Pourquoi chercher loin ?
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Pourquoi chercher loin ?
Chez moi, je suis seule: je n'ai plus de proches parents. Je loge au dernier étage d'un immeuble qui en compte 15. J'oubliais: j'ai un vague cousin que je rencontre de temps à autres, pour les fins d'années par exemple. pour le sexe je fait comme tout le monde: je cherche autour de moi. Parfois j'ai une bonne fortune et je baise. Souvent hélas, je me
masturbe. J'ai des jouets sexuels et je m'en contente. J'ai des moments de manque.
Mais cette fois ça marche: j'ai rencontré un voisin en prenant l'ascenseur. Grand, sympathique, bien bâti. Je lui ai souri: il m'a rendu le sourire et m'a adressé la parole. Il a une voix grave bien timbrée. Bref, cette rencontre me laisse espérer, peut-être une relation ?Je ne sais pas où il habite, j'espère dans le même immeuble. Il monte au dernier étage: loge-t-il ici, près de moi. Oui: il habite dans l'appartement juste en face.
Je pense à lui toute la soirée: je suis amoureuse d'un quasi inconnu. Il me plaît et j'ai même envie de lui. Je suis obligée de me déshabiller et nue, je me regarde dans le grand miroir du séjour: Je me trouve belle et sexy. Je me touche les seins qui durcissent et ma main droite descend vers mon sexe. J'ai envie de jouir en pensant à lui. Je sort le godemiché et après m'être caressé le clitoris, je me baise. Je pense très fort que c'est sa bite qui est en moi. Je me fais jouir. Mais au fond de moi reste toujours cette envie de baiser avec lui qui doit savoir bien faire l'amour, j'en suis certaine.
Le lendemain au réveil je pense encore à lui. En prenant ma douche je me suis masturbée, toujours avec lui dans ma tête. Je me raisonne en me disant qu'il n'est peut-être pas libre. Aucune importance. J'ai besoin de lui.
Je sort prendre l'ascenseur pour aller au travail. Le hasard fait bien les choses: il sort en même temps que moi. Nous nous sourions. Il me demande si j'ai bien dormi. Je dois rougir un peu en lui disant que oui. Je lui retourne la question et sa réponse me met du baume à l'âme: Il a mal dormi parce qu'il a pensé longuement à moi. Je ne sais comment je me suis
retrouvée dans ses bras: nous nous sommes embrassés. Du coup en arrivant au rez-de-chaussée, il a fait remonter l'ascenseur et il m'a fait rentrée chez lui. Je n'ai pas résisté: il m'enlacé et embrassé de plus en plus profondément. Nous langues se battent. Enfin il me prend une sein et le caresse. Il ma fait mouiller. Je sens ma cyprine: j'ai trop envie de lui. Je ne veux pas passer pour une fille facile, et pourtant je le laisse faire ce qu'il veux: me branler: ses mains lèvent ma robe et se posent d'abord sur mes fesses, avant de venir directement vers mon bas ventre. Il passe un ou deux doigts sous mon string et ne cherche pas longtemps mon bouton: il le caresse lentement: je fonds dans ses bras. Il est
sur le point de ma faire jouir. J'ose lui mettre une main sur sa bite: elle est très dure. Je veux la lui sortir, et je ne peux pas. Alors il me déshabille et se met nu lui aussi. Il de détaille et j'en fait autant: il est réellement bien fichu. Sa bite est plus grosse que la moyenne. Je me demande si je pourrai m'en occuper normalement.
Il m'entraine dans sa chambre et me jette sur le lit. il se couche sur moi et je peux sentir beaucoup mieux la grosseur de sa queue. Il ne s'en sert pas: il me fait écarter les jambes et vient sucer mon con. J'aime ça. Il doit le sentir: il fait durer mon plaisir longtemps avant que je ne jouisse. Et là, c'est l'orgasme le plus violent que je n'ai jamais eu. C'est pourquoi je me tourne et ma bouche va embrasser la bite. Je ne l'embrasse pas, j'ouvre la bouche et la prend. Ma langue lèche le gland d'abord et ensuite j'essaye de prendre le plus possible de sa pine dans ma bouche. Je ne peux tout y mettre. J'arrive à le faire jouir: son sperme a un goût incomparable. Heureusement il ne débande pas. Il me fait remettre droite, et se met à nouveau sur moi: j'écarte les jambes. Il pose sa bite sur mon con. Je la dirige avec une main et je commence à avoir peur de recevoir en moi son chibre. J'ai tord de me soucier de ce détail: il me pénètre très lentement: il me fait du bien. il s'enfonce complètement et nous jouissons ensemble. Je sens presque les jets de sperme en moi.
Cette fois il débande. Je lui suis reconnaissante de me faire des câlins. Il m'embrasse dans le cou et sur les seins.
J'ai encore envie de baiser: je lui caresse les couilles et le bas ventre. Je vois qu'il commence à bander à nouveau. Je n'ose pas lui dire ce que j'aimerai qu'il me fasse. Il doit lire dans mes pensées: Il me retourne sur le ventre et me met en levrette. Il prend de ma mouille et m'en met sur la cul où de suite après il vient poser sa queue. J'ai encore peur de lui; il risque de me faire mal. Et pourtant avec la même tendresse que me pour me baiser, il m'enfile par le cul facilement. Pourtant je sens bien la grosseur sans mon anus, mais le plaisir est encore très fort. Je ne peux m'empêcher de jouir plusieurs fois avant lui: quand il jouit je sens bien les spasmes de sa jouissance.
