosse queue est idéale pour combler mon besoin.
Je joui enfin analement, plusieurs fois, ça me manquait !
Comme on parle souvent, tous les deux, il me demande pourquoi, il n'avait plus le bonheur de m'enculer, pendant toute la durée de ma relation avec Pierre.
Je lui confie alors, mon histoire d'amour singulière.

"Oh toi ! Tu sais ce qui te ferais du bien ? Une bonne grosse baise ! Ca te dirait ?".
"Je sais pas !".
"Ecoutes, j'ai pas l'habitude de mélanger le plaisir avec le boulot, mais j'y réflechis !".

J'ai encore l'anus béant, à cause de lui, je lui dis alors, aussitôt:

"Tu plaisantes ! Qu'est-ce qu'on vient de faire ? Tu m'as enculé ! J'ai pas rêvé !".
"Ah, ah ! Oui, pardon, toi, c'est pas pareil ! T'es le seul que je baises, ici !".

Je me sens honoré de cette faveur.

Il me laisse ensuite, j'ai le plaisir de sucer 4 hommes et me fait enculer encore, à deux reprises.
C'est bien, mais pas aussi fort qu'avec Pierre.

Le seul qui m'a bien enculé, c'est le caissier, mais il fait partie de mes meilleurs amants.

A la sortie, le caissier me demande de rester encore un peu.
On attend la fermeture et il m'attire dans la salle homo, après avoir mis un nouveau film.
Il déballe sa grosse bite en m'ordonnant:

"Viens me sucer la bite ! Salope !".

Il me saisit par les cheveux et m'enfonce sur sa queue, puis me défonce la gorge.

"Tu mérites une punition ! C'est pas gentil de ne plus venir te faire enculer ! T'as manqué à ma queue, tu le sais ?".
"Pardon ! Je pensais pas !".
"Tais-toi et suces ! Salope ! Après ça, je te casses le cul, comme une chienne !".

Je jette un œil discret sur l'écran, et je vois un jeune homme comme moi, se faire humilier par plusieurs autres.
C'est donc, son fantasme !

En voyant une scène ou le garçon est empalé sur un gode, il est pris d'une lubie.
Il me prend par la main et m'entraine jusque derrière son comptoir.

il ouvre une porte et sort un genre de long plug anal avec trois grosses formes, l'une sur l'autre.
Les tailles vont en grossissant jusqu'à la base, la dernière approche les 7,5 cm de circonférence.

Il plaque la ventouse sur une caisse de trente centimètres de hauteur, puis m'enduit l'anus de gel.
Il positionne mon cul contre l'objet et m'ordonne de me pénétrer avec.

Pendant ce temps, il me baise la gorge avec vice.
Le première protubérance est déjà en moi, le caissier me secoue sur elle.

Je commence à gémir de plaisir anal, il amplifie ses appuis, sur mon corps, qui écartèlent mon anus sur le gode.
Je crie en me faisant remplir par la deuxième forme plus épaisse, environ 5 cm.
Je râle mon plaisir, sous le coulissement des 2 formes qui glissent dans mon anus.
Mon œillet se ferme et s'ouvre sur les deux formes, au fur et à mesure, qu'il m'empale sur elles.

Le plaisir est énorme, mon anus s'écrase sur la grosseur de la dernière protubérance.
Puis il ressort, revient, c'est un ballet infernal et délicieux dans mon cul.

J'ai la crainte de m'empaler sur la dernière forme, mon propre poids m'y enfonce.
Mon anus s'écartèle lentement, dans une sensation de déchirement.
Mais, mon amant est déchainé, il me soulève et m'encule bien plus longtemps qu'à mon arrivée, je prends plusieurs orgasmes !

Puis, il remarque que l'heure tourne, il me demande si, il peut venir chez moi, pour me "finir", c'est son expression.

Il passe donc la nuit avec moi.
Il me défonce encore l'anus, avec domination et humiliation, une heure durant et parvient à me faire éjaculer, avec sa grosse bite, en sexe anal.

Il me fait part d'un projet de faire passer le message à plusieurs hommes, que je cherche à me faire baiser.
Je lui demande un moment de réflexion.
Après une longue fellation lavante sur sa bite, il s'endort avec sa queue dans mon anus, suite à ma demande.

J'accepte sa proposition avant qu'il parte au petit matin, et après une nouvelle fellation humiliante.

"Fais moi confiance ! Je vais bien te les choisir ! J'ai déjà quelques mecs en vue !".
"Merci ! Pour ça, et pour cette nuit, ça m'a fait du bien !".

Il me fait un clin d'œil et disparait. Je reste avec le gout de son sperme dans la gorge, ressourcé pour mes obligations envers Corinne.

