Plaisir chez le médecin
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Plaisir chez le médecin
J’étais dans la salle d’attente du médecin quand une femme seule débarqua dans la pièce. La quarantaine, brune et plutôt bien en chair. J’aurai bien cru que j’étais le dernier client. D’ailleurs j’entendis la secrétaire d’accueil demandait par l’intermédiaire du téléphone si elle pouvait disposer.
Cela faisait bien cinq ans que je n’avais pas mis les pieds dans un cabinet de médecin ! et en parlant de pied les siens étaient loin de me déplaire. Dans ses sandales à lanières de cuir noir. Et juste cette vision m’avait mis en feu tant ils étaient excitants !
J’étais donc installé sur un siège les yeux rivés ma cible, alors qu’elle consultait son portable. Je profitais qu’elle soit occupée pour poser ostensiblement sa main sur ma braguette de temps à autre, avec des petits mouvements de va-et-vient discrets. Très vite une bosse commençait à se former sous mon jean !
Je ne savais pas pourquoi, j’étais tenté de faire quelque chose de sale. Me foutant comme de l’an mille des retombées. J’étais comme attirée par le désir de provoquer cette femme encore inconnue quelques minutes auparavant. Je la regardais à la dérobée tout en me massant la queue. Pour mon plus grand plaisir, au bout d’un moment, elle quitta de vue l’écran du portable pour jeter un œil de mon côté et donc voir ce que je faisais, surtout que je ne me cachais qu’à moitié, la regardant droit dans les yeux !
Une véritable décharge de plaisir me submergea, sentant ma queue se gorger un peu plus de sang, avec une très violente envie de mettre à l’air ma queue et me masturber…
A femme portait une robe portefeuille en jean, sans doute excitée par mon manège, elle commença par écarter légèrement les cuisses et soulevé un pan de ma robe. Aux anges je lui souris, un moyen comme un autre pour l’encourager. D’ailleurs, elle glissa une main sous sa robe. J’étais incroyablement excité par cette situation que je n’avais jamais connue, cette femme qui se caressait nonchalamment devant moi. La proximité du cabinet du médecin m’excitait aussi.
Les minutes passées, et la femme ne se cachait plus alors que pour ma part, je me caressais maintenant avec plus de force, appuyant la paume de sa main sur la bosse qui était maintenant très conséquente. Ce petit jeu dura quelques minutes, mais en voyant mes yeux rivés sur sa main et son entrejambe, elle eut envie de m’en donner plus.
Tout en se soulevant légèrement de son siège, elle fit en toute impunité glisser sa culotte sur ses sandales, et hop, le fourra dans son sac, exhibant un petit triangle isocèle de poils bruns. Elle était du genre bien fournie en poils.
Elle posa un pied en appui sur son siège de façon à bien écarter les cuisses, et me révéler toute son intimité. Je ne me privais pas de fixés mes yeux sur sa chatte qu’elle écarta généreusement, totalement impudique. Je ne pus me retenir de lui lancer :
- Vous m’excitez, c’est dingue… alors que je continuais à me masser à travers l’étoffe de mon pantalon.
Prise d’une folie sensuelle, et après un rapide coup d’œil du côté de l’entrée, elle plongea la main dans mon décolleté et sortis tour à tour ses deux gros seins. Gonflés par l’excitation, les tétons pointaient fièrement.
Je la sentais complètement lubrique cette femme, pas mécontente d’exposer à la vue d’un beau gosse comme moi, ses jambes écartées sur une vulve gonflée et seins à l’air. J’aurai parié mon salaire que j’aurai pu la baiser là, sur place tant elle était excitée !
Mes yeux passaient tour à tour sur sa chatte et ses seins et, après moi aussi m’être assuré d’aucun mouvement suspect, je déboutonnais ma braguette et en sortis, pas sans mal ma verge bandée. Chacun, les yeux rivés sur le sexe de l’autre, nous avions commencé à nous masturber. Elle, l’index tournicotant sur son bouton, écartant ses lèvres, branlant sa chatte. Voir cette main inconnue s’agiter sur cette moule gonflée d’excitation à quelques centimètres de mes yeux et de ma queue m’avait carrément mise en transes !
Je sentais bien qu’elle aussi était au bord de la jouissance, à sa respiration qui devenait de plus en plus saccadée. N’y tenant plus, j’activais la cadence de mes coups de poignée elle avança les fesses au bord de son siège, écartée comme une chienne, se masturba elle aussi plus vite.
C’était une situation incroyable et terriblement excitante, et j’avais terriblement envie d’aller poser ma bouche sur sa foufoune. Alors j’avais pris place sur la chaise à côté d’elle. Elle ne tarda pas à caresser mes couilles. Je ne pus résisté de pousser un petit cri étouffé ponctué de :
-Oui… oui… vas-y, caresse-moi…
De son côté, elle me prit ma main pour la poser sur sa poitrine. J’empoignai un sein, le triturais, je soupesais, tirant sur le téton. Je pris l’initiative de poser mon autre main sur sa chatte. Massant son bouton avec le gras du pouce alors que je fis disparaître deux doigts dans sa chatte la fouillant. Et très vite elle arriva au bord de l’orgasme. Cela ne l’empêcha pas de continuer à me branler, et de façon correct, à me faire délirer au point de lâcher des :
-je vais gicler… je vais gicler.
Et comme prévisible, je jouissais à mon tour en même temps qu’elle, comme je crois n’avoir jamais joui. J’avais le cœur qui cognait, les tempes en feu et des étoiles devant les yeux.
