Place de la Comédie
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-07-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Place de la Comédie
La vie est belle; il fait beau et chaud. Je suis assis sur la terrasse d’un bistrot, Place de la Comédie. Je suis servi par une belle fille, pas farouche pour deux sous. Je ne m’intéresse à elle que pour passer le temps. J’attends une copine, Claire, qui m’a donné rendez-vous. Ce sera notre deuxième rencontre. Je suis arrivé plus tôt simplement pour savoir si elle a le sens de l’exactitude. ll est presque 16 heures quand je la vois de loin: les hommes se retourne sur elle: elle est non seulement belle, elle est aussi très sexy, avec sa jupe courte, son débardeur qui certainement ne cache pas son soutien gorge.
Je me demande même si elle porte un dessous quelconque. Je lève mon bras pour qu’elle me voit. Elle me rejoint avec son grand sourire. Elle semble heureuse de me voir: je me lève pour en homme bien élevé lui tirer la chaise et la faire s’installer. La serveuse qui rodait par là vient rapidement prendre la commande: deux cafés. Elle me regarde avec un peu de jalousie (au fond d’elle-même, elle devait penser: je vais me le faire). Claire est trop belle pour que je l’ignore. En attendant la serveuse et ses cafés je prends la main pour la caresser. Elle me regarde en souriant. Je monte légèrement ma main sur son avant bras. Claire pose sa main sur la mienne en la caressant aussi. Nous oublions tout, même les cafés. Je laisse de la monnaie sur la table et nous sortons. Je ne sais où elle veut aller, comme elle ne le sait pas non plus. Nous rodons un moment jusqu’à aller en bas de chez moi.
Je l’invite à venir dans mes « appartements »: un simple studio. En souriant elle accepte de monter. Je crois qu’elle pense que j’en profite pour faire ce que font les garçons et les filles depuis toujours. Si elle s’imagine que je l’ai fait volontairement elle ne se trompe pas. En pensant à notre rendez vous avant d’y aller j’avais fais un énorme effort en rangeant tout.
Son sourire me laisse à penser qu’elle est déjà prête à subir les derniers outrages.
Je ne lui reprend la main que pour monter à mon étage. Elle la serre de plus en plus. Enfin seuls je peux me permettre d’aller plus loin: hier nous nous sommes embrassés longuement. Aujourd’hui j’espère plus qu’un baiser. Je veux la baiser. De toutes façons si elle est montée chez moi, elle savait fort bien ce qu’elle risquait; sans doute qu’elle aussi veux que je la prenne. Donc nous revenons très près l’un de l’autre. Je pose mes lèvres sur sa bouche qu’elle ouvre pour me donner sa langue. Nous restons soudés un bon moment, tellement que je commence à bander, ho, juste un début d’ érection. Elle commence à prendre l’initiative de poser sa man, justement sur ma queue. Je ne peux faire autrement que d’en faire autant. Je passe un bras autour de sa taille pour d’abord caresser une fesses, et faire remonter sa jupe pour passer ma main sur sa raie. Je vais tout en bas pour lui caresser l’anus. Elle se laisse faire en poussant vers ma main son arrière train. Elle me caresse la queue maintenant carrément. Elle me masse à travers le pantalon. Quand j’entre une phalange dans son anus, elle ouvre ma braguette à la recherche de l’organe qu’elle veut pour elle. En sortant ma bite elle est contente! Elle s’accroupit, me forçant à abandonner son cul. Elle me prend dans la bouche en faisant descendre le prépuce avec ses lèvres bien faites pour une fellation. Je me tends vers elle: elle vas me faire jouir.
Elle est plus maligne que je le pensais: elle arrête ce qu’elle me faisait pour revenir m’embrasser. Pour moi, c’est une invite. Je commence à la déshabiller: j’avais raison: elle ne porte sur elle que les vêtements visibles. C’est plus rapide, et surtout plus excitant. Elle est belle et encore plus sexy nue. Je me dévêts seul pour ma reprendre dans mes bras: j’adore serrer dans mes bras une fille nue.
Je laisse sa bouche pour aller sur sa poitrine. Je suce ses tétons, entourés d’un aréole légèrement brun. Ma langue ne se lasse pas de changer de sein. Elle pose une main sur ma tête en signe de contentement. Je sens que ses mamelons grossissent de plus en plus. Je pose un main sur son pubis et la fait aller à l’ouverture de ses lèvres intimes. Je trouve facilement le bouton. Elle me fait tout arrêter: elle veut se coucher pour cela: elle ne tient pas à rester debout dans ces moment là.
Nous allons nous coucher. Avant d’aller plus loin, nous reprenons au début: baisers, caresses et pour moi ma main sur son sexe. Elle écarte les cuisses, juste ce qu’il faut pour que je la branle. Son clitoris est d’une douceur rare. Je trouve que sa cyprine est abondante; il faut dire que depuis que nous nous sommes revus, elle a eu le temps de mouiller. Je commence par la caresser légèrement pour finir plus fort. Elle se crispe pour jouir. Enfin nous commençons, elle surtout à prendre notre pied. Elle sait que je bande, me touche à peine la bite, simplement pour que je reste en, érection.
