Pierrette en EHPAD
Récit érotique écrit par Aenvi2sex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Pierrette en EHPAD
Ma femme raccroche le téléphone.
- Ça ne s’arrange pas pour Pierrette !
- Comment cela ?
- Je viens d’avoir Georges. Il est hospitalisé. Il me disait que Pierrette devient folle. Elle raconte n’importe quoi, qu’elle a un amant de 25 ans et toutes sortes d’inepties du même acabit !
À ces nouvelles, quelqu’un de normal compatirait mais je suis loin d’être normal. Aussitôt dans mon cerveau germe une idée perverse.
Cela fait des années que je fantasme sur Pierrette, la tante de ma femme.
Elle a 87 ans, petite, mince et d’après ce que je sais d'elle, portée sur la chose !
La question qui se pose, c’est comment faire en sorte de me retrouver seul avec elle sans éveiller de soupçons ?...
- Pierrette est toute seule à l’EHPAD ?
- Oui, Georges en a pour 15 jours d’hospitalisation.
- On pourrait peut-être lui rendre visite même si elle est complètement à l’ouest ?...
- Tu sais ce ne sera pas très plaisant. Il parait qu’en plus elle ne reconnait plus personne.
- Ce n’est pas pour nous que nous irions, c’est pour ne pas l’abandonner.
- Tu es gentil… on peut y aller demain si tu veux.
- OK.
Ça y est.
Les filets sont jetés.
Le lendemain, en arrivant à l’EHPAD, je ne suis pas déçu par le spectacle que nous offre Pierrette.
Elle ne nous reconnait pas, raconte n’importe quoi et est totalement dans un autre monde.
Elle ne réagit pas quand, profitant que ma femme parle au personnel, je lui passe la main sur les fesses.
Encouragé par son absence de réaction, j’insiste et lui pétris les fesses par-dessus son jean, glissant rapidement le long de la raie pour me retrouver entre ses cuisses maigres.
Toujours pas de réaction !
Je la masse entre les cuisses.
Pierrette ne bouge pas.
Sylvie revient.
Je retire rapidement la main d’entre les cuisses de sa tante.
Ma femme n’a rien vu.
- Ton mari m’a touché les fesses !
Petit moment de stupeur…
Sylvie me regarde.
Je réfléchis à cent à l’heure.
Comment nier sans avoir l’air coupable ?...
C’est ma femme qui me « sauve » :
- Un amant de 25 ans, maintenant toi… décidément elle a beaucoup de succès pour son âge ! les infirmières m’ont dit qu’elle a déjà accusé tout le personnel et des résidents de l’EHPAD d’avoir abusé d’elle !...
- Quel malheur !...
La visite se poursuit encore un peu mais Sylvie ne supporte pas de voir ce que sa tante est devenue et nous la quittons rapidement.
- Sylvie, si tu ne supportes plus ces visites, je peux venir seul une ou deux fois par semaine en attendant le retour de Georges ?...
- Je ne peux pas t’infliger cela !
- Il faut penser à elle… on ne sait pas comment on sera à son âge…
- Tu es gentil.
- Ce n’est rien… je reviendrai demain et je te dirai comment ça se sera passé…
À 14h le lendemain, je me pointe à l’EHPAD.
Pierrette est seule dans un fauteuil.
- Je vais t’emmener faire une balade…
Je l’entraine dans sa chambre et l’aide à enfiler son trois quart en cuir.
Dans le couloir désert je ne peux résister à l’envie de lui peloter le cul sans que Pierrette ne s’en offusque.
Quelques minutes plus tard nous roulons en direction du « bois de Madame » ma main négligemment posée sur la cuisse de l’ancêtre.
Elle ne réagit pas, même quand ma main la caresse sans ambigüité et plonge entre ses cuisses pour aller se mettre au chaud près de son intimité.
Maintenant ce ne sont plus des caresses mais un massage en règle de sa chatte.
