PLAN A TROIS - La fin de cette soirée mémorable
Récit érotique écrit par EricDeFrance [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PLAN A TROIS - La fin de cette soirée mémorable
Ce soir-là Eric ne mit pas longtemps à s’endormir.
Après le plan à trois avec Arnaud, puis la baise avec Samir, il s’était bien vidé les couilles et avait bien déchargé toute l’adrénaline qu’il avait emmagasinée pendant des heures et des jours.
Il avait pris un sacré pied, comme jamais, et, après un petit moment calme et câlin sur le canapé, avec son homme, il n’avait eu qu’une envie, c’était d’aller se coucher et de dormir.
De toute façon Eric était un couche-tôt, et un lêve-tôt, ça allait de pair, car, en plus, il pouvait s’endormir à n’importe quelle heure, il se réveillait toujours à la même.
Il valait donc mieux aller se coucher pas trop tard.
Il devait dormir assez profondément quand il ressentit une drôle de sensation. Pendant un long moment, il ne savait pas s’il rêvait ou si c’était réel. Il sentit une présence, un poids, une chaleur.
Quand il réussit à ouvrir les yeux, la chambre était dans la pénombre, signe que le jour s’était levé et que la lumière passait à travers les volets, qui ne sont jamais totalement étanches.
Il se rendit compte qu’il était au milieu du lit, en travers, et sur la couette. Il avait même la tête au bord du lit, penchée légèrement en arrière.
C’est alors qu’il comprit ce qui se passait.
Samir était debout, derrière lui, contre le lit, les jambes écartées, les couilles et les fesses, qu’il remuait doucement, posées sur son visage.
Il ouvrit la bouche, et Samir y enfonça sa bite qui s’était allongée, mais était encore un peu molle.
Eric n’était pas trop bien réveillé, mais il apprécia le goût de ce membre, qu’il sentit assez vite durcir dans sa bouche.
Samir fit aller et venir sa bite dans la bouche de son mec, il savait qu’il aimait ça, en plus il faisait ça bien, et, lui, il adorait se faire sucer.
Eric ne fit pas que la garder en bouche, il la sortait de temps en temps pour lécher le manche et descendre sur les couilles, puis sur l’anus.
Dans cette position, tout était à portée, et il allait de l’un à l’autre, en humectant tout de sa salive.
Là il se sentait bien réveillé, et il se régalait, tellement il aimait ça.
Il appréciait aussi d’avoir été tiré de son sommeil pour ce moment de plaisir et d’intimité, au petit matin. Il aimait tellement les relations sexuelles avec Samir. Mille fois plus qu’avec tout autre.
A présent, Samir l’étouffait de son fessier, mais Eric arrivait quand même à lécher sa rondelle, qu’il aimait tant.
- Bouge, mets toi dans le sens normal.
Il s’exécuta. Samir monta sur le lit, se mit à genoux près de son visage, et lui tendit sa queue, cette fois bien en érection. Eric aimait sentir cette dureté dans sa bouche.
Samir, pour plus de plaisir, empoigna sa tête et la plaqua contre lui. Eric pouvait à peine respirer mais continuait à lui aspirer le chibre goulûment.
- Descends un peu.
Toujours à genoux, il passa derrière lui et posa à nouveau ses fesses et ses couilles sur son visage.
- Bouffe.
Eric ne se fit pas prier, et lécha bien à fond cette partie si intime de l’anatomie de Samir, qu’il entendait gémir doucement.
Il remarqua qu’il avait gardé son tee-shirt, blanc, qu’il mettait souvent pour dormir, et il lui passa les mains sous le vêtement pour caresser son torse imberbe et doux qu’il vénérait, presque autant que son cul.
Samir enleva son tee-shirt, ce qui permit à Eric de le caresser de plus belle. Il continuait à se régaler de son entrejambes, la tête enfouie dans son intimité, et sa langue allait des couilles à l’anus de Samir, tandis que ses mains caressaient son torse ou branlaient doucement sa queue dressée. Le pied.
Samir, qui était resté jusque là le haut du corps à la verticale, se pencha et approcha son visage de la bite d’Eric, bien en érection. Il l’empoigna, et, après l’avoir masturbée, commença à embrasser le gland, avant d’ouvrir sa bouche, et, peu à peu, de l’engloutir à l’intérieur.
