Pour faire plaisir à Madame 11
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Pour faire plaisir à Madame 11
Pour faire plaisir à Madame 11
C'est vrai que je n'avais pas prévu de m'installer à l'hôtel. Mais comme je vous le disais, j'avais les moyens. Et puis vous savez, l'hôtel, c'est pas si mal, on vous soigne bien, on prend soin de vous, plus de problèmes pour les repas, on peu choisir sur la carte. On ne fait plus le ménage non plus …
Rapidement je me sentais comme chez moi. Quand je dis rapidement, en fait dès le lendemain matin. Mais mon problème n'était toujours pas réglé. Je retournais voir le marchand, il avait été tellement serviable, et en plus il était tellement mignon. Mignon mais viril !
Il était jeune, dans mes âges, il avait une silhouette carrée, carrée mais pas difforme. Et je voulais savoir une chose. Il s'y connaissait bien en dispositif de chasteté et comme on disait que les vendeurs devaient probablement le plus souvent en porter un. En portait-il un lui aussi.
– Donc vous allez récupérer vos clés dans quelques temps.
– Oui mais bon, ça va prendre du temps.
– Maintenant que vous êtes bien habitué à porter le dispositif, il suffit juste d'attendre, de faire preuve de patience.
– Et pour vous. Demandais-je. Vous n'avez pas de problèmes pour le supporter ?
– Moi ! Me répondait-il. Mais je n'en porte pas. Certainement pas !
– Oh ! Excusez moi mais on dit que les vendeurs doivent en porter un.
– C'est absolument faux. Je connais bien sûr des vendeurs qui en portent mais ce n'est pas une règle, en aucun cas. Me répondait-il.
– Bien sûr, les légendes urbaines, on la vie dure. Et puis quand on a une petite bite.
Là j'avais complètement oublié qu'en fait au début, je n'étais pas du tout ridicule. Sans pour autant être dans les gros calibres, j'avais tout de même une longueur normale sur un gros diamètre.
– Mais je n'ai pas du tout une petite bite. Me répondait le vendeur.
Puis en parcourant le présentoir avec la main, il s'arrêtait sur un gros modèle. La cage était plus grosse que ma queue ne l'était avant, il y a longtemps.
– Certains portent des dispositifs impressionnants … Rajoutait-il avec un regard à la fois complice et vicieux.
Il repartait, un client venait de rentrer. Je rester là à regarder le dispositif qu'il m'avait montré. Il était vraiment de grosse taille, surtout si on se dit bien que le dispositif se doit d'être petit, pour bien confiner la bête. Et là donc ça devait être sa bite au repos.
Je sentais la mienne qui se manifestait avec force dans sa cage. Depuis que j'avais quitté la maison elle me laissait tranquille. Il n'y avait plus ma femme et son amant qui s'envoyaient en l'air. Il n'y avait plus Henri et sa grosse queue qui se promenaient dans toute la maison.
Il me faisait toujours beaucoup d'effet. Là ce qui me faisait de l'effet c'était de savoir que le vendeur ne portait pas ce genre de dispositif et qu'il était bien monté.
Je restais là à rêver. Plus tard, je le revoyait, il terminait sa journée et c'est par le plus grand hasard que je le croisais dans la galerie marchande, je n'avais patienté que trois heures pour ce hasard.
Après une exclamation de surprise de ma part, un peu surjouée je dois le reconnaître mais je ne suis pas très bon acteur. Lui était très bon spectateur par contre, il gardait son sourire, il était séduisant, il était sexy, et je pensais à sa bite. Était-elle aussi impressionnante que je l'imaginais, et je vous jure que j'ai de l'imagination …
Je le saluais avec joie et une surprise qui n'aurait trompé personne … Mais bon passons … Il me saluait également, nous commencions à discuter puis, je l'invitais à boire un verre, il y a une cafétéria.
Il acceptait avec plaisir.
Nous en venions rapidement à parler de son boulot.
