Plaisir opportuniste, la suite avec Ahmed, un nouvel amant.2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Plaisir opportuniste, la suite avec Ahmed, un nouvel amant.2
Ce qui était bien avec Ahmed, c'est qu'il n'était pas envahissant.
Par contre, j'ai rarement connu d'homme, aussi vicieux, viril et actif.
Il fait partie de mon Top 10 des hommes, les plus performants.
Un jour, alors que je marchais en compagnie de Corinne et des amis, je le vois qui se dirige vers nous, à 30 mètres environ.
Je blêmis, en craignant la rencontre, puis, un copain nous dit:
"Oh, c'est un pote ! Je vous le dis vite, avant qu'il arrive ! Il est pédé ! Il s'en cache pas ! Mais chht !".
"Salut Ahmed ! Ca va ? Je te présente Corinne, Lucie, Pascal, Jean-Luc !".
"Salut, Michel ! Oui, ca va, je me ballade en attendant 18h, je sais déjà que je vais m'amuser, ce soir !".
Son regard se porte souvent sur moi, ce qui me trouble sans cesse.
"Ah bon, t'as quoi de prévu ?".
"Je peux vraiment le dire ? Ca risque de vous choquer !".
"Ben, on est en 1984, quand même !".
"Ok ! Je vais baiser une bonne salope !".
"Ah, d'accord ! Je m'attendais pas à ça ! T'as trouvé une copine ?".
"Non, c'est un mec ! Un hétéro en plus ! Tu sais que je suis bi ! C'est pas un secret !".
La bande est choquée, comme prévu, surtout les filles.
"Ah, oui, c'est vrai ! Je le connais ?".
J'ai une crainte énorme qu'il révèle notre liaison, mais il me rassure en disant:
"Je crois ! Peut être que oui ! Bon, je vous laisse ! Je vais profiter avant de le voir, tout à l'heure !".
"Bonne bourre, alors ! Tu me diras qui c'est ?".
"Merci, Michel ! Mais ça se dit pas, ces choses là !".
On reprend notre chemin, je cache mon trouble.
"Putain, j'hallucine, je le connais, le type ! Qui ça peut être ?".
J'ai du mal à chasser mes pensées.
Michel en rajoute avec des commentaires sur l'homosexualité, qui malgré une acceptation grandissante, reste un tabou et un sujet de moqueries.
J'ai l'air pensif, je sais que je vais me faire enculer, toute la soirée.
Difficile de rester naturel avec mes amis, en sachant cela.
Je me sens pervers à leurs cotés, mais je n'arrive pas à cesser de m'imaginer, jouissant sur la bite d'Ahmed.
Ma vie cachée de salope, a failli être révélée au grand jour.
Malgré cela, je sais que je n'en changerai pour rien au monde, et j'ai hâte de rentrer chez moi, pour me donner à Ahmed, encore et encore.
L'espacement de nos rapports fait que j'ai toujours envie de lui, quand il vient me voir.
Le temps me parait interminable avant 18 h, je m'en veux, vis à vis de Corinne !
En attendant le bus, elle me dit qu'elle a remarqué le regard d'Ahmed, envers moi.
"A mon avis, tu lui plais beaucoup ! Si on avait pas été là, il t'aurait branché, j'en suis sûre !".
"Il manquerai plus que ça ! Déjà que je te trompe avec des filles ! Tu m'imagines avec un mec ?".
"Pourquoi pas ! Ca me choque moins que deux filles !".
"Euh, parlons d'autre chose ! Tu veux bien !".
Elle me serre contre elle et me susurre:
"Avec un cul comme le tien, il se régalerait, moi si j'étais un mec, ça me plairait de te baiser !".
"Corinne ! Arrêtes ! Et de toute façon ! T'es pas un mec !".
"Je plaisante !".
Jouer ce double jeu, n'est pas simple pour moi, elle monte enfin dans le bus.
On s'envoie des baisers à travers la fenêtre, puis je retourne chez moi, en ruminant tout ce qui s'est passé.
Je suis déçu de ne pas le voir devant mon immeuble, mais je monte pour l'attendre et lui ouvrir avec l'interphone, dès qu'il sera là.
Puis, je suis surpris de le voir devant ma porte d'entrée !
"Dépêches-toi, j'ai profité qu'un voisin entrait, pour monter !".
Il me pousse dans mon couloir d'entrée pour m'embrasser vicieusement.
"Tu m'as manqué, salope !".
"Mmmm ! Putain, tu m'as fait peur tout à l'heure ! Tu connais Michel ?".
"Ah ! Ah ! Tu m'as fait rire, si t'avais vu ta tête !".
"T'es fou de dire ça, devant ma copine et mes potes !".
"Quoi ? J'ai rien dis ! J'en mourrai d'envie ! Mais je l'ai pas fait !".
Il attire ma main sur sa bite en érection.
"Allez ! Occupes-toi de moi ! Bébé !".
"Putain ! Ahmed ! Tu me rends dingue ! Je peux pas te résister !".
"C'est parce que je t'encules bien ! c'est ça ?".
Mes doigts coulissent sur sa verge, elle déforme son pantalon.
"Oui ! C'est ça ! Putain, tu m'excites ! Il faut que tu me baises !".
Je descend lentement vers son sexe, j'ai du mal à le dégager, tant il est serré derrière ses vêtements.
En baissant le tout, en même temps, sa grosse queue surgit et vient frapper mon front.
La voir ainsi, énorme et dure devant mes yeux, me provoque un frisson d'excitation dans tout le corps.
Je la veux ! Elle me fait fondre de désir.
Je la saisi à la base pour la diriger entre mes lèvres.
J'ai un soupir de satisfaction en la sentant dans ma gorge.
"Ca va mieux, ma p'tite salope ?".
"Mmmmmmm ! Mouiii !".
"Continues de me pomper ! Alors ! J'adore ta bouche ! Oui... comme ça !".
On s'adonne à un plaisir buccal, parfaitement complice et partagé.
Tantôt vicieux, sensuel, pervers, puis plus tendre.
Je prends mon temps, je veux apprécier chaque millimètre de son anatomie dans ma bouche, sous ma langue.
Cela dure de longues minutes, pendant lesquelles, on entend les voisins, monter et descendre les escaliers, sans imaginer que j'ai une bite énorme dans la bouche, derrière ma porte.
Il s'en excite et s'amuse à me baiser la gorge avec puissance, quand il entend des bruits.
"Mmmmmm ! Salaud ! Glllllllrp !".
"Ta gueule ! Suces ! Salope !".
Heureusement, il me dit ça sans crier, et ça m'excite !
