Piscine rime avec pine 04.
Récit érotique écrit par Coquine3618 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Piscine rime avec pine 04.
Me voilà seule avec Mr le directeur, après ma démonstration comment va-t-il réagir? Sa dernière phrase n’est pas faite pour me rassurer.
- Voyons, mademoiselle vous pouvez vous assoir, je dois vous reconnaître certains talents, mais des petites dévergondées de votre espèce j’en ai jamais vues c’est la première fois! Je vais vous donner une petite chance de vous rattraper et ne par rapporter à votre papa votre aptitude à la débauche. Que pensez-vous de cette proposition?
- Merci monsieur, je veux bien un arrangement avec vous, j’ai observé que vous étiez captivé par mon petit happening.
- Ne soyez pas effrontée en plus d’être vicieuse. Je dis que vous méritez une petite correction, êtes-vous d’accord?
- Vous avez entièrement raison, je dois avoir une punition.
- Que diriez-vous d’une petite fessée pour commencer?
Là je le trouve beaucoup plus drôle que tout à l’heure, l’idée est excellente, souvenez-vous avec Benjamin et David notre petit jeu sympa, cette fois c’est une vraie, étant jeune mon père ne m’en a jamais donnée et je voudrais connaître cette sensation, finalement ce directeur m’excite, voilà que je mouille à l’image de la scène qui envahit mon esprit.
- Puis-je vous demander une faveur?
- Allez-y je vous écoute mon enfant.
- Vu le degré de la faute, je pense que je dois la recevoir cul-nu pour être remise dans le droit chemin.
- Comme il vous plaira, je crois que vous avez raison, la leçon ne peut qu’en être plus salutaire.
Quelle cochonne je suis! En fait je n’en pense pas un mot c’est pas cela qui m’empêchera d’être une dépravée, et je suis de plus en plus émoustillée: la petite tache qui macule mon maillot en est la preuve, elle provoque un effet translucide, et volontairement bien sûr j’écarte un peu les jambes pour mieux qu’il remarque cette conjoncture. En face de moi, engoncée sur ma chaise, il ne peut pas la louper, mes jolies lèvres roses et lisses sont parfaitement visibles, et le fait que je sois ruisselante ne peut pas le laisser indifférent.
- Venez par ici, me dit-il en s’assoyant sur l’extrémité du canapé.
Je m’approche debout devant lui, il saisi alors mon maillot de bain et d’un geste énergique le descend à la volée au niveau de mes genoux.
Il prend un temps de latence afin d’admirer la beauté de la marque de ma féminité, je vois qu’il fond d’envie, et moi espiègle, je me campe les fesses en avant pour faire ressortir encore plus ma fente devant ses yeux médusés, moi aussi je ressens une forme de plaisir à montrer ma moule, qui coule de plus belle, à ce monsieur dont je flaire que son cœur doit battre à 100 à l’heure, et un autre appendice aussi j’espère.
Enfin il s’empare de mon bras et le tire pour m’allonger sur ses cuisses, nous sommes au bord d’un canapé sans accoudoir, mes pieds sont dans le vide, mon ventre sur le haut de son pantalon, il me maintient fermement contre lui et, malgré le tissu, je crois bien que c’est sa bébête qui me taraude les cotes, le fait-il exprès de me serrer contre elle? Mystère, en tout cas mon joli postérieur, que je bombe au maximum, est prêt pour le châtiment.
Je suis impatiente que le bal commence et je ferme les yeux en guettant la première étincelle. Soudain sa main ferme s’abat sur une de mes fesses et produit un bruit strident, la douleur me fait rouvrir les yeux, me bouche s’entrouvre et laisse échapper un petit « oh » de surprise. Je m’attendais pas à une claque aussi forte, un instant bizarre, mélange de souffrance et de plaisir difficile à décrire s’empare de moi. La 2ème toujours aussi forte atterrit sur l’autre versant de mon cul et je m’habitue à ces calottes qui mettent le feu à la partie charnue de mon individu.
