Pique nique
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-10-2009 dans la catégorie Plus on est
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Pique nique
L'été est là et nous décidons avec Marthe d'aller nous promener à la campagne, plus précisément en forêt, avec l'intention de faire un pique nique. Nous ne sommes pas loin d'une forêt magnifique et nous partons donc pour la journée, sans nous douter de la suite. Il faut quand même que je dise que mon épouse est du genre portée sur le sexe. Elle met dans le panier son godemiché avec l'intention très précise de s'en servir. Déjà dans la voiture, le temps de faire un déplacement de moins d'une heure, elle arrive à sortir son "ami" comme elle l'appelle pour se le fourrer dans le con, jambes bien ouvertes Elle me fait bander et je suis obligé de stopper la voiture pour me branler: la journée commence bien: elle me regarde m'astiquer et bien sur elle jouit quand elle voit mon sperme se perdre dans la nature.
Enfin après cet arrêt involontaire nous trouvons un endroit calme pour déjeuner sur l'herbe. Nous sommes à l'ombre et malgré ça nous avons chaud. Marthe décide de se découvrir: elle enlève son chemisier pour se retrouver avec un soutif et une simple mini jupe.
Je l'imite en enlevant ma chemise et nous nous trouvons plus à l'aise. Nous dégustons notre repas et buvons un vin plutôt généreux.
Je ne sais si c'est à cause de ça, mais Marthe a encore chaud. Elle enlève sa mini jupe et dégrafe son soutien gorge. Ses seins apparaissent toujours bien orientés vers le haut et un peu durci par le contact de l'air du dehors. Elle ne porte plus qu'un simple string qui lui fait bien ressortir les fesses où je pose mes mains. Elle me détourne d'elles, prend une partie de la nappe et se couche dessus pour faire une petite sieste: c''est ce qu'elle dit. En réalité elle pose sa main droite sur son string, passe deux doigts en dessous et commence à se caresser le clitoris. J'ôte mon pantalon et viens très près d'elle pour qu'elle puisse se servir d'une de mes jambes comme d'un oreiller. Elle lève la tête et me sourit pour me remercier. Je lui caresse les seins comme elle aime, pendant qu'elle continu sa masturbation. Pourtant elle arrête pour enlever le dernier vêtement et c'est nue qu'elle se fait jouir. Sa libido sans limite lui dicte la suite : elle cherche son gode. Je la regarde à quatre pattes ses fesses bien rebondies avec son cul et un peu plus loin son sexe rasé. Je n'y tiens plus et je me déshabille aussi totalement. C'est nu que je la regarde se rentrer ce gode directement dans son con. Elle entame les vas-et-viens et arrive à un bel orgasme qui la fait gémir, comme quand je la baise. Elle lève les yeux vers moi et me demande simplement si je permets qu'elle s'encule. Je réponds que si elle en a envie, personne ne peur l'en empêcher. Elle se tourne le bas ventre vers moi et doucement rentre le gode dans son cul qu'elle a bien mouillé. Elle ferme les yeux et je sais qu'elle ne va pas tarder à s'envoyer en l'air. Pour avoir d'avantage de jouissance, elle pose une main sur son bouton et le caresse aussi. Je regarde ce spectacle magnifique de ma femme qui se donne du plaisir devant moi. Je bande comme un âne et ma queue me fait presque mal de désir refoulé. Je ne veux pas me branler encore une fois.
Enfin elle jouit, se tourne vers moi et regarde bien mon membre tendu. Elle rampe lentement pour s'approcher de ma bite et enfin elle la prend dans sa bouche. Sa façon de faire est particulière. Elle me prend la queue à pleine main et me branle lentement, approche sa bouche ouverte comme pour me dévorer et la rentre dans sa bouche en léchant au passage d'abord le long de la tige et ensuite mon gland. Elle fait coulisser ma pine dans sa bouche et me branle en même temps. Elle suce longuement en faisant souvent des arrêts: je tarde toujours à jouir dans ce cas là et je me régale à la fois. Je sais comment ça va finir. Quand je suis sur le point de jouir, je le lui dis toujours et elle arrête de me branler, seules ses lèvres me touchent et elle reçoit ma décharge dans la bouche.
Aujourd'hui c'est une forme de dessert auquel nous avons droit: elle déguste ma semence et en garde toujours un peu dans sa bouche avant de venir m'embrasser. Je reçois le peu de sperme quelle me donne et sa langue à la fois dans la bouche. J’étais écœuré au début et puis j'y ai pris goût comme elle aime que je lui fasse goûter sa cyprine.