Il nous tourne pour me coller au mur et me défonce la gorge plus puissamment.
Il me fait saliver comme rarement.
"Mmmmmmm ! Mmmmmmm ! Mmmmmmm ! ... Glllllllllllrpp ! Mmmmm !".
Vingt minutes après, il me relève en disant:
"Bon ! Fini de jouer avec ta bouche ! Je vais te casser le cul, maintenant ! Viens par là !".
Il me tire par le bras et me jette sur mon lit.
Je me déshabille, aussi rapidement que lui.
"Tu la veux, ma bite ?".
"Oui, Ahmed, j'en peux plus ! Défonces-moi !".
"C'est bien, ma p'tite salope ! On va bien s'éclater, encore !".
Il me soulève les jambes et me crache sur l'anus plusieurs fois.
Il porte sa main à ma bouche pour que je lui macule les doigts, grâce à la salive causée par sa gorge profonde.
Il s'en enduit la bite, puis la dirige entre mes fesses, je vois tout, de sa pénétration.
"Tu vois ce que je vais te mettre ?".
Mon cou est plié contre mon torse, j'ai du mal à parler:
"Mmmoui ! Je vois ! Elle est grosse ta bite ! Mmmmarhhhhh !".
"Putain, c'est trop bon de t'enculer ! Tu sais que j'attend d'avoir une grosse envie, avant de venir te baiser ? C'est meilleur comme ça !".
"Mmmm ! Mmmm... Arghhhh ! Non, je savais pas ! Arhhhhhhhhhhh !".
Je vois son gros sexe qui s'enfonce plus profondément, millimètre par millimètre, à chaque assaut.
"Mmmmmm ! Ahmed ! Putain, laisses moi le temps...Arhhhhhhhhh ! De m'ouvrir ! Arhhhhhhh ! Mmmmm ! Tu me déchires le cul !".
Vient alors le moment ou il touche le fond de mon anus, qu'il cogne sans discontinuer.
En quelques minutes, il voit mon visage se crisper de plaisir.
"T'aimes ça, ma salope ?".
"Mmmoui ! Mmmmarrghhh ! Arghhhhhhhhhh ! Je vais jouir ! Ahmed ! C'est trop bon !".
Il se met en appui sur ses pieds, en tenant mes jambes au nveau de ma tête.
Je suis complètement vouté sous lui, les yeux fixant son gros membre qui me pilonne sans arrêt.
"Putain Ahmed ! J'arrête pas de jouir ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"J'adore ta chatte ! Je vais pas m'arrêter de te défoncer, salope !".
"Ouhhhhhh ! Pffff ! Tu me rend dingue ! On vient de commencer ! Arhhhhhhhhhhhh ! T'y vas trop fort ! Arghhhhhhhhh !".
Ca ne l'arrête pas, il me fait orgasmer sous lui, trois fois d'affilée, il remarque à mon visage que j'ai atteint une certaine plénitude dans le plaisir.
"Hummm ! A ce que je vois, t'es monté haut, cette fois ! Je t'ai bien défoncé la chatte !".
Je me pâme en répondant:
"Ahhhhhhhhhhh ! Oui ! C'était trop bon, tu m'as bien enculé ! Si tu préfères, tu m'as bien éclaté la chatte !".
Il me laisse reprendre une position plus facile, mes cuisses écartées, son corps lourd sur moi.
Ce qui lui permet de coller sa bouche à la mienne en me besognant plus lentement.
"Si ta copine nous voyait, elle dirait quoi ?".
"Je sais pas, je veux pas le savoir ! Aarhhhhhhhh ! Oh c'est bon ! Déjà qu'elle sait que je la trompe avec des filles !".
"Allez ? Et ça la gêne pas ?".
"Si ! Arhhhhhh ! Mais elle arrive pas à me quitter !Orhhhhhhhh".
"Tu la baises comme je te baise ?".
"Oui, ça m'arrive ! Aarhhhhh ! Mais on fait surtout l'amour !".
"Elle t'as fait jouir, cet après-midi ?".
"On a été stoppé par Michel, qui est passé nous chercher ! Aarhhhhh ! Il n'y a qu'elle qui a joui ! C'était frustrant d'ailleurs ! Aarhhhhh !".
"Hummm ! Tu vas le faire avec moi, alors !".
"Ouhhhh ! Putain ! Je joui du cul encore ! Arhhhhhhhhh ! On verra ! Ahh... Ahmed ! C'est bon !".
"J'adore te faire jouir du cul ! Pascal ! J'ai jamais envie de m'arrêter !".
"Il va falloir, parce que je vais pas tenir la soirée à ce rythme !".
"Bon, je me calme ! Mais je reste dans ta chatte !".
"Mouais ! Ca veut dire que tu vas pas rester calme longtemps !".
Il change de sujet:
"J'ai vu Eric, il se plaint de plus te voir au Sex-Shop ! Pourquoi, t'y vas plus ?".
Je le regarde étonné, avec de grands yeux.
"Avec ce que tu me mets, tous les dix à quinze jours ! Tu crois que je vais encore aller me faire enculer par d'autres mecs, en plus ?".
"Oh, c'est gentil ! Ca ! Ca me fait plaisir ! Ca veut dire que ta p'tite chatte est rien qu'à moi, en ce moment ?".
"Euh... oui ! Je pensais que tu le savais ! Et toi ? T'as quelqu'un d'autre ?".
"A part ma copine, non !".
"T'es marié ?".
"Non ! Mais on est ensemble depuis pas mal de temps !".
"Elle sait que tu baises des mecs ?".
"Oui ! Mais elle s'en fout ! Elle est mariée ! Tout ce qu'elle veut, c'est que je la baise !".
"Ok ! Donc, tu nous place au même point !".
"Voila ! Deux salopes ! Mais je préfère ta chatte ! Quand j'en ai marre de la baiser, je viens te voir ! C'est plus excitant ! Mais t'es plus salope, qu'elle !".
"Je sais pas comment, je dois le prendre !".
"Dans ta chatte ! Mon chéri ! Dans ta chatte !".
"Ouhhhhhrrrhhhhhhhhh ! Arhhhhh ! Oui Ahmed ! Comme ça ! plus doucement, c'est bon aussi ! Arhhhhhhhhhhh !".
Il nous tourne pour me posséder, couché sur le coté, puis rapidement, je monte sur lui pour me donner entièrement.
Les mains posées sur son torse, mon corps s'empale inlassablement sur son énorme bite.
"Putain, tu m'excites Pascal ! J'ai la bite trempée ! J'ai jamais baisé un mec qui mouille autant du cul !".
