PLAISIRS INTENSES
Récit érotique écrit par Sandratvtg [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur transexuel.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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PLAISIRS INTENSES
<p> Aimant vivre certains de mes fantasmes, je me rends chez Sylvia qui, les met en scène avec talent dans des jeux de rôles excitants.
C’est une sulfureuse brune qui m’ouvre la porte. Son abondante chevelure jais tombe en cascade sur ses épaules. Des yeux bruns en amande et des lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel.
Son déshabillé s’ouvre sur un corset rose à dentelles noires contenant difficilement ses seins magnifiques. Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas à couture tendus par quatre paires de jarretelles excitantes. Perchée sur ses cuissardes noires à talons hauts, elle me fait rentrer dans son univers.
Après avoir échangé quelques mots, elle me dit :
- Décris-moi ton fantasme actuel pour que je m’en inspire lors de nos ébats.
Je lui confie alors que :
- J’aimerai pouvoir rentrer dans la peau d’une fille en portant d’excitants dessous. Avoir une somptueuse poitrine, une croupe à damner un saint, un vagin et un clito pour pouvoir jouir de multiples façons.
Je poursuis en lui disant :
- J’imagine alors la scène suivante : Qu’une belle transsexuelle douée pour le plaisir anal me sodomise avec sa queue surdimensionnée pendant qu’une dominatrice me plonge son gode ceinture dans le vagin et qu’un travesti expert en fellation me suce divinement la queue.
- Beau programme, tu me donnes des idées. Eh bien, puisque tu es déjà entièrement épilée ma chérie, je te propose de devenir pour quelques heures cette femme fatale avec tous ses artifices.
Suis moi dans ma chambre pour que je te maquille et te fasse porter ma plus belle lingerie, me dit Sylvia en me prenant par la taille.
Au bout d’une demi heure, elle a achevé ma transformation et me met devant la glace pour que je puisse découvrir ma métamorphose.
Je porte une perruque blonde bouclée qui adoucit mon visage. Mes yeux maquillés portent des faux cils, mes lèvres sont peintes d’un rouge intense et un fond de teint renforce ma féminité.
Je porte une guêpière rouge et noire d’où jaillissent deux magnifiques seins siliconés. Le tout est recouvert d’une combinaison de même couleur qui s’arrête à mi cuisses. Un slip ouvert entoure ma queue d’un écrin de dentelle et de soie qui laisse ma croupe accessible à tout instant. De nombreuses jarretelles tendent mes bas noirs et mes cuisses sont cerclées de deux jarretières affriolantes.
J’admire ma taille élancée dans cette ravissante guêpière qui comprime ma poitrine 105c et j’ajuste mes jarretelles en caressant le voile de nylon tendu sur mes jambes. Je contemple leur galbe parfait mis en valeur par mes escarpins et je fais quelques pas pour sentir la tension de mes bas en les frottant l’un contre l’autre pour les entendre crisser.
Sylvia me ramène à la réalité en me faisant asseoir sur son lit. Elle me renverse sur le dos et sa main glisse sournoisement sous ma combinaison. Je la sens remonter lentement le long de mes cuisses et se refermer voluptueusement sur mes bourses qu’elle masse avec douceur. Puis, son doigt ouvre la fente de mon slip et s’enfonce dans mes fesses en me déclenchant très vite une érection spectaculaire.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton œillet est déjà bien ouvert. Cela me montre que tu n’es pas une débutante et que tu aimes te faire prendre. Attends moi un instant, je reviens.
Je la vois réapparaître avec un gode ceinture impressionnant qu’elle ajuste autour de sa taille en le laissant se balancer lourdement entre ses cuisses. Il a le gland très épais de ceux qui me donnent toujours davantage de plaisir et une hampe striée de grosses veines apparentes.
- J’ai choisi un calibre adapté à ton cas, il mesure six centimètres de diamètre et atteint presque les trente centimètres de long, me dit-t-elle avec un sourire pervers.
Elle le prend en main et le lubrifie longuement en me décochant un regard brûlant. Puis, déterminée et sûre d’elle, je l’entends me dire :
- Lève toi, je veux te prendre debout et de face mon ange.
Elle me plaque contre le mur de sa chambre devant la glace et pousse son genou dans mon entrejambe pour m’obliger à écarter les cuisses. C’est avec fougue qu’elle force mon passage en me regardant droit dans les yeux lorsqu’elle me plante son dard dans le ventre.
La bouche ouverte, la poitrine palpitante, je me laisse prendre sans résister. Sylvia me pénètre lentement par petites poussées successives en associant d’amples mouvements du bassin qui me font défaillir de plaisir. Voulant s’enfoncer plus profondément en moi, elle me soulève la jambe et la plaque contre sa taille en me demandant de pousser pour lui faciliter la tâche. Je ne tiens plus en équilibre que sur un talon aiguille et je dois mettre mes bras autour de son cou pour me stabiliser.
L’image que me renvoie le miroir est très excitante.
Je suis debout, une jambe relevée sur la hanche de Sylvia. Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse laisse apparaître mes jarretières qui maintiennent la couture de mes bas bien alignée.
