Plus on est de fous …
Récit érotique écrit par Labruyère [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2024 dans la catégorie Plus on est
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Plus on est de fous …
Voilà plus de deux mois que le nouvel an est passé, et il m’arrive encore de penser à cette fille au regard de braise. Je me réveille le matin excité, me remémorant presque malgré moi cette nuit brûlante.
Les deux filles avec qui j’ai couché depuis n’ont pas éclipsé celle que j’appelle à présent « ma Vénus ».
Pour la première fille, j’étais trop saoul et probablement trop peu intéressé.
Pour la seconde, je ne dirai pas que le très classique et très courtois missionnaire du samedi soir ait laissé en moi une empreinte éternelle.
Je vous en parle de nouveau aujourd’hui, car ma nymphe vient de me contacter par message il y a dix minutes.
J’ai reçu ce matin un très succinct « Salut toi, je ne sais pas si tu te souviens de moi, mais on s’est « croisé » au nouvel an de cette année. Je voulais savoir comment tu allais. Bisous »
Je réponds rapidement que tout va bien pour moi et lui retourne sa question.
Elle renvoie « Très bien, très bien de mon côté. Je t’ai contacté, car je repensais à toi. Je ne sais pas si tu vas bien le prendre, mais crois-moi, pour moi, c’est un compliment, tu fais partie des meilleurs coups que j’ai eu. »
Je l’en remercie en ajoutant que venant d’elle, c’est un éloge qui a d’autant plus de valeur qu’elle possède de nombreux éléments de comparaison.
Je reçois « oui, c’est vrai (avec un smiley qui rougit). D’ailleurs, j’organise une rencontre entre les différents « compétiteurs » (smiley qui rit) chez moi vendredi soir. J’ai bien sûr pensé à toi. »
« Que me propose-t-elle ? » Pensais-je. Mon excitation montait soudain.
Je remarque qu’elle ne m’a pas posé directement la question de savoir si je souhaitais venir ou non.
Je n’ai jamais participé à ce genre de « rencontre ».
Le temps passe et je ne réponds pas à son dernier message. Le soir, je m’imagine des scènes d’orgies en me demandant si je me sentirais à l’aise et si je pourrais profiter du moment, ou si, une fois nu, je ne chercherais pas à fuir rapidement.
Une journée passe et je ne pense qu’à cela. Je me couche sans parvenir à trouver le sommeil. Sous les coups de trois heures du matin, épuisé, je revois par flash son cul que je pénètre lentement, et j’entends distinctement ses gémissements et ses cris étouffés dans l’oreiller.
Je me décide à lui répondre. « Pourquoi pas ? On serait combien ? »
Je me recouche en regrettant presque de me mettre partiellement engagé.
Cinq minutes plus tard, mon téléphone s’allume dans la nuit et je reçois sa réponse.
« Avec toi, on sera quatre en tout (avec un smiley qui sourit) »
Ma première réaction a été de penser que c’était décidément une créature de la nuit pour répondre à une heure pareille, et deuxièmement, le « faible » nombre de participants a eu tendance à me rassurer.
Je lui réponds que ce serait avec plaisir, mais que je ne sais pas si je pourrais rester longtemps, étant donné que j’ai pas mal de travail à faire chez moi samedi. Ainsi, je m’engage en me laissant une excuse pour partir au cas où je serais trop mal à l’aise.
Presque immédiatement après avoir envoyé mon message, je reçois : « Pas de problèmes, c’est déjà super que tu puisses passer. J’habite au 22 avenue d’Italie dans le treizième à Paris. À vendredi donc. Dort bien, s’il te reste encore quelques heures de sommeil. (Avec un smiley qui envoie un cœur) »
Ça y est, j’ai mis le premier pas sur l’escalier qui mène au plus grand toboggan du parc d’attraction.
Les jours passent et, étonnement, je ne pense pas particulièrement à l’évènement à venir. Je suis étrangement serein.
Vient le vendredi soir. La tension augmente de nouveau pendant que je me prépare dans ma salle de bain. Je m’habille de façon assez sobre, tout en restant élégant avec une chemise à carreau et un jean avec une coupe près du corps.
J’écoute de la musique dans les transports, de façon à détourner mon attention et à rester calme.
Je suis dans sa rue et mon cœur commence à battre plus fort et plus vite. Je dois rester dans l’action, trouver rapidement son appartement, monter quatre à quatre les marches et ne pas me poser de questions.
Ça y est, je me trouve devant son immeuble. Je sonne. Personne ne répond, mais on ouvre la porte. Je trouve son nom sur le tableau d’affichage du sasse de l’entrée, à côté duquel est indiqué le bâtiment et l’étage de son appartement.
D’un pas décidé et faussement décontracté, je marche dans la cour et grimpe à pied les trois étages.
Il y a deux portes d’appartement sur le pallier. J’entends nettement de la musique et des gens qui parlent derrière la porte de gauche. Je sonne à nouveau.
On ouvre et je retrouve cette fille encore plus belle qu’elle ne semblait l’être la dernière fois. Elle a les cheveux coupés mi-long, châtains avec des mèches blondes, de grands yeux bleus en amande, une bouche rouge pulpeuse, avec une lèvre inférieure légèrement plus charnue, un minois de poupée russe, une jupe courte en daim marron, et un chemisier dans le genre qu’elle portait à nouvel an, c’est-à-dire avec un décolleté incroyablement sensuel. Elle est sexy et elle a du style.
« Salut ! Entre je t’en pris. » me dit-elle avec un grand sourire. Elle m’embrasse en prenant bien le temps d’apposer ses lèvres sur mes joues et en me prenant par la hanche. Elle m’invite à entrer.
J’avais ramené un très bon porto que je gardais dans un de mes placards en attendant une occasion spéciale.
