Pour le plaisir
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pour le plaisir
Le soir où se déroule mon récit, je suis appelé à assister à une soirée anniversaire. Une foule se presse autour d'un buffet largement garni. Je m'ennuie ferme, à en mourir même, mais des obligations professionnelles ne m'ont pas laissé le choix de refuser l'invitation. En ce mois d’avril, heureusement pour moi, il fait une bonne température à l’extérieur.
Alors je décide de m’aventurer à l’extérieur. Et je ne suis pas le seul à prendre cette décision. A voir tous ses convives, qui sont éparpillés un peu partout dans la cour.
Parmi les gens qui s’y trouvent, une paire de jambes d'un galbe parfait gainées de nylon noir et brillant qui attirent mon attention. Cette femme est assise sur le muret de dos. Espérant la connaître, je m'approche avec curiosité. Mais là, je découvre une femme d‘un âge certain, cheveux teintés bruns avec un grand décolleté :
- Déçu, mon jeune ami, lance-t-elle d'une voix chaude et enjôleuse.
-Pas du tout, j’assume mon côté voyeur, du moment qu’il reste complaisant.
Surtout que la brune berce lentement ses jambes à droite et à gauche. Peut-être porte-t-elle des bas ? Je lance une petite prière muette au tout puisant pour qu’il fasse que l’ourlet de la jupe glisse, et qu’ainsi m’apparaisse une petite dentelle.
- Alors jeune homme, déçu ! Me fait-elle.
- Pas du tout, Madame ! De loin je vous avais pris pour une autre personne.
-Oui c’est ça ! Et cette autre personne, comme vous dites si bien, me ressemble.
-Oui de dos.
-Pas de face, je présume ?
-Non Madame, pas de face !
-Donc vous êtes déçus… ?
-Pas du tout ! Je la verrai demain, puisque c’est une collègue !
-Mais avouer que vous êtes tout de même déçus ?
-Pour rien vous cacher, oui. J’aurais bien aimé qu’elle soit là. Cela m’aurait permis d’égayer un peu cette soirée !
-Vous aussi, vous vous emmerdez ?
- Vous êtes perspicace, vous ! Oui… comme vous dites, et le mot est faible !
-Et je pense que nous ne sommes pas les seuls ! Me lance-t-elle en me désignant quelques personnes seules autour de nous
Après un moment de réflexion, elle ajoute :
-Si cela vous dit, on peut faire connaissance. Moi c’est Ana !
-Enchanté Ana, moi c’est Alain !
-Enchanté Alain…
Puis nous avons commencé à converser aimablement. Bien entendu, je lui propose une coupe de champagne.
-J’assiste pour aller les chercher, me lance-t-elle.
-Ce n’est pas très galant !
-Vous irez chercher la deuxième !
-Comme ça j’accepte !
Je la regarde s’éloigner. Elle a une paire de fesses majestueuses que je qualifierai de hautaine. Son cul est droit et fier. Arrive devant l’entrée de la salle, la voilà qu’elle se retourne pour contrôler si je la regarde encore. Et elle en est heureuse de constater que c’est le cas. Si j’en juge par le sourire éclatant qu’elle m’adresse alors avant de disparaître de ma vue. Je suis sûr que son cœur bat autant que le mien.
Très vite, au cours de l’anniversaire, comme souvent d’ailleurs dans ce genre de réception, des convives masculins boivent plus que de raison et la certaines des femmes ont dénudé leurs nichons. Très vite, les pudiques quittent le lieu.
Mais pas nous ! Cela fait rire Ana. Pour ma part, je sens ma tête devenir de plus en plus légère. Je mets cela sur le compte de la quatrième coupe de champagne. Anna profitant de l’obscurité et de la désertée du lieu se colle à moi. Se frottant en cadence ses fesses contre mon bas-ventre, massant ses seins.
- Ça leur fait du bien, dit-elle paisiblement. Touche comme ils sont durs.
Je m’exécute. Puis elle glisse sa main derrière son dos et tâtonne entre mes cuisses. Cela la fait rire.
- Toi aussi… tu es dur...
Elle se met à me caresser sans vergogne. Me serrant de sa forte poigne, à travers le tissu du pantalon, la tête renversée en arrière.
-Embrasse-moi, me souffle-t-elle.