Décidément, ce soir et cette nuit là, il s’en passait des choses nouvelles entre les deux hommes. C’était en effet la première fois que Samir prenait la bite d’Eric dans sa bouche. Eric en fut heureux, et même ému, et cela se traduisit par une érection maximale et un plaisir également à la hauteur.
Eric ferma les yeux, il resta le nez et la bouche coincés entre les fesses de Samir, la bouche ouverte, et la langue sortie, pile au niveau de son anus, mais il ne bougea plus. Il savourait le moment (rare et précieux) où Samir s’occupait de lui. Il se laissait sucer la bite, il écarta les jambes et releva le fessier pour mieux apprécier l’instant.
Samir en profita pour lui lécher les couilles, ce qu’il ne lui avait également jamais fait, et pour lui mettre des doigts dans le cul après les avoir bien salivés.
Eric, qui s’était dégagé de l’entrejambes de son compagnon, se mit alors à gémir bruyamment, ce qui décupla les mouvements de va-et-vient de Samir qui enfonçait ses doigts bien à fond à l’intérieur de lui.
- t’enlève pas s’il te plaît, continue à me manger le cul, lui demanda Samir.
- ouais, t’aimes ça ? répondit Eric (jusque là il se l’était toujours demandé) avant de s’exécuter.
- non ! répliqua Samir ironiquement, avant d’ajouter : à ton avis ?
Eric avait donc repris ses mouvements de lèche de l’anus de Samir, la tête à nouveau enfouie entre ses fesses, pendant que celui-ci continuait à bien le doigter.
Au bout d’un moment, Samir s’arrêta, se releva, décala un peu ses fesses, et présenta sa bite au niveau de la bouche d’Eric.
- allez, suce, prépare la bien, je vais te faire l’amour.
Là aussi, Eric fut surpris, heureux et ému de ces mots, également nouveaux de la part de Samir, il lui répondit, volontairement sur un autre ton, et en employant d’autres mots:
- oh oui, fais moi l’amour, baise-moi, je suis ton mec, je suis ta chose, je suis ta salope, je suis ta femme, je suis ta pute, je suis ta chienne... avant d’ouvrir la bouche, et de le sucer.
Il le saliva du mieux qu’il put, en se disant que ce membre bien raide allait dans un instant le transpercer et le féconder.
- c’est bon, l’interrompit Samir, qui se retira et lui dit :
- allonge-toi bien.
Eric se mit au milieu du lit, sur le dos. Samir se mit sur lui, commença à se frotter contre lui. Eric mit ses bras autour de son corps, et le serra fort. Les deux hommes restèrent un moment comme ça, à se frotter et à gémir doucement. Samir avait enfoui sa tête par dessus l’épaule gauche d’Eric, qui avait fait de même.
Eric apposait des baisers sur la joue et l’épaule de Samir, celui-ci se releva légèrement, le regarda et vint poser sa bouche contre celle d’Eric, qui l’ouvrit, sortit sa langue, et la passa entre les lèvres de Samir, qui finit par les entrouvrir. Eric y glissa sa langue, qui vint au contact de celle de Samir, et, pour la première fois, les deux hommes qui, jusque là, se limitaient à des smacks, se roulèrent une pelle.
Eric, qui aimait tellement ça, était aux anges. Jusque là, il pouvait embrasser la terre entière, mais n’embrassait pas son mec, il en ressentait comme une légère frustration.
Il vécut donc pleinement ces instants d’extase, qui s’interrompirent assez vite.
Il sentit les jambes de Samir lui écarter les siennes.
- Relève-toi s’il te plaît.
Il était heureux car dans ces moments-là il était en présence du “vrai” Samir, gentil, prévenant, attentionné, pas celui de la veille au soir, après le départ d’Arnaud, qui avait joué un jeu, et même surjoué. Il n’avait pas aimé cette scène, même si, au final, elle lui avait permis de baiser Samir, il aurait aimé que cela se passe dans d’autres conditions.
- Attends je vais mettre un coussin, tu seras mieux.
Samir se dégagea un instant, et revint positionner un oreiller (pris dans sa chambre, juste à côté) sous son fessier.
