PLAISIRS CHARNELS

- Par l'auteur HDS Petite futée -
Auteur femme.
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Récit libertin : PLAISIRS CHARNELS Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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PLAISIRS CHARNELS
Vous aimez le sport ? Moi, j’adore ! Se dépenser pour être au top de sa forme et se sentir bien dans son corps, c’est moi au quotidien. Certains coquins penseront qu’ils préfèrent un autre sport, beaucoup plus sensuel, langoureux, bestial pour quelques uns. Mais rassurez-vous, je n’y suis pas insensible non plus, sinon pourquoi seriez-vous en train de me lire ?

Je me prénomme Lucie, je suis une jeune femme de vingt-six ans, professeur de fitness dans un grand institut sportif à Paris, ce qui veut dire que physiquement, je pense qu’il n’y a rien à redire, et franchement, vu le regard que les hommes portent sur moi, je n’ai aucun doute à avoir.

Cela fait trois ans, que je travaille dans ce centre sportif. Quotidiennement je vois défiler quatre groupes de vingt personnes, jamais plus. Ils se succèdent pour des séances d’une heure, avec vingt minutes de battement entre chaque cours. C’est un vrai marathon, qui rend ma vie exaltante. Vous trouverez sans doute que c’est un peu sadique de ma part de penser cela, mais j’aime les voir souffrir pour faire ou essayer de faire quelque chose de leur corps, parfois en bien mauvais état.

De nature très observatrice, je détaille mes élèves un à un et je peux dire que je connais leur corps sur le bout de mes doigts. C’est très excitant pour moi de les voir, hommes ou femmes, se déhancher dans leur tenue de sport ultra-moulante pour les allumeuses qui sont bien dans leur peau, ou leur survêtement beaucoup trop large, pour ceux qui au contraire se trouvent mal fichus.

Alors, en bonne professionnelle – et c’est d’ailleurs mon travail – je n’hésite pas à me poster derrière eux, afin de leur prodiguer les meilleurs conseils pour perfectionner leurs mouvements. Les mains plantées sur leur fessier, suivant chaque impulsion de leur corps ou encore en les positionnant juste sous la poitrine, pour inculquer le bon maintien et la façon de respirer. Je ne me lasse pas de les toucher, ils n’y voient que du feu, pour eux, cela fait partie de mon job, mais moi, j’y prends un réel plaisir.

Dans mes cours, tous les types corporels sont représentés : il y a les belles filles minces aux poitrines bien fières et qui sont certaines de leur pouvoir de séduction.
Nous avons aussi les timides, qui sont en général un peu, voire beaucoup, enrobées et qui se cachent au fond de la salle pour ne pas se montrer ridicules. Ou encore les chaudes lapines : ce sont celles qui ont dépassé les quarante ans, elles arrivent maquillées à outrance avec leurs tenues qui pourraient en faire rougir plus d’un, tant elles dévoilent beaucoup. Elles viennent ici, juste pour essayer de mettre la main sur les quelques hommes présents pour une bonne partie de baise.

Il en va de même pour ces messieurs, malheureusement peu nombreux, je dois dire.

Fred, le bel étalon, aux muscles saillants, aux sourires ravageurs est la cible préférée de ces dames. Il vient au cours, car il est journaliste et écrit un sujet sur le fitness. D’ailleurs je suis sortie avec lui un soir, il voulait m’interviewer pour son article. Nous avons mangé dans un restaurant italien, à la lueur d’une bougie, et avons fini la soirée chez moi. Quel plaisir de sentir son corps ferme, sous mes doigts ! Son torse, légèrement velu, accentuant les formes de ses pectoraux, sa toison brune descendant jusque son bas-ventre. Ses caresses étaient tendres et passionnées, sa bouche a exploré la moindre parcelle de ma peau. Notre étreinte, sensuelle puis fougueuse, me laisse un agréable souvenir. Il nous arrive de temps à autre de renouveler l’expérience.

Franck, Sylvain et Jean-Eudes, mes trois intellos, complètement ringards et coincés, qui espèrent un jour pouvoir tirer leur crampe. Pourtant, même mes quadragénaires super-excitées n’en veulent pas. Peut-être qu’après un bon relooking !

Johnny, un ex play-boy qui ne s’est pas vu vieillir et qui tente toujours de coincer une minette ou deux. Il a déjà tenté avec moi, mais ce n’est pas mon genre du tout.

Et pour finir notre jeune retraité René, qui est obligé d’accompagner sa femme, mais croyez-moi, il en profite pour se rincer l’œil dès qu’il en a l’occasion, un peu comme moi, dois-je avouer !

