Pour un camembert
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pour un camembert
En ce mercredi matin, je suis tranquillement en train de choisir des fromages dans le rayon de la grande surface, quand une femme sans s’excuser me passe devant pour se saisir d’un camembert. La voilà qui reste immobile en train de lire le descriptif de l’article. Mon premier constat est de me dire, que certains humains manquent de civilité. C’est alors que je laisse tomber mon regard au pied du goujat, pour m’apercevoir qu’elle porte de jolies chaussures à sangle de cuirs entrelacés sur un appétissant pied nu.
Je tombe tout de suite sous le charme. Mon premier réflexe est de vouloir l’aborder. Oui mais comment ? Je fais marcher mon esprit et très vite trouve l’ouverture. Alors qu’elle s’apprête à se retirer, je l’interpelle.
- Oui ! Me fait-elle en me faisant face.
- Je peux vous demander conseil ?
- Oui, si je peux vous être utile.
- J'aimerais un bon camembert.
Et là, elle se met à me vanter plusieurs produits, me les désignant du doigt. Une vraie pipelette. Il m’est même incapable d’en placer une. Je profite de l’instant pour la détailler. Elle est rousse pâle, bien en chair. Dans un tailleur strict, à la chevelure ramenée en chignon sur la nuque, aux lunettes à grosse monture qui imposent et font ressortir la lourdeur indécente de sa bouche.
-Donc, fais-je enfin, si je vous ai bien suivis c’est celui que vous avez en main que je dois prendre.
- Oui ! Mais je ne me permettrais pas de vous imposer quoi que ce soit!
- Oui… je l’entends bien, mais je vais tout de même suivre votre conseil, fais-je en prenant l’article dans le rayon frigorifié.
Mais alors qu’elle s’apprête à repartir et qu’il n’est pas concevable que je ne tente rien, je l’interpelle une fois encore.
- Madame ! Fais-je en glissant mon regard jusqu’à ses pieds.
- Oui ! Fait-elle en se retournant.
- Merci !
- Mais je vous en prie !
-Je peux vous proposer un café.
- Là tout de suite, ici ! Mais je ne vois point de café à l’intérieur du magasin.
- Je le sais bien ! Mais vous êtes comme moi au courant qu’il se tient une cafétéria dans la galerie.
- Oui, parfaitement !
- Alors je vous propose que le premier attend l’autre devant…
- Mais je n’ai pas si je peux accepter ?
- Je vous dois bien ça ! Et rassurez-moi, j’ai bien entendu, sortir de votre bouche un oui parfaitement !
- Oui mais c’était pour la cafétéria, pas pour l’invitation !
Et elle se met à rire.
-À tout de suite ! Fais-je, en m’éloignant, pas sans lui avoir de nouveau porté mon regard à ses pieds.
J’abandonne mon caddie dans un rayon quelconque et sors du magasin pour me diriger vers la galerie. Devant l’entrée de la cafétéria je fais le pied de grue. Attendant patiemment ma rouquine. Ma patience est de quelques minutes avant que je vois arriver au loin ma conseillère en camembert poussant son caddie. Je m’avance jusqu’à elle, qui en me reconnaissant me sourit.
- Eh bien, me fait-elle. Vous ne lâchez rien, vous !
- Je me sens toujours obligé devant les personnes qui prennent le temps d’aider les autres.
- Mais je n’ai fait que de vous renseigner sur le choix des camemberts !
- Oui, mais sans le savoir vous m’avez enlevé une sacrée épine du pied.
- Juste pour cela !
- Aller, permettez-moi de vous offrir un café juste pour cela, cela me fera un grand plaisir.
- Mais mon caddie ?
- Vous désirez peut-être le charger dans votre coffre pour plus de sécurité.
- J’aimerais… oui !
- Vous permettez que je vous accompagne ?
- Vous pouvez aussi m’attendre ici. Je vous promets de revenir !
- Comme vous voulez !
Et la voilà qui s’éloigne. Au bout de quelques pas, je la vois s’immobilisée, pour enfin rebroussée chemin, pour revenir au point de départ.
- Je devine, lui fais-je, que vous allez me dire que vous ne pouvez pas !
- Non, au contraire, je vous propose de le boire chez moi, ce fameux café.
- Chez vous ?
- Parfaitement… chez moi ! Cela vous ennui ?
