Plan à trois bien sympa
Récit érotique écrit par Brunob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Plan à trois bien sympa
La semaine passée, je suis entré en contact avec un type qui cherchait un mec énormément poilu pour un plan à trois. J'ai répondu à l'annonce, car je suis un véritable bear et après m'avoir bien chauffé, il m'annonce que le plan ne se fera pas. L'annonce était prometteuse : un duo l'un plutôt passif 50 175 85 et l'autre 40 180 70 actif. Tous deux poilus et très gourmands selon les dire de Christophe le premier. Tant pis. Quelques jours plus tard, il me recontacte. Vraiment j'adore la photo de ta queue et de ton torse argumente t'il. Il faut que l'on se voit samedi soir.
Ayant été échaudé je me fais guère d'illusion. Et pourtant toute la journée du samedi, il me demande si je suis chaud. Me dit qu'il tourne au Popper et que sous son emprise, il sera une véritable chienne. Que lui me sucera et que son mec me prendra. Et qu'ils boufferont ma queue à deux. Les réjouissances s'annoncent sous de bonnes auspices et je suis partant,pour cette soirée débauche près de Rambouillet. Je vais juste me présenter. J'ai 52 ans suis relativement banal, crane dégarni, des lunettes et un peu d'embonpoint. Par contre je suis bien gaulé selon mes partenaires, 19-20 sur 5 de diamètre. Dernier détail je suis actif mais ne refuse pas non plus, un petit ramonage de temps à autre.
Samedi soir après le taf, je me rends à l'adresse indiquée. Nous sommes au huit, barrière bordeaux.Je suis les indications du sms : Tu entres dans la cour , descends la rampe du garage. Tu verras la porte du sous-sol entre deux thuyas. Tu entres, tu te mets à poil, tu avances, on sera là, on t'attends à poil. Tous ces détails aiguisent ma curiosité, ma queue se réveille rien qu'à cette évocation excitante. Je me pose des questions, parce qu'on ne sait jamais sur qui on va tomber. Mais le trip est trop ascendant. Il faut prendre le risque. Advienne que pourra.
Il est 21 heures. J'ouvre la barrière de la demeure bourgeoise. Je referme. Ma voiture est restée dans la rue. Je contourne la maison par la descente du garage. Le parc est magnifique, et très bien entretenu. Je vois la porte au milieu des deux thuyas en pots. J'appuie sur la poignée car plus rien ne me freine. J'entre dans le garage. J'entends des bruits qui me semblent être ceux caractéristiques d'un film de boules. Je m'avance et me désape au pieds de la chaudière. Ma queue est en mode mi bandante, et j'avance. Une porte entre ouverte est à ma droite. Je pousse cette porte qui m’amène vers les bruits que je percevais auparavant. Deux mecs sont à poil sur un canapé . L'un la cinquantaine bien conservé. Un peu rond, poilu avec une queue pas très animée, je devine Christophe. Le second est bien bandé et est plutôt beau mâle. Peau mate, je reste persuadé que c'est un Libanais. Grand 1,85 et mince, tout juste ou à peine quarante ans. C'est un beau mec. Je les salue à la cantonade et ils m'accueillent entre eux. Ils sont de suite très chaleureux, et Christophe me prends la bouche. Son pote a déjà saisie ma queue, qu'il jauge. Je bande un max. Rien qu'une bonne poigne qui se pose dessus et elle se déploie. Mes mains parcourent les deux corps qui m'entourent. Et nous sommes face à un écran télé qui diffuse un film d'une partouze gay. Mes mains partent à la découverte de ces deux corps inconnus, que j'ai à peine entre vue, dans la mesure ou seul l'écran dans la pièce diffuse de la lumière. Les deux mecs s'embrassent à chaque fois que l'un passe près de l'autre. Christophe s'est allongé je le branle avec énergie, lui souhaite emboucher ma queue que son partenaire tient en main et qu'il dirige vers sa bouche. Lui me contourne et attaque mes fesses, avec son index qui frôle ma raie. J'ai déjà fait des plans à trois, mais là je trouve qu'il y a symbiose entre eux. Certainement l'habitude de faire ce type de plan. La queue de Christophe est flasque et ne m’intéresse pas vraiment. Par