Je redécouvre que j'ai besoin de me faire baiser par des hommes, pour être équilibré en public.

3 semaines après, je le vois devant la porte de mon immeuble, vers 19 heures.

"T'es prêt ? C'est pour ce soir ! Tu viens chez moi ! Suis-moi !".
"Mais, je m'attendais pas à ça, ce soir ! En plus, je sais pas ce qui m'attend !".
"Tu me fais confiance ? Crois moi, tu vas te faire éclater le cul ! C'est ce que tu aimes ! Non ?".
"Euh...Oui !".

Je le suis, avec le sentiment d'aller à l'abattoir.
Il habite dans les bas quartiers, on monte plusieurs étages dans un immeuble ancien.
Il ouvre sa porte, un brouhaha de voix me surprend.

"Voila ! Je vous ai emmené votre victime ! Faites en ce que vous voulez !".

Ces mots me figent, il m'offre à ces hommes comme un jouet.
Je suis apeuré et excité à la fois.

Les "Ohhh" et "Ahhh" de contentements se mélangent. Plusieurs hommes portent des masques.
Je n'arrive pas à les compter, je remarque la présence de deux hommes noirs et quelques magrébins.

Certains sont déjà nus, la bite à la main, entrain de mater le porno homo, sur l'écran de télé de notre hôte.
On me tend un verre d'alcool, puis un deuxième, des mains me dénudent.
D'autres les aident.
J'avale encore deux autres verres, je perds toute réticence.

L'ambiance me grise, la tension sexuelle devient intenable.
Un sexe me pénètre la bouche, je m'en empare et me lance dans une fellation goulue.

D'autres queues viennent à ma portée, et me baisent la gorge, à tour de rôle.
Je reconnais le froid du gel, entre mes fesses, puis plusieurs doigts me fouillent.
Je ne me reconnais plus, j'ose réclamer:

"Non ! Je préfère des bites ! Encules-moi !".
"Humm ! Tu vas en avoir des bites ! Salope ! On aime bien les petites pédales, dans ton genre, ici !".
"Ah, ah, surtout qu'il est hétéro ! Montrez lui ce que c'est, de se faire démonter comme une pute !". Ajoute le caissier.

Je suis aussitôt entrepris analement par un inconnu.
Je gémis plusieurs fois, à chaque tentative d'enfoncement, puis je lâche un grand râle, quand son long sexe me transperce enfin.

Des commentaires salaces accompagnent la pénétration de l'homme.
L'un d'eux lance:

"Ouais, il encaisse bien, le jeune ! C'est bien pour un hétéro !".

Un autre me tient par le cul, pendant qu'on m'encule, il me claque les fesses, plusieurs fois.
Je suis envahi par mon premier orgasme anal, je le crie.

"Oh, mais il aime vraiment ça, en plus ! Comme une pédale ! Pas vrai ?".

Entre mes râles de jouissance, je suis pris de sons de régurgitation et d'étouffements, suite aux défonces buccales que je subis.

Toutes ces bites autour de moi me rendent fou d'excitation, le plaisir cérébral m'envahit.
Celui qui m'encule, offre mon anus au premier qui veut en profiter aussi.
Je me cambre en me faisant encore transpercer.

Une multitude de queues se succèdent dans mon cul, mes orgasmes également.

Devant moi, je m'excite en dévorant des bites dures, longues, épaisses, avec des glands surgonflés.

Quand c'est le tour d'un black, je m'en nourri avec abondance.
Je lui fais profiter de ma faculté d'insertion profonde, buccale.
Le bas de mon visage est couvert de salive, pendant qu'il me tient par les cheveux en me défonçant la gorge.
Il m'humilie ensuite en frappant sa bite sur mon visage.
Il m'excite, je le fixe en recevant ses coups de queue, et en jouissant du cul.

"T'aimes bien faire la pute !".
"Arghhhhhhhhh ! Oui, J'adore ! tu vas m'enculer toi aussi ! Je te veux ! Arhhhhhhhh !".
"J'arrive, Salope !".

Il attends que l'autre homme lui laisse la place et vient se planter en moi.
Comme il est long et fin, il profite de ma faculté à le recevoir en entier.
Il ôte sa ceinture pour la passer à mon cou, en s'y attelant comme on tient une laisse.

"Allez ! Bouges sur ma bite, sale chienne !".

Puis je décide d'aller plus loin, je m'éloigne des bites qui attendent ma bouche.
Ensuite, je me dégage du pieu noir qui m'encule.

Il me regarde étonné, je le couche sur le dos et m'empale sur lui, en râlant mon plaisir.
Puis, je lance au groupe:

"J'en veux une autre ! Vite ! Eclatez moi le cul !".