– Mais il y a vraiment des gens qui portent les plus grosse tailles ? Demandais-je.
– Bien sur il y a des gens pour toutes les tailles.
– Non mais, je veux dire par là. Des gens pour qui c'est la taille, pour qui c'est la bonne taille …
Il rigolait à voir ma surprise. Et rajoutait.
– Et pourtant, c'est bien ma taille !
J'avais du mal à me remettre de ma surprise quand il rajoutait.
– Et si je vous invitais à boire un verre chez moi ?
En fait il ne s'agissait pas de boire mais vous … Ah oui d'accord, on vous l'a déjà faite celle là.Peu après je me retrouvais chez lui. Il était bien installé dans un grand appartement, mais bon je m'arrête là, c'est pas non plus l'appartement qui nous intéressait.
– Alors cette cage, vous vous y faites ? Me demandait-il comme préambule.
– Bein oui, ça confine bien, c'est pas trop grand mais ça m'a l'air bien.
– Ça ne doit surtout pas être trop petit. Rajoutait-il en connaisseur qu'il était. On peut voir ?
J'ouvrais et je baissais mon pantalon. Je faisais un peu comme chez mon médecin.
– Oh tu peux tout retirer si tu veux. Tient, maintenant on se tutoyais.
– D'accord mais tu fais pareil.
On s'est retrouvé à poil tous les deux. Il n'avait pas exagéré, ça aurait dommage de mettre une telle bête en cage. Il avait une queue énorme et très belle. Elle était très bien proportionnée sur plus de six centimètres de large. Elle se balançait lourdement à chacun de ses mouvements. Là je bavais, j'en suis presque sûr.
– Alors donc pas trop étroit ?
En disant cela, il s'accroupissait et n’examinait de plus près.
– Il n'y a pas un millimètre de jeu, la cage est parfaitement ajustée, parfaitement. J'ai rarement vu une cage aussi bien ajustée et aussi bien supportée. Tu n'as pas de problème pour te laver par exemple ?
– Non ! C'est même étonnant mais je la supporte bien, j'arrive à glisser un doigt, le plus petit mais c'est suffisant.
Quand il se relevais il bandait. Et en effet, je dois reconnaître que c'était impressionnant. Et vraiment il en avait vraiment une vraiment grosse.
Je crois que j'abuse avec le ' vraiment ' là , non ?
Mais bon, j'étais impressionné.
– Tu veux y goutter ? Me demandait-il.
Je le regardais dans la bite, je vous jure, là dans les yeux je n'y arrivais pas, et j'avalais ma salive.
Sans attendre je me mettais à genoux. Il me caressais les cheveux avec douceur et c'est également avec douceur que je passais ma langue sur son gland, il était circoncis.
J'ouvrais la bouche à m'en déboîter la mâchoire et je prenais son gland dans ma bouche. Ça passait juste, à peine en fait mais ça passait. Ma langue se régalait, je la passait partout en insistant sur l'ouverture qu'il y avait au bout. Il réagissait vite, c'était une zone sensible.
Je refermais les lèvres sur sa queue et j'aspirais. Quand je dis sur sa queue, c'était sur le bout de sa queue, elle était longue et ne rentrait pas entièrement dans ma bouche. Il avait une grosse queue moi j'avais une bouche normale.
Mais je sentais que je lui donnais du plaisir. C'était évident, il se crispait, il frémissait sous l'effet des caresses de ma langue.
C'est ma femme qui m'a fait découvrir ce plaisir. C'est étonnant, non ? Au début c'était pour m'humilier mais j'y ai pris goût. Maintenant quand je fais ça, c'est avant tout pour le plaisir.
Il appuyait doucement sur ma tête, il ne tentait pas faire entrer sa queue en entier, il savait que ça ne passerait pas. Elle était trop grosse, elle était ferme aussi, très ferme. Je commençais à avoir la trouille pour la suite des opérations.