contre celle de son pote est bien plus expressive. Christophe je lui triture les pointes des seins, il m'avait dit qu'il adorait qu'on lui travaille. Sa bouche aspire mon sexe. Et sa langue repart de la base pour ressortir ma queue et la lécher avec sa pointe sur toute sa longueur lorsqu'elle revient, et il l'a ré enfonce ensuite au plus profond de sa gorge. Son acolyte passe par mes fesses et revient attraper mes testicules par en dessous. Christophe lui fait une place sur le canapé et il le rejoint dans une pelle magistrale, avant de se mettre à me lécher mon zob ensemble de chaque coté. Que c'est bon ce truc de ouf. Ma bite est suçotée par deux bouches et deux langues. L'effet est transcendant. Je soupire tellement cela me procure un bien fou. Ah oui je vois bien qu'ils aiment sucer une pine à deux. Lorsque mon vit ressort de la bouche de l'un deux ou de l'entre deux bouches. Ils s'embrassent tous les deux comme pour partager le parfum de mon sexe. J'ai très envie de sucer la queue bien raide du pote. Je m'allonge sur le canapé ; Christophe me met sur le coté droit , descend au sol et prend ma bite en bouche, le second vient me présenter son chibre. J'ouvre la bouche, en grand pour accueillir cette large tige qui est surtout longue. Et je l'enfonce bien au fond. Lui me triture l'anus. Son doigt fureteur s'enfonce et tourne contre la paroi.
Ma main contourne son flanc et va caresser ses fesses. J'ose un doigt dans son trou. Je le sens contracté et je comprends qu'il ne le souhaite pas. Car il a un mouvement de bassin pour chasser ma main. Alors j'enfourne, je suce , je tête son dard. Un bon morceau de chair, bien rigide. Ma langue le soigne. Et de sentir la bouche de Christophe sur mon sexe est divin. D'autant plus qu'il me malaxe les testicules, en tirant vers le bas. Ils sont synchros ces mecs. Christophe quitte mon sexe et vient me brouter le cul. Je sens la pointe de sa langue qui s'insinue entre mes fesses. Son mec écarte bien mes fesses pour qu'il puisse me bouffer la rondelle à fond. Et l'effet est immédiat. Je couine, je râle de plaisir. Et je redouble de vigueur sur la queue qui n'a pas quittée ma bouche. Mon sucé triture à son tour l’arrière train de Christophe qui mordille mes fesses de temps à autre. Ce bouffage de rondelle est un must. Je remue mon postérieur en le balançant de droite à gauche. J'ai vraiment envie de me faire sodomiser ce soir. Les mecs sont chauds, bouillants. Ils m'invitent à venir me mettre sur la large table basse. Je tends mes fesses. Mon anus est badigeonné de gel. J'entends le bruit d'une capote qu'on déroule. Et je me retrouve avec la queue du pote qui me bourre d'un coup sec, jusqu'à la garde.
J'arrache un cri. C'est trop brusque. Il se retire. J'ai trop mal aux fesses, mais je sens que la douleur s'estompe. Je reviens me positionner et il me réintroduit. Il me lime en cadence, et sa queue dans mon fourreau est trop bonne. Mais il se retire à nouveau, je comprends qu'il débande. Il retire la capote et présente son sexe à Christophe, et comme nous formons un triangle, j'approche et celui ci enfourne nos deux queues ensemble dans sa bouche. Et il suce avec gourmandise, entre deux prises de Popper, ce qui l'excite un peu plus et il s'active davantage. Christophe se relève, fait un geste à son mec que je ne comprends pas. Il me dit ;
On va s’arrêter là pour ce soir, j'ai un peu abusé du Popper et j'ai très mal à la tête.
Son mec a ré-enfiler une capote et lui dit un mot que je ne comprends pas. Il me demande de me mettre allongé sur les coussins posés sur la table basse. Il veut se finir en fait. Je viens de comprendre. Je présente mes fesses relevées. Il vient positionner son sexe derrière moi, et là il me sodomise en cadence. C'est trop bon cette fois ci, je sens sa colonne de chair qui m'astique, et je couine comme une vraie salope. Christophe est venu se positionner sous moi , sa bouche à hauteur de mon sexe, qu'il prend en bouche. Je me suis mis à quatre pattes.