Cela ne tarde pas, un inconnu se joint au black, assez rapidement.

Certains applaudissent bêtement la scène, pendant que je me fais encore défoncer la gorge.

Un homme a pris la ceinture en main, pour la tendre et m'humilier encore davantage.

Un homme me bloque sur sa verge, en me disant:

"Putain, j'ai adoré t'enculer ! Salope ! Tiens, avale maintenant !".

Je reçois ma première dose de sperme brulant et un peu amer.
J'ingurgite son jus avec difficulté, tant, je suis occupé à jouir analement.

"Humm ! Il avale ! Il est parfait cet hétéro !".

Tout ça me rend fou, mais m'affole aussi, c'est la première éjaculation, alors que je me fais baiser depuis plus d'une heure trente !

Par bonheur, celui qui m'encule avec le black subit l'effet serré de mon anus, sur sa bite, et sort de mon cul pour me maculer le dos.
Ses jets sont puissants et me polluent en longs filets de sperme.

"Ouah, ça, c'est beau ! Qui veut être le suivant ?". Ajoute notre hôte.

Pendant cet intermède, l'homme noir se déchaine en moi, je crie comme une chienne.
Je suis rapidement, doublement pénétré, encore.
Je suis au bord des larmes, tellement, je joui intensément.

Un gros pervers, qui a bien usé de mon cul auparavant, vient se masturber devant ma bouche, il demande aux autres de s'écarter, afin de me couvrir le visage de foutre, puis se termine entre mes lèvres.

Il va ensuite s'assoir sur un fauteuil, en matant l'orgie que je subis et en buvant de l'alcool.

Un des suivants, utilise sa bite pour me faire lécher le sperme encore sur moi.

Par moment, je prend plaisir à observer le black sous moi, j'aime me rassurer sur le pied qu'il prend avec mon cul.
J'exulte, quand je le vois se crisper et se cramponner à mes hanches.

"Arhhhh ! Ouais, putain c'est bon ! Arghhhhhhhhhh !".

Je l'aide à jouir en bougeant mon bassin sur sa bite, tout en me faisant défoncer par l'autre, derrière moi, qui ajoute deux minutes plus tard:

"Ohhh ! C'est encore meilleur avec du foutre ! Arghhhhhh ! Je vais le remplir, moi aussi ! Arhrrrrrrrrrrrrhhhhhhh !".

Je dois, à présent, me dégager pour la suite.
Je m'attend à enjamber une autre homme, mais une voix grave s'impose:

"A moi ! Je l'ai pas encore gouté !".

L'homme a un accent magrébin, je me tourne et comprend que c'est le plus membré de la soirée.
Il me remplit d'une traite, la simple présence de sa bite me fait orgasmer d'un coup.

"Arghggggghhhhhhh ! Putain ! Elle est bonne, ta bite ! ARRRRRRHHHHHHHH ! Salaud !".
"Tu l'aimes ! Tant mieux ! Parce que moi, je suis bien dans ton cul ! Salope ! Ils t'ont bien ouvert, les autres !".

Je m'étouffe de plaisir sur les bites que je dois sucer, encore et encore.

J'avale du foutre à deux reprises, des gouttes chaudes tombent sur mon dos.
Certains n'ont pas la patience d'attendre à nouveau mon cul ou ma bouche. c'est ce qui me vaut d'être ainsi maculé.

Le magrébin me tord le torse en saisissant la ceinture, pour me cambrer sur sa bite, et en me défonçant comme une vulgaire pute.
Sa défonce anale est bien plus longue que les autres, je me met à éjaculer abondamment entre mes jambes.

Des claquements de mains applaudissent l'homme, pour cette victoire.

Quelques minutes après, immanquablement, je m'attend à la suite, inévitable.
Un petit jet de liquide clair, s'échappe de mon sexe qui a ramolli.

"Encore Kader ! Il commence à gicler sa pisse !".
"Arghhhhhhhhh ! Non ! J'ai honte ! Arghhhhhhhhhh !".

Je m'écoule sous mon corps, au rythme des assauts de Kader.
Mes premiers jets sont nombreux et abondants, puis diminuent enfin, au bout de quelques minutes.

Notre hôte apporte une grande serviette de bain et m'ordonne:

"Tu vas essuyer tout ça ! Salope !".

Je m'exécute difficilement, tout en me faisant encore enculer par Kader, sans fin.
Il me fait encore couler, je tache la serviette que j'ai laissée sous moi.

Je prend de nouveaux enfoncements plus puissants, il se libère enfin de son plaisir.
Les autres lui permettent de jouir pleinement, en le laissant me relever sur sa bite.
Mon visage révèle l'orgasme intense que je vis encore.

