PILE - la jouissance

- Par l'auteur HDS Primaq69 -
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : PILE - la jouissance Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
PILE - la jouissance
Mot de l'auteur :
J'ai un peu de mal à trouver l'inspiration pour avancer côté FACE, si des lectrices souhaite proposer des idées de sévices et de jouissance à mettre en musique dans ce scénario n'hésitez pas à me contacter en MP.

PILE - la jouissance

Après un bref passage dans la salle de bain pour m'arroser le visage d'eau froide, je revenais dans la pièce pour retrouver ma femme gémissante.

Je marquais une seconde d'arrêt en entrant. Je n'étais parti que 2min, mais elles avaient été suffisantes pour que la vue de Sarah, avec son maquillage ravagé et son corps ligoté luisant de sueur, ait un côté surréaliste.

Je m'approchais d'elle et lui caressait les cheveux doucement. Elle me cherchait du regard, toujours un peu suppliante. Elle semblait maintenant résignée à son sort, ses sanglots ayant maintenant été majoritairement remplacés par des gémissements de plaisir. Qui se traduisait d'ailleurs plus par des gargouillement obscènes dû à l'accumulation de bave et de sperme dans sa bouche bloquée en position ouverte.

Avec sa tête penchée en arrière, c'était difficile de ne pas être tenté… tout en continuant à lui caresser les cheveux, je lui crachais dans la bouche. Elle sursauta en poussant un petit cri de surprise. J'atteins en réalité la commissure de ses lèvres et observais le filin couler doucement le long de sa langue… j'estimais l'avoir suffisamment faite poireauté.

Elle ne put cacher sa satisfaction lorsque je commençais à défaire les attaches du harnais qui maintenait le ring gag en place. Ses yeux s'illuminèrent malgré ses pupilles éteintes.

Lorsque j'enlevais enfin l'anneau, sa mâchoire resta bloquée en position ouverte pendant quelques secondes. C'est tout le temps qu'il m'a fallu pour me dire qu'elle ne pouvait pas s'en tirer à si bon compte.

Avant qu'elle n'ait eu le temps de recracher, je plaquais sa mâchoire vers le haut pour la refermer de force. Elle grogna de mécontentement.

- “Avale”

Mon ton de voix froid et dominant la surprit autant que moi elle avait toujours la tête plaquée en arrière, mon visage était donc juste au-dessus du sien.

Elle donnait l'impression de soutenir mon regard, une étincelle de défi dans les yeux… j’adore quand elle fait sa “brat”, qu’elle refuse mon autorité pour me forcer à l'imposer.

5 seconde. Je lui crachais à nouveau au visage. Elle parut choquée, mais tint bon.

10 secondes.

- “j'ai tout mon temps tu sais”

15 secondes. Elle aussi apparemment. Je décidais de lui forcer la main.

- “chaque seconde qui passe sera un coup de fouet sur tes fesses…”

Elle avala immédiatement, eut un léger haut le cœur et fit une grimace.

Mon dieu qu'est ce qu'elle était belle.

Je lui déposais un petit baiser sur ses lèvres fermées. Je lui caressais les cheveux en profitant du moment. Elle accompagnait ma caresse et ondulait son bassin en ronronnant, l'association du crochet boule, du gode et du vibromasseur sur son clito faisant son effet.

Je décidais de reprendre les choses en main avant qu'elle ne succombe trop tôt aux vagues de plaisir.

- “Allez, debout”

Je pris la corde encore accrochée à son crochet anal et tira dessus pour l'aider, ce qui la fit grogner.
Elle se redressa laissant son gode à terre. Le vibro, glissé dans la corde tenue sur son entrejambe, tomba au sol.

Elle fit la moue, déçue de se voir voler son plaisir.
Je détachais la corde qui enferme ses poignets pour la renouer devant elle. Elle se laissait faire silencieusement, probablement un peu sonnée par cet instant de calme.