Il faisait preuve d'une grande tendresse, il me laissait le temps de bien profiter, ou alors c'est lui qui profitait. Puis il se penchait vers moi. Je relevais la tête et nous nous embrassions. Nous nous prenions dans les bras et tout n'était plus que tendresse, douceur et câlins.
Sa queue se relevait toujours bien raide, bien droite, bien large. Il la glissait entre mes cuisses, elle soulevait mes couilles. Il me les tripotait, il aimait bien et je me demandais si ça se terminait souvent comme ça avec ses clients.
– Tu es actif, uniquement actif ? Lui demandais-je.
– Bein quoi, je suis équipé pour ! Me répondait-il.
Il m'entraînait vers la chambre et me repoussait fermement sur le lit. Je tombait, il tombait sur moi. Et là de nouveau ce n'était plus que douceur et câlins. On se retrouvais en tête à queue, la fameuse position du soixante neuf. Je le masturbait et lui suçait la bite. Il me tripotait les couilles et me les léchait.
Avec cette nouvelle cage je ne parvenais même plus à savoir si je bandais ou pas. En fait je ne pouvais pas, même un tout petit peu mais je sentais ma queue, je sentais comme une envie, un désir qui partait dans sa direction. Le désir semblait partir de mon torse, des caresses qu'il me donnait et partait vers ma bite qui ne réagissait pas, mais qui se faisait sentir.
C'était à la fois frustrant et plaisant, presque jouissif. Mais une jouissance qui était différée, qui était comme en attente, d’où la frustration.
Il se retournait, de nouveau on s'embrassait et on ne cessait pas de se caresser. J'aimais ses fesses, sa bite, ses yeux. En fait sans le savoir j'étais en train de tomber amoureux.
– Tu est uniquement passif alors ? Me demandait-il.
– Tu es un marrant toi ! Comment je pourrait faire autrement.
– Je ne te fais pas peur ?
– Bein si un peu quand même ! Répondais-je en lui caressant la queue. Mais tu verras quand j'aurais récupéré ma clé.
– Retourne-toi !
C'est là que j'ai vraiment paniqué mais je n'en ai rien montré. Je me suis retourné, je m'allongeais sur le ventre les cuisses bien écartées. Mon cœur battait très fort et très vite soudainement mais j'avais confiance.
Il s'allongeait sur moi et toujours avec une grande tendresse, il me caressait tout le corps, il insistait sur mes fesses, il me lubrifiait le cul et glissait un doigt puis un autre. Il continuait à me lubrifier et c'était deux doigts qui glissaient, il me massait la prostate et c'était en me donnant un grand plaisir qu'il me mettait en confiance.
Il continuait à me détendre et quand trois doigts glissaient facilement il prenait position. Il faut dire qu'on m'avait déjà enculé plus violemment. Ma femme surtout avec le plus gros gode qu'elle avait acheté.
Je sentais ensuite une forte pression sur mon anus déjà détendu, il n'était pas encore dilaté mais déjà préparé. Il poussait, je ne résistais pas, il poussait avec force mais douceur également.
Il se retenait au moment ou mon cul s'est dilaté, j'ai râlé, ce n'était pas de la douleur, un peu de peur mais c'est tout. La peur disparaissait quand je constatais qu'il y allait tout en douceur. Il poussait encore, lentement et c'est lentement que sa queue glissait dans mon cul.
Elle me dilatait l'anus, elle me dilatait les entrailles mais c'était du plaisir, c'était même un grand plaisir. Je râlais des ' Encore ' des ' Doucement ' des ' Oui vas y ' et pour finir des 'Aaaaaaaaaaaa !'.
Il restait très attentif à mes réactions, il ne voulait pas me faire mal juste me faire du bien, et il y parvenait très bien.
Pourtant je l'ai senti passer !
C'était affolant. Une masse énorme glissait en moi, s'installait puis se retirait. Je fermais les yeux et j'avais dans ma tête comme une image externe de ce qui se passait en moi.
