Pinky - l'extravagante joueuse

- Par l'auteur HDS Servilia -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Pinky - l'extravagante joueuse Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Pinky - l'extravagante joueuse
Vendredi 24 Juin 2011.
19h. Je travaillais comme un acharné depuis le début de la semaine pour développer mon premier projet important pour la boîte où je bossais. Multitude d’informations à traiter, aucun droit à l’erreur, beaucoup de gens à contacter, responsabilités, risques financiers, tout cela contribua à mon état de nervosité. Il faisait 30 degrés ce jour-là, la météo annonçait un weekend torride. J’avais besoin de décompresser.
Je sors du travail. J’entre dans la voiture. J’ouvre la porte de mon appartement. Je fais couler l’eau de la douche. Je passe vingt minutes sans penser à rien. Je sors de la douche, rafraîchis.
Je regarde ce film que ma voisine m’a conseillé le mois dernier. Enfin je décide de me poser, ne rien faire. Au moins jusqu’à demain matin.

21h. Je regarde dans le frigo, vide. Malgré la fin du mois qui s’avère difficile je décide de commander une pizza, jouant sur mon autorisation de découvert. Bien que totalement immergé dans le film je saisis mon téléphone, cherche dans mes contacts enregistrés le nom « Pizza ». Sans décrocher le film du regard j’attends que le pizzaiolo réponde.

Biiip…. Biiiip….

- Allo ? Dit une voix féminine.
- Bonsoir, je voudrais commander une grande pizza qua…
- … Hahahahaha ! Je pensais pas que tu me rappellerais un jour ! Qu’est-ce que tu deviens ?
Je regarde l’écran du téléphone qui n’affiche pas « Pizza » mais « Pinky ». La boulette. Pinky est une jeune femme de 24 ans totalement délurée et excentrique, plutôt jeune dans sa tête, qui n’a peur de rien et qui vit d’expériences étranges et spontanées. Un imaginaire débordant et un goût pour le jeu très prononcé. Et l’envie de gagner à chaque fois, coûte que coûte. L’unique fois où j’ai vu Pinky (son vrai prénom est Irina je crois) c’était lors d’une soirée poker avec des gens que je connaissais à peine, rencontrés dans un bar. On avait tous parié un peu d’argent, et c’est Irina qui a tout raflé, moi en deuxième position, empochant la somme que j’avais pariée. Trop explosive à mon goût, Pinky mène une vie de bohème à l’autre bout de la ville, fréquentant des univers très variés, en électron libre.
- Et toi, Pinky ? Tu navigues toujours d’aventure en aventure ?
- Je t’en veux, tu m’avais dis que tu me rappellerais…
- Trop de boulot en ce moment. Ce soir j’ai besoin de décompresser je croyais appeler une pizzeria mais tu vois…
- Tu m’as appelé ce doit être un acte manqué. Tu veux décompresser mon canard ? Viens chez moi j’ai deux amies qui doivent passer tas qu’à venir !
- Non c’est super gentil, Pinky, mais là je suis claqué.
- C’est con t’aurais pu prendre ta revanche au poker. Tu avais l’air tellement dégoûté l’autre jour quand tu as perdu !
- Ca va n’en rajoute pas.
- Comme tu veux, je suis chez moi ce soir, pour une fois que je ne bouge pas c’est l’occasion pour toi de venir.
- Une autre fois peut-être, promis Pinky !
- Comme tu veux !

La ligne est coupée. Je reste quelques secondes devant mon téléphone, songeant à la conversation. J’hésite. Non, je n’hésite pas, je reste chez moi ce soir, comme prévu.

22h. Pinky m’accueille, une nuisette en satin violet lui descend jusqu’à la mi-cuisse. Elle est curieusement coiffée, deux crayons maintiennent sa tignasse blonde en l’air, imposant un style à la fois japonisant et ébouriffé, électrique. Son regard enfantin mais farouche pétille.