Pierrette remue sous ce massage intime et commence à réagir en poussant des râles sans équivoque : elle aime ça !
J'engage la voiture dans un chemin forestier et au bout d’une centaine de mètres je stoppe à l’abri des regards.
Je descends de la voiture, en fais le tour, ouvre la porte de Pierrette et l’entraine sur la banquette arrière.
La portière refermée, je me colle contre la vieille femme et l’embrasse sur la bouche tout en lui ouvrant nerveusement son blouson.
- Que faites-vous ?!!!
- Écoute-moi Pierrette. Tu racontes à tout le monde que tu as un amant et bien maintenant ça va être vrai. Je vais te baiser comme une salope que tu es !
- Non, non…
- Ta gueule chérie !... laaa… allez, laisse-toi faire… enlève ton blouson !... bien…
Je l’embrasse dans le cou.
J’ouvre son corsage… je le déboutonne entièrement… je le fais glisser… elle se retrouve en soutien-gorge… j’en fais glisser les bretelles et découvre ses seins…
- J’adore ta vieille peau Pierrette ! ridée mais douce… j’adore tes petits seins !... hummm mais ils se dressent tes tétons !... tu aimes ça salope !...
Je lui dégrafe le soutien-gorge et l’embrasse sur la bouche…
Ma main descend sur son ventre plissé, baisse la fermeture éclair de son jean que j’ouvre pour y glisser les doigts sous le slip.
- Mais tu es imberbe chérie… on dirait une petite fille… tu sais que j’aime les petites filles ?
- Arrêtez !...
- Attends ! tu veux que j’arrête ?... je suis sûr que tu veux que je te baise !...
- Nonnnn…
Je l’embrasse goulument sur le bouche, nos langues s’enroulent, nos salives se mêlent, ma main caresse fermement la chatte molle de l’ancêtre.
D’un geste brusque je lui descends le jean et le slip.
La vieille est nue sur la banquette à gémir pour que j’arrête.
J’écarte ses cuisses et y plonge le visage pour lui bouffer la chatte.
Je salive abondamment.
J’y glisse ma langue.
Je goute ce vieux fumet… hummm quel bonheur !...
- Pierrette ! depuis le temps que je voulais te baiser !...
- Nonnn, je vous en prie, nonnnnnn !
Je me redresse et l’embrasse tendrement sur la bouche.
- Laisse-toi faire mon amour, tu vas aimer ça !...
- Nonnnn !...
Sans cesser de l’embrasser, je sors ma queue et renverse Pierrette sur la banquette.
Faisant abstraction de ses suppliques, je lui écarte les jambes et me glisse entre elles tout en guidant ma queue vers son vagin dégoulinant de salive.
- Hummm tu es étroite Pierrette !... imberbe, étroite… tu es une vraie petite fille chérie !...
- Ordure !...
- Hummm, mais on dirait que tu retrouves tes esprits ma salope !...
- Aieeeeeeeeee !!!!!
- C’est gros ! hein ma pute ?!...
- Doucement !... nonnnn… vous me déchirez !...
- Détends-toi chérie… ouiii, laaa, c’est mieux…
Pierrette semble se détendre et allongée sur la banquette elle laisse aller sa tête sur le côté pour pleurer.
Je profite de ce calme pour la ramoner longuement et je sors de ma tante pour lui éclabousser le ventre de longues giclées de sperme.
- Hummm, salope. Je vais te laver. Je ne voudrais pas que quelqu’un s’avise de trouver mon sperme sur toi ou tes habits.
La vieille femme nettoyée, rhabillée, longuement pelotée, je la sors de la voiture, l’enlace une dernière fois tout en l’embrassant amoureusement avant de la reconduire à son EHPAD.
- Ça c’est bien passé me demande une employée ?
- Très bien… et je reviendrai après-demain… n’est-ce pas Pierrette ?
À nouveau dans son monde, Pierrette semble avoir oublié son viol et sans m’adresser un regard se dirige vers l’escalier pour rejoindre sa chambre.
