Plaisirs nocturnes
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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Plaisirs nocturnes
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°529) - Plaisirs nocturnes -
Très belle avec un corps sublime, à la poitrine généreuse et aux formes si sensuelles, Madame Ella s’était déshabillée et allongée totalement nue sur le lit, et contemplait cette avide fellation. Excitée, ses yeux pétillaient d’envie, son époux l’attrapa dans ses bras, la câlina avec une belle tendresse, la caressa doucement puis il l’embrassa fougueusement à pleine bouche. Leurs langues se croisaient, s’entrecroisaient, s’enroulaient. De temps à autre Monsieur CharlEd lui soufflait des mots doux, il l’aimait, la désirait, il voulait la voir et l’entendre jouir, alors il l’embrassait de nouveau, goulûment, gloutonnement afin de l’exciter encore plus. Quant à soumis Endymion MDE, lui, ne s’inquiétait pas vraiment d’eux, trop préoccuper à téter cette solide queue, avec un plaisir avide et un objectif précis : faire jouir au plus vite, Monsieur le Vicomte d’Evans, neveu du Maître Vénéré, pour pouvoir gouter à cette divine semence qu’il espérait tant ! Monsieur CharlEd se laissait pomper, écartait les cuisses, dévoilait ses testicules gonflées par le désir. Mais soudainement soumis Endymion MDE fut repoussé du pied dans son flanc droit, ce qui le fit sursauter et lâcher prise.
- Dégage chien, je n’ai plus besoin de toi, tu te couches aux pieds du lit, et surtout ne t’amuses pas à te toucher !
L’esclave MDE dépité, tête baissée quitta le lit et s’installa en position fœtale, là où on lui avait dit d’être, par terre. Il serra les jambes, et positionna ces grosses couilles derrière ses cuisses fermées. Il bandait fort, avec une puissante envie de se branler, de se soulager par une éjaculation qui lui viderait ses couilles de chien, mais obéissant il resta dans la frustration et la résignation. A ces côtés, sur le lit, ce n’étaient que gémissements et douces complaintes qu’il entendait, parfois un petit cri plus aigu sortait de la bouche de Madame Ella. Allongé et couché sur le dos, Monsieur le vicomte, laissait Madame Ella au-dessus de lui, accroupie entre les jambes de son mari, s’empaler sur cette tige surchauffée, raide et droite comme un I. Elle ondulait, ondoyait, remuait, se balançait en faisant rouler son bassin sur cette verge qui la pénétrait au rythme des vas-et-viens de son propre bassin. C’est elle qui menait la danse, c’est elle qui lui faisait l’amour, c’est elle qui prenait son pied, sur cette bite énorme. Elle s’en donnait à cœur joie laissant son plaisir orgasmique monter de plus en plus... Et le plaisir jouissif de son époux était à la mesure du sien :
- Vas-y ma chérie, encore, oooh oui… que c’est bon, comme tu bouges bien… je vais… tu me fais… ouiiii… je jouis mon amour !
Au même moment, Madame Ella se laissait submerger, elle poussa des râles puissants qui ne laissaient aucun doute sur son violent orgasme. Elle jouissait en étalant sans pudeur sa libido, son plaisir et sa suprême délectation.
Le calme était revenu dans le lit, les deux jeunes époux, se tenaient serrés l’un contre l’autre, main dans la main, doigts entrecroisés… La quiétude après l’extase ! Tous deux avaient besoin de reprendre leur souffle et leurs esprits. Le calme après la tempête, le silence interrompu parfois par quelques longs soupirs, le repos des guerriers ; si bien que soumis Endymion MDE, bien qu’installé inconfortablement, perdit l’esprit.
- Le Chien, aux pieds !
soumis Endymion MDE avait bien entendu ces mots, mais il ne bougea pas. Il pensait rêver. Ce n’était qu’à la deuxième injonction qu’il se rendit compte qu’il ne s’agissait point d’un rêve mais bien de la réalité. A quatre pattes, il monta sur le lit. Monsieur le Vicomte lui attrapa violemment une oreille et lui asséna une terrible gifle.