- Tellement prévisible… se moque-t-elle en m’invitant à rentrer.
- Ils ne sont pas arrivés tes amis ?
- Finalement elles ne viennent pas. Je crois qu’elles préféraient baiser que venir jouer au poker avec nous.
Le studio de quinze mètres carrés est étonnant de bazar. Si ce ne sont pas des culottes qui traînent sur une chaise c’est de la vaisselle sale. Un verre par-ci, une fourchette par-là posée à côté de la souris de l’ordinateur portable. Son canapé-lit à peu près dégagé est placé dans un coin de la pièce, une petite table basse ronde sur laquelle est posée un jeu de cartes et des jetons de poker attendent. Ce qui me surprend le plus c’est ce grand fauteuil en cuir beige.
- Est-ce que ça te paraît normal si je te demande ce que cet immense fauteuil en cuir beige fait ici ?
- Une femme avec qui j’ai couché la semaine dernière vendait tout son grand appartement avant de partir vivre en Californie. Elle me l’a donné après nos ébats et me l’a même fait venir ici. J’y passe ma vie dessus ! Tiens, goûte ça.
- C’est quoi ?
- Un cocktail que je viens d’inventer, mélanges d’alcools, de fruits et de légumes.
Je goûte le breuvage aux couleurs vertes et orange fluo. On définit les règles de la partie de poker. Le vainqueur empoche la somme de vingt euros.
- Non, soyons fous, cinquante euros.
- Cinquante euros pour une petite partie de poker à deux ?
- Cinquante euros. Chacun.
Je recrache instantanément la boisson dans le verre. Je lui explique que la fin du mois s’avère plus compliquée que prévue.
- Une fois fini mon projet je devrais empocher un nouveau salaire bien plus confortable, mais là je suis vraiment sur la paille.
- Et alors, moi aussi. C’est justement pour ça que je veux parier autant.
- Tu es vraiment aussi sûre de toi que ça ?
- J’aime les défis. Je te croyais plus aventurier que ça.
J’hésite un moment. Je touche ma poche dans laquelle se trouve justement un billet de cinquante euros, réservé pour vivre ces cinq prochains jours en attendant la paye. Je me dis que cinq jours d’attente sans un sou, ce n’est pas ce que j’ai connu de pire. Ses yeux sont envoûtants, ils invitent à la tendresse mais aussi à faire des folies. Ses lèvres cachent deux rangées de dents blanches et parfaites, sa nuisette masque deux petits seins ronds et fermes, du moins je les devine nettement. Ses jambes fines et blanches me font venir des images, quelques cordes, des caresses, une fessée, sa langue contre la mienne, ses lèvres intimes que j’imagine charnues et appétissantes, frottant des liens qui l’exciteraient. C’est vrai que Pinky est une très jolie fille derrière son allure déjantée, et je compte bien la prendre cette revanche, au moins je …
- Allez, deal. Elle pose trois billets formant la somme de cinquante euros sur la table. Prends ta décision.
- Deal.
Je pose mon billet orange au-dessus des siens. Nos verres trinquent, je regarde le liquide alcoolisé couler entre ses lèvres, le regard assuré, presque fourbe. Je finis le verre, baisse la tête pour aider à faire passer le goût fort du cocktail. Mes yeux fixent ses pieds, fins, aux orteils ronds, beaux, dont je vois un potentiel érotique intriguant.
Elle s’assoit sur son grand fauteuil en cuir beige, en tailleur, laissant entrevoir une culotte noire, à moins que ce ne soit un string. J’évite de paraître indiscret. Je me pose à côté sur son canapé. Près de nous, la table basse sur laquelle Pinky récupère les jetons. Elle les partage en deux, me donne un tas pendant que je mélange les cartes. Elle coupe le tas et distribue. Un silence lourd s’impose. Je découvre mes deux cartes. Un quatre de pique et un cinq de carreau. Je lève les yeux vers elle, neutre, concentrée.
23h. La partie est déjà bien entamée quand Pinky domine nettement la partie. Elle possède au moins les trois-quarts de la valeur des jetons et demeure impassible, stoïque, calme. Impossible de deviner ses émotions, d’anticiper son jeu. Je finis le deuxième verre de son cocktail détonant.
- Allez cette fois c’est toi qui vas succomber. Je mise tout ça… Tu suis ?
- Je sens que ces 100 euros vont bientôt me revenir. Je suis.
Je retourne les dernières cartes. Bien joué ! Un carré de rois. Pinky a l’air sûre de son coup. Elle me demande de montrer mes cartes.
- Un carré ! Cette chance quel enfoiré ! S’écrie-t-elle en jetant ses cartes combinant un full.
- Et par ici les jetons ! Oh je te sens frustrée, tu perds pour la première fois de la partie une aussi grosse somme et ça ne te va pas. Ouh je sens que tu vas t’énerver ! Dis-je dans le but de l’agacer.
- D’accord tu le prends comme ça.
- Haha oui je le prends comme ça. Ne sois pas aussi sûre de toi, Irina.
- Ne m’appelle pas Irina !
- Désolé, princesse. J’ai envie de rester plus longtemps chez toi en redonnant un peu de suspens tu vois.
- Moi qui croyais que tu étais venu pour me sauter, lance-t-elle.
- Pas vraiment.
- Parce que j’avais bien envie de te voir nu ce soir …
- Tu me séduis, là, tu veux me faire perdre mes moyens.
- Pas du tout ! Se défend-elle. D’ailleurs, je te propose un avenant à notre règle. On va transformer cette partie en strip poker. Un vêtement à chaque coup perdu. Un vêtement remis à chaque coup gagné.
- Sachant que tu n’en portes qu’un ou deux tu vas vite te retrouver vulnérable, ma belle, dis-je en lui faisant des yeux faussement doux.
- On parie ?
- Que la partie continue, deal.
- Deal, conclue-t-elle, impatiente d’entamer le prochain tour.
Minuit. Pinky et moi terminons notre quatrième verre. De la musique accompagne désormais notre partie qui ne semble pas avoir d’issue tant nous sommes concentrés et menons un jeu de même qualité. La soirée est en effervescence, Pinky n’a qu’une seul but, me voir nu et dépouillé de mes cinquante euros et n’hésite pas à me le rappeler. Moi je rêve de la voir nue, ligotée pour mon plaisir, enfouissant les cent euros au fond de ma poche. Son corps séduisant me paraît inaccessible tant elle défend bien son jeu. Elle possède la meilleure partie de la valeur des jetons, bien que je tente régulièrement des coups risqués qui me font récupérer des jetons. Ses bluffs sont très difficiles à anticiper et visiblement elle n’arrive pas à comprendre ma façon de jouer. Pinky regarde mes pieds nus, mes jambes cachées par mon jean, et remonte son regard sur ma chemise colorée qu’elle dit aimer.
- Ca devient interminable, s’agace-t-elle. Une heure de jeu plus tard et je n’ai pas encore vu ton torse !
- Je n’ai toujours pas vu tes tétons, je te signale.
- Oui mais tu m’as fait enlever mon string, salaud.
- Pour ce que j’ai vu, c’est-à-dire rien.
- Il ne manquerait plus que ça. Pas avant que je n’ai vu ta queue.
- Si ce n’est que ça on a qu’à faire l’amour.
- Pas avant que je n’ai empoché ces cent euros, jeune homme, dit-elle d’un air faussement hautain en relevant le menton. Elle esquisse un sourire. Je parie tout ça …. Murmure-t-elle en approchant une grosse pile de jetons.
- Voilà le tournant de la partie, Pinky. Le moment où tu vas retirer ta nuisette ! Je suis ! Je m’exclame tout en rapprochant une pile de jetons de la même valeur, puis je montre mes cartes. Regarde cette belle suite, pas mal hein ! Retourne tes cartes maintenant ?
- Couleur, pas ma préférée, mais le trèfle me va pas si mal tout compte fait.
- Non !
- Eh si, mon petit, montre-moi ton torse, réclame Pinky les yeux rivés sur ma chemise.
- Attends la partie n’est pas finie.
- Oh mais je suis très patiente pour ce genre d’évènement… En attendant pour toi, je remets mon string. Prochaine étape, le pantalon !