Oui baises moi, je crie, C'est trop bon ou..ou...iiiii. J'aime trop ta bonne bite.
Et cette bouche qui s'active sur ma queue en rythme avec les assauts de son comparse. C'est terriblement divin. Sucé et baisé en même temps, je ne pouvais rêver mieux pour cette soirée. C'est la première fois que je fais une partie à trois aussi sympa. La bouche est très active, mais le mandrin qui me prends l'est bien plus. Il maintien mes hanches fermement. Pourtant je n'ai pas l'intention de fuir. Au contraire.
Je sens qu'il se contracte. Ses longues jambes tremblent dans mon dos, et ce mec se met à lancer une longue plainte dans de grands coups de reins libérateurs. Il joui, humm comme c'est bon. De sentir le contentement d'un mâle sous l’œil de son mec qui vient de se redresser et vient lui rouler un patin. Il a du larguer 4 bons jets dans la capote au vu de ses coups de reins plus rudes. Il se retire. Sa queue est toujours raide. Il attrape un short addidas jaune à bandes vertes, qu'il enfile.
Christophe se rallonge sur la table et me propose de me libérer sur son torse. Ce ne sera pas long, je suis proche de l'orgasme. Tout cela m'a bien boosté. Il attrape mes roubignoles et les tâte. Sa queue à lui est restée toute petite. C'était sans appel. Quelques coups de poignet savamment dosés et je sens une onde monter en moi, et se diffuser dans mon corps. Un plaisir retenu, qui ne demande qu'à s'exprimer. J'adore ce moment ou je sens que ça vient. J’arrête pour prolonger encore le moment fatidique, et je repars plus lentement mais le jet se fait salvateur. Il faut qu'il coule. Un, deux , trois , quatre larges jets viennent se rependre sur le buste de Christophe, le premier est parti à hauteur de son cou, le second sur son mamelon gauche. Les deux suivants , je n'ai pas eu le temps de voir. Un amas de sperme est tout prêt de son nombril. La tension redescend. Mon enculeur me tend du papier absorbant. Je m'essuie. Et je vais me rhabiller.
On se fait la bise. Peut être se reverra- t'on ? Pourquoi pas c'était trop bon!
Ayant été échaudé je me fais guère d'illusion. Et pourtant toute la journée du samedi, il me demande si je suis chaud. Me dit qu'il tourne au Popper et que sous son emprise, il sera une véritable chienne. Que lui me sucera et que son mec me prendra. Et qu'ils boufferont ma queue à deux. Les réjouissances s'annoncent sous de bonnes auspices et je suis partant,pour cette soirée débauche près de Rambouillet. Je vais juste me présenter. J'ai 52 ans suis relativement banal, crane dégarni, des lunettes et un peu d'embonpoint. Par contre je suis bien gaulé selon mes partenaires, 19-20 sur 5 de diamètre. Dernier détail je suis actif mais ne refuse pas non plus, un petit ramonage de temps à autre.
Samedi soir après le taf, je me rends à l'adresse indiquée. Nous sommes au huit, barrière bordeaux.Je suis les indications du sms : Tu entres dans la cour , descends la rampe du garage. Tu verras la porte du sous-sol entre deux thuyas. Tu entres, tu te mets à poil, tu avances, on sera là, on t'attends à poil. Tous ces détails aiguisent ma curiosité, ma queue se réveille rien qu'à cette évocation excitante. Je me pose des questions, parce qu'on ne sait jamais sur qui on va tomber. Mais le trip est trop ascendant. Il faut prendre le risque. Advienne que pourra.