Mon moment préféré, c’est lorsque le cours est terminé et que tout le monde part à la douche. Je me rends alors dans les vestiaires, prétextant de prendre un en-cas ou autre et, comme si de rien n’était, je me permets de reluquer toutes ces dames, dans leur plus simple appareil. Elles se mettent à nu, luisantes de transpiration et se rendent à la douche.

D’ailleurs, après ma dernière leçon, je me dénude sans aucun complexe, traversant les vestiaires pour rejoindre la douche collective. J’ai bien une douche qui m’est réservée dans mon bureau, mais je préfère me joindre à ces dames et continuer ma séance d’observation.

L’eau ruisselle sur leur peau, les corps sont en action, les seins s’agitent sous les mouvements, les mains recouvrent le corps de savon, certaines très bonnes copines se savonnent mutuellement, n’oubliant aucun recoin du corps de l’autre. Elles ne sont nullement gênées par le regard des autres. J’aimerais tant participer à leurs petits jeux, mais je me dois de tenir ma place, mais dans l’intimité d’une maison, j’adorerais me joindre à elles. Quel dommage que je ne puisse en faire de même pour le vestiaire de ces messieurs, qui regrettent aussi sans doute de ne pouvoir bénéficier d’une douche mixte. Je pense que leur membre viril les trahirait de suite.

Mesdames, je me délecte de vous voir. Je m’imagine les toucher, les caresser, les bécoter. Je suis une femme et pourtant, je rêve de ces chairs nues tantôt laiteuses ou mates, d’autres plus ou moins distendues suivant les âges, et ces petits bourrelets qui donnent à la femme une grâce et une texture unique en son genre. Et toutes ces belles paires de seins, ballottant au rythme de leur déplacement, je m’imagine laissant mes doigts effleurer leurs galbes, pinçant leurs tétons, les prenant même en bouche, pour en goûter leur saveur, les sentant sous ma langue se durcir de plaisir.

Et leur croupe, bien rebondie et blanche, fonçant légèrement entre le sentier les séparant, menant à leur rondelle amère que ma langue essaye de violer.

J’ai gardé le meilleur pour la fin, ce qui donne à la femme tout son pouvoir sur le sexe opposé, ce réservoir de pulsions qu’aucun homme sensé ne peut ignorer, le triangle du désir qui, suivant les madones, a l’intimité complètement démunie de poils, pour d’autres juste une petite bande rasée très court. Mais celles que je préfère, ce sont celles qui sont réellement féminines, avec une toison bien touffue.

Représentez-vous la scène, à genoux devant l’une d’elles, je peux y humer les effluves que dégage le tunnel au trésor, alors je laisserais mes doigts cajoler ses beaux poils crépus qui lui provoqueraient une série de frissons qui m’encouragerait à continuer mon exploration. Donc, je continuerais en écartant délicatement ses lèvres secrètes, pour laisser apparaître son petit bourgeon saillant sous la pression de mes caresses, qui commencerait à s’imprégner de son miel. Oserais-je alors aller la butiner ? Bien sûr que oui, sinon je ne serais pas une amoureuse de la beauté charnelle. Tout comme si j’étais intimidée, je dirigerais ma langue vers sa douceur, récoltant sur mes papilles ses sécrétions sucrées, lapant jusqu’à la dernière goutte de son offrande. Je dégusterais et aspirerais ses petites lèvres si bien cachées, la faisant gémir de plaisir, cherchant à lui provoquer un bel orgasme qui la ferait tressaillir à tel point qu’elle ne pourrait même plus supporter la moindre caresse sur son corps.

Et moi, la bouche couverte de sa jouissance, je me délecterais du goût qu’elle m’aurait laissé dans la bouche.

Malheureusement, mes vingt minutes de pause sont déjà écoulées, je dois mettre fin à ma rêverie, qui reprendra vers d’autres idées érotiques dans une heure, à la prochaine trêve.

Les avis des lecteurs

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Lucie tu as une jolie plume. Continue de nous faire rêver. Je peux me joindre à ton
groupe

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Moi, je veux bien venir à tes cours...
Quelle délicatesse ce texte, un vrai régal...

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SUPERBEMENT ECRIT. CONTI NUE A NOUS EMERVEILLER .
QUELLE BELLE HISTOIRE
MERCI LA BELLE

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POUQUOI REVEZ RéALISER C'EST MIEUX



Texte coquin : PLAISIRS CHARNELS
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