Pour faire plaisir à Madame 01 - histoire érotique

Pour faire plaisir à Madame 01


Sans pour autant dire que je suis monté comme un âne je me contenterais de dire … Oui bon, je ne suis pas monté comme un âne ! …

Et j'aimerais bien voir comment il est gaulé le mec au fond à droite qui ricane bêtement ? Hein on rigole moins tout de suite là. Bon si j'en prends encore à se moquer moi, j'arrête de raconter … ( note et avertissement de l'auteur )

Bon je disais que … oh non, je ne suis pas non plus ridicule, au niveau longueur c'est dans la moyenne, tout à fait dans la moyenne. Mais il n'y a pas que la longueur qui compte dans la bite. Il y a la largeur, ça rigole moins là ! Au niveau largeur je suis bien plus large que la moyenne.

Et je ne vous dis pas comment bobonne, elle aimait ça.

On était jeunes quand on s'est rencontré, on était encore au lycée, je ne draguais pas. Trop timide peut être ou pas trop intéressé, au début et pendant très longtemps je pensais que c'était, trop timide.

Elle en avait profité pour mettre la main sur moi et n'avait pas l'intention de me lâcher.

Puis on a grandi, c'était inévitables remarquez, à peut près tout le monde fait pareil. Je suis devenu un beau jeune homme un peut plus sûr de moi et elle est devenue une femme magnifique.

Si je vous jure et c'est pas uniquement parce que c'est la mienne. On s'est marié, au début ça me semblait ce qu'il y avait de mieux a faire. On a acheté une maison, il ne manquait plus que deux enfants, un garçon, une fille, un chien, un chat et un poisson rouge.

On a commencé par le poisson rouge !

Sexuellement tout allait bien pour moi, je ne regardais même pas les autres filles. Je ne me masturbais plus, j'avais ma copine et je lui faisais l'amour tendrement. Le week-end bien sûr, vendredi soir, samedi soir mais pas le dimanche le lendemain il y avait le boulot et il fallait se lever tôt. Mais souvent elle me laissait remettre ça le mardi soir …

Au début c'était chaud, par la suite c'est devenu plus calme, puis plus rengaine. Par la suite il nous arrivait de sauter le mardi soir puis on finissait par ne plus en parler, ensuite c'était soit le vendredi, soit le samedi qu'on oubliait aussi. Puis on sautait une week-end sur deux, et enfin deux sur trois …

Vous connaissez tous cette phrase qui vous glace le sang … '' Non pas ce soir chéri, j'ai la migraine !''.

C'est à peu près à cette époque que j'ai recommencé à me masturber.

C'est un de ces soir, je pensais à faire chambre à part, que Nadine me parlait.

– Dis moi Charly tu ne trouves pas que nos amours sont de moins en moins folles ?

Elle a toujours les mots pour dire les choses celle-là.

Je regardais dans le vide et trouvais juste les moyens de répondre …

– Heuuuuuuu ? !

C'était bien mon avis mais que pouvais-je répondre d'autre.

– On est jamais passé par derrière ?

Je ne vous dis pas mais, là, j'aurais bien mieux fait de me taire, je disais ça comme une connerie mais elle, elle n'a pas du tout aimé, elle n'a pas rigolé du tout.

– Si tu veux passer par derrière, tu n'as qu'à te trouver un mec. Bien monté, tu verras comment du le sentiras passer .
– Mais …
– Ferme là, connard …

Elle a continué à gueuler encore un moment et je me suis retrouvé à dormir sur le canapé avant d'avoir compris ce qu'il se passait. Finalement j'ai pas gueulé, il y a la télé et on était le premier week-end du mois et sur canal+ il y a toujours un film. Je me suis branlé.

Mais il fallait bien se rendre à l'évidence, notre relation amoureuse n'était pas au mieux de sa forme.

Elle a continué a faire la gueule pendant encore quelques temps, moi c'est le genre de situation qui me gave. Mais au bout de trois semaines, quatre peut être elle savait me faire oublier cette mauvaise ambiance.

J'avais réintégré le lit conjugal, elle s'approchait du lit, je relevais la tête de ma revue sur l'automobile, elle portait une robe de chambre longue et ample qui dansait tout autour d'elle à chacun de ses mouvements.

Je n'ai pas compris tout de suite ce qu'elle voulait, bein oui, je m'étais un peu résigné et à ce moment précis je m'imaginais plus jouer du cric sur la super Matra en photo sur la page centrale de ma revue, mais comme c'est pas moi qui décide des événements, je me demandais ce qui lui arrivait.

Elle ouvrait son vêtement qui volait tout autour d'elle, elle n'avait rien en dessous. Je regardais ça et en même temps je sentais ma queue qui se relevait toute seule, sans que je ne fasse rien. C'était très agréable. Elle dégageait ses épaules et laissait tomber sa robe qui glissait sur son corps.

Elle soulevait la couverture du lit, et comme je dors toujours nu, et se glissait contre moi, tout contre.

Oui je sais quelquefois ça l'agace que je dorme nu mais bon ce soir là elle n'a pas fait de commentaire. Je sentais la douceur de sa peau, cette extraordinaire douceur et cette chaleur, ma queue se relevait encore plus, elle devenait aussi dure que du bois et sa main passait tout doucement comme pour s'assurer que tout allait bien.