00h30.

- Allez, la nuisette !

Pinky subit un retournement de situation inattendu. La voilà obligée de se mettre nue face à moi tandis que j’enfile mes chaussures. Assise en tailleur, totalement nue sur son immense fauteuil en cuir beige m’excite. J’ai envie de l’embrasser partout. Elle n’a aucun poil sur le pubis, et ses petits seins ronds et fermes sont magnifiques, encore mieux que je les imaginais. J’imagine spontanément ma langue venir lécher les parties intimes de son corps, ses tétons roses, son sexe lisse et doux, …

- Et si je te gagne, j’empoche les cent euros, du moins c’est plutôt bien parti pour, tu restes toute nue, et je te fais l’amour ?

Pinky reste interdite, les bras croisés, le regard sévère.

- Il y a quelque chose qui ne me va pas, Pinky, il manque un petit truc… Dis-je en la regardant, le visage rouge, se forçant à maîtriser sa frustration de n’avoir plus que quelques malheureux jetons pour finir la partie.
- Très bien, tu veux jouer à ça ? Si tu gagnes, je te suce la bite avec un tel acharnement que tu te souviendras de moi encore longtemps. Mais si je gagne… Ah ! Si je gagne… Tu me lèches ma petite chatte et mon cul jusqu’à orgasme.
- D’accord, mais tu me suceras ligotée comme une soumise.
- Et avec quoi ?
- Tu as des ceintures ?
- Ca marche, mais si je gagne, tu me lècheras, agenouillé à mes pieds, gourmand que tu me sembles être, et ta langue parcourra les moindres parcelles de mes trous. Entendu ?
- Deal !