- Ça ne s’arrange pas pour Pierrette !
- Comment cela ?
- Je viens d’avoir Georges. Il est hospitalisé. Il me disait que Pierrette devient folle. Elle raconte n’importe quoi, qu’elle a un amant de 25 ans et toutes sortes d’inepties du même acabit !
À ces nouvelles, quelqu’un de normal compatirait mais je suis loin d’être normal. Aussitôt dans mon cerveau germe une idée perverse.
Cela fait des années que je fantasme sur Pierrette, la tante de ma femme.
Elle a 87 ans, petite, mince et d’après ce que je sais d'elle, portée sur la chose !
La question qui se pose, c’est comment faire en sorte de me retrouver seul avec elle sans éveiller de soupçons ?...
- Pierrette est toute seule à l’EHPAD ?
- Oui, Georges en a pour 15 jours d’hospitalisation.
- On pourrait peut-être lui rendre visite même si elle est complètement à l’ouest ?...
- Tu sais ce ne sera pas très plaisant. Il parait qu’en plus elle ne reconnait plus personne.
- Ce n’est pas pour nous que nous irions, c’est pour ne pas l’abandonner.
- Tu es gentil… on peut y aller demain si tu veux.
- OK.
Ça y est.
Les filets sont jetés.
Le lendemain, en arrivant à l’EHPAD, je ne suis pas déçu par le spectacle que nous offre Pierrette.
Elle ne nous reconnait pas, raconte n’importe quoi et est totalement dans un autre monde.
Elle ne réagit pas quand, profitant que ma femme parle au personnel, je lui passe la main sur les fesses.
Encouragé par son absence de réaction, j’insiste et lui pétris les fesses par-dessus son jean, glissant rapidement le long de la raie pour me retrouver entre ses cuisses maigres.
Toujours pas de réaction !
Je la masse entre les cuisses.
Pierrette ne bouge pas.
Sylvie revient.
Je retire rapidement la main d’entre les cuisses de sa tante.
Ma femme n’a rien vu.
- Ton mari m’a touché les fesses !
Petit moment de stupeur…
Sylvie me regarde.
Je réfléchis à cent à l’heure.
Comment nier sans avoir l’air coupable ?...
C’est ma femme qui me « sauve » :
- Un amant de 25 ans, maintenant toi… décidément elle a beaucoup de succès pour son âge ! les infirmières m’ont dit qu’elle a déjà accusé tout le personnel et des résidents de l’EHPAD d’avoir abusé d’elle !...
- Quel malheur !...
La visite se poursuit encore un peu mais Sylvie ne supporte pas de voir ce que sa tante est devenue et nous la quittons rapidement.
- Sylvie, si tu ne supportes plus ces visites, je peux venir seul une ou deux fois par semaine en attendant le retour de Georges ?...
- Je ne peux pas t’infliger cela !
- Il faut penser à elle… on ne sait pas comment on sera à son âge…
- Tu es gentil.
- Ce n’est rien… je reviendrai demain et je te dirai comment ça se sera passé…
À 14h le lendemain, je me pointe à l’EHPAD.
Pierrette est seule dans un fauteuil.
- Je vais t’emmener faire une balade…
Je l’entraine dans sa chambre et l’aide à enfiler son trois quart en cuir.
Dans le couloir désert je ne peux résister à l’envie de lui peloter le cul sans que Pierrette ne s’en offusque.
Quelques minutes plus tard nous roulons en direction du « bois de Madame » ma main négligemment posée sur la cuisse de l’ancêtre.
Elle ne réagit pas, même quand ma main la caresse sans ambigüité et plonge entre ses cuisses pour aller se mettre au chaud près de son intimité.
Maintenant ce ne sont plus des caresses mais un massage en règle de sa chatte.
Pierrette remue sous ce massage intime et commence à réagir en poussant des râles sans équivoque : elle aime ça !
J'engage la voiture dans un chemin forestier et au bout d’une centaine de mètres je stoppe à l’abri des regards.
