PILE - la jouissance

- Par l'auteur HDS Primaq69 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : PILE - la jouissance Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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PILE - la jouissance
Alice gémissait fort.

Mais fort.

Décidément, la troisième roue de notre carrosse avait trouvé sa place !

Côté Thomas, c'était un peu plus compliqué. J'avais arrêté de jouer avec son bâillon. Plus de gorges profondes, mais il étouffait toujours bien un mélange de gémissements, grognements, pleurs…

Mon mari était toujours attaché à 4 pattes, immobilisé sur une structure métallique. Des pinces à tétons tiraient ses mamelons vers le bas, un masque l'aveuglait et sa queue était toujours enfermée dans une cage, une tige vissée dans son urètre.

Et puis surtout, ma queue factice vibrait au fond de son cul.

Je venais moi aussi compléter ce tableau avec ma tenue de cuir et de latex, mes bottes longues, agenouillée derrière mon mari en le tenant par les hanches… pas étonnant que notre squatteuse gémisse autant !

Thomas semblait en difficulté. Pas encore à chercher une porte de sortie, mais clairement pas à prendre son pied non plus… je décidais de continuer à accentuer la torture. D'abord, parce qu'il avait un réel penchant masochiste que je lui avait promis un jour d'explorer ensemble. Il voulait souffrir (pas dans l'immédiat vu comme il se débattait, mais ça s'est son problème), il allait être servi !

Comme pour l'insertion du gode, je ne pris pas de pincettes quand je commençais à le pilonner sans retenue. Bon, pour être tout à fait honnête, c'était autant pour satisfaire mon excitation vorace que pour alimenter son prétendu masochisme !

Les vibrations couplées aux à-coups brutaux du gode ceinture firent monter en moi des vagues de plaisir à une vitesse inégalée.

Alice semblait sur le point de basculer. Moi aussi, je réalisais soudain. Ça allait trop vite, il fallait faire quelque chose.

J'arrêtais les aller-retours d'un coup, et lui lançait brutalement un “STOP” sonore.

Ses mains, une enfoncée dans son décolleté malaxant un sein et l'autre dans sa culotte, se figèrent. Ses yeux semblaient perdus, comme si elle prenait subitement conscience de ce qui était en train de se passer. Je gardais mon air sévère, pour maintenir une prestance de domina.

Bon, en vrai j'avais toujours un gode qui me vibrait au fond de la chatte, donc l'air fâché ne devait pas ressembler à grand chose ! Cela dit, ça avait l'air de marcher.

“Je t'avais dis de me demander avant de jouir.
Mais je n'ai pas…
Oui, tu n'as pas, mais oses me dire que tu allais te retenir!”

Elle ne répondit pas et prit un air penaud, presque triste. Comme si la magie était rompue, comme si je m'apprêtais à la mettre dehors. Mais j'étais bien trop excitée pour ne serait-ce qu'envisager d’arrêter !

Thomas, lui, avait l'air de ne plus en pouvoir. Il ne prêtait pas attention à notre discussion, enfermé dans son monde. Sa tête se ballottait de gauche à droite en sanglotant doucement. Honnêtement, masochisme auto-proclamé ou pas, je ne pense pas qu'il tirait le moindre plaisir de la situation à cet instant.

Alice non plus. Avec son air penaud, elle semblait sur le point de se rhabiller et de partir.

J'eu soudain une vague de culpabilité qui balaya la montée de mon plaisir autant que mon excitation. J'étais en train de perdre le contrôle.

Fuck.

Respire, 1 2 1 2.

Ok, “Fake it ‘till you make it” comme disent les ricains.

Il était temps de réorienter la situation direction plaisir.

Le calme de la situation actuel agissait déjà sur Thomas. Pour le laisser redescendre en douceur de ses montagnes russes, je commençais par Alice :

“Descend les vibrations de mon gode au minimum s’il te plait.”

Elle obtempéra, calmée par mon ton posé.

“Ne t'inquiète pas ma chérie, je t’assure que tu vas avoir l’occasion de profiter encore de la situation. Fais moi confiance et je te promets un orgasme à en tomber dans les pommes…” je dis en lui tendant la main.

Un air rassuré s'imprima sur son visage, puis elle attrapa ma main après une seconde d’hésitation.