Dominatrice, Sylvia se fait plus pressante et m’empale avec ardeur. Je la vois à travers la glace me donner de puissants coups de reins qui font tressauter mon corps en cadence. Je m’affaisse peu à peu sous ses coups de boutoir.
J’ai le sentiment d’être devenue une fille qui se donne à laquelle on ne peut résister et que l’on baise contre un mur à la hussarde pour satisfaire ses pulsions. Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Sylvia par la pensée de m’avoir fait vivre ce fantasme.
Malgré tous ses efforts étant d’une taille inférieure à la mienne, elle ne parvient pas à me planter le gode à fond dans les reins.
- Je vais te finir sur le lit ma belle, me dit-t-elle avec un sourire carnassier.
Elle m’allonge sur le dos en plaçant deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qu’elle a entre les cuisses.
- Lève les jambes et prend tes chevilles en main pour rester bien ouverte, me dit-t-elle d’une voix rauque.
Debout face à moi, elle voit ma rosette s’ouvrir comme une fleur quand j’écarte les cuisses. Je m’offre ainsi totalement et sans défense à cette Maîtresse sensuelle. Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut plus attendre. Ses yeux rivés aux miens, elle contemple l’expression de mon visage lorsqu’elle m’enfile le gode avec une lenteur calculée.
Je sens une douleur fugace quand mes sphincters cèdent sous la pression de ce pal démesuré.
Sylvia poursuit sa course jusqu’à ce qu’il soit presque rentré entièrement dans ma grotte. Puis, elle me décalotte le gland et me masturbe d’une main habile en fixant avec fascination ce sexe qui rentre et sort de mon corps avec des bruits de succion. Continuant à me violer de plus belle, elle m’écarte les fesses avec ses pouces pour pouvoir s’enfoncer de quelques centimètres supplémentaires avant de se laisse tomber brutalement sur moi. Son dard me transperce alors jusqu’à la garde.
- Ce n’est pas tous les jours que tu prends un sexe de sept cent grammes dans le ventre, me chuchote-t-elle à l’oreille.
En réponse, je croise mes jambes dans son dos et en rythme, je presse ses fesses avec mes escarpins pour l’aider à s’enfoncer profondément.
Satisfaite, elle coulisse un long moment en moi en comprimant régulièrement la racine de mon sexe pour m’empêcher d’éjaculer trop vite. Mais, je finis par succomber à ses assauts. Quand Sylvia voit mes cuisses trembler lui montrant les efforts que je fais pour retenir mon sperme et qu’elle entend mes gémissements se rapprocher de plus en plus, elle me dit :
- C’est le moment de jouir ma belle laisse toi aller.
Savourant l’instant, j’essaye de résister le plus possible en contractant mes fesses pour retenir la sève qui monte dans mes reins.
- Tu ne vas pas tenir bien longtemps, m’assure-t-elle en riant.
En effet, Sylvia en vraie salope me fait exploser en grattant mon frein sur toute sa longueur avec son ongle. L’effet est indescriptible et je laisse échapper un râle de plaisir.
Quand elle voit mon corps s’agiter de spasmes, elle plaque son bassin contre moi pour m’achever. Mon sperme trop longtemps contenu gicle avec une puissance inhabituelle et fuse dans sa main avant de retomber en longues traînées blanchâtres sur mes bas noirs.
Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi clos et en extase pendant qu’elle pompe mes dernières gouttes de sève.
Elle sort de ma grotte, heureuse de m’avoir fait jouir avec une telle intensité.
Puis, elle s’allonge sur moi en me recouvrant de son corps pour m’embrasser à pleine bouche pendant que je presse dans mes mains ses seins volumineux et lourds. Elle me prodigue longuement ses caresses qui font monter peu à peu mon désir. Au bout d’une demi heure, ma queue est à nouveau gorgée de sang.
- Je vais te faire découvrir une de mes spécialités, me dit-t-elle en arborant un sourire coquin.
Elle se lève et sort d’un tiroir une seringue remplie de lubrifiant. Elle enfonce la canule dans ma grotte et pousse lentement le piston pour que le gel tapisse bien ma muqueuse.
- Te voilà prête ma chérie.
Elle me fait asseoir sur le matelas en m’appuyant le dos contre la tête de lit.
Ecartant la fente de mon slip, elle plonge trois doigts dans mon fourreau et tourne son poignet de droite à gauche pour faire rentrer les autres.
Elle localise très vite mon point G qu’elle presse avec la pulpe de ses doigts en m’arrachant des soupirs de bonheur. Un moment plus tard, Sylvia me soulève avec sa main qui m’empale et bloque son coude contre le matelas pour que je finisse de m’embrocher moi-même par le poids de mon corps.
Avec excitation, elle me voit glisser peu à peu sur son poignet qui disparaît dans mon ventre.
Puis, elle me suce longuement la queue en me gobant les bourses en alternance. Quand elle la voit frémir de désir sous ses doigts, elle mordille mon gland et lèche mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge. Elle s’étrangle un instant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres avant de l’avaler rapidement.
