Poursuite du fétishisme vinyle et kway - histoire érotique

Bonjour,
À la suite de notre découverte de l’homosexualité avec Laurence et Christophe, nous avons passé notre dimanche avec Valérie, à se raconter les différentes sensations que nous avions eu la veille.
Valérie s’est lâchée. Elle m’a avoué que nous aurions dû faire cette rencontre depuis longtemps.
Elle s’est mise sur ses mails pour envoyer un message à Christophe et Laurence pour les remercier, en leur faisant un grand détail de la satisfaction que nous avions eu.
En quelques secondes Laurence nous répond. Elle nous dit qu’eux aussi nous apprécient.
Valérie lui propose aussitôt une nouvelle rencontre.
Laurence et Christophe proposent que nous vennions chez eux le week-end prochain.
Je suis surpris, Valérie rétorque, « Je ne pourrai pas attendre ».
Je suis sur le cul. Ma Valérie qui est devenue excité comme ça !
Valérie propose un rendez-vous cette semaine sans que j’aie eu le temps de donner mon avis.
Laurence répond qu’en semaine c’est difficile pour Christophe qui travail et pour moi aussi d’ailleurs.
Laurence retourne un mail en proposant à Valérie d’aller se balader en ville toutes les deux en journée, et elle accepte aussitôt pour mardi matin.
Le jour est arrivé mais La météo était très pluvieuse.
Valérie est prête avant moi. Elle s’est maquillée et bien habillée.
Je suis anxieux sur cette journée sans moi.
Je ne dis rien mais je ne vais pas aller travailler et je vais les suivre.
Valérie me demande de la déposer en centre-ville.
Nous arrivons sur la rue de la république et à un arrêt de bus, nous voyons Laurence, qui est reconnaissable malgré la capuche sur la tête avec son long imper en vinyle noir.
Je dépose Valérie, elle descend, Laurence me fait un bisou de loin.
Valérie rejoint Laurence sous l’arrêt de bus.
Laurence retire sa capuche et prend à deux mains le visage de Valérie pour l’embrasser sur les lèvres.
Juste après, Laurence me fait un petit clin d’œil.
Je repars et je vais me garer dans le premier parking sous terrain, le plus vite possible.
Je ressors à pied vite fait pour les suivre à la trace.
Je les retrouve de loin et je les espionne en faisant attention de ne pas me faire voir.
Laurence marche avec des chaussures à talons et le déhanchement me fait un effet avec le vinyle qui se tortille à chaque pas.
Valérie est à côté et elles se tiennent la main comme deux copines.
Elles commencent par rentrer dans un premier grand magasin de vêtements.
Je ne peux pas rentrer aussitôt car elles vont me repérer.
J’attends discrètement dans un autre magasin en face.
Je les vois ressortir presque une heure plus tard et Valérie est habillée d’un imper en vinyle rouge et très long.
J’ai l’impression que l’imperméable l’a grandi au niveau de la taille.
Elles sortent toutes les deux sous la pluie et elles rigolent.
Je ne reviens pas de voir ma femme aussi joyeuse alors qu’en temps normale, elle n’aime pas la pluie et reste toujours à l’abri de la moindre goute.
On pourrait croire que c’est deux collégiennes qui trottinent sous la pluie.
Je poursuis mon rôle de détective et je suis complètement trempé.
Je vois les filles rentrer dans un magasin kway.
Je me dis qu’elles n’ont pas assez avec leur imperméable.
Elles ressortent avec un paquet à la main.
Elle se dirige dans une petite rue, je les perds de vue.
Je cours pour les rattraper. Arrivé à l’angle de la rue, elles m’attendaient à l’entrée d’un porche.
Surpris par leur stratégie, elles se sont mises à rire en me tendant le paquet qu’elles venaient d’acheter.
Laurence « si tu dois nous suivre encore longtemps, au moins avec un kway tu seras au sec ».
Valérie « alors chéri, tu n’as pas confiance ? ».
Moi « Bien sûr que oui mais je pensais que vous deviez avoir un garde-corps au cas où car vous êtes toutes les deux magnifiques avec vos imperméables ».
Valérie ouvre son imperméable et là je la vois habillée seulement d’un soutien-gorge d’un porte jarretelles, de bas en vinyle noir et des chaussures à talons aiguilles brillantes.
Aussitôt Laurence ouvre son imperméable et je découvre qu’elle porte la même chose mais de couleur rouge et en vinyle aussi.
Elles s’approchent toutes deux de moi pour se frotter avec l’imperméable ouvert.
Je subis une sensation extraordinaire de voir les deux corps pour moi tout seul.
Laurence me dit de venir un peu plus loin à l’écart.
Je suis les deux filles dans le couloir.
Arrivé au fond, il y a une porte de descente de cave. Laurence descend, je lui emboite le pas et Valérie m’arrête pour m’embrasser. Elle ne me faisait jamais ça en dehors de la maison.
Arrivé en bas, Laurence me demande de me déshabiller.
Je retire mon blouson.
Après elle me dit « Non, pas que ça, fou toi à poil ! »
Je me retourne vers Valérie, très surpris de la demande.
Valérie « Vas y fait ce qu’elle te demande ».