Après plusieurs salves sur chaque flan, ma croupe rougie et me brûle d’un émoi qui m’échauffe encore plus mon abricot qui pleure d’espérance. Il redouble de force d’intensité et de fréquence, le bruit s’accentuant, rehausse mon délire, je ne sens plus de douleur mais un fort désir de continuer cette expiation.
- La punition a assez duré, dit-il.
Allons-nous en rester là? Oh non! Je suis prête à subir d’autres assauts, je réfléchis aux moyens à employer pour lui communiquer mes désirs.
Peine perdue, je suis tranquillisée quand je le vois se pencher sur moi et déposer un baiser sur chacune de mes jumelles cramoisies. Le gardon est ferré d’autant plus que je sens toujours son bâton de maréchal qui me laboure le flan.
Je me retourne, et nous échangeons notre premier sourire.
- J’ai discerné que cette petite leçon ne vous a pas laissé indifférente, m’avance-t-il, voulez-vous pousser le bouchon encore plus loin?
Tu parles mon neveu, et sans répondre, je me remets debout et j’arrache littéralement mon slip qui m’entrave et m’allonge un Peu plus loin sur le canapé, les jambes bien écartées attendant des préliminaires avant le passage du TGV.
L’appel est si direct que ce rapace, d’un vol de reconnaissance, a repéré la petite souris qui frétille d’impétuosité. Il finit par se poser entre mes cuisses et inonde de baisers l’intérieure, se rapprochant de plus en plus de mon rouge gorge, jusqu’à le toucher du bout de sa langue, l’effet est immédiat, un flot ruisselle dans mon jardin secret, de minuscules filaments s’accrochent à celle-ci, ils les étirent me montrant l’élasticité de mon baume. N’y tenant plus il plonge entre ma fente et parcourt toute sa longueur de sa langue qui salive de bonheur, de ses doigts doux et câlins, il ouvre la porte de ma salle des fêtes, sa langue est sur mon clito et un doigt me frictionne avant de pénétrer dans l’antre souterrain et le parcourir sans cesse.
Bientôt son frère jumeau le rejoint et tous les 2 remettent du gaz et accélèrent le mouvement associés avec le titillèrent de sa langue sur mon bouton qu’elle malmène dans le bon sens du terme, me pousse à monter d’un ton, mes petits grognements de bête en rut, l’incite à accélérer encore plus la trépidation, de sa main libre il me pelote mes petits seins, et je ne peux plus résister, je suis au bord de l’apoplexie, je me laisse aller et semblable à une hémorragie cérébrale, je subis un tel choc émotionnel que je ne me rappelle pas avoir vécu un moment aussi intense et agréable.
Contemplant l’état de béatitude qui perdure plusieurs minutes sans que je puisse retrouver toutes mes facultés, tellement l’orage intérieur est intense, il jubile. Un large sourire illumine son visage quand j’ouvre les yeux, il se rapproche jusqu’à ce que nos visages soient à moins de 10 cm. Je suis encore recouverte des marques de la jouissance de Thomas, elles coulent lentement mais reste immobilisées à mon menton sans tomber dans le vide tellement elles me collent.
Ces effluves me tournent la tête, j’adore cette odeur différente pour chaque garçon et que mon cerveau transforme en désir de doses supplémentaires. Dans ma bouche, j’ai encore le goût suave et enivrant de ce breuvage grisant, mes papilles gustatives me remémorent ce moment sublime où j’ai savouré ce mets qui m’ensorcelle.
Mr le directeur pose ses lèvres sur ma joue, sort sa langue pour récupérer la semence encore liquide qui barbouille mon minois, il passe partout avant d’unir nos lèvres et d’introduire cette délicieuse crème que nos langues se partagent, ce baiser est divin, jamais je n’aurais imaginé que cet être , d’apparence si sévère et si strict, soit si doux et si pervers.
- Avez-vous encore envie de jouir? Me demande-t-il? Quand nos bouches se décollent et que nous ayons dégluti ensemble ce mélange d’amour.
- Oh oui, déclamé-je avec force.
Ce cri du cœur l’emplit de joie, il retourne à son bureau et dans un des tiroirs il en sort une petite boîte qu’il me montre de loin, ma parole c’est une boîte de capotes! Serais-je la dernières de ses captures qui va passer à la casserole? Et combien d’autres avant moi ? Pas si puritain ce gros vicelard .......
