PILE - le bouquet final

- Par l'auteur HDS Primaq69 -
Récit érotique écrit par Primaq69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : PILE - le bouquet final Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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PILE - le bouquet final
Très bien, c'est donc avec plaisir que je m'occuperais de dresser cette petite rebelle.
Plutôt que de répondre comme elle s'y attendait, je saisis une poignée de ses cheveux7Le mot maître, dans sa bouche, montrait son niveau d’envie. Elle avait accepté énormément de choses lorsque j'avais dévoilé mes penchants sadomasochistes, mais avait immédiatement mis son veto sur les “maîtres et maîtresseries” comme elle les appelait.
“Je risque de me prendre des fous rires à chaque fois” m’avait-elle dit.

Pas de fou rire cette fois-ci, elle était excessivement sérieuse.

- “mouai… pas convaincu.”

Je continuais à lui pilonner le cul de mes doigts, elle continuait à gémir comme une chienne.

- “Pitié, j'en ai besoin… fais moi l’amour.
- un peu light comme requête.
- je ferais… ce que… tu veux… aller…”

Elle frottait son clitoris contre ma bite avec tant d’énergie qu’elle se pilonnait toute seule.

- “Tout ce que je veux? Vraiment?
- … Oui tout ce que tu veux” dit-elle avec une très subtile pointe de regret (ou de peur) glissée dans ses gémissements, “mais pitié donne la moi…
- même une sodomie ?”

Elle marque un temps d’arrêt. La sodomie était une ligne rouge depuis le début pour elle. Paradoxal vu mon doigt dans son cul et tous les ustensiles qui y étaient allés récemment, mais elle avait cette peur bien ancrée… un plug ou une boule avait été une première concession, un doigt ou deux était venu rapidement après. mais une sodomie, une bite dans son fondement, cetait autre chose. C'est la taille, le mouvement, c'est l'anus qui reste ouvert… Et ça, ça la terrifiait.

Elle hésita, gémit, et se résigna.

- “ok…
- OK qui?
-... OK maître.
- OK maître quoi?
- Tu fais chier…
- pardon ??
- ok maître, on pourra essayer une sodomie si tu y vas doucement.”

Elle haletait de plus en plus, et ses frottements risquaient de me faire perdre mes moyens…

- “Non t’as pas compris là, dernière chance.
- OK maître, vous pourrez me sodomiser.
- ouai non franchement je sens pas d'engouement là… peut-être que je vais juste te poser un vibro réglé au minimum et aller au bar.
- OK MAÎTRE, POURRIEZ-VOUS S’IL VOUS PLAIS SODOMISER VOTRE CHIENNE DE FEMME ?!

OUAHOU.

Elle est prête.

Elle se ressaisit immédiatement, mais le mal était fait. Elle avait arrêté ses aller-retours, mes doigts étant maintenant figés dans son cul.

- “enfin une prochaine fois je veux dire… la je veux juste que tu me fasses l'amour, s’il te plais…”

Sans rien dire, je me détachais d'elle.
Elle gémit lorsque ma bite glissa le long de son entrejambe, effleurant l'entrée de son intimité.

Je retournais à mes accessoires pour sélectionner la suite. Elle attendait, sachant qu'elle risquait d'aggraver son cas. Je pris les quelques outils nécessaires et les posa à côté de son visage.

Ça devait être une torture, malgré ses yeux grand ouvert, impossible de savoir ce que je lui réservait.
Je commençais par installer un miroir en face d’elle pour pouvoir plus facilement profiter de son visage.

Puis, il était temps de m'équiper. J'installais un anneau multiple enserrant le sexe, les bourses, l'ensemble, et relié à un petit plug vibrant. Avec le volume de cyprine que Sarah avait déversé sur moi, j'étais déjà bien lubrifié.

- “Ouvre la bouche”

Elle obtempéra, le temps des rebuffades était passé. J'installais un bâillon composé d'un mors et de 2 sangles, une pour tenir le tout autour de la tête et l'autre plus longue servait de rêne… elle voulait faire la bête sauvage? Très bien, j'allais la dompter.

- “Tu pourras toujours mordre là-dessus si c'est trop dur.”

Elle avait l'air d'avoir clairement déchanté. Elle attendait patiemment, écartelée entre son envie de jouir à nouveau et son appréhension de la suite.

Je fixais avec 2 sangles un vibromasseur de type magic wand le long de sa cuisse, avec la tête collée contre son clitoris. Je l'activais directement avec des vibrations par vague pour la remettre dans l'ambiance.