Je répond par des râles de jouissance, qui se mêlent aux bruits de claquements sur son ventre.
Son gros gland stimule ma prostate, je le sais et je le veux.
Je cherche ce plaisir, mes enfoncements s'amplifient et s'accélèrent.
"Oh, putain c'est bon, tu me baises bien ! J'adore ta chatte, mon bébé !".
"Tu sens comme elle aime ta grosse bite ? Ma chatte ? Dis-moi Ahmed ! Tu le sens ?".
"Ouhhh oui ! Encore, mon bébé ! Donne la moi à fond !".
Je m'éclate l'anus sans fin, en atteignant ma béance maximale.
Après plusieurs orgasmes anaux, je devine la montée de mon éjaculation.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Ahmed ! Regardes comme tu me fais jouir ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je m'enfonce une dernière fois sur sa grosse bite en ondulant du bassin profondément.
C'est le moment divin, mon foutre coule abondamment en lui maculant le ventre.
Son gros gland, au fond de mon anus m'emmène au plaisir suprême à chaque mouvement de bassin.
Il saisit ma queue et s'applique à tout me soutirer, en me regardant orgasmer sur sa bite.
"Oui, bébé ! Viens ! Encore ! Lâches tout ! Vides-toi !".
A la fin de mon plaisir, je me laisse tomber en arrière, ce qui lui impose de se relever pour ne pas avoir mal.
"T'es beau quand tu jouis ! Tu le sais ?".
"T'es le premier à me le dire ! Mais merci ! Putain, ça fait du bien ! C'est bon de baiser avec toi !".
Il me sourit, fier de lui.
"T'as failli m'avoir ! J'étais au bord de l'éjaculation, moi aussi !".
"Ah bon ? On continue alors !".
"OK !".
Il me place au bord du lit avec le cul en bombe, puis me transperce d'un coup.
"Arhhhhhhhhhhhh !".
"Je peux me lâcher ? Bébé ?".
"Arrêtes de m'appeler bébé ! Je suis ta salope ! Défonces moi, si t'as envie !".
"Oui, j'en ai envie ! Tiens ! Salope !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! ...".
Son éjaculation prend du temps pour remonter à la surface, il me défonce le cul, comme il adore le faire, depuis qu'on se connait.
Je connais plusieurs orgasmes successifs.
Il me parle crument, chienne, salope, pute, chatte, vide couilles, claques sur les fesses, tout y passe !
Puis il se cramponne à mon cul en enfonçant ses doigts dans ma peau.
Il se libère de sa pression énorme, accumulée depuis le début de la soirée.
J'adore son grognement annonciateur de sa longue éjaculation libératoire.
Malgré la douleur causée par ses doigts puissants, je joui avec lui.
Il se voute sur moi, en terminant de jouir.
"Arghhhhhhh ! Bébé ! J'adore trop, jouir dans ta chatte ! Arhhhhhhhh !".
"Je sais Ahmed ! Je sais ! Ouhhhhfffffffffff ! Profites ! Elle est toute à toi, ce soir !".
"Ohhhh ! Putain, je jouiiiiiiiiiiiiii ! Ahhh ! Ahhh !".
J'aime sa longue jouissance, elle me comble de bonheur, c'est mon but suprême, quand je me donne à un homme.
Il se relève doucement, puis retire son gros membre couvert de sperme, au bout.
"Merci Pascal ! J'aime de plus en plus baiser avec toi ! J'ai trop bien joui !".
"Merci à toi également, N'oublies pas que tu m'a fait éjaculer, toi aussi !".
On se couche l'un près de l'autre, je ne résiste pas au désir de lui lécher longuement la bite, en lui nettoyant le ventre au passage.
"Hummm ! C'est pour des trucs comme ça, que t'es plus salope que ma copine !".
Je délaisse lentement son gros sexe, pour me hisser à son niveau, il m'embrasse plusieurs fois.
"Je reviens à tout à l'heure ! Tu le connais comment Michel ? T'es beaucoup plus âgé que nous ! Tu le baises ?".
"Ha, ha ! Non, c'est le jeune frère d'une ex ! C'est elle qui l'a mis au courant pour les mecs ! Elle l'a pas supporté !".
"Ah ! tant mieux ! Mais essaie d'être plus discret, la prochaine fois qu'on se croise ! Ma copine a remarqué que t'avais envie de me baiser !".
"Désolé, mais j'avais trop envie !".
"J'ai vu ! Et j'ai adoré !".
"Humm ! Tu me plais trop ! Tu sais ce que j'apprécie aussi, chez toi ?".
"Non ! C'est quoi ?".
"Tu te conduis comme si j'étais normal !".
"Comment ça ? Normal !".
"Je suis un Arabe ! Ca te gêne pas ?".
"Pourquoi ça me gênerait ? Je suis vraiment pas raciste ! Au contraire ! J'adore baiser avec vous ! J'ai remarqué que vous étiez plus chauds que les autres ! Sans parler du fait que certains sont plus membrés, aussi ! Je crois que je vous préfère aux blacks ! Vous êtes plus actifs !".
"Hummm ! Tant mieux pour moi, alors !".
Comme j'aime avoir un contrôle, sur ce qui se passe, quand je baise, je le prévient que je dois aller uriner.
En effet, lors de sa défonce anale, j'ai failli vider ma vessie, j'ai contenu ce phénomène comme j'ai pu.
Je me lève et me soulage enfin.
Je reviens près de lui, le temps passe, nos caresses successives font leur effet.
Lentement, son sexe retrouve sa vigueur, j'en suis admiratif encore.
Une heure a du s'écouler depuis sa première éjaculation.
Puis, je suis pris d'une légère douleur au bas ventre.
Mon visage se crispe, alors que je pose ma main sur mon estomac, pour calmer cette sensation.
"Ca va pas ?".
"Ouhhhhhffff ! C'est pas grave, c'est à cause de ta queue ! Elle est tellement grosse, que j'ai plein d'air dans le cul ! Il faut que je laisse sortir tout ça !".
"Vas-y ! C'est normal ! Ca me choque pas !".
"J'imagine, mais... !".
Je pose ma main entre mes fesses et laisse échapper trois grosses flatulences.
"Ohhhhh ! Ca va mieux ! Ffffffffffff ! Putain, j'ai la main pleine de foutre !".
"Essuie-toi sur ta chatte ! Ca va me servir de lubrifiant !".
Il me plaque sur le ventre, puis viens sur moi.
Ce qui reste sur ma main, souille encore mon lit, on s'en fout, au point ou on en est !