Lorsqu’elle se retire de mes fesses, une coulée de gel glisse à l’intérieur de mes cuisses et s’infiltre dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma belle, me dit-t-elle en m’épongeant l’œillet. Je te propose maintenant de faire une pause au cours de laquelle tu pourras changer ta lingerie un peu défraîchie.
Ayant remarqué mon goût immodéré pour les dessous féminin, elle me laisse choisir dans son armoire ma nouvelle tenue d’alcôve.
Après une longue période d’hésitation, j’opte pour une charmante nuisette à balconnets en satin sur l’avant et en voile à l’arrière, rehaussée de fines bretelles roses. Devant le miroir, je plaque avec émotion sur mon ventre un porte jarretelles / serre taille de couleur rose qui à l’apparence d’un corset et qui me couvre le ventre. J’accroche mes bas à résille aux jarretelles et j’enfile comme une seconde peau de longs gants en soie qui accentue mon côté glamour.
Une robe bustier en voile transparent ouverte sur le devant met en valeur ma lingerie.
Enfin, je change ma perruque bouclée blonde pour une autre coupée au carré de couleur cuivre pendant que Sylvia me glisse les pieds dans des mules à talons aiguilles.
Elle me laisse m’admirer devant la glace tout en plaçant mes seins dans les balconnets de ma nuisette. Je me trouve à la fois plus sexy mais également beaucoup plus salope que dans la tenue précédente.
Sylvia se colle contre moi et m’embrasse à pleine bouche en me pressant insidieusement les bourses. Entre deux baisers, excitée par la taille de mon sexe, elle me murmure à l’oreille :
- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue qui ne demande qu’à s’exprimer.
La séance d’essayage m’ayant fortement excitée, j’ai la verge tendue contre mon ventre jusqu’à la hauteur de mon nombril. Elle pointe avec insolence à travers mon déshabillé transparent pour son plus grand plaisir.
- Je vais devoir te vider les couilles sinon tu ne résisteras pas une minute au traitement que je te réserve, me dit-t-elle en utilisant volontairement un langage vulgaire pour augmenter ma libido.
Elle me culbute sur le lit et relève ma nuisette et mon déshabillé sur mes seins. Son majeur se glisse dans ma rosette et masse ma prostate avec insistance pendant que son autre main sort un vibro de dessous l’oreiller. Avec précision, elle le pose sur mon frein en le déplaçant lentement sur sa longueur jusqu’à ce que les vibrations fassent couler un liquide clair à la surface de mon gland.
- Tu vois ma chérie, tu as aussi un clito qui te donne du plaisir, me dit-t-elle avec malice.
A ces mots, je me rends compte qu’elle suit à merveille mon scénario du départ. Je porte une lingerie très érotique en ayant des seins somptueux, une croupe attirante, une queue superbe et un clito ultra sensible.
De plus, Sylvia interprète avec brio la maîtresse dominatrice qui empale son mâle en lui donnant une exceptionnelle jouissance et remplace avantageusement le travesti en me suçant la queue à la perfection.
- Le plaisir anal est ma spécialité, je vais te faire jouir du cul mon ange, me dit-t-elle d’une voix assurée.
Elle continue à m’exciter le clito en soulevant le vibro de mon frein dés qu’une goutte de sève perle à la surface de ma queue et le repose quelques secondes plus tard jusqu’à l’apparition de la suivante. En même temps, elle masse avec habilité ma glande intime d’un doigt inquisiteur. Mon plaisir est tel, que Sylvia sent mon anneau se contracter de plus en plus souvent sur son majeur. Puis, mon sperme se met à couler lentement de mon méat en dessinant des arabesques blanchâtres sur mon serre taille.
Cette éjaculation longue et continue, spécifique de l’orgasme anal, me provoque un bonheur intense et durable.
Je reste tétanisée par cette superbe créature qui sait si bien me faire vibrer.
- Enlève ton déshabillé pendant que je te bande les yeux, m’intime-t-elle sans me laisser de repos.
- Suis moi, j’ai une surprise pour toi, rajoute-t-elle en passant sa main sous ma nuisette pour me flatter la croupe.
Totalement aveugle, je me laisse guider vers la pièce voisine où elle m’aide à monter deux marches en m’allongeant sur une surface peu confortable. Quand elle me fait écarter les cuisses pour placer mes talons aiguilles dans des étriers, je devine que je suis allongée sur une table médicale. Puis, elle retire mon bandeau et ce que je vois me laisse sidérée.
Un moteur est placé entre mes jambes, mais j’aperçois surtout une longue tige métallique tournée vers moi sur laquelle est embroché un gode épais et long.
- C’est une fucking machine dernier cri que je vais avoir le plaisir d’inaugurer avec toi, jubile Sylvia.
- Tous les hommes qui viennent me voir me supplient pour que je les prenne au gode ceinture. Ils adorent être sodomisés. C’est pour leur offrir des sensations plus fortes que je l’ai achetée. De plus, cela me laisse tout loisir de leur donner d’autres caresses ou de les baiser pendant qu’ils se font empalés par la machine.