Je l'attirait vers moi et la fis descendre à genou. Puis, je passais un bras autour de sa taille et la plaquait contre moi pour l'embrasser à pleine bouche. Elle se laissa faire en poussant même un gémissement de plaisir.

C'était la seconde fois que j'embrassais Alice ce soir… et une femme en général. Je dois avouer que je n'étais pas déçue. Tout était plus doux : ses lèvres, ses mouvements, le goût légèrement sucrée de sa salive, sa langue delicate…

Elle avait maintenant une main posée sur ma joue et l’autre qui caressait doucement mes cheveux. Une des miennes était toujours plaquée dans son dos pour l'approcher de moi, l’autre glissée dans son pantalon pour caresser ses fesses.

Lorsque nos lèvres se décollèrent, nous étions hors de souffle. Nos mains continuaient leur travail, pendant que nous calmions nos respirations. Front contre front, bouche à quelques millimètres l’une de l’autre.

Je remarquais à ce moment que Thomas ne pleurnichait plus du tout. Il semblait plus calme, sa respiration était régulière, sa tête plus droite… Non, après réflexion sa tête n'était pas droite, elle était dévissée vers l'arrière, à essayer de capter les sons de nos ébats.

Il avait l'air d’avoir repris un peu de la contenance, je décidais donc de l’inclure un peu plus dans notre instant câlin.

Je recommençais donc à imprimer un mouvement de balancier avec mes hanches, mais cette fois-ci tout doucement, sensuel. Et il recommença à gémir, mais cette fois-ci de satisfaction.

Son cul s’était habitué à la présence, et le léger mouvement associé au vibration semblait faire son travail.

Alice enleva son chemisier, son soutien-gorge et se glissa derrière moi. Elle avait sa poitrine qui irradiait de chaleur posée sur le haut de mon corset, ses tétons collés contre mon dos. Elle caressait mes seins par-dessus mon corset. Après avoir balayé mes cheveux d'un côté, elle commença à s'activer en léchant mes lobes d'oreilles, en embrassant mon cou, tout en gémissant de plaisir.
Elle calqua les mouvements de son bassin sur les miens et rapidement, c'est elle qui imprimait le rythme et baisait le cul de mon mari.

Leurs gémissements semblait s’accorder, monter et descendre au même rythme.

Je réalisais alors que les miens aussi.

Nous étions dans une situation extrêmement sensuel. Tous les 3 tirant un plaisir relatif de la situation, mais avec des stimulations trop légères pour basculer dans un orgasme.

Je décidais de modifier la dynamique, pour aller encore plus loin.

Sans crier gare, j'enroulais une poignée de ses cheveux dans ma main et tirait en arrière. Elle poussa un petit cri de surprise, arrêtant immédiatement ses mouvements de hanches. Par réflexe, ses mains vinrent se poser sur les miennes pour se protéger.

“Enlève ça tout de suite.”

Elle obtempéra.

“ ne t’arrête pas, continu…”

Elle recommença à pétrir mes seins en imprimant de petits coups de hanche. Thomas s’était crispé lorsque notre changement de dynamique avait commencé, de peur des conséquences sur sa situation. Je gémissais doucement, profitant du pouvoir qui transpirait de Cette situation. Après quelques instants à profiter de cette puissance, je repris la parole :

“ je t'ai promis un orgasme ma chère, et je compte bien te l'apporter. Mais pour ça, je veux que tu t'abandonnes à moi complètement…”

Elle ne prononça pas un mot mais hocha la tête de haut en bas avec véhémence, tirant au passage encore plus sur sa belle chevelure blonde. Peut-être qu’elle était un peu maso aussi tiens.

“que tu t’abandonnes, comme lui”

Là, la tête s'arrêta de bouger. Clairement, elle ne semblait pas emballée.

“je te rassure, je ne compte pas en arriver là. Mais je te veux à ma merci, je veux que tu abandonnes tout contrôle…”

Elle hésita encore quelques instants, puis recommença à hocher la tête.

Thomas, aveugle, n’entendait que mon discours. Il tendait toujours l’oreille, subissant encore les mouvements du gode dans son fondement.

Je lâchais subitement Alice, ma nouvelle soumise, et lançait mon premier ordre :

“déshabille-toi”

Elle se leva, se tint droite devant moi et enleva son jean et son tanga.