- Pas du tout… mais…
- Oui, je devine ce que vous allez me dire, me coupe-t-elle, mais sachez que je m’en fous.
- Comme vous voulez ! Fais-je en lui emboîtant le pas.
Le regard s’intéressant de nouveau à ce qu’elle porte aux pieds. Quelques minutes plus tard, je me trouve dans son salon vieilli par le temps, en train d’attendre, assis sur le canapé en cuir, qu’elle apporte l’expresso sollicité.
Après avoir déposée le plateau contenant deux tasses et une assiette de gâteaux secs, tout en restant debout devant moi elle me dit :
- J’aimerais me permettre de vous dire quelque chose ?
- Je vous en prie, je vous dois bien ça !
- J’ai comme une impression que mes pieds vous intéressent, je me trompe ?
- Pas du tout, Madame. Je reconnais que je suis tombé sous leurs charmes.
- Vous êtes du genre fétichiste ? Me demande-t-elle, en faisant prendre appui à son pied sur le cuir du canapé.
- Je le conçois, Madame !
- Je devine que cela vous ferez plaisir de les voir sans leur monture ? Lâche-t-elle en détachant la boucle de la lanière qui tient fermée la chaussure autour de sa cheville.
La situation m’échappe et je me demande à qui j’ai affaire, là ! Voilà une inconnue qui m’invite à partager un expresso chez elle, et qui m’exhibe son pied. Ce n’est pas courant, croyez-moi ! Même pour moi, qui en ai vu bien d’autres !
-Alors il te plaît mon pied ? Me fait-elle, passant du vouvoiement au tutoiement, tout en m’exhibant son peton sous tous les angles.
Mais alors que je m’apprête à me pencher pour l’atteindre, voilà que de son côté elle commence à relever l’ourlet de la jupe de son tailleur, le long de ses cuisses. J’observe, hypnotisé tout ce qu’elle veut bien m’offrir.
-C’est pas mieux qu’un pied ? Fait-elle en prenant place sur un des fauteuils.
Les jambes très espacées l’une de l’autre. Assez pour que je m’aperçoive qu’elle porte une culotte de couleur rose. Tout en me défiant du regard, la voilà qui du bout du doigt effleure le devant de sa culotte.
- Et ça… tu ne trouves pas que c’est plus intéressant que mes pieds ?
- Oui, je vous l’accorde… mais jusqu’alors c’était caché…
- Mais, il fallait me le demander… je te l’aurais exhibé. Tu ne m’as pas l’air si timide que ça…
- C’est qu’on ne fait pas n’importe quoi avec une femme mariée !
- Il se trouve que la femme mariée, comme tu dis si bien, est en ce moment en manque de caresse.
Elle m’explique alors, que leur couple est à l’image du salon. Quelque chose qui a été beau, mais qui a fané et sent la décomposition.
Déconcerté, j’examine cette femme étrange qui s’offre à un inconnu, qui se touche délicatement en attendant que je me décide à passer à l’action. Finalement, je me décide à passer à l’acte, pour cela je tombe à genoux entre ses cuisses et approche mon visage de son entrejambe.
- Tu te décides enfin ! Il t’en a fallu du temps.
- Il faut mieux tard que jamais.
- Oui… je te l’accorde ! Lâche-t-elle, alors que j’hume la fragrance attisée de sa fourche. Impatient de faire connaissance avec son intimité, je la soulage de sa culotte rose que je fourre dans ma poche.
- Je vois que Monsieur est collectionneur !
Pour toute réponse, j’appose mes lèvres sur son intimité. Et de ma langue gourmande, je commence par lécher cette chatte humide dont le goût, je l’avoue, me plaît immédiatement.
J’entreprends ainsi un cunnilingus comme j’aime le pratiquer. Alternant les coups de langue, le branlage avec les doigts, ainsi que les délicieuses sucions du clitoris excité.
Pendant ce temps, elle sort ses seins des nids de son soutien-gorge. Qu’elle se les caresse, les palpes avec ravissement. Ses doigts aux longs ongles lustrés agacent et pincent ses mamelons durcis.
- Oh oui… j’en avais oublié que c’était si bon ! Gémit-elle. Tu ne peux pas savoir comme j’aime ça me faire manger la chatte comme ça. Oui… vas-y, fais-moi jouir avec ta langue.
