POUR MON ANNIVERSAIRE LA COMMUNIANTE VA A L'ABATTAGE - histoire érotique

Mon rêve le plus fou serais qu’un soir elle me dise :
« ce soir j’ai envie de sortir, attend-moi là, je vais aller me préparer j’en ai pour un certain temps. Car pour ton anniversaire je vais réaliser ton fantasme, je dois me faire très belle pour être particulièrement désirable »
Elle ira chercher discrètement la plus belle de ses robes blanches, qu’elle aurait secrètement mise au pressing et retirée le matin même. Elle l’aurait laissé sur son cintre et dissimulé sous son plastique. Puis avec tous les accessoires qui agrémenteront sa tenue de communiante, elle s’enfermera avec sa robe taille 14 ans dans la salle de bain.
Elle commencera par se faire une moule juvénile et se rasera intégralement la chatte, puis elle déballera sa robe, la laissant soigneusement pendue sur son cintre et ainsi mieux apprécier ce qu’elle aura décidé de porter pour la soirée.
En contemplent cette robe blanche de fillette qui l’attend, elle se caressera les seins, puis passera sa main à travers les petites manches ballon pour examiner le satin léger qui confectionne sa tenue. Elle admirera l’insolence transparence de cette robe immaculée, qui pour l’occasion, aurait été volontairement dépourvue de sa doublure. Puis très excitée à l’idée de revêtir et d’être exhibée avec cette robe de gamine sans rien dessous, elle se caressera la poitrine du doux satin. Puis impatiente, enfilera ses dim-up blancs et ajustera soigneusement au ras de sa moule les jarretelles en dentelles de ses bas soyeux.
Continuera sa préparation en se faisant des couettes de fillette, bien hautes sur les cotés et nouées par de longs rubans de satin blanc.
Elle vérifiera que sa nuque est agréablement dégagée, et que ses cheveux tirés, forment une raie centrée et bien droite. Elle terminera par un maquillage de petite poupée.
Ainsi parée, elle prendra sa tenue, l’ouvrira délicatement, la revêtira et refermera officiellement la fermeture. Devant la glace, elle ajustera ses petites manches ballon, serrera le gros nœud de derrière et achèvera son habillage en enfilant ses longs gants blancs.
Puis dans un souci de perfection pour se donner un port de tête encore plus séduisant, elle se serrera un ruban de satin blanc autour du cou. Terminera en se recouvrant d’un voile, le fixera à l’aide de barrettes dans les cheveux, ensuit avec une paire de ciseaux pratiquera une ouverture en face de sa bouche.
Elle se contempla une dernière fois dans le miroir, admira sa poitrine se dresser sous le satin translucide. De ses gants soyeux, elle se caressera les mamelons qui sous l’intense excitation, commenceront à durcir, elle les sentira en érection et pointeront indécemment sous le satin.
Elle relèvera son voile sur la tête et sortira de la salle de bain en disant :
« Voilà je me sens toute prête, tu me trouve bien habillée comme ça ? »
« Oui tu es superbe, une vraie petite fillette bien sage, qui va aller faire sa communion, tu veux vraiment sortir comme ça ? »
« Oui, je vais mettre juste mon ciré noir par-dessus, passe-le-moi… Sympa, on voit bien ma robe dépasser »
« Tu voudrais bien aller au cinéma en petite communiante ? »
« Non, ce soir je me suis habillée de ma plus belle robe, je me suis apprêtée pour la grande soirée du dévouement, tu vas enfin pouvoir me conduire à l’abattage, je me suis parfaitement préparée et résolue à le subir »
« Génial comme idée, on va voir au bois de Vincennes, s’il y a du monde ? »
« Non, tu vas avoir le bonheur… de m'amener carrément dans un foyer de travailleurs émigrés, et tu auras la satisfaction de me livrer directement, comme de la viande que l’on conduit à l’abattoir. Pour satisfaire tes envies perverses, tu vas avoir l’honneur d’offrir une petite communiante bien sage à de gros porcs lubriques »
« Oui, je suis très excité, je vais prendre de quoi t’attacher et te conduire immédiatement au foyer de la gare »
« Non, pas celui-la, ils sont trop jeunes et pas assez pervers, j’ai trouvé plus intéressant, j’ai délibérément pris un rendez-vous pour ce soir »
« Tu es une vraie salope, tu as déjà pris rendez-vous avec des émigrés »
« Oui, de plus, pour exaucer tes plaisirs, j’en voulais un bien hard, j’ai donc volontairement choisi un foyer dans un cartier très chaud du 93, tu va apprécier de me voir totalement dépraver »
« Ah ! Je vois, tu veux vraiment me faire plaisir »
« Comme je savais que tu préférais me voir entre les mains expertes de vieux vicieux pour me passer à l’abattage, j’ai recherché sur Internet, et on m’a clairement conseillé de me confier à des Turcs. Paraît-il que tu ne seras pas déçu, ils sont extrêmement pervers, affamé de sexe et parfois violents. Je suis prête à souffrir et même à me laisser sauvagement violer par de gosses brutes sadiques »
« Hum ! C’est très bien ma puce je suis fier de toi, c’est exactement ce que je voulais te voir subir. Qu’est que tu vas prendre ! Et je t'entraîne où, dans cette magnifique robe de communiante »
« Au centre d’Aubervilliers, j’ai choisi ce qui avaient de mieux pour me faire violemment défoncer. C’est un foyer de Turcs, comme ce sont des musulmans ils ont exigé que je reste voilée et que je vienne déjà habillée en fillette, nu sous une robe blanche »
