POURQUOI ? (1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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POURQUOI ? (1)
--- Message de l'auteur : Tous ce qui est précédé d'un tiret C'est l'homme qui parle. Sans tiret la femme parle. Merci ---
— Pourquoi, lorsque ma voisine m’a demandé de conduire au bal des pompiers le 14 juillet sa fille Aglaé âgée de 22 ans, qui est plus grande que moi de 10 centimes et qui a des seins qui ressemblent à des œufs sur le plat alors que j’aime les filles de ma taille avec de vrais obus.
J’ai accepté de remplacer son frère qui devait l’accompagner et qui est au lit avec une fièvre carabinée ?
Pourquoi, lorsque mon voisin Christian plus vieux que moi de quatre ans est venu m’inviter à l’accompagner au bal du 14 juillet des pompiers, j’ai accepté ?
Pourquoi, moi qui ne peux pas admettre qu’un homme soit plus vieux et surtout plus petit que moi, je me suis préparé pour l’accompagner ?
— Pourquoi, lorsque j’ai dansé avec elle et qu’elle se tenait à distance de peur que nos ventres se touchent, ne l’ai-je pas plaqué contre moi, pour lui faire sentir ma virilité ?
Pourquoi, lors de la première danse, il me tenait éloigné de lui ?
Avait-il peur que je constate que son sexe n’avait aucun volume à m’offrir. Je ne parle pas de ses cheveux qui présente un début de calvitie qui le vieillit énormément.
— Que dire de ses pieds qui sont de vrais bateaux. Et ses cheveux attachés en chignon qui me donne l’impression d’avoir dans les bras une fille du siècle dernier. Sans conter sa robe, qui descend sous ses genoux avec ses socquettes dans ses souliers plats.
Je suis sur que si je passe ma main sous sa robe, je découvrirais une culotte petit bateau.
Moi qui ai mis ma plus belle robe assez ample pour tournoyer lorsque des rythmes endiablés la font voler. Sans parler de mes dessous que j’ai choisi afin qu’ils soient du meilleur goût.
Sans conter les slows langoureux que je rêve de danser dans les bras d’homme viril qui me ferait voir qu’ils ont envie de me prendre même au milieu de la piste de danse. Au lieu de cela mes yeux sont à la hauteur du crâne de ce monsieur qui n’a que sa gentillesse comme atout.
— Lorsque la danse se termine, pourquoi se dépêche-t-elle de me lâcher la main comme si la mienne la brûlait ?
Pas de tact des tous. La gentillesse ne fait pas tout, à la fin de la danse, pourquoi va-t-il s’asseoir alors qu’un rock endiablé est entonné par les musiciens. J’adore virevolter entre les bras d’un danseur ayant le rythme dans la peau.
Pour cela j’avais mis mes socquettes et mes chaussures plates afin de danser plus facilement.
— Ça y est, ce que je craignais ce produit, on fait tapisserie. Je me suis assis une minute pour refaire mon lacet et elle s’est dépêché de s’asseoir de peur de me refuser le rock que les musiciens ont attaqué et que j’adore danser.
Pourquoi je refuse l’invitation d’un jeune homme qu’en temps normal j’aurais suivie sur la piste ?
— J’ai raison, on fait tapisserie, elle ne sait pas danser, elle refuse l’invitation de ce jeune homme, si elle avait su dansé le rock, elle l’aurait suivi.
Une série de slows démarre, j’avais raison il est juste intéressé par les slows.
Pourquoi au milieu de la piste, il me marche sur le pied et que cela me fait baisser la tête ?
— Pas de chance, on me bouscule et je lui marche sur le pied. C’est la première fois que cela m’arrive. Pourquoi, je lève la tête pour m’excuser ?
Comment ses lèvres se retrouvent sur les miennes alors que je n’en ais pas du tout envie !
Pourquoi ma bouche s’ouvre pour m’excuser et qu’il en a profité pour glisser sa langue dedans ?
— Elle en profite la grande, je veux m’excuser et elle me roule une pelle.
Pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable !
Quitte à passer une soirée pourrie pourquoi ne pas essayé de la dessaler un peu, je n’ai jamais rechigné à me vider les testicules sans pour cela avoir des sentiments.