"Ahmed ! T'es fou ! Arhhhh ! Attends doucement ! Argggggggggggg ! Je jouiiiii !".
Il m'a seulement introduit son gros gland.
"Quoi ? Déjà ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! C'est parce mon cul est devenu hyper sensible, après tout ce que tu m'a fait ! Enfonce toi lentement ! Ca va encore me faire jouir !".
Il me pénètre avec une lenteur délicieuse et idéale, chaque millimètre me fait orgasmer analement.
Enfin, il atteint le fond de mon cul, je mords mon lit en me tordant de plaisir.
"Putain, t'es vraiment fait pour te faire enculer ! J'ai jamais vu un mec aussi sensible !".
"Mmmmmmmmggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhh !".
Puis, peu à peu, la sensation se normalise, j'ouvre mes lèvres pour respirer et souffler.
"Oh, putain ! J'adore ce moment là ! Je suis content de l'avoir vécu avec toi !".
"Je peux te baiser, maintenant ?".
"Oui ! Vas y, prends moi la chatte encore !".
Il se colle à moi en passant ses bras sous mes épaules pour m'empêcher de m'échapper et commence à me pilonner avec puissance.
"Oh, putain ! Ca revient ! Je joui ! Continues ! N'arrêtes pas ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".
"Je t'adore Pascal ! Tu sais que je vais te défoncer la chatte encore plus longtemps ! Tu le sais ?".
"Ouiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! ...".
On se lance dans un partage verbal, de phrases de déclaration de notre plaisir commun.
Ce ne sont pas des mots d'amour, loin de là, mais on adore baiser ensemble, c'est évident !
Le fait de savoir qu'il adore "ma chatte" ajoute à mon bonheur de lui appartenir.
J'aime tant jouir avec lui, la grosseur exceptionnelle de sa bite, sa puissance, tout m'excite chez lui.
Mes orgasmes anaux se succèdent, on tache mon lit avec le sperme et mon jus d'anus qui déborde le long des mes couilles pour polluer les draps.
Je m'en moque, c'est trop bon !
"Arghhhhhhhhh ! Putain, Ahmed ! J'ai trop joui, déjà, mais c'est trop bon ! Continues ! Arghhhhhhhhh !".
"T'en veux encore mon bébé ? Elle te fait du bien ma grosse bite ?".
"Ouiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".
Il s'arrête d'un coup, puis s'assoit sur le lit.
"Viens sur moi !".
Je me plante, face à lui, à califourchon, en m'accrochant à ses épaules.
Il me tend ses lèvres, pendant qu'il me soulève pour m'enculer, encore et encore.
Je joui dans sa bouche, mon faible poids lui permet de m'enculer facilement.
Parfois, son gland rate sa cible, il retrouve très vite, et sans difficulté, son chemin, tant mon anus est béant et lubrifié.
Je l'aide en prenant appui sur lui, pour m'empaler plus profondément.
"Oui, comme ça, je t'adore ! T'es ma p'tite salope ! Elle est à moi ta chatte !".
"Ouiii ! Elle est à toi ! Arghhhhhhhhh !...".
Il me retient par le dessous des fesses, puis me soulève.
Il me place contre mon matelas et recommence à me défoncer par derrière, avec puissance.
"Arghhhhhhhhh ! Ahmed ! Tout est bon avec toi ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".
Quelques minutes après, il me déplace pour me coller à lui, debout, et continue de me transpercer le cul, par derrière.
Notre différence de taille, fait qu'il me soulève les fesses en m'enculant avec force.
J'ai presque mal au coccyx, tant il cogne au fond de moi, mais j'aime ça !
Cela fait trop longtemps qu'il me défonce, je ne sens plus mon anus.
Seules quelques montées d'orgasmes anaux me maintiennent dans le plaisir, j'ai encore atteint cette fameuse plénitude, si agréable.
Je me laisse posséder analement, attendant son éjaculation comme un cadeau délicieux.
Il m'appuie sur le dos, je me tiens contre le mur.
Je reçois des claques sur les fesses, des assauts plus puissants encore.
Sa respiration devient haletante, ses mains s'agrippent encore, dans mes lobes fessiers.
"Arghhhhhhhhhggggggggggggg ! Je joui ! Bébé, c'est bon ! Arghhhhhhhhhggggggggggrrrrrrrrrrrrrr !".
Ses râles se transforment en grognements, je me redresse pour lui appartenir plus profondément.
Il m'attire contre son torse, je passe ma main derrière sa nuque.
"Oui, Ahmed, laisses toi alller ! Mets moi tout !".
"Arghhhhhhhhh ! Putain ! Pascal ! C'était génial encore ! Arghhhhhhhhh...!".
On souffle tous les deux, la redescente d'orgasme est très lente, on a du mal à se séparer.
Et pour quelle raison devrait-on le faire ? Il me couche sur le ventre et reste en moi, en me caressant les cheveux, le dos, les fesses.
"Ohhhh, c'est trop bon de se faire enculer comme ça ! T'es un de ceux qui me baisent le mieux !".
"Mieux qu'Eric ?".
"Oui ! Même s'il m'encule bien, lui aussi ! Mais avec toi, c'est plus puissant !".
"Il est moins vicieux que moi, je suppose !".
"C'est différent ! Il est pervers, lui aussi ! Il aime autre chose !".
"Il m'a dit qu'il t'as emmené dans deux soirées ! Tu t'es tapé des tas de mecs !".
"Oui, mais bizarrement, c'est pas ce qui me plait le plus ! Même si c'est excitant aussi !".
"Tant mieux ! Comme ça, je profite plus de ta chatte !".
Il me laisse me retourner, puis remet sa bite en moi, et nous nous embrassons longuement.
On tache encore les draps.
"Humm ! Je suis bien avec toi ! Bébé ! Dommage que t'ai une copine, je serais bien resté plus longtemps !".
"Alors toi ! T'as de la chance ! Elle part ce week-end, avec ses parents !".
"Non ! Jusque quand ?".
"Jusqu'à sa sortie d'école, lundi, à 16h 30 !".
"Super ! Je reste ! Comme ça, on pourra baiser tout le Week-end !".
"Ca fait presque trois jours, ça ! Tu vas pas m'enculer pendant tout de temps ?".
"Si ! Ma p'tite salope ! N'oublies pas que ta chatte est à moi !".
"T'es un dingue !".
J'ai passé un Week-end de sexe anal très intense, avec lui.
Sortir pour nous aérer, sans se faire voir de mes amis, n'a pas été simple.
Il m'a fait sentir femelle comme jamais, ma "chatte" était toujours prête à le recevoir.