Sans réfléchir, je la prends brusquement. Une fois dans mes bras, je pose mes lèvres sur sa bouche. Hors de moi, j’explore sa bouche, son palais, ses gencives, aspirant sa langue, m’enivre du goût alcoolisé de sa salive.
Je sens le ventre d’Ana contre le mien. Elle entame un assez affolant mouvement de tangage et de roulis.
-Tu ne connaîtrais un endroit tranquille ?
Sans prendre la peine de répondre. Je l’emmène jusqu’à la réserve. D’un geste candide, elle fait passer sa robe au-dessus de sa tête. Elle ne porte plus rien sur son corps, hormis ses bas. Je me demande, dans un sursaut de lucidité, si j’avais vraiment envie d’elle. Mais vu l’état d’excitation dans lequel je me trouve. La question est secondaire.
Je la fais basculer sur le piano. Elle a un sursaut quand je lui écarte davantage les cuisses. Je colle ma bouche sur les lèvres secrètes, ouvrant son ventre de la pointe de ma langue.
Puis délicatement, je cherche et fais connaissance avec le clitoris, comme une perle cachée dans un repli de chair. Je l’adoucis de salive. Le faisant poindre et durcir avant de le faire aller et venir entre mes lèvres. La caresse a raison d’Ana. Comme électrisé, tout son corps se tend et elle serre farouchement les cuisses, comme pour mieux emprisonner ma tête. Je sens alors ma bouche envahie par une saveur juteuse et le bourgeon dardé. Je continue de lécher.
Ana se met à gémir et se tord davantage. Puis, d’un coup de reins, elle se redresse à demi, plaquant ses deux mains sur ma tête pour me coller davantage à son ventre.
- Oh putain, ça fait longtemps qu'on ne m’a pas bouffé la chatte comme ça !
Les nerfs à vif et le ventre en feu, je n’en peux plus, poursuivant tout de même ma caresse buccale. Quelques secondes encore afin de l’amener à l’apogée de sa jouissance. Lorsque soudain la sensation d’une présence toute proche, me submerge. Je tourne à demi la tête pour apercevoir un type se tenir debout près de la porte. Il nous regarde, une main tenant sa queue bien tendue de plaisir. Ce n’est pas la première fois que je suis surpris par un voyeur, mais je ne sais pourquoi à cet instant je suis comme paralyser.
- Ne vous arrêtez pas pour moi, dit-il, d’un ton poli.
Me ressaisissant, je reprends mon léchage, sans pouvoir m’empêcher de fixer l’homme se branler à quelque centimètre de mon visage.
-C’est ta copine ? me Fait-il.
Je prends le temps de lui préciser que non.
-Alors encule-la, cette salope !
En plein délire sexuel, je trouve l’idée des plus excellente. Sans la moindre hésitation, je me place entre ses jambes. Je l’avance au bord du piano. Ana ne réagit même pas lorsque je place mon membre à tâtons au contact de la rondelle étoilée sombre.
- Non pas là… plus haut s’exclame-t-elle.
Le voyeur se penche, comme pour mieux apprécier la suite.
- Mais si… les salopes comme toi aime ce faire prendre de la sorte !
En plein fantasme, et sans prendre la peine d’écouter les propos d’Ana, je fais disparaître ma verge petit à petit dans le cul de ma partenaire d’un soir. Distendant les parois. Une fois bien à fond, je m’immobilise pour ne pas jouir tout de suite. Puis je me mets à aller et venir lentement, puis de plus en plus fermement.
Le voyeur est surexcité.
- Oui, défonce-lui le cul, je te dis… plus fort.
Je suis alors pris par une sorte de vertige délicieux. La situation dérape. Les mots crus s’enchaînent. Mon excitation sale monte vertigineusement. Je ne maîtrise plus riens. Sur ce, le voyeur tout proche, éjacule à gros bouillons, alors qu’Ana râle sous mes coups de reins. Il m’en faut pas moins pour me surpasser, la besognant comme jamais auparavant. A en perdre le souffle. C’est avec un grognement que je répands ma semence dans ses entrailles. Ana reçoit ma semence avec un cri.
C’est Ana qui revient la première sur terre. Je constate que le voyeur n’est plus là
- Ce n’est pas le tout çà, on s’est bien amusées, mais je dois rentrée !