Il est 21 heures. J'ouvre la barrière de la demeure bourgeoise. Je referme. Ma voiture est restée dans la rue. Je contourne la maison par la descente du garage. Le parc est magnifique, et très bien entretenu. Je vois la porte au milieu des deux thuyas en pots. J'appuie sur la poignée car plus rien ne me freine. J'entre dans le garage. J'entends des bruits qui me semblent être ceux caractéristiques d'un film de boules. Je m'avance et me désape au pieds de la chaudière. Ma queue est en mode mi bandante, et j'avance. Une porte entre ouverte est à ma droite. Je pousse cette porte qui m’amène vers les bruits que je percevais auparavant. Deux mecs sont à poil sur un canapé . L'un la cinquantaine bien conservé. Un peu rond, poilu avec une queue pas très animée, je devine Christophe. Le second est bien bandé et est plutôt beau mâle. Peau mate, je reste persuadé que c'est un Libanais. Grand 1,85 et mince, tout juste ou à peine quarante ans. C'est un beau mec. Je les salue à la cantonade et ils m'accueillent entre eux. Ils sont de suite très chaleureux, et Christophe me prends la bouche. Son pote a déjà saisie ma queue, qu'il jauge. Je bande un max. Rien qu'une bonne poigne qui se pose dessus et elle se déploie. Mes mains parcourent les deux corps qui m'entourent. Et nous sommes face à un écran télé qui diffuse un film d'une partouze gay. Mes mains partent à la découverte de ces deux corps inconnus, que j'ai à peine entre vue, dans la mesure ou seul l'écran dans la pièce diffuse de la lumière. Les deux mecs s'embrassent à chaque fois que l'un passe près de l'autre. Christophe s'est allongé je le branle avec énergie, lui souhaite emboucher ma queue que son partenaire tient en main et qu'il dirige vers sa bouche. Lui me contourne et attaque mes fesses, avec son index qui frôle ma raie. J'ai déjà fait des plans à trois, mais là je trouve qu'il y a symbiose entre eux. Certainement l'habitude de faire ce type de plan. La queue de Christophe est flasque et ne m’intéresse pas vraiment. Par contre celle de son pote est bien plus expressive. Christophe je lui triture les pointes des seins, il m'avait dit qu'il adorait qu'on lui travaille. Sa bouche aspire mon sexe. Et sa langue repart de la base pour ressortir ma queue et la lécher avec sa pointe sur toute sa longueur lorsqu'elle revient, et il l'a ré enfonce ensuite au plus profond de sa gorge. Son acolyte passe par mes fesses et revient attraper mes testicules par en dessous. Christophe lui fait une place sur le canapé et il le rejoint dans une pelle magistrale, avant de se mettre à me lécher mon zob ensemble de chaque coté. Que c'est bon ce truc de ouf. Ma bite est suçotée par deux bouches et deux langues. L'effet est transcendant. Je soupire tellement cela me procure un bien fou. Ah oui je vois bien qu'ils aiment sucer une pine à deux. Lorsque mon vit ressort de la bouche de l'un deux ou de l'entre deux bouches. Ils s'embrassent tous les deux comme pour partager le parfum de mon sexe. J'ai très envie de sucer la queue bien raide du pote. Je m'allonge sur le canapé ; Christophe me met sur le coté droit , descend au sol et prend ma bite en bouche, le second vient me présenter son chibre. J'ouvre la bouche, en grand pour accueillir cette large tige qui est surtout longue. Et je l'enfonce bien au fond. Lui me triture l'anus. Son doigt fureteur s'enfonce et tourne contre la paroi.
Ma main contourne son flanc et va caresser ses fesses. J'ose un doigt dans son trou. Je le sens contracté et je comprends qu'il ne le souhaite pas. Car il a un mouvement de bassin pour chasser ma main. Alors j'enfourne, je suce , je tête son dard. Un bon morceau de chair, bien rigide. Ma langue le soigne. Et de sentir la bouche de Christophe sur mon sexe est divin. D'autant plus qu'il me malaxe les testicules, en tirant vers le bas. Ils sont synchros ces mecs. Christophe quitte mon sexe et vient me brouter le cul. Je sens la pointe de sa langue qui s'insinue entre mes fesses. Son mec écarte bien mes fesses pour qu'il puisse me bouffer la rondelle à fond. Et l'effet est immédiat. Je couine, je râle de plaisir. Et je redouble de vigueur sur la queue qui n'a pas quittée ma bouche. Mon sucé triture à son tour l’arrière train de Christophe qui mordille mes fesses de temps à autre. Ce bouffage de rondelle est un must. Je remue mon postérieur en le balançant de droite à gauche. J'ai vraiment envie de me faire sodomiser ce soir. Les mecs sont chauds, bouillants. Ils m'invitent à venir me mettre sur la large table basse. Je tends mes fesses. Mon anus est badigeonné de gel. J'entends le bruit d'une capote qu'on déroule. Et je me retrouve avec la queue du pote qui me bourre d'un coup sec, jusqu'à la garde.