Je la guidait jusqu'au lit et la fit basculer vers l'avant. J'utilisais 2 cordes pour lui lier les chevilles au pied du lit, les cuisses le plus écartées possible.
Je saisis le bout libre de la corde qui enfermait ses poignets et l'attachait de l'autre côté du lit en tendant la corde au maximum.

Elle était désormais solidement immobilisée sur le lit, pliée en deux, les fesses et l’entrejambe complètement exposées, les bras tendus devant elle.

Je ramassais le gode qui avait séjourné dans son intimité et le refixait sur la sangle du bâillon associé. Il était luisant de mouille…

Je l'amenais devant sa bouche :

- “ lèche”

Elle obéit à l'ordre immédiatement. Elle marqua un temps d'arrêt, se rendant compte qu'elle était en train de goûter à son intimité. Pendant une fraction de seconde, je fus extrêmement jaloux.

J'enfonçais le gode dans sa bouche et fixais la sangle de manière à ce qu'elle ne s'étouffe pas. Elle devait se concentrer pour ne pas se laisser déborder… parfait.

Je caressais doucement son dos, sa croupe, glissait ma main entre ses cuisses. Je jouais avec le crochet pour faire bouger la boule dans son cul, ce qui la fit sursauter, puis gémir. Je glissais mes doigts doucement le long de ses grandes lèvres, titillait l'entrée de son vagin.

Elle alternait entre halètement de plaisir et bruit de succion. Succombant à l'excitation, elle s’était mise à la bite en plastique figée dans sa bouche.

Sans prévenir, ma main frappa ses fesses. Elle sursauta et poussa un cri étouffé, regardant dans toutes les directions.

- “Tu as mis 20 secondes à avaler si je ne me trompe”

Elle mit quelques secondes à resituer. 20 coups de fouet.
Elle se lança dans une négociation inintelligible, la liberté de mouvement de sa langue et sa mâchoire étant somme toute fort limitée.

- “Je peux te proposer un compromis. Au lieu de 20 coups de fouet, on peut partir sur 21 coups de cravache.”

Je n'avais utilisé le fouet qu'une seule fois, mais ça avait laissé son impression. Elle avait utilisé son safeword, enfin plutôt son Safe gest j'imagine, au bout de 5 coups.

Ceci étant dit, sa pratique du BDSM avait considérablement évolué depuis cette époque où elle m’avait suivi là dedans uniquement par curiosité.
Mais un point n'avait pas évolué : Sarah n'est pas une masochiste. La douleur ne lui apporte aucun plaisir physique ou psychique. Mais la situation autour de la douleur, la contrainte des cordes, la position ouverte, la dynamique Dominant / Dominée, l’excitait désormais énormément.

Mais le plaisir et l'excitation sont 2 choses très différentes, il fallait donc que j'arrive à bien doser entre stimulation sensorielle et douleur et contrainte.

Pendant que je me perdais dans ces considérations, elle avait fait son choix et hochait la tête positivement. 21 coups de cravache.

Je récupérerais l’accessoire dans la valise et retournai vers elle.

Elle attendait, pleine d'appréhension, que les coups commencent à pleuvoir.

Je commençais par tapoter doucement son cul pour le réchauffer progressivement.
Ça ne comptait pas et elle le savait, mais la peur était telle qu’elle commençait déjà à chouiner.

CLAC.

Oula le 1er coup est parti fort. Plus de retour en arrière. Elle poussa une longue complainte dans son bâillon.

CLAC.

Le second coup restait sur la même fesse.

CLAC.
CLAC.

Elle poussait maintenant de petits gémissements de douleur.

CLAC.
CLAC.
CLAC.
CLAC.

7 coups, je basculais sur l'autre fesse. Le contraste entre les 2 lobes luisants était saisissant. Le 1er, bien rougit, le 2nd blanc comme neige.

Et je repartis de zéro.