- Sache chien, que je n’aime pas me répéter. Tu seras puni sévèrement demain matin.
Une nouvelle claque tomba sur sa joue gauche, soumis Endymion MDE présenta ses plus humbles et ses plus serviles excuses. Monsieur Charles-Edouard ne lâcha pas son oreille, il l’entraina ainsi jusqu’à l’entrejambe de Madame Ella.
- Nettoie chien, gave-toi de ces sécrétions et de mon sperme, et avale tout !
Les deux claques avaient sorti le chien soumis MDE de sa somnolence, il glissa sa langue entre les lèvres intimes de Madame. Il plaqua sa bouche contre ce sexe trempée, le ventousa, puis aspira, lécha et avala ces secrétions intimes, cette cyprine mêlée de sperme. Sa langue s’hasardait plus profondément, lapait encore et toujours, fouillait cette cavité, rentrait en contact avec ce petit bouton rose qui sous ces impacts se tendit rapidement, comme tous les muscles de Madame Ella. Un nouveau flot de cyprine se mit à couler abondamment dans la bouche de l’esclave MDE. Madame la Vicomtesse, se mit à gémir, elle écarta un peu plus les cuisses, cambra ses reins, respira, souffla et haleta longuement, de ses mains elle plaqua fortement la tête de l’esclave MDE contre sa chatte…
- Vas-tu jouir ma chérie ?
- Oh, ah… Oh… Yes, I think so !
- Vas y laisse toi aller, prends ton pied ma douce, que ce bâtard te donne du plaisir… après tout, ce chien n’est bon qu’à ça, donner du plaisir aux Maîtresses et Maîtres… !
Puis sur un autre ton, beaucoup plus sévère, Monsieur CharlEd s’adressa au chien soumis MDE.
- Et toi la salope, ne t’avise pas à t’arrêter en si bon chemin, fais jouir Madame !
Et Madame Ella s’abandonna une seconde fois, elle poussa ce petit cri si caractéristique, chez elle, ces muscles tendus s’affaissèrent soudainement. Elle jouissait bruyamment dans le visage du chien soumis... Repue, sa soif de sexe étanchée, elle repoussa sans un mot la tête de soumis Endymion MDE et serra les jambes. Alors, Monsieur Charles-Edouard attrapa le chien soumis par son collier, le fit sortir du lit, lui lia les poignets dans le dos, le fit coucher aux pieds du lit, lui attacha les pieds, relia dans son dos, pieds et mains par un cordage assez courts et sur un ton Dominant et laconique, il s’adressa à l’esclave MDE :
- Bonne nuit le chien !
- S’il vous plait Monsieur ! S’autorisa soumis Endymion MDE- Qu’y a-t-il le chien ?
- Pouvez-vous me passer les couilles entre mes cuisses Monsieur !
- Qu’à cela ne tienne !
Monsieur Charles Edouard attrapa le volumineux paquet de l’esclave MDE, le tira vers l’arrière et le coinça entre ses jambes.
- Merci Monsieur, bonne nuit Madame, bonne nuit Monsieur.
- Bonne nuit chien !
Monsieur le Vicomte d’Evans posa une simple couverture sur le dos de soumis Endymion MDE, puis se coucha rapidement. Tous trois s’endormirent rapidement… En cours de nuit, le chien MDE fut subitement réveillé manu militari par Monsieur CharlEd. Sans un mot, il le détacha, le fit se lever sans bruit et l’entraina dans une petite pièce jouxtant la chambre. Ses poignets et chevilles furent enserrés dans des bracelets en cuir, puis l’esclave mâle fut allongé sur une table de travail. Ses membres furent étirés en croix afin que ses cuisses soient parfaitement ouvertes et à la portée du Dominant. Monsieur CharlEd commença par flageller soumis Endymion MDE. Le martinet s’abattait sur son corps en extension. Monsieur le Vicomte voulait que ses chairs soient très sensibles et que les frappes régulières le fassent bander. Le corps du chien soumis MDE tressaillait sous les cinglées, rougissait et se couvrait de stries régulières… Et le résultat escompté par Monsieur le Vicomte se réalisa : la nouille du chien soumis s’érigea, se redressa, arbora une fière turgescence. Les lanières du martinet continuèrent de s’abattre jusqu’à ce que Monsieur CharlEd jugea la couleur de la peau de l’esclave correcte. Il étira alors de ses doigts les tétons du mâle, lui arrachant des petits cris.