J’exécute alors la demande, je me dis que je vais sans doute pouvoir les baisées toutes les deux.
Après avoir retiré la total, Laurence me tend le sac K-WAY et me dit « Vas y mets le pantalon et l’imper ».
Moi « Quoi ? mais, mais, c’est quoi ça ? »
Laurence « Tu vas découvrir le plaisir de mon mari, la sensation du tissu du k-way sur la peau et la pluie froide sur le tissu va te faire frissonner ».
J’exécute la demande mais en regardant Valérie, je hausse les épaules en laissant apparaitre mon étonnement.
Laurence nous propose donc de reprendre la balade en pleine rue sous la pluie.
Dès que nous rejoignons la rue, je me sens comme nue sous le tissu qui glisse à même la peau.
A tour de rôle, Valérie et Laurence, me passe une main au cul.
Des compliments me sont dit sur mon petit cul et la chaleur que je dégage.
Les filles en font exprès de me caresser et de me frôler avec leur imperméable pour que le tissu mouillé soit en contact permanent avec ma peau.
L’effet de leur manipulation me provoque une érection.
Heureusement l’imperméable K-WAY, qui est long, cache le gonflement du pantalon.
Comme je suis sans slip dans le pantalon, mon sexe se redresse droit.
A chaque pas que je fais un pas, mon sexe frotte sur le tissu très lisse.
Je m’arrête et je dis aux filles « je suis obligé de m’arrêter sinon je vais tout lâcher dans mon pantalon ».
Laurence, alors vient face à moi et me plaque une main sur le sexe. Sans mon accord et en public ; elle me caresse le sexe sur le tissu.
Le frottement me rend dingue. Valérie se met derrière moi et me dit « tu as l’aire d’être mal mon chéri ? et ton pantalon descend ! »
Valérie attrape le pantalon K-WAY pour me le remonter d’un coup et elle passe sa main en même temps dans ma raie.
Elle repasse pour faire renter le tissu complètement dans le cul.
Valérie « regarde Laurence le petit cul de mon mari ! ».
Laurence « J’en connais un qui aimerai bien le peloter ce petit cul et voir même se le faire ! »
J’ai eu aussitôt l’image du sexe de Patrick à l’entrée de mon cul.
Moi « Peut-être qu’il aimera me voir comme ça mais pas en pleine rue ».
Laurence « Vous ne dite rien, et le week-end prochain, nous ferons la surprise à Patrick ! ».
Je n’ai pas encore dit que j’allai accepter et surtout la pénétration du sexe de Patrick dans mon cul.
Je bande comme jamais et je sens que le moindre frottement supplémentaire va me faire gicler.
La totalité de mes sens sont en actions.
Laurence voit que je suis prêt à craquer alors elle dit à Valérie que nous allions au square qui est à moins de 100 mètres.
J’ai eu du mal mais le jardin était isolé de la vue par les arbres et les buissons.
Avec la pluie, le parc était désert.
Laurence s’assoie sur un banc, elle invite Valérie à venir près d’elle.
Elle lui demande d’ouvrir son imperméable en même temps qu’elle.
Je les regarde et dès que les impers sont ouverts le spectacle est incroyable.
Valérie passe sa main sur le slip en vinyle rouge de Laurence.
Laurence en fait autant à ma petite femme.
Elles s’embrassent et je ne tiens plus.
Je me masturbe avec le tissu du K-WAY.
Laurence « Approche François, on va te sucer ».
J’exécute la demande sans me faire prier.
Arrivé à leur niveau, Laurence passe les mains sous la veste et attrape le pantalon kway et le baisse jusqu’aux genoux et à la limite de l’imperméable.
Elle relève alors la veste devant pour découvrir mon sexe à l’aire libre.
Les gouttes de pluies me tombent sur le gland.
Alors Laurence et Valérie approchent leurs visages de mon sexe.
Elles ont leurs capuches sur la tête.
Lorsque les lèvres des filles ont été en contact avec mon gland, j’étais au summum de l’excitation.
Valérie « Vas-y chéri, laisse-toi aller ! ».
L’invitation de ma femme a été libérateur.
J’ai grogné et au moment de gicler, Laurence a pris ma bite en pleine bouche.
Sans rien pouvoir faire, j’ai déchargé la totale dans son gosier.
Après plusieurs saccades, je lâche un petit soupir de soulagement.
Laurence se retire de ma bite en conservant la bouche ouverte et la tête en arrière.
Je vois le sperme dans la gorge jusqu’à l’entrée au bord des dents.
Elle tourne la tête, elle attrape la nuque de Valérie d’une main pour l’attirer vers elle et l’embrasse à pleine bouche.
J’entends les filles gémir de plaisir en même temps qu’elles s’embrassent.
Elles n’en finissent pas de s’embrasser.
L’image est très belle, avec la pluie qui tombe faisant des gouttelettes sur le tissu brillant et dégoulinant.
Je vois Valérie passer en même temps la main au slip de Laurence.
Elle écarte le slip pour y mettre un doigt.
Laurence sursaute et dit « Stop, on finira le week-end prochain »…
Sans Patrick, je venais de découvrir le plaisir du K-WAY.
A voir la suite ….