Pourquoi, si je ne l’intéresse pas me met-il sa langue au fond de la bouche.
Qu’est-ce que je décide s’il veut aller plus loin ?
J’ai bien pris la pilule, que maman m’a donné.
S’il me baise, je n’ai rien à craindre de ce coté.
— Attention mon garçon, si elle est vierge elle risque de s’attacher et tu n’arriveras pas à t’en débarrasser. D’un autre côté, pourquoi louper un petit coup rapide qui peut lui laisser un bon souvenir. Je ne suis pas un étalon mais les différentes femmes que j’ai connues ne se sont jamais plaintes de mes services.
Pourquoi, lorsqu’il m’embrasse, je le laisse faire, Pourquoi me plaque-t-il contre son ventre ?
Souhait-il, me faire sentir que c’est un homme avec une vraie virilité.
— C’est fait, je profite que sa bouche est encombrée par ma langue pour coller son bassin sur mon ventre sans qu’elle ne puisse se plaindre. Elle ne recule pas, c’est bon signe, la soirée va peu être mieux se finir qu’elle n’a commencé. Je frotte ma verge sur son bas-ventre grâce au slow. Je commence à bander, elle ne peut plus l’ignorer.
Ais-je été un peu hâtive. Si son membre n’a pas le volume de celui de ce magnifique noir que je voie l’été en maillot de bain dans son jardin. Membre qui risque à tout moment d’éclater le tissu qui essaye de le retenir.
Hélas, il est marié et sa femme est une vraie tigresse avec qui je ne veux rien avoir à faire.
— Elle se frotte avec de plus en plus d’insistance, je suis sur que je la fais mouiller. Je vais lui caresser les seins, cela va l’émoustiller.
Ce n'est pas gagner, je n’ai vraiment rien à me mettre sous la pogne, moi qui ’adore les seins qui débordent des chemisiers !
Il me caresse la poitrine, mes seins ne sont pas gros mais ils sont très sensibles.
J’aimerais qu’il me pince les mamelons, lorsque je me masturbe, je les pince tellement fort que certains jours j’ai peur de les arracher !
— Le slow est fini, elle garde ma main dans la sienne.
Je vais essayer de l’entraîner dans ma voiture ?
Où va-t-il ?
Je verrais bien. Je suis tranquille, c’est mon voisin et non pas un inconnu, il ne va pas me violer.
A 22 ans mon pucelage me pèse, c’est décidé, s’il le veut, je me donne à lui.
J’aurais tout le temps de le larguer pour trouver un homme qui me convient mieux.
Je ne dois pas oublier ma copine Agnès qui m’a embrassé l’autre après-midi dans sa chambre. Elle m’a fait sentir que je n’étais pas insensible aux caresses féminines.
— J’ai mais chance, je viens d’ouvrir ma voiture et elle accepte de monter. Je vais me faire bien voir, je lui ouvre sa portière.
Pourquoi, nous fait-il monter en voiture ? Va-t-il me raccompagner ?
— Je me suis assis à ma place derrière le volant. Je lui prends la bouche. Elle ne se refuse pas. Ma main s’enhardit et je défais les boutons de sa robe qui protègent son buste.
J’ai été mauvaise langue, son soutien-gorge est en dentelles fines et en demi-balconnet.
La pointe de ses seins est presque aussi grosse que le sein lui-même. Je me penche vers cette fraise et je la prends en bouche.
J’ai l’impression qu’elle aime çà à la façon dont elle tortille son bassin.
Non, on ne part pas, j’ai bien l’impression que je suis au pied du mur. J’ai rêvé depuis des mois la façon dont un homme m’enlèvera ma virginité !
Dans une voiture je n’y ai jamais pensé.
J’aimerais bien que sa bouche sur mon mamelon, soit violente, qu’il n’hésite pas à le mordre, même l’arracher ! Je suis très sensible des seins, je sens ma chatte s’humidifier.
S’il me pénètre, il rentrera plus facilement. Ma chatte me démange tellement que je ne peux pas retenir mon ventre qui bouge dans tous les sens.
