PORTUGAL - FRANCE. (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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PORTUGAL - FRANCE. (1)
Après quatre jours de mariage, Sylvain mon mari veut que je fasse à manger de bonne heure, car il y a foot ce mercredi soir à la télé l’équipe de France rencontre l’équipe du Portugal.
Pour la France, maillot bleu, le supporter number one celui que j’ai épousé.
Pour le Portugal, maillots verts et rouge, Sergio témoin de Sylvain, le jour où Sylvain m’a passé la bague au doigt.
Pour l’arbitre qui est au centre du terrain faisant sauter une pièce en l’air et qui est beau comme un dieu, Marjorie la même qui avait la robe blanche.
Lorsque nous avons décidé de nous marier le calendrier, des matchs internationaux étaient inconnus même si les deux garçons savaient que ce match aurait lieu en 2015.
De là à envisager que le match tant attendu serait programmé le mercredi suivant, notre mariage nous a obligés à nous organiser.
Sergio ami d’enfance de Sylvain reparti au Portugal avec ses parents à l’âge de douze ans venait en France pour être son témoin.
En temps normal, j’ai épousé, en le sachant, un fou de l’équipe de France qui m’a promis qu’il en avait fini de faire tous les déplacements mêmes jusqu’au bout du monde notre budget l’en empêchant.
J’ai accepté qu’il prenne un abonnement à l’année avec le club des supporter des bleus au stade de France.
En plus, de venir en France pour le mariage en commun accord Sergio est arrivé avec son maillot portugais sur le dos, mais avec ses bagages décidés à redemander la nationalité française, grace au droit du sol ou il est né.
Il va vivre chez nous dans notre petit trois-pièces en attendant d’avoir ses papiers et un emploi comme développeur en informatique où il excelle.
Petits trois-pièces, notre chambre est contiguë à celle de notre invité.
Le lundi matin suivant le mariage, nous avons eu un moment d’intimité normale entre époux et au petit déjeuner, j’ai bien vu que Sergio était gêné, car je suis une jeune femme qui sait, se faire entendre lorsque je jouis et encore plus de sonorité lorsque j’ai des orgasmes.
De plus je couche nue sous une couette et dans la nuit, j’ai cru entendre notre invité allé aux toilettes, au matin, j’ai vu que comme souvent la couette avait bougé.
Les lumières des radios réveillent ont dû lui donner une idée de mon anatomie et surtout de mes seins qui font un 95 C.
Planton le décor, la salle de dimension réduite où nous avons mis une table d’un mètre vingt sur un mètre vingt, quatre chaises et placées en coin la télé avec un canapé permettant de la voir en mangeant ou en nous reposant amoureusement le soir.
Une demi-heure avant le match Sylvain est installée alors que le dessert que j’ai préparé est encore dans le frigo.
Il est assis râlant devant la publicité à rallonges au moment des matchs.
J’échappe tout de même aux chips refusant les corps trop gras et la bière buvant uniquement des boissons sans alcool et sans sucre.
À cinq minutes du match, je me lève pour aller chercher les îles flottantes.
Lorsque je fais le mouvement de me lever, mon peignoir en soie, relique lui aussi de notre nuit de noces, glisse sur ma jambe montrant que, dessous je suis en nuisette qui est remonté jusqu’à ma chatte que Sergio tournant la tête est obligé de voir.
Avant que j’aie le temps de me lever dans un mouvement de la main Sergio viens-la poser sur un de mes genoux.
Un frisson parcourt mon dos et au lieu de remettre l’importun en place je me rassieds subjugué par le geste.
La main au bout du bras est commandée par ce copain et remonte insidieusement pour atteindre la lisière de mon intimité.
Sans m’en rendre compte, je sens mes jambes s’écarter permettant aux cinq doigts baladeurs de caresser ma chatte entièrement épilée pour le jour du serment pour la vie avec mon mari.
• Tu viens Sergio, c’est le coup d’envoi.