A suivre.
- Voyons, mademoiselle vous pouvez vous assoir, je dois vous reconnaître certains talents, mais des petites dévergondées de votre espèce j’en ai jamais vues c’est la première fois! Je vais vous donner une petite chance de vous rattraper et ne par rapporter à votre papa votre aptitude à la débauche. Que pensez-vous de cette proposition?
- Merci monsieur, je veux bien un arrangement avec vous, j’ai observé que vous étiez captivé par mon petit happening.
- Ne soyez pas effrontée en plus d’être vicieuse. Je dis que vous méritez une petite correction, êtes-vous d’accord?
- Vous avez entièrement raison, je dois avoir une punition.
- Que diriez-vous d’une petite fessée pour commencer?
Là je le trouve beaucoup plus drôle que tout à l’heure, l’idée est excellente, souvenez-vous avec Benjamin et David notre petit jeu sympa, cette fois c’est une vraie, étant jeune mon père ne m’en a jamais donnée et je voudrais connaître cette sensation, finalement ce directeur m’excite, voilà que je mouille à l’image de la scène qui envahit mon esprit.
- Puis-je vous demander une faveur?
- Allez-y je vous écoute mon enfant.
- Vu le degré de la faute, je pense que je dois la recevoir cul-nu pour être remise dans le droit chemin.
- Comme il vous plaira, je crois que vous avez raison, la leçon ne peut qu’en être plus salutaire.
Quelle cochonne je suis! En fait je n’en pense pas un mot c’est pas cela qui m’empêchera d’être une dépravée, et je suis de plus en plus émoustillée: la petite tache qui macule mon maillot en est la preuve, elle provoque un effet translucide, et volontairement bien sûr j’écarte un peu les jambes pour mieux qu’il remarque cette conjoncture. En face de moi, engoncée sur ma chaise, il ne peut pas la louper, mes jolies lèvres roses et lisses sont parfaitement visibles, et le fait que je sois ruisselante ne peut pas le laisser indifférent.
- Venez par ici, me dit-il en s’assoyant sur l’extrémité du canapé.
Je m’approche debout devant lui, il saisi alors mon maillot de bain et d’un geste énergique le descend à la volée au niveau de mes genoux.
Il prend un temps de latence afin d’admirer la beauté de la marque de ma féminité, je vois qu’il fond d’envie, et moi espiègle, je me campe les fesses en avant pour faire ressortir encore plus ma fente devant ses yeux médusés, moi aussi je ressens une forme de plaisir à montrer ma moule, qui coule de plus belle, à ce monsieur dont je flaire que son cœur doit battre à 100 à l’heure, et un autre appendice aussi j’espère.
Enfin il s’empare de mon bras et le tire pour m’allonger sur ses cuisses, nous sommes au bord d’un canapé sans accoudoir, mes pieds sont dans le vide, mon ventre sur le haut de son pantalon, il me maintient fermement contre lui et, malgré le tissu, je crois bien que c’est sa bébête qui me taraude les cotes, le fait-il exprès de me serrer contre elle? Mystère, en tout cas mon joli postérieur, que je bombe au maximum, est prêt pour le châtiment.
Je suis impatiente que le bal commence et je ferme les yeux en guettant la première étincelle. Soudain sa main ferme s’abat sur une de mes fesses et produit un bruit strident, la douleur me fait rouvrir les yeux, me bouche s’entrouvre et laisse échapper un petit « oh » de surprise. Je m’attendais pas à une claque aussi forte, un instant bizarre, mélange de souffrance et de plaisir difficile à décrire s’empare de moi. La 2ème toujours aussi forte atterrit sur l’autre versant de mon cul et je m’habitue à ces calottes qui mettent le feu à la partie charnue de mon individu.
Après plusieurs salves sur chaque flan, ma croupe rougie et me brûle d’un émoi qui m’échauffe encore plus mon abricot qui pleure d’espérance. Il redouble de force d’intensité et de fréquence, le bruit s’accentuant, rehausse mon délire, je ne sens plus de douleur mais un fort désir de continuer cette expiation.