Cette petite merveille a plusieurs programmes que je peux modifier à tous moments, notamment la course du gode, sa vitesse et ses vibrations, me dit-t-elle avec enthousiasme.
- Je vais commencer dans un instant ma belle, me susurre-t-elle les yeux brillants d’excitation.
Auparavant, elle m’attache les chevilles et relève ma nuisette pour me passer une sangle sous les seins et une autre sous l’abdomen.
- C’est pour t’empêcher de bouger quand tu jouiras et éviter que la machine te blesse ma chérie.
S’apercevant que je ne bande toujours pas, elle rentre ma verge dans un long tube en verre prolongé par un tuyau en plastique au bout duquel est fixée une pompe.
C’est un vacum, appareil qui fait le vide d’air en gonflant rapidement la queue qui est à l’intérieur.
Sylvia s’arrête d’actionner la pompe lorsque mon sexe atteint la taille de vingt centimètres sur la graduation du verre. Elle me glisse aussitôt un anneau pénien pour que je garde cette érection.
Puis, elle règle la hauteur de la machine pour que le gland soit en contact avec ma rosette.
- Je vais commencer par le programme d’initiation et te sodomiser avec douceur me dit-t-elle pour me rassurer.
Elle appuie sur la télé commande et le gland coulisse lentement en s’enfonçant de quelques centimètres dans mes chairs. Sylvia en profite pour l’arroser copieusement de lubrifiant.
Puis, elle me masturbe à la perfection tout en explorant les multiples ressources de l’engin. La puissance du gode devient si forte qu’il me soulève les fesses à chaque va et vient et je ferme les yeux pour mieux savourer l’instant. Sylvia augmente maintenant la course de ce long cylindre noir qui m’empale de plus en plus profondément. Elle ne se lasse pas de contempler mon ventre qui s’anime sous ses vigoureuses poussées en voyant les traits de mon visage déformés par le plaisir.
S’arrachant à ce spectacle, elle monte sur moi à califourchon et d’une main assurée s’embroche sur ma verge qu’elle s’enfonce jusqu’au ras des fesses. Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.
Elle s’arrête régulièrement pour faire tournoyer sa croupe en prenant ma queue comme pivot.
Le sexe mécanique me baise toujours inlassablement et Sylvia pousse les vibrations à leur plus haut niveau.
- Je vais le régler maintenant sur la vitesse lente et te pénétrer sur toute sa longueur.
Le gode met un temps infini à m’empaler et ses trépidations me font craquer de plus en plus.
En même temps, Sylvia m’étourdit de plaisir en contractant ses sphincters qui me serrent fortement la queue.
Ayant les mains libres, je lui masse la poitrine en faisant rouler ses tétons entre mes doigts gainés de soie. D’un regard pervers, elle me tend un vibro que j’applique sur son clito. Quelques minutes plus tard, je la vois s’agiter et soulever sa poitrine en cadence. Soudain, ne pouvant plus résister aux vibrations, elle jouit longuement et pousse un cri libérateur qui soulage sa tension, relayé rapidement par ses gémissements de bonheur.
- Eh bien ma salope, tu m’as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore essoufflée
Elle reprend très vite le dessus et m’amène à son tour rapidement au bord de l’orgasme.
Quand elle sent que ma résistance commence à s’émousser elle me dit :
- Je vais te donner le coup de grâce ma belle.
Elle règle le gode pour qu’il m’embroche à fond mais en alternant cette fois-ci les vitesses lentes et rapides.
Mes sensations sont prodigieuses quand je le sens me labourer le ventre. Je me cambre autant que les sangles me le permettent dans l’attente du fabuleux orgasme que je sens monter dans mes reins. Messaline déchaînée, Sylvia me chevauche en m’écrasant les bourses tant son excitation est grande. Je suis à la limite de la syncope quand ma sève gicle avec force dans ses fesses. Le corps tendu en arc de cercle, je jouis en ayant de nombreux spasmes qui déséquilibre presque Sylvia.
Néanmoins, elle continue à me serrer la verge en mobilisant ses muscles intimes pour que je me vide complètement en elle. Un instant plus tard, elle stoppe la course du gode qui reste fiché au plus profond de mon intimité. Elle contemple longuement ce pieu qui sort de mon ventre et finit par le retirer en me laissant l’œillet palpitant et largement ouvert.
- Il va mettre du temps à se refermer, me dit-t-elle avec perversité.
Puis, elle s’essuie l’intérieur des cuisses trempées par l’orgasme qu’elle vient d’avoir.
Enfin, elle me détache pour que je remette un peu d’ordre dans ma lingerie et m’aide à me lever en me voyant encore affaiblie par cette séance qui m’a complètement sonnée et vidée.
Je la quitte peu de temps après en la remerciant pour cet après midi exceptionnel et me promet de la revoir dés que possible. Sandra.
Je vous remercie de me donner vos impressions ou vos idées sur ce texte à : sandratvtg@yahoo.fr
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C’est une sulfureuse brune qui m’ouvre la porte. Son abondante chevelure jais tombe en cascade sur ses épaules. Des yeux bruns en amande et des lèvres gourmandes donnent à son visage un air volontaire et sensuel.