Il entrait, s'enfonçait puis se retirait. Il y allait tout doucement puis plus vite. Par moment il tentait une pénétration totale, bien à fond et il tentait même d'appuyer son ventre contre mes fesses. Mais là c'était peut être un peu trop, les cris que je poussais changeaient de ton. Il s'en rendait compte et se retirait, il redevenait plus doux.
Pendant de longues, de très longues minutes, il me limait et me dilatait ainsi les entrailles. Pendant de longues minutes le plaisir montait à chaque passage un peu plus puis je jouissais, c'était un plaisir qui m'envahissait. Tout le corps y passait. C'est parti du ventre puis le torse et finalement ça rayonnait dans les membres et là gémissais comme je ne l'avais fait avant. Il contrôlait tout, il me conduisait jusqu'à un sommet de plaisir et se lâchait. Il jouissait à son tour, il jutait.
Je l'ai senti, pourtant il se retenait de me donner un coup violent comme c'est souvent le cas à ce moment.
Ensuite il s'écroulait sur mon dos. Brusquement il devenait plus lourd, je sentais la douceur de sa peau, sa chaleur aussi.
Et il y avait ses baisers sur le haut de mon dos, dans mon cou et sur mes lèvres au moment ou je tournais la tête sur le côté.
Il débandait, mais il prenait toujours de la place.
Il débandait et doucement sa queue était repoussée, mon corps repoussait cette masse que je voyais toujours dans ma tête et je sentais sa queue glisser en dehors de mon cul.
Je respirais, enfin, je respirais. C'était le pied.
On est allé se laver sous la douche. C'était étrange j'avais toujours l'impression de le sentir en moi, et le le lendemain encore.
Je n'ai pas éjaculé mais j'ai joui, ça oui, c'était nouveau pour moi tout ça. Nouveau mais bien et je savais que ce ne serait pas la dernière fois, enfin moi j'étais partant pour remettre ça un autre jour.
Oui un autre jour, pas tout de suite.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
C'est vrai que je n'avais pas prévu de m'installer à l'hôtel. Mais comme je vous le disais, j'avais les moyens. Et puis vous savez, l'hôtel, c'est pas si mal, on vous soigne bien, on prend soin de vous, plus de problèmes pour les repas, on peu choisir sur la carte. On ne fait plus le ménage non plus …
Rapidement je me sentais comme chez moi. Quand je dis rapidement, en fait dès le lendemain matin. Mais mon problème n'était toujours pas réglé. Je retournais voir le marchand, il avait été tellement serviable, et en plus il était tellement mignon. Mignon mais viril !
Il était jeune, dans mes âges, il avait une silhouette carrée, carrée mais pas difforme. Et je voulais savoir une chose. Il s'y connaissait bien en dispositif de chasteté et comme on disait que les vendeurs devaient probablement le plus souvent en porter un. En portait-il un lui aussi.
– Donc vous allez récupérer vos clés dans quelques temps.
– Oui mais bon, ça va prendre du temps.
– Maintenant que vous êtes bien habitué à porter le dispositif, il suffit juste d'attendre, de faire preuve de patience.
– Et pour vous. Demandais-je. Vous n'avez pas de problèmes pour le supporter ?
– Moi ! Me répondait-il. Mais je n'en porte pas. Certainement pas !
– Oh ! Excusez moi mais on dit que les vendeurs doivent en porter un.
– C'est absolument faux. Je connais bien sûr des vendeurs qui en portent mais ce n'est pas une règle, en aucun cas. Me répondait-il.
– Bien sûr, les légendes urbaines, on la vie dure. Et puis quand on a une petite bite.
Là j'avais complètement oublié qu'en fait au début, je n'étais pas du tout ridicule. Sans pour autant être dans les gros calibres, j'avais tout de même une longueur normale sur un gros diamètre.
– Mais je n'ai pas du tout une petite bite. Me répondait le vendeur.
Puis en parcourant le présentoir avec la main, il s'arrêtait sur un gros modèle. La cage était plus grosse que ma queue ne l'était avant, il y a longtemps.