• Attends, je reste là, car j’ai vu mon ophtalmo avant de partir de Lisbonne et il faut que je regarde la télé le plus loin possible.
• C’est surtout que tu préfères être loin lorsque tu vas prendre le premier but par Benzema.
• Non, c’est le Portugal qui marque le premier but, Ronaldo à des doigts à la place du pied, ce qui lui donne un avantage dans la précision des tirs.
Si mon mari doit avoir du mal à comprendre la phrase de son ami, mes grandes lèvres attaquées par l’adversaire sentent nettement le tir au but lorsque deux de ses cinq doigts viennent saisir mon clitoris.
Je sens que je vais jouir comme jamais à la simple pensée de ce que nous faisons dans le dos de mon mari dont je vois que la partie haute du crâne.
Et puis il est là, l’orgasme d’un niveau tel que, lorsque mes lèvres s’ouvrent pour envoyer le cri montrant mon plaisir.
• Oui, buuuuuut.
• T’es barge le Portugais, la balle est au milieu du terrain.
• Excuse, j’ai cru que Moutinho allait faire une transversale décisive à Ronaldo.
• Et en plus il boit, Moutinho, il est blessé et il est resté aux soins à Monaco.
Merci Sergio par ton cri, tu viens de sauver mon couple, comment expliquer à celui qui est en pleine folie devant nous car la France est à l’attaque que trois doigts viennent de me pénétrer après avoir caressé mon clito.
Comment lui dire que ces trois doigts qui me branlent font couler ma chatte au point que je sens des petites trainées de cyprine descendre vers l’anus ?
Est-il normal qu’une jeune fille qui vient de ce marié se glisse le plus possible sur sa chaise pour que l’homme qui l’agresse puisse aller plus profondément en elle ?
Est-il normal que lorsque la main libre de son suborneur vient se poser sur son sein ayant carrément défait la ceinture de mon vêtement, je la prends pour l’appuyer plus fortement ?
• Qu’est-ce que tu en penses Sergio, trente minutes de jeu et on a vu les actions à sens unique dans notre camp, tu as de la chance de supporter le Portugal, on voit qu’eux sur le terrain ?
Et que dire de la base arrière de la salle à manger, là aussi, le Portugal a pris l’avantage jusqu’à dix minutes de la mi-temps où ma main vient se poser sur le short de mon agresseur et que je sens son sceptre se dresser fièrement.
Contente de l’attaque de la Française, je glisse entre son élastique et son ventre pour le branler doucement au moment où toujours les yeux rivés sur le spectacle qu’il a devant lui Sylvain demandent un verre d’eau, car la tension nerveuse conjuguée avec la purée mangée au dîner lui a donné soif.
La purée, c’est Sergio qui l’envoie jusqu’au moment où je vois mon homme sauter comme un cabri.
• Goal. Goal, Goaallllll. Goal, tu as vu, comment il l’a mis Giroux de la tête aux Portos.
Sympa mon mari par ces cris, il vient de couvrir la jouissance de ma moitié d’amant.
• C’est la mi-temps, je vais prendre une douche.
• Tu as raison, va prendre une douche, va te rafraîchir les idées avant de subir la deuxième mi-temps où vous allez encore ramasser.
Avant qu’il se retourne dans le mouvement que fait Sergio pour passer près de mon cocu de mari sans qu’il remarque le désordre de son short, je me lève et prestement je remets mon peignoir en place.
Sentant que je suis allé à la limite de l’incident familial et pour retrouver la métrise qui aurait dû être la règle après avoir débarrassé, je viens me mettre sur le canapé allongé la tête sur les genoux de mon tendre époux.
Le match reprend et Sergio a rejoint sa place bien obligée de rester sur sa chaise à cause de ses yeux.
Sylvain glisse sa main sous le voile me couvrant et porte sa main sur ma chatte.
Il se penche vers moi et parlant entre ses lèvres afin que je sois la seule à entendre.
• Chérie, tu mouilles, tu as envie de ma queue ma cochonne.