Je mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Après ce moment d’élucubration, elle replongea les yeux sur l’écran de son portable. Nous n’échangeâmes pas un mot jusqu’à l’apparition du médecin qui m’invita à le suivre. Alors que j’allai franchir la sortie, la femme me lança :
-C’était génial !
Cela faisait bien cinq ans que je n’avais pas mis les pieds dans un cabinet de médecin ! et en parlant de pied les siens étaient loin de me déplaire. Dans ses sandales à lanières de cuir noir. Et juste cette vision m’avait mis en feu tant ils étaient excitants !
J’étais donc installé sur un siège les yeux rivés ma cible, alors qu’elle consultait son portable. Je profitais qu’elle soit occupée pour poser ostensiblement sa main sur ma braguette de temps à autre, avec des petits mouvements de va-et-vient discrets. Très vite une bosse commençait à se former sous mon jean !
Je ne savais pas pourquoi, j’étais tenté de faire quelque chose de sale. Me foutant comme de l’an mille des retombées. J’étais comme attirée par le désir de provoquer cette femme encore inconnue quelques minutes auparavant. Je la regardais à la dérobée tout en me massant la queue. Pour mon plus grand plaisir, au bout d’un moment, elle quitta de vue l’écran du portable pour jeter un œil de mon côté et donc voir ce que je faisais, surtout que je ne me cachais qu’à moitié, la regardant droit dans les yeux !
Une véritable décharge de plaisir me submergea, sentant ma queue se gorger un peu plus de sang, avec une très violente envie de mettre à l’air ma queue et me masturber…
A femme portait une robe portefeuille en jean, sans doute excitée par mon manège, elle commença par écarter légèrement les cuisses et soulevé un pan de ma robe. Aux anges je lui souris, un moyen comme un autre pour l’encourager. D’ailleurs, elle glissa une main sous sa robe. J’étais incroyablement excité par cette situation que je n’avais jamais connue, cette femme qui se caressait nonchalamment devant moi. La proximité du cabinet du médecin m’excitait aussi.
Les minutes passées, et la femme ne se cachait plus alors que pour ma part, je me caressais maintenant avec plus de force, appuyant la paume de sa main sur la bosse qui était maintenant très conséquente. Ce petit jeu dura quelques minutes, mais en voyant mes yeux rivés sur sa main et son entrejambe, elle eut envie de m’en donner plus.
Tout en se soulevant légèrement de son siège, elle fit en toute impunité glisser sa culotte sur ses sandales, et hop, le fourra dans son sac, exhibant un petit triangle isocèle de poils bruns. Elle était du genre bien fournie en poils.
Elle posa un pied en appui sur son siège de façon à bien écarter les cuisses, et me révéler toute son intimité. Je ne me privais pas de fixés mes yeux sur sa chatte qu’elle écarta généreusement, totalement impudique. Je ne pus me retenir de lui lancer :
- Vous m’excitez, c’est dingue… alors que je continuais à me masser à travers l’étoffe de mon pantalon.
Prise d’une folie sensuelle, et après un rapide coup d’œil du côté de l’entrée, elle plongea la main dans mon décolleté et sortis tour à tour ses deux gros seins. Gonflés par l’excitation, les tétons pointaient fièrement.
Je la sentais complètement lubrique cette femme, pas mécontente d’exposer à la vue d’un beau gosse comme moi, ses jambes écartées sur une vulve gonflée et seins à l’air. J’aurai parié mon salaire que j’aurai pu la baiser là, sur place tant elle était excitée !
Mes yeux passaient tour à tour sur sa chatte et ses seins et, après moi aussi m’être assuré d’aucun mouvement suspect, je déboutonnais ma braguette et en sortis, pas sans mal ma verge bandée. Chacun, les yeux rivés sur le sexe de l’autre, nous avions commencé à nous masturber. Elle, l’index tournicotant sur son bouton, écartant ses lèvres, branlant sa chatte. Voir cette main inconnue s’agiter sur cette moule gonflée d’excitation à quelques centimètres de mes yeux et de ma queue m’avait carrément mise en transes !
Je sentais bien qu’elle aussi était au bord de la jouissance, à sa respiration qui devenait de plus en plus saccadée. N’y tenant plus, j’activais la cadence de mes coups de poignée elle avança les fesses au bord de son siège, écartée comme une chienne, se masturba elle aussi plus vite.
C’était une situation incroyable et terriblement excitante, et j’avais terriblement envie d’aller poser ma bouche sur sa foufoune. Alors j’avais pris place sur la chaise à côté d’elle. Elle ne tarda pas à caresser mes couilles. Je ne pus résisté de pousser un petit cri étouffé ponctué de :
-Oui… oui… vas-y, caresse-moi…
De son côté, elle me prit ma main pour la poser sur sa poitrine. J’empoignai un sein, le triturais, je soupesais, tirant sur le téton. Je pris l’initiative de poser mon autre main sur sa chatte. Massant son bouton avec le gras du pouce alors que je fis disparaître deux doigts dans sa chatte la fouillant. Et très vite elle arriva au bord de l’orgasme. Cela ne l’empêcha pas de continuer à me branler, et de façon correct, à me faire délirer au point de lâcher des :
-je vais gicler… je vais gicler.
Et comme prévisible, je jouissais à mon tour en même temps qu’elle, comme je crois n’avoir jamais joui. J’avais le cœur qui cognait, les tempes en feu et des étoiles devant les yeux.
Je mis plusieurs minutes à reprendre mes esprits. Après ce moment d’élucubration, elle replongea les yeux sur l’écran de son portable. Nous n’échangeâmes pas un mot jusqu’à l’apparition du médecin qui m’invita à le suivre. Alors que j’allai franchir la sortie, la femme me lança :
-C’était génial !
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