- Eh oui ! Fais-je, en remballant ma queue.
- Oh ! Lâche Ana, on remet ça quand tu veux…
- Ouais promis, j’y penserais…merci pour la soirée… et le plaisir…
Alors je décide de m’aventurer à l’extérieur. Et je ne suis pas le seul à prendre cette décision. A voir tous ses convives, qui sont éparpillés un peu partout dans la cour.
Parmi les gens qui s’y trouvent, une paire de jambes d'un galbe parfait gainées de nylon noir et brillant qui attirent mon attention. Cette femme est assise sur le muret de dos. Espérant la connaître, je m'approche avec curiosité. Mais là, je découvre une femme d‘un âge certain, cheveux teintés bruns avec un grand décolleté :
- Déçu, mon jeune ami, lance-t-elle d'une voix chaude et enjôleuse.
-Pas du tout, j’assume mon côté voyeur, du moment qu’il reste complaisant.
Surtout que la brune berce lentement ses jambes à droite et à gauche. Peut-être porte-t-elle des bas ? Je lance une petite prière muette au tout puisant pour qu’il fasse que l’ourlet de la jupe glisse, et qu’ainsi m’apparaisse une petite dentelle.
- Alors jeune homme, déçu ! Me fait-elle.
- Pas du tout, Madame ! De loin je vous avais pris pour une autre personne.
-Oui c’est ça ! Et cette autre personne, comme vous dites si bien, me ressemble.
-Oui de dos.
-Pas de face, je présume ?
-Non Madame, pas de face !
-Donc vous êtes déçus… ?
-Pas du tout ! Je la verrai demain, puisque c’est une collègue !
-Mais avouer que vous êtes tout de même déçus ?
-Pour rien vous cacher, oui. J’aurais bien aimé qu’elle soit là. Cela m’aurait permis d’égayer un peu cette soirée !
-Vous aussi, vous vous emmerdez ?
- Vous êtes perspicace, vous ! Oui… comme vous dites, et le mot est faible !
-Et je pense que nous ne sommes pas les seuls ! Me lance-t-elle en me désignant quelques personnes seules autour de nous
Après un moment de réflexion, elle ajoute :
-Si cela vous dit, on peut faire connaissance. Moi c’est Ana !
-Enchanté Ana, moi c’est Alain !
-Enchanté Alain…
Puis nous avons commencé à converser aimablement. Bien entendu, je lui propose une coupe de champagne.
-J’assiste pour aller les chercher, me lance-t-elle.
-Ce n’est pas très galant !
-Vous irez chercher la deuxième !
-Comme ça j’accepte !
Je la regarde s’éloigner. Elle a une paire de fesses majestueuses que je qualifierai de hautaine. Son cul est droit et fier. Arrive devant l’entrée de la salle, la voilà qu’elle se retourne pour contrôler si je la regarde encore. Et elle en est heureuse de constater que c’est le cas. Si j’en juge par le sourire éclatant qu’elle m’adresse alors avant de disparaître de ma vue. Je suis sûr que son cœur bat autant que le mien.
Très vite, au cours de l’anniversaire, comme souvent d’ailleurs dans ce genre de réception, des convives masculins boivent plus que de raison et la certaines des femmes ont dénudé leurs nichons. Très vite, les pudiques quittent le lieu.
Mais pas nous ! Cela fait rire Ana. Pour ma part, je sens ma tête devenir de plus en plus légère. Je mets cela sur le compte de la quatrième coupe de champagne. Anna profitant de l’obscurité et de la désertée du lieu se colle à moi. Se frottant en cadence ses fesses contre mon bas-ventre, massant ses seins.
- Ça leur fait du bien, dit-elle paisiblement. Touche comme ils sont durs.
Je m’exécute. Puis elle glisse sa main derrière son dos et tâtonne entre mes cuisses. Cela la fait rire.
- Toi aussi… tu es dur...
Elle se met à me caresser sans vergogne. Me serrant de sa forte poigne, à travers le tissu du pantalon, la tête renversée en arrière.
-Embrasse-moi, me souffle-t-elle.
Sans réfléchir, je la prends brusquement. Une fois dans mes bras, je pose mes lèvres sur sa bouche. Hors de moi, j’explore sa bouche, son palais, ses gencives, aspirant sa langue, m’enivre du goût alcoolisé de sa salive.