Plusieurs mois après, il s'est fait licencier de son travail, et a du changer de ville pour un job, ce qui a mis fin à notre histoire.
Par contre, j'ai rarement connu d'homme, aussi vicieux, viril et actif.
Il fait partie de mon Top 10 des hommes, les plus performants.
Un jour, alors que je marchais en compagnie de Corinne et des amis, je le vois qui se dirige vers nous, à 30 mètres environ.
Je blêmis, en craignant la rencontre, puis, un copain nous dit:
"Oh, c'est un pote ! Je vous le dis vite, avant qu'il arrive ! Il est pédé ! Il s'en cache pas ! Mais chht !".
"Salut Ahmed ! Ca va ? Je te présente Corinne, Lucie, Pascal, Jean-Luc !".
"Salut, Michel ! Oui, ca va, je me ballade en attendant 18h, je sais déjà que je vais m'amuser, ce soir !".
Son regard se porte souvent sur moi, ce qui me trouble sans cesse.
"Ah bon, t'as quoi de prévu ?".
"Je peux vraiment le dire ? Ca risque de vous choquer !".
"Ben, on est en 1984, quand même !".
"Ok ! Je vais baiser une bonne salope !".
"Ah, d'accord ! Je m'attendais pas à ça ! T'as trouvé une copine ?".
"Non, c'est un mec ! Un hétéro en plus ! Tu sais que je suis bi ! C'est pas un secret !".
La bande est choquée, comme prévu, surtout les filles.
"Ah, oui, c'est vrai ! Je le connais ?".
J'ai une crainte énorme qu'il révèle notre liaison, mais il me rassure en disant:
"Je crois ! Peut être que oui ! Bon, je vous laisse ! Je vais profiter avant de le voir, tout à l'heure !".
"Bonne bourre, alors ! Tu me diras qui c'est ?".
"Merci, Michel ! Mais ça se dit pas, ces choses là !".
On reprend notre chemin, je cache mon trouble.
"Putain, j'hallucine, je le connais, le type ! Qui ça peut être ?".
J'ai du mal à chasser mes pensées.
Michel en rajoute avec des commentaires sur l'homosexualité, qui malgré une acceptation grandissante, reste un tabou et un sujet de moqueries.
J'ai l'air pensif, je sais que je vais me faire enculer, toute la soirée.
Difficile de rester naturel avec mes amis, en sachant cela.
Je me sens pervers à leurs cotés, mais je n'arrive pas à cesser de m'imaginer, jouissant sur la bite d'Ahmed.
Ma vie cachée de salope, a failli être révélée au grand jour.
Malgré cela, je sais que je n'en changerai pour rien au monde, et j'ai hâte de rentrer chez moi, pour me donner à Ahmed, encore et encore.
L'espacement de nos rapports fait que j'ai toujours envie de lui, quand il vient me voir.
Le temps me parait interminable avant 18 h, je m'en veux, vis à vis de Corinne !
En attendant le bus, elle me dit qu'elle a remarqué le regard d'Ahmed, envers moi.
"A mon avis, tu lui plais beaucoup ! Si on avait pas été là, il t'aurait branché, j'en suis sûre !".
"Il manquerai plus que ça ! Déjà que je te trompe avec des filles ! Tu m'imagines avec un mec ?".
"Pourquoi pas ! Ca me choque moins que deux filles !".
"Euh, parlons d'autre chose ! Tu veux bien !".
Elle me serre contre elle et me susurre:
"Avec un cul comme le tien, il se régalerait, moi si j'étais un mec, ça me plairait de te baiser !".
"Corinne ! Arrêtes ! Et de toute façon ! T'es pas un mec !".
"Je plaisante !".
Jouer ce double jeu, n'est pas simple pour moi, elle monte enfin dans le bus.
On s'envoie des baisers à travers la fenêtre, puis je retourne chez moi, en ruminant tout ce qui s'est passé.
Je suis déçu de ne pas le voir devant mon immeuble, mais je monte pour l'attendre et lui ouvrir avec l'interphone, dès qu'il sera là.
Puis, je suis surpris de le voir devant ma porte d'entrée !
"Dépêches-toi, j'ai profité qu'un voisin entrait, pour monter !".
Il me pousse dans mon couloir d'entrée pour m'embrasser vicieusement.
"Tu m'as manqué, salope !".
"Mmmm ! Putain, tu m'as fait peur tout à l'heure ! Tu connais Michel ?".
"Ah ! Ah ! Tu m'as fait rire, si t'avais vu ta tête !".
"T'es fou de dire ça, devant ma copine et mes potes !".
"Quoi ? J'ai rien dis ! J'en mourrai d'envie ! Mais je l'ai pas fait !".
Il attire ma main sur sa bite en érection.
"Allez ! Occupes-toi de moi ! Bébé !".
"Putain ! Ahmed ! Tu me rends dingue ! Je peux pas te résister !".
"C'est parce que je t'encules bien ! c'est ça ?".
Mes doigts coulissent sur sa verge, elle déforme son pantalon.
"Oui ! C'est ça ! Putain, tu m'excites ! Il faut que tu me baises !".
Je descend lentement vers son sexe, j'ai du mal à le dégager, tant il est serré derrière ses vêtements.
En baissant le tout, en même temps, sa grosse queue surgit et vient frapper mon front.
La voir ainsi, énorme et dure devant mes yeux, me provoque un frisson d'excitation dans tout le corps.
Je la veux ! Elle me fait fondre de désir.
Je la saisi à la base pour la diriger entre mes lèvres.
J'ai un soupir de satisfaction en la sentant dans ma gorge.
"Ca va mieux, ma p'tite salope ?".
"Mmmmmmm ! Mouiii !".
"Continues de me pomper ! Alors ! J'adore ta bouche ! Oui... comme ça !".
On s'adonne à un plaisir buccal, parfaitement complice et partagé.
Tantôt vicieux, sensuel, pervers, puis plus tendre.
Je prends mon temps, je veux apprécier chaque millimètre de son anatomie dans ma bouche, sous ma langue.
Cela dure de longues minutes, pendant lesquelles, on entend les voisins, monter et descendre les escaliers, sans imaginer que j'ai une bite énorme dans la bouche, derrière ma porte.
Il s'en excite et s'amuse à me baiser la gorge avec puissance, quand il entend des bruits.
"Mmmmmm ! Salaud ! Glllllllrp !".
"Ta gueule ! Suces ! Salope !".
Heureusement, il me dit ça sans crier, et ça m'excite !
Il nous tourne pour me coller au mur et me défonce la gorge plus puissamment.
Il me fait saliver comme rarement.