« Ah, merci, c’est gentil ! » dit-elle en voyant la bouteille que je lui tendais.
« Viens, c’est par là », ajoute-elle en me désignant ce qui semblait être le salon.
La lumière tamisée laissait apparaitre une décoration et un ameublement d’un goût certain. Les deux canapés en velours bleus s’accordaient très bien avec les nombreuses plantes, les miroirs et bibelots dorés qui se trouvaient un peu partout dans la pièce.
Je trouvais là également deux jeunes hommes de ma tranche d’âge. Ils discutaient un verre à la main chacun devant une table basse remplie de biscuits apéro, d’olive et d’autres amuse-bouches.
« Salut ! » me lancent-ils en cœur.
« Salut ! » leur répondis-je, toujours avec mon air faussement décontracté.
D’approche chaleureuse, je me suis senti assez rapidement en confiance avec eux.
L’un était plutôt grand et brun et travaillait dans la finance, et l’autre, de taille moyenne, comme moi, était châtain foncé et travaillait dans l’évènementiel.
Nous entamâmes les présentations et discutâmes pendant cinq bonnes minutes, suffisamment pour que je me trouve tout à fait à l’aise et serein, dirons-nous. Nous nous étonnâmes de ne pas voir notre hôte qui lança à un moment depuis la cuisine, devant notre étonnement formulé à voix haute : « J’arrive, j’arrive, ne vous en faites pas ».
En effet, elle vint rapidement sur ses jambes minces et dénudées, les bras chargés de ce qui semblait être deux plats qu’elle avait préparés.
Nous lançâmes tous un « Ah merci ! » plus ou moins en même temps.
« Nous sommes bien accueillis ici », dit le grand brun.
« C’est normal… C’est moi qui vous remercie d’être venu », répondit-elle d’un air légèrement timide.
S’en sont suivies différentes discussions autour des métiers de chacun, de la situation amoureuse des uns et des autres, etc. Une heure passa et nous avions déjà bien bu. Nous fûmes tous probablement très contents de trouver des convives sympathiques et intéressants.
Les cadavres de bouteilles s’accumulaient au pied de la table basse. Nous parlions tous plus forts, et je trouvais à présent qu’il faisait trop chaud dans la pièce.
Le regard légèrement embué, je m’arrêtai un instant sur elle. Ses lèvres chaudes, ses cheveux souples et sa jupe qui remontait à mesure que la soirée se déroulait, dévoilant ses jambes sensuelles, firent monter le désir en moi.
« Ah, j’ai oublié les petits fours », dit-elle soudain.
Elle se lève et, sans rabaisser sa robe, elle se dirige vers la cuisine.
« Je vais t’aider », ajoute le grand brun.
Je me retrouvais seul avec l’autre convive avec qui nous continuâmes notre discussion.
Cinq minutes passent et je m’étonne de ne pas les voir revenir. Je regarde en direction de la cuisine et je vois dans l’entrebâillement de la porte les jambes de notre hôte en angle par terre, indiquant vraisemblablement qu’elle est à genoux. À y regarder de plus près, on voit ses cheveux qui apparaissent par intermittence régulière.
« Je crois qu’ils ont commencé à s’amuser sans nous », lançai-je à mon collègue.
Quelques petites minutes plus tard, ils revinrent dans le salon, notre hôte en première.
« Désolée de vous avoir fait attendre », s’excusa-t-elle sans qu’aucun signe de remord ne vint agrémenter son discours.
Je sentais mon membre se raidir dans mon pantalon et l’excitation accélérer les battements de mon cœur lorsque je l’imaginais s’acoquiner dans la cuisine.
« Si nous jouions à un petit jeu ? » Proposa le grand brun qui semblait très à l’aise avec cette tension palpable dans la pièce.
« Nous allons tester tes compétences ? » Ajouta-t-il en la regardant.
« Pourquoi pas ? » répondit-elle, un sourire en coin des lèvres.
Il partit dans le couloir vers l’entrée et en ramena un petit châle en soie.
« Laisse-toi faire ». Il se plaça à côté d’elle et lui banda les yeux.
Elle sourit davantage et se laissa faire.
Il se tourne vers nous et précise : « Vous ne lui dites rien, hein ? »
Nous acquiesçons en silence.
Il commence par prendre un petit four présenté sur le plateau qu’elle avait apporté.
« Ouvre la bouche ».
Elle ouvre et nous apparaît sa langue rose.
« Hmmm. C’est bon ça… » dit-elle en riant et non sans provocation.
« C’est un petit four au fromage frais », ajouta-t-elle simplement.
Nous dîmes en cœur « Bravo ! »
Il lui fit goûter un autre petit four et elle trouva à nouveau l’aliment qui le composait.
Le grand brun se tourna doucement vers nous en nous faisant signe de ne rien dire.
Il s’approcha d’elle, lui demanda à nouveau d’ouvrir la bouche, et fit glisser très doucement l’index de sa main droite. Elle sourit immédiatement.
La bouche pleine de son doigt, elle dit : « Je me demande vraiment ce que c’est. Je vais bien le goûter pour pouvoir vous le dire.
Les mains sagement posées sur ses cuisses, elle fait des va et vient en impulsant de petits mouvements à sa tête.
L’excitation monta en moi violemment.
« À toi », me dit l’instigateur de ce jeu.
« On va te faire goûter différentes saveurs ».
Il retire son doigt. Pendant que je m’approche, elle garde la bouche à demi-ouverte en attendant que je vienne la remplir.
Je glisse doucement mon index également dans sa bouche chaude et humide et contemple l’érotisme intense de cette beauté, sagement appliqué à la tâche. Elle suce lentement mon doigt et commence à écarter légèrement les jambes.
