Polar
Récit érotique écrit par Camille [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Polar
Il n’y a pas que dans les polars américain qu’il y a des infiltrations policières dans le milieu.
Je m’appelle Camille, j’ai 24 ans et je suis dans la police depuis 2 ans. Célibataire, assez jolie et bien faite, je suis draguée en permanence par mes coéquipiers.
Il y a 1 an, mon chef m’a convoqué dans son bureau. Il m’expliqua pourquoi il m’avait choisi pour faire la taupe en s’infiltrant dans l’entourage d’un escroc (je ne vais pas dévoiler les identités dans cette histoire). Très dévouée à ce métier, j’acceptais malgré que ce soit un rôle de « pute ». D’ailleurs mon chef me regarda différemment et me proposa un dîner chez lui pour mettre en place la stratégie.
Le soir venu, je sonnais à sa porte en tenue civile. Je fus particulièrement bien accueillie par sa femme et le dîner fut très agréable.
Ensuite, nous sommes allés dans son bureau pour travailler. Tout en m’expliquant mon rôle, il ne manquait de me déshabiller du regard. La quarantaine à peine passé, c’est un bel homme doté d’un charme à faire craquer la gente féminine.
Les détails assimilés, nous nous sommes assis dans son canapé et il me proposa un verre. La conversation toujours accès sur notre affaire, il insistait sur la chance qu’allait avoir le bandit de profiter de moi et que pour une fois, il changerait bien de rôle.
Pas plus forte qu’une autre, j’étais séduite et lorsqu’il a posé sa main sur ma cuisse dénudée, je me suis laissée aller. De savoir sa femme dans la maison m’excitait d’autant plus.
Ne sentant pas de protestation, il s’osa à m’embrasser, baiser auquel je répondis. Une main s’insinua sous la bretelle de ma robe atteignant ainsi un sein libre de sous-vêtement. L’autre main retroussa le bas de ma robe et se posa sous mon string. Je gémissais déjà sous ses caresses. Il se leva et ferma à clé son bureau. Il se positionna debout devant moi en présentant un sexe raide devant ma bouche. Je l’engloutis sans hésiter. Quelques instant plus tard, il m’allongeait sur le canapé et je soulevais mes fesses pour qu’il ôte mon dernier rempart. Il s’étendit sur moi et me pénétra. Quelle jouissance de m’abandonner à cet homme. D’habitude très expressive, je faisais mon possible pour étouffer mon plaisir. Avant de jouir, il se dégagea et monta sur moi jusqu’à ce que je puisse le prendre en bouche. Son sexe avait déjà le goût de ma jouissance. De ses mains, il dirigeait son membre dans ma bouche. Ses gestes moins maîtrisés, je sentais son sexe gonfler et tout de suite après, il éjacula au fond de ma gorge. Je l’avalais avant de le nettoyer. Maintenant qu’il m’avait prise, il me dit être encore plus jaloux de ce salaud. C’est vrai que mes amants m’ont toujours félicité de mon savoir faire.
Il essaya même, en vain, de me dissuader d’acceptait de jouer la taupe.
Le lendemain soir, j’allais devenir mon nouveau personnage. Pendant le journée, mon chef à tout fait pour que l’on se retrouve seul. Désirant également une nouvelle aventure avec lui, je restais après le départ de mes collègues. Je suis entrée dans son bureau, l’ai fermé à clé. En m’avançant vers lui, j’ôtais la veste de mon uniforme, mon chemisier, mon soutien gorge. Il m’attrapa et en m’embrassant, défit le zip de ma jupe qui tomba au sol. Il me retourna et je pris appui sur son bureau. Il ôta alors mon string et me pénétra en écartant au maximum mes fesses. Ses coups de butoir étaient profonds et violent. Dans ma jouissance, mon oeillet s’ouvrit légèrement, ce qui ne lui échappa pas. Très excitait à cette vue, il lubrifia cette entrée de ma mouille. Contrairement à de nombreuses femmes, je prends beaucoup de plaisir à être prise par cette orifice. Il me pénétra lentement jusqu’à la garde. Une fois entièrement dans mon anus, il s’activa avec acharnement et éjacula assez rapidement au fond de mon cul. C’était pour lui une première et il m’étouffa d’éloges. Il me dit qu’il ne pourrait plus se passer de moi et depuis, je suis sa maîtresse. Ce qu’il déteste, c’est qu’il n’a pas l’exclusivité de mon corps et ça le met hors de lui lorsqu’il apprends une aventure.
