Plaisirs des dames à Rotterdam (2ème partie)
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Plaisirs des dames à Rotterdam (2ème partie)
Il est maintenant près de deux heures du matin. Léopold et Chrystèle n’en ont pas fini avec les joies de l’immense club libertin de Rotterdam qui les accueille. Alors que le couple néerlandais avec lesquels ils viennent de vivre un beau moment vient de les quitter sans oublier de la féliciter pour la beauté de ses seins (« Great tits. We’d be glad to see you again ») ils prennent le temps de se relaxer à un des nombreux bars où on boit plus de la bière que du champagne.
« Alors, que dis-tu de notre escapade au pays des tulipes ? », l’interroge Léopold, en caleçon devant elle en slip, tenue obligatoire ici. « Ce qui est bizarre c’est que je me sens toute petite. Normalement avec mon mètre 75 je suis dans les plus grandes. Ici il y a plein de filles qui font un bon mètre 80.
- Ne m’en parle pas. 1 m 80 ici tu es un nain », rigole-t-il tout en admirant son 95C toujours aussi ferme alors qu’elle approche les 30 ans. Un petit plus âgé il est toujours très mince, pas bien baraqué et plait autant aux femmes qu’aux hommes. Mais là c’est une femme qui lui en impose. Hier ils sont venus à plusieurs couples à Rotterdam dans une espèce de voyage organisé par un couple de leurs amis. Et parmi les couples, Léopold a eu la surprise de reconnaître Tania, une belle femme de 1 m 80 à laquelle il s’est soumis il y a un peu plus de dix ans. Et là elle est avec son mari, un mètre 80 aussi et sûrement plus de 100 kilos de muscles (et de poils, il est velu comme un singe).
« Bonsoir les amoureux, vous vous amusez bien ? » Tania s’approche d’eux. Tous seins dehors. Un peu tombants mais spectaculairement gros. Léopold n’a rien dit à Chrystèle de leurs relations passées. « Oui, pas mal ; ces Néerlandais sont très entreprenants et ne se prennent pas la tête », lui répond Chrystèle. Le très velu mari de Tania la regarde avec le regard d’un chasseur devant une belle proie qu’il sait déjà sa merci. Et vu le regard que lui jette Chrystèle, il n’a sans doute pas tort.
« Je me suis tout de suite dit que j’avais envie qu’il me prenne. Je n’ai pas l’habitude des mecs velus comme lui. Ca m’a tout de suite excité. Surtout que je ne pouvais m’empêcher de regarder son slip bien rempli. »
Quant à Léopold il ne rêve déjà que de se retrouver dans les mains de Tania.
« La soirée qu’elle m’avait fait passer. La sensation d’être complétement à sa merci. Cela restait un souvenir à la fois terrible mais très excitant. Je ne peux pas dire combien de fois je me suis masturbé en y pensant. »
Une demi-heure plus tard ils sont de retour dans leur hôtel du centre de Rotterdam. Mais chacun dans la chambre de l’autre couple. Dans le taxi qui les ramenait les choses se sont faites tout naturellement. Assis devant Léopold n’a pu que constater que le mari de Tania, Borislav, il est d’origine bulgare, avait tout de suite entrepris de l’embrasser. Et Tania, assise derrière Léopold, lui avait dit dans l’oreille : « Ils vont bien s’amuser, tu verras nous aussi ».
Ils se sont dirigés tout naturellement vers la chambre de Tania pendant que Borislav, déjà très entreprenant dans l’ascenseur, où il avait introduit ses gros doigts dans le vagin de Chrystèle, l’emmenait dans la leur. Nous y reviendrons. Pour l’instant nous sommes avec Léopold et Chrystèle. Il est nu devant elle. Debout. Elle est assise dans un grand canapé. Derrière eux la vue sur le port de Rotterdam est superbe. « Enlève tes mains que je vois ta petite bite. C’est bien tu bandes. C’est toujours ce que doit faire un petit garçon comme toi devant sa maîtresse. Dis-moi, après notre nuit d’amour je ne t’ai plus revu. Pas un appel rien. Pourquoi ?
- Vous aviez été très dure avec moi. Vous vous en souvenez ?
- Dure mais c’est comme ça qu’on dresse les fiottes comme toi. Comment peux-tu être avec une si belle femme ?
- Je dois le mériter.
- Elle elle mérite surtout de bien se faire baiser par Borislav. Quand il en aura fini avec elle tu crois vraiment qu’elle aura encore envie de baiser avec une fiotte comme toi. Dis moi – elle a pris une cravache dans une valise, elle tapote sur ses bottes – tu voudrais qu’il te baise aussi ? »Léopold n’ose rien répondre. « Tu restes muet. Je crois bien que si. On verra tout à l’heure s’il bande encore. Pour l’instant viens lécher mes bottes. » Les grandes bottes de cuir noir, surtout aux talons plats comme celles que porte Tania, ont toujours fasciné Léopold. « Pas debout, approche à quatre pattes. Bien, tu es un bon chien. » Il approche lui lèche consciencieusement ses bottes de cuir noir. Le dessus. Le dessous quand elle lui présente tout en flattant ses fesses de sa cravache. Elle se lève, frappe ses testicules, pas trop fort. Sort un sein de son soutien-gorge : « Viens me lécher. Oui c’est très bien. Dommage que je n’ai pas pensé à apporter des menottes. Bon maintenant lèche moi la chatte. » Elle s’est rassise sur le canapé. A écarté les cuisses. Son sexe a un goût de vanille pense Léopold tout en s’appliquant pour la faire jouir. Elle lui tient les cheveux. Il va la lécher très longuement.