Je me couche sur le ventre à ses pieds, elle écarte les jambes. Je vois toute son entrejambe. Je lèche les pieds, pour arriver à quelques millimètres de son petit trou. J’y met ma langue doucement, juste au bord; comme elle ne dit rien, j’entre un peu, ne trouve toujours pas de refus de sa part: j’y entre le plus possible de langue, en la faisant aller et venir: encore un spasme: elle jouit. J’attends qu’elle ai fini pour aller plus haut, vers son vagin je met à nouveau ma langue: elle jouit encore plus vite. Du coup, pour la faire jouir encore plus, je prend son clitoris, le lèche pour la doigter. Cette fois son orgasme est puissant.
Je monte le plus possible pour recommencer à lui sucer les seins. Elle demande de la baiser. Je vais sur elle, m’installe sur son ventre, le haut du corps plus haut me tenant sur les bras. Elle prend ma bite, la guide vers son entrée. Quand je suis au bord de sa caverne je n’ai plus besoin d’aide. Je la pénètre lentement, comme si elle était vierge. Je reste au fond sans bouger: elle a envie de baiser plus fort. C’est elle qui commence les aller et venues. Je la suis avant de prendre la conduite de notre baise.
Elle jouit plusieurs fois autour de ma pine. Je suis sur le point d’éclater quand elle me demande de la lui mettre derrière. Du coup elle arrive à me calmer.
Maintenant qu’elle est en levrette, elle mouille consciencieusement la rondelle. C’est elle qui commande: mets moi la au cul. Comme pour être certaine que je vais bien là où elle veut, elle reprend ma bite pour la mettre juste sur con cul. Je donne un seul coup de rein et je sis au fond de son cul. Cette fois c’est moi qui mène la danse, elle ne fait que m’accompagner. Par contre je ne compte plus les orgasmes qu’elle a, plusieurs en tout cas. Enfin je décharge au fond de ses boyaux. Nous jouissons ensemble.
Je sort d’elle tout mou. Elle n’aime pas me voir ainsi. Pour que je bande encore, elle se branle devant moi en jouissant. Bien sur je bande à nouveau, sans doute plus dur que la première fois.
Cette fois elle m’enjambe, pose sn sexe sur ma bouche avant de prendre cette fois dans l’intention de me faire juter, dans sa bouche. Comme la première fois elle montre sa capacité à faire une bonne fellation. Pendant qu’elle s’occupe de moi, je passe ma langue tout le long de son sexe, sans arrêt.
Nous jouissons ensemble. Cette fois la baise est finie. Elle me demande si nous pouvons à nouveau baiser ensemble! Réponse oui, demain.
C’est un demain qui dure: nous sommes mariés.
Je me demande même si elle porte un dessous quelconque. Je lève mon bras pour qu’elle me voit. Elle me rejoint avec son grand sourire. Elle semble heureuse de me voir: je me lève pour en homme bien élevé lui tirer la chaise et la faire s’installer. La serveuse qui rodait par là vient rapidement prendre la commande: deux cafés. Elle me regarde avec un peu de jalousie (au fond d’elle-même, elle devait penser: je vais me le faire). Claire est trop belle pour que je l’ignore. En attendant la serveuse et ses cafés je prends la main pour la caresser. Elle me regarde en souriant. Je monte légèrement ma main sur son avant bras. Claire pose sa main sur la mienne en la caressant aussi. Nous oublions tout, même les cafés. Je laisse de la monnaie sur la table et nous sortons. Je ne sais où elle veut aller, comme elle ne le sait pas non plus. Nous rodons un moment jusqu’à aller en bas de chez moi.
Je l’invite à venir dans mes « appartements »: un simple studio. En souriant elle accepte de monter. Je crois qu’elle pense que j’en profite pour faire ce que font les garçons et les filles depuis toujours. Si elle s’imagine que je l’ai fait volontairement elle ne se trompe pas. En pensant à notre rendez vous avant d’y aller j’avais fais un énorme effort en rangeant tout.
Son sourire me laisse à penser qu’elle est déjà prête à subir les derniers outrages.
Je ne lui reprend la main que pour monter à mon étage. Elle la serre de plus en plus. Enfin seuls je peux me permettre d’aller plus loin: hier nous nous sommes embrassés longuement. Aujourd’hui j’espère plus qu’un baiser. Je veux la baiser. De toutes façons si elle est montée chez moi, elle savait fort bien ce qu’elle risquait; sans doute qu’elle aussi veux que je la prenne. Donc nous revenons très près l’un de l’autre. Je pose mes lèvres sur sa bouche qu’elle ouvre pour me donner sa langue. Nous restons soudés un bon moment, tellement que je commence à bander, ho, juste un début d’ érection. Elle commence à prendre l’initiative de poser sa man, justement sur ma queue. Je ne peux faire autrement que d’en faire autant. Je passe un bras autour de sa taille pour d’abord caresser une fesses, et faire remonter sa jupe pour passer ma main sur sa raie. Je vais tout en bas pour lui caresser l’anus. Elle se laisse faire en poussant vers ma main son arrière train. Elle me caresse la queue maintenant carrément. Elle me masse à travers le pantalon. Quand j’entre une phalange dans son anus, elle ouvre ma braguette à la recherche de l’organe qu’elle veut pour elle. En sortant ma bite elle est contente! Elle s’accroupit, me forçant à abandonner son cul. Elle me prend dans la bouche en faisant descendre le prépuce avec ses lèvres bien faites pour une fellation. Je me tends vers elle: elle vas me faire jouir.