Il lui releva les jambes, et, à son étonnement, mais pour son plus grand plaisir, il vint lui lécher le cul, ce que, là encore, il ne lui avait jamais fait, même pas tout à l’heure quand il l’avait sucé.
Eric gémissait sous les coups de langue de Samir qui léchait son orifice de façon très agréable. Il le sentit s’ouvrir, et, à nouveau, les doigts de Samir qui le pénétraient et l’élargissaient. Il était vraiment prêt pour y accueillir sa bite.
Samir se mit sur lui, l’embrassa, les deux hommes se frottèrent même la langue, à tous deux sortie. Il releva ses jambes tout en le doigtant, puis vint coller sa bite contre son anus et l’enfonça. Elle rentra sans problème, l’excitation d’Eric facilitant les choses.
Très rapidement, il entama des mouvements de va-et-vient réguliers et soutenus, les mains appuyés sur ses épaules.
Eric était comme basculé en arrière, ses jambes quasiment au contact de son corps, sous le poids de celui de Samir, qui s’était penché en avant jusqu’à poser sa bouche au contact de la sienne, pour lui faire un smack.
Les deux hommes restèrent quelques instants leurs bouches collées, jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus tenir cette position.
Samir se releva, revint mettre le haut de son corps quasiment à la verticale, désormais à genoux sur le lit.
Eric soupirait la bouche ouverte, sous les assauts de Samir dont il sentait la bite, et même sa forme, bien en lui.
Son regard était plongé dans le regard de Samir, qui, malgré l’effort, lui fit un léger sourire.
Il avait maintenant les mains posées sur chacune de ses jambes, ce qui lui permettait d’avoir la meilleure position pour l’enculer bien à fond. Eric avait mis ses mains sur ses fesses, qu’il sentait bien fermes. Samir se pencha à nouveau, et vint positionner son visage à hauteur du sien, jusqu’à lui rouler une nouvelle pelle, Eric ne s’en fit pas prier, et embrassa son compagnon avec fougue.
Lorsque Samir retira sa bouche, il remit ses mains sur les épaules d’Eric, et reprit ses va-et-vient, qu’il ralentit quelque peu, ce qui lui permettait, lors de chacun d’eux, d’enfoncer sa bite bien à fond à l’intérieur d’Eric.
Ralentir la cadence permettait aussi d’éviter de jouir trop vite, et de prolonger ce moment de plaisir intense.
Il se releva, revint à la verticale, écarta les jambes d’Eric et vint lui mettre dans la bouche les doigts de sa main droite, qu’Eric lécha goulûment.
Le mouvement de va-et-vient étant alors très ralenti, Samir se pencha à nouveau et, à nouveau, embrassa Eric langoureusement, pour le plus grand plaisir de ce dernier.
Samir se releva, et reprit alors des mouvements de va-et-vient rapides, un peu saccadés. Il alterna ensuite des mouvements rapides et des mouvements lents, ce qui augmentait son plaisir, et, bien évidemment, celui d’Eric. Celui-ci se laissait complètement faire, s’était depuis longtemps abandonné, et savourait les moments qu’il vivait, et que lui faisait vivre Samir, qui, avec sa main droite, lui donnait des tapes sur la fesse gauche et le haut des cuisses.
Samir eut envie de changer de position, et de continuer ce rapport bien chaud dans sa position favorite, celle qu’il affectionnait quand il prenait un mec : par derrière.
Il demanda à Eric de se mettre à quatre pattes sur le lit, et de se pencher bien en avant. Il se positionna derrière son cul, et le pénétra d’un coup.
Eric, qui se laissait toujours faire, essayait de tourner la tête pour continuer à voir Samir. Il sentait sa bite raide toujours bien en lui. Samir avait à présent le corps totalement à la verticale. Il aimait cette position car elle permettait à sa bite d’être bien à l’horizontale. De ce fait ses mouvements de va-et-vient lui semblaient plus faciles, et, surtout, il pouvait rentrer sa bite plus complètement dans l’orifice d’Eric qui fermait les yeux sous ses coups de rein.
Il avait intensifié ses mouvements de va-et-vient, qu’il accompagnait de claques de sa main gauche sur la fesse droite d’Eric, puis de sa main droite sur sa fesse gauche.