Son déshabillé s’ouvre sur un corset rose à dentelles noires contenant difficilement ses seins magnifiques. Un slip brésilien allonge ses jambes gainées de bas à couture tendus par quatre paires de jarretelles excitantes. Perchée sur ses cuissardes noires à talons hauts, elle me fait rentrer dans son univers.
Après avoir échangé quelques mots, elle me dit :
- Décris-moi ton fantasme actuel pour que je m’en inspire lors de nos ébats.
Je lui confie alors que :
- J’aimerai pouvoir rentrer dans la peau d’une fille en portant d’excitants dessous. Avoir une somptueuse poitrine, une croupe à damner un saint, un vagin et un clito pour pouvoir jouir de multiples façons.
Je poursuis en lui disant :
- J’imagine alors la scène suivante : Qu’une belle transsexuelle douée pour le plaisir anal me sodomise avec sa queue surdimensionnée pendant qu’une dominatrice me plonge son gode ceinture dans le vagin et qu’un travesti expert en fellation me suce divinement la queue.
- Beau programme, tu me donnes des idées. Eh bien, puisque tu es déjà entièrement épilée ma chérie, je te propose de devenir pour quelques heures cette femme fatale avec tous ses artifices.
Suis moi dans ma chambre pour que je te maquille et te fasse porter ma plus belle lingerie, me dit Sylvia en me prenant par la taille.
Au bout d’une demi heure, elle a achevé ma transformation et me met devant la glace pour que je puisse découvrir ma métamorphose.
Je porte une perruque blonde bouclée qui adoucit mon visage. Mes yeux maquillés portent des faux cils, mes lèvres sont peintes d’un rouge intense et un fond de teint renforce ma féminité.
Je porte une guêpière rouge et noire d’où jaillissent deux magnifiques seins siliconés. Le tout est recouvert d’une combinaison de même couleur qui s’arrête à mi cuisses. Un slip ouvert entoure ma queue d’un écrin de dentelle et de soie qui laisse ma croupe accessible à tout instant. De nombreuses jarretelles tendent mes bas noirs et mes cuisses sont cerclées de deux jarretières affriolantes.
J’admire ma taille élancée dans cette ravissante guêpière qui comprime ma poitrine 105c et j’ajuste mes jarretelles en caressant le voile de nylon tendu sur mes jambes. Je contemple leur galbe parfait mis en valeur par mes escarpins et je fais quelques pas pour sentir la tension de mes bas en les frottant l’un contre l’autre pour les entendre crisser.
Sylvia me ramène à la réalité en me faisant asseoir sur son lit. Elle me renverse sur le dos et sa main glisse sournoisement sous ma combinaison. Je la sens remonter lentement le long de mes cuisses et se refermer voluptueusement sur mes bourses qu’elle masse avec douceur. Puis, son doigt ouvre la fente de mon slip et s’enfonce dans mes fesses en me déclenchant très vite une érection spectaculaire.
- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton œillet est déjà bien ouvert. Cela me montre que tu n’es pas une débutante et que tu aimes te faire prendre. Attends moi un instant, je reviens.
Je la vois réapparaître avec un gode ceinture impressionnant qu’elle ajuste autour de sa taille en le laissant se balancer lourdement entre ses cuisses. Il a le gland très épais de ceux qui me donnent toujours davantage de plaisir et une hampe striée de grosses veines apparentes.
- J’ai choisi un calibre adapté à ton cas, il mesure six centimètres de diamètre et atteint presque les trente centimètres de long, me dit-t-elle avec un sourire pervers.
Elle le prend en main et le lubrifie longuement en me décochant un regard brûlant. Puis, déterminée et sûre d’elle, je l’entends me dire :
- Lève toi, je veux te prendre debout et de face mon ange.
Elle me plaque contre le mur de sa chambre devant la glace et pousse son genou dans mon entrejambe pour m’obliger à écarter les cuisses. C’est avec fougue qu’elle force mon passage en me regardant droit dans les yeux lorsqu’elle me plante son dard dans le ventre.
La bouche ouverte, la poitrine palpitante, je me laisse prendre sans résister. Sylvia me pénètre lentement par petites poussées successives en associant d’amples mouvements du bassin qui me font défaillir de plaisir. Voulant s’enfoncer plus profondément en moi, elle me soulève la jambe et la plaque contre sa taille en me demandant de pousser pour lui faciliter la tâche. Je ne tiens plus en équilibre que sur un talon aiguille et je dois mettre mes bras autour de son cou pour me stabiliser.
L’image que me renvoie le miroir est très excitante.
Je suis debout, une jambe relevée sur la hanche de Sylvia. Ma combinaison retroussée sur le haut de ma cuisse laisse apparaître mes jarretières qui maintiennent la couture de mes bas bien alignée.
Dominatrice, Sylvia se fait plus pressante et m’empale avec ardeur. Je la vois à travers la glace me donner de puissants coups de reins qui font tressauter mon corps en cadence. Je m’affaisse peu à peu sous ses coups de boutoir.