Le pauvre s’il savait, mais tout ce que je sais, c’est que je m’endors fatigué par cette soirée hors du commun.
• Goleiro, Goooooool.
Tu la vue arrivée celui-là ce but à la dernière minute le Français quand je te disais que Ronaldo avait une main à la place du pied.
Les cris de Sergio après l’égalisation de son pays m’ont réveillé.
Je me lève pour aller, moi aussi vers la douche.
En passant devant le petit écran, j’ai le temps de voir l’arbitre revenir vers les vestiaires le ballon dans la main et toujours aussi beau.
Après ma douche où j’ai réparé les coulures provoquées par la main de Sergio, je me couche, car j’entends mes deux hommes s’installer à la table pour refaire le match.
Dans la nuit un souffle sur mon corps me réveille.
La couette a glissé, mon homme qui s’est couché à ses petits ronflements qui m’ont gêné lors de notre première nuit ensemble.
Au bout de quelques minutes ce souffle se trouve remplacé par des lèvres qui se posent sur ma vulve léchant très doucement le centre de mon corps.
Dans le même temps le sein opposé à celui qui a été attaqué dans la salle à manger est pétri faisant monter la fièvre en moi.
Pas de doute, Sergio est en train de me brouter la chatte et comme tout à l’heure mes parties intimes réagissent et même si je me mords la langue un petit cri m’échappe.
• Qu’est-ce que tu as, chérie, tu es malade ?
• Non, j’ai fait un cauchemar qui m’a réveillé.
• Rentre le bien dans ta tête, tu me le raconteras au petit déjeuner j’adore cela.
Et de nouveau il ronfle.
J’entends Sergio regagner son lit certainement pour aller se branler.
Au petit déjeuner, je sais la phrase que je vais entendre.
• Alors mon poussin, ce cauchemar ?
Comment attaquer mon récit, façon hard ?
• Lorsque j’ai crié, depuis quelques minutes Sergio était en train de me brouter la chatte puis il m’a mis sa bite dans ma bouche, je le suçais avec envie jusqu’au moment où il m’a pris en me faisant jouir comme jamais tu ne la fais.
Ou d’une manière plus cool.
• J’ai simplement rêvé que tu rentrais ta tête dans ma chatte et j’ai pris peur.
• Dommage que Sergio soit là, j’essayerais bien.
Sous la table, le pied de celui qui m’était sa langue et pas sa tête cette nuit remonte le long de ma jambe me fait comprendre qu’il faut que j’écarte les cuisses et viens échauffer mon minou avec ses doigts de pied aussi agiles que la main de son joueur favori.
Je sens que je vais crier alors je glisse ma main sous la table et sans envie, je fais comprendre à ce pied qu’il est mal venu.
• Je vais faire mon jogging, Sergio, tu viens avec moi.
• Non, je vais me préparer pour aller à la préfecture demander mes papiers.
Cinq minutes après, mon mari quitte notre domicile conjugal me laissant seule avec l’homme qui veut me faire devenir parjure cinq jours après mon serment.
Parjuré-je le suis lorsqu’il vient derrière moi pendant que je fais la vaisselle qu’il me place ses bras autour de mes seins ?
Je pouvais encore refuser et reprendre le droit chemin, mais je tourne la tête pour que nos bouches se trouvent.
Je le suis lorsqu’il me prend dans ses bras pour me conduire sur le canapé où je tombe le peignoir ouvert, les cuisses assez écartées pour que, lorsque son corps vient sur le mien sa lance qu’il a dégagée de son caleçon vienne directement percuter ma jolie mangue s’enfonçant d’un seul coup sans aucun problème de la manière dont elle est humide.
Trois coups de cul en avant et j’émets mon premier râle de plaisir que m’apporte mon amant à cent pour cent.
Le plus grave au moment où il envoie ses jets de sperme en moi, c’est que je m’aperçois que je l’aime autant que mon mari.
Notre cœur est composé de deux parties, l’une aime Sylvain, l’autre aime Sergio.