Pour l'instant elle semble calmée et nous restons nus à l'ombre en rêvassant.
Il est à peine 15 heures et nous prenons le temps. Elle décide d'aller se promener, toujours nue. Elle revient assez rapidement pour me dire qu'elle a vu un autre couple se livrer à la fornication. Je réagis à ce mot et lui demande de dire le mot juste: elle le maintien et m'engage à venir avec elle. Nous sommes donc nus quand nous voyons tout près de nous un couple d'une quarantaine d'année: elle est en levrette et il l'encule. Je murmure qu'il ne fornique pas et qu'à leur âge ils sont bien libres de faire ce qu'ils veulent. Elle en convient. Nos bavardages nous font remarquer et le couple nous voit enfin. Loin de nous rejeter, au contraire c'est la femme qui nous invite à venir avec eux pour partager nos émotions et les leurs.
Parlons de cette femme: malgré son âge présumé, elle a une poitrine qui ne tombe pas du tout, ses seins sont même beaux et ses fesses appellent la main d'un honnête homme. Quand au mari il est bien monté et surtout bien musclé.
Marthe me regarde avec ses yeux vicieux et ne se pose pas de question. Bien sur elle veut baiser avec ce couple qu'elle ne connait même pas. Je suis moi même tenté, la femme ne me déplait pas du tout et elle a suffisamment d'expérience pour me donner une bonne baise. Seul ennui, le coin où ils sont est à la vue de tout un chacun. Au contraire, ça met du piment pour faire l'amour. La preuve: nous sommes là et qui sait si personne d'autre ne viendra encore. Marthe en est excitée: je la soupçonne même d'espérer.
Elle va vers l'homme pour lui coller sa bouche sur la sienne: elle va le conquérir rien qu'avec ses baisers. Ils sont collés l'un à l'autre. La main droite de Marthe va de suite chercher la queue de ce mâle qui bande toujours. Elle ne le branle que légèrement comme pour faire connaissance. Lui, il pose ses deux mains sur les fesses de Marthe et cherche son cul.
Pendant ce temps, je suis avec sa femme qui regarde son homme se commettre avec Marthe. Ca doit lui faire de l'effet puisque dès que je suis vers elle, j'ai droit au traitement de faveur: elle me prend bien la queue avec une main et me met également une main au cul. je lui rends la pareille en lui mettant une main sur le con et je ne cherche qu'une seule chose: son clitoris. Elle me l'offre et je commence à branler un bouton bien plus long que celui de Marthe.
Je ne dis rien, j'agis. Nos bouches collées je continue la masturbation. Elle jouit rapidement et me demande de la sucer. Je me baisse. Elle ne veut pas rester debout: elle se couche et attire ma tête entre ses jambes. Je lui prends le bouton entièrement dans la bouche et avec ma langue je fais comme si je suçais une petite bite. Elle jouit très vite et sans rien me demander elle se tourne pour me rendre la politesse: elle me prend la bite dans la bouche et entame un pompier comme j'en ai rarement connu. Il faut qu'elle apprenne à Marthe pour qu'elle m'en fasse autant. Marthe de son coté est en train de se faire mettre dans le cul. elle est en levrette et si sa bite la lime, il la branle. Elle gémit comme à son habitude.
La femme abandonne ma queue pour qu'à mon tour je l'encule: elle adore se faire mettre dans le cul. Je la sodomise facilement tant son anus est ouvert. Elle se branle aussi, comme l'aurait fait Marthe, si son amant de l'instant ne le lui faisait pas. J'amène à l'extase cette femme qui maintenant voudrait bien jouer avec Marthe. Marthe jouit pour le bonheur de cette femme. Son mari et moi devenons les spectateurs d'une étreinte lesbienne. C'est la première fois que je vois Marthe se donner à une autre femme, même si elle m'avait dit que dans sa jeunesse elle avait...............
Elles ne s'embarrassent pas de préliminaires, elles sont suffisamment chaudes comme ça. Elles attaquent directement par une masturbation mutuelle avant d'en venir au gros de l'affaire. La femme semble aimer sucer et être sucée. Aussi rapidement elles se retrouvent en 69 et leurs doigts ne restent pas inutiles: elles se les mettent au cul. Elles jouissent plusieurs fois et semblent ne pas vouloir s'arrêter. Pourtant arrive un moment où le meilleur des corps arrive à un degré de fatigue qu'il est obligé de s'arrêter.
Nos couples se séparent sans que nous connaissions ni leurs noms, ni leurs prénoms. La seule chose que nous connaissons d'eux c'est qu'ils aiment baiser avec d'autres.