Depuis, nous vivons ensemble et ne louons qu'un seul logement: nos folies amoureuses se prolongent tellement que je ne ressens plus le besoin de me branler, sauf quand il me le demande.
masturbe. J'ai des jouets sexuels et je m'en contente. J'ai des moments de manque.
Mais cette fois ça marche: j'ai rencontré un voisin en prenant l'ascenseur. Grand, sympathique, bien bâti. Je lui ai souri: il m'a rendu le sourire et m'a adressé la parole. Il a une voix grave bien timbrée. Bref, cette rencontre me laisse espérer, peut-être une relation ?Je ne sais pas où il habite, j'espère dans le même immeuble. Il monte au dernier étage: loge-t-il ici, près de moi. Oui: il habite dans l'appartement juste en face.
Je pense à lui toute la soirée: je suis amoureuse d'un quasi inconnu. Il me plaît et j'ai même envie de lui. Je suis obligée de me déshabiller et nue, je me regarde dans le grand miroir du séjour: Je me trouve belle et sexy. Je me touche les seins qui durcissent et ma main droite descend vers mon sexe. J'ai envie de jouir en pensant à lui. Je sort le godemiché et après m'être caressé le clitoris, je me baise. Je pense très fort que c'est sa bite qui est en moi. Je me fais jouir. Mais au fond de moi reste toujours cette envie de baiser avec lui qui doit savoir bien faire l'amour, j'en suis certaine.
Le lendemain au réveil je pense encore à lui. En prenant ma douche je me suis masturbée, toujours avec lui dans ma tête. Je me raisonne en me disant qu'il n'est peut-être pas libre. Aucune importance. J'ai besoin de lui.
Je sort prendre l'ascenseur pour aller au travail. Le hasard fait bien les choses: il sort en même temps que moi. Nous nous sourions. Il me demande si j'ai bien dormi. Je dois rougir un peu en lui disant que oui. Je lui retourne la question et sa réponse me met du baume à l'âme: Il a mal dormi parce qu'il a pensé longuement à moi. Je ne sais comment je me suis
retrouvée dans ses bras: nous nous sommes embrassés. Du coup en arrivant au rez-de-chaussée, il a fait remonter l'ascenseur et il m'a fait rentrée chez lui. Je n'ai pas résisté: il m'enlacé et embrassé de plus en plus profondément. Nous langues se battent. Enfin il me prend une sein et le caresse. Il ma fait mouiller. Je sens ma cyprine: j'ai trop envie de lui. Je ne veux pas passer pour une fille facile, et pourtant je le laisse faire ce qu'il veux: me branler: ses mains lèvent ma robe et se posent d'abord sur mes fesses, avant de venir directement vers mon bas ventre. Il passe un ou deux doigts sous mon string et ne cherche pas longtemps mon bouton: il le caresse lentement: je fonds dans ses bras. Il est
sur le point de ma faire jouir. J'ose lui mettre une main sur sa bite: elle est très dure. Je veux la lui sortir, et je ne peux pas. Alors il me déshabille et se met nu lui aussi. Il de détaille et j'en fait autant: il est réellement bien fichu. Sa bite est plus grosse que la moyenne. Je me demande si je pourrai m'en occuper normalement.
Il m'entraine dans sa chambre et me jette sur le lit. il se couche sur moi et je peux sentir beaucoup mieux la grosseur de sa queue. Il ne s'en sert pas: il me fait écarter les jambes et vient sucer mon con. J'aime ça. Il doit le sentir: il fait durer mon plaisir longtemps avant que je ne jouisse. Et là, c'est l'orgasme le plus violent que je n'ai jamais eu. C'est pourquoi je me tourne et ma bouche va embrasser la bite. Je ne l'embrasse pas, j'ouvre la bouche et la prend. Ma langue lèche le gland d'abord et ensuite j'essaye de prendre le plus possible de sa pine dans ma bouche. Je ne peux tout y mettre. J'arrive à le faire jouir: son sperme a un goût incomparable. Heureusement il ne débande pas. Il me fait remettre droite, et se met à nouveau sur moi: j'écarte les jambes. Il pose sa bite sur mon con. Je la dirige avec une main et je commence à avoir peur de recevoir en moi son chibre. J'ai tord de me soucier de ce détail: il me pénètre très lentement: il me fait du bien. il s'enfonce complètement et nous jouissons ensemble. Je sens presque les jets de sperme en moi.
Cette fois il débande. Je lui suis reconnaissante de me faire des câlins. Il m'embrasse dans le cou et sur les seins.
J'ai encore envie de baiser: je lui caresse les couilles et le bas ventre. Je vois qu'il commence à bander à nouveau. Je n'ose pas lui dire ce que j'aimerai qu'il me fasse. Il doit lire dans mes pensées: Il me retourne sur le ventre et me met en levrette. Il prend de ma mouille et m'en met sur la cul où de suite après il vient poser sa queue. J'ai encore peur de lui; il risque de me faire mal. Et pourtant avec la même tendresse que me pour me baiser, il m'enfile par le cul facilement. Pourtant je sens bien la grosseur sans mon anus, mais le plaisir est encore très fort. Je ne peux m'empêcher de jouir plusieurs fois avant lui: quand il jouit je sens bien les spasmes de sa jouissance.
Depuis, nous vivons ensemble et ne louons qu'un seul logement: nos folies amoureuses se prolongent tellement que je ne ressens plus le besoin de me branler, sauf quand il me le demande.
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belle histoire