"Mmmmmmm ! Mmmmmmm ! Mmmmmmm ! ... Glllllllllllrpp ! Mmmmm !".
Vingt minutes après, il me relève en disant:
"Bon ! Fini de jouer avec ta bouche ! Je vais te casser le cul, maintenant ! Viens par là !".
Il me tire par le bras et me jette sur mon lit.
Je me déshabille, aussi rapidement que lui.
"Tu la veux, ma bite ?".
"Oui, Ahmed, j'en peux plus ! Défonces-moi !".
"C'est bien, ma p'tite salope ! On va bien s'éclater, encore !".
Il me soulève les jambes et me crache sur l'anus plusieurs fois.
Il porte sa main à ma bouche pour que je lui macule les doigts, grâce à la salive causée par sa gorge profonde.
Il s'en enduit la bite, puis la dirige entre mes fesses, je vois tout, de sa pénétration.
"Tu vois ce que je vais te mettre ?".
Mon cou est plié contre mon torse, j'ai du mal à parler:
"Mmmoui ! Je vois ! Elle est grosse ta bite ! Mmmmarhhhhh !".
"Putain, c'est trop bon de t'enculer ! Tu sais que j'attend d'avoir une grosse envie, avant de venir te baiser ? C'est meilleur comme ça !".
"Mmmm ! Mmmm... Arghhhh ! Non, je savais pas ! Arhhhhhhhhhhh !".
Je vois son gros sexe qui s'enfonce plus profondément, millimètre par millimètre, à chaque assaut.
"Mmmmmm ! Ahmed ! Putain, laisses moi le temps...Arhhhhhhhhh ! De m'ouvrir ! Arhhhhhhh ! Mmmmm ! Tu me déchires le cul !".
Vient alors le moment ou il touche le fond de mon anus, qu'il cogne sans discontinuer.
En quelques minutes, il voit mon visage se crisper de plaisir.
"T'aimes ça, ma salope ?".
"Mmmoui ! Mmmmarrghhh ! Arghhhhhhhhhh ! Je vais jouir ! Ahmed ! C'est trop bon !".
Il se met en appui sur ses pieds, en tenant mes jambes au nveau de ma tête.
Je suis complètement vouté sous lui, les yeux fixant son gros membre qui me pilonne sans arrêt.
"Putain Ahmed ! J'arrête pas de jouir ! Arghhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhh !...".
"J'adore ta chatte ! Je vais pas m'arrêter de te défoncer, salope !".
"Ouhhhhhh ! Pffff ! Tu me rend dingue ! On vient de commencer ! Arhhhhhhhhhhhh ! T'y vas trop fort ! Arghhhhhhhhh !".
Ca ne l'arrête pas, il me fait orgasmer sous lui, trois fois d'affilée, il remarque à mon visage que j'ai atteint une certaine plénitude dans le plaisir.
"Hummm ! A ce que je vois, t'es monté haut, cette fois ! Je t'ai bien défoncé la chatte !".
Je me pâme en répondant:
"Ahhhhhhhhhhh ! Oui ! C'était trop bon, tu m'as bien enculé ! Si tu préfères, tu m'as bien éclaté la chatte !".
Il me laisse reprendre une position plus facile, mes cuisses écartées, son corps lourd sur moi.
Ce qui lui permet de coller sa bouche à la mienne en me besognant plus lentement.
"Si ta copine nous voyait, elle dirait quoi ?".
"Je sais pas, je veux pas le savoir ! Aarhhhhhhhh ! Oh c'est bon ! Déjà qu'elle sait que je la trompe avec des filles !".
"Allez ? Et ça la gêne pas ?".
"Si ! Arhhhhhh ! Mais elle arrive pas à me quitter !Orhhhhhhhh".
"Tu la baises comme je te baise ?".
"Oui, ça m'arrive ! Aarhhhhh ! Mais on fait surtout l'amour !".
"Elle t'as fait jouir, cet après-midi ?".
"On a été stoppé par Michel, qui est passé nous chercher ! Aarhhhhh ! Il n'y a qu'elle qui a joui ! C'était frustrant d'ailleurs ! Aarhhhhh !".
"Hummm ! Tu vas le faire avec moi, alors !".
"Ouhhhh ! Putain ! Je joui du cul encore ! Arhhhhhhhhh ! On verra ! Ahh... Ahmed ! C'est bon !".
"J'adore te faire jouir du cul ! Pascal ! J'ai jamais envie de m'arrêter !".
"Il va falloir, parce que je vais pas tenir la soirée à ce rythme !".
"Bon, je me calme ! Mais je reste dans ta chatte !".
"Mouais ! Ca veut dire que tu vas pas rester calme longtemps !".
Il change de sujet:
"J'ai vu Eric, il se plaint de plus te voir au Sex-Shop ! Pourquoi, t'y vas plus ?".
Je le regarde étonné, avec de grands yeux.
"Avec ce que tu me mets, tous les dix à quinze jours ! Tu crois que je vais encore aller me faire enculer par d'autres mecs, en plus ?".
"Oh, c'est gentil ! Ca ! Ca me fait plaisir ! Ca veut dire que ta p'tite chatte est rien qu'à moi, en ce moment ?".
"Euh... oui ! Je pensais que tu le savais ! Et toi ? T'as quelqu'un d'autre ?".
"A part ma copine, non !".
"T'es marié ?".
"Non ! Mais on est ensemble depuis pas mal de temps !".
"Elle sait que tu baises des mecs ?".
"Oui ! Mais elle s'en fout ! Elle est mariée ! Tout ce qu'elle veut, c'est que je la baise !".
"Ok ! Donc, tu nous place au même point !".
"Voila ! Deux salopes ! Mais je préfère ta chatte ! Quand j'en ai marre de la baiser, je viens te voir ! C'est plus excitant ! Mais t'es plus salope, qu'elle !".
"Je sais pas comment, je dois le prendre !".
"Dans ta chatte ! Mon chéri ! Dans ta chatte !".
"Ouhhhhhrrrhhhhhhhhh ! Arhhhhh ! Oui Ahmed ! Comme ça ! plus doucement, c'est bon aussi ! Arhhhhhhhhhhh !".
Il nous tourne pour me posséder, couché sur le coté, puis rapidement, je monte sur lui pour me donner entièrement.
Les mains posées sur son torse, mon corps s'empale inlassablement sur son énorme bite.
"Putain, tu m'excites Pascal ! J'ai la bite trempée ! J'ai jamais baisé un mec qui mouille autant du cul !".
Je répond par des râles de jouissance, qui se mêlent aux bruits de claquements sur son ventre.
