Plaisantin! - histoire érotique

À plusieurs reprises j’ai eu la chance d’être en admiration devant ses jambes. D’être absorbé dans la contemplation de ses chevilles qu’elle a particulièrement fines, alors qu’elle est par ailleurs bien charpentée. Qu’aujourd’hui elles sont entourées par les lanières d’une paire d’escarpins qui laissent à nu le bout de ses doigts de pied peint en rouge.
Elle, est d'origine portugaise. Un visage large, pommette relevée, des yeux de biche marron foncé, une bouche épaisse sur des dents blanches. Elle était mariée, trois grandes filles. Mais ce qui m'a vraiment plu chez elle, se sont ses jambes de sportive.
Elle se tient seule, dans un coin de la salle, habillée jupe et imperméable. Je me positionne derrière ma table de service pour me trouver en face de sa personne. Pour ainsi pouvoir laisser glisser mon regard sur ses cuisses largement écartées. Mais voilà, qu’elle s’en aperçoit et s’amuse à m’en donner plus, en écartant le compas de son entrejambe. Je lui souris comme pour la remercier de son audace. Pas de doute, elle est du genre à prendre plaisir à s’exhiber. Son petit jeu dure un petit moment avant qu’elle décide de se lever.
Je me dis alors que c’est fini pour moi, et cela pour mon plus grand désarroi. Mais voilà qu’elle s’avance jusqu’à moi. Là, elle me demande de lui servir une coupe de champagne.
-À ce que j’ai pu voir, vous avez usé votre vue ?
-Pour cela, ma chère dame, il aurait encore fallu que cela dure.
-Petit plaisantin, je vois que j’ai affaire à un voyeur. Vous avez aimé ?
-C’est-à-dire Madame ?
-Enfin, voyant ce qui se trouve sous ma jupe ?
-Hélas, Madame, je n’ai pas eu le loisir de la voir. Peut-être que l’angle n’était pas bon, allez savoir.
-Ma culotte est en dentelle, de couleur blanche.
-Madame… arrêtez-vous là, je succombe déjà !
-Je l’ai deviné…
-Quoi donc, Madame ?
-Que vous êtes du genre à aimer les culottes.
-Vous devinez bien !
-Vous en faites quoi ?
-Je vois que Madame est curieuse. Et surtout effrontée. Mais je suis bon joueur et je vais m’empresser de vous dire ce que je fais avec. Je les colle à mon nez et je les hume, m’imaginant plein de choses.
-Comme c’est charmant. Merci tout de même de votre franchise. Vous méritez une récompense.
-Ne me dites pas, Madame, que vous allez m’offrir votre petite lingerie.
-Cela vous dit que je vous l’offre ?
-Je ne dis pas non à une telle offre.
-Vous me donnez quoi de votre côté ?
-Je viens de donner une coupe de champagne.
-Et plaisantin avec ça ! Soyez sérieux, quoi en échange !
-Je vous laisse le choix.
-Vous prenez un risque là, vous ne savez pas au-devant de quoi vous mettez vos pieds.
-Je suis du genre très aventurier, Madame.
-Je vois ça. Vous connaissez sans doute un endroit moins dense où je pourrais me défaire.
-Mais bien sûr, mais la dame va devoir attendre que je finisse mon service.
-Et dans combien de temps ?
-Tant qu’il aura des personnes qui demandent à emplir leurs verres.
-Je n’ai pas le temps d’attendre.
-Comme vous voulez.
Sur ce, elle boit cul sec le verre et le pose sur la table.
-A une autre fois, me fait-elle en s’éloignant.
Pas le temps de regretter son départ que de nouveau elle me réapparait un rire léger aux lèvres. Elle s’approche de moi, le regard brillant. Les yeux dans les yeux elle me tend un petit sac.
-Faites-en bon usage. Me lance-t-elle en me coulant une attention vicieuse.
C’est alors que Laetitia, qui fait ce soir-là, le service avec moi, vient aux nouvelles.
-Qu’est-ce qu’elle te voulait, la bourge.
-Oh rien, juste discuté.
-Discuter mon cul, je l’ai vue te filer un sac. D’ailleurs je t’ai vue le mettre dans ta poche. Tiens ! Ajoute-t-elle en le pointant du doigt, il s’y trouve encore.
Elle me regarde avec provocation d’un envoûtant regard sexy.
-Alors comme ça, ce qui se dit est vrai ?
-Et qu’est-ce qui se dit ?
-Que tu es un coureur de jupons. Ça tombe bien !
-Ce qui veut dire ?
-Attend, je vais te faire voir.
Sur ce, elle retrousse l’ourlet de sa robe jusqu’à m’exhiber sa culotte en nylon. Puis elle commence à se caresser à travers elle, afin de l’imprégner d’effluves de désir pour exciter mes sens.
-Je suis sûr que ça t’excite ? Pas vrai ?Me lance-t-elle.
Je la regarde, à la fois troublé et excité. Je suis en admiration sous ses caresses expertes entre ses cuisses. Je bande fort. Bien sûr que cela ne lui a pas échappé. Laetitia continue à se masturber à travers le tissu de sa culotte.