— J’avance bien, pas de rebuffade, mais je ne suis pas encore dans son sexe, la route est encore longue et à tout moment elle peut donner le clap de fin.
Une autre idée, je lui prends la main et la pose sur mon sexe. Si elle ne veut pas tâter ma queue, il me sera difficile de lui mettre dans la chatte.
Je ne suis pas loin de mon dépucelage !
Il vient de me prendre la main et l’a posé sur son pantalon.
Dois-je défaire sa ceinture pour ouvrir sa braguette et lui sortir sa verge ?
Une certaine crainte m’empêche de le faire, je n’ai jamais touché la queue d’un homme et une légère appréhension me fait reculer.
— C’est bon, je sens qu’elle a eu envie de sortir mon sexe et sa pudeur l’en a empêché.
Je suis de plus en plus sûr qu’elle est vierge.
Ma première pucelle, ça fera toujours bien dans mon tableau de chasse.
Je vais ouvrir mon pantalon moi-même et voir comment elle réagit.
Il l’a fait, je vois sa verge sortie de son pantalon.
Je suis satisfaite, je pourrais dire que ma première bite était de bonne taille. La taille faisait toujours partie de mes rêves.
Je devais penser à celle du voisin ou de son frère car en plus d’être grosse, voir gigantesque elles étaient toujours noires.
Un petit effort, met là dans ta main, ne réfléchi pas, ce n’est pas si difficile.
— Elle la fait, elle me tient dans sa main, il faut que je me dépêche car il n’est pas question que je décharge ainsi. J’aurais l’air d’un imbécile et je ne le supporte pas.
Je continue à ouvrir les boutons de sa robe et de voir sa petite culotte.
Comme son soutien-gorge elle est en dentelle !
Je regrette presque les ‘petits bateaux’ mais elle est plus facile à enlever.
Je lui reprends la bouche qui répond à mon baiser.
Dans peu de temps je serais débarrassé de cette corvée.
Il vient d’ouvrir ma robe et ma petite culotte est à sa merci.
J’aurais mieux fait d’accepter le godemiché qu’Agnès voulait m’introduire dans le vagin l’autre après midi. Il m’aurait défloré et je ne serais pas dans l’attente du sexe de cet homme que je n’aime pas.
— Si je lui demande de se soulever pour lui enlever son petit bout de tissu, elle risque de se braquer et que tout m’échapper. Tant pis, j’y vais. Je l’arrache.
C’est bon, le tissu a lâché et elle n’a pas bronché.
Pour commencer, je lui caresse la vulve. Même si globalement elle est mal foutue, sa touffe ne manque pas de charme.
Son nom de venus est proéminent et sa fente est bien cachée dans sa toison impeccablement entretenue.
Le goujat, il vient de m’arracher ma petite culotte. Je viens de l’acheter et je l’aimais beaucoup.
Il me caresse la fente, va-y non d’un chien, massacres là, laboure là.
Dépêches-toi de te coucher sur moi pour me pénétrer.
Il faut que j’arrête de le branler, il est capable d’éjaculer et il faudra tout recommencer jusqu’à ce qu’il se remette à bander.
— J’ai mis deux doigts dans sa chatte sans qu’elle ne s’offusque. J’ai bien senti une résistance, son hymen va être à moi.
Je pense quelle prend la pilule à son age, je vais pouvoir la labourer et éjaculer sans prendre de précaution. Le coït interrompu très peu pour moi. J’ai oublié de prendre des préservatifs car l’idée de là baiser ne m’effleurait pas lorsque l’on est parti.
Pour voir si elle est prête, je vais abaisser le dossier du siège. Si elle accepte de s’allonger, elle me dégagera son abricot et je pourrais la pénétrer.
On y est, l’heure de vérité approche, il vient d’abaisser mon siège. C’est bien, je suis plus allongé la pénétration sera facilitée. Qu’il est long, à venir.
Je le sens tirer son pantalon et se dégager les pieds après avoir enlevé ses chaussures.
Je sens que d’ici peut-il va basculer sur moi.
— Avec du mal j’ai réussi à enlever mon pantalon. Ma bite, qu’elle a lâchée se dresse fièrement prête à l’assaut final. Allez j’y vais sans hésitation !