Pinky a l’air tellement sûre d’elle, même nue comme une nymphe, face à moi qui fantasme sur elle depuis le début de la soirée. L’alcool a dû nous aider un peu à atteindre une telle situation. Je lui fais part de mon intérêt pour les femmes ligotées. Elle me répond sans surprise que c’est réciproque mais qu’elle n’a jamais encore attaché un homme car l’occasion ne s’était pas encore présentée. La jeune femme prétend avoir pratiqué plusieurs fois avec des femmes. Pinky me confie avoir un faible pour mon visage qu’elle trouve sexy.

- C’est pour ça que j’ai hâte de le voir me lécher de partout ! Sourit-elle en montrant toutes ses dents. Double paire.
- Simple paire.
- Je reprends ces quelques jetons, et tu enlèves ces chaussures s’il te plaît.

Je m’exécute. On redistribue les cartes, on prend connaissance de notre jeu.

- Allez ça suffit, tapis.
- Quoi ?
- Je mise tout ce qu’il me reste.
- Si tu perds ce coup-là tu vas devenir mon esclave, tu acceptes ton tragique destin ?

Au lieu de me répondre, Pinky se lève, déambule dans l’appartement dévorée par mon regard, récupère des ceintures, foulards et les pose près d’elle sur le fauteuil. Elle se met à genoux sur ce dernier, elle trépigne d’impatience

- Je suis prête.

On découvre nos cartes. Je tire une première carte, une deuxième, la troisième et suis déçu de voir qu’elle gagne le coup car elle a une paire de dix contre une paire de neuf pour moi …

- Non !

01h00. Nous voilà revenus à égalité. Il ne me reste plus que mon caleçon avant d’être entièrement nu. Pinky ne prête plus attention à ses vêtements et a décidé de rester dévêtue jusqu’à la fin de la partie. Elle n’est concentrée que sur sa victoire.

- Pour te rendre mon esclave d’un soir. J’en suis déjà toute mouillée ! Allez encore un autre coup, je distribue.
- Tapis.
- Oh ! Tu mises tout ce que tu as ? S’exclame-t-elle avec une étonnante stupeur.
- Oui, je compte … J’ai exactement la moitié de la valeur des jetons. Si tu me suis, c’est celui qui gagne le coup qui remporte la partie.
- … Tapis ! Lance-t-elle sans hésiter.
- J’ai déjà une paire.
- Pareil.
- Voici les premières cartes… Ah ça te fait une double paire … Je vais retourner la dernière carte, si c’est un huit, tu as un full et tu gagnes, si c’est un roi, j’ai un brelan et c’est moi qui gagne.

Je retourne lentement la carte, laissant prolonger le suspens qui devient insoutenable. Mon cœur bat, Pinky se penche pour mieux voir la carte que je retourne. Cell-ci affiche … un huit.

- J’AI GAGNE ! Hurle-t-elle dans l’appartement en levant le bras. Je t’ai gagné une fois de plus ! C’est moi la meilleure ! Houhou !!!

Je réalise durement ma défaite, mes yeux vérifiant bien que la victoire est sienne. Je me sens humilié, vaincu en une seconde, la sensation d’avoir tout perdu. Pinky se lève et attrape un câble éthernet inutilisé qui traîne près de son ordinateur. Elle me prend les poignets et me les met dans le dos. Je me laisse faire comme un soldat qui se rend. Pinky serre terriblement fort, me laissant échapper un petit gémissement de douleur. La belle est aux anges, crie à nouveau sa joie quand elle se dirige vers un placard où elle attrape de la ficelle à rôti. Elle se place devant moi.

- A genou, esclave.

Terriblement agacé, je peine à exécuter ce qu’elle demande. J’incline la tête. Pinky me prend délicatement par le cou et me force à descendre du canapé pour me mettre à genoux, le nez écrasé sur un de ses magnifiques pieds.

- Ne bouge pas.

Elle me contourne et profite de mon visage plaqué au sol et de mes fesses relevées pour baisser mon caleçon, saisir mes testicules, les enrouler dans la ficelle qu’elle serre également fort. Pinky déroule environ un mètre de ficelle blanche. Elle m’explique que c’est pour mieux me tenir par les couilles. Elle retourne s’assoir sur son immense fauteuil, se met sur le dos et soulève ses jambes.