Samir sentait que la sauce montait, mais il voulait retarder le moment de l’éjaculation.
Pour ce faire, il ralentit le mouvement de sa bite dans le fondement d’Eric, resta, avec sa jambe droite, dans la position à genoux, mais releva la jambe gauche et posa son pied sur le lit.
Ses deux mains étaient posées sur chaque fesse d’Eric, ses mouvements de va-et-vient étaient alors très ralentis, il remontait même sa queue à la limite de l’entrée de l’anus, avant de la rentrer au maximum qu’il pouvait.
Il changea encore de position, se mit sur la pointe des pieds, les jambes repliées, et le haut du corps en parallèle de celui d’Eric.
Il entama ainsi le pilonnement final, celui qui allait les conduire à l’extase.
Ses mouvements étaient devenus saccadés, désordonnés même.
Il arriva à embrasser Eric, qui gardait la tête tournée en arrière.
Tout en continuant à le prendre, il le releva et parvint à glisser sa main jusqu’à sa bite, qui était bien raide, humide au bout, et qu’il branla avec énergie.
Il ne fallut que quelques secondes à Eric pour cracher la sauce, dans un cri rauque et grave.
Samir le pilonna encore un peu, avant de retirer sa bite, de se branler et d’éjaculer sur le bas-ventre d’Eric, en gueulant de plaisir et de jouissance.
Les deux hommes mirent plusieurs minutes à reprendre complètement leur souffle, et, même, à pouvoir parler.
Samir resta un long moment le corps collé sur celui d’Eric.
Les deux hommes baignaient en quelque sorte dans leur sperme, mais se sentaient bien ainsi. Les draps iraient à la machine, ça n’avait aucune importance.
Lorsque Samir se releva enfin, il vint s’allonger à côté d’Eric, qui put ainsi se mettre sur le dos.
Les deux hommes se tournèrent l’un vers l’autre, se prirent dans les bras, et s’embrassèrent langoureusement, et longuement.
Lorsqu’ils arrêtèrent de s’embrasser, ils restèrent enlacés, chacun la tête posée sur l’épaule de l’autre.
A travers les volets, ils se rendaient compte que le jour était maintenant bien levé. C’était dimanche matin, leur moment préféré de la semaine, ils avaient le temps, ils étaient bien.
Après le plan à trois avec Arnaud, puis la baise avec Samir, il s’était bien vidé les couilles et avait bien déchargé toute l’adrénaline qu’il avait emmagasinée pendant des heures et des jours.
Il avait pris un sacré pied, comme jamais, et, après un petit moment calme et câlin sur le canapé, avec son homme, il n’avait eu qu’une envie, c’était d’aller se coucher et de dormir.
De toute façon Eric était un couche-tôt, et un lêve-tôt, ça allait de pair, car, en plus, il pouvait s’endormir à n’importe quelle heure, il se réveillait toujours à la même.
Il valait donc mieux aller se coucher pas trop tard.
Il devait dormir assez profondément quand il ressentit une drôle de sensation. Pendant un long moment, il ne savait pas s’il rêvait ou si c’était réel. Il sentit une présence, un poids, une chaleur.
Quand il réussit à ouvrir les yeux, la chambre était dans la pénombre, signe que le jour s’était levé et que la lumière passait à travers les volets, qui ne sont jamais totalement étanches.
Il se rendit compte qu’il était au milieu du lit, en travers, et sur la couette. Il avait même la tête au bord du lit, penchée légèrement en arrière.
C’est alors qu’il comprit ce qui se passait.
Samir était debout, derrière lui, contre le lit, les jambes écartées, les couilles et les fesses, qu’il remuait doucement, posées sur son visage.
Il ouvrit la bouche, et Samir y enfonça sa bite qui s’était allongée, mais était encore un peu molle.
Eric n’était pas trop bien réveillé, mais il apprécia le goût de ce membre, qu’il sentit assez vite durcir dans sa bouche.
Samir fit aller et venir sa bite dans la bouche de son mec, il savait qu’il aimait ça, en plus il faisait ça bien, et, lui, il adorait se faire sucer.
Eric ne fit pas que la garder en bouche, il la sortait de temps en temps pour lécher le manche et descendre sur les couilles, puis sur l’anus.