Un baiser langoureux et pour éviter les risques mon bel amant va prendre sa douche et me quitte avant que mon mari légitime ne revienne…
Pour la France, maillot bleu, le supporter number one celui que j’ai épousé.
Pour le Portugal, maillots verts et rouge, Sergio témoin de Sylvain, le jour où Sylvain m’a passé la bague au doigt.
Pour l’arbitre qui est au centre du terrain faisant sauter une pièce en l’air et qui est beau comme un dieu, Marjorie la même qui avait la robe blanche.
Lorsque nous avons décidé de nous marier le calendrier, des matchs internationaux étaient inconnus même si les deux garçons savaient que ce match aurait lieu en 2015.
De là à envisager que le match tant attendu serait programmé le mercredi suivant, notre mariage nous a obligés à nous organiser.
Sergio ami d’enfance de Sylvain reparti au Portugal avec ses parents à l’âge de douze ans venait en France pour être son témoin.
En temps normal, j’ai épousé, en le sachant, un fou de l’équipe de France qui m’a promis qu’il en avait fini de faire tous les déplacements mêmes jusqu’au bout du monde notre budget l’en empêchant.
J’ai accepté qu’il prenne un abonnement à l’année avec le club des supporter des bleus au stade de France.
En plus, de venir en France pour le mariage en commun accord Sergio est arrivé avec son maillot portugais sur le dos, mais avec ses bagages décidés à redemander la nationalité française, grace au droit du sol ou il est né.
Il va vivre chez nous dans notre petit trois-pièces en attendant d’avoir ses papiers et un emploi comme développeur en informatique où il excelle.
Petits trois-pièces, notre chambre est contiguë à celle de notre invité.
Le lundi matin suivant le mariage, nous avons eu un moment d’intimité normale entre époux et au petit déjeuner, j’ai bien vu que Sergio était gêné, car je suis une jeune femme qui sait, se faire entendre lorsque je jouis et encore plus de sonorité lorsque j’ai des orgasmes.
De plus je couche nue sous une couette et dans la nuit, j’ai cru entendre notre invité allé aux toilettes, au matin, j’ai vu que comme souvent la couette avait bougé.
Les lumières des radios réveillent ont dû lui donner une idée de mon anatomie et surtout de mes seins qui font un 95 C.
Planton le décor, la salle de dimension réduite où nous avons mis une table d’un mètre vingt sur un mètre vingt, quatre chaises et placées en coin la télé avec un canapé permettant de la voir en mangeant ou en nous reposant amoureusement le soir.
Une demi-heure avant le match Sylvain est installée alors que le dessert que j’ai préparé est encore dans le frigo.
Il est assis râlant devant la publicité à rallonges au moment des matchs.
J’échappe tout de même aux chips refusant les corps trop gras et la bière buvant uniquement des boissons sans alcool et sans sucre.
À cinq minutes du match, je me lève pour aller chercher les îles flottantes.
Lorsque je fais le mouvement de me lever, mon peignoir en soie, relique lui aussi de notre nuit de noces, glisse sur ma jambe montrant que, dessous je suis en nuisette qui est remonté jusqu’à ma chatte que Sergio tournant la tête est obligé de voir.
Avant que j’aie le temps de me lever dans un mouvement de la main Sergio viens-la poser sur un de mes genoux.
Un frisson parcourt mon dos et au lieu de remettre l’importun en place je me rassieds subjugué par le geste.
La main au bout du bras est commandée par ce copain et remonte insidieusement pour atteindre la lisière de mon intimité.
Sans m’en rendre compte, je sens mes jambes s’écarter permettant aux cinq doigts baladeurs de caresser ma chatte entièrement épilée pour le jour du serment pour la vie avec mon mari.
• Tu viens Sergio, c’est le coup d’envoi.
• Attends, je reste là, car j’ai vu mon ophtalmo avant de partir de Lisbonne et il faut que je regarde la télé le plus loin possible.
• C’est surtout que tu préfères être loin lorsque tu vas prendre le premier but par Benzema.