Incapable de ne plus me retenir, je me place à genoux devant elle. Je glisse mes mains sur ses cuisses, approchant mon nez au plus près de sa fourche. Je recueille déjà l’odeur de son intimité, et cela me saoule. A prendre l’initiative de faire glisser sa petite lingerie lentement le long de ses jambes afin de profiter de son intimité.
Comme envoûté, je dégrafe mon pantalon, le baisse afin de libérer mon sexe tendu de désir et d’excitation. Puis, tout en la regardant, je commence à m’astiquer la queue en m’enivrant des effluves qui s’échappe de sa chatte. Très vite, je sens l’envie d’y fourrer ma langue. Je lui fais prendre place sur la table, puis j’écarte le compas de ses jambes afin d’offrir à ma langue le sexe gonflé de désir de Laetitia. Je la lèche avec gourmandise. Ma langue va de bas en haut, puis de haut en bas sur ses lèvres gorgées d’excitation. Par de petits coups de langue rapides, je titille son bouton. Je vais jusqu’à introduire un doigt dans sa chatte humide. Avec de petits mouvements circulaires, je la doigte avec délicatesse tout en continuant de la brouter.
Je sens sur mon doigt des vagues sirupeuses. À entendre ses gémissements, je sens que je touche au but. D’une bouche gourmande j’aspire son pustulé. Que je fais rouler entre mes lèvres. Je l’aspire, le suçote, l’étire délicatement. Le goûte avec gourmandise pour mieux le relâcher pour le lécher du bout de ma langue.
Laetitia apprécie ma caresse buccale et me le fait savoir par ses gémissements. Je prends cela comme un encouragement à continuer.
Délicatement, je visite sa chatte chaude avec deux doigts. Ce dernier conjugué à ma bouche avide l’amène progressivement à s’exprimer de plus en plus fort. Jusqu’à ce que, n’y tenant plus, elle se lâche dans de longs cris de plaisir. Elle a les paupières hermétiquement closes et la bouche grande ouverte. Après ses cris, elle laisse sortir de sa bouche des mots inaudibles. Son corps monte vers moi, se tend en arc de cercle, m’appelle à poursuivre, encore et encore mon léchage.
Je suis formidablement excité. Mon sexe est tellement dur que j’en ai mal. Je commence de nouveau à me branler doucement.
-Tu ne me baises pas ? Me fait Laetitia.
-Je préférerais que tu me suces…
Elle prend mon sexe bandé dans sa main droite, et s’agenouille. Au contact de ces doigts, je crois que je vais éjaculer. Elle commence par me branler doucement, puis pose ses lèvres sur le gland. Ensuite, elle engouffre mon membre au fond de sa gorge et le ressort luisant de salive. Je sens un doux picotement envahir mes reins. Heureusement qu'elle tient la base de mon sexe et qu’elle empêche de cette manière toute explosion de plaisir intempestive. Elle continue à me sucer.
Intérieurement, je suis satisfait de ce qu’elle me fait. Contre toute attente, elle déboutonne son chemisier tout en me pompant la verge. Libère l’instant d’après ses deux mamelles de leur prison de toile.
Puis elle me recrache, colle mon membre turgescent entre ses deux seins. Elle m’offre une branlette espagnole. Ce n’est pas souvent que j’ai droit à ce genre de traitement de mes partenaires. Je suis sous le charme de voir mon sexe se faire branler par ses mamelles. Je sens arriver le plaisir monté. Trois longues éruptions jaillissent et s’écrasent l’instant suivant sur son menton, sur ses nichons.
Elle croit sans doute que je vais en rester là, mais sortant de mon hébétude, je la prends par les épaules et l’allonge de nouveau sur la table. Elle se laisse faire, un peu grisée. Je lui écarte ses jambes. Je glisse mon gland devant l’entrée de son sexe et pousse suffisamment pour ouvrir l’accès. Sa chatte s’ouvre et absorbe mon sexe. Elle est brûlante. Ma queue vogue bien dans un boisseau de velours.
- Je peux jouir dans ta chatte ?
- Oui… Me souffle-t-elle.
Alors je m’active à faire coulisser ma queue dans ce conduit brûlant. Sa poitrine bouge au rythme de mes coups de reins. Je la pistonne énergiquement. Vaincue par le plaisir, Laetitia se cambre. Une inondation de mouille m’éclabousse mes couilles. Elle hurle comme une folle en gigotant dans tous les sens. Ma queue est comme noyée dans sa mouille. J’essaie bien de coulisser, mais c’est peine perdue, je ne ressens plus grand-chose de bien. Alors je me retire.
-Putain quel pied ! Me fait-elle, ça fait longtemps que je n’ai pas joui de sa sorte. Et pour toi ?
-C’était bon !
-Ça veut dire programmation d’un autre épisode ?
Sur la route me menant chez moi, je fais le point sur le contenu du sac. J’y trouve sans surprise une culotte, accompagnée d’une carte de visite, où est inscrit au dos « appelle-moi au plus vite, petit plaisantin ».
Et maintenant, qu’est-ce que je comptais bien faire ?