Elle est plus maligne que je le pensais: elle arrête ce qu’elle me faisait pour revenir m’embrasser. Pour moi, c’est une invite. Je commence à la déshabiller: j’avais raison: elle ne porte sur elle que les vêtements visibles. C’est plus rapide, et surtout plus excitant. Elle est belle et encore plus sexy nue. Je me dévêts seul pour ma reprendre dans mes bras: j’adore serrer dans mes bras une fille nue.
Je laisse sa bouche pour aller sur sa poitrine. Je suce ses tétons, entourés d’un aréole légèrement brun. Ma langue ne se lasse pas de changer de sein. Elle pose une main sur ma tête en signe de contentement. Je sens que ses mamelons grossissent de plus en plus. Je pose un main sur son pubis et la fait aller à l’ouverture de ses lèvres intimes. Je trouve facilement le bouton. Elle me fait tout arrêter: elle veut se coucher pour cela: elle ne tient pas à rester debout dans ces moment là.
Nous allons nous coucher. Avant d’aller plus loin, nous reprenons au début: baisers, caresses et pour moi ma main sur son sexe. Elle écarte les cuisses, juste ce qu’il faut pour que je la branle. Son clitoris est d’une douceur rare. Je trouve que sa cyprine est abondante; il faut dire que depuis que nous nous sommes revus, elle a eu le temps de mouiller. Je commence par la caresser légèrement pour finir plus fort. Elle se crispe pour jouir. Enfin nous commençons, elle surtout à prendre notre pied. Elle sait que je bande, me touche à peine la bite, simplement pour que je reste en, érection.
Je me couche sur le ventre à ses pieds, elle écarte les jambes. Je vois toute son entrejambe. Je lèche les pieds, pour arriver à quelques millimètres de son petit trou. J’y met ma langue doucement, juste au bord; comme elle ne dit rien, j’entre un peu, ne trouve toujours pas de refus de sa part: j’y entre le plus possible de langue, en la faisant aller et venir: encore un spasme: elle jouit. J’attends qu’elle ai fini pour aller plus haut, vers son vagin je met à nouveau ma langue: elle jouit encore plus vite. Du coup, pour la faire jouir encore plus, je prend son clitoris, le lèche pour la doigter. Cette fois son orgasme est puissant.
Je monte le plus possible pour recommencer à lui sucer les seins. Elle demande de la baiser. Je vais sur elle, m’installe sur son ventre, le haut du corps plus haut me tenant sur les bras. Elle prend ma bite, la guide vers son entrée. Quand je suis au bord de sa caverne je n’ai plus besoin d’aide. Je la pénètre lentement, comme si elle était vierge. Je reste au fond sans bouger: elle a envie de baiser plus fort. C’est elle qui commence les aller et venues. Je la suis avant de prendre la conduite de notre baise.
Elle jouit plusieurs fois autour de ma pine. Je suis sur le point d’éclater quand elle me demande de la lui mettre derrière. Du coup elle arrive à me calmer.
Maintenant qu’elle est en levrette, elle mouille consciencieusement la rondelle. C’est elle qui commande: mets moi la au cul. Comme pour être certaine que je vais bien là où elle veut, elle reprend ma bite pour la mettre juste sur con cul. Je donne un seul coup de rein et je sis au fond de son cul. Cette fois c’est moi qui mène la danse, elle ne fait que m’accompagner. Par contre je ne compte plus les orgasmes qu’elle a, plusieurs en tout cas. Enfin je décharge au fond de ses boyaux. Nous jouissons ensemble.
Je sort d’elle tout mou. Elle n’aime pas me voir ainsi. Pour que je bande encore, elle se branle devant moi en jouissant. Bien sur je bande à nouveau, sans doute plus dur que la première fois.
Cette fois elle m’enjambe, pose sn sexe sur ma bouche avant de prendre cette fois dans l’intention de me faire juter, dans sa bouche. Comme la première fois elle montre sa capacité à faire une bonne fellation. Pendant qu’elle s’occupe de moi, je passe ma langue tout le long de son sexe, sans arrêt.
Nous jouissons ensemble. Cette fois la baise est finie. Elle me demande si nous pouvons à nouveau baiser ensemble! Réponse oui, demain.
C’est un demain qui dure: nous sommes mariés.
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