Il bascule sur moi, et je sens sa verge sur ma cuisse, l’espace est si restreint qu’il a du mal à trouver l’entrée. Il se sert de sa main et pousse un grand coup. Il est à l’intérieur de mon vagin. La rupture de mon hymen m’a fait mal, mais je ne veux pas lui donner le plaisir d’entendre le moindre cri sortir de ma bouche. Je me mords la lèvre afin d’y arriver.
— C’est fait, j’ai pu la pénétrer avec du mal à cause de l’exiguïté de l’endroit.
Je l’ai prise avec tellement de douceur qu’elle n’a pas poussée de cri.
Je suis content de la manière dont j’ai fait le travail. Son dépucelage restera gravé jusqu’à la fin de ses jours dans sa tête.
La douleur a dû s’estomper, je vais pouvoir la labourer, car j’ai envie d’éjaculer.
J’y vais sans m’arrêter. Que s’est bon de lui envoyer mes giclées !
C’est fait, non seulement il m’a défloré mais pour la première fois mon vagin a reçu des jets de sperme.
Il semble avoir apprécié de déverser son foutre. Il me dit que je suis bonne ?
Je dois le prendre comment ?
Il sort de moi et je le vois prendre son mouchoir pour s’essuyer la queue. Pas très sentimental ce geste, il aurait pu me montrer de la tendresse !
— Je remets mon pantalon.
Habillé que faire, retourner au bal, je n’en vois pas l’intérêt.
Si elle me prend pour un malotru, je m’en fiche, je ne ferais rien de plus avec elle.
Si elle espère que je vais tomber amoureux parce que j’ai eu le courage de lui enlever son pucelage qui a son âge devait lui peser, elle se trompe.
J’ai de la chance, il démarre la voiture, j’avais peur qu’il veuille retourner au bal et continuer de se frotter sur moi.
Tout ce spermes qui coulent de ma chatte m’indisposent, il aurait pu me donner son mouchoir.
Tiens du tissu sur ma main, quelle chance ma culotte, je vais pouvoir m’essuyer.
—Elle s’essuie la chatte avec sa culotte. C’est vrai que j’ai tellement éjaculé qu’elle va pouvoir la garder en souvenir de cette soirée.
Vivement que j’arrive pour prendre ma douche et laver toutes traces de ce dépucelage qui ne restera pas dans ma mémoire.
Je referme ma robe et je garde ma culotte dans ma main, pour la jeter en arrivant, je ne voudrais pas qu’il la garde comme trophée.
— C’est bon on arrive, elle a refermé sa robe et je vais pouvoir la laisser partir rapidement sans avoir besoin de remettre le couvert. Je ne veux pas apparaître comme un goujat, juste un baiser suffira.
Pourvu qu’il ne souhaite pas recommencer et me prendre en arrivant.
Peu être pense-t-il me baiser sur le capot de la voiture en déchirant le reste de mes vêtements et enfin faire éclater mon corps dans des myriades de couleurs et de cris.
— J’espère qu’elle n’espère pas venir demain chez moi me présenter ses fesses. Elles doivent être aussi plates que ses seins. J’ai déjà fait un effort ce soir, il faudra qu’elle se contente de ce moment avec moi.
Je sais ce que je vais faire, je l’embrasse, j’ouvre la portière et je pars en courant. J’éviterais tous risques.
— J’ai de la chance, aussitôt arrêter, elle m’a embrassé au coin des lèvres et est partie en courant.
Je peux rentrer me coucher. Je suis sur que je vais rêver d’une femme de ma taille et de mon âge. Cette femme saura me prendre la bite pour la sucer et la mettre dans tous ses trous pour me faire jouir autant qu’elle jouira elle-même.
Je suis douché, mon vagin est propre. Je me suis tellement arrosé la chatte avec le jet de la douche que j’ai joui deux fois lorsque l’eau à masturbé mon bouton.
Demain et les jours prochains je ferais tout mon possible pour ne pas le rencontrer, il m’oubliera.
Si ma mère me demande comment c’est passé la soirée, je lui dirais que nous ayons dansé et qu’il m’a poliment reconduite.