Son insémination est interminable, ponctuée de spasmes, dans sa verge épaisse et longue.
Je ne sens plus mon anus, rien que mes parois anales, qui m'apportent tant de sensations de plaisir.

Il recule lentement, je tente de serrer mon œillet, mais j'ai moi aussi, un spasme, qui me fait écarteler l'anus.
Son foutre coule aussitôt pour s'éclater au sol.

"Hummm ! Je t'ai bien éclaté ! Salope ! Je me suis régalé ! Ca t'as plu ?".
"Ahh ! Oui ! J'ai adoré ! Kader !".

La suite est à cette image, doubles pénétrations en chaine, déversements de sperme, internes et sur moi, humiliations diverses.

J'avale une double dose de sperme, simultanée, en suçant deux longues bites à la fois.
J'ai encore quelques écoulements.

Certains reprennent de la vigueur et abusent, à nouveau, de mon corps.

Quand le dernier invité se vide enfin, je m'écroule aussitôt, sur la serviette, imbibée de foutre et de liquide clair, pour reprendre des forces.

Je me relève, un long moment plus tard, aidé par le caissier du Sex-Shop, notre hôte.
Tout le monde a quitté les lieux.
Il a encore un filet de sperme qui coule au bout de la queue.

"Bravo Pascal ! Tu leur a beaucoup plu ! Ca te dit de recommencer un autre soir ?".
"Je...je sais pas ! Je crois que je suis allé trop loin, cette fois ! Je suis épuisé !".
"Normal, tu te fais enculer depuis plus de quatre heures !".
"Je sais ! Ca m'est jamais arrivé avec autant d'intensité ! Ils étaient tous endurants, je suis mort !".
"Allez, viens ! Je t'emmène sous la douche, après tu pourras te reposer un peu !".

Je me déplace difficilement, mon corps est couvert de sperme, encore liquide et séché à d'autres endroits.
J'en ai encore le gout prononcé dans la gorge, aussi.
Du foutre coule également entre mes cuisses, et tache mes petites chaussettes.

Je les rince, pendant que mon amant règle la température de l'eau.
Il s'apprête à me laisser, quand je lui demande:

"Tu peux me rendre un service ?".
"Bien sûr ! Tout ce que tu veux !".
"Tu peux me laver ? J'ai envie de tendresse !".
"Ca va ! j'ai compris !".

Il me lave avec le gant, en utilisant la mousse comme gel caressant.
Il me donne plusieurs baisers, ce qui est rare avec lui.
Je me laisse envahir par l'effet frissonnant de ses caresses, puis je fond en larmes.
Pierre me manque tellement !

"Je suis désolé, je pense encore à lui ! C'était un de nos moments préféré !".
"J'avais compris, Pascal ! Tu peux te lâcher, ça va te faire du bien !".

Je pleure sur son épaule, puis je me reprend et il termine sa toilette en m'embrassant longuement.

Il m'entraine vers son canapé, le salon est sans dessus dessous.
Je m'allonge en posant la tête sur sa cuisse.

"Merci, quand même, au fait ! J'ai bien joui ! ça m'a fait beaucoup de bien, je suis sevré pour un moment, je crois !".
"Tu sais combien, ils étaient ?".
"Non, et j'ai peur de savoir ! Ne me dis pas !".
"OK ! Comme tu veux !".

Je ne me vois pas m'endormir sur sa cuisse, toujours est- il, que c'est le bruit qu'il fait en rangeant son salon, bien plus tard, que je m'éveille.
Je l'aide à terminer, il lance un film dans son magnétoscope.
J'hallucine, en voyant que c'est encore un porno gay.

"T'as encore envie de mater ça ?".
"Oui ! Mon bébé ! Et tu vas me sucer pendant que je mate !".
"Bon, d'accord, mais tu m'encules pas, j'en peux plus !".
"Compris, chéri, allez viens !".

Après de longues minutes d'un pompage, tantôt frénétique et parfois langoureux, il m'abreuve de sa deuxième éjaculation.

Le film se termine et je vais dormir avec lui, jusqu'au matin.

Le petit déjeuner fut encore arrosé, bien sûr, surtout mon visage et ma gorge !

Je rentre chez moi, un peu moins malheureux et conscient de ma condition de "salope".
Ma nuit sans sodomie m'a permit de limiter les effets indésirables, dus à une trop longue sollicitation anale.

Mais en faisant l'amour avec Corinne, en position de 69, elle m'a fait remarqué que j'avais "une grosse rougeur autour de l'anus".
J'ai noyé le poisson, mais quelques années plus tard, elle comprendra ce qui cause cet effet.

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