Préhistoire 1 : une lance perdue - histoire érotique

Je me souviens de cette journée, pas si lointaine, ou j'étais parti à la chasse. Notre groupe de Neandertal avait pris ses quartiers pour l'hiver et il nous manquait de la viande et des fourrures. Normalement j'aurai du partir avec un autre chasseur mais je voulais juste avoir un cerf, rien de bien dangereux. Je traquais un superbe mâle avec des bois gigantesque durant près de trois heures avant de le tuer d'une lance dans le cœur.

J'étais en train de débiter une jambe pour manger un peu avant de retourner au campement quand j'entendis un bruit dans les fourrés. Pensant qu'il s'agissait d'un lion des collines je saisis une de mes lances et me préparais à la lancer dans le fourré quand une fille en sortit. Je la reconnus immédiatement, elle était de notre clan. C'était une rebelle qui partait souvent seule malgré le danger.

-Qu'est ce que tu fais ici ?
-Je te regardais chasser.
-Mais tu es folle ! J'aurais pu t'embrocher ! Et que fais tu sans lance ?
-En fait j'en ai emmené une mais je l'ai perdue.
-Bravo. Il te faudra au moins une journée pour en refaire une. Et tu seras privée de chasse jusqu'à la prochaine pleine lune.
-Non pas ça ! S'il te plait ne leur dit pas ! Tu pourrais me passer ta lance et dire que tu en as cassé une.
-Pourquoi je mentirais ?

Je ne pensais à rien à ce moment, enfin pas loin du camp. Elle par contre y pensait, beaucoup même parce qu'elle s'approcha de moi et me prit ma viande des mains ! J'allais lui mettre un mandale pour lui apprendre à attendre son tour mais elle posa la jambe à coté avant de me regarder de manière bizarre.

Elle me sourit et commença à ôter ses fourrures, à ma grande stupéfaction ! Je croyais qu'elle allait se déshabiller complètement mais elle s'arrêta et se mit à enlever mes propres fourrures. J'aurais du lui dire stop mais une envie qui venait du bas-ventre m'en empêcha.

Décidé à profiter de son corps je me hâtais d'enlever mes vêtements avec son aide et je finis de la dénuder. Il ne lui restait qu'une cape qui lui cachait sa poitrine et impatient je la lui arrachait ! Je pris les fourrures pour faire un tapis confortable et l'allongeait dessus. Elle me fixa de ses yeux vert tandis que je repoussais sa chevelure rousse qui lui couvrait le visage.

Elle avait du se promener dans des buissons de menthe parce qu'elle en avait l'odeur. Je serais mes dents pour repousser la voix qui me disait de la prendre sans ménagement mais je voulais que nous profitions tout deux un maximum de ce moment.

Je plongeai vers son cou et ses épaules que je couvris de baisés pendant qu'elle me caressait le torse. D'une main je commençais à pétrir ses seins avec douceur, puis j'y allais plus violemment quand elle se mit à me caresser le dos et les fesses avec insistance. Nous commencions à ahaner sous la pression de notre désir toujours pas assouvis et je décidais de mettre fin aux amuses-gueules pour lui faire mériter la lance qu'elle allait me prendre.

Je soupirais d'extase en sentant mon sexe dans le sien. L'hiver approchait et il faisait froid, sentir mon sexe quasiment glacé dans le sien chaud comme l'été était un pur bonheur. Je commençait mes va et viens lentement, faisant des mouvements amples pour la faire profiter un maximum de mon membre.

Ses mains qui me caressait le dos se dirigèrent vers fesse et elle m'imposa son rythme. Bien décidé à lui faire plaisir j'accélérais la cadence comme elle le voulait et dévorai allégrement ses seins, mordillant ses tétons durcis par la chair de poule. Elle ramena ses bras et m’emprisonna dans son étreinte, ses jambes prirent le relais nous commencions à pousser des petits cris, enfin surtout elle parce que moi j'étais concentré à ne pas jouir trop vite !

Cela faisait près d'un quart d'heure que nous étions collé l'un à l'autre et je sentais que je ne tiendrais plus très longtemps. Désirant quand même montrer que c'était moi qui commandait et qui lui mentirait pour qu'elle puisse chasser je décidais de m'affirmer pour de bon.

Je pris ses mains et les plaquais au sol, puis je me redressais un peu et me lâchais complètement, utilisant toute ma force de Neandertal pour la pénétrer la plus vite possible et l'empêcher de bouger. Elle se mit à gémir pendant que mon sexe faisait des va et viens de plus en plus violent. Elle allait crier quand elle eut son orgasme mais je décidais de mettre ma main devant pour lui montrer que c'est elle qui devait me faire plaisir, et aussi parce que je savais qu'elle aimait être à ma merci.

Elle se cabra pendant de longue seconde quand elle jouit enfin et je sentis sa vagin se resserrer autour de mon sexe, me donnant encore plus de plaisir. Elle s'affala sur le sol, épuisée par l'orgasme que je venais de lui donner. Pour éviter de la mettre enceinte (les préservatif en boyaux était au camp) je sortis d'elle et me cala entre ses deux seins. Je fis des va et viens rapide pour jouir le plus vite possible et elle m'aida en comprimant sa poitrine et en me masturbant en même temps.

Je poussais des gémissements inarticulés alors que je sentais l'orgasme monter en moi. Je serrais les dents pour gagner quelques secondes de plaisir en plus et j'éjaculais avec un grand cri. Mon jet alla se répandre sur son cou et je me retirais de ses seins que je maculais d'autres jets de sperme.

Nos corps luisant de sueur nous sommes restés un moment nus l'un contre l'autre avant de nous laver avec des feuilles. Puis empoignant le cerf nous sommes retournés au camp où nous fûmes accueillis avec joie.

-Ouah c'est un beau mâle ! Vous avez mis longtemps pour l'avoir ?
-Non mais il était tombé dans une crevasse. J'y ais même laissé une lance pour le sortir.
-Pas grave on t'en fera une autre. Elle a bien chassé ?
Je me tournais vers elle et lui sourit avant de me retourner vers notre interlocuteur. Très bien même. Il lui reste encore quelques choses à apprendre. Mais heureusement nous pouvons encore aller chasser, l'hiver n'est pas encore arrivé.

Le lendemain notre traque nous mena dans une caverne, mais ceci est une histoire............