L’organisateur vient se placer à côté d’elle et commence à lui caresser l’intérieur de la cuisse en la fixant. Spontanément, elle écarte un peu plus les jambes jusqu’à ce qu’elle soit largement ouverte. Sa culotte en dentelle blanche nous apparaît. Après quelques allers-retours le long de sa jambe, il finit par s’arrêter sur son entrejambe et y glisse sa main.
« Tu as l’air d’adorer les dégustations, toi. Elle est trempée… » dit-il en se tournant vers nous.
Elle retire mon doigt et ajoute : « Je n’ai pas tout goûté, je crois. »
Le dernier participant qui n’avait fait que regarder depuis le début se rapproche, je lui cède la place, et toujours devant cette bouche ouverte, il déboutonne son pantalon et en sort son sexe. Nous ne l’avions pas encore remarqué, car assez silencieux, mais il semblait brûler par l’excitation, presque hagard.
Il place sa queue devant la bouche de notre hôte et l’enfonce lentement.
On entend un net gémissement de satisfaction de la part de cette beauté qui semble être parvenue à l’endroit précis où elle souhaitait aboutir.
L’orgie a belle et bien commencé et, contrairement à ce que je pensais, je ne suis pas du tout mal à l’aise. L’excitation a une forme d’empire sur moi qui me fait me concentrer uniquement sur mes objectifs, celui de me satisfaire pleinement et de posséder cette femme.
Par des vas et vient avec sa bouche de moins en moins retenus et de plus en plus avides, elle se saisit du membre en même temps qu’elle le suce.
« Non, non, non. Pas avec les mains », interpelle le grand brun.
Il part dans le couloir et amène une autre écharpe. Il se place à côté de notre hôte et sans ménagement lui saisit les poignets, les place dans son dos et les lui lie.
Là, elle suça avec encore plus de vigueur celui qu’elle avait déjà en bouche.
Loin de se calmer, ce dernier s’emportait dans sa transe. Il devait trouver qu’elle ne le suçait pas assez rigoureusement, et il lui saisit les cheveux en formant une queue de cheval à l’arrière de sa nuque, pour accorder le rythme des vas et vient à son excitation débordante. Il était pris d’une forme de frénésie qui ne semblait pas effaroucher la belle, loin de là.
« Alors on peut lui faire ça… » Me disais-je en moi-même.
Je sortis à mon tour mon sexe, que je vins placer à hauteur de visage, sur sa droite, et je commençai à me masturber.
Je la trouvais à la fois tellement belle et tellement vicieuse, que le contraste des deux acheva de m’exciter.
Je touchai maintenant son visage en même temps que je me branlai.
Le grand brun décida de lui enlever le bandeau des yeux. Il pensait sans doute qu’elle n’avait plus besoin d’artifices pour nous être soumise.
Ses yeux magnifiques semblaient donner encore plus de vigueur à celui qu’elle suçait, puisqu’il accéléra le mouvement, si bien qu’il se retira subitement, comme pour s’empêcher de venir en elle. Elle sourit d’un air triomphant et lui lécha malicieusement le bout du gland qu’elle pouvait encore atteindre avec sa langue.
Il ne résista plus, et frénétiquement il pénétra de nouveau sa bouche en faisant de rapides allers-retours. Ses mouvements devinrent presque convulsifs, et dans un râle à peine contenu, il finit par lui jouir dans la bouche. Elle ne bougea pas et reçu tout sagement. Il lui lâcha les cheveux et vint s’asseoir sur le fauteuil en face du divan où elle se trouvait. Elle venait d’asséner le premier KO de la soirée.
« Dites donc, t’es très gourmande, toi ! T’as bien tout pris dans la bouche ? » demande le grand brun.
Elle ouvre docilement la bouche pour montrer son contenu blanc translucide. Le sperme commençait à couler aux commissures.
Elle se dépêche finalement d’avaler la décharge de notre collègue avant que davantage ne déborde.
« C’est bien, t’es une bonne hôte », conclut l’organisateur, tout en ouvrant à son tour son pantalon.
Le sexe à l’air dans une main, il la prit par le bras de l’autre main et positionna son buste sur le large accoudoir du canapé. Ainsi, les mains toujours liées dans le dos, elle était à genoux, prenant la largeur du divan, les fesses écartées. Je me dirigeai spontanément derrière elle, quand mon collègue encore valide se positionna devant. Avide, à la merci de ce grand homme, elle prit sans ménagement son sexe dans la bouche. Il s’activa à son tour, comme s’il se branlait avec sa jolie bouche rouge.
Moi, je contemplais ses magnifiques fesses rebondies, encore un peu cachées par sa jupe qui était largement remontée. Son tanga en dentelle blanc soulignait magnifiquement ses courbes.
Je lui retirai habilement sa jupe qui s’ouvrait sur le côté, et finit par faire glisser doucement sa culotte le long de ses jambes pour enfin l’enlever.
S’offrait à moi l’une des plus belles visions du monde, à savoir la délicate chatte épilée et légèrement rosée de celle que j’appelais « la déesse ».
Je saisis avec mes deux mains ses fesses douces et fermes à la fois, et je les écartai pour qu’elle se dévoila totalement à moi.
Je décidai de plonger ma langue dans sa chatte pour la goûter. Elle sentait quelque chose entre la fraise et la transpiration.
Je remontai avec ma langue jusqu’à son anus, et assez vite elle écarta encore plus ses jambes afin de s’ouvrir davantage, et je perçus du fait des petits coups de son corps sur mon visage, qu’elle s’affairait davantage à la tâche de son côté.
Quand son entrejambe fut bien ouvert et son anus lubrifié, je me dressai au-dessus d’elle. J’écartai sa fesse d’une main pour ouvrir son sexe, et de l’autre je guidai ma verge en sa direction.
Elle était serrée, mais aussi très mouillée, si bien qu’avec trois coups de bassin, je m’enfonçais profondément en elle. Elle poussa un fort gémissement, étouffé par la queue qui lui obturait l’entrée de la bouche.
