Plaisirs des dames à Rotterdam (1ère partie)

- Par l'auteur HDS Couple-subtil -
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Récit libertin : Plaisirs des dames à Rotterdam (1ère partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Plaisirs des dames à Rotterdam (1ère partie)
« Devinez qui est ma femme. » Sous les yeux stupéfaits du contrôleur de la SNCF Jean-Michel entreprend d’embrasser les cinq femmes qui voyagent avec lui. Un baiser à la grande Tania. Un autre à Liliane, très mince et brune. Un troisième à Sybille, sa femme. Un quatrième à Isabelle, la pharmacienne, et enfin Chrystèle, que vous connaissez si vous avez déjà lu nos histoires, avec laquelle il s’attarde sous les regards complices des quatre maris. Nous sommes en avril et les cinq couples reviennent en Thalys de Rotterdam où ils sont allés faire un peu de tourisme libertin en visitant le plus grand club d’Europe. Et au retour ils excitent ce petit contrôleur qui bafouille un « la dernière ?

- Eh non », lui répond Jean-Michel, grand organisateur de soirées et d’agapes libertine. 1 m 65 de concupiscence et de stupre qu’accompagne son épouse Sybille, 1 m 55 de concupiscence et de stupre à laquelle il consacre une énergie toujours renouvelée à trouver des amants. Dont Léopold, qui en a bien profité pendant le week-end, pendant que Chrystèle appréciait le savoir-faire de Jean-Michel.

Mais revenons en arrière. Un jour seulement. Samedi soir quand ils font leur entrée dans le fameux club. Passée l’étape de l’adhésion obligatoire à une caissière qui vend du Viagra, les cinq couples pénètrent dans les 3000 m2 du club. On se croirait dans un disneyland libertin, les décors s’enchainent, far west, moyen-âge, de nombreux bars. Comme les autres femmes Chrystèle est au sommet de son art de la séduction : une robe rouge profondément échancrée dévoile son 95 C, sur les côtés ses immenses jambes sont dévoilées pratiquement jusqu’à son sexe. Pour une fois elle a mis une culotte remarque son compagnon, Léopold, 1 m 80 charmant mais pas excessivement viril qui sait qu’elle est venue chercher là des amants plus males que lui. Et l’accepte car il est venu chercher des femmes qu’il sait si bien faire jouir.

Mais en l’occurrence un détail le chagrine : il ne l’a pas dit à Chrystèle mais il connaît – très bien – l’une des femmes. Tania. La grande Tania. Un mètre 80 de sexe et de seins qu’accompagne son mari. Un mètre 80 et sûrement plus de 100 kilos de muscles (et de poils, il semble velu comme un singe). Et Tania il l’a connue avant Chrystèle. Plutôt pour son malheur. Pendant toute une soirée elle l’a dominé. Il avait alors tout juste 20 ans et elle dix de plus. Crânement il l’avait draguée lors d’une soirée qu’organisait un de ses oncles. Amusée elle lui avait donné son adresse et demandé de la rejoindre le lendemain. Excité comme jamais il l’avait attendu une heure en bas de l’immeuble. Enfin elle était arrivée. Un peu moins grande sans ses talons mais les seins toujours aussi arrogants : « Tu m’as attendue c’est bien. Entre. » Elle l’avait fait entrer dans un appartement moderne situé en face des métros qui passaient sur la ligne 6. Et il avait vécu là sa première soirée de soumis. « Déshabille toi. Oui c’est bien. Tu es obéissant. Tu bandes c’est bien. Mets toi à quatre pattes. » Elle l’avait pénétré, branlé, lui avait attaché les couilles pour qu’il la « baise longtemps ». Il avait obéi, fasciné par ses fesses, ses seins. « Baiser une femme comme moi pour un asticot comme toi, avec ce sexe tout juste moyen ça se mérite ! » Elle l’avait menotté puis lui avait uriné dessus dans la baignoire. La suite avait été moins drôle car elle avait perdu la clé des menottes. Enfin c’est ce qu’elle lui avait dit en le faisant dormir dans un réduit : « Demain on t’amènera chez un serrurier.
- Faites moi jouir au moins. » Parce qu’attaché il n’avait pas pu jouir et qu’il bandait comme jamais en dépit des menottes qui lui cisaillaient les mains. « Non ce ne serait pas raisonnable. Je vais plutôt te calmer. » Pour le calmer elle l’avait fouetté. Puis enfin libéré le matin. La grande claque qu’elle lui avait mise avait mis fin à leur nuit d’amour. Et dans le train elle l’avait de nouveau regardé avec cet air possessif qu’elle avait eu dix ans avant. De cet air qui semblait dire « toi tu ne m’échapperas pas ».

Mais pour l’instant c’était avec Jean-Michel et sa femme que Chrystèle et Léopold copulaient sous l’œil blasé des couples néerlandais et belges – pas d’hommes seuls le samedi – déjà pour la plupart en culottes ou caleçons. Car on approchait minuit, heure à laquelle il fallait impérativement être dans le plus simple appareil. Jean-Michel dut donc écourter sa séance avec Chrystèle au grand soulagement de Léopold qui sentait qu’il allait bientôt jouir dans la petite Sybille, sans doute la plus petite femme qu’il ait jamais possédée mais dont le sexe semblait l’absorber.
Destination donc les casiers à vêtements pour y déposer le peu qui restait sur eux. « C’est pratique, on ne perd rien », défend Jean-Michel qui se souvient de la fois où, distrait, il était parti avec deux chaussures différentes d’une soirée. Erreur que n’avait pas compris sa première ex-femme.
Maintenant pratiquement nus, Chrystèle et Léopold rencontrent un couple de Néerlandais estomaqués devant la poitrine de Chrystèle. La femme du couple s’approche. Très blonde, très grande, très mince, elle indique un escalier et leur propose de monter en anglais. Ils les suivent elle et son mari, très grand, voire immense, totalement nu avec un long sexe qui pend entre ses jambes et annonce de belles choses.
En haut ils sont dans une sorte de grande psychédélique. La grande femme indique à Chrystèle de se coucher sur une sorte de banc en cuir noir. Elle prend un magic wand vibrant et, écartant les cuisses de Chrystèle après lui avoir embrassé la bouche et les seins, s’applique à la faire jouir. Pendant ce temps son mari approche son sexe de la tête de Chrystèle et l’y promène. Derrière la grande Néerlandaise, Léopold lui a empaumé les seins, un peu petit, et lui caresse le sexe qu’elle a trempé.
Chrystèle gémit. La Néerlandaise l’a maintenant positionné sur les seins et continue à la stimuler tout en lui faisant sucer son mari. Qui prend une belle dimension. Elle lui demande de venir. Maintenant il baise Chrystèle qui apprécie d’être enfin pénétrée par le long sexe qu’elle tant contribué à rendre dur comme elle l’aime. Léopold et la Néerlandaise ont également entrepris de baiser et il pratique un missionnaire tout à fait classique en l’embrassant longuement.
A suivre…

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