CLAC, CLAC, CLAC, CLAC, CLAC, CLAC et CLAAC.

Elle sanglotait par intermittence et s'étouffait avec son bâillon.

Les 2 fesses étaient maintenant rouges. Il était temps de passer aux choses sérieuses.

Je frottais maintenant la claquette en cuir entre ses cuisses grandes ouvertes.
Elle prit conscience de la destination des 6 derniers coups et se lança dans une longue supplication inintelligible. Elle se débattait dans ses liens, se cabrait, mais rien n'y faisait. Elle secoua la tête aussi fort que possible de gauche à droite, essayant de se débarrasser de son bâillon. Si elle avait eu la bouche libre, elle m’aurait suppliée de ne pas faire ça, serait sortie de son rôle, aurait voulu tout arrêter dans la seconde.
Mais en l’état, elle devait compter avec ses doigts de 1 à 5 clairement pour mettre immédiatement fin à notre séance. Peut être que dans la situation actuelle, elle avait complètement oublié les codes que nous avions définis. Peu importe j'imagine, sans un signe clair je ne pouvais plus m'arrêter, j'étais en transe.

Je continuais à frotter doucement le cuir sur sa chatte, à la fois pour relancer l'excitation après la douleur et pour la forcer à renoncer. Après une ou deux minutes d’effort, elle abandonna complètement et sembla s'enfoncer dans le lit. Plus un mouvement, juste une parole étouffée suivi d'un sanglot de temps en temps… et je continuais à frotter doucement. L'humidité de ses cuisses imprégnait le cuir, qui venait ensuite stimuler son clitoris. Une minute de plus passa. Ses sanglots s’entrecoupaient maintenant de gémissements…

CLAC.

Le premier coup tomba à plat juste en dessous de son clito. Je sentis tout son corps se tendre, ses poings se refermèrent comme si ses doigts cherchaient à passer à travers la main. Son visage se crispa quelques secondes, mais elle tint bon et poussa une longue et lente expiration.

CLAC.

Le coup suivant toucha le clito. Elle cria dans son bâillon, et se remit à se cabrer dans tous les sens. Je ne la laissa pas reprendre ses esprits et enchaîna.

CLAC, CLAC.

Elle se mit à sangloter. Je posais la cravache à côté d’elle et la regarda droit dans les yeux en la rassurant.

- “chuuut c'est bien ma chérie tu es vraiment impressionnante…”

Je lui caressais doucement les cheveux, prélevait une larme sur son visage.

- “tu y es presque plus que 3, ensuite tu pourras jouir…”

Elle semblait reprendre un peu de contenance, même si c'était loin d’être gagné. Je caressais doucement son clitoris en l’embrassant dans le cou et en lui chuchotant des paroles rassurantes. Elle reprenait un peu de vigueur.

Lorsque je me détournais pour reprendre la cravache, elle tourna sa tête dans tous les sens à la recherche d’un repère, d’un son. Je repris à ce moment conscience qu’elle était dans le noir complet depuis plus d’une heure, ses yeux grands ouverts m'ayant fait oublier ce petit détail.

Je recommençais à frotter son intimité. Elle lâcha un sanglot.

Cette fois, je n’attendis pas qu'elle recommence à gémir. L'attente était source de trop de tension chez elle maintenant.

CLACLAC.

Double coup sur l'entrejambe. Son corps entier se crispe. Sa mâchoire semblait tenter de couper le gode en deux. Un petit filet d’urine lui échappa et tomba sur la serviette au sol. Elle toussa, tapa du plat de la main sur le lit, et s’affaissa en sanglotant. Elle avait abandonné tout espoir, elle attendait le dernier coup en sachant qu’elle ne pouvait rien faire.

- “celui-ci ma chérie, tu vas le sentir”

Ses sanglots furent plus marqués.
Je tapotais légèrement sur son entre-jambe, m’en détachais, laissait filer quelques secondes… et fit siffler la cravache en l’air, sans la toucher.