Je descends de la voiture, en fais le tour, ouvre la porte de Pierrette et l’entraine sur la banquette arrière.
La portière refermée, je me colle contre la vieille femme et l’embrasse sur la bouche tout en lui ouvrant nerveusement son blouson.
- Que faites-vous ?!!!
- Écoute-moi Pierrette. Tu racontes à tout le monde que tu as un amant et bien maintenant ça va être vrai. Je vais te baiser comme une salope que tu es !
- Non, non…
- Ta gueule chérie !... laaa… allez, laisse-toi faire… enlève ton blouson !... bien…
Je l’embrasse dans le cou.
J’ouvre son corsage… je le déboutonne entièrement… je le fais glisser… elle se retrouve en soutien-gorge… j’en fais glisser les bretelles et découvre ses seins…
- J’adore ta vieille peau Pierrette ! ridée mais douce… j’adore tes petits seins !... hummm mais ils se dressent tes tétons !... tu aimes ça salope !...
Je lui dégrafe le soutien-gorge et l’embrasse sur la bouche…
Ma main descend sur son ventre plissé, baisse la fermeture éclair de son jean que j’ouvre pour y glisser les doigts sous le slip.
- Mais tu es imberbe chérie… on dirait une petite fille… tu sais que j’aime les petites filles ?
- Arrêtez !...
- Attends ! tu veux que j’arrête ?... je suis sûr que tu veux que je te baise !...
- Nonnnn…
Je l’embrasse goulument sur le bouche, nos langues s’enroulent, nos salives se mêlent, ma main caresse fermement la chatte molle de l’ancêtre.
D’un geste brusque je lui descends le jean et le slip.
La vieille est nue sur la banquette à gémir pour que j’arrête.
J’écarte ses cuisses et y plonge le visage pour lui bouffer la chatte.
Je salive abondamment.
J’y glisse ma langue.
Je goute ce vieux fumet… hummm quel bonheur !...
- Pierrette ! depuis le temps que je voulais te baiser !...
- Nonnn, je vous en prie, nonnnnnn !
Je me redresse et l’embrasse tendrement sur la bouche.
- Laisse-toi faire mon amour, tu vas aimer ça !...
- Nonnnn !...
Sans cesser de l’embrasser, je sors ma queue et renverse Pierrette sur la banquette.
Faisant abstraction de ses suppliques, je lui écarte les jambes et me glisse entre elles tout en guidant ma queue vers son vagin dégoulinant de salive.
- Hummm tu es étroite Pierrette !... imberbe, étroite… tu es une vraie petite fille chérie !...
- Ordure !...
- Hummm, mais on dirait que tu retrouves tes esprits ma salope !...
- Aieeeeeeeeee !!!!!
- C’est gros ! hein ma pute ?!...
- Doucement !... nonnnn… vous me déchirez !...
- Détends-toi chérie… ouiii, laaa, c’est mieux…
Pierrette semble se détendre et allongée sur la banquette elle laisse aller sa tête sur le côté pour pleurer.
Je profite de ce calme pour la ramoner longuement et je sors de ma tante pour lui éclabousser le ventre de longues giclées de sperme.
- Hummm, salope. Je vais te laver. Je ne voudrais pas que quelqu’un s’avise de trouver mon sperme sur toi ou tes habits.
La vieille femme nettoyée, rhabillée, longuement pelotée, je la sors de la voiture, l’enlace une dernière fois tout en l’embrassant amoureusement avant de la reconduire à son EHPAD.
- Ça c’est bien passé me demande une employée ?
- Très bien… et je reviendrai après-demain… n’est-ce pas Pierrette ?
À nouveau dans son monde, Pierrette semble avoir oublié son viol et sans m’adresser un regard se dirige vers l’escalier pour rejoindre sa chambre.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est du viol ça !! qui peut bander du début jusqu'à la fin en lisant les supplices d'une vieille non consentante?
Pour quand la suite ?