- Tiens-toi tranquille ! lui dit Monsieur le Vicomte posément et sobrement.
Alors soumis Endymion MDE se tut, il se contenta de gonfler la poitrine devenue pourpre sous la douleur. Monsieur CharlEd pris alors deux aspirateurs à tétons, les plaça sur ses aréoles. Au moyen d’une pompe, il fit le vide. Ses bouts emplissaient rapidement les tubes en verre, alors Monsieur CharlEd tira sur le piston et commença des élongations successives entrainant des souffrances dans toute la poitrine du chien soumis MDE, faisant gonfler et crisper son torse mais un peu plus aussi sa queue !
- Chien, Je veux que tes tétons deviennent plus gros et plus long ! Se contenta de dire Monsieur le Vicomte.
Manifestement Monsieur CharlEd était ravi, le bruit de succion et la vue des tétons qui avaient désormais doublé de volume l’excitait, il bandait lui aussi. Il retira alors les embouts et profita, par des pincements plus ou moins durs, des nouvelles dimensions des bouts du chien soumis MDE. Alors il orna la poitrine et les seins de soumis Endymion MDE de pinces à linge colorées et s’attaqua de nouveau à ses bouts. Muni d’une pince, il les étira encore longtemps, très longtemps… puis plaça une petite clochette au bout de chacune des pinces. La bite du mâle ayant quelque peu ramollie, Monsieur le Vicomte décida de s’occuper d’elle. Là encore, il prit une pompe à queue la plaça sur son chibre et actionna le piston. La nouille du chien soumis MDE aspirée se redressait inexorablement. La torture jouissive répété des étirements fit gémir soumis Endymion MDE qui prenait un incroyable plaisir d’être ainsi ‘’cuisiné’’. Il se tordait dans ses liens autant de douleurs que d’excitation, essayait un mouvement de fuite, en vain ! Monsieur le Vicomte ne se préoccupait guère des soubresauts du chien soumis MDE, il actionnait encore le piston pour faire gonfler ce sexe prisonnier dans ce tube de verre, il voulait voir cette queue aspirée remplir totalement ce réceptacle, et il y parvient à force de patience ! Il laissa, soumis Endymion MDE ainsi quelques minutes, le regardant sans rien dire, lui glissant deux doigts dans la bouche, puis un troisième et un quatrième. Le chien soumis MDE bavait, salivait, à presque s’en étouffer. Monsieur CharlEd libéra enfin la queue du chien soumis de ce tube en verre, elle était en pleine érection, elle suintait, goutait, dégoulinait même. Toujours sans un mot, Monsieur CharlEd alors, posa une large pince à la base de la nouille du chien soumis pour conserver cette nouvelle extension de sa bite.
- C’est ainsi que je veux que tu sois chien, en permanence bien ouvert, bien lubrifié et tous tes organes développés. Si je devais constater que mes exercices et traitement ne donnaient pas le résultat voulu, tu serais alors puni et le travail serait doublé. Je considérerais que tu fais de la résistance. Ton corps doit devenir un parfait terrain de jeu ainsi qu’un objet pour me divertir !
Il écarta alors l’anus du chien soumis afin d’investir sans ménagement cet orifice à sa portée. Il enfonça au plus loin deux doigts, fouilla le cul du chien soumis MDE au plus profond afin qu’il comprenne qu’il le possédait et qu’il n’était qu’une chose réactive. L’esclave MDE était dans l’extase et le bonheur absolu. Il se sentait un simple objet sexuel, et ça le rendait si heureux, un bonheur incroyable, d’être cela, juste un trou, un trou pour le plaisir des Dominants. Son masochisme, sa soumission, sa condition d’esclave lui procuraient un épanouissement inouï… Au bout d’un moment, il fut alors libéré de toutes les pinces que Monsieur le Vicomte lui avait posées et resta immobilisé sur cette table, étiré et contraint pour finir sa nuit ainsi….