Elle poussa un cri, puis recommença à sangloter. C'est le moment où je déposais une toute petite tape sur son intimité, au ralenti.

- “et de 21, bravo ma chérie…”

Elle continuait à sangloter doucement, la tension accumulée dans chaque centimètre carré de son corps disparaissant subitement. Elle s'affaissait sur elle-même, retenue uniquement par ses liens. Elle semblait être en train de fusionner avec le matelas…

Je posais la cravache au sol et m'agenouillais derrière elle. Pas de réaction de sa part, elle était éteinte.
J'ouvris le petit flacon d'huile de massage déposé à côté au préalable et en versait un peu dans mes mains avant de les frotter. Lorsque je les posais sur ses fesses, elle sursauta et se remit à sangloter de plus belle. Je caressais doucement sa peau, massant au fur à mesure chaque centimètre carré. Puis, je continuais en faisant de même sur l'intérieur de ses cuisses… ses lèvres, son clitoris. Je tirais doucement sur le crochet d'une main en marquant un va et vient pour faire bouger la boule dans son fondement. L'autre main s'activait encore entre ses cuisses, huilant tout sur son passage.

Le derrière de Sarah luisait, et ses sanglots étaient maintenant entrecoupés de léger gémissements. Peut être pas encore des gémissements, mais une respiration plus lourde, saccadée.
Elle était toujours effondrée, épuisée je pense, mais elle était en train de rebasculer lentement du côté de plaisir. Vu le niveau d'abandon actuel, et la tension relâchée, elle s'avançait vers un orgasme d'une puissance extrême.

Je tirais doucement sur le crochet jusqu'à faire sortir la boule. Elle poussa un léger grognement, puis un long gémissement quand l'objet libéra son cul.
J'appuyais immédiatement pour entrer légèrement la boule, maintenant une tension sur son œillet… pendant ce temps, mon autre main pénétrait, caressait, frottait pinçait en continu vagin, lèvres, cuisses, clitoris…

Après quelques aller-retour avec la boule, je la posais à terre et commençais à utiliser ma langue. Je me contorsionnais sous elle pour titiller son clitoris avec la pointe de la langue, en glissant 2 doigts dans son vagin. Après quelques aller retour, je remplaçais mes doigts par ma langue, qui appuya l'entrée de sa grotte, avant de monter et descendre tout le long de son intimité. Pendant ce temps-là, j'entrais un doigt, puis 2 dans son fondement.

Elle gémissait en continu… je ne l'avais jamais vu comme ça. La tension sexuelle avait atteint un niveau inégalé, elle n'était que plus plaisir. Le fantôme des sévices passés revenait de temps en temps sous la forme d’un sanglot, ou d'une secousse pour essayer de se libérer.

Je fit glisser ma langue le long de son périnée, traçant un chemin luisant entre son cul et sa chatte, tout en pénétrant les 2 avec mes mains libres.

Elle semblait sur le point d'exploser, alternant entre bruits de succion, gémissements, sanglots, emmêlés en une orgie auditive chargée d'excitation. Le sexe dans sa bouche n'était plus du tout vu comme une contrainte mais comme un accessoire de son plaisir à part entière.

Je libérais ses fesses de mes doigts pour m'en occuper avec ma langue. Je jouais avec sa rondelle, dardant ma langue pour l’entrouvrir, en traçant les contours luisant de la pointe, avant de la lecher goulûment de haut en bas. Une main ouvrait ses fesses pulpeuses pour m’y donner accès, l'autre frottait maintenant énergiquement son clitoris.

Après une minute de ce traitement, elle se lança dans une longue demande inintelligible à travers son bâillon. Elle me suppliait de jouir.
Pour toute réponse, je retirais ma langue et, tout en continuant à caresser son clitoris, entrais 3 doigts dans son cul qui s'activèrent énergiquement.