Première fois que j'observais une femme nue, vraiment observait.

Mon dieu qu'elle était sexy. Son tatouage tribal s'enroulait entre ses seins puis descendait jusqu'a son bas ventre. Ce symbole primaire contrastait avec ses cheveux blonds et ses yeux bleux transparent, lui procurant une aura de force et de vulnerabilité entremélée…

Je continuais à imprimer un léger mouvement dans le fondement de mon mari, comme un métronome qui marquait le rythme de notre soirée. Je caressais ses testicules, en regardant Alice droit dans les yeux. Thomas gémissait de plaisir.

“Prends les pinces sur ses tétons et met les sur les tiens”

Elle obtempera en décrochant les 2 pinces qui torturaient mon homme depuis maintenant plus d’une heure. Il poussa un long grognement de douleur. Elle poussa un petit gémissement de plaisir.

Puis se releva, bien droite, un air de défi dans les yeux, son regard vissé dans le mien.

L'air était chargé d'une tension palpable… Thomas devait être en train de maudire le masque qui bloquait sa vue !

Je retirais la chaine qui faisait trôner la clé de la cage de chasteté sur ma poitrine et la jetais au sol aux pied de ma soumise.

“Libère-le”

Elle prit clé et se pencha vers les menottes immobilisant les poignets de Thomas. Il sursauta lorsqu'elle lui saisit pour les retourner, cherchant un cadenas. Ne trouvant rien, elle regarda les chevilles. Idem. Et la elle vit le petit cadenas qui pendouillait sous les bourses de mon homme. Elle ouvrit grand les yeux. Je lui souris et hocha lentement la tête. Elle se saisit du cadenas et tourna la clé. Lorsqu’elle commença à tirer sur la gaine pour l'enlever, Thomas serra les mains et poussa un long grognement dans son bâillon. Elle sursauta et arrêta son geste, étonnée.

“ vas-y franco ma belle, il n’y a pas de bonne manière de la faire de toute façon.”

Après avoir tiré malgré les grognements appuyés, elle découvrit la longue tige qui habitait l’urètre de ma victime. Ses yeux s’ouvrir en grand, sa bouche était entre-ouverte figée dans une expression de surprise.

“il a été courageux hein… il a bien mérité une petite caresse pour le féliciter!”

Alice sorti de sa torpeur et commença à doucement caresser les bourses de mon mari. La pointe de ses longs doigts fins dansaient sur ses testicules, puis vinrent glisser le long de son sexe qui commencait a se tendre. Puis sans crier gare, elle s'amusa à lui pincer un testicule. Lorsqu'il s'agita dans ses attaches en grognant, elle sourit.

Quelle salope décidément !

Je décidais qu'il était tout de même temps d'orienter les sensations de mon mari vers le plaisir.

Sous mes consignes, Alice récupéra un petit pouf couvert et le glissa entre les cuisses écartées de notre supplicié. Elle tira ensuite la bite tendue pour la basculer vers l'arrière, écrasée à l'envers. J'avais arrêté temporairement mes aller-retours dans son cul et, quand je repris, sa queue coulissait entre mes cuisses couvertes de mouille… Parfait.

“Vas dans la valise et récupère une paire de menotte en cuir et un bâillon de ton choix. Puis installe le fauteuil devant ma salope de mari et reviens me voir.”

Elle continua à appliquer mes consignes à la lettre, et après avoir bougé le fauteuil et fouillé dans le sac elle revint avec une paire de menotte meletonné, un bâillon boule simple et… un plug de taille intermediaire en verre.

Je souris, elle sourit.

Il était temps pour moi de retrouver temporairement un peu de mobilité. après avoir défait les sangles qui tenaient mon gode-ceinture, je les attachaient autour des cuisses de mon homme pour le maintenir en place. Puis, avec un soupir d’excitation et de deception mêlé, je laissais glisser ma partie du gode hors de mon intimité. Des filins des mouilles glissèrent le long de mes cuisses…

Je me relevais, les genoux endoloris d’être restée longtemps en place. Elle me dépassait toujours d’une bonne tête. La situation pourrait sembler être inversée : cette grand blonde et son tatouage brutal me surplombant d’une tête pourrait clairement passer pour dominante, mais nos regards ne laissaient place à aucun doute.