(A suivre…)
Très belle avec un corps sublime, à la poitrine généreuse et aux formes si sensuelles, Madame Ella s’était déshabillée et allongée totalement nue sur le lit, et contemplait cette avide fellation. Excitée, ses yeux pétillaient d’envie, son époux l’attrapa dans ses bras, la câlina avec une belle tendresse, la caressa doucement puis il l’embrassa fougueusement à pleine bouche. Leurs langues se croisaient, s’entrecroisaient, s’enroulaient. De temps à autre Monsieur CharlEd lui soufflait des mots doux, il l’aimait, la désirait, il voulait la voir et l’entendre jouir, alors il l’embrassait de nouveau, goulûment, gloutonnement afin de l’exciter encore plus. Quant à soumis Endymion MDE, lui, ne s’inquiétait pas vraiment d’eux, trop préoccuper à téter cette solide queue, avec un plaisir avide et un objectif précis : faire jouir au plus vite, Monsieur le Vicomte d’Evans, neveu du Maître Vénéré, pour pouvoir gouter à cette divine semence qu’il espérait tant ! Monsieur CharlEd se laissait pomper, écartait les cuisses, dévoilait ses testicules gonflées par le désir. Mais soudainement soumis Endymion MDE fut repoussé du pied dans son flanc droit, ce qui le fit sursauter et lâcher prise.
- Dégage chien, je n’ai plus besoin de toi, tu te couches aux pieds du lit, et surtout ne t’amuses pas à te toucher !
L’esclave MDE dépité, tête baissée quitta le lit et s’installa en position fœtale, là où on lui avait dit d’être, par terre. Il serra les jambes, et positionna ces grosses couilles derrière ses cuisses fermées. Il bandait fort, avec une puissante envie de se branler, de se soulager par une éjaculation qui lui viderait ses couilles de chien, mais obéissant il resta dans la frustration et la résignation. A ces côtés, sur le lit, ce n’étaient que gémissements et douces complaintes qu’il entendait, parfois un petit cri plus aigu sortait de la bouche de Madame Ella. Allongé et couché sur le dos, Monsieur le vicomte, laissait Madame Ella au-dessus de lui, accroupie entre les jambes de son mari, s’empaler sur cette tige surchauffée, raide et droite comme un I. Elle ondulait, ondoyait, remuait, se balançait en faisant rouler son bassin sur cette verge qui la pénétrait au rythme des vas-et-viens de son propre bassin. C’est elle qui menait la danse, c’est elle qui lui faisait l’amour, c’est elle qui prenait son pied, sur cette bite énorme. Elle s’en donnait à cœur joie laissant son plaisir orgasmique monter de plus en plus... Et le plaisir jouissif de son époux était à la mesure du sien :
- Vas-y ma chérie, encore, oooh oui… que c’est bon, comme tu bouges bien… je vais… tu me fais… ouiiii… je jouis mon amour !
Au même moment, Madame Ella se laissait submerger, elle poussa des râles puissants qui ne laissaient aucun doute sur son violent orgasme. Elle jouissait en étalant sans pudeur sa libido, son plaisir et sa suprême délectation.
Le calme était revenu dans le lit, les deux jeunes époux, se tenaient serrés l’un contre l’autre, main dans la main, doigts entrecroisés… La quiétude après l’extase ! Tous deux avaient besoin de reprendre leur souffle et leurs esprits. Le calme après la tempête, le silence interrompu parfois par quelques longs soupirs, le repos des guerriers ; si bien que soumis Endymion MDE, bien qu’installé inconfortablement, perdit l’esprit.
- Le Chien, aux pieds !
soumis Endymion MDE avait bien entendu ces mots, mais il ne bougea pas. Il pensait rêver. Ce n’était qu’à la deuxième injonction qu’il se rendit compte qu’il ne s’agissait point d’un rêve mais bien de la réalité. A quatre pattes, il monta sur le lit. Monsieur le Vicomte lui attrapa violemment une oreille et lui asséna une terrible gifle.
- Sache chien, que je n’aime pas me répéter. Tu seras puni sévèrement demain matin.