* Pourquoi les choses ne se passent jamais comme on le souhaite !…
— Pourquoi, lorsque ma voisine m’a demandé de conduire au bal des pompiers le 14 juillet sa fille Aglaé âgée de 22 ans, qui est plus grande que moi de 10 centimes et qui a des seins qui ressemblent à des œufs sur le plat alors que j’aime les filles de ma taille avec de vrais obus.
J’ai accepté de remplacer son frère qui devait l’accompagner et qui est au lit avec une fièvre carabinée ?
Pourquoi, lorsque mon voisin Christian plus vieux que moi de quatre ans est venu m’inviter à l’accompagner au bal du 14 juillet des pompiers, j’ai accepté ?
Pourquoi, moi qui ne peux pas admettre qu’un homme soit plus vieux et surtout plus petit que moi, je me suis préparé pour l’accompagner ?
— Pourquoi, lorsque j’ai dansé avec elle et qu’elle se tenait à distance de peur que nos ventres se touchent, ne l’ai-je pas plaqué contre moi, pour lui faire sentir ma virilité ?
Pourquoi, lors de la première danse, il me tenait éloigné de lui ?
Avait-il peur que je constate que son sexe n’avait aucun volume à m’offrir. Je ne parle pas de ses cheveux qui présente un début de calvitie qui le vieillit énormément.
— Que dire de ses pieds qui sont de vrais bateaux. Et ses cheveux attachés en chignon qui me donne l’impression d’avoir dans les bras une fille du siècle dernier. Sans conter sa robe, qui descend sous ses genoux avec ses socquettes dans ses souliers plats.
Je suis sur que si je passe ma main sous sa robe, je découvrirais une culotte petit bateau.
Moi qui ai mis ma plus belle robe assez ample pour tournoyer lorsque des rythmes endiablés la font voler. Sans parler de mes dessous que j’ai choisi afin qu’ils soient du meilleur goût.
Sans conter les slows langoureux que je rêve de danser dans les bras d’homme viril qui me ferait voir qu’ils ont envie de me prendre même au milieu de la piste de danse. Au lieu de cela mes yeux sont à la hauteur du crâne de ce monsieur qui n’a que sa gentillesse comme atout.
— Lorsque la danse se termine, pourquoi se dépêche-t-elle de me lâcher la main comme si la mienne la brûlait ?
Pas de tact des tous. La gentillesse ne fait pas tout, à la fin de la danse, pourquoi va-t-il s’asseoir alors qu’un rock endiablé est entonné par les musiciens. J’adore virevolter entre les bras d’un danseur ayant le rythme dans la peau.
Pour cela j’avais mis mes socquettes et mes chaussures plates afin de danser plus facilement.
— Ça y est, ce que je craignais ce produit, on fait tapisserie. Je me suis assis une minute pour refaire mon lacet et elle s’est dépêché de s’asseoir de peur de me refuser le rock que les musiciens ont attaqué et que j’adore danser.
Pourquoi je refuse l’invitation d’un jeune homme qu’en temps normal j’aurais suivie sur la piste ?
— J’ai raison, on fait tapisserie, elle ne sait pas danser, elle refuse l’invitation de ce jeune homme, si elle avait su dansé le rock, elle l’aurait suivi.
Une série de slows démarre, j’avais raison il est juste intéressé par les slows.
Pourquoi au milieu de la piste, il me marche sur le pied et que cela me fait baisser la tête ?
— Pas de chance, on me bouscule et je lui marche sur le pied. C’est la première fois que cela m’arrive. Pourquoi, je lève la tête pour m’excuser ?
Comment ses lèvres se retrouvent sur les miennes alors que je n’en ais pas du tout envie !
Pourquoi ma bouche s’ouvre pour m’excuser et qu’il en a profité pour glisser sa langue dedans ?
— Elle en profite la grande, je veux m’excuser et elle me roule une pelle.
Pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable !
Quitte à passer une soirée pourrie pourquoi ne pas essayé de la dessaler un peu, je n’ai jamais rechigné à me vider les testicules sans pour cela avoir des sentiments.