« Je vois que ce sont des connaisseurs et assez cochons. C’est quoi le scénar ? »
« Ils veulent avoir un rapport incestueux avec une fillette timide et la dépuceler dans sa robe immaculée, je serais la gamine à profaner. Ils sont assez vicieux et ont prévu de m’allonger sur une croix avant de me baiser comme une pute, pour être souillée, je devrais conserver ma robe blanche de pucelle ainsi que mon voile, je serais prise par tous les trous en même temps… »
« Super, de mieux en mieux, je te livrerais attachée, et bien sur, tu auras les yeux bandés. Ca se passera ou cette petite cérémonie de dépucelage ? »
« On a rendez-vous dans la cave du foyer, ils l’ont aménagée pour me recevoir en communiante »
« Très bien, je vais t’y conduire, mais avant tout, tu va me faire le plaisir de me retirer immédiatement ce ciré, tu va y aller directement en robe, pas question de te camoufler sous un manteau, car ce soir tu seras une petite pute Je me garerais assez loin du foyer, exprès pour que tu sois obligée de t’exhiber en robe dans le centre d’Aubervilliers, je veux te voir comme une pute, nue sous ta robe transparente. On ira même prendre un verre au bar d’un café bien glauque, ensuite tu iras gentiment à l’abattage et tant pis si des pervers te suivent, ils se joindront aux autres pour t’abattre »
« Je dois quand même prendre mon ciré, car à notre arrivé, tu devais m’offrir officiellement en le retirant lentement ! »
« Non, pas question, tu iras nue sous cette robe et sans rien d’autre, ce soir tu seras une pute qui va passer à l’abattage. Aller retire le tout de suite »
Elle retirera son ciré.
« Et comment pourront-ils te baiser par la bouche sans relever ton voile ? »
« C’est prévu, tu dois me prépare pour, dans un premier temps je dois me laisser tripoter tout debout, ensuite ils me serreront le cou pour me contraindre à me mettre à genoux. Là tu prendras une paire de ciseaux et tu pratiqueras un orifice dans mon voile pour rendre ma bouche accessible et tu me banderas les yeux. Je devrais sucer tout ce qui s’y engage, ensuite tu dois me conduire sur la croix, je dois sagement m’allonger dessus bras et jambes écartées, tête bien en arrière et tu devras m’y attacher en position de dépucelage »
« Ca me plais bien comme programme, je te sens extrêmement excité, tu n’arrêtes pas de te toucher les seins et tu mouilles comme une salope, tu serais pas en train de devenir une vraie pute ? »
« Oui je suis très excitée depuis que j’ai retirée mon ciré, je me sens bien mieux offerte et trop belle dans cette robe, en plus ce qui m’excite énormément, c’est savoir que je vais devoir m’exhiber comme ça en pleine ville, devant de la racaille,. Ça va me plaire d’avouer que je me suis habillé en communiante pour aller à l’abattage dans un foyer. En fait, je réalise que j'apprécie beaucoup la soumission, avoir ma tenue imposée. Je ne savais pas que de me retrouver nue sous cette robe transparente me rendrait aussi nymphomane. Je suis tellement excitée que je préfèrerais qu’ils me prennent carrément sans une capote pour me faire subir un véritable viol collectif. Si tu ne vois pas d’inconvénients, avant de leur demander de me prendre sauvagement comme une pute, tu leur confisqueras toutes les capotes. Tu leur diras que tu préfères que je sois prise sans rien, je veux être rempli de sperme, surtout qu’ils n’hésitent pas à se vidanger dans ma bouche et sur ma robe »
« Je te découvre ce soir, je ne savais pas que tu pouvais être une vraie salope, si tu aimes vraiment ça on pourra le faire plus souvent, tu pourrais faire la pute tous les samedis. Ils seront combien à se vider sur toi ? »
« Je ne sais pas exactement, mais ils m’ont dit qu’ils seraient une trentaine, plus la racaille que je vais volontairement séduire »
« Va te chercher un string en satin blanc et met toi une serviette, tu mouilles trop, je veux que ta robe reste impeccable pour ta cérémonie de dépucelage »
« Pour mieux séduire la racaille, il serait préférable que je sois totalement nue sous le satin translucide et toute prête pour l’abattage »
« Quand même, tu ne conçois pas de te présenter à tes bourreaux dans une robe déjà tachée ! Si ces cochons t’ont demandé de venir vêtue que de satin blanc, t’imagines bien qu’ils veuillent te profaner dans une robe immaculée. Tu dois leur laisser le plaisir de souiller leur petite communiante dans sa jolie robe blanche et pure »
« Ca va être super excitant, autant qu’ils se branlent sous ma robe et qu’ils achèvent à la pisse. Je veux être recouverte de sperme et d‘urine chaude »
« Tu le seras, quand on sera au bar et que tu auras bu ton dernier verre, je te demanderais devant tout le monde, d’enlever ta culotte pour aller à l’abattage »
« Maintenant tu vas aller mettre son string et t’installer toute seule dans la voiture en faisant très attention de ne pas froisser ta robe »
« Je risque de croiser les voisins et habillée comme ça… »
« Tant pis, t’assumes, tu n’auras qu’à leur dire que tu vas à une soirée déguisée ou tu leur dis carrément la vérité, que tu vas à l’abattage. En attendant, je vais préparer ce qu’il faut pour t’attacher et je vais aussi te prendre un fouet… »