Pendant ce temps Borislav a suivi Chrystèle dans sa chambre. Plus petite que la leur elle a une moins belle vue. Mais ils ne sont pas là pour la vue. Comme Tania il est très dominant et a tout de suite demandé à Chrystèle de venir le sucer, sortant un énorme sexe qui serait perdu dans une forêt de poils noirs s’il n’était pas si imposant. Il se déshabille entièrement et sa pilosité semble encore plus impressionnante que tout à l’heure dans le club à Chrystèle qui entreprend de le prendre en bouche, habillée à genoux devant lui.
Mais vite il la fait relever. « Tu suces bien princesse mais tu vois j’au surtout envie de t’embrasser. » Il lui met sa langue dans la bouche mais est déçu de voir qu’elle ne répond guère à son baiser. « Tu suces bien mais tu embrasse mal princesse. On va voir si tu mouilles bien. » Là aussi il est un peu déçu. Chrystèle est finalement assez peu excitée par sa façon même de le traiter. « Bon pas grave, je suis crevé. Resuce moi. » Elle s’exécute. Elle se touche en même temps. L’excitation vient peu à peu. « Hum c’est bon. Décidément tu es une suceuse de compétition. Voyons si tu mouilles mieux. Je ne baise que les femelles excitées. » Cette fois-ci Chrystèle est vraiment excitée. Il l’a fait mettre en levrette. Il approche son sexe du sien. Pousse un grand coup. La plénitude de la pénétration l’a fait tout de suite jouir. Mais il ne tient pas longtemps. Il enlève son préservatif et jouit sur ses seins. D’énormes jets de sperme comme elle n’en a jamais vus.
Pendant ce temps Léopold n’a pas baisé Tania. Ni été baisé par Borislav qui s’est contenté de lui demander de « rentrer dans sa chambre » en regagnant la sienne. Là il a trouvé Chrystèle pas très heureuse de la soirée : « Tu vois beaucoup de mecs m’ont baisée. Certains très dominants. Mais avec ce mec je me sentais un peu comme du bétail. Et toi avec ta grosse salope. C’était bien.
- Moyen. Je ne suis pas son style. »
« Alors, que dis-tu de notre escapade au pays des tulipes ? », l’interroge Léopold, en caleçon devant elle en slip, tenue obligatoire ici. « Ce qui est bizarre c’est que je me sens toute petite. Normalement avec mon mètre 75 je suis dans les plus grandes. Ici il y a plein de filles qui font un bon mètre 80.
- Ne m’en parle pas. 1 m 80 ici tu es un nain », rigole-t-il tout en admirant son 95C toujours aussi ferme alors qu’elle approche les 30 ans. Un petit plus âgé il est toujours très mince, pas bien baraqué et plait autant aux femmes qu’aux hommes. Mais là c’est une femme qui lui en impose. Hier ils sont venus à plusieurs couples à Rotterdam dans une espèce de voyage organisé par un couple de leurs amis. Et parmi les couples, Léopold a eu la surprise de reconnaître Tania, une belle femme de 1 m 80 à laquelle il s’est soumis il y a un peu plus de dix ans. Et là elle est avec son mari, un mètre 80 aussi et sûrement plus de 100 kilos de muscles (et de poils, il est velu comme un singe).
« Bonsoir les amoureux, vous vous amusez bien ? » Tania s’approche d’eux. Tous seins dehors. Un peu tombants mais spectaculairement gros. Léopold n’a rien dit à Chrystèle de leurs relations passées. « Oui, pas mal ; ces Néerlandais sont très entreprenants et ne se prennent pas la tête », lui répond Chrystèle. Le très velu mari de Tania la regarde avec le regard d’un chasseur devant une belle proie qu’il sait déjà sa merci. Et vu le regard que lui jette Chrystèle, il n’a sans doute pas tort.
« Je me suis tout de suite dit que j’avais envie qu’il me prenne. Je n’ai pas l’habitude des mecs velus comme lui. Ca m’a tout de suite excité. Surtout que je ne pouvais m’empêcher de regarder son slip bien rempli. »
Quant à Léopold il ne rêve déjà que de se retrouver dans les mains de Tania.