Pourquoi, si je ne l’intéresse pas me met-il sa langue au fond de la bouche.
Qu’est-ce que je décide s’il veut aller plus loin ?
J’ai bien pris la pilule, que maman m’a donné.
S’il me baise, je n’ai rien à craindre de ce coté.
— Attention mon garçon, si elle est vierge elle risque de s’attacher et tu n’arriveras pas à t’en débarrasser. D’un autre côté, pourquoi louper un petit coup rapide qui peut lui laisser un bon souvenir. Je ne suis pas un étalon mais les différentes femmes que j’ai connues ne se sont jamais plaintes de mes services.
Pourquoi, lorsqu’il m’embrasse, je le laisse faire, Pourquoi me plaque-t-il contre son ventre ?
Souhait-il, me faire sentir que c’est un homme avec une vraie virilité.
— C’est fait, je profite que sa bouche est encombrée par ma langue pour coller son bassin sur mon ventre sans qu’elle ne puisse se plaindre. Elle ne recule pas, c’est bon signe, la soirée va peu être mieux se finir qu’elle n’a commencé. Je frotte ma verge sur son bas-ventre grâce au slow. Je commence à bander, elle ne peut plus l’ignorer.
Ais-je été un peu hâtive. Si son membre n’a pas le volume de celui de ce magnifique noir que je voie l’été en maillot de bain dans son jardin. Membre qui risque à tout moment d’éclater le tissu qui essaye de le retenir.
Hélas, il est marié et sa femme est une vraie tigresse avec qui je ne veux rien avoir à faire.
— Elle se frotte avec de plus en plus d’insistance, je suis sur que je la fais mouiller. Je vais lui caresser les seins, cela va l’émoustiller.
Ce n'est pas gagner, je n’ai vraiment rien à me mettre sous la pogne, moi qui ’adore les seins qui débordent des chemisiers !
Il me caresse la poitrine, mes seins ne sont pas gros mais ils sont très sensibles.
J’aimerais qu’il me pince les mamelons, lorsque je me masturbe, je les pince tellement fort que certains jours j’ai peur de les arracher !
— Le slow est fini, elle garde ma main dans la sienne.
Je vais essayer de l’entraîner dans ma voiture ?
Où va-t-il ?
Je verrais bien. Je suis tranquille, c’est mon voisin et non pas un inconnu, il ne va pas me violer.
A 22 ans mon pucelage me pèse, c’est décidé, s’il le veut, je me donne à lui.
J’aurais tout le temps de le larguer pour trouver un homme qui me convient mieux.
Je ne dois pas oublier ma copine Agnès qui m’a embrassé l’autre après-midi dans sa chambre. Elle m’a fait sentir que je n’étais pas insensible aux caresses féminines.
— J’ai mais chance, je viens d’ouvrir ma voiture et elle accepte de monter. Je vais me faire bien voir, je lui ouvre sa portière.
Pourquoi, nous fait-il monter en voiture ? Va-t-il me raccompagner ?
— Je me suis assis à ma place derrière le volant. Je lui prends la bouche. Elle ne se refuse pas. Ma main s’enhardit et je défais les boutons de sa robe qui protègent son buste.
J’ai été mauvaise langue, son soutien-gorge est en dentelles fines et en demi-balconnet.
La pointe de ses seins est presque aussi grosse que le sein lui-même. Je me penche vers cette fraise et je la prends en bouche.
J’ai l’impression qu’elle aime çà à la façon dont elle tortille son bassin.
Non, on ne part pas, j’ai bien l’impression que je suis au pied du mur. J’ai rêvé depuis des mois la façon dont un homme m’enlèvera ma virginité !
Dans une voiture je n’y ai jamais pensé.
J’aimerais bien que sa bouche sur mon mamelon, soit violente, qu’il n’hésite pas à le mordre, même l’arracher ! Je suis très sensible des seins, je sens ma chatte s’humidifier.
S’il me pénètre, il rentrera plus facilement. Ma chatte me démange tellement que je ne peux pas retenir mon ventre qui bouge dans tous les sens.
— J’avance bien, pas de rebuffade, mais je ne suis pas encore dans son sexe, la route est encore longue et à tout moment elle peut donner le clap de fin.