• Non, c’est le Portugal qui marque le premier but, Ronaldo à des doigts à la place du pied, ce qui lui donne un avantage dans la précision des tirs.
Si mon mari doit avoir du mal à comprendre la phrase de son ami, mes grandes lèvres attaquées par l’adversaire sentent nettement le tir au but lorsque deux de ses cinq doigts viennent saisir mon clitoris.
Je sens que je vais jouir comme jamais à la simple pensée de ce que nous faisons dans le dos de mon mari dont je vois que la partie haute du crâne.
Et puis il est là, l’orgasme d’un niveau tel que, lorsque mes lèvres s’ouvrent pour envoyer le cri montrant mon plaisir.
• Oui, buuuuuut.
• T’es barge le Portugais, la balle est au milieu du terrain.
• Excuse, j’ai cru que Moutinho allait faire une transversale décisive à Ronaldo.
• Et en plus il boit, Moutinho, il est blessé et il est resté aux soins à Monaco.
Merci Sergio par ton cri, tu viens de sauver mon couple, comment expliquer à celui qui est en pleine folie devant nous car la France est à l’attaque que trois doigts viennent de me pénétrer après avoir caressé mon clito.
Comment lui dire que ces trois doigts qui me branlent font couler ma chatte au point que je sens des petites trainées de cyprine descendre vers l’anus ?
Est-il normal qu’une jeune fille qui vient de ce marié se glisse le plus possible sur sa chaise pour que l’homme qui l’agresse puisse aller plus profondément en elle ?
Est-il normal que lorsque la main libre de son suborneur vient se poser sur son sein ayant carrément défait la ceinture de mon vêtement, je la prends pour l’appuyer plus fortement ?
• Qu’est-ce que tu en penses Sergio, trente minutes de jeu et on a vu les actions à sens unique dans notre camp, tu as de la chance de supporter le Portugal, on voit qu’eux sur le terrain ?
Et que dire de la base arrière de la salle à manger, là aussi, le Portugal a pris l’avantage jusqu’à dix minutes de la mi-temps où ma main vient se poser sur le short de mon agresseur et que je sens son sceptre se dresser fièrement.
Contente de l’attaque de la Française, je glisse entre son élastique et son ventre pour le branler doucement au moment où toujours les yeux rivés sur le spectacle qu’il a devant lui Sylvain demandent un verre d’eau, car la tension nerveuse conjuguée avec la purée mangée au dîner lui a donné soif.
La purée, c’est Sergio qui l’envoie jusqu’au moment où je vois mon homme sauter comme un cabri.
• Goal. Goal, Goaallllll. Goal, tu as vu, comment il l’a mis Giroux de la tête aux Portos.
Sympa mon mari par ces cris, il vient de couvrir la jouissance de ma moitié d’amant.
• C’est la mi-temps, je vais prendre une douche.
• Tu as raison, va prendre une douche, va te rafraîchir les idées avant de subir la deuxième mi-temps où vous allez encore ramasser.
Avant qu’il se retourne dans le mouvement que fait Sergio pour passer près de mon cocu de mari sans qu’il remarque le désordre de son short, je me lève et prestement je remets mon peignoir en place.
Sentant que je suis allé à la limite de l’incident familial et pour retrouver la métrise qui aurait dû être la règle après avoir débarrassé, je viens me mettre sur le canapé allongé la tête sur les genoux de mon tendre époux.
Le match reprend et Sergio a rejoint sa place bien obligée de rester sur sa chaise à cause de ses yeux.
Sylvain glisse sa main sous le voile me couvrant et porte sa main sur ma chatte.
Il se penche vers moi et parlant entre ses lèvres afin que je sois la seule à entendre.
• Chérie, tu mouilles, tu as envie de ma queue ma cochonne.
Le pauvre s’il savait, mais tout ce que je sais, c’est que je m’endors fatigué par cette soirée hors du commun.
• Goleiro, Goooooool.
Tu la vue arrivée celui-là ce but à la dernière minute le Français quand je te disais que Ronaldo avait une main à la place du pied.