Je claquais des doigts et pointait mon index vers le sol. Elle se mit immédiatement à genou, les mains croisées dans le dos, les cuisses écartées. Je relevais légèrement ma jupette en latex et pointait vers mes cuisses souillées de cyprine.

“Nettoie ça, et ne perd pas une goutte”

Thomas secoua sa tête en rugissant, en un ultime effort pour se débarrasser de son masque. En vain. Son sexe était tendu, il semblait sur le point d'exploser.

Alice sortie sa langue et commença a lecher une goutte de cyprine à mi-cuisse. Puis, elle remonta directement à l'entrée de ma chatte, glissa sur une lèvre et se rua sur mon clitoris. Une onde de choc me traversa le corps. Je lui saisis une poignée de cheveux rnet lui tira la tete en arrière.

“Dis donc, c'était pas vraiment ça la consigne si?

Pardon madame…

Pas de madame, moi c'est Sarah.

Pardon Sarah…

C'est mieux… tu y crois mon chéri, elle s'est ruée sur mon clitoris cette salope!”

Thomas se lança dans une supplication inintelligible à travers son bâillon. Il donnait des coups de bassin dans le vide, vaine tentative de satisfaire son envie de jouir. Mais ce n'était pas encore ton tour.

Je guidais Alice en la tenant par les cheveux. Sa langue s'aventura partout sur mes cuisses et même sur mon periné, jusqu'à toucher mon œillet… mais plus de ma chatte. Je l'écartais, tirant toujours sur ses cheveux. Elle me regardait en gardant sa bouche entrouverte.

“ c'est bien ma chérie, garde cette belle bouche ouverte”

Je lui enfonçait le plug en forçant ses lèvres et commença un mouvement de va et vient pour la faire saliver. Elle s'appliqua, en me regardant bien dans les yeux. Le bruit de ses succions couvraient presque les supplications de mon supplicié.

Tournes-toi”

J'étais de plus en plus à l’aise à faire claquer des ordres dans l'air.
Elle se retourna à 4 pattes et attendit. Je me baissait derrière elle et flattait sa croupe… elle ronronnait de plaisir. Je glissais alors 2 doigts dans sa chatte trempé. Elle poussa un petit cri mi-surprise mi-plaisir. Tout en m'activant dans sa chatte, je commençais à lui lécher la rondelle. Je jouais avec la pointe de ma langue, la dardant pour percer doucement ses défenses, puis balayant de haut en bas… je recommençais à mouiller et elle gémissait de plus en plus fort.

“Le plug s'il te plaît chérie”

Thomas chouniait pendant qu'Alice me tendais le plug entre ses cuisses. Je continuais à laisser mes doigts s'activer en appuyant le plug sur sa rondelle. La regarder s'entrouvrir doucement, sur fond de gemissement sonore, avant de se faire absorber avait quelque d'envoûtant…

Je l'accompagnait jusqu'au fauteuil précédemment installé pour la préparer pour la suite. Je lui attachais les mains dans le dos et la baillonnait. Puis, j'écartais ses cuisses et les immobilisais avec une corde.

J'avançais ensuite son fauteuil pour que son intimité soit juste devant le visage de mon mari en rut. Son nez était à quelques millimètres de son clitoris. Je pris une poignée de ses cheveux et lui frottais le visage contre son intimité.

Les deux semblaient en feu. La frustration d’être si proche, mais de ne rien pouvoir faire à cause de son baillon… Après tout ce qui venait de se passer, les deux n'en pouvaient plus.

Je me réinstallais donc derrière lui et réintroduit le gode ceinture double dans mon vagin. Je libérais enfin Thomas de son bâillon, mais lui bloquait la tête en arrière en le tenant par les cheveux. Il tirait tellement dessus qu'ils semblaient prêts à s'arracher… je lui glissait a l'oreille :

“alors mon chéri, elle n'est pas belle notre soumise ? Toi qui a toujours voulu faire un plan à trois…

S'il te plais Sarah…

Mon chéri, tu as ma permission pour la goûter.”

Et j'enfonçais sa tête dans la chatte de notre réceptionniste.