Une autre idée, je lui prends la main et la pose sur mon sexe. Si elle ne veut pas tâter ma queue, il me sera difficile de lui mettre dans la chatte.
Je ne suis pas loin de mon dépucelage !
Il vient de me prendre la main et l’a posé sur son pantalon.
Dois-je défaire sa ceinture pour ouvrir sa braguette et lui sortir sa verge ?
Une certaine crainte m’empêche de le faire, je n’ai jamais touché la queue d’un homme et une légère appréhension me fait reculer.
— C’est bon, je sens qu’elle a eu envie de sortir mon sexe et sa pudeur l’en a empêché.
Je suis de plus en plus sûr qu’elle est vierge.
Ma première pucelle, ça fera toujours bien dans mon tableau de chasse.
Je vais ouvrir mon pantalon moi-même et voir comment elle réagit.
Il l’a fait, je vois sa verge sortie de son pantalon.
Je suis satisfaite, je pourrais dire que ma première bite était de bonne taille. La taille faisait toujours partie de mes rêves.
Je devais penser à celle du voisin ou de son frère car en plus d’être grosse, voir gigantesque elles étaient toujours noires.
Un petit effort, met là dans ta main, ne réfléchi pas, ce n’est pas si difficile.
— Elle la fait, elle me tient dans sa main, il faut que je me dépêche car il n’est pas question que je décharge ainsi. J’aurais l’air d’un imbécile et je ne le supporte pas.
Je continue à ouvrir les boutons de sa robe et de voir sa petite culotte.
Comme son soutien-gorge elle est en dentelle !
Je regrette presque les ‘petits bateaux’ mais elle est plus facile à enlever.
Je lui reprends la bouche qui répond à mon baiser.
Dans peu de temps je serais débarrassé de cette corvée.
Il vient d’ouvrir ma robe et ma petite culotte est à sa merci.
J’aurais mieux fait d’accepter le godemiché qu’Agnès voulait m’introduire dans le vagin l’autre après midi. Il m’aurait défloré et je ne serais pas dans l’attente du sexe de cet homme que je n’aime pas.
— Si je lui demande de se soulever pour lui enlever son petit bout de tissu, elle risque de se braquer et que tout m’échapper. Tant pis, j’y vais. Je l’arrache.
C’est bon, le tissu a lâché et elle n’a pas bronché.
Pour commencer, je lui caresse la vulve. Même si globalement elle est mal foutue, sa touffe ne manque pas de charme.
Son nom de venus est proéminent et sa fente est bien cachée dans sa toison impeccablement entretenue.
Le goujat, il vient de m’arracher ma petite culotte. Je viens de l’acheter et je l’aimais beaucoup.
Il me caresse la fente, va-y non d’un chien, massacres là, laboure là.
Dépêches-toi de te coucher sur moi pour me pénétrer.
Il faut que j’arrête de le branler, il est capable d’éjaculer et il faudra tout recommencer jusqu’à ce qu’il se remette à bander.
— J’ai mis deux doigts dans sa chatte sans qu’elle ne s’offusque. J’ai bien senti une résistance, son hymen va être à moi.
Je pense quelle prend la pilule à son age, je vais pouvoir la labourer et éjaculer sans prendre de précaution. Le coït interrompu très peu pour moi. J’ai oublié de prendre des préservatifs car l’idée de là baiser ne m’effleurait pas lorsque l’on est parti.
Pour voir si elle est prête, je vais abaisser le dossier du siège. Si elle accepte de s’allonger, elle me dégagera son abricot et je pourrais la pénétrer.
On y est, l’heure de vérité approche, il vient d’abaisser mon siège. C’est bien, je suis plus allongé la pénétration sera facilitée. Qu’il est long, à venir.
Je le sens tirer son pantalon et se dégager les pieds après avoir enlevé ses chaussures.
Je sens que d’ici peut-il va basculer sur moi.
— Avec du mal j’ai réussi à enlever mon pantalon. Ma bite, qu’elle a lâchée se dresse fièrement prête à l’assaut final. Allez j’y vais sans hésitation !