– Certains portent des dispositifs impressionnants … Rajoutait-il avec un regard à la fois complice et vicieux.
Il repartait, un client venait de rentrer. Je rester là à regarder le dispositif qu'il m'avait montré. Il était vraiment de grosse taille, surtout si on se dit bien que le dispositif se doit d'être petit, pour bien confiner la bête. Et là donc ça devait être sa bite au repos.
Je sentais la mienne qui se manifestait avec force dans sa cage. Depuis que j'avais quitté la maison elle me laissait tranquille. Il n'y avait plus ma femme et son amant qui s'envoyaient en l'air. Il n'y avait plus Henri et sa grosse queue qui se promenaient dans toute la maison.
Il me faisait toujours beaucoup d'effet. Là ce qui me faisait de l'effet c'était de savoir que le vendeur ne portait pas ce genre de dispositif et qu'il était bien monté.
Je restais là à rêver. Plus tard, je le revoyait, il terminait sa journée et c'est par le plus grand hasard que je le croisais dans la galerie marchande, je n'avais patienté que trois heures pour ce hasard.
Après une exclamation de surprise de ma part, un peu surjouée je dois le reconnaître mais je ne suis pas très bon acteur. Lui était très bon spectateur par contre, il gardait son sourire, il était séduisant, il était sexy, et je pensais à sa bite. Était-elle aussi impressionnante que je l'imaginais, et je vous jure que j'ai de l'imagination …
Je le saluais avec joie et une surprise qui n'aurait trompé personne … Mais bon passons … Il me saluait également, nous commencions à discuter puis, je l'invitais à boire un verre, il y a une cafétéria.
Il acceptait avec plaisir.
Nous en venions rapidement à parler de son boulot.
– Mais il y a vraiment des gens qui portent les plus grosse tailles ? Demandais-je.
– Bien sur il y a des gens pour toutes les tailles.
– Non mais, je veux dire par là. Des gens pour qui c'est la taille, pour qui c'est la bonne taille …
Il rigolait à voir ma surprise. Et rajoutait.
– Et pourtant, c'est bien ma taille !
J'avais du mal à me remettre de ma surprise quand il rajoutait.
– Et si je vous invitais à boire un verre chez moi ?
En fait il ne s'agissait pas de boire mais vous … Ah oui d'accord, on vous l'a déjà faite celle là.Peu après je me retrouvais chez lui. Il était bien installé dans un grand appartement, mais bon je m'arrête là, c'est pas non plus l'appartement qui nous intéressait.
– Alors cette cage, vous vous y faites ? Me demandait-il comme préambule.
– Bein oui, ça confine bien, c'est pas trop grand mais ça m'a l'air bien.
– Ça ne doit surtout pas être trop petit. Rajoutait-il en connaisseur qu'il était. On peut voir ?
J'ouvrais et je baissais mon pantalon. Je faisais un peu comme chez mon médecin.
– Oh tu peux tout retirer si tu veux. Tient, maintenant on se tutoyais.
– D'accord mais tu fais pareil.
On s'est retrouvé à poil tous les deux. Il n'avait pas exagéré, ça aurait dommage de mettre une telle bête en cage. Il avait une queue énorme et très belle. Elle était très bien proportionnée sur plus de six centimètres de large. Elle se balançait lourdement à chacun de ses mouvements. Là je bavais, j'en suis presque sûr.
– Alors donc pas trop étroit ?
En disant cela, il s'accroupissait et n’examinait de plus près.
– Il n'y a pas un millimètre de jeu, la cage est parfaitement ajustée, parfaitement. J'ai rarement vu une cage aussi bien ajustée et aussi bien supportée. Tu n'as pas de problème pour te laver par exemple ?
– Non ! C'est même étonnant mais je la supporte bien, j'arrive à glisser un doigt, le plus petit mais c'est suffisant.
Quand il se relevais il bandait. Et en effet, je dois reconnaître que c'était impressionnant. Et vraiment il en avait vraiment une vraiment grosse.