Je la baisais en enfonçant mon sexe jusqu’à la garde, et m’activais à présent cramponné à ses magnifiques fesses.
Notre ami l’éjaculateur quasi-précoce avait commencé à reprendre du poil de la bête, et il revint dans la partie en se masturbant sur le dos et les fesses de notre hôte. Il semblait prendre un plaisir certain à la parcourir du bout de son gland.
Puis après un certain temps, sans dire un mot, il se plaça avec une grande dextérité sous notre nymphe. Il lui lécha avidement les seins et lui prit les fesses avant de les écarter. Je retirai mes mains afin de le laisser faire.
Le grand brun se pencha sur elle, et pendant qu’elle avait encore sa bite dans la bouche, il lui à écarta les jambes de sa main en se courbant sur elle, jusqu’à ce qu’elle soit suffisamment basse pour que sa chatte touche le membre du collègue allongé sous elle.
J’accompagnai le mouvement et m’abaissai également.
Elle commençait à faire des mouvements de bassin afin de se frotter en même temps que je continuai de la baiser.
Pris de compassion pour mon collègue qui devait attendre sur le palier sans pouvoir profiter pleinement de la fête à l’intérieur, je me retirai de sa chatte si douce pour lui laisser la place. Il comprit bien vite la manœuvre et assura la continuité du service en la pénétrant promptement.
Ce gars avait une forme de frénésie dans sa façon de baiser. Il la prit vigoureusement en enchainant très rapidement les vas et viens. Ce qui ne semblait pas déplaire à notre hôte, qui dut même extraire la queue du grand brun en tournant sa tête afin d’hurler de plaisir.
Ce dernier, le membre en l’air, détacha les mains de la belle, qui put donc se redresser de toute sa superbe sur notre collègue affairé à la tâche. Nous la regardions tous deux ébahis par la beauté de ce corps qui ondulait lascivement sur ce satyre avide de jouissance.
L’organisateur de parties fines, qui était plein de ressources, prit le téléphone de notre hôte posé sur la table basse avec lequel il commença à filmer la scène.
Bien loin de la rebuter, cela sembla la galvaniser et on la vit se déhancher de plus belle en se tenant les cheveux et criant encore plus fort. Cette séquence viendra enrichir sa collection personnelle me dis-je.
Au bout de deux minutes environ, notre déesse nous interpella doucement : « C’est gentil de maté, mais il ne faudrait pas me délaisser non plus ».
Le message était clair.
Le grand brun me regarda et lâcha un pragmatique : « Je suis désolé, mais je crois que ça sera plus simple pour elle si c’est moi qui passe par derrière. »
En effet, son membre n’était pas dépourvu de taille, mais le mien était plus large. J’abdiquai et me plaçai devant ma nymphe pendant qu’il faisait le tour.
Je vis son visage de plus près, elle avait les pommettes empourprées et son front était perlé de petites gouttes de transpiration.
« J’avais oublié que tu étais si bien monté, toi », me lança-t-elle avant de prendre mon sexe à pleine bouche.
Le grand brun arrêta la chevauchée d’une main autoritaire placée sur la hanche de notre beauté, pendant qu’il tenait son membre et tâchait de l’introduire.
Je ne voyais pas directement l’action, mais j’avais une idée assez précise de là où nous en étions, puisque ma nymphe se crispa soudain, ferma les yeux, fronça ses sourcils et arrêta les va et vient de sa bouche sur ma queue.
« C’est bon ça ? » demanda le grand brun d’un air légèrement sardonique.
Elle ne répondit pas et resta concentrée et crispée.
« Ça y est, je suis dans ton cul », ajouta-t-il.
Les corps qui s’étaient figés un instant commencèrent à se mouvoir de nouveau.
Notre satyre du dessous reprit en accélérant ses coups de rein, le grand brun précautionneusement mais inéluctablement appuya ses allers et venus et elle reprit son adroit massage buccal.
Le train de la jouissance était en marche et cette beauté qui était baisée de la plus intense des façons semblait commencer à brûler de l’intérieur. Elle me suçait de plus en plus vite, puis frénétiquement, jusqu’à ce qu’elle se crispe cette fois violemment, qu’elle sorte ma bite de sa bouche et hurle un orgasme tel que je n’en avais jamais vu auparavant.
Mes collègues chauffés à blanc également accélérèrent. Nous nous trouvions au cœur d’un chaos orgasmique où tous les sens étaient saturés, où les corps étaient mêlés et où les cris et les râles des uns et des autres raisonnaient comme la finale d’une symphonie épique.
Au bout d’une minute notre nymphe semblait s’apaiser, encore étourdie de ce qu’elle venait de vivre, elle se dressa lentement de toute la superbe avec ce corps intensément érotique, et elle s’assit sur le divan.
Notre hyperactif se leva lui aussi pour lui laisser la place et se masturba énergiquement de la main droite. Elle se laissa faire docilement. Au bout de quelques secondes seulement, il lui éjacula sur la joue gauche ainsi que sur la bouche. Comme si cela ne suffisait pas, il finit par étaler avec son gland le sperme qui avait jailli sur sa bouche.
Le grand brun et moi-même, nous vîmes à notre tour réclamer notre part d’orgasme, et nous nous plaçâmes de part et d’autre de notre nymphe, toujours assise sur le divan.
Elle attendait que nous venions la recouvrir à notre tour.
Voir cette fille si docile et si perverse finit par m’amener au comble de l’excitation et, dans un mouvement rapide, je me plaçais devant son visage où ma bite scanda par un jet important la conclusion de cette brûlante affaire.
Le technicien de la perversité, lui qui avait toujours des idées et qui en voulait toujours plus, lui demanda d’ouvrir la bouche.
