Préhistoire 3 : l'attente dans la nuit - histoire érotique

Mes mains se resserrèrent sur mes lances. Cela faisait des heures que nous attendions dans un étroit passage à travers la forêt, des heures que nous attendions notre proie. Nous étions en train de baiser comme des malades quand la fille du chaman nous avait interrompue pour nous prévenir, les éclaireurs avaient vus des mammouths. quatre putains de semaines que nous les attendions et il fallait qu'ils arrivent maintenant, je l'aurais presque regretté.

Donc j'étais en train de me geler les arcades sourcilières quand l'un des chasseurs arriva à coté de moi pour déposer d'autres lances.

-Sérieusement ? Je croyais qu'on ne prenait que le plus gros ?
-C'est un géant écrase-tout.
-Merde ! On est assez nombreux ?
-Oui les éclaireurs nous on dit que c'était bon. En plus il est à l'arrière du troupeau, on pourra le tuer sans risque.
-Enfin une bonne nouvelle.
-Ils voulaient te laisser te faire la rousse ondulée, mais je me suis dis que tu ne voudrais pas gâcher une chasse au mammouth.
-Sale loup crevé ! J'étais bien comme il faut quand la fille du chaman est venue ! Mais c'est vrai que je préfère la chasse.
-Je te laisserais la moitié de mes os si tu veux.
-Non c'est bon, je prendrais l'une des défenses pour agrandir ma tente.
-Ça marche. Bon ils devraient être la dans 25 grands battements
-1500 battements de cœur ? Putain c'est pas demain qu'on sera en forme
-Ceux qui sont au camps le dépèceront pour nous quand nous l'aurons ramené. Bon on se revoit lors de l'assaut.

Et le temps passa très, très, très lentement. La nuit était claire et sans vent ce qui m'évitait la morsure du froid mais attendre seul, sans feu et en pleine nuit ce n'est pas non plus génial, même si c'est pas mortel pour nous les Neandertal. Machinalement je vérifiais que mes silex étaient bien attaché aux lances quand j'entendis un craquement derrière moi.

Vif comme un aigle je me retournais pour embrocher le loup qui allait me sauter dessus quand je me rendis compte que c'était la fille du chaman. Surpris je ne fis rien, restant en position de lancer avant de me ressaisir.

-Qu'est ce que tu fais la ? C'est pas ta place.
-Je voulais te voir tuer un mammouth. avec ses grand yeux bleus et ses cheveux blond elle faillit presque m'attendrir.
-Tu crois que je vois pas quand tu mens ? Qu'est ce que tu fous la ?
-Je voulais te dire que j'étais désolé de vous avoir interrompue toi et la rousse ondulée.
-C'est bon c'est pas une morsure de hyène.
-Je vous regardais mais comme vous preniez trop de temps j'ai quand même du entrer.
-Quoi ? Tu nous regardais ?
-....oui.
-Et naturellement c'était pas la première fois.
-Oui. Tu sais je...
-Tu aimes ? Ma question pouvait avoir l'air étrange mais vu la situation une petite discussion coquine aidait largement à passer le temps.

Elle fit semblant de ne pas comprendre mais après elle devint très loquace. Elle me raconta comment elle se cachait derrière la tente pour nous espionner la rousse ondulée et moi. Comment elle se caressait en nous voyant nus l'un contre l'autre. elle me raconta ses râles de plaisir quand elle voyait mon corps musclé couvert de cicatrices, comment elle se léchait les lèvres en admirant ma verge faire des va et viens puissant. Elle me raconta ses orgasmes solitaires quand nous jouissions, son envie d'être à sa place quand nous passions à d'autres pratiques.

-Tu n'as pas d'homme régulier ?
-Non. Tu es pris et les autres n'ont pas l'air aussi bon que toi.
-J'ai pas besoin de me limiter, je peux aussi m'occuper de toi si tu veux. L'idée de jouir dans ses seins et de la pénétrer en levrette m'envahissait l'esprit, même si ce n'était ni le lieux ni le moment. A ma surprise elle accepta sans rien dire, alors que je me serais attendus à devoir lui donner de la viande ou des peaux en échanges. Quand je lui dis que nous pourrions baiser comme des fous après le dépeçage du mammouth elle me dit qu'elle comptait quand même me donner un avant de ce à quoi j'aurais droit.

Elle me plaqua contre un arbre et s'agenouilla devant moi. D'un geste habile elle défit les lacets de mon pantalon de peau et exposa ma verge aux éléments. Elle commença à me branler mais aussi doué qu'elle puisse être il faisait trop froid pour que je puisse avoir une érection. Sans hésiter elle mit mon sexe dans sa bouche, provoquant immédiatement chez moi l'érection tant attendu.

Elle me suçait lentement, pour me faire bien jouir et pas jouir trop vite. Sa langue palpait et caressait tout en douceur, elle inondait mon sexe de salive tout en me fixant de grands yeux bleus. Nous ne faisions pas un bruit, indétectable dans la nuit. Pendant qu'elle me faisait cette fellation je m'imaginais nu sur elle dans ma tente, écrasant ses seins sous mes muscles et la pénétrant avec force.

Puis je m'imaginais la prendre dans d'autre position, debout accroché à un de mes poteaux, ses jambes autour de mon bassin et sa poitrine à portée de ma langue. Je mordillais ses tétons et jouait avec ses globes de chair pendant que ses bras autour de mes épaules puissantes essayaient de me prodiguer des caresses. Ses mains s'accrochaient à mon dos car elle était incapable de faire quoi que ce soit à cause du plaisir que je lui donnais.

Un brusque coup de vent me ramena à la réalité. Je me rendis que mon sexe était douloureux, si je n'avais pas sombré dans mes rêves j'aurais déjà joui. N'étant plus certains du temps qu'il restait avant l'arrivé du mammouth et désirant finir comme je le voulais (elle m'avait quand même interrompue) je saisit la fille du chaman et souleva ses peaux de haut de corps.

-Qu'est ce que tu fais ?
-Je termine la ou je veux.
-J'en aurai pour une heure à laver mes fourrures !
-Tu préfère que je jouisse sur ton visage en pleine nuit d'hiver ?

Presque à contrecœur elle glissa mon sexe dans sa poitrine et me masturba avec. Ils étaient doux et chauds, emprisonnant ma verge dans une prison de chair. J'avais si mal du plaisir refoulé que j'avais l'impression que mon sexe allait se casser en deux mais ce fut une vague de plaisir comme j'en avais rarement ressentie qui monta. Elle accéléra ses mouvements quand elle sentit que j'étais sur le point de jouir et quand cela arriva enfin je déversais des flots de sperme dans ses seins où je restais un peu pour profiter encore de leur étreinte.

-Ah c'était bon. On se voit après le dépeçage.

Sans un mot elle se releva et s'en alla, de mon coté je préparais mes lances, les mammouths arrivaient.