J’ai le sentiment d’être devenue une fille qui se donne à laquelle on ne peut résister et que l’on baise contre un mur à la hussarde pour satisfaire ses pulsions. Cette vision me fait fondre de plaisir et je remercie Sylvia par la pensée de m’avoir fait vivre ce fantasme.
Malgré tous ses efforts étant d’une taille inférieure à la mienne, elle ne parvient pas à me planter le gode à fond dans les reins.
- Je vais te finir sur le lit ma belle, me dit-t-elle avec un sourire carnassier.
Elle m’allonge sur le dos en plaçant deux coussins sous mes fesses pour les mettre à la hauteur du pal qu’elle a entre les cuisses.
- Lève les jambes et prend tes chevilles en main pour rester bien ouverte, me dit-t-elle d’une voix rauque.
Debout face à moi, elle voit ma rosette s’ouvrir comme une fleur quand j’écarte les cuisses. Je m’offre ainsi totalement et sans défense à cette Maîtresse sensuelle. Galvanisée par ce spectacle, elle ne peut plus attendre. Ses yeux rivés aux miens, elle contemple l’expression de mon visage lorsqu’elle m’enfile le gode avec une lenteur calculée.
Je sens une douleur fugace quand mes sphincters cèdent sous la pression de ce pal démesuré.
Sylvia poursuit sa course jusqu’à ce qu’il soit presque rentré entièrement dans ma grotte. Puis, elle me décalotte le gland et me masturbe d’une main habile en fixant avec fascination ce sexe qui rentre et sort de mon corps avec des bruits de succion. Continuant à me violer de plus belle, elle m’écarte les fesses avec ses pouces pour pouvoir s’enfoncer de quelques centimètres supplémentaires avant de se laisse tomber brutalement sur moi. Son dard me transperce alors jusqu’à la garde.
- Ce n’est pas tous les jours que tu prends un sexe de sept cent grammes dans le ventre, me chuchote-t-elle à l’oreille.
En réponse, je croise mes jambes dans son dos et en rythme, je presse ses fesses avec mes escarpins pour l’aider à s’enfoncer profondément.
Satisfaite, elle coulisse un long moment en moi en comprimant régulièrement la racine de mon sexe pour m’empêcher d’éjaculer trop vite. Mais, je finis par succomber à ses assauts. Quand Sylvia voit mes cuisses trembler lui montrant les efforts que je fais pour retenir mon sperme et qu’elle entend mes gémissements se rapprocher de plus en plus, elle me dit :
- C’est le moment de jouir ma belle laisse toi aller.
Savourant l’instant, j’essaye de résister le plus possible en contractant mes fesses pour retenir la sève qui monte dans mes reins.
- Tu ne vas pas tenir bien longtemps, m’assure-t-elle en riant.
En effet, Sylvia en vraie salope me fait exploser en grattant mon frein sur toute sa longueur avec son ongle. L’effet est indescriptible et je laisse échapper un râle de plaisir.
Quand elle voit mon corps s’agiter de spasmes, elle plaque son bassin contre moi pour m’achever. Mon sperme trop longtemps contenu gicle avec une puissance inhabituelle et fuse dans sa main avant de retomber en longues traînées blanchâtres sur mes bas noirs.
Je reste immobile, toute étourdie de bonheur, les yeux mi clos et en extase pendant qu’elle pompe mes dernières gouttes de sève.
Elle sort de ma grotte, heureuse de m’avoir fait jouir avec une telle intensité.
Puis, elle s’allonge sur moi en me recouvrant de son corps pour m’embrasser à pleine bouche pendant que je presse dans mes mains ses seins volumineux et lourds. Elle me prodigue longuement ses caresses qui font monter peu à peu mon désir. Au bout d’une demi heure, ma queue est à nouveau gorgée de sang.
- Je vais te faire découvrir une de mes spécialités, me dit-t-elle en arborant un sourire coquin.
Elle se lève et sort d’un tiroir une seringue remplie de lubrifiant. Elle enfonce la canule dans ma grotte et pousse lentement le piston pour que le gel tapisse bien ma muqueuse.
- Te voilà prête ma chérie.
Elle me fait asseoir sur le matelas en m’appuyant le dos contre la tête de lit.
Ecartant la fente de mon slip, elle plonge trois doigts dans mon fourreau et tourne son poignet de droite à gauche pour faire rentrer les autres.
Elle localise très vite mon point G qu’elle presse avec la pulpe de ses doigts en m’arrachant des soupirs de bonheur. Un moment plus tard, Sylvia me soulève avec sa main qui m’empale et bloque son coude contre le matelas pour que je finisse de m’embrocher moi-même par le poids de mon corps.
Avec excitation, elle me voit glisser peu à peu sur son poignet qui disparaît dans mon ventre.
Puis, elle me suce longuement la queue en me gobant les bourses en alternance. Quand elle la voit frémir de désir sous ses doigts, elle mordille mon gland et lèche mon frein jusqu’à ce que j’éjacule en jets puissants dans sa gorge. Elle s’étrangle un instant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres avant de l’avaler rapidement.