Je réglais les vibrations de mon plug sur la même fréquence et me recouvris la bite de lubrifiant parfumé.

On est pas des bêtes.

Puis je la positionnais derrière elle, à l'entrée de son vagin. Elle tenta plusieurs fois de pousser ses fesses vers l'arrière pour provoquer la pénétration, mais je me retirais juste avant.
Elle ronronnait de plaisir en agitant le postérieur, dans l'attente de son due.

Mais au lieu de me lancer dans le coït promis, je pris ma bite dans la main et colla mon gland quelques centimètres plus haut.
Dans un premier temps, avec le wand qui faisait son travail, elle ne s'en rendit pas compte. Mais quand elle projeta ses fesses en arrière dans une énième fois, mon gland fut happé par son anus.

Elle s’arrêta d’un coup, abasourdie. On lisait toute la surprise du monde sur son visage. Puis de la peur, avec des yeux grands ouverts à la recherche d’une solution. Puis de l’indignation. Elle se lança dans une invective difficilement compréhensible à travers le mors qui barrait sa bouche. Une histoire de trahison, de dû, de baise, de deal et de promesse. Elle secouait la tête dans tous les sens, croisait et décroisait ses mains comme si elle essayait de se libérer, tirait sur les cordes qui tenait ses chevilles, le tout avec mon gland encore dans le cul.

- “Mince c'est vrai que je devais commencer par te faire l’amour…”

Elle hocha vigoureusement la tête de haut en bas, comme si je venais de réaliser l'ampleur du quiproquo et que justice lui serait bientôt rendue.

- “Mince j'avais pas compris ça… bon voilà ce que je te propose, tu veux que je te lime la chatte jusqu’à te faire jouir à s’en évanouir?”

Elle hocha la tête, une larme à l'œil, cherchant tellement à se faire baiser qu’elle n’en détectait pas l'ironie dans ma voix.

Je saisis les rênes me pencha sur son dos et lui chuchota à l'oreille:

- “Make me, bitch”

Et alors que ses yeux s’ouvraient en grand, que ses dents seraient le mors à en faire grincer les mâchoires en anticipation de ce qu'elle savait maintenant inéluctable, je m'enfonçais lentement dans ton cul jusqu’à la garde.

Dire qu'elle se crispa serait un euphémisme. Les traces de dent qu'elle était en train d'imprimer dans le mors en cuir y serait probablement gravées à jamais. Ça nous fera un souvenir.
Elle tapait du plat de la main énergiquement contre le lit, comme si ces impacts pouvaient évacuer toute la douleur et le choc. Puis elle s'imobilisa, les doigts tellement tendus qu'ils se relevaient à un angle qui semblait impossible. Elle était relevée sur la pointe des pieds, dans un ultime effort de réduire la pénétration de quelques millimètres.

Peine perdue.

Je sentais son anneau se contracter à la base de mon penis, puis se relâcher, se contracter à nouveau… Une larme coula de ses yeux grands ouverts, mais pas de sanglots. Pas d'affolement non plus, dans un premier temps. Elle laissait passer quelques secondes, pour s'habituer j'imagine. Elle contrôlait son souffle, inspiration, pause, expiration… inspiration, pause, expiration.

J'attendais patiemment, sans bouger, la laissant gérer son process.
Au bout de 10 secondes, la grimace n'avait pas quitté son visage et elle lâcha un sanglot. Au bout de 15 secondes, elle se mit à balancer énergiquement la tête de gauche à droite, accompagné de “hmh hmh hmh” sonore. Une supplication.

Mais ses mains, toujours crispées, ne bougeaient pas.

- “Chuuuut, concentre toi sur ta respiration. Laisse toi aller, relâche toi, abandonne toi…”

Mais pour toute réponse elle se débattit 2 fois plus fort, doublant le volume sonore, l'intensité du mouvement de sa tête, montant et descendant sur les pieds, tirant sur ses mains…

Je me laissais encore 20 secondes pour la raisonner. Si au bout de cette période elle craquait toujours, je la libérerait. Même sans safeWord.

Je continuais à l'encourager d'une voix douce, en lui caressant le dos, les cheveux et les fesses délicatement.
Je glissais une main sous mes bourses pour atteindre l'entrée de son vagin et y glissais 2 doigts, que je faisais coulisser pour appuyer légèrement son clitoris contre le magicwand de l'intérieur.