- La punition a assez duré, dit-il.
Allons-nous en rester là? Oh non! Je suis prête à subir d’autres assauts, je réfléchis aux moyens à employer pour lui communiquer mes désirs.
Peine perdue, je suis tranquillisée quand je le vois se pencher sur moi et déposer un baiser sur chacune de mes jumelles cramoisies. Le gardon est ferré d’autant plus que je sens toujours son bâton de maréchal qui me laboure le flan.
Je me retourne, et nous échangeons notre premier sourire.
- J’ai discerné que cette petite leçon ne vous a pas laissé indifférente, m’avance-t-il, voulez-vous pousser le bouchon encore plus loin?
Tu parles mon neveu, et sans répondre, je me remets debout et j’arrache littéralement mon slip qui m’entrave et m’allonge un Peu plus loin sur le canapé, les jambes bien écartées attendant des préliminaires avant le passage du TGV.
L’appel est si direct que ce rapace, d’un vol de reconnaissance, a repéré la petite souris qui frétille d’impétuosité. Il finit par se poser entre mes cuisses et inonde de baisers l’intérieure, se rapprochant de plus en plus de mon rouge gorge, jusqu’à le toucher du bout de sa langue, l’effet est immédiat, un flot ruisselle dans mon jardin secret, de minuscules filaments s’accrochent à celle-ci, ils les étirent me montrant l’élasticité de mon baume. N’y tenant plus il plonge entre ma fente et parcourt toute sa longueur de sa langue qui salive de bonheur, de ses doigts doux et câlins, il ouvre la porte de ma salle des fêtes, sa langue est sur mon clito et un doigt me frictionne avant de pénétrer dans l’antre souterrain et le parcourir sans cesse.
Bientôt son frère jumeau le rejoint et tous les 2 remettent du gaz et accélèrent le mouvement associés avec le titillèrent de sa langue sur mon bouton qu’elle malmène dans le bon sens du terme, me pousse à monter d’un ton, mes petits grognements de bête en rut, l’incite à accélérer encore plus la trépidation, de sa main libre il me pelote mes petits seins, et je ne peux plus résister, je suis au bord de l’apoplexie, je me laisse aller et semblable à une hémorragie cérébrale, je subis un tel choc émotionnel que je ne me rappelle pas avoir vécu un moment aussi intense et agréable.
Contemplant l’état de béatitude qui perdure plusieurs minutes sans que je puisse retrouver toutes mes facultés, tellement l’orage intérieur est intense, il jubile. Un large sourire illumine son visage quand j’ouvre les yeux, il se rapproche jusqu’à ce que nos visages soient à moins de 10 cm. Je suis encore recouverte des marques de la jouissance de Thomas, elles coulent lentement mais reste immobilisées à mon menton sans tomber dans le vide tellement elles me collent.
Ces effluves me tournent la tête, j’adore cette odeur différente pour chaque garçon et que mon cerveau transforme en désir de doses supplémentaires. Dans ma bouche, j’ai encore le goût suave et enivrant de ce breuvage grisant, mes papilles gustatives me remémorent ce moment sublime où j’ai savouré ce mets qui m’ensorcelle.
Mr le directeur pose ses lèvres sur ma joue, sort sa langue pour récupérer la semence encore liquide qui barbouille mon minois, il passe partout avant d’unir nos lèvres et d’introduire cette délicieuse crème que nos langues se partagent, ce baiser est divin, jamais je n’aurais imaginé que cet être , d’apparence si sévère et si strict, soit si doux et si pervers.
- Avez-vous encore envie de jouir? Me demande-t-il? Quand nos bouches se décollent et que nous ayons dégluti ensemble ce mélange d’amour.
- Oh oui, déclamé-je avec force.
Ce cri du cœur l’emplit de joie, il retourne à son bureau et dans un des tiroirs il en sort une petite boîte qu’il me montre de loin, ma parole c’est une boîte de capotes! Serais-je la dernières de ses captures qui va passer à la casserole? Et combien d’autres avant moi ? Pas si puritain ce gros vicelard .......
A suivre.
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