Lorsqu’elle se retire de mes fesses, une coulée de gel glisse à l’intérieur de mes cuisses et s’infiltre dans ma jarretière.
- Tu mouilles beaucoup ma belle, me dit-t-elle en m’épongeant l’œillet. Je te propose maintenant de faire une pause au cours de laquelle tu pourras changer ta lingerie un peu défraîchie.
Ayant remarqué mon goût immodéré pour les dessous féminin, elle me laisse choisir dans son armoire ma nouvelle tenue d’alcôve.
Après une longue période d’hésitation, j’opte pour une charmante nuisette à balconnets en satin sur l’avant et en voile à l’arrière, rehaussée de fines bretelles roses. Devant le miroir, je plaque avec émotion sur mon ventre un porte jarretelles / serre taille de couleur rose qui à l’apparence d’un corset et qui me couvre le ventre. J’accroche mes bas à résille aux jarretelles et j’enfile comme une seconde peau de longs gants en soie qui accentue mon côté glamour.
Une robe bustier en voile transparent ouverte sur le devant met en valeur ma lingerie.
Enfin, je change ma perruque bouclée blonde pour une autre coupée au carré de couleur cuivre pendant que Sylvia me glisse les pieds dans des mules à talons aiguilles.
Elle me laisse m’admirer devant la glace tout en plaçant mes seins dans les balconnets de ma nuisette. Je me trouve à la fois plus sexy mais également beaucoup plus salope que dans la tenue précédente.
Sylvia se colle contre moi et m’embrasse à pleine bouche en me pressant insidieusement les bourses. Entre deux baisers, excitée par la taille de mon sexe, elle me murmure à l’oreille :
- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue qui ne demande qu’à s’exprimer.
La séance d’essayage m’ayant fortement excitée, j’ai la verge tendue contre mon ventre jusqu’à la hauteur de mon nombril. Elle pointe avec insolence à travers mon déshabillé transparent pour son plus grand plaisir.
- Je vais devoir te vider les couilles sinon tu ne résisteras pas une minute au traitement que je te réserve, me dit-t-elle en utilisant volontairement un langage vulgaire pour augmenter ma libido.
Elle me culbute sur le lit et relève ma nuisette et mon déshabillé sur mes seins. Son majeur se glisse dans ma rosette et masse ma prostate avec insistance pendant que son autre main sort un vibro de dessous l’oreiller. Avec précision, elle le pose sur mon frein en le déplaçant lentement sur sa longueur jusqu’à ce que les vibrations fassent couler un liquide clair à la surface de mon gland.
- Tu vois ma chérie, tu as aussi un clito qui te donne du plaisir, me dit-t-elle avec malice.
A ces mots, je me rends compte qu’elle suit à merveille mon scénario du départ. Je porte une lingerie très érotique en ayant des seins somptueux, une croupe attirante, une queue superbe et un clito ultra sensible.
De plus, Sylvia interprète avec brio la maîtresse dominatrice qui empale son mâle en lui donnant une exceptionnelle jouissance et remplace avantageusement le travesti en me suçant la queue à la perfection.
- Le plaisir anal est ma spécialité, je vais te faire jouir du cul mon ange, me dit-t-elle d’une voix assurée.
Elle continue à m’exciter le clito en soulevant le vibro de mon frein dés qu’une goutte de sève perle à la surface de ma queue et le repose quelques secondes plus tard jusqu’à l’apparition de la suivante. En même temps, elle masse avec habilité ma glande intime d’un doigt inquisiteur. Mon plaisir est tel, que Sylvia sent mon anneau se contracter de plus en plus souvent sur son majeur. Puis, mon sperme se met à couler lentement de mon méat en dessinant des arabesques blanchâtres sur mon serre taille.
Cette éjaculation longue et continue, spécifique de l’orgasme anal, me provoque un bonheur intense et durable.
Je reste tétanisée par cette superbe créature qui sait si bien me faire vibrer.
- Enlève ton déshabillé pendant que je te bande les yeux, m’intime-t-elle sans me laisser de repos.
- Suis moi, j’ai une surprise pour toi, rajoute-t-elle en passant sa main sous ma nuisette pour me flatter la croupe.
Totalement aveugle, je me laisse guider vers la pièce voisine où elle m’aide à monter deux marches en m’allongeant sur une surface peu confortable. Quand elle me fait écarter les cuisses pour placer mes talons aiguilles dans des étriers, je devine que je suis allongée sur une table médicale. Puis, elle retire mon bandeau et ce que je vois me laisse sidérée.
Un moteur est placé entre mes jambes, mais j’aperçois surtout une longue tige métallique tournée vers moi sur laquelle est embroché un gode épais et long.
- C’est une fucking machine dernier cri que je vais avoir le plaisir d’inaugurer avec toi, jubile Sylvia.
- Tous les hommes qui viennent me voir me supplient pour que je les prenne au gode ceinture. Ils adorent être sodomisés. C’est pour leur offrir des sensations plus fortes que je l’ai achetée. De plus, cela me laisse tout loisir de leur donner d’autres caresses ou de les baiser pendant qu’ils se font empalés par la machine.