Une nouvelle claque tomba sur sa joue gauche, soumis Endymion MDE présenta ses plus humbles et ses plus serviles excuses. Monsieur Charles-Edouard ne lâcha pas son oreille, il l’entraina ainsi jusqu’à l’entrejambe de Madame Ella.
- Nettoie chien, gave-toi de ces sécrétions et de mon sperme, et avale tout !
Les deux claques avaient sorti le chien soumis MDE de sa somnolence, il glissa sa langue entre les lèvres intimes de Madame. Il plaqua sa bouche contre ce sexe trempée, le ventousa, puis aspira, lécha et avala ces secrétions intimes, cette cyprine mêlée de sperme. Sa langue s’hasardait plus profondément, lapait encore et toujours, fouillait cette cavité, rentrait en contact avec ce petit bouton rose qui sous ces impacts se tendit rapidement, comme tous les muscles de Madame Ella. Un nouveau flot de cyprine se mit à couler abondamment dans la bouche de l’esclave MDE. Madame la Vicomtesse, se mit à gémir, elle écarta un peu plus les cuisses, cambra ses reins, respira, souffla et haleta longuement, de ses mains elle plaqua fortement la tête de l’esclave MDE contre sa chatte…
- Vas-tu jouir ma chérie ?
- Oh, ah… Oh… Yes, I think so !
- Vas y laisse toi aller, prends ton pied ma douce, que ce bâtard te donne du plaisir… après tout, ce chien n’est bon qu’à ça, donner du plaisir aux Maîtresses et Maîtres… !
Puis sur un autre ton, beaucoup plus sévère, Monsieur CharlEd s’adressa au chien soumis MDE.
- Et toi la salope, ne t’avise pas à t’arrêter en si bon chemin, fais jouir Madame !
Et Madame Ella s’abandonna une seconde fois, elle poussa ce petit cri si caractéristique, chez elle, ces muscles tendus s’affaissèrent soudainement. Elle jouissait bruyamment dans le visage du chien soumis... Repue, sa soif de sexe étanchée, elle repoussa sans un mot la tête de soumis Endymion MDE et serra les jambes. Alors, Monsieur Charles-Edouard attrapa le chien soumis par son collier, le fit sortir du lit, lui lia les poignets dans le dos, le fit coucher aux pieds du lit, lui attacha les pieds, relia dans son dos, pieds et mains par un cordage assez courts et sur un ton Dominant et laconique, il s’adressa à l’esclave MDE :
- Bonne nuit le chien !
- S’il vous plait Monsieur ! S’autorisa soumis Endymion MDE- Qu’y a-t-il le chien ?
- Pouvez-vous me passer les couilles entre mes cuisses Monsieur !
- Qu’à cela ne tienne !
Monsieur Charles Edouard attrapa le volumineux paquet de l’esclave MDE, le tira vers l’arrière et le coinça entre ses jambes.
- Merci Monsieur, bonne nuit Madame, bonne nuit Monsieur.
- Bonne nuit chien !
Monsieur le Vicomte d’Evans posa une simple couverture sur le dos de soumis Endymion MDE, puis se coucha rapidement. Tous trois s’endormirent rapidement… En cours de nuit, le chien MDE fut subitement réveillé manu militari par Monsieur CharlEd. Sans un mot, il le détacha, le fit se lever sans bruit et l’entraina dans une petite pièce jouxtant la chambre. Ses poignets et chevilles furent enserrés dans des bracelets en cuir, puis l’esclave mâle fut allongé sur une table de travail. Ses membres furent étirés en croix afin que ses cuisses soient parfaitement ouvertes et à la portée du Dominant. Monsieur CharlEd commença par flageller soumis Endymion MDE. Le martinet s’abattait sur son corps en extension. Monsieur le Vicomte voulait que ses chairs soient très sensibles et que les frappes régulières le fassent bander. Le corps du chien soumis MDE tressaillait sous les cinglées, rougissait et se couvrait de stries régulières… Et le résultat escompté par Monsieur le Vicomte se réalisa : la nouille du chien soumis s’érigea, se redressa, arbora une fière turgescence. Les lanières du martinet continuèrent de s’abattre jusqu’à ce que Monsieur CharlEd jugea la couleur de la peau de l’esclave correcte. Il étira alors de ses doigts les tétons du mâle, lui arrachant des petits cris.