Dans cette position, tout était à portée, et il allait de l’un à l’autre, en humectant tout de sa salive.
Là il se sentait bien réveillé, et il se régalait, tellement il aimait ça.
Il appréciait aussi d’avoir été tiré de son sommeil pour ce moment de plaisir et d’intimité, au petit matin. Il aimait tellement les relations sexuelles avec Samir. Mille fois plus qu’avec tout autre.
A présent, Samir l’étouffait de son fessier, mais Eric arrivait quand même à lécher sa rondelle, qu’il aimait tant.
- Bouge, mets toi dans le sens normal.
Il s’exécuta. Samir monta sur le lit, se mit à genoux près de son visage, et lui tendit sa queue, cette fois bien en érection. Eric aimait sentir cette dureté dans sa bouche.
Samir, pour plus de plaisir, empoigna sa tête et la plaqua contre lui. Eric pouvait à peine respirer mais continuait à lui aspirer le chibre goulûment.
- Descends un peu.
Toujours à genoux, il passa derrière lui et posa à nouveau ses fesses et ses couilles sur son visage.
- Bouffe.
Eric ne se fit pas prier, et lécha bien à fond cette partie si intime de l’anatomie de Samir, qu’il entendait gémir doucement.
Il remarqua qu’il avait gardé son tee-shirt, blanc, qu’il mettait souvent pour dormir, et il lui passa les mains sous le vêtement pour caresser son torse imberbe et doux qu’il vénérait, presque autant que son cul.
Samir enleva son tee-shirt, ce qui permit à Eric de le caresser de plus belle. Il continuait à se régaler de son entrejambes, la tête enfouie dans son intimité, et sa langue allait des couilles à l’anus de Samir, tandis que ses mains caressaient son torse ou branlaient doucement sa queue dressée. Le pied.
Samir, qui était resté jusque là le haut du corps à la verticale, se pencha et approcha son visage de la bite d’Eric, bien en érection. Il l’empoigna, et, après l’avoir masturbée, commença à embrasser le gland, avant d’ouvrir sa bouche, et, peu à peu, de l’engloutir à l’intérieur.
Décidément, ce soir et cette nuit là, il s’en passait des choses nouvelles entre les deux hommes. C’était en effet la première fois que Samir prenait la bite d’Eric dans sa bouche. Eric en fut heureux, et même ému, et cela se traduisit par une érection maximale et un plaisir également à la hauteur.
Eric ferma les yeux, il resta le nez et la bouche coincés entre les fesses de Samir, la bouche ouverte, et la langue sortie, pile au niveau de son anus, mais il ne bougea plus. Il savourait le moment (rare et précieux) où Samir s’occupait de lui. Il se laissait sucer la bite, il écarta les jambes et releva le fessier pour mieux apprécier l’instant.
Samir en profita pour lui lécher les couilles, ce qu’il ne lui avait également jamais fait, et pour lui mettre des doigts dans le cul après les avoir bien salivés.
Eric, qui s’était dégagé de l’entrejambes de son compagnon, se mit alors à gémir bruyamment, ce qui décupla les mouvements de va-et-vient de Samir qui enfonçait ses doigts bien à fond à l’intérieur de lui.
- t’enlève pas s’il te plaît, continue à me manger le cul, lui demanda Samir.
- ouais, t’aimes ça ? répondit Eric (jusque là il se l’était toujours demandé) avant de s’exécuter.
- non ! répliqua Samir ironiquement, avant d’ajouter : à ton avis ?
Eric avait donc repris ses mouvements de lèche de l’anus de Samir, la tête à nouveau enfouie entre ses fesses, pendant que celui-ci continuait à bien le doigter.
Au bout d’un moment, Samir s’arrêta, se releva, décala un peu ses fesses, et présenta sa bite au niveau de la bouche d’Eric.
- allez, suce, prépare la bien, je vais te faire l’amour.
Là aussi, Eric fut surpris, heureux et ému de ces mots, également nouveaux de la part de Samir, il lui répondit, volontairement sur un autre ton, et en employant d’autres mots:
- oh oui, fais moi l’amour, baise-moi, je suis ton mec, je suis ta chose, je suis ta salope, je suis ta femme, je suis ta pute, je suis ta chienne... avant d’ouvrir la bouche, et de le sucer.