Elle s’exécuta et, en quelques secondes également, il lui jouit à l’intérieur. Elle en avala le contenu avant de se lever doucement et de s’éclipser dans le couloir qui menait aux profondeurs de son appartement.
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Les deux filles avec qui j’ai couché depuis n’ont pas éclipsé celle que j’appelle à présent « ma Vénus ».
Pour la première fille, j’étais trop saoul et probablement trop peu intéressé.
Pour la seconde, je ne dirai pas que le très classique et très courtois missionnaire du samedi soir ait laissé en moi une empreinte éternelle.
Je vous en parle de nouveau aujourd’hui, car ma nymphe vient de me contacter par message il y a dix minutes.
J’ai reçu ce matin un très succinct « Salut toi, je ne sais pas si tu te souviens de moi, mais on s’est « croisé » au nouvel an de cette année. Je voulais savoir comment tu allais. Bisous »
Je réponds rapidement que tout va bien pour moi et lui retourne sa question.
Elle renvoie « Très bien, très bien de mon côté. Je t’ai contacté, car je repensais à toi. Je ne sais pas si tu vas bien le prendre, mais crois-moi, pour moi, c’est un compliment, tu fais partie des meilleurs coups que j’ai eu. »
Je l’en remercie en ajoutant que venant d’elle, c’est un éloge qui a d’autant plus de valeur qu’elle possède de nombreux éléments de comparaison.
Je reçois « oui, c’est vrai (avec un smiley qui rougit). D’ailleurs, j’organise une rencontre entre les différents « compétiteurs » (smiley qui rit) chez moi vendredi soir. J’ai bien sûr pensé à toi. »
« Que me propose-t-elle ? » Pensais-je. Mon excitation montait soudain.
Je remarque qu’elle ne m’a pas posé directement la question de savoir si je souhaitais venir ou non.
Je n’ai jamais participé à ce genre de « rencontre ».
Le temps passe et je ne réponds pas à son dernier message. Le soir, je m’imagine des scènes d’orgies en me demandant si je me sentirais à l’aise et si je pourrais profiter du moment, ou si, une fois nu, je ne chercherais pas à fuir rapidement.
Une journée passe et je ne pense qu’à cela. Je me couche sans parvenir à trouver le sommeil. Sous les coups de trois heures du matin, épuisé, je revois par flash son cul que je pénètre lentement, et j’entends distinctement ses gémissements et ses cris étouffés dans l’oreiller.
Je me décide à lui répondre. « Pourquoi pas ? On serait combien ? »
Je me recouche en regrettant presque de me mettre partiellement engagé.
Cinq minutes plus tard, mon téléphone s’allume dans la nuit et je reçois sa réponse.
« Avec toi, on sera quatre en tout (avec un smiley qui sourit) »
Ma première réaction a été de penser que c’était décidément une créature de la nuit pour répondre à une heure pareille, et deuxièmement, le « faible » nombre de participants a eu tendance à me rassurer.
Je lui réponds que ce serait avec plaisir, mais que je ne sais pas si je pourrais rester longtemps, étant donné que j’ai pas mal de travail à faire chez moi samedi. Ainsi, je m’engage en me laissant une excuse pour partir au cas où je serais trop mal à l’aise.
Presque immédiatement après avoir envoyé mon message, je reçois : « Pas de problèmes, c’est déjà super que tu puisses passer. J’habite au 22 avenue d’Italie dans le treizième à Paris. À vendredi donc. Dort bien, s’il te reste encore quelques heures de sommeil. (Avec un smiley qui envoie un cœur) »
Ça y est, j’ai mis le premier pas sur l’escalier qui mène au plus grand toboggan du parc d’attraction.
Les jours passent et, étonnement, je ne pense pas particulièrement à l’évènement à venir. Je suis étrangement serein.
Vient le vendredi soir. La tension augmente de nouveau pendant que je me prépare dans ma salle de bain. Je m’habille de façon assez sobre, tout en restant élégant avec une chemise à carreau et un jean avec une coupe près du corps.
J’écoute de la musique dans les transports, de façon à détourner mon attention et à rester calme.
Je suis dans sa rue et mon cœur commence à battre plus fort et plus vite. Je dois rester dans l’action, trouver rapidement son appartement, monter quatre à quatre les marches et ne pas me poser de questions.
Ça y est, je me trouve devant son immeuble. Je sonne. Personne ne répond, mais on ouvre la porte. Je trouve son nom sur le tableau d’affichage du sasse de l’entrée, à côté duquel est indiqué le bâtiment et l’étage de son appartement.
D’un pas décidé et faussement décontracté, je marche dans la cour et grimpe à pied les trois étages.
Il y a deux portes d’appartement sur le pallier. J’entends nettement de la musique et des gens qui parlent derrière la porte de gauche. Je sonne à nouveau.
On ouvre et je retrouve cette fille encore plus belle qu’elle ne semblait l’être la dernière fois. Elle a les cheveux coupés mi-long, châtains avec des mèches blondes, de grands yeux bleus en amande, une bouche rouge pulpeuse, avec une lèvre inférieure légèrement plus charnue, un minois de poupée russe, une jupe courte en daim marron, et un chemisier dans le genre qu’elle portait à nouvel an, c’est-à-dire avec un décolleté incroyablement sensuel. Elle est sexy et elle a du style.
« Salut ! Entre je t’en pris. » me dit-elle avec un grand sourire. Elle m’embrasse en prenant bien le temps d’apposer ses lèvres sur mes joues et en me prenant par la hanche. Elle m’invite à entrer.
J’avais ramené un très bon porto que je gardais dans un de mes placards en attendant une occasion spéciale.
« Ah, merci, c’est gentil ! » dit-elle en voyant la bouteille que je lui tendais.
« Viens, c’est par là », ajoute-elle en me désignant ce qui semblait être le salon.