Sa collaboration m’excite à poursuivre ma caresse buccale. Je déguste avec conscience la généreuse cyprine de cette moule excitée. D’une main, je sors ma queue de ma braguette et je me touche, comme il m’arrive de le faire. Et cela, tout en léchant la chatte de l’inconnue. Dont je ne sais toujours pas son prénom !
Ma langue s’active sur son bouton. Qui danse, sur, et sous mes lèvres.
- Putain ! Que tu fais ça bien !...
Encouragé par ses propos, je lui mets deux doigts dans sa gaine brûlante. Alors que je fourre un troisième dans son anus.
- Mais que fais-tu, petit cochon ? Fait-elle en désertant sa place. je n’aime pas trop qu’on me touche de ce côté-là, vois-tu !
- Les désirs de Madame sont des ordres !
- Pour la peine je vais te punir !
- Faites-donc !
La voilà quelle s’installe à califourchon sur moi. Elle frotte son pubis contre mon visage. Elle balance son bassin d’avant en arrière de façon régulière, collant puis décollant sa chatte de ma bouche. Elle pose les mains sur mon crâne pour mieux me contrôler.
-Allez, continue à me bouffer…. Fais du bien à la vieille salope que je suis !
Elle est animée d’une violence qui est rare chez une femme comme elle, posée. Elle écrase sa moule visqueuse contre ma bouche. Je m’empare de ses fesses à pleines mains. Evitant son anus. Je lèche comme si je tenais une pastèque grande ouverte au-dessus de ma bouche.
Puis elle bascule pour se placer tête-bêche. Elle bouge encore son bassin de façon que ma bouche accomplisse un parcours complet de son anus à son bouton. À chaque mouvement, elle halète. Parfois elle lâche une courte phrase d’encouragement.
-Oui… oui, fais jouir une vieille truie comme moi !
Entre deux lexies, elle saisit ma queue dans sa bouche, la suce furieusement. Ou alors elle pourlèche mes couilles. Ou bien encore, elle les absorbe.
Puis elle s’échappe une fois encore. Disparait de ma vue pour revenir avec un gode en main.
- Je te présente mon amant ! Me fait-elle.
Il est étonnamment réaliste. Couleur chair et nervurée.
-Tu es d’accord pour l’aider à me faire du bien ?
Elle s’installe pour ça à quatre pattes, la tête en appui sur le côté. Les fesses érigées en l’air. J’attrape le gode, le place par pur réflexe à mes narines, avant de le présenter la seconde suivante à l’entrée de son vagin. Là, la-voilà qu’elle glisse la main derrière elle, et s’empare de la hampe en silicone et se la fourre dans le vagin. Dès lors, elle entame un ample mouvement de va-et-vient avec son poignet. Ceci fait elle lâche l’engin devenu tout luisant, et qui me retombe sur le visage.
Alors qu’elle tâtonne pour le récupérer, je m’en saisis du gode et je l’enfonce de nouveau dans sa chatte. Dans cette position, je peux facilement faire pénétrer le gode pendant que je chatouille son clitoris du bout de la langue.
J’accélère le mouvement. Une mouille odorante coule dans ma bouche et sur mon menton, alors que le gode glisse dans le vagin, avec des bruits humides. Soudain, elle se cambre, jouit avec un cri aigu, pour finir par rouler sur le dos. Une fois encore le gode glisse hors de son vagin. Mais la coquine ne veut pas s’arrêter là. Elle me supplie.
- Non ! Non ! Je t’en prie, ne l’enlève pas !
Je m’accroupis à côté d’elle et enfonce de nouveau le sexe en silicone dans le vagin inondé. Les yeux fermés, elle pousse de sourds gémissements. Agite son bassin et souffle :
- Accélère ! Oui, plus vite !
Je rythme de mon mieux les mouvements du gode sur ceux du bassin de la femme et elle jouit de nouveau avec de petits gémissements syncopés.
Mais cet orgasme, au lieu de durer seulement quelques secondes comme précédemment, celui semble ne jamais en finir. Durant plus d’une demi-minute, je poursuis cette masturbation en me demandant à quel moment je dois cesser ?
-Je n’en peux plus ! Je l’entends enfin me dire.
En peu, elle se calme, cesse de gémir et les soubresauts de son bassin s’apaisent. Elle se laisse retomber sur le côté. Je crois qu’elle en a eu pour son compte.