Au bout de 10 secondes, elle avait arrêté de se débattre. Au bout de 20 secondes, elle avait repris une respiration régulière. Inspiration, pause, expiration.

Sa mâchoire commençait à se détendre, son anneau ne pulsait presque plus, sa respiration se faisait plus naturel… tout en continuant de lui flatter la croupe et de masser sa paroi vaginale, je reculais tout doucement mon penis pour le ravancer dans la foulée.

Elle réagit au quart de tour, repartant dans de grands “hmh hmh hmh” sonore en balançant la tête de gauche à droite.

Pas prête, ok.

Je continuais donc patiemment à faire glisser mes doigts dans son intimité trempée, avec pour objectif de réussir à lui faire oublier la grosse quinzaine de centimètres dans son fondement. Elle commença à haleter doucement.
Avec l'anneau qui enfermait mon sexe, je pouvait continuer ce jeu un moment sans risque de perdre de la vigueur… ce qui semblait de toute façon peu probable vu la situation actuelle !

mes doigts continuaient donc à s'activer, de concert avec le wand. Je pouvais le sentir vibrer à travers sa paroi vaginale… Après quelques minutes de ce traitement, elle se mit à franchement gémir.

Je sortis mes doigts et les essuyais dans ses cheveux. Elle protesta énergiquement, plus pour l'arrêt de stimulation que pour les cheveux.

Je saisis les boules de geisha que je gardais à proximité et les inséra dans son vagin. Les 2 œufs de bonne taille s’entrechoquèrent une fois absorbés. Sarah poussa un petit cri, surprise par le bruit et sa sensation froide et métallique de l'objet.

Lorsque je la saisie par les hanches pour me retirer très légèrement avant de revenir rapidement en position, elle serra un peu les dents mais ne protesta pas. Le mouvement, au delà des sensations jusque là désagréable dans son cul, faisait bouger les boules en les avançant et reculant dans son vagin. Au second mouvement, elle gémit de plaisir.

Je pouvais commencer à m'amuser.

Je commençait un imprimer un mouvement régulier, faible en amplitude et en fréquence, tout en la tenant fermement par les hanches. Face à l'absence de réaction négative, j’augmentais l'amplitude sans aller plus vite. Je reculais jusqu'à n'avoir plus que mon gland immergé, et rentrait intégralement.

Elle poussa un long gémissement, les boules de geisha s'écrasant contre le fond de son vagin.

Je saisis ses fesses des 2 mains et les écartais, exposant complètement sa raie et son anus. la vision obsène de ma bite disparaissant intégralement dans son fondement avait quelque chose d'hypnotisant… inconsciemment, je commençais à accélérer le mouvement, en gardant le plus d'amplitude possible.

Elle poussait un concert de grognements haletements, petits gémissements tout en serrant son mors entre les dents… elle commencait à nouveau à perdre le contrôle, mais cette fois de plaisir. Impossible de savoir si elle tirait une forme de satisfaction de ces assauts sur son cul, mais l’addition aux stimulations positives des boules métalliques et du vibro générait une vague orgasmique qui était en train de la balayer.

Je la pilonnais maintenant avec un bon rythme, mettant parfois tellement d'amplitude que ma bite sortait integralement de son cul. Tenant toujours ses fesses ecartées de mes deux mains, j'avais alors la vision obsène de son petit trou grand ouvert, qui tentait brievement de se refermer avant l'attaque suivante. En vain.

ses halètements avait laissé place à des gémissements, de plus en plus prononcés.
Je tenais maintenant les rênes rattaché à son bâillon et tirait dessus, lui maintenant la tête en arrière. Elle poussait des râles bestiaux, entrecoupés d'encouragement à peine audible avec les mors dans sa bouche. Elle approchait de l'orgasme dans un grand concert de “Oh Oui”, “encore”, “pitié”... etc… Elle finit même par hurler un “Oh oui baije moi le cul!”.

A ce moment, je n'avais plus aucune contenance. Mes timides assauts s'étaient transformé en une véritable offensive sauvage, quasi brutale. J'utilisais le bout de la longe pour lui fouetter violement les fesses, Je donnais des coups de butoir d'une force à vous coller des courbatures le lendemain.
Le bruit de ces assauts semblait tonitruant, mais était couvert par ses cris de jouissance. Je l'entendais tout juste me supplier de jouir, mais repris juste assez le contrôle pour maîtriser le feu d'artifice.

Je lâchais la longe, ce qui eu pour effet de faire retomber sa tête en avant dans l'oreiller. J’activais le magicwand à fond.