Il le saliva du mieux qu’il put, en se disant que ce membre bien raide allait dans un instant le transpercer et le féconder.
- c’est bon, l’interrompit Samir, qui se retira et lui dit :
- allonge-toi bien.
Eric se mit au milieu du lit, sur le dos. Samir se mit sur lui, commença à se frotter contre lui. Eric mit ses bras autour de son corps, et le serra fort. Les deux hommes restèrent un moment comme ça, à se frotter et à gémir doucement. Samir avait enfoui sa tête par dessus l’épaule gauche d’Eric, qui avait fait de même.
Eric apposait des baisers sur la joue et l’épaule de Samir, celui-ci se releva légèrement, le regarda et vint poser sa bouche contre celle d’Eric, qui l’ouvrit, sortit sa langue, et la passa entre les lèvres de Samir, qui finit par les entrouvrir. Eric y glissa sa langue, qui vint au contact de celle de Samir, et, pour la première fois, les deux hommes qui, jusque là, se limitaient à des smacks, se roulèrent une pelle.
Eric, qui aimait tellement ça, était aux anges. Jusque là, il pouvait embrasser la terre entière, mais n’embrassait pas son mec, il en ressentait comme une légère frustration.
Il vécut donc pleinement ces instants d’extase, qui s’interrompirent assez vite.
Il sentit les jambes de Samir lui écarter les siennes.
- Relève-toi s’il te plaît.
Il était heureux car dans ces moments-là il était en présence du “vrai” Samir, gentil, prévenant, attentionné, pas celui de la veille au soir, après le départ d’Arnaud, qui avait joué un jeu, et même surjoué. Il n’avait pas aimé cette scène, même si, au final, elle lui avait permis de baiser Samir, il aurait aimé que cela se passe dans d’autres conditions.
- Attends je vais mettre un coussin, tu seras mieux.
Samir se dégagea un instant, et revint positionner un oreiller (pris dans sa chambre, juste à côté) sous son fessier.
Il lui releva les jambes, et, à son étonnement, mais pour son plus grand plaisir, il vint lui lécher le cul, ce que, là encore, il ne lui avait jamais fait, même pas tout à l’heure quand il l’avait sucé.
Eric gémissait sous les coups de langue de Samir qui léchait son orifice de façon très agréable. Il le sentit s’ouvrir, et, à nouveau, les doigts de Samir qui le pénétraient et l’élargissaient. Il était vraiment prêt pour y accueillir sa bite.
Samir se mit sur lui, l’embrassa, les deux hommes se frottèrent même la langue, à tous deux sortie. Il releva ses jambes tout en le doigtant, puis vint coller sa bite contre son anus et l’enfonça. Elle rentra sans problème, l’excitation d’Eric facilitant les choses.
Très rapidement, il entama des mouvements de va-et-vient réguliers et soutenus, les mains appuyés sur ses épaules.
Eric était comme basculé en arrière, ses jambes quasiment au contact de son corps, sous le poids de celui de Samir, qui s’était penché en avant jusqu’à poser sa bouche au contact de la sienne, pour lui faire un smack.
Les deux hommes restèrent quelques instants leurs bouches collées, jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus tenir cette position.
Samir se releva, revint mettre le haut de son corps quasiment à la verticale, désormais à genoux sur le lit.
Eric soupirait la bouche ouverte, sous les assauts de Samir dont il sentait la bite, et même sa forme, bien en lui.
Son regard était plongé dans le regard de Samir, qui, malgré l’effort, lui fit un léger sourire.
Il avait maintenant les mains posées sur chacune de ses jambes, ce qui lui permettait d’avoir la meilleure position pour l’enculer bien à fond. Eric avait mis ses mains sur ses fesses, qu’il sentait bien fermes. Samir se pencha à nouveau, et vint positionner son visage à hauteur du sien, jusqu’à lui rouler une nouvelle pelle, Eric ne s’en fit pas prier, et embrassa son compagnon avec fougue.
Lorsque Samir retira sa bouche, il remit ses mains sur les épaules d’Eric, et reprit ses va-et-vient, qu’il ralentit quelque peu, ce qui lui permettait, lors de chacun d’eux, d’enfoncer sa bite bien à fond à l’intérieur d’Eric.