J’en profite pour penser à mon plaisir. Je la fais se mettre à genoux devant moi. Une fois dans la position voulue, je prends sa main et je la guide vers mon membre viril pour qu’elle le prenne entre ses doigts. Je lui demande de me la branler. D’abord tout doucement puis de plus en plus vite.
Puis elle prend l’initiative de rapprocher son visage de mon sexe. Suivant ses propres instructions, elle embrasse le bout de mon gland doucement, puis de façon plus affirmée. Elle continue ses baisers le long de ma verge pour atteindre mes testicules.
À ce moment-là, je n’en peux plus tellement c’est bon. Elle remonte sur mon gland et commence à le mettre au chaud dans sa bouche. Là, elle fait effectuer à sa tête un mouvement de balancier. Et de plus en plus vite. Je suis dans un tel état d’excitation que je ne tiens pas longtemps. Et je jouis dans sa bouche. Je la sens surprise de recevoir mon sperme lui gicler dans la bouche aussi rapidement.
Quand elle me recrache je bande encore. Et cela malgré mon orgasme précédent, sûrement que celui-ci était tellement fort que j’en étais encore excité.
Je l’allonge sur le bord du canapé, et je m’installe entre ses jambes. J’embrasse sa poitrine, et enfourne ma queue dans sa chatte. Je m’enfonce en elle sans peine. Elle pousse un râle de plaisir pendant la pénétration. Une fois au fond, je reste immobile, et prends son pied dénudé en bouche. Je suçote ses orteils. L’un après l’autre. Mais, de son côté, elle ne fait pas jouer ses muscles internes. Sait-elle le faire ? Alors j’entame un lent va-et-vient. Que j’accélère de plus en plus au fil des secondes suivantes. Très vite nos corps se couvrent de sueur.
- Oui ! Vas-y, jouis-moi dedans ! Remplis-moi de ta semence !
- Oui… fais-je. Tiens, prends ça, j’ajoute, en giclant au fond de sa chatte.
-Oh ! Oui…!... je te sens…
Je mets après cela, un certain temps à revenir sur terre. Je reconnais que j’ai pris avec cette inconnue un pied pas possible !
- Eh bien! Me dit-elle. Tu as crié presque aussi fort que moi !
- Oh ! C’est que c’état bon !
- Eh bien, je t’invite à revenir me voir la semaine prochaine ! Notre relation est loin de se terminer… nous sommes faits pour nous entendre côté cul.
Je tombe tout de suite sous le charme. Mon premier réflexe est de vouloir l’aborder. Oui mais comment ? Je fais marcher mon esprit et très vite trouve l’ouverture. Alors qu’elle s’apprête à se retirer, je l’interpelle.
- Oui ! Me fait-elle en me faisant face.
- Je peux vous demander conseil ?
- Oui, si je peux vous être utile.
- J'aimerais un bon camembert.
Et là, elle se met à me vanter plusieurs produits, me les désignant du doigt. Une vraie pipelette. Il m’est même incapable d’en placer une. Je profite de l’instant pour la détailler. Elle est rousse pâle, bien en chair. Dans un tailleur strict, à la chevelure ramenée en chignon sur la nuque, aux lunettes à grosse monture qui imposent et font ressortir la lourdeur indécente de sa bouche.
-Donc, fais-je enfin, si je vous ai bien suivis c’est celui que vous avez en main que je dois prendre.
- Oui ! Mais je ne me permettrais pas de vous imposer quoi que ce soit!
- Oui… je l’entends bien, mais je vais tout de même suivre votre conseil, fais-je en prenant l’article dans le rayon frigorifié.
Mais alors qu’elle s’apprête à repartir et qu’il n’est pas concevable que je ne tente rien, je l’interpelle une fois encore.
- Madame ! Fais-je en glissant mon regard jusqu’à ses pieds.
- Oui ! Fait-elle en se retournant.
- Merci !
- Mais je vous en prie !
-Je peux vous proposer un café.
- Là tout de suite, ici ! Mais je ne vois point de café à l’intérieur du magasin.
- Je le sais bien ! Mais vous êtes comme moi au courant qu’il se tient une cafétéria dans la galerie.
- Oui, parfaitement !
- Alors je vous propose que le premier attend l’autre devant…
- Mais je n’ai pas si je peux accepter ?