Elle poussa dans un gémissement continu, étouffé par l'oreiller, signal du passage du point de non retour de l'orgasme.
Au moment où la vague la submergea, je sortis subitement ma bite de son cul.

je maintenais ses fesses écartés et pouvait voir son cul s'ouvrir et se refermé au rythme des vagues de plaisir. Lorsqu'il commençait à se refermer pour de bon, je lui insérais un plug de bonne taille terminé par une petite queue en fourrure.

Élegant.

Elle poussa un grognement sourd, vite noyé dans son gemissement continu.

Pendant qu'elle subissait les assauts de plaisir qui déferlait sur son corps, je nettoyais méticuleusement mon sexe et repassait une petite couche de lubrifiant parfumé.

Je basculais devant elle et lui enlevait le mors. Plus facile à dire qu'à faire d'ailleurs, sa mâchoire ayant quasiment fusionné avec l'accessoire. Je lui levais le menton et la regardait dans les yeux :

- “Ouvre la bouche.”

Elle mit quelque seconde à comprendre en clignant des yeux, avant de réaliser et de prendre un air apeuré.

- “… Non pitié pas ça… pas après…” répond-t'elle d'une voix tremblante, ignorante du fait que je m'étais au préalable parfaitement nettoyé.
- “Ouvre la bouche.
- Non pas ça… je peux pas ça, c'est pas possible… tout, mais pas ça…
- Si tu veux arrêter, tu sais quoi dire. Sinon, ouvre cette bouche ou je vais chercher le fouet.”

Je jouais à un jeu hyper dangereux, mais je sentais qu’on pouvait y arriver. Je voulais savoir jusqu'où elle était prête à aller, le niveau d'abandon qu'elle pouvait atteindre…

- “J’en peux plus… coupe le vibro au moins…”

Une larme coulait sur sa joue, je ne l'avais jamais vu aussi démunie. Aussi perdue. J'en devenais schizo. Je me faisais violence pour ne pas la détacher et la rassurer, mais je voulais qu’elle découvre l'intensité que pouvait atteindre une relation forgée dans l'abandon total à l'autre.

- Alors arrête de perdre du temps, ouvre la bouche.
- Pitié Thomas, fais pas ça… je t’en supplie”

Mais avec mon seul silence pour réponse, elle finit par obtempérer en sanglotant, la mâchoire endolorie s'ouvrant à peine.
Elle pleurait doucement alors que je forçais l'entrée et enfonçait mon gland. Pas plus, la pauvre n'en pouvait plus.

Elle le suça en grimaçant les yeux fermés, puis les ouvrit en grand de surprise en goûtant l'ilang-ilang.
Elle se métamorphosa sur place. Elle avait passé le test. Elle s'était complètement abandonnée à mon contrôle en acceptant une pratique qu'elle n'aurait jamais, au grand jamais, accepté sans la contrainte.
Mais ses limites je les connais, même si on les transcende parfois ensemble. La révélation de la relation dominant/dominé, l'épiphanie qui vous élève et fait passer ces contacts de fantasme à philosophie, c’est cette réalisation simple : le dominant et au service du dominé. Les limites sont les siennes, la jouissance recherchée est la sienne, trouvée dans l’abandon de soi.

Face à cette découverte, Sara commença alors à lécher goulûment, faisant coulisser sa langue sous mon gland en le suçotant. Elle avait recommencé à gémir de plus belle. Son cul rebondi se balançait cependant de droite à gauche dans un effort vain de se débarrasser du vibromasseur qui la torturait. Sa petite queue en fourrure oscillait donc dans un mouvement de balancier, qui aurait pu être comique s'il n'avait pas été aussi sexy.

En parallèle de sa petite danse, Sarah s'activait. Impossible de dire si elle voulait encore pousser son plaisir ou simplement précipiter le mien pour en finir, dans tous les cas elle y mettait du cœur.

Elle venait spontanément happer mon sexe dans sa totalité, et alternait régulièrement avec des petites succions et coups de langues sur le gland. Étant à penchée sur le lit, ses mains ligotées devant elle étaient parfaitement positionnées pour participer à l'effort de guerre. Elle caressait mes bourses, appuyait sur mon plug, le tirait pour exercer une pression sur ma rondelle… la garce trouva même le bouton pour accélérer les vibrations, les monta au maximum et positionna ses doigts pour enfoncer le plug le plus possible.

Je n'allais pas tenir longtemps.