Il bascule sur moi, et je sens sa verge sur ma cuisse, l’espace est si restreint qu’il a du mal à trouver l’entrée. Il se sert de sa main et pousse un grand coup. Il est à l’intérieur de mon vagin. La rupture de mon hymen m’a fait mal, mais je ne veux pas lui donner le plaisir d’entendre le moindre cri sortir de ma bouche. Je me mords la lèvre afin d’y arriver.
— C’est fait, j’ai pu la pénétrer avec du mal à cause de l’exiguïté de l’endroit.
Je l’ai prise avec tellement de douceur qu’elle n’a pas poussée de cri.
Je suis content de la manière dont j’ai fait le travail. Son dépucelage restera gravé jusqu’à la fin de ses jours dans sa tête.
La douleur a dû s’estomper, je vais pouvoir la labourer, car j’ai envie d’éjaculer.
J’y vais sans m’arrêter. Que s’est bon de lui envoyer mes giclées !
C’est fait, non seulement il m’a défloré mais pour la première fois mon vagin a reçu des jets de sperme.
Il semble avoir apprécié de déverser son foutre. Il me dit que je suis bonne ?
Je dois le prendre comment ?
Il sort de moi et je le vois prendre son mouchoir pour s’essuyer la queue. Pas très sentimental ce geste, il aurait pu me montrer de la tendresse !
— Je remets mon pantalon.
Habillé que faire, retourner au bal, je n’en vois pas l’intérêt.
Si elle me prend pour un malotru, je m’en fiche, je ne ferais rien de plus avec elle.
Si elle espère que je vais tomber amoureux parce que j’ai eu le courage de lui enlever son pucelage qui a son âge devait lui peser, elle se trompe.
J’ai de la chance, il démarre la voiture, j’avais peur qu’il veuille retourner au bal et continuer de se frotter sur moi.
Tout ce spermes qui coulent de ma chatte m’indisposent, il aurait pu me donner son mouchoir.
Tiens du tissu sur ma main, quelle chance ma culotte, je vais pouvoir m’essuyer.
—Elle s’essuie la chatte avec sa culotte. C’est vrai que j’ai tellement éjaculé qu’elle va pouvoir la garder en souvenir de cette soirée.
Vivement que j’arrive pour prendre ma douche et laver toutes traces de ce dépucelage qui ne restera pas dans ma mémoire.
Je referme ma robe et je garde ma culotte dans ma main, pour la jeter en arrivant, je ne voudrais pas qu’il la garde comme trophée.
— C’est bon on arrive, elle a refermé sa robe et je vais pouvoir la laisser partir rapidement sans avoir besoin de remettre le couvert. Je ne veux pas apparaître comme un goujat, juste un baiser suffira.
Pourvu qu’il ne souhaite pas recommencer et me prendre en arrivant.
Peu être pense-t-il me baiser sur le capot de la voiture en déchirant le reste de mes vêtements et enfin faire éclater mon corps dans des myriades de couleurs et de cris.
— J’espère qu’elle n’espère pas venir demain chez moi me présenter ses fesses. Elles doivent être aussi plates que ses seins. J’ai déjà fait un effort ce soir, il faudra qu’elle se contente de ce moment avec moi.
Je sais ce que je vais faire, je l’embrasse, j’ouvre la portière et je pars en courant. J’éviterais tous risques.
— J’ai de la chance, aussitôt arrêter, elle m’a embrassé au coin des lèvres et est partie en courant.
Je peux rentrer me coucher. Je suis sur que je vais rêver d’une femme de ma taille et de mon âge. Cette femme saura me prendre la bite pour la sucer et la mettre dans tous ses trous pour me faire jouir autant qu’elle jouira elle-même.
Je suis douché, mon vagin est propre. Je me suis tellement arrosé la chatte avec le jet de la douche que j’ai joui deux fois lorsque l’eau à masturbé mon bouton.
Demain et les jours prochains je ferais tout mon possible pour ne pas le rencontrer, il m’oubliera.
Si ma mère me demande comment c’est passé la soirée, je lui dirais que nous ayons dansé et qu’il m’a poliment reconduite.
* Pourquoi les choses ne se passent jamais comme on le souhaite !…
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