La lumière tamisée laissait apparaitre une décoration et un ameublement d’un goût certain. Les deux canapés en velours bleus s’accordaient très bien avec les nombreuses plantes, les miroirs et bibelots dorés qui se trouvaient un peu partout dans la pièce.
Je trouvais là également deux jeunes hommes de ma tranche d’âge. Ils discutaient un verre à la main chacun devant une table basse remplie de biscuits apéro, d’olive et d’autres amuse-bouches.
« Salut ! » me lancent-ils en cœur.
« Salut ! » leur répondis-je, toujours avec mon air faussement décontracté.
D’approche chaleureuse, je me suis senti assez rapidement en confiance avec eux.
L’un était plutôt grand et brun et travaillait dans la finance, et l’autre, de taille moyenne, comme moi, était châtain foncé et travaillait dans l’évènementiel.
Nous entamâmes les présentations et discutâmes pendant cinq bonnes minutes, suffisamment pour que je me trouve tout à fait à l’aise et serein, dirons-nous. Nous nous étonnâmes de ne pas voir notre hôte qui lança à un moment depuis la cuisine, devant notre étonnement formulé à voix haute : « J’arrive, j’arrive, ne vous en faites pas ».
En effet, elle vint rapidement sur ses jambes minces et dénudées, les bras chargés de ce qui semblait être deux plats qu’elle avait préparés.
Nous lançâmes tous un « Ah merci ! » plus ou moins en même temps.
« Nous sommes bien accueillis ici », dit le grand brun.
« C’est normal… C’est moi qui vous remercie d’être venu », répondit-elle d’un air légèrement timide.
S’en sont suivies différentes discussions autour des métiers de chacun, de la situation amoureuse des uns et des autres, etc. Une heure passa et nous avions déjà bien bu. Nous fûmes tous probablement très contents de trouver des convives sympathiques et intéressants.
Les cadavres de bouteilles s’accumulaient au pied de la table basse. Nous parlions tous plus forts, et je trouvais à présent qu’il faisait trop chaud dans la pièce.
Le regard légèrement embué, je m’arrêtai un instant sur elle. Ses lèvres chaudes, ses cheveux souples et sa jupe qui remontait à mesure que la soirée se déroulait, dévoilant ses jambes sensuelles, firent monter le désir en moi.
« Ah, j’ai oublié les petits fours », dit-elle soudain.
Elle se lève et, sans rabaisser sa robe, elle se dirige vers la cuisine.
« Je vais t’aider », ajoute le grand brun.
Je me retrouvais seul avec l’autre convive avec qui nous continuâmes notre discussion.
Cinq minutes passent et je m’étonne de ne pas les voir revenir. Je regarde en direction de la cuisine et je vois dans l’entrebâillement de la porte les jambes de notre hôte en angle par terre, indiquant vraisemblablement qu’elle est à genoux. À y regarder de plus près, on voit ses cheveux qui apparaissent par intermittence régulière.
« Je crois qu’ils ont commencé à s’amuser sans nous », lançai-je à mon collègue.
Quelques petites minutes plus tard, ils revinrent dans le salon, notre hôte en première.
« Désolée de vous avoir fait attendre », s’excusa-t-elle sans qu’aucun signe de remord ne vint agrémenter son discours.
Je sentais mon membre se raidir dans mon pantalon et l’excitation accélérer les battements de mon cœur lorsque je l’imaginais s’acoquiner dans la cuisine.
« Si nous jouions à un petit jeu ? » Proposa le grand brun qui semblait très à l’aise avec cette tension palpable dans la pièce.
« Nous allons tester tes compétences ? » Ajouta-t-il en la regardant.
« Pourquoi pas ? » répondit-elle, un sourire en coin des lèvres.
Il partit dans le couloir vers l’entrée et en ramena un petit châle en soie.
« Laisse-toi faire ». Il se plaça à côté d’elle et lui banda les yeux.
Elle sourit davantage et se laissa faire.
Il se tourne vers nous et précise : « Vous ne lui dites rien, hein ? »
Nous acquiesçons en silence.
Il commence par prendre un petit four présenté sur le plateau qu’elle avait apporté.
« Ouvre la bouche ».
Elle ouvre et nous apparaît sa langue rose.
« Hmmm. C’est bon ça… » dit-elle en riant et non sans provocation.
« C’est un petit four au fromage frais », ajouta-t-elle simplement.
Nous dîmes en cœur « Bravo ! »
Il lui fit goûter un autre petit four et elle trouva à nouveau l’aliment qui le composait.
Le grand brun se tourna doucement vers nous en nous faisant signe de ne rien dire.
Il s’approcha d’elle, lui demanda à nouveau d’ouvrir la bouche, et fit glisser très doucement l’index de sa main droite. Elle sourit immédiatement.
La bouche pleine de son doigt, elle dit : « Je me demande vraiment ce que c’est. Je vais bien le goûter pour pouvoir vous le dire.
Les mains sagement posées sur ses cuisses, elle fait des va et vient en impulsant de petits mouvements à sa tête.
L’excitation monta en moi violemment.
« À toi », me dit l’instigateur de ce jeu.
« On va te faire goûter différentes saveurs ».
Il retire son doigt. Pendant que je m’approche, elle garde la bouche à demi-ouverte en attendant que je vienne la remplir.
Je glisse doucement mon index également dans sa bouche chaude et humide et contemple l’érotisme intense de cette beauté, sagement appliqué à la tâche. Elle suce lentement mon doigt et commence à écarter légèrement les jambes.
L’organisateur vient se placer à côté d’elle et commence à lui caresser l’intérieur de la cuisse en la fixant. Spontanément, elle écarte un peu plus les jambes jusqu’à ce qu’elle soit largement ouverte. Sa culotte en dentelle blanche nous apparaît. Après quelques allers-retours le long de sa jambe, il finit par s’arrêter sur son entrejambe et y glisse sa main.