Je crois que j'abuse avec le ' vraiment ' là , non ?
Mais bon, j'étais impressionné.
– Tu veux y goutter ? Me demandait-il.
Je le regardais dans la bite, je vous jure, là dans les yeux je n'y arrivais pas, et j'avalais ma salive.
Sans attendre je me mettais à genoux. Il me caressais les cheveux avec douceur et c'est également avec douceur que je passais ma langue sur son gland, il était circoncis.
J'ouvrais la bouche à m'en déboîter la mâchoire et je prenais son gland dans ma bouche. Ça passait juste, à peine en fait mais ça passait. Ma langue se régalait, je la passait partout en insistant sur l'ouverture qu'il y avait au bout. Il réagissait vite, c'était une zone sensible.
Je refermais les lèvres sur sa queue et j'aspirais. Quand je dis sur sa queue, c'était sur le bout de sa queue, elle était longue et ne rentrait pas entièrement dans ma bouche. Il avait une grosse queue moi j'avais une bouche normale.
Mais je sentais que je lui donnais du plaisir. C'était évident, il se crispait, il frémissait sous l'effet des caresses de ma langue.
C'est ma femme qui m'a fait découvrir ce plaisir. C'est étonnant, non ? Au début c'était pour m'humilier mais j'y ai pris goût. Maintenant quand je fais ça, c'est avant tout pour le plaisir.
Il appuyait doucement sur ma tête, il ne tentait pas faire entrer sa queue en entier, il savait que ça ne passerait pas. Elle était trop grosse, elle était ferme aussi, très ferme. Je commençais à avoir la trouille pour la suite des opérations.
Il faisait preuve d'une grande tendresse, il me laissait le temps de bien profiter, ou alors c'est lui qui profitait. Puis il se penchait vers moi. Je relevais la tête et nous nous embrassions. Nous nous prenions dans les bras et tout n'était plus que tendresse, douceur et câlins.
Sa queue se relevait toujours bien raide, bien droite, bien large. Il la glissait entre mes cuisses, elle soulevait mes couilles. Il me les tripotait, il aimait bien et je me demandais si ça se terminait souvent comme ça avec ses clients.
– Tu es actif, uniquement actif ? Lui demandais-je.
– Bein quoi, je suis équipé pour ! Me répondait-il.
Il m'entraînait vers la chambre et me repoussait fermement sur le lit. Je tombait, il tombait sur moi. Et là de nouveau ce n'était plus que douceur et câlins. On se retrouvais en tête à queue, la fameuse position du soixante neuf. Je le masturbait et lui suçait la bite. Il me tripotait les couilles et me les léchait.
Avec cette nouvelle cage je ne parvenais même plus à savoir si je bandais ou pas. En fait je ne pouvais pas, même un tout petit peu mais je sentais ma queue, je sentais comme une envie, un désir qui partait dans sa direction. Le désir semblait partir de mon torse, des caresses qu'il me donnait et partait vers ma bite qui ne réagissait pas, mais qui se faisait sentir.
C'était à la fois frustrant et plaisant, presque jouissif. Mais une jouissance qui était différée, qui était comme en attente, d’où la frustration.
Il se retournait, de nouveau on s'embrassait et on ne cessait pas de se caresser. J'aimais ses fesses, sa bite, ses yeux. En fait sans le savoir j'étais en train de tomber amoureux.
– Tu est uniquement passif alors ? Me demandait-il.
– Tu es un marrant toi ! Comment je pourrait faire autrement.
– Je ne te fais pas peur ?
– Bein si un peu quand même ! Répondais-je en lui caressant la queue. Mais tu verras quand j'aurais récupéré ma clé.
– Retourne-toi !
C'est là que j'ai vraiment paniqué mais je n'en ai rien montré. Je me suis retourné, je m'allongeais sur le ventre les cuisses bien écartées. Mon cœur battait très fort et très vite soudainement mais j'avais confiance.