Pendant le retour Marthe regrette déjà de n'avoir pas pu baiser encore avec cette femme. Je lui demande si elle a appris cette nouvelle façon, pour moi, de me sucer. Elle le lui a murmuré et pour me montrer qu'elle sait, elle me sort la bite et me suce comme l'autre. Depuis elle alterne ses façons de faire des fellations: une fois à la sienne une fois à la façon de notre amante.
Enfin après cet arrêt involontaire nous trouvons un endroit calme pour déjeuner sur l'herbe. Nous sommes à l'ombre et malgré ça nous avons chaud. Marthe décide de se découvrir: elle enlève son chemisier pour se retrouver avec un soutif et une simple mini jupe.
Je l'imite en enlevant ma chemise et nous nous trouvons plus à l'aise. Nous dégustons notre repas et buvons un vin plutôt généreux.
Je ne sais si c'est à cause de ça, mais Marthe a encore chaud. Elle enlève sa mini jupe et dégrafe son soutien gorge. Ses seins apparaissent toujours bien orientés vers le haut et un peu durci par le contact de l'air du dehors. Elle ne porte plus qu'un simple string qui lui fait bien ressortir les fesses où je pose mes mains. Elle me détourne d'elles, prend une partie de la nappe et se couche dessus pour faire une petite sieste: c''est ce qu'elle dit. En réalité elle pose sa main droite sur son string, passe deux doigts en dessous et commence à se caresser le clitoris. J'ôte mon pantalon et viens très près d'elle pour qu'elle puisse se servir d'une de mes jambes comme d'un oreiller. Elle lève la tête et me sourit pour me remercier. Je lui caresse les seins comme elle aime, pendant qu'elle continu sa masturbation. Pourtant elle arrête pour enlever le dernier vêtement et c'est nue qu'elle se fait jouir. Sa libido sans limite lui dicte la suite : elle cherche son gode. Je la regarde à quatre pattes ses fesses bien rebondies avec son cul et un peu plus loin son sexe rasé. Je n'y tiens plus et je me déshabille aussi totalement. C'est nu que je la regarde se rentrer ce gode directement dans son con. Elle entame les vas-et-viens et arrive à un bel orgasme qui la fait gémir, comme quand je la baise. Elle lève les yeux vers moi et me demande simplement si je permets qu'elle s'encule. Je réponds que si elle en a envie, personne ne peur l'en empêcher. Elle se tourne le bas ventre vers moi et doucement rentre le gode dans son cul qu'elle a bien mouillé. Elle ferme les yeux et je sais qu'elle ne va pas tarder à s'envoyer en l'air. Pour avoir d'avantage de jouissance, elle pose une main sur son bouton et le caresse aussi. Je regarde ce spectacle magnifique de ma femme qui se donne du plaisir devant moi. Je bande comme un âne et ma queue me fait presque mal de désir refoulé. Je ne veux pas me branler encore une fois.
Enfin elle jouit, se tourne vers moi et regarde bien mon membre tendu. Elle rampe lentement pour s'approcher de ma bite et enfin elle la prend dans sa bouche. Sa façon de faire est particulière. Elle me prend la queue à pleine main et me branle lentement, approche sa bouche ouverte comme pour me dévorer et la rentre dans sa bouche en léchant au passage d'abord le long de la tige et ensuite mon gland. Elle fait coulisser ma pine dans sa bouche et me branle en même temps. Elle suce longuement en faisant souvent des arrêts: je tarde toujours à jouir dans ce cas là et je me régale à la fois. Je sais comment ça va finir. Quand je suis sur le point de jouir, je le lui dis toujours et elle arrête de me branler, seules ses lèvres me touchent et elle reçoit ma décharge dans la bouche.
Aujourd'hui c'est une forme de dessert auquel nous avons droit: elle déguste ma semence et en garde toujours un peu dans sa bouche avant de venir m'embrasser. Je reçois le peu de sperme quelle me donne et sa langue à la fois dans la bouche. J’étais écœuré au début et puis j'y ai pris goût comme elle aime que je lui fasse goûter sa cyprine.
Pour l'instant elle semble calmée et nous restons nus à l'ombre en rêvassant.