Elle explosa.

Je n'ai pas d'autres mots, elle explosa.

Son corps se souleva du lit dans lequel elle semblait avoir fusionné depuis le temps, elle cria dans son bâillon, son œillet se mit à pulser autour de mes doigts. Son clitoris me donne l'impression d'envoyer une décharge électrique.

La vague dura 10 secondes, 10 longues secondes pendant lesquelles il semblait qu'elle ne s'arrêterait jamais.

Puis elle s'éteignit. Plus de son, plus d'image. Elle s'effondra dans le lit, et pendant un instant je me demandais si elle ne s'était pas évanouit.

Sa respiration était un peu rauque à travers le bâillon, mais régulière, comme un ronronnement.

Je lui enlevais son bâillon, lui caressait le visage en l'embrassant dans le cou. Elle se mit à suçoter mon doigt dès qu’il passait pas loin.

Je la pensais effondrée, et elle en voulait encore… Mon dieu cette femme…

Penchée sur elle mon sexe venait appuyer sur me sien sur sa longueur en se pliant vers le bas. Je sentais son clitoris encore gonflé contre mon gland. Chacun de mes mouvements créait une petite stimulation qui semblait lui envoyer une décharge électrique, la faisant sursauter.

Faudra que j'essaye les stimulations électriques avec elle un jour…

Elle suçait goulument le pouce que j’avais mis à sa disposition, mon autre main s’activant à nouveau sur sa rondelle. Quasiment pas de pénétration, juste des petites pressions en cercle. J'appuyais jusqu'à ce qu'il s'entrouvre, battait en retraite lorsqu’il lâchait, revenait tout doucement, tel un épéiste dans son ballet de fentes et d'attaques.
Et elle suçait en gémissant, vibrante et transcendée par son orgasme dévastateur récent. Si j'avais éteint la lumière, je suis sûr qu'elle brillerait dans le noir.

Eh bien si elle en voulait encore, je n'allais pas me gêner.

- “Et moi alors dans ton ça?” Je lui demandais, le ton un peu taquin…

- “tu sais où me trouver…” Répondit-elle dans un soupir. Ça aurait pu sembler être une provocation, mais c'était simplement chargé d’envie…

Je lui mordit le lobe de l’oreille en continuant à frotter mon sexe sur la longueur de son intimité. Elle ronronnait de plaisir, de la mouille coulant littéralement en continu de son entre-jambe. Elle n’avait en réalité pas vraiment été pénétré depuis le début, et elle voulait cette forme de jouissance à superposer à son orgasme clitoridien qu’elle continuait à surfer.

- “il va falloir que tu apprennes à te tenir un peu, tu vas finir par casser les cordes à force de te rebeller comme ça…” je lui chuchote à l'oreille.

Elle se tourna et me regarda droit dans les yeux avec une incroyable intensité, malgré son regard aveugle. Son maquillage avait coulé, traçant des sillons noirs sur ses joues, jusqu'à sa bouche.
J'avais arrêté de bouger mais c'est maintenant elle qui frottait énergiquement son entrejambe contre ma bite. Puis, elle envoya un violent coup de rein vers l'arrière comme pour me prouver que je ne pouvais pas la dompter. Ce qui eut surtout pour effet de faire rentrer dans son cul mon doigt qui continuait à lui caresser l’œillet…
Elle ferma les yeux et poussa un long gémissement, trop long pour ne pas être volontaire. Elle les rouvrit avant de passer la langue sur ses lèvres et d’en mordre le coin, dans un simulacre flagrant de petite allumeuse. Elle finit par répondre avec un aplomb et une force qui me mit sans voix et me coupa le souffle.

- “make me, sir”

… Quand elle veut faire la brat, c'est ma femme est vraiment la reine des salopes…

OK, game on.

Suite à venir, dans cet univers où un autre…

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Texte coquin : PILE - la jouissance
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