Pourquoi

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Pourquoi Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pourquoi
Oui, c'est la question que je me pose ! Pourquoi cette garce de femelle me tourne le dos. Je ne suis pas laid, ni difforme, en un mot, je suis normal. Elle c'est Marie, la femme que j'aimerai avoir dans mon lit ou le sien, peu importe. Je la connais depuis plusieurs mois, je la salut chaque fois que je la vois elle ne me répond qu'un d'un bonjour monsieur. Elle habite juste en face de moi. Nous avons des vues directe dans nos logements respectifs.
Je la vois souvent se promener nue, à mon avis c'est une exhibitionniste. De chez moi, je peux voir son salon, sa chambre et une partie de la salle de bain.
Je la vois souvent se branler dans le salon avec un godemiché dernier cri. C'est peut-être pour ça qu'elle ne veux pas d'homme dans sa vie: je ne l'ai jamais rencontré avec un garçon.
Ce que je sais d'elle c'est qu'elle travaille dans un bureau et qu'elle a le weekend libre. Si elle se branle presque tous le jours c'est qu'elle aime bien jouir Alors je ne comprends plus. A moins qu'elle préfère les filles, de nos jours c'est assez courant et ensuite la plus part redeviennent fidèles aux hommes. J'ai beau la surveiller, elle ne reçoit personne.
Pourquoi ?
Un matin , en rentrant de faire quelques courses dans le quartier, je la vois portant péniblement un gros achat. Je me dévoue et avec le sourire, je lui propose de porter ses paquets. Elle accepte volontiers Je monte jusqu'à chez elle et rentre poser ses affaires.
Elle me remercie d'un charmant sourire et me propose un verre que j'accepte. Elle me fait assoir dans son salon et sort les verres avant de se baisser pour sortir les bouteilles de son buffet. Elle force un peu et montre un peu plus que la moitié de ses jambes parfaites.
Je n'en perds pas une miette et je fais semblant de regarder ailleurs quand elle se lève.
Elle sert avec grâce et me tend un verre. Je le prend en faisant exprès de lui tenir la main un court instant. Mon geste la fait sourire. Nous buvons lentement. Elle se lève pour aller faire je ne sais quoi dans la cuisine, peut-être mettre en route un repas.
J'ai une très grande surprise quand je la vois revenir vers moi: elle porte des bas résille noirs, un simple string très mini et un soutien gorge qui ne cache rien de ses seins: je peux voir les aréoles.
Pourquoi ! Brusquement elle se montre à moi dans cette tenue alors que je l'apercevais toujours nue. Elle s'approche de moi et se penche pour m'embrasser sur la bouche: un de ces baisers qu'on ne peux plus jamais oublier.
Je l"empoigne par un bras et la met sur mes genoux. Elle me laisse faire, j'en profite pour lui caresser les cuisses en remontant vers son string. Elle continu à ne pas interdire mes gestes déjà déplacés. J'arrive pas loin de son con quand elle ferme les cuisses, je ne sais pas pourquoi. Déçu, je me tourne vers sa poitrine et défais le soutien gorge. Jaillissent les deux seins mieux encore que je le croyais. Je les caresse l'un après l'autre et pose ma bouche pour téter un mamelon. Elle renverse sa tête et se laisse faire, enfin si on veut: elle pose une main sur ma bite déjà bien grosse et veut la sortir du pantalon. Je l'y aide. Elle
l'empoigne à pleine main et très lentement elle me branle: elle connait donc la musique.
Je redescends ma main et cette fois elle me laisse aller sur son con. J'écarte le peu de tissu et lui prend le clitoris que je caresse lentement. Elle se laisse aller complètement en écartant ses jambes. Sa main ne cesse pas de me toucher la pine. Je bande beaucoup.
Elle jouit en fermant les yeux. Cette fois je crois que je vais enfin la baiser. Elle sent la bite se relever et baisser doucement: elle craint que je jouisse. Elle enlève sa main et prend la mienne pour que j'aille ailleurs que sur son clitoris. Je pense qu'elle veux que je la doigte:
pas du tout elle mène ma main plus bas, vers son cul. Je lui met deux doigts dans son dans cul et le pouce dans sa moule. Elle réagit fort bien et je lui donne un plaisir que je suppose elle ne connaissait pas. Je veux baiser toujours: je l'allonge sur le tapis et lui fait ouvrir les jambes. Je commence par un cunnilingus dont elle jouit et enfin je me pose sur elle, la queue bien orientée et la rentre dans son intimité. Dès cet instant elle est totalement déchainée.
C'est pratiquement elle qui assure les vas et viens. J'ai l'impression qu'elle me branle. Pourtant elle jouit plusieurs fois. Enfin, et je n'ai pas lâché mon sperme, elle se met en levrette pour que je l'encule. Je ne le regrette pas: il est très accueillant. Au début un peu serré et plus profond élargi. Ma queue remue comme elle veut. Quand à la fille, elle gémit pendant toute la durée de la sodomie. Nous jouissons presque ensemble. Je sort d'elle qui vient se blottir dans mes bras. Elle a encore envie de baiser: elle me tient la queue qu'elle caresse sans cesse. Ce là ne suffit pas. Elle prend son godemiché, s'installe en face de moi, assise sur le divan, jambes bien écartées. Je voit sa moule ouverte et surtout je la regarde se faire du bien avec le gode.
Elle a oublié la moindre pudeur: elle baise et c'est tout. Je la vois faire et enfin ma queue reprend "figure humaine": je bande à nouveau. Elle finit de se masturber pour arriver à un orgasme et revient pour que je la lui mette dans la bouche. Elle avale la moitié de mon mandrin et le caresse avec toujours autant de science que quand elle me branlait. Je lui
demande de faire un 69 et là, elle se met dessus: je dois lever ma tête pour la sucer. Elle ne fait que me prendre dans sa bouche. Je sens ses seins contre moi. Je lui avale une partie du con et lui met dans doigts dans le cul. Elle m'en fait autant. Nous avons bien joui et je me rhabille. Elle reste nue. Je part après un baiser très profond,
elle me remercie de l'avoir faite jouir. Je sorts de chez elle et remonte chez moi. Je la vois dans son salon, assise sur le divan avec le gode en marche dans son con.
Pourquoi?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je suis prêt à en porter des paquets, pour une si bonne récompense



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