- Viens me lécher maintenant !
- Où ça ?
- Commence par mon anus, avec le plat de la langue.

J’approche mon visage à un centimètre de son cul qui m’est offert. Dans sa main elle tient l’extrémité de la ficelle sur laquelle elle tire. Mes testicules sont amenées brutalement vers elle. Mon nez s’enfonce partiellement dans son intimité. Je sors la langue et la plaque sur les bords de son petit trou.

- Oh !! Oui ! Vas-y, vas-y !

Comme un petit chien je lèche son trou strié, doux et odorant. Elle fait jouer son muscle qui se détend, se contracte, se détend à nouveau. Un peu de liquide intime coule depuis ses lèvres et vient se déposer lentement sur mon nez. Pinky manifeste beaucoup de plaisir, elle joue avec la ficelle, ce qui me provoque des petites douleurs inconfortables. Finalement je ne sais pas si ça m’excite plus que ce que je croyais.

- Oh…. C’est bon ! Maintenant ma chatte, baise-la avec ta langue.
- Hmmm…

Je remonte légèrement, le bout de la langue parcourant l’anus, le périnée, sensible, faisant frissonner la belle blonde. Je déguste sensuellement ses lèvres charnues, comme je les imaginais. J’enfonce ma langue dans son orifice, je la ressors, elle gémit de plaisir. Elle tire fortement sur la ficelle.

- Aïe !
- Oh oui continue mon chien-chien ! Maintenant les pieds. Lèche mes pieds.

Pinky me présente ses pieds contre mon visage, les orteils en éventail. Je les renifle, je lèche la plante des pieds, sensible, elle sourit, puis rigole, me dit que ça lui chatouille. Je continue, excité par une érection.

- Ca te plaît de lécher mes pieds, hein. Ca te plaît de me lécher tout court. Continue.

Je la chatouille avec le plat de ma langue qui longe le pied du talon au bout des orteils. J’en prends un que je suce, puis un euxième, je lui lèche entre les orteils, c’est bon, elle prend du plaisir en fermant les yeux. Elle se masturbe, caresse son clitoris. Elle entrouvre sa bouche, concentrée sur son plaisir, et moi qui n’arrête pas de lécher sans économie de geste ou de salive. Totalement soumis. Soudain elle me donne un coup de pied sur la tempe.

- Alterne, change de pied !

Je me déplace, lèche son autre membre, courbé, élégant, propre. Elle cambre son pied et remue ses orteils ronds.

- Reviens sur mon cul !

Elle m’oblige à accomplir sa demande en tirant sur la ficelle… Ca fait mal ! Je reviens sur son intimité humide. Je continue de frotter ma langue sur toute la surface de son anus, Pinky accélère sa masturbation, et libère un hurlement soudain.

- AHHHH !!!! OHHHHHH ….. OUIIII !!!!

Le hurlement est accompagné de violentes crispations de ses jambes et d’une coulée de liquide intime sur ma langue, dans ma bouche. J’avale, gourmand de ce nectar qui m’excite encore davantage. Mon érection est intense, mais je ne peux rien faire. Pinky relâche ses jambes et pose les pieds par terre. Ma tête est coincée entre ses cuisses. Elle me regarde et me dit.

- Tu vas passer la nuit avec moi.

02h00. Mes talons sont collés contre mes cuisses, maintenus par une ceinture pour chaque jambe. La ficelle qui tient prisonnières mes testicules comprimées, rondes, gonflées, violacées, est attachée à un pied du canapé déplié. Je suis contraint de rester sur le matelas, là où Pinky allonge ses jambes. J’ai pour mission de l’endormir en lui léchant anus, sexe et pieds. Il fait très chaud. Caché sous la couette, placé aux pieds de Pinky, je suis ligoté par les poignets, à genoux, les testicules comprimées. Allongée, lumières éteintes, la gagnante de la soirée essaie de s’endormir. Je me mors volontairement la langue pour lui faire retrouver un peu de salive. Je lèche depuis un long moment déjà son sexe trempé par l’excitation. Pinky semble impossible à rassasier, pour elle la victoire est totale. Elle a gagné cinquante euros, et un esclave qui sera à elle jusqu’au lendemain.
Bien plus tard dans la nuit, alors que l’envie de dormir m’envahit depuis au moins une heure, Pinky m’ordonne de m’occuper de ses pieds pour l’amuser. Je tente de m’évader un peu, bien que partagé entre excitation et torture. Sans le vouloir, des images mes viennent, des fantasmes, de nouveaux fantasmes.

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