Il est à peine 15 heures et nous prenons le temps. Elle décide d'aller se promener, toujours nue. Elle revient assez rapidement pour me dire qu'elle a vu un autre couple se livrer à la fornication. Je réagis à ce mot et lui demande de dire le mot juste: elle le maintien et m'engage à venir avec elle. Nous sommes donc nus quand nous voyons tout près de nous un couple d'une quarantaine d'année: elle est en levrette et il l'encule. Je murmure qu'il ne fornique pas et qu'à leur âge ils sont bien libres de faire ce qu'ils veulent. Elle en convient. Nos bavardages nous font remarquer et le couple nous voit enfin. Loin de nous rejeter, au contraire c'est la femme qui nous invite à venir avec eux pour partager nos émotions et les leurs.
Parlons de cette femme: malgré son âge présumé, elle a une poitrine qui ne tombe pas du tout, ses seins sont même beaux et ses fesses appellent la main d'un honnête homme. Quand au mari il est bien monté et surtout bien musclé.
Marthe me regarde avec ses yeux vicieux et ne se pose pas de question. Bien sur elle veut baiser avec ce couple qu'elle ne connait même pas. Je suis moi même tenté, la femme ne me déplait pas du tout et elle a suffisamment d'expérience pour me donner une bonne baise. Seul ennui, le coin où ils sont est à la vue de tout un chacun. Au contraire, ça met du piment pour faire l'amour. La preuve: nous sommes là et qui sait si personne d'autre ne viendra encore. Marthe en est excitée: je la soupçonne même d'espérer.
Elle va vers l'homme pour lui coller sa bouche sur la sienne: elle va le conquérir rien qu'avec ses baisers. Ils sont collés l'un à l'autre. La main droite de Marthe va de suite chercher la queue de ce mâle qui bande toujours. Elle ne le branle que légèrement comme pour faire connaissance. Lui, il pose ses deux mains sur les fesses de Marthe et cherche son cul.
Pendant ce temps, je suis avec sa femme qui regarde son homme se commettre avec Marthe. Ca doit lui faire de l'effet puisque dès que je suis vers elle, j'ai droit au traitement de faveur: elle me prend bien la queue avec une main et me met également une main au cul. je lui rends la pareille en lui mettant une main sur le con et je ne cherche qu'une seule chose: son clitoris. Elle me l'offre et je commence à branler un bouton bien plus long que celui de Marthe.
Je ne dis rien, j'agis. Nos bouches collées je continue la masturbation. Elle jouit rapidement et me demande de la sucer. Je me baisse. Elle ne veut pas rester debout: elle se couche et attire ma tête entre ses jambes. Je lui prends le bouton entièrement dans la bouche et avec ma langue je fais comme si je suçais une petite bite. Elle jouit très vite et sans rien me demander elle se tourne pour me rendre la politesse: elle me prend la bite dans la bouche et entame un pompier comme j'en ai rarement connu. Il faut qu'elle apprenne à Marthe pour qu'elle m'en fasse autant. Marthe de son coté est en train de se faire mettre dans le cul. elle est en levrette et si sa bite la lime, il la branle. Elle gémit comme à son habitude.
La femme abandonne ma queue pour qu'à mon tour je l'encule: elle adore se faire mettre dans le cul. Je la sodomise facilement tant son anus est ouvert. Elle se branle aussi, comme l'aurait fait Marthe, si son amant de l'instant ne le lui faisait pas. J'amène à l'extase cette femme qui maintenant voudrait bien jouer avec Marthe. Marthe jouit pour le bonheur de cette femme. Son mari et moi devenons les spectateurs d'une étreinte lesbienne. C'est la première fois que je vois Marthe se donner à une autre femme, même si elle m'avait dit que dans sa jeunesse elle avait...............
Elles ne s'embarrassent pas de préliminaires, elles sont suffisamment chaudes comme ça. Elles attaquent directement par une masturbation mutuelle avant d'en venir au gros de l'affaire. La femme semble aimer sucer et être sucée. Aussi rapidement elles se retrouvent en 69 et leurs doigts ne restent pas inutiles: elles se les mettent au cul. Elles jouissent plusieurs fois et semblent ne pas vouloir s'arrêter. Pourtant arrive un moment où le meilleur des corps arrive à un degré de fatigue qu'il est obligé de s'arrêter.
Nos couples se séparent sans que nous connaissions ni leurs noms, ni leurs prénoms. La seule chose que nous connaissons d'eux c'est qu'ils aiment baiser avec d'autres.
Pendant le retour Marthe regrette déjà de n'avoir pas pu baiser encore avec cette femme. Je lui demande si elle a appris cette nouvelle façon, pour moi, de me sucer. Elle le lui a murmuré et pour me montrer qu'elle sait, elle me sort la bite et me suce comme l'autre. Depuis elle alterne ses façons de faire des fellations: une fois à la sienne une fois à la façon de notre amante.
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