Ralentir la cadence permettait aussi d’éviter de jouir trop vite, et de prolonger ce moment de plaisir intense.
Il se releva, revint à la verticale, écarta les jambes d’Eric et vint lui mettre dans la bouche les doigts de sa main droite, qu’Eric lécha goulûment.
Le mouvement de va-et-vient étant alors très ralenti, Samir se pencha à nouveau et, à nouveau, embrassa Eric langoureusement, pour le plus grand plaisir de ce dernier.
Samir se releva, et reprit alors des mouvements de va-et-vient rapides, un peu saccadés. Il alterna ensuite des mouvements rapides et des mouvements lents, ce qui augmentait son plaisir, et, bien évidemment, celui d’Eric. Celui-ci se laissait complètement faire, s’était depuis longtemps abandonné, et savourait les moments qu’il vivait, et que lui faisait vivre Samir, qui, avec sa main droite, lui donnait des tapes sur la fesse gauche et le haut des cuisses.
Samir eut envie de changer de position, et de continuer ce rapport bien chaud dans sa position favorite, celle qu’il affectionnait quand il prenait un mec : par derrière.
Il demanda à Eric de se mettre à quatre pattes sur le lit, et de se pencher bien en avant. Il se positionna derrière son cul, et le pénétra d’un coup.
Eric, qui se laissait toujours faire, essayait de tourner la tête pour continuer à voir Samir. Il sentait sa bite raide toujours bien en lui. Samir avait à présent le corps totalement à la verticale. Il aimait cette position car elle permettait à sa bite d’être bien à l’horizontale. De ce fait ses mouvements de va-et-vient lui semblaient plus faciles, et, surtout, il pouvait rentrer sa bite plus complètement dans l’orifice d’Eric qui fermait les yeux sous ses coups de rein.
Il avait intensifié ses mouvements de va-et-vient, qu’il accompagnait de claques de sa main gauche sur la fesse droite d’Eric, puis de sa main droite sur sa fesse gauche.
Samir sentait que la sauce montait, mais il voulait retarder le moment de l’éjaculation.
Pour ce faire, il ralentit le mouvement de sa bite dans le fondement d’Eric, resta, avec sa jambe droite, dans la position à genoux, mais releva la jambe gauche et posa son pied sur le lit.
Ses deux mains étaient posées sur chaque fesse d’Eric, ses mouvements de va-et-vient étaient alors très ralentis, il remontait même sa queue à la limite de l’entrée de l’anus, avant de la rentrer au maximum qu’il pouvait.
Il changea encore de position, se mit sur la pointe des pieds, les jambes repliées, et le haut du corps en parallèle de celui d’Eric.
Il entama ainsi le pilonnement final, celui qui allait les conduire à l’extase.
Ses mouvements étaient devenus saccadés, désordonnés même.
Il arriva à embrasser Eric, qui gardait la tête tournée en arrière.
Tout en continuant à le prendre, il le releva et parvint à glisser sa main jusqu’à sa bite, qui était bien raide, humide au bout, et qu’il branla avec énergie.
Il ne fallut que quelques secondes à Eric pour cracher la sauce, dans un cri rauque et grave.
Samir le pilonna encore un peu, avant de retirer sa bite, de se branler et d’éjaculer sur le bas-ventre d’Eric, en gueulant de plaisir et de jouissance.
Les deux hommes mirent plusieurs minutes à reprendre complètement leur souffle, et, même, à pouvoir parler.
Samir resta un long moment le corps collé sur celui d’Eric.
Les deux hommes baignaient en quelque sorte dans leur sperme, mais se sentaient bien ainsi. Les draps iraient à la machine, ça n’avait aucune importance.
Lorsque Samir se releva enfin, il vint s’allonger à côté d’Eric, qui put ainsi se mettre sur le dos.
Les deux hommes se tournèrent l’un vers l’autre, se prirent dans les bras, et s’embrassèrent langoureusement, et longuement.
Lorsqu’ils arrêtèrent de s’embrasser, ils restèrent enlacés, chacun la tête posée sur l’épaule de l’autre.
A travers les volets, ils se rendaient compte que le jour était maintenant bien levé. C’était dimanche matin, leur moment préféré de la semaine, ils avaient le temps, ils étaient bien.
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