- Je vous dois bien ça ! Et rassurez-moi, j’ai bien entendu, sortir de votre bouche un oui parfaitement !
- Oui mais c’était pour la cafétéria, pas pour l’invitation !
Et elle se met à rire.
-À tout de suite ! Fais-je, en m’éloignant, pas sans lui avoir de nouveau porté mon regard à ses pieds.
J’abandonne mon caddie dans un rayon quelconque et sors du magasin pour me diriger vers la galerie. Devant l’entrée de la cafétéria je fais le pied de grue. Attendant patiemment ma rouquine. Ma patience est de quelques minutes avant que je vois arriver au loin ma conseillère en camembert poussant son caddie. Je m’avance jusqu’à elle, qui en me reconnaissant me sourit.
- Eh bien, me fait-elle. Vous ne lâchez rien, vous !
- Je me sens toujours obligé devant les personnes qui prennent le temps d’aider les autres.
- Mais je n’ai fait que de vous renseigner sur le choix des camemberts !
- Oui, mais sans le savoir vous m’avez enlevé une sacrée épine du pied.
- Juste pour cela !
- Aller, permettez-moi de vous offrir un café juste pour cela, cela me fera un grand plaisir.
- Mais mon caddie ?
- Vous désirez peut-être le charger dans votre coffre pour plus de sécurité.
- J’aimerais… oui !
- Vous permettez que je vous accompagne ?
- Vous pouvez aussi m’attendre ici. Je vous promets de revenir !
- Comme vous voulez !
Et la voilà qui s’éloigne. Au bout de quelques pas, je la vois s’immobilisée, pour enfin rebroussée chemin, pour revenir au point de départ.
- Je devine, lui fais-je, que vous allez me dire que vous ne pouvez pas !
- Non, au contraire, je vous propose de le boire chez moi, ce fameux café.
- Chez vous ?
- Parfaitement… chez moi ! Cela vous ennui ?
- Pas du tout… mais…
- Oui, je devine ce que vous allez me dire, me coupe-t-elle, mais sachez que je m’en fous.
- Comme vous voulez ! Fais-je en lui emboîtant le pas.
Le regard s’intéressant de nouveau à ce qu’elle porte aux pieds. Quelques minutes plus tard, je me trouve dans son salon vieilli par le temps, en train d’attendre, assis sur le canapé en cuir, qu’elle apporte l’expresso sollicité.
Après avoir déposée le plateau contenant deux tasses et une assiette de gâteaux secs, tout en restant debout devant moi elle me dit :
- J’aimerais me permettre de vous dire quelque chose ?
- Je vous en prie, je vous dois bien ça !
- J’ai comme une impression que mes pieds vous intéressent, je me trompe ?
- Pas du tout, Madame. Je reconnais que je suis tombé sous leurs charmes.
- Vous êtes du genre fétichiste ? Me demande-t-elle, en faisant prendre appui à son pied sur le cuir du canapé.
- Je le conçois, Madame !
- Je devine que cela vous ferez plaisir de les voir sans leur monture ? Lâche-t-elle en détachant la boucle de la lanière qui tient fermée la chaussure autour de sa cheville.
La situation m’échappe et je me demande à qui j’ai affaire, là ! Voilà une inconnue qui m’invite à partager un expresso chez elle, et qui m’exhibe son pied. Ce n’est pas courant, croyez-moi ! Même pour moi, qui en ai vu bien d’autres !
-Alors il te plaît mon pied ? Me fait-elle, passant du vouvoiement au tutoiement, tout en m’exhibant son peton sous tous les angles.
Mais alors que je m’apprête à me pencher pour l’atteindre, voilà que de son côté elle commence à relever l’ourlet de la jupe de son tailleur, le long de ses cuisses. J’observe, hypnotisé tout ce qu’elle veut bien m’offrir.
-C’est pas mieux qu’un pied ? Fait-elle en prenant place sur un des fauteuils.
Les jambes très espacées l’une de l’autre. Assez pour que je m’aperçoive qu’elle porte une culotte de couleur rose. Tout en me défiant du regard, la voilà qui du bout du doigt effleure le devant de sa culotte.
- Et ça… tu ne trouves pas que c’est plus intéressant que mes pieds ?
- Oui, je vous l’accorde… mais jusqu’alors c’était caché…
- Mais, il fallait me le demander… je te l’aurais exhibé. Tu ne m’as pas l’air si timide que ça…
- C’est qu’on ne fait pas n’importe quoi avec une femme mariée !