« Tu as l’air d’adorer les dégustations, toi. Elle est trempée… » dit-il en se tournant vers nous.
Elle retire mon doigt et ajoute : « Je n’ai pas tout goûté, je crois. »
Le dernier participant qui n’avait fait que regarder depuis le début se rapproche, je lui cède la place, et toujours devant cette bouche ouverte, il déboutonne son pantalon et en sort son sexe. Nous ne l’avions pas encore remarqué, car assez silencieux, mais il semblait brûler par l’excitation, presque hagard.
Il place sa queue devant la bouche de notre hôte et l’enfonce lentement.
On entend un net gémissement de satisfaction de la part de cette beauté qui semble être parvenue à l’endroit précis où elle souhaitait aboutir.
L’orgie a belle et bien commencé et, contrairement à ce que je pensais, je ne suis pas du tout mal à l’aise. L’excitation a une forme d’empire sur moi qui me fait me concentrer uniquement sur mes objectifs, celui de me satisfaire pleinement et de posséder cette femme.
Par des vas et vient avec sa bouche de moins en moins retenus et de plus en plus avides, elle se saisit du membre en même temps qu’elle le suce.
« Non, non, non. Pas avec les mains », interpelle le grand brun.
Il part dans le couloir et amène une autre écharpe. Il se place à côté de notre hôte et sans ménagement lui saisit les poignets, les place dans son dos et les lui lie.
Là, elle suça avec encore plus de vigueur celui qu’elle avait déjà en bouche.
Loin de se calmer, ce dernier s’emportait dans sa transe. Il devait trouver qu’elle ne le suçait pas assez rigoureusement, et il lui saisit les cheveux en formant une queue de cheval à l’arrière de sa nuque, pour accorder le rythme des vas et vient à son excitation débordante. Il était pris d’une forme de frénésie qui ne semblait pas effaroucher la belle, loin de là.
« Alors on peut lui faire ça… » Me disais-je en moi-même.
Je sortis à mon tour mon sexe, que je vins placer à hauteur de visage, sur sa droite, et je commençai à me masturber.
Je la trouvais à la fois tellement belle et tellement vicieuse, que le contraste des deux acheva de m’exciter.
Je touchai maintenant son visage en même temps que je me branlai.
Le grand brun décida de lui enlever le bandeau des yeux. Il pensait sans doute qu’elle n’avait plus besoin d’artifices pour nous être soumise.
Ses yeux magnifiques semblaient donner encore plus de vigueur à celui qu’elle suçait, puisqu’il accéléra le mouvement, si bien qu’il se retira subitement, comme pour s’empêcher de venir en elle. Elle sourit d’un air triomphant et lui lécha malicieusement le bout du gland qu’elle pouvait encore atteindre avec sa langue.
Il ne résista plus, et frénétiquement il pénétra de nouveau sa bouche en faisant de rapides allers-retours. Ses mouvements devinrent presque convulsifs, et dans un râle à peine contenu, il finit par lui jouir dans la bouche. Elle ne bougea pas et reçu tout sagement. Il lui lâcha les cheveux et vint s’asseoir sur le fauteuil en face du divan où elle se trouvait. Elle venait d’asséner le premier KO de la soirée.
« Dites donc, t’es très gourmande, toi ! T’as bien tout pris dans la bouche ? » demande le grand brun.
Elle ouvre docilement la bouche pour montrer son contenu blanc translucide. Le sperme commençait à couler aux commissures.
Elle se dépêche finalement d’avaler la décharge de notre collègue avant que davantage ne déborde.
« C’est bien, t’es une bonne hôte », conclut l’organisateur, tout en ouvrant à son tour son pantalon.
Le sexe à l’air dans une main, il la prit par le bras de l’autre main et positionna son buste sur le large accoudoir du canapé. Ainsi, les mains toujours liées dans le dos, elle était à genoux, prenant la largeur du divan, les fesses écartées. Je me dirigeai spontanément derrière elle, quand mon collègue encore valide se positionna devant. Avide, à la merci de ce grand homme, elle prit sans ménagement son sexe dans la bouche. Il s’activa à son tour, comme s’il se branlait avec sa jolie bouche rouge.
Moi, je contemplais ses magnifiques fesses rebondies, encore un peu cachées par sa jupe qui était largement remontée. Son tanga en dentelle blanc soulignait magnifiquement ses courbes.
Je lui retirai habilement sa jupe qui s’ouvrait sur le côté, et finit par faire glisser doucement sa culotte le long de ses jambes pour enfin l’enlever.
S’offrait à moi l’une des plus belles visions du monde, à savoir la délicate chatte épilée et légèrement rosée de celle que j’appelais « la déesse ».
Je saisis avec mes deux mains ses fesses douces et fermes à la fois, et je les écartai pour qu’elle se dévoila totalement à moi.
Je décidai de plonger ma langue dans sa chatte pour la goûter. Elle sentait quelque chose entre la fraise et la transpiration.
Je remontai avec ma langue jusqu’à son anus, et assez vite elle écarta encore plus ses jambes afin de s’ouvrir davantage, et je perçus du fait des petits coups de son corps sur mon visage, qu’elle s’affairait davantage à la tâche de son côté.
Quand son entrejambe fut bien ouvert et son anus lubrifié, je me dressai au-dessus d’elle. J’écartai sa fesse d’une main pour ouvrir son sexe, et de l’autre je guidai ma verge en sa direction.
Elle était serrée, mais aussi très mouillée, si bien qu’avec trois coups de bassin, je m’enfonçais profondément en elle. Elle poussa un fort gémissement, étouffé par la queue qui lui obturait l’entrée de la bouche.
Je la baisais en enfonçant mon sexe jusqu’à la garde, et m’activais à présent cramponné à ses magnifiques fesses.