Elle se mit immédiatement à gémir. Thomas était brouillon, il ne savait plus où donner de la tête. Il léchait, suçait, mordillait, du clitoris aux petites lèvres, glissait sa langue dans le vagin, traçait les contour du plug… Alice n’allais pas tenir longtemps, elle poussait de petits cris de plus en plus marqués.

Je decidais que cet orgasme serait aussi le mien et poussait les vibrations du gode ceinture à fond. Thomas gémit de plus belle, sa queue bloquée à l'envers entre mes cuisses était tendue au possible… et je recommençais à le pilonner de plus belle. Cette fois-ci, après s'être habitué à la présence du plug, ça ne le dérangeait plus tant que ça! Probablement que sa bite en train d'être branché entre mes cuisses et la distraction vaginale littéralement sous son nez devait aussi jouer…

Et plus les allers-retours étaient puissant, plus le gode butait contre le fond de mon vagin et decuplait mon plaisir.

Alice n'était pas en reste elle mordait son bâillon et poussait un long cri etouffé. Le visage de Thomas venait buter à intervalle régulier contre son intimité, enfoncant sa langue toujours un peu plus loin dans son vagin. Elle essayait de parler. Je savais pertinemment ce qu'elle demandait, mais je la laissais tout de même galèrer quelques secondes. Puis le la liberais en gémissant :

“Vas y ma belle, fais toi plaisir…”

Et elle explosa.

la tête balancée en arrière, une longue complainte étouffée par le bâillon… et une fontaine de cyprine se déversent sur mon mari.

Une squirter…

A cette instant, Thomas poussa un véritable rugissement étouffé dans la chatte de notre réceptionniste préférée et je sentis son sperme fuser entre mes cuisses.

Ces deux explosions littérales de plaisir me firent basculer. J'explosais moi aussi en un puissant orgasme.

Ouhaou…

Le moment semblait suspendu dans le temps. Alice avait la tête basculée en arrière, Thomas avait le visage enfoui entre ses cuisses, la respiration rauque. Moi effondrée sur son dos…

Mais ce n'était pas finit. J'avais une responsabilité double ce soir.

Je me levais et ce faisant sorti le gode du cul de mon mari d'un coup sec. Il poussa un long grognement etouffé, Alice en poussa un de concert. J'enlevais moi aussi le gode et le saisis.

Je m'approchais d'Alice, la surplombant. Elle releva la tête, les yeux épuisés, et attendit. J'enlevais son bâillon et lui plongeais le gode trempé de ma cyprine dans la bouche.

“Nettoie ça ma petite salope”

Elle s’activa immédiatement.

Je lui baisais la bouche un peu violemment, pour lui faire comprendre que ce n’était pas finit. Je regardais ses yeux s'humidifier d’en air froid et hautain.

Puis, j'arrêtais d’un coup et lui adressa un sourire chaleureux, elle y répondit immédiatement. Le sourire se figea lorsque je lui décrochais les pinces à tétons, puis se transforma en grimace lorsque je les pinçais du bout des doigts.

Je relevais doucement le visage de Thomas et l'embrassais passionnément. Je lui répétais à quel point j'étais fière de lui…


Puis je m’activais pour détacher Alice. Lorsque ses mains furent libre, elle se mit à les passer dans les cheveux de mon mari. Pendant que je lui détachait les cuisses elle prit lui releva le visage et se pencha à quelques millimètres, avant de lui souffler dans le creux de l’oreille avec une voix sensuelle :

“Regarde moi le bazard que tu as mis… vilain garçon! Je n’en ai pas finit avec toi…”

Elle se releva juste à côté de moi. Thomas était en rut, sa queue avait réussi à se libérer du pouf qui le maintenait et il donnait de petits coups de rein. Il bandait à nouveau, ou bien ne s'était jamais arrêté.

La soirée n'était pas finie, pas pour lui en tout cas.

“Tu viens, on va se refaire une beauté ?”

Alice opina du chef et me pris la main. Alors que nous marchions vers la salle de bain en riant, Thomas nous invectivais :

“Non mais attendez ! Attend ! Sarah je déconne pas attend, me laisse pas comme ça… Sarah… s’il te plait !”

Je fermais la porte de la salle de bain.

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Texte coquin : PILE - la jouissance
Histoire sexe : Une rose rouge
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