- Il se trouve que la femme mariée, comme tu dis si bien, est en ce moment en manque de caresse.
Elle m’explique alors, que leur couple est à l’image du salon. Quelque chose qui a été beau, mais qui a fané et sent la décomposition.
Déconcerté, j’examine cette femme étrange qui s’offre à un inconnu, qui se touche délicatement en attendant que je me décide à passer à l’action. Finalement, je me décide à passer à l’acte, pour cela je tombe à genoux entre ses cuisses et approche mon visage de son entrejambe.
- Tu te décides enfin ! Il t’en a fallu du temps.
- Il faut mieux tard que jamais.
- Oui… je te l’accorde ! Lâche-t-elle, alors que j’hume la fragrance attisée de sa fourche. Impatient de faire connaissance avec son intimité, je la soulage de sa culotte rose que je fourre dans ma poche.
- Je vois que Monsieur est collectionneur !
Pour toute réponse, j’appose mes lèvres sur son intimité. Et de ma langue gourmande, je commence par lécher cette chatte humide dont le goût, je l’avoue, me plaît immédiatement.
J’entreprends ainsi un cunnilingus comme j’aime le pratiquer. Alternant les coups de langue, le branlage avec les doigts, ainsi que les délicieuses sucions du clitoris excité.
Pendant ce temps, elle sort ses seins des nids de son soutien-gorge. Qu’elle se les caresse, les palpes avec ravissement. Ses doigts aux longs ongles lustrés agacent et pincent ses mamelons durcis.
- Oh oui… j’en avais oublié que c’était si bon ! Gémit-elle. Tu ne peux pas savoir comme j’aime ça me faire manger la chatte comme ça. Oui… vas-y, fais-moi jouir avec ta langue.
Sa collaboration m’excite à poursuivre ma caresse buccale. Je déguste avec conscience la généreuse cyprine de cette moule excitée. D’une main, je sors ma queue de ma braguette et je me touche, comme il m’arrive de le faire. Et cela, tout en léchant la chatte de l’inconnue. Dont je ne sais toujours pas son prénom !
Ma langue s’active sur son bouton. Qui danse, sur, et sous mes lèvres.
- Putain ! Que tu fais ça bien !...
Encouragé par ses propos, je lui mets deux doigts dans sa gaine brûlante. Alors que je fourre un troisième dans son anus.
- Mais que fais-tu, petit cochon ? Fait-elle en désertant sa place. je n’aime pas trop qu’on me touche de ce côté-là, vois-tu !
- Les désirs de Madame sont des ordres !
- Pour la peine je vais te punir !
- Faites-donc !
La voilà quelle s’installe à califourchon sur moi. Elle frotte son pubis contre mon visage. Elle balance son bassin d’avant en arrière de façon régulière, collant puis décollant sa chatte de ma bouche. Elle pose les mains sur mon crâne pour mieux me contrôler.
-Allez, continue à me bouffer…. Fais du bien à la vieille salope que je suis !
Elle est animée d’une violence qui est rare chez une femme comme elle, posée. Elle écrase sa moule visqueuse contre ma bouche. Je m’empare de ses fesses à pleines mains. Evitant son anus. Je lèche comme si je tenais une pastèque grande ouverte au-dessus de ma bouche.
Puis elle bascule pour se placer tête-bêche. Elle bouge encore son bassin de façon que ma bouche accomplisse un parcours complet de son anus à son bouton. À chaque mouvement, elle halète. Parfois elle lâche une courte phrase d’encouragement.
-Oui… oui, fais jouir une vieille truie comme moi !
Entre deux lexies, elle saisit ma queue dans sa bouche, la suce furieusement. Ou alors elle pourlèche mes couilles. Ou bien encore, elle les absorbe.
Puis elle s’échappe une fois encore. Disparait de ma vue pour revenir avec un gode en main.
- Je te présente mon amant ! Me fait-elle.
Il est étonnamment réaliste. Couleur chair et nervurée.
-Tu es d’accord pour l’aider à me faire du bien ?