Son gros gland stimule ma prostate, je le sais et je le veux.
Je cherche ce plaisir, mes enfoncements s'amplifient et s'accélèrent.
"Oh, putain c'est bon, tu me baises bien ! J'adore ta chatte, mon bébé !".
"Tu sens comme elle aime ta grosse bite ? Ma chatte ? Dis-moi Ahmed ! Tu le sens ?".
"Ouhhh oui ! Encore, mon bébé ! Donne la moi à fond !".
Je m'éclate l'anus sans fin, en atteignant ma béance maximale.
Après plusieurs orgasmes anaux, je devine la montée de mon éjaculation.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Ahmed ! Regardes comme tu me fais jouir ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh !".
Je m'enfonce une dernière fois sur sa grosse bite en ondulant du bassin profondément.
C'est le moment divin, mon foutre coule abondamment en lui maculant le ventre.
Son gros gland, au fond de mon anus m'emmène au plaisir suprême à chaque mouvement de bassin.
Il saisit ma queue et s'applique à tout me soutirer, en me regardant orgasmer sur sa bite.
"Oui, bébé ! Viens ! Encore ! Lâches tout ! Vides-toi !".
A la fin de mon plaisir, je me laisse tomber en arrière, ce qui lui impose de se relever pour ne pas avoir mal.
"T'es beau quand tu jouis ! Tu le sais ?".
"T'es le premier à me le dire ! Mais merci ! Putain, ça fait du bien ! C'est bon de baiser avec toi !".
Il me sourit, fier de lui.
"T'as failli m'avoir ! J'étais au bord de l'éjaculation, moi aussi !".
"Ah bon ? On continue alors !".
"OK !".
Il me place au bord du lit avec le cul en bombe, puis me transperce d'un coup.
"Arhhhhhhhhhhhh !".
"Je peux me lâcher ? Bébé ?".
"Arrêtes de m'appeler bébé ! Je suis ta salope ! Défonces moi, si t'as envie !".
"Oui, j'en ai envie ! Tiens ! Salope !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! ...".
Son éjaculation prend du temps pour remonter à la surface, il me défonce le cul, comme il adore le faire, depuis qu'on se connait.
Je connais plusieurs orgasmes successifs.
Il me parle crument, chienne, salope, pute, chatte, vide couilles, claques sur les fesses, tout y passe !
Puis il se cramponne à mon cul en enfonçant ses doigts dans ma peau.
Il se libère de sa pression énorme, accumulée depuis le début de la soirée.
J'adore son grognement annonciateur de sa longue éjaculation libératoire.
Malgré la douleur causée par ses doigts puissants, je joui avec lui.
Il se voute sur moi, en terminant de jouir.
"Arghhhhhhh ! Bébé ! J'adore trop, jouir dans ta chatte ! Arhhhhhhhh !".
"Je sais Ahmed ! Je sais ! Ouhhhhfffffffffff ! Profites ! Elle est toute à toi, ce soir !".
"Ohhhh ! Putain, je jouiiiiiiiiiiiiii ! Ahhh ! Ahhh !".
J'aime sa longue jouissance, elle me comble de bonheur, c'est mon but suprême, quand je me donne à un homme.
Il se relève doucement, puis retire son gros membre couvert de sperme, au bout.
"Merci Pascal ! J'aime de plus en plus baiser avec toi ! J'ai trop bien joui !".
"Merci à toi également, N'oublies pas que tu m'a fait éjaculer, toi aussi !".
On se couche l'un près de l'autre, je ne résiste pas au désir de lui lécher longuement la bite, en lui nettoyant le ventre au passage.
"Hummm ! C'est pour des trucs comme ça, que t'es plus salope que ma copine !".
Je délaisse lentement son gros sexe, pour me hisser à son niveau, il m'embrasse plusieurs fois.
"Je reviens à tout à l'heure ! Tu le connais comment Michel ? T'es beaucoup plus âgé que nous ! Tu le baises ?".
"Ha, ha ! Non, c'est le jeune frère d'une ex ! C'est elle qui l'a mis au courant pour les mecs ! Elle l'a pas supporté !".
"Ah ! tant mieux ! Mais essaie d'être plus discret, la prochaine fois qu'on se croise ! Ma copine a remarqué que t'avais envie de me baiser !".
"Désolé, mais j'avais trop envie !".
"J'ai vu ! Et j'ai adoré !".
"Humm ! Tu me plais trop ! Tu sais ce que j'apprécie aussi, chez toi ?".
"Non ! C'est quoi ?".
"Tu te conduis comme si j'étais normal !".
"Comment ça ? Normal !".
"Je suis un Arabe ! Ca te gêne pas ?".
"Pourquoi ça me gênerait ? Je suis vraiment pas raciste ! Au contraire ! J'adore baiser avec vous ! J'ai remarqué que vous étiez plus chauds que les autres ! Sans parler du fait que certains sont plus membrés, aussi ! Je crois que je vous préfère aux blacks ! Vous êtes plus actifs !".
"Hummm ! Tant mieux pour moi, alors !".
Comme j'aime avoir un contrôle, sur ce qui se passe, quand je baise, je le prévient que je dois aller uriner.
En effet, lors de sa défonce anale, j'ai failli vider ma vessie, j'ai contenu ce phénomène comme j'ai pu.
Je me lève et me soulage enfin.
Je reviens près de lui, le temps passe, nos caresses successives font leur effet.
Lentement, son sexe retrouve sa vigueur, j'en suis admiratif encore.
Une heure a du s'écouler depuis sa première éjaculation.
Puis, je suis pris d'une légère douleur au bas ventre.
Mon visage se crispe, alors que je pose ma main sur mon estomac, pour calmer cette sensation.
"Ca va pas ?".
"Ouhhhhhffff ! C'est pas grave, c'est à cause de ta queue ! Elle est tellement grosse, que j'ai plein d'air dans le cul ! Il faut que je laisse sortir tout ça !".
"Vas-y ! C'est normal ! Ca me choque pas !".
"J'imagine, mais... !".
Je pose ma main entre mes fesses et laisse échapper trois grosses flatulences.
"Ohhhhh ! Ca va mieux ! Ffffffffffff ! Putain, j'ai la main pleine de foutre !".
"Essuie-toi sur ta chatte ! Ca va me servir de lubrifiant !".
Il me plaque sur le ventre, puis viens sur moi.
Ce qui reste sur ma main, souille encore mon lit, on s'en fout, au point ou on en est !
"Ahmed ! T'es fou ! Arhhhh ! Attends doucement ! Argggggggggggg ! Je jouiiiii !".
Il m'a seulement introduit son gros gland.