Les cris de Sergio après l’égalisation de son pays m’ont réveillé.
Je me lève pour aller, moi aussi vers la douche.
En passant devant le petit écran, j’ai le temps de voir l’arbitre revenir vers les vestiaires le ballon dans la main et toujours aussi beau.
Après ma douche où j’ai réparé les coulures provoquées par la main de Sergio, je me couche, car j’entends mes deux hommes s’installer à la table pour refaire le match.
Dans la nuit un souffle sur mon corps me réveille.
La couette a glissé, mon homme qui s’est couché à ses petits ronflements qui m’ont gêné lors de notre première nuit ensemble.
Au bout de quelques minutes ce souffle se trouve remplacé par des lèvres qui se posent sur ma vulve léchant très doucement le centre de mon corps.
Dans le même temps le sein opposé à celui qui a été attaqué dans la salle à manger est pétri faisant monter la fièvre en moi.
Pas de doute, Sergio est en train de me brouter la chatte et comme tout à l’heure mes parties intimes réagissent et même si je me mords la langue un petit cri m’échappe.
• Qu’est-ce que tu as, chérie, tu es malade ?
• Non, j’ai fait un cauchemar qui m’a réveillé.
• Rentre le bien dans ta tête, tu me le raconteras au petit déjeuner j’adore cela.
Et de nouveau il ronfle.
J’entends Sergio regagner son lit certainement pour aller se branler.
Au petit déjeuner, je sais la phrase que je vais entendre.
• Alors mon poussin, ce cauchemar ?
Comment attaquer mon récit, façon hard ?
• Lorsque j’ai crié, depuis quelques minutes Sergio était en train de me brouter la chatte puis il m’a mis sa bite dans ma bouche, je le suçais avec envie jusqu’au moment où il m’a pris en me faisant jouir comme jamais tu ne la fais.
Ou d’une manière plus cool.
• J’ai simplement rêvé que tu rentrais ta tête dans ma chatte et j’ai pris peur.
• Dommage que Sergio soit là, j’essayerais bien.
Sous la table, le pied de celui qui m’était sa langue et pas sa tête cette nuit remonte le long de ma jambe me fait comprendre qu’il faut que j’écarte les cuisses et viens échauffer mon minou avec ses doigts de pied aussi agiles que la main de son joueur favori.
Je sens que je vais crier alors je glisse ma main sous la table et sans envie, je fais comprendre à ce pied qu’il est mal venu.
• Je vais faire mon jogging, Sergio, tu viens avec moi.
• Non, je vais me préparer pour aller à la préfecture demander mes papiers.
Cinq minutes après, mon mari quitte notre domicile conjugal me laissant seule avec l’homme qui veut me faire devenir parjure cinq jours après mon serment.
Parjuré-je le suis lorsqu’il vient derrière moi pendant que je fais la vaisselle qu’il me place ses bras autour de mes seins ?
Je pouvais encore refuser et reprendre le droit chemin, mais je tourne la tête pour que nos bouches se trouvent.
Je le suis lorsqu’il me prend dans ses bras pour me conduire sur le canapé où je tombe le peignoir ouvert, les cuisses assez écartées pour que, lorsque son corps vient sur le mien sa lance qu’il a dégagée de son caleçon vienne directement percuter ma jolie mangue s’enfonçant d’un seul coup sans aucun problème de la manière dont elle est humide.
Trois coups de cul en avant et j’émets mon premier râle de plaisir que m’apporte mon amant à cent pour cent.
Le plus grave au moment où il envoie ses jets de sperme en moi, c’est que je m’aperçois que je l’aime autant que mon mari.
Notre cœur est composé de deux parties, l’une aime Sylvain, l’autre aime Sergio.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tres belle histoire torride pleine de suspense qui fait monter progressivement la tension sexuelle jusqu'à la rendre des plus intenses...A la suivante j'espère
oui la fin des demain cela vous plait ?
Une suite de prévu ?