Elle s’installe pour ça à quatre pattes, la tête en appui sur le côté. Les fesses érigées en l’air. J’attrape le gode, le place par pur réflexe à mes narines, avant de le présenter la seconde suivante à l’entrée de son vagin. Là, la-voilà qu’elle glisse la main derrière elle, et s’empare de la hampe en silicone et se la fourre dans le vagin. Dès lors, elle entame un ample mouvement de va-et-vient avec son poignet. Ceci fait elle lâche l’engin devenu tout luisant, et qui me retombe sur le visage.
Alors qu’elle tâtonne pour le récupérer, je m’en saisis du gode et je l’enfonce de nouveau dans sa chatte. Dans cette position, je peux facilement faire pénétrer le gode pendant que je chatouille son clitoris du bout de la langue.
J’accélère le mouvement. Une mouille odorante coule dans ma bouche et sur mon menton, alors que le gode glisse dans le vagin, avec des bruits humides. Soudain, elle se cambre, jouit avec un cri aigu, pour finir par rouler sur le dos. Une fois encore le gode glisse hors de son vagin. Mais la coquine ne veut pas s’arrêter là. Elle me supplie.
- Non ! Non ! Je t’en prie, ne l’enlève pas !
Je m’accroupis à côté d’elle et enfonce de nouveau le sexe en silicone dans le vagin inondé. Les yeux fermés, elle pousse de sourds gémissements. Agite son bassin et souffle :
- Accélère ! Oui, plus vite !
Je rythme de mon mieux les mouvements du gode sur ceux du bassin de la femme et elle jouit de nouveau avec de petits gémissements syncopés.
Mais cet orgasme, au lieu de durer seulement quelques secondes comme précédemment, celui semble ne jamais en finir. Durant plus d’une demi-minute, je poursuis cette masturbation en me demandant à quel moment je dois cesser ?
-Je n’en peux plus ! Je l’entends enfin me dire.
En peu, elle se calme, cesse de gémir et les soubresauts de son bassin s’apaisent. Elle se laisse retomber sur le côté. Je crois qu’elle en a eu pour son compte.
J’en profite pour penser à mon plaisir. Je la fais se mettre à genoux devant moi. Une fois dans la position voulue, je prends sa main et je la guide vers mon membre viril pour qu’elle le prenne entre ses doigts. Je lui demande de me la branler. D’abord tout doucement puis de plus en plus vite.
Puis elle prend l’initiative de rapprocher son visage de mon sexe. Suivant ses propres instructions, elle embrasse le bout de mon gland doucement, puis de façon plus affirmée. Elle continue ses baisers le long de ma verge pour atteindre mes testicules.
À ce moment-là, je n’en peux plus tellement c’est bon. Elle remonte sur mon gland et commence à le mettre au chaud dans sa bouche. Là, elle fait effectuer à sa tête un mouvement de balancier. Et de plus en plus vite. Je suis dans un tel état d’excitation que je ne tiens pas longtemps. Et je jouis dans sa bouche. Je la sens surprise de recevoir mon sperme lui gicler dans la bouche aussi rapidement.
Quand elle me recrache je bande encore. Et cela malgré mon orgasme précédent, sûrement que celui-ci était tellement fort que j’en étais encore excité.
Je l’allonge sur le bord du canapé, et je m’installe entre ses jambes. J’embrasse sa poitrine, et enfourne ma queue dans sa chatte. Je m’enfonce en elle sans peine. Elle pousse un râle de plaisir pendant la pénétration. Une fois au fond, je reste immobile, et prends son pied dénudé en bouche. Je suçote ses orteils. L’un après l’autre. Mais, de son côté, elle ne fait pas jouer ses muscles internes. Sait-elle le faire ? Alors j’entame un lent va-et-vient. Que j’accélère de plus en plus au fil des secondes suivantes. Très vite nos corps se couvrent de sueur.
- Oui ! Vas-y, jouis-moi dedans ! Remplis-moi de ta semence !
- Oui… fais-je. Tiens, prends ça, j’ajoute, en giclant au fond de sa chatte.
-Oh ! Oui…!... je te sens…
Je mets après cela, un certain temps à revenir sur terre. Je reconnais que j’ai pris avec cette inconnue un pied pas possible !
- Eh bien! Me dit-elle. Tu as crié presque aussi fort que moi !
- Oh ! C’est que c’état bon !
- Eh bien, je t’invite à revenir me voir la semaine prochaine ! Notre relation est loin de se terminer… nous sommes faits pour nous entendre côté cul.
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