Je m’appelle Camille, j’ai 24 ans et je suis dans la police depuis 2 ans. Célibataire, assez jolie et bien faite, je suis draguée en permanence par mes coéquipiers.
Il y a 1 an, mon chef m’a convoqué dans son bureau. Il m’expliqua pourquoi il m’avait choisi pour faire la taupe en s’infiltrant dans l’entourage d’un escroc (je ne vais pas dévoiler les identités dans cette histoire). Très dévouée à ce métier, j’acceptais malgré que ce soit un rôle de « pute ». D’ailleurs mon chef me regarda différemment et me proposa un dîner chez lui pour mettre en place la stratégie.
Le soir venu, je sonnais à sa porte en tenue civile. Je fus particulièrement bien accueillie par sa femme et le dîner fut très agréable.
Ensuite, nous sommes allés dans son bureau pour travailler. Tout en m’expliquant mon rôle, il ne manquait de me déshabiller du regard. La quarantaine à peine passé, c’est un bel homme doté d’un charme à faire craquer la gente féminine.
Les détails assimilés, nous nous sommes assis dans son canapé et il me proposa un verre. La conversation toujours accès sur notre affaire, il insistait sur la chance qu’allait avoir le bandit de profiter de moi et que pour une fois, il changerait bien de rôle.
Pas plus forte qu’une autre, j’étais séduite et lorsqu’il a posé sa main sur ma cuisse dénudée, je me suis laissée aller. De savoir sa femme dans la maison m’excitait d’autant plus.
Ne sentant pas de protestation, il s’osa à m’embrasser, baiser auquel je répondis. Une main s’insinua sous la bretelle de ma robe atteignant ainsi un sein libre de sous-vêtement. L’autre main retroussa le bas de ma robe et se posa sous mon string. Je gémissais déjà sous ses caresses. Il se leva et ferma à clé son bureau. Il se positionna debout devant moi en présentant un sexe raide devant ma bouche. Je l’engloutis sans hésiter. Quelques instant plus tard, il m’allongeait sur le canapé et je soulevais mes fesses pour qu’il ôte mon dernier rempart. Il s’étendit sur moi et me pénétra. Quelle jouissance de m’abandonner à cet homme. D’habitude très expressive, je faisais mon possible pour étouffer mon plaisir. Avant de jouir, il se dégagea et monta sur moi jusqu’à ce que je puisse le prendre en bouche. Son sexe avait déjà le goût de ma jouissance. De ses mains, il dirigeait son membre dans ma bouche. Ses gestes moins maîtrisés, je sentais son sexe gonfler et tout de suite après, il éjacula au fond de ma gorge. Je l’avalais avant de le nettoyer. Maintenant qu’il m’avait prise, il me dit être encore plus jaloux de ce salaud. C’est vrai que mes amants m’ont toujours félicité de mon savoir faire.
Il essaya même, en vain, de me dissuader d’acceptait de jouer la taupe.
Le lendemain soir, j’allais devenir mon nouveau personnage. Pendant le journée, mon chef à tout fait pour que l’on se retrouve seul. Désirant également une nouvelle aventure avec lui, je restais après le départ de mes collègues. Je suis entrée dans son bureau, l’ai fermé à clé. En m’avançant vers lui, j’ôtais la veste de mon uniforme, mon chemisier, mon soutien gorge. Il m’attrapa et en m’embrassant, défit le zip de ma jupe qui tomba au sol. Il me retourna et je pris appui sur son bureau. Il ôta alors mon string et me pénétra en écartant au maximum mes fesses. Ses coups de butoir étaient profonds et violent. Dans ma jouissance, mon oeillet s’ouvrit légèrement, ce qui ne lui échappa pas. Très excitait à cette vue, il lubrifia cette entrée de ma mouille. Contrairement à de nombreuses femmes, je prends beaucoup de plaisir à être prise par cette orifice. Il me pénétra lentement jusqu’à la garde. Une fois entièrement dans mon anus, il s’activa avec acharnement et éjacula assez rapidement au fond de mon cul. C’était pour lui une première et il m’étouffa d’éloges. Il me dit qu’il ne pourrait plus se passer de moi et depuis, je suis sa maîtresse. Ce qu’il déteste, c’est qu’il n’a pas l’exclusivité de mon corps et ça le met hors de lui lorsqu’il apprends une aventure.
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