Je pris son visage entre les mains et le recula délicatement. Elle leva le menton, regardant dans ce qu'elle pensait être ma direction avec un regard interrogateur.
Je déposais un petit baiser sur ses lèvres entrouvertes.

Je me retournais et commençait à démêler la corde qui immobilisait ses poignets. Elle semblait perdue, apeurée. Après tous les coups fourrés que je venais de lui faire…

Je laissais ses mains attachées entre elles, mais défit la corde qui les maintenait au lit. Je la contourna et coupa le vibro avant de la décrocher de sa jambe. Puis je détachais ses chevilles pour finir de la désolidariser du lit.

Elle s'effondra à moitié sur le sol. Elle était incapable de tenir debout autant pour une fatigue physique de psychologique. Je l'aidais à se maintenir debout, avant de l'accompagner délicatement sur le lit. Elle se laissait guider, résignée à son sort. J'écartais doucement ses jambes, elle sursauta et se mit instantanément à trembler.

“Chuuuuuut…” Je chuchotais à son oreille.

Je m'allongeais sur elle, en prenant soin de ne pas l'écraser. sa peau bouillante irradiait sa sensualité sur chaque parcelle de mon torse. Cette présence semblait la rassurer. Sa respiration ralentit, se calma lentement.
Je lui pris délicatement le visage, mes yeux virer dans son regard noir de jeaie. Puis, je déposais un baiser timide sur ses lèvres. Et après lui avoir laissé une seconde pour encaisser, j'en déposais un nouveau pour confirmer le premier.

Elle semblait sur le choc, le contraste de la sensualité du moment présent avec la brutalité de la minute passée la clouait sur place, incapable d’intégrer des gestes pourtant élémentaire de notre vie de couple.

Et là, tout doucement, je glissais en elle. Plus de plug, de vibration, d’assauts constants, juste un geste simple et tendre.

Sa réaction

Je me lançais dans un léger va et vient, ondulant du bassin pour lui faire ressentir au mieux le mouvement. Elle ronronnait de plaisir, submergée par les événements récents. Au détail près de ses mains attachées contre sa poitrine, rien ne laissait penser de la dynamique de domination en place. Nous n’étions qu’un couple en train de sensuellement faire l'amour.

Sa chatte bouillonnait.

J'avais beau avoir temporisé pour laisser redescendre l'excitation, la fin était proche.

Elle semblait le savoir, puisqu’entre 2 gemissements elle passa ses poignets attachés derrière mon cou, me tira vers elle et m'embrassa à pleine bouche.

Un baiser long, passionnel, sa langue enroulée autour de la mienne, nos dents qui s'entrechoquent, ses gémissements étouffés glissant dans ma bouche… lorsque je me retirais une dizaine de seconde plus tard, nous étions tous les deux à bout de souffle. Un filet reliait sa bouche à la mienne. Elle me regardait dans les yeux, son regard de braise transperçant le mien :

“Baise moi… fais moi jouir…”

A la fois une supplique et une provocation.

J’augmentait en intensité et fréquence mes coups de bassin. Plus fort, plus vite… elle passa de soupir à gémissements, de gémissement à cri. Je me sentis passer le point de non retour au moment ou ses yeux se revulsèrent, sa bouche figée dans un cri silencieux. Je continuais à la pilonner 10 secondes, retardant l’éjaculation autant que possible. Lorsque qu’un cri échappa à ses lèvres, je l’embrassais à pleine bouche pour la réduire au silence et explosait en elle.

Lorsque je repris mes esprits, j'étais allongé sur elle. Ses bras étaient toujours de part et d'autre de ma tête, son visage enfoui dans mon cou.

Elle respirait tellement fort, je cru qu'elle ronflait. Puis un petit sanglot, une gémissement, une respiration profonde… etc…

Je me levais et la détachait. J'amenais sa boîte des lentilles, et l'aida à retrouver la vue. J'avais tamisé les lumières mais elle cligna tout de même des yeux pendant un moment. Je lui amené une serviette humide. Sa brosse a dent et un verre d’eau. Je l'aidais a enfiler un pyjama, l'allongeait dans le le lit et la bordait.

Lorsque je la rejoignait dans le lit, elle vient se blottir contre moi. Elle me serrait avec une intensité, on avait l'impression qu’elle essayait de fusionner nos corps.

“C'était… c'était…”

Et elle s’endormit.

Cette soirée avait tenu ses promesses. Mais le week-end ne faisait que commencer.

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