« La soirée qu’elle m’avait fait passer. La sensation d’être complétement à sa merci. Cela restait un souvenir à la fois terrible mais très excitant. Je ne peux pas dire combien de fois je me suis masturbé en y pensant. »
Une demi-heure plus tard ils sont de retour dans leur hôtel du centre de Rotterdam. Mais chacun dans la chambre de l’autre couple. Dans le taxi qui les ramenait les choses se sont faites tout naturellement. Assis devant Léopold n’a pu que constater que le mari de Tania, Borislav, il est d’origine bulgare, avait tout de suite entrepris de l’embrasser. Et Tania, assise derrière Léopold, lui avait dit dans l’oreille : « Ils vont bien s’amuser, tu verras nous aussi ».
Ils se sont dirigés tout naturellement vers la chambre de Tania pendant que Borislav, déjà très entreprenant dans l’ascenseur, où il avait introduit ses gros doigts dans le vagin de Chrystèle, l’emmenait dans la leur. Nous y reviendrons. Pour l’instant nous sommes avec Léopold et Chrystèle. Il est nu devant elle. Debout. Elle est assise dans un grand canapé. Derrière eux la vue sur le port de Rotterdam est superbe. « Enlève tes mains que je vois ta petite bite. C’est bien tu bandes. C’est toujours ce que doit faire un petit garçon comme toi devant sa maîtresse. Dis-moi, après notre nuit d’amour je ne t’ai plus revu. Pas un appel rien. Pourquoi ?
- Vous aviez été très dure avec moi. Vous vous en souvenez ?
- Dure mais c’est comme ça qu’on dresse les fiottes comme toi. Comment peux-tu être avec une si belle femme ?
- Je dois le mériter.
- Elle elle mérite surtout de bien se faire baiser par Borislav. Quand il en aura fini avec elle tu crois vraiment qu’elle aura encore envie de baiser avec une fiotte comme toi. Dis moi – elle a pris une cravache dans une valise, elle tapote sur ses bottes – tu voudrais qu’il te baise aussi ? »Léopold n’ose rien répondre. « Tu restes muet. Je crois bien que si. On verra tout à l’heure s’il bande encore. Pour l’instant viens lécher mes bottes. » Les grandes bottes de cuir noir, surtout aux talons plats comme celles que porte Tania, ont toujours fasciné Léopold. « Pas debout, approche à quatre pattes. Bien, tu es un bon chien. » Il approche lui lèche consciencieusement ses bottes de cuir noir. Le dessus. Le dessous quand elle lui présente tout en flattant ses fesses de sa cravache. Elle se lève, frappe ses testicules, pas trop fort. Sort un sein de son soutien-gorge : « Viens me lécher. Oui c’est très bien. Dommage que je n’ai pas pensé à apporter des menottes. Bon maintenant lèche moi la chatte. » Elle s’est rassise sur le canapé. A écarté les cuisses. Son sexe a un goût de vanille pense Léopold tout en s’appliquant pour la faire jouir. Elle lui tient les cheveux. Il va la lécher très longuement.
Pendant ce temps Borislav a suivi Chrystèle dans sa chambre. Plus petite que la leur elle a une moins belle vue. Mais ils ne sont pas là pour la vue. Comme Tania il est très dominant et a tout de suite demandé à Chrystèle de venir le sucer, sortant un énorme sexe qui serait perdu dans une forêt de poils noirs s’il n’était pas si imposant. Il se déshabille entièrement et sa pilosité semble encore plus impressionnante que tout à l’heure dans le club à Chrystèle qui entreprend de le prendre en bouche, habillée à genoux devant lui.
Mais vite il la fait relever. « Tu suces bien princesse mais tu vois j’au surtout envie de t’embrasser. » Il lui met sa langue dans la bouche mais est déçu de voir qu’elle ne répond guère à son baiser. « Tu suces bien mais tu embrasse mal princesse. On va voir si tu mouilles bien. » Là aussi il est un peu déçu. Chrystèle est finalement assez peu excitée par sa façon même de le traiter. « Bon pas grave, je suis crevé. Resuce moi. » Elle s’exécute. Elle se touche en même temps. L’excitation vient peu à peu. « Hum c’est bon. Décidément tu es une suceuse de compétition. Voyons si tu mouilles mieux. Je ne baise que les femelles excitées. » Cette fois-ci Chrystèle est vraiment excitée. Il l’a fait mettre en levrette. Il approche son sexe du sien. Pousse un grand coup. La plénitude de la pénétration l’a fait tout de suite jouir. Mais il ne tient pas longtemps. Il enlève son préservatif et jouit sur ses seins. D’énormes jets de sperme comme elle n’en a jamais vus.
Pendant ce temps Léopold n’a pas baisé Tania. Ni été baisé par Borislav qui s’est contenté de lui demander de « rentrer dans sa chambre » en regagnant la sienne. Là il a trouvé Chrystèle pas très heureuse de la soirée : « Tu vois beaucoup de mecs m’ont baisée. Certains très dominants. Mais avec ce mec je me sentais un peu comme du bétail. Et toi avec ta grosse salope. C’était bien.
- Moyen. Je ne suis pas son style. »
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