Je sens le ventre d’Ana contre le mien. Elle entame un assez affolant mouvement de tangage et de roulis.
-Tu ne connaîtrais un endroit tranquille ?
Sans prendre la peine de répondre. Je l’emmène jusqu’à la réserve. D’un geste candide, elle fait passer sa robe au-dessus de sa tête. Elle ne porte plus rien sur son corps, hormis ses bas. Je me demande, dans un sursaut de lucidité, si j’avais vraiment envie d’elle. Mais vu l’état d’excitation dans lequel je me trouve. La question est secondaire.
Je la fais basculer sur le piano. Elle a un sursaut quand je lui écarte davantage les cuisses. Je colle ma bouche sur les lèvres secrètes, ouvrant son ventre de la pointe de ma langue.
Puis délicatement, je cherche et fais connaissance avec le clitoris, comme une perle cachée dans un repli de chair. Je l’adoucis de salive. Le faisant poindre et durcir avant de le faire aller et venir entre mes lèvres. La caresse a raison d’Ana. Comme électrisé, tout son corps se tend et elle serre farouchement les cuisses, comme pour mieux emprisonner ma tête. Je sens alors ma bouche envahie par une saveur juteuse et le bourgeon dardé. Je continue de lécher.
Ana se met à gémir et se tord davantage. Puis, d’un coup de reins, elle se redresse à demi, plaquant ses deux mains sur ma tête pour me coller davantage à son ventre.
- Oh putain, ça fait longtemps qu'on ne m’a pas bouffé la chatte comme ça !
Les nerfs à vif et le ventre en feu, je n’en peux plus, poursuivant tout de même ma caresse buccale. Quelques secondes encore afin de l’amener à l’apogée de sa jouissance. Lorsque soudain la sensation d’une présence toute proche, me submerge. Je tourne à demi la tête pour apercevoir un type se tenir debout près de la porte. Il nous regarde, une main tenant sa queue bien tendue de plaisir. Ce n’est pas la première fois que je suis surpris par un voyeur, mais je ne sais pourquoi à cet instant je suis comme paralyser.
- Ne vous arrêtez pas pour moi, dit-il, d’un ton poli.
Me ressaisissant, je reprends mon léchage, sans pouvoir m’empêcher de fixer l’homme se branler à quelque centimètre de mon visage.
-C’est ta copine ? me Fait-il.
Je prends le temps de lui préciser que non.
-Alors encule-la, cette salope !
En plein délire sexuel, je trouve l’idée des plus excellente. Sans la moindre hésitation, je me place entre ses jambes. Je l’avance au bord du piano. Ana ne réagit même pas lorsque je place mon membre à tâtons au contact de la rondelle étoilée sombre.
- Non pas là… plus haut s’exclame-t-elle.
Le voyeur se penche, comme pour mieux apprécier la suite.
- Mais si… les salopes comme toi aime ce faire prendre de la sorte !
En plein fantasme, et sans prendre la peine d’écouter les propos d’Ana, je fais disparaître ma verge petit à petit dans le cul de ma partenaire d’un soir. Distendant les parois. Une fois bien à fond, je m’immobilise pour ne pas jouir tout de suite. Puis je me mets à aller et venir lentement, puis de plus en plus fermement.
Le voyeur est surexcité.
- Oui, défonce-lui le cul, je te dis… plus fort.
Je suis alors pris par une sorte de vertige délicieux. La situation dérape. Les mots crus s’enchaînent. Mon excitation sale monte vertigineusement. Je ne maîtrise plus riens. Sur ce, le voyeur tout proche, éjacule à gros bouillons, alors qu’Ana râle sous mes coups de reins. Il m’en faut pas moins pour me surpasser, la besognant comme jamais auparavant. A en perdre le souffle. C’est avec un grognement que je répands ma semence dans ses entrailles. Ana reçoit ma semence avec un cri.
C’est Ana qui revient la première sur terre. Je constate que le voyeur n’est plus là
- Ce n’est pas le tout çà, on s’est bien amusées, mais je dois rentrée !
- Eh oui ! Fais-je, en remballant ma queue.
- Oh ! Lâche Ana, on remet ça quand tu veux…
- Ouais promis, j’y penserais…merci pour la soirée… et le plaisir…
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