J'arrache un cri. C'est trop brusque. Il se retire. J'ai trop mal aux fesses, mais je sens que la douleur s'estompe. Je reviens me positionner et il me réintroduit. Il me lime en cadence, et sa queue dans mon fourreau est trop bonne. Mais il se retire à nouveau, je comprends qu'il débande. Il retire la capote et présente son sexe à Christophe, et comme nous formons un triangle, j'approche et celui ci enfourne nos deux queues ensemble dans sa bouche. Et il suce avec gourmandise, entre deux prises de Popper, ce qui l'excite un peu plus et il s'active davantage. Christophe se relève, fait un geste à son mec que je ne comprends pas. Il me dit ;
On va s’arrêter là pour ce soir, j'ai un peu abusé du Popper et j'ai très mal à la tête.
Son mec a ré-enfiler une capote et lui dit un mot que je ne comprends pas. Il me demande de me mettre allongé sur les coussins posés sur la table basse. Il veut se finir en fait. Je viens de comprendre. Je présente mes fesses relevées. Il vient positionner son sexe derrière moi, et là il me sodomise en cadence. C'est trop bon cette fois ci, je sens sa colonne de chair qui m'astique, et je couine comme une vraie salope. Christophe est venu se positionner sous moi , sa bouche à hauteur de mon sexe, qu'il prend en bouche. Je me suis mis à quatre pattes.
Oui baises moi, je crie, C'est trop bon ou..ou...iiiii. J'aime trop ta bonne bite.
Et cette bouche qui s'active sur ma queue en rythme avec les assauts de son comparse. C'est terriblement divin. Sucé et baisé en même temps, je ne pouvais rêver mieux pour cette soirée. C'est la première fois que je fais une partie à trois aussi sympa. La bouche est très active, mais le mandrin qui me prends l'est bien plus. Il maintien mes hanches fermement. Pourtant je n'ai pas l'intention de fuir. Au contraire.
Je sens qu'il se contracte. Ses longues jambes tremblent dans mon dos, et ce mec se met à lancer une longue plainte dans de grands coups de reins libérateurs. Il joui, humm comme c'est bon. De sentir le contentement d'un mâle sous l’œil de son mec qui vient de se redresser et vient lui rouler un patin. Il a du larguer 4 bons jets dans la capote au vu de ses coups de reins plus rudes. Il se retire. Sa queue est toujours raide. Il attrape un short addidas jaune à bandes vertes, qu'il enfile.
Christophe se rallonge sur la table et me propose de me libérer sur son torse. Ce ne sera pas long, je suis proche de l'orgasme. Tout cela m'a bien boosté. Il attrape mes roubignoles et les tâte. Sa queue à lui est restée toute petite. C'était sans appel. Quelques coups de poignet savamment dosés et je sens une onde monter en moi, et se diffuser dans mon corps. Un plaisir retenu, qui ne demande qu'à s'exprimer. J'adore ce moment ou je sens que ça vient. J’arrête pour prolonger encore le moment fatidique, et je repars plus lentement mais le jet se fait salvateur. Il faut qu'il coule. Un, deux , trois , quatre larges jets viennent se rependre sur le buste de Christophe, le premier est parti à hauteur de son cou, le second sur son mamelon gauche. Les deux suivants , je n'ai pas eu le temps de voir. Un amas de sperme est tout prêt de son nombril. La tension redescend. Mon enculeur me tend du papier absorbant. Je m'essuie. Et je vais me rhabiller.
On se fait la bise. Peut être se reverra- t'on ? Pourquoi pas c'était trop bon!
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Les avis des lecteurs
Cool! Une bonne histoire bandante et qui gicle