Il s'allongeait sur moi et toujours avec une grande tendresse, il me caressait tout le corps, il insistait sur mes fesses, il me lubrifiait le cul et glissait un doigt puis un autre. Il continuait à me lubrifier et c'était deux doigts qui glissaient, il me massait la prostate et c'était en me donnant un grand plaisir qu'il me mettait en confiance.
Il continuait à me détendre et quand trois doigts glissaient facilement il prenait position. Il faut dire qu'on m'avait déjà enculé plus violemment. Ma femme surtout avec le plus gros gode qu'elle avait acheté.
Je sentais ensuite une forte pression sur mon anus déjà détendu, il n'était pas encore dilaté mais déjà préparé. Il poussait, je ne résistais pas, il poussait avec force mais douceur également.
Il se retenait au moment ou mon cul s'est dilaté, j'ai râlé, ce n'était pas de la douleur, un peu de peur mais c'est tout. La peur disparaissait quand je constatais qu'il y allait tout en douceur. Il poussait encore, lentement et c'est lentement que sa queue glissait dans mon cul.
Elle me dilatait l'anus, elle me dilatait les entrailles mais c'était du plaisir, c'était même un grand plaisir. Je râlais des ' Encore ' des ' Doucement ' des ' Oui vas y ' et pour finir des 'Aaaaaaaaaaaa !'.
Il restait très attentif à mes réactions, il ne voulait pas me faire mal juste me faire du bien, et il y parvenait très bien.
Pourtant je l'ai senti passer !
C'était affolant. Une masse énorme glissait en moi, s'installait puis se retirait. Je fermais les yeux et j'avais dans ma tête comme une image externe de ce qui se passait en moi.
Il entrait, s'enfonçait puis se retirait. Il y allait tout doucement puis plus vite. Par moment il tentait une pénétration totale, bien à fond et il tentait même d'appuyer son ventre contre mes fesses. Mais là c'était peut être un peu trop, les cris que je poussais changeaient de ton. Il s'en rendait compte et se retirait, il redevenait plus doux.
Pendant de longues, de très longues minutes, il me limait et me dilatait ainsi les entrailles. Pendant de longues minutes le plaisir montait à chaque passage un peu plus puis je jouissais, c'était un plaisir qui m'envahissait. Tout le corps y passait. C'est parti du ventre puis le torse et finalement ça rayonnait dans les membres et là gémissais comme je ne l'avais fait avant. Il contrôlait tout, il me conduisait jusqu'à un sommet de plaisir et se lâchait. Il jouissait à son tour, il jutait.
Je l'ai senti, pourtant il se retenait de me donner un coup violent comme c'est souvent le cas à ce moment.
Ensuite il s'écroulait sur mon dos. Brusquement il devenait plus lourd, je sentais la douceur de sa peau, sa chaleur aussi.
Et il y avait ses baisers sur le haut de mon dos, dans mon cou et sur mes lèvres au moment ou je tournais la tête sur le côté.
Il débandait, mais il prenait toujours de la place.
Il débandait et doucement sa queue était repoussée, mon corps repoussait cette masse que je voyais toujours dans ma tête et je sentais sa queue glisser en dehors de mon cul.
Je respirais, enfin, je respirais. C'était le pied.
On est allé se laver sous la douche. C'était étrange j'avais toujours l'impression de le sentir en moi, et le le lendemain encore.
Je n'ai pas éjaculé mais j'ai joui, ça oui, c'était nouveau pour moi tout ça. Nouveau mais bien et je savais que ce ne serait pas la dernière fois, enfin moi j'étais partant pour remettre ça un autre jour.
Oui un autre jour, pas tout de suite.
A suivre
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vivement le divorce pour connaitre la suite. Mais la femme c'est 1 hypocrite au final. D'ailleurs pourquoi attendre le divorce , pourquoi ne pas fouiller la maison pour trouver la clef sait t'on jamais ?
Très belle histoire, bien tournée...
Je m'impatiente de savoir quand tu seras libéré
Je m'impatiente de savoir quand tu seras libéré