Cette petite merveille a plusieurs programmes que je peux modifier à tous moments, notamment la course du gode, sa vitesse et ses vibrations, me dit-t-elle avec enthousiasme.
- Je vais commencer dans un instant ma belle, me susurre-t-elle les yeux brillants d’excitation.
Auparavant, elle m’attache les chevilles et relève ma nuisette pour me passer une sangle sous les seins et une autre sous l’abdomen.
- C’est pour t’empêcher de bouger quand tu jouiras et éviter que la machine te blesse ma chérie.
S’apercevant que je ne bande toujours pas, elle rentre ma verge dans un long tube en verre prolongé par un tuyau en plastique au bout duquel est fixée une pompe.
C’est un vacum, appareil qui fait le vide d’air en gonflant rapidement la queue qui est à l’intérieur.
Sylvia s’arrête d’actionner la pompe lorsque mon sexe atteint la taille de vingt centimètres sur la graduation du verre. Elle me glisse aussitôt un anneau pénien pour que je garde cette érection.
Puis, elle règle la hauteur de la machine pour que le gland soit en contact avec ma rosette.
- Je vais commencer par le programme d’initiation et te sodomiser avec douceur me dit-t-elle pour me rassurer.
Elle appuie sur la télé commande et le gland coulisse lentement en s’enfonçant de quelques centimètres dans mes chairs. Sylvia en profite pour l’arroser copieusement de lubrifiant.
Puis, elle me masturbe à la perfection tout en explorant les multiples ressources de l’engin. La puissance du gode devient si forte qu’il me soulève les fesses à chaque va et vient et je ferme les yeux pour mieux savourer l’instant. Sylvia augmente maintenant la course de ce long cylindre noir qui m’empale de plus en plus profondément. Elle ne se lasse pas de contempler mon ventre qui s’anime sous ses vigoureuses poussées en voyant les traits de mon visage déformés par le plaisir.
S’arrachant à ce spectacle, elle monte sur moi à califourchon et d’une main assurée s’embroche sur ma verge qu’elle s’enfonce jusqu’au ras des fesses. Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d’avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.
Elle s’arrête régulièrement pour faire tournoyer sa croupe en prenant ma queue comme pivot.
Le sexe mécanique me baise toujours inlassablement et Sylvia pousse les vibrations à leur plus haut niveau.
- Je vais le régler maintenant sur la vitesse lente et te pénétrer sur toute sa longueur.
Le gode met un temps infini à m’empaler et ses trépidations me font craquer de plus en plus.
En même temps, Sylvia m’étourdit de plaisir en contractant ses sphincters qui me serrent fortement la queue.
Ayant les mains libres, je lui masse la poitrine en faisant rouler ses tétons entre mes doigts gainés de soie. D’un regard pervers, elle me tend un vibro que j’applique sur son clito. Quelques minutes plus tard, je la vois s’agiter et soulever sa poitrine en cadence. Soudain, ne pouvant plus résister aux vibrations, elle jouit longuement et pousse un cri libérateur qui soulage sa tension, relayé rapidement par ses gémissements de bonheur.
- Eh bien ma salope, tu m’as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore essoufflée
Elle reprend très vite le dessus et m’amène à son tour rapidement au bord de l’orgasme.
Quand elle sent que ma résistance commence à s’émousser elle me dit :
- Je vais te donner le coup de grâce ma belle.
Elle règle le gode pour qu’il m’embroche à fond mais en alternant cette fois-ci les vitesses lentes et rapides.
Mes sensations sont prodigieuses quand je le sens me labourer le ventre. Je me cambre autant que les sangles me le permettent dans l’attente du fabuleux orgasme que je sens monter dans mes reins. Messaline déchaînée, Sylvia me chevauche en m’écrasant les bourses tant son excitation est grande. Je suis à la limite de la syncope quand ma sève gicle avec force dans ses fesses. Le corps tendu en arc de cercle, je jouis en ayant de nombreux spasmes qui déséquilibre presque Sylvia.
Néanmoins, elle continue à me serrer la verge en mobilisant ses muscles intimes pour que je me vide complètement en elle. Un instant plus tard, elle stoppe la course du gode qui reste fiché au plus profond de mon intimité. Elle contemple longuement ce pieu qui sort de mon ventre et finit par le retirer en me laissant l’œillet palpitant et largement ouvert.
- Il va mettre du temps à se refermer, me dit-t-elle avec perversité.
Puis, elle s’essuie l’intérieur des cuisses trempées par l’orgasme qu’elle vient d’avoir.
Enfin, elle me détache pour que je remette un peu d’ordre dans ma lingerie et m’aide à me lever en me voyant encore affaiblie par cette séance qui m’a complètement sonnée et vidée.
Je la quitte peu de temps après en la remerciant pour cet après midi exceptionnel et me promet de la revoir dés que possible. Sandra.
Je vous remercie de me donner vos impressions ou vos idées sur ce texte à : sandratvtg@yahoo.fr
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