"Quoi ? Déjà ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! C'est parce mon cul est devenu hyper sensible, après tout ce que tu m'a fait ! Enfonce toi lentement ! Ca va encore me faire jouir !".
Il me pénètre avec une lenteur délicieuse et idéale, chaque millimètre me fait orgasmer analement.
Enfin, il atteint le fond de mon cul, je mords mon lit en me tordant de plaisir.
"Putain, t'es vraiment fait pour te faire enculer ! J'ai jamais vu un mec aussi sensible !".
"Mmmmmmmmggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhh !".
Puis, peu à peu, la sensation se normalise, j'ouvre mes lèvres pour respirer et souffler.
"Oh, putain ! J'adore ce moment là ! Je suis content de l'avoir vécu avec toi !".
"Je peux te baiser, maintenant ?".
"Oui ! Vas y, prends moi la chatte encore !".
Il se colle à moi en passant ses bras sous mes épaules pour m'empêcher de m'échapper et commence à me pilonner avec puissance.
"Oh, putain ! Ca revient ! Je joui ! Continues ! N'arrêtes pas ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".
"Je t'adore Pascal ! Tu sais que je vais te défoncer la chatte encore plus longtemps ! Tu le sais ?".
"Ouiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh ! ...".
On se lance dans un partage verbal, de phrases de déclaration de notre plaisir commun.
Ce ne sont pas des mots d'amour, loin de là, mais on adore baiser ensemble, c'est évident !
Le fait de savoir qu'il adore "ma chatte" ajoute à mon bonheur de lui appartenir.
J'aime tant jouir avec lui, la grosseur exceptionnelle de sa bite, sa puissance, tout m'excite chez lui.
Mes orgasmes anaux se succèdent, on tache mon lit avec le sperme et mon jus d'anus qui déborde le long des mes couilles pour polluer les draps.
Je m'en moque, c'est trop bon !
"Arghhhhhhhhh ! Putain, Ahmed ! J'ai trop joui, déjà, mais c'est trop bon ! Continues ! Arghhhhhhhhh !".
"T'en veux encore mon bébé ? Elle te fait du bien ma grosse bite ?".
"Ouiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".
Il s'arrête d'un coup, puis s'assoit sur le lit.
"Viens sur moi !".
Je me plante, face à lui, à califourchon, en m'accrochant à ses épaules.
Il me tend ses lèvres, pendant qu'il me soulève pour m'enculer, encore et encore.
Je joui dans sa bouche, mon faible poids lui permet de m'enculer facilement.
Parfois, son gland rate sa cible, il retrouve très vite, et sans difficulté, son chemin, tant mon anus est béant et lubrifié.
Je l'aide en prenant appui sur lui, pour m'empaler plus profondément.
"Oui, comme ça, je t'adore ! T'es ma p'tite salope ! Elle est à moi ta chatte !".
"Ouiii ! Elle est à toi ! Arghhhhhhhhh !...".
Il me retient par le dessous des fesses, puis me soulève.
Il me place contre mon matelas et recommence à me défoncer par derrière, avec puissance.
"Arghhhhhhhhh ! Ahmed ! Tout est bon avec toi ! Arghhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhh !...".
Quelques minutes après, il me déplace pour me coller à lui, debout, et continue de me transpercer le cul, par derrière.
Notre différence de taille, fait qu'il me soulève les fesses en m'enculant avec force.
J'ai presque mal au coccyx, tant il cogne au fond de moi, mais j'aime ça !
Cela fait trop longtemps qu'il me défonce, je ne sens plus mon anus.
Seules quelques montées d'orgasmes anaux me maintiennent dans le plaisir, j'ai encore atteint cette fameuse plénitude, si agréable.
Je me laisse posséder analement, attendant son éjaculation comme un cadeau délicieux.
Il m'appuie sur le dos, je me tiens contre le mur.
Je reçois des claques sur les fesses, des assauts plus puissants encore.
Sa respiration devient haletante, ses mains s'agrippent encore, dans mes lobes fessiers.
"Arghhhhhhhhhggggggggggggg ! Je joui ! Bébé, c'est bon ! Arghhhhhhhhhggggggggggrrrrrrrrrrrrrr !".
Ses râles se transforment en grognements, je me redresse pour lui appartenir plus profondément.
Il m'attire contre son torse, je passe ma main derrière sa nuque.
"Oui, Ahmed, laisses toi alller ! Mets moi tout !".
"Arghhhhhhhhh ! Putain ! Pascal ! C'était génial encore ! Arghhhhhhhhh...!".
On souffle tous les deux, la redescente d'orgasme est très lente, on a du mal à se séparer.
Et pour quelle raison devrait-on le faire ? Il me couche sur le ventre et reste en moi, en me caressant les cheveux, le dos, les fesses.
"Ohhhh, c'est trop bon de se faire enculer comme ça ! T'es un de ceux qui me baisent le mieux !".
"Mieux qu'Eric ?".
"Oui ! Même s'il m'encule bien, lui aussi ! Mais avec toi, c'est plus puissant !".
"Il est moins vicieux que moi, je suppose !".
"C'est différent ! Il est pervers, lui aussi ! Il aime autre chose !".
"Il m'a dit qu'il t'as emmené dans deux soirées ! Tu t'es tapé des tas de mecs !".
"Oui, mais bizarrement, c'est pas ce qui me plait le plus ! Même si c'est excitant aussi !".
"Tant mieux ! Comme ça, je profite plus de ta chatte !".
Il me laisse me retourner, puis remet sa bite en moi, et nous nous embrassons longuement.
On tache encore les draps.
"Humm ! Je suis bien avec toi ! Bébé ! Dommage que t'ai une copine, je serais bien resté plus longtemps !".
"Alors toi ! T'as de la chance ! Elle part ce week-end, avec ses parents !".
"Non ! Jusque quand ?".
"Jusqu'à sa sortie d'école, lundi, à 16h 30 !".
"Super ! Je reste ! Comme ça, on pourra baiser tout le Week-end !".
"Ca fait presque trois jours, ça ! Tu vas pas m'enculer pendant tout de temps ?".
"Si ! Ma p'tite salope ! N'oublies pas que ta chatte est à moi !".
"T'es un dingue !".
J'ai passé un Week-end de sexe anal très intense, avec lui.
Sortir pour nous aérer, sans se faire voir de mes amis, n'a pas été simple.
Il m'a fait sentir femelle comme jamais, ma "chatte" était toujours prête à le recevoir.
Plusieurs mois après, il s'est fait licencier de son travail, et a du changer de ville pour un job, ce qui a mis fin à notre histoire.
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