- Tiens-toi tranquille ! lui dit Monsieur le Vicomte posément et sobrement.
Alors soumis Endymion MDE se tut, il se contenta de gonfler la poitrine devenue pourpre sous la douleur. Monsieur CharlEd pris alors deux aspirateurs à tétons, les plaça sur ses aréoles. Au moyen d’une pompe, il fit le vide. Ses bouts emplissaient rapidement les tubes en verre, alors Monsieur CharlEd tira sur le piston et commença des élongations successives entrainant des souffrances dans toute la poitrine du chien soumis MDE, faisant gonfler et crisper son torse mais un peu plus aussi sa queue !
- Chien, Je veux que tes tétons deviennent plus gros et plus long ! Se contenta de dire Monsieur le Vicomte.
Manifestement Monsieur CharlEd était ravi, le bruit de succion et la vue des tétons qui avaient désormais doublé de volume l’excitait, il bandait lui aussi. Il retira alors les embouts et profita, par des pincements plus ou moins durs, des nouvelles dimensions des bouts du chien soumis MDE. Alors il orna la poitrine et les seins de soumis Endymion MDE de pinces à linge colorées et s’attaqua de nouveau à ses bouts. Muni d’une pince, il les étira encore longtemps, très longtemps… puis plaça une petite clochette au bout de chacune des pinces. La bite du mâle ayant quelque peu ramollie, Monsieur le Vicomte décida de s’occuper d’elle. Là encore, il prit une pompe à queue la plaça sur son chibre et actionna le piston. La nouille du chien soumis MDE aspirée se redressait inexorablement. La torture jouissive répété des étirements fit gémir soumis Endymion MDE qui prenait un incroyable plaisir d’être ainsi ‘’cuisiné’’. Il se tordait dans ses liens autant de douleurs que d’excitation, essayait un mouvement de fuite, en vain ! Monsieur le Vicomte ne se préoccupait guère des soubresauts du chien soumis MDE, il actionnait encore le piston pour faire gonfler ce sexe prisonnier dans ce tube de verre, il voulait voir cette queue aspirée remplir totalement ce réceptacle, et il y parvient à force de patience ! Il laissa, soumis Endymion MDE ainsi quelques minutes, le regardant sans rien dire, lui glissant deux doigts dans la bouche, puis un troisième et un quatrième. Le chien soumis MDE bavait, salivait, à presque s’en étouffer. Monsieur CharlEd libéra enfin la queue du chien soumis de ce tube en verre, elle était en pleine érection, elle suintait, goutait, dégoulinait même. Toujours sans un mot, Monsieur CharlEd alors, posa une large pince à la base de la nouille du chien soumis pour conserver cette nouvelle extension de sa bite.
- C’est ainsi que je veux que tu sois chien, en permanence bien ouvert, bien lubrifié et tous tes organes développés. Si je devais constater que mes exercices et traitement ne donnaient pas le résultat voulu, tu serais alors puni et le travail serait doublé. Je considérerais que tu fais de la résistance. Ton corps doit devenir un parfait terrain de jeu ainsi qu’un objet pour me divertir !
Il écarta alors l’anus du chien soumis afin d’investir sans ménagement cet orifice à sa portée. Il enfonça au plus loin deux doigts, fouilla le cul du chien soumis MDE au plus profond afin qu’il comprenne qu’il le possédait et qu’il n’était qu’une chose réactive. L’esclave MDE était dans l’extase et le bonheur absolu. Il se sentait un simple objet sexuel, et ça le rendait si heureux, un bonheur incroyable, d’être cela, juste un trou, un trou pour le plaisir des Dominants. Son masochisme, sa soumission, sa condition d’esclave lui procuraient un épanouissement inouï… Au bout d’un moment, il fut alors libéré de toutes les pinces que Monsieur le Vicomte lui avait posées et resta immobilisé sur cette table, étiré et contraint pour finir sa nuit ainsi….
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