Notre ami l’éjaculateur quasi-précoce avait commencé à reprendre du poil de la bête, et il revint dans la partie en se masturbant sur le dos et les fesses de notre hôte. Il semblait prendre un plaisir certain à la parcourir du bout de son gland.
Puis après un certain temps, sans dire un mot, il se plaça avec une grande dextérité sous notre nymphe. Il lui lécha avidement les seins et lui prit les fesses avant de les écarter. Je retirai mes mains afin de le laisser faire.
Le grand brun se pencha sur elle, et pendant qu’elle avait encore sa bite dans la bouche, il lui à écarta les jambes de sa main en se courbant sur elle, jusqu’à ce qu’elle soit suffisamment basse pour que sa chatte touche le membre du collègue allongé sous elle.
J’accompagnai le mouvement et m’abaissai également.
Elle commençait à faire des mouvements de bassin afin de se frotter en même temps que je continuai de la baiser.
Pris de compassion pour mon collègue qui devait attendre sur le palier sans pouvoir profiter pleinement de la fête à l’intérieur, je me retirai de sa chatte si douce pour lui laisser la place. Il comprit bien vite la manœuvre et assura la continuité du service en la pénétrant promptement.
Ce gars avait une forme de frénésie dans sa façon de baiser. Il la prit vigoureusement en enchainant très rapidement les vas et viens. Ce qui ne semblait pas déplaire à notre hôte, qui dut même extraire la queue du grand brun en tournant sa tête afin d’hurler de plaisir.
Ce dernier, le membre en l’air, détacha les mains de la belle, qui put donc se redresser de toute sa superbe sur notre collègue affairé à la tâche. Nous la regardions tous deux ébahis par la beauté de ce corps qui ondulait lascivement sur ce satyre avide de jouissance.
L’organisateur de parties fines, qui était plein de ressources, prit le téléphone de notre hôte posé sur la table basse avec lequel il commença à filmer la scène.
Bien loin de la rebuter, cela sembla la galvaniser et on la vit se déhancher de plus belle en se tenant les cheveux et criant encore plus fort. Cette séquence viendra enrichir sa collection personnelle me dis-je.
Au bout de deux minutes environ, notre déesse nous interpella doucement : « C’est gentil de maté, mais il ne faudrait pas me délaisser non plus ».
Le message était clair.
Le grand brun me regarda et lâcha un pragmatique : « Je suis désolé, mais je crois que ça sera plus simple pour elle si c’est moi qui passe par derrière. »
En effet, son membre n’était pas dépourvu de taille, mais le mien était plus large. J’abdiquai et me plaçai devant ma nymphe pendant qu’il faisait le tour.
Je vis son visage de plus près, elle avait les pommettes empourprées et son front était perlé de petites gouttes de transpiration.
« J’avais oublié que tu étais si bien monté, toi », me lança-t-elle avant de prendre mon sexe à pleine bouche.
Le grand brun arrêta la chevauchée d’une main autoritaire placée sur la hanche de notre beauté, pendant qu’il tenait son membre et tâchait de l’introduire.
Je ne voyais pas directement l’action, mais j’avais une idée assez précise de là où nous en étions, puisque ma nymphe se crispa soudain, ferma les yeux, fronça ses sourcils et arrêta les va et vient de sa bouche sur ma queue.
« C’est bon ça ? » demanda le grand brun d’un air légèrement sardonique.
Elle ne répondit pas et resta concentrée et crispée.
« Ça y est, je suis dans ton cul », ajouta-t-il.
Les corps qui s’étaient figés un instant commencèrent à se mouvoir de nouveau.
Notre satyre du dessous reprit en accélérant ses coups de rein, le grand brun précautionneusement mais inéluctablement appuya ses allers et venus et elle reprit son adroit massage buccal.
Le train de la jouissance était en marche et cette beauté qui était baisée de la plus intense des façons semblait commencer à brûler de l’intérieur. Elle me suçait de plus en plus vite, puis frénétiquement, jusqu’à ce qu’elle se crispe cette fois violemment, qu’elle sorte ma bite de sa bouche et hurle un orgasme tel que je n’en avais jamais vu auparavant.
Mes collègues chauffés à blanc également accélérèrent. Nous nous trouvions au cœur d’un chaos orgasmique où tous les sens étaient saturés, où les corps étaient mêlés et où les cris et les râles des uns et des autres raisonnaient comme la finale d’une symphonie épique.
Au bout d’une minute notre nymphe semblait s’apaiser, encore étourdie de ce qu’elle venait de vivre, elle se dressa lentement de toute la superbe avec ce corps intensément érotique, et elle s’assit sur le divan.
Notre hyperactif se leva lui aussi pour lui laisser la place et se masturba énergiquement de la main droite. Elle se laissa faire docilement. Au bout de quelques secondes seulement, il lui éjacula sur la joue gauche ainsi que sur la bouche. Comme si cela ne suffisait pas, il finit par étaler avec son gland le sperme qui avait jailli sur sa bouche.
Le grand brun et moi-même, nous vîmes à notre tour réclamer notre part d’orgasme, et nous nous plaçâmes de part et d’autre de notre nymphe, toujours assise sur le divan.
Elle attendait que nous venions la recouvrir à notre tour.
Voir cette fille si docile et si perverse finit par m’amener au comble de l’excitation et, dans un mouvement rapide, je me plaçais devant son visage où ma bite scanda par un jet important la conclusion de cette brûlante affaire.
Le technicien de la perversité, lui qui avait toujours des idées et qui en voulait toujours plus, lui demanda d’ouvrir la bouche.
Elle s’exécuta et, en quelques secondes également, il lui jouit à l’intérieur. Elle en avala le contenu avant de se lever doucement et de s’éclipser dans le couloir qui menait aux profondeurs de son appartement.
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