La peau de son corps glissait et caressait le mien et ses bras me caressaient le dos. Je la retenait contre moi, et mes bras glissaient eux aussi contre son corps, mes mains s'attardaient sur les parties les plus intimes. J'évitais le cul, je n'avais pas envie qu'elle me frappe et ne mette fin à ce moment de tendresses et de douceur.

Je glissait ma main sur le grand vide qu'il y a entre ses cuisses, chez les garçons il y a un truc à cet endroit, parfois même un gros truc. Cette idée ne m'impressionnait pas seulement, ça m'excitait. Je ne sais pas si c'était le manque de sexe depuis quelques semaines qui éveillaient en moi de nouvelles sensations, de nouveaux désir ou si c'étaient seulement des désirs refoulés.

Je ne me posais pas trop la question, je me laissait aller.

Elle se glissait sur moi, j'étais là allongé sur le dos et elle était allongé sur moi. Son corps, était léger comme une plume et aussi doux également. Je lui caressait les fesses.

– Tu penses encore à '' passer par derrière ? '' . Demandait-elle.
– Non c'est une mauvaise idée, ça doit faire mal ! Répondais après avoir choisi de mentir. Enfin, ce qui n'est pas faux c'est que ça doit faire mal !

Son corps glissait contre moi. Ses seins, la pointe de ses seins glissait sur ma poitrine et me chatouillait, ma queue gardait cette fermeté et se redressait, elle venait se loger juste dans le grand vide en haut de ses cuisses.

Elle se faisait plaisir et utilisait mon corps pour caresser le sien, ma queue se relevait entre ses cuisses et je parvenais à toucher le bout de ma queue en glissant mes doigts entre ses fesses.

Mon gland glissait entre ses cuisses avant de glisser en elle. Elle avait pris le contrôle des opérations et me stimulait comme elle n'avait pas fait depuis très longtemps, et peut être même jamais.

Là j'ai eu comme l'impression qu'elle allait me laisser passer par derrière. Elle se soulevait puis se repliait sur moi, elle me suçait la queue. Elle n'est pas toujours très doué pour ça, on sentait les dents par moment mais ça aurait pu être pire et elle me faisait de l'effet, beaucoup d'effets.

Quand elle se rallongeait sur moi, glissait ma queue en elle, là j'aimais bien, c'était doux, chaud et humide. Ma queue glissait et c'était un grand plaisir qui montait en moi.

Ses lèvres caressaient les miennes, sa langue glissait sur la peau de mon cou. Et son bassin, se levait et se relevait, c'est elle qui faisait tout le travail. Ma queue s'enfonçait bien à fond dans son corps, et sa douceur intérieure me guidait vers un plaisir que je connaissais bien.

Elle s'agitait, je faisais tout mon possible pour me retenir. On venait de commencer, conclure à ce moment serait ballot. Elle se laissait retomber sur moi et ses seins s'écrasaient contre ma poitrine.

Elle était douce, totalement douce, son corps était doux autant à l'extérieur qu'à l'intérieur, enfin presque. Mon souffle s'accélérait et je commençais à trembler.

Elle en faisait de même, je la sentais frissonner et gémir, elle gémissait fort puis plus fort encore. Un instant j'ai pensé qu'elle en rajoutait un peu. Mais non, elle était toujours comme ça. Dès que je montrais que le plaisir montait, elle était prise de frénésie, gémissait, et remuait et elle jouissait peu après …

C'est ce qui s'est produit, quelques instants plus tard elle gueulait de plaisir, elle gigotait et remuait son cul, je parvenais à me retenir jusqu'à ce moment et c'est là que j'ai craqué, j'ai éjaculé, j'ai joui et là j'ai crié encore plus fort qu'elle.

Je l'ai senti devenir toute molle, tous ses muscles se relâchaient en même temps et elle s'effondrait sur moi, toute légère, tellement douce. Je refermais les bras autour d'elle.

Je ne me retirais pas tout de suite, je sentais ma queue reprendre sa taille normal, je sentais son ventre se contracter sur ma bite qui ressortait sans résistance, en douceur.

Puis on terminait par un gros câlin.

– Tu voudrais vraiment qu'on essaye de passer par derrière ? Me demandait-elle.

Je la regardais en lui faisant un large sourire, je sentais ma queue qui reprenait de la force et gonflait de nouveau. Il ne lui fallait que quelques instants pour qu'elle retrouve toute sa force, dure et bien ferme en même temps.

– Je vois que tu es partant mais pas tout de suite.
– Quand tu voudras.
– Je te propose un plan à trois !

J'étais pas vraiment sûr d'avoir compris !

– Un plan à trois et on passera par derrière. Demandais-je.
– Un plan à trois et une sodomie comme il faut !

Là je lui répondais avec un large sourire.

On continuait de nouveau à se câliner, son corps glissait de nouveau contre le mien, de nouveau je bandais bien ferme, je me préparais à remettre ça, j'étais en forme et je bandais mais elle me calmait d'un coup en se laissant retomber à côté de moi. Elle était sur le dos semblait essoufflée, ne bougeait pas pendant quelques minutes puis me donnait un baiser et se retournait.

– Bon maintenant dodo . Me disait-elle.

Et vous croyez